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Université Paul Valéry de Montpellier

Site Du Guesclin
Béziers
ère
Licence Histoire 1 année
1er semestre
Année universitaire 2023-2024

BE13HI – Introduction à l’époque moderne (1500-1650)


Maquette de Travaux dirigés
François-Xavier D’URSO

Sommaire des séances :

Introduction : présentation générale et méthode du commentaire de document

I Economie et société
II Les Réformes religieuses en Europe
III Art et sciences
IV L’affirmation de l’Etat
V L’Europe et le monde

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PRESENTATION GENERALE ET METHODE DU
COMMENTAIRE DE DOCUMENT

Sujet introductif : Le Brésil à la fin du XVIe siècle vu par un Père jésuite


« Cette province du Brésil fut sans doute découverte en 1500 par Pedro Alvarez Cabral, alors qu’il allait
aux Indes orientales : il aborda cette terre dans une rade qu’il appela Porto Seguro, il y déposa une grande
pierre au nom du roi du Portugal, et appela ce pays province de Santa Cruz. Cette province est distante de
Lisbonne de 1500 lieues environ. On l’a divisée en huit capitaineries : Itamaraca, Pernambuco, Bahia,
Illeos, Puerto Seguro, Espiritu Santa, Rio de Janeiro et San Vicente. Ce sont tous des portes de mer ou des
villes appartenant à des seigneurs, les « donatarisos », sauf deux, Bahia et Rio de Janeiro qui sont des
villes de sa Majesté. Bahia est la ville où réside le gouverneur, l’auditeur général, le « proveedor », le
trésorier et autres officiers du roi. Cette province du Brésil n’a qu’un seul évêque qui réside aussi à
Bahia ; dépendent de lui quatre capitaineries, soit Itamaraca, Pernambuco, Bahia et Illeos. Quant aux
quatre autres capitaineries, dans le Sud, elles sont visitées par un administrateur ecclésiastique qui joue le
rôle d’évêque, il réside d’ordinaire à Rio de Janeiro. Les frères de la Compagnie de Jésus sont venus sur
ordre du roi Jean III de bonne mémoire : ils arrivèrent avec le premier gouverneur du Brésil, Tome de
Sousa, qui vint coloniser ce pays en 1549. Dans cette province du Brésil, nous avons huit maisons, dont
trois collèges (à Pernambuco, Bahia- où il y a aussi un séminaire- et Rio de Janeiro). Nous y sommes
140 : dont 68 pères, 37 étudiants et 35 coadjuteurs…
BAHIA. – Bahia, qui est à treize degrés et demi sous l’Equinoctial, est distante de cent lieues den
Pernambuco. On l’appelle encore « cité du Sauveur ». Elle est plutôt mal située sur la montagne ; elle a
une vue paisible sur l’ouest et l’est. La baie a douze lieues de largeur, trente de circonférence : on
l’appelle « baie de tous les Saints ». Sur ce circuit que fait la mer, arrivent de la terre plusieurs fleuves
importants, de grandes forêts longent la côte apportant une notable fraîcheur. On trouve à Bahia 46
moulins à sucre (« ingenios de azucar »). La ville n’est pas très grande car la majorité de la population vit
à l’extérieur dans les moulins et les « haciendas ». Dans toute la région il y a peut être 2000 foyers
Portugais - soit 10 à 12000 personnes -, et pour le service des moulins et haciendas, il y a 3000 esclaves
de Guinée, et au moins huit mille indiens christianisés (1), esclaves ou libres. Parmi les indiens libres,
quelques uns vivent dans la maison des Portugais, la majeure partie dans trois villages dont nos Pères
prennent soins, et de là, ils vont servir les Portugais moyennant salaire.
RIO DE JANEIRO. – C’est la capitainerie du Roi, on y trouve un gouverneur dépendant de celui de
Bahia. On appelle la ville plus exactement Saint-Sébastien car elle a été fondée par le roi Sébastien de
bonne mémoire (après le départ des Français)… C’est un port de mer installé sur une baie très belle et
large (remplie en son milieu d’îlots qui sont faciles d’accès) ; c’est la baie la plus agréable et aérée qu’il
ya dans toute le Brésil, le port est si profond que les navires les plus grands ont encore, à la proue,
quatorze brasses d’eau. Cette ville possède une forteresse remplie de bonne artillerie sans compter trois
ou quatre forts qui la rendent très défendable. On y compte cent cinquante foyers de Portugais. C’est un
pays de grandes montagnes, de grandes pentes, et à l’entrée du goulot on voit un rocher très grand en
forme de pain de sucre – on l’appelle d’ailleurs ainsi : il a plus de cent brasses de haut, c’est chose
admirable. L’hiver est très agréable ici, c’est comme le printemps en Europe. L’été il pleut beaucoup,
presque chaque jour. C’est un pays riche, bien fourni de bétail, de farine et autres approvisionnements. On
y trouve trois moulins à sucre, mais aussi de la muscade, non si fine qu’en Inde orientale, mais d’une
odeur suave… Le cèdre, l’arbre de santal y abondent. On y apporte du raison, du blé et autres choses du
Portugal. Le poisson y est très abondant ».

Frédéric Mauro, Le Brésil au XVIe siècle, Coimbra, 1961.


1 A Pernambuco, il y avait au contraire 10000 noirs et 2000 Indiens.
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I ECONOMIE ET SOCIETE

Sujet 1 : La France. Vivre au village entre la fin du XVe siècle et le milieu du XVIIe siècle

Sujet 2 : Etre seigneur en France entre la fin du XVe siècle et la fin du XVIIe siècle

II LES REFORMES RELIGIEUSES

Sujet 3 : Jean Calvin met l’Eglise catholique en accusation

« Nous vous accusons d’avoir subverti le ministère, duquel simplement vous retenez le nom vide et sans
l’effet de la chose. Car, quant à la sollicitude de repaître spirituellement le pauvre peuple, les enfants
mêmes voient bien que vos évêques et prêtres n’y font non plus qu’images mortes, et expérimentent les
hommes de tous états qu’ils ne sont vaillants, sinon à piller et dévorer. Nous ne pouvons porter qu’au lieu
de la sainte Cène on introduise un sacrifice lequel anéantisse la vertu de la mort de Jésus-Christ. Nous
crions contre l’exécrable marchandise et foire des messes et nous complaignons de ce que le peuple
chrétien est quasi privé de la Cène du Seigneur. Nous invectivons contre la méchante et inique adoration
des images. Nous prouvons les sacrements avoir été pollués et souillés par plusieurs profanes et impures
opinions. Nous enseignons les pardons et indulgences avoir été introduites, sans qu’on s’en aperçût, au
très grand et horrible opprobre de la croix de Christ. Et nous complaignons la liberté chrétienne avoir été
submergée et oppressée par traditions humaines. Et pour ce avons-nous donné ordre que les églises que
Dieu nous a commises fussent purgées et nettoyées de telles et semblables pestes. Complains-toi
maintenant, si tu peux, que nous ayons fait injure à l’Église, d’avoir ainsi osé violer ses vénérables
constitutions. Certainement cela est déjà tant commun que tu ne gagnerais rien à le nier, qu’en toutes
choses l’ancienne Église s’accorde avec nous et qu’elle ne vous est point moins contraire que nous-
mêmes. Or me souvient-il ici que tu dis en je ne sais quel passage, comme voulant faire la chose plus
petite, qu’il ne s’ensuit pas pour tant, si vos conditions sont désordonnées, que nous nous séparions de la
sainte Église. Certes à grand peine se peut-il faire – vu tant de cruautés, avarices, rapines, intempérances,
insolences, et tant d’exemples de toute licence et méchanceté qui continuellement se commettent par gens
de ta sorte – que le courage du peuple ne se soit grandement détourné de nous et de votre parti. Mais nulle
de ces choses ne nous a induits à essayer ce que par trop plus grande nécessité nous avons entrepris.
Laquelle certes a été, pour ce que la clarté de la vérité divine était éteinte, la parole de Dieu ensevelie, la
vertu et efficace de Christ abolie de profonde oubliance, et l’office de pasteur entièrement subverti.
Cependant l’impiété se mettait tellement en avant qu’à peine était-il aucune doctrine chrétienne qui fût
pure et sans mixion, aucune cérémonie vide d’erreur, et nulle portion du service divin exemptée de
superstition. Ceux donc qui répugnent à de telles iniquités, font-ils la guerre contre l’Église, ou plutôt, ne
tâchent-ils pas point à lui aider, la voyant ainsi affligée et oppressée de tous côtés ? (…)
Mais, diras-tu, quelle arrogance est-ce à vous autres, de vous vanter que l’Église est avec vous seuls, et
cependant en vouloir priver le reste du monde universel ? Certes, Sadolet, nous ne nions point que les
églises où vous présidez ne soient églises du Christ, mais nous disons que le Pape, ensemble toute la
troupe de ses faux évêques, qui vers vous ont occupé le lieu de pasteurs, sont loups très cruels et
dangereux, lesquels, jusques ici, n’ont eu d’autre désir, sinon que de consumer et détruire le royaume de
Christ jusqu’à ce que, par ruines et désolations, il fût du tout déformé et anéanti. »

Jean Calvin, Epître à Sadolet, 1539.

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Sujet 4 : Le pape Paul III convoque le Concile de Trente

« Paul, Évêque, Serviteur des Serviteurs de Dieu. Pour mémoire à la postérité.


Au commencement de notre pontificat, que la Providence de Dieu tout puissant nous a confié, non pour
notre mérite, mais par sa pure bonté, considérant dès lors dans quel désordre et dans quelle confusion
presque générale de toutes choses, nous nous trouvons appelés d’appliquer nos veilles et notre soin
pastoral, nous aurions fort souhaité de remédier à tant de maux, dont la Chrétienté était affligée depuis si
longtemps et presque tout à fait accablée. Mais étant nous-mêmes, en qualité d’hommes, environnés de
faiblesse, nous nous serions bien aperçu que nos propres forces n’étaient pas suffisantes pour soutenir un
si grand fardeau : car, au lieu de la paix, dont nous voyons bien qu’on aurait eu besoin, pour pouvoir
délivrer et défendre la Chrétienté de tant de périls qui la menaçaient, nous trouvions que la haine et la
discorde régnaient de toutes parts, particulièrement entre les deux princes que Dieu a rendus presque les
maîtres et les arbitres du capital des affaires. Au lieu que, pour maintenir la religion chrétienne en son
entier et pour affermir en nous l’espérance des biens célestes, il eût été nécessaire qu’il n’y eût qu’une
seule bergerie et qu’un seul pasteur du troupeau du Seigneur, cette sainte unité se trouvait déchirée et
presque toute en pièces par les schismes, les dissensions et les hérésies ; au lieu que nous eussions
souhaité voir la Chrétienté à couvert et en sûreté des armes et des entreprises des infidèles, Rhodes, par
nos péchés et par tous nos crimes, qui avaient attiré la colère de Dieu, venait d’être perdue ; la Hongrie
était inquiétée et la guerre était résolue et se préparait par terre et par mer contre l’Italie, l’Autriche et
l’Illyrie, par le Turc, cet ennemi cruel et implacable, qui ne se tient jamais en repos et qui prend sans
cesse occasion de nos discordes et de nos dissensions pour avancer ses affaires.
Nous trouvant donc appelés, comme nous venons de dire, au gouvernement et à la conduite de la barque
de Pierre, au milieu d’une si grande tempête et d’une si grande agitation de guerres, de discordes et
d’hérésies, et ne nous fiant pas à nos propres forces, nous aurions premièrement tourné vers le Seigneur
toutes nos pensées, afin qu’il nous soutînt lui-même et qu’il remplît notre coeur de force et de fermeté et
notre esprit de prudence et de sagesse. Et repassant ensuite en notre mémoire que nos prédécesseurs, si
admirables en sagesse et en sainteté, avaient souvent eu recours, dans les pressants périls de la Chrétienté,
aux conciles œcuméniques et aux assemblées générales des évêques, comme à un remède excellent et très
convenable, nous aurions aussi commencé à penser à la convocation d’un concile général. »

Préambule de la bulle du pape Paul III pour la convocation du Concile de Trente (22 mai 1542), in
Sacrosanti et oecumenici Concilii Tridentini canones et decreta, Paris, 1824.

IV ART ET SCIENCES

Sujet 5 : Galilée

Sujet 6 : Michel-Ange vu par Paul Jove

« Le Toscan Michel-Ange Buonarotti est, dans la peinture comme dans la sculpture en marbre, le plus
près d’atteindre le rang des artistes antiques, selon la voie commune et selon un accord si général que les
meilleurs maîtres des deux arts lui conféré spontanément la palme méritée. Appelé par Jules II avec une
grande dépense pour la voûte de la Chapelle Sixtine, il donna la preuve de sont art parfait, en terminant en
peu de temps l’œuvre immense. Il la peignit, comme c’était nécessaire, penché en arrière, représentant
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certaines parties en retrait et comme enfoncées, avec la lumière doucement décroissante, comme pour le
corps d’Holopherne en son alcôve ; d’autres comme la Haman crucifié, étaient tellement poussés en relief
grâce aux ombres qui suggéraient la lumière que même des artistes habiles furent induits par la réalité
corporelle de l’image à considérer comme volume ce qui n’était que surface. Parmi les principales
figures, il faut voir au milieu de la voûte la peinture d’un vieillard qui s’élève au ciel, dessiné avec une
telle justesse des proportions que si on le regarde de différents endroits de la chapelle, il paraît toujours
tourner et montre aux yeux trompés un geste différent. Dans l’autre art aussi il acquit le plus haut éloge,
lorsqu’une fois il fit un cupidon de marbre et l’ayant enfoui quelque temps le déterra en suite, pour que,
jugeant d’après le lieu et les petites lésions qu’il avait ajoutées, on l’accepta pour antique et par un
intermédiaire il l’a vendu pour un prix considérable au cardinal Riaro. Avec une habileté encore plus
réussie, il fit, de marbre de Gênes, un géant brandissant la fronde que l’on voit à Florence, à l’entrée du
Palais. On lui confia ensuite le tombeau de Jules II pour lequel, ayant reçu des milliers de pièces d’or, il
fit plusieurs statues colossales, si applaudies que personne après les anciens n’a sculpté le marbre plus
savamment et plus vite, ni fait des peintures plus proportionnées et plus gracieuses. Par ailleurs cet
homme d’un tel esprit se montrait d’une nature si rude et si sauvage que, outre son mode de vie
incroyablement sordide, il allait presque à être jaloux des héritiers qui pourraient avoir son art. Car malgré
les insistances des princes, il ne s’est jamais laissé convaincre de former un élève ou même d’admettre
quelqu’un dans son atelier pour faire voir son travail. »

Paul Jove, Eloge à Michel-Ange, vers 1525, in M.Devèze et R.Marx, Textes et documents d’histoire
moderne, 1967, pp.116-117.

V L’AFFIRMATION DE L’ETAT

Sujet 7 : La royauté française en 1546 vue par l’ambassadeur vénitien Marino Cavalli

« Il y a en vérité, des pays plus fertiles et plus riches, tels que la Hongrie et l’Italie ; il en est de plus
vastes et de plus puissants, ainsi l’Allemagne et l’Espagne ; mais on en connait pas dont l’unité soit plus
parfaite et dont le maniement soit le plus facile que le royaume de France. Unité et obéissance, la grande
force de ce pays découle de cette double source. La liberté, sans doute, est le bien le plus haut de la terre ;
mais tous les hommes ne sont pas dignes de la liberté. Il y a des peuples nés pour obéir ; il y en a d’autres
qui sont faits pour commander. Agissez au rebours et vous aurez les malheurs qui tourmentent
l’Allemagne, et ceux qui ont jadis agité la nation espagnole. Ainsi, les Français comme ils se sentaient
peu au fait de se gouverner eux-mêmes, ont-il totalement abandonné aux mains de leur roi et leur liberté
et leur volonté. Il suffit à ce prince de dire : « je veux telle somme ; j’ordonne ceci, je consens à cela ». Et
tout aussitôt l’exécution suit, aussi promptement que si la décision émanait d’un vœu spontané de la
nation entière. La chose est allée si loin que quelques Français mêmes, qui voient un peu plus clairs que
les autres, disent : « Nos rois s’appelaient jadis « Reges Francorum » ; à présent on peut les appeler
« Reges servorum ». Tout ce que demande le roi, on le paye au roi ; et ce qui demeure aux mains de ses
sujets est encore à sa discrétion. Ce fut Charles VII qui, après avoir libéré le pays des Anglais, alourdit le
fardeau de cette soumission ; puis Louis XI ; et Charles VIII grâce à la conquête du royaume de Naples.
Et aussi Louis XII. Mais le roi actuel peut bien se vanter d’avoir dépassé tous ses prédécesseurs : il fait
payer plus abondamment que jamais… Cependant, la couronne de France fait mieux que progresser en
crédit et en richesse. Elle se garantit, du même coup, contre les guerres civiles. Aussi bien, les princes
sont pauvres et l’état de leur bourse leur ôterait tout moyen de rien risquer contre leur roi, contrairement à
ce qu’osaient autrefois les ducs de Bretagne, de Normandie, de Bourgogne et tant d’autres seigneurs de
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Gascogne. Et si quelque baron, par quelque bravade irréfléchie s’aventurait dans quelque mutinerie, ainsi
que le connétable de Bourbon en donna l’exemple, l’imprudent donnerait seulement au roi l’occasion de
mettre la main sur ses dépouilles. La vieille loi salique, on peut l’affirmer très haut, en interdisant le trône
aux femmes et aux puinés, et en proclamant inaliénables tous les biens de la couronne, a ouvert à la
France le chemin le plus sûr pour parvenir à la domination du monde chrétien : pour peu, le sceptre
fleurdelysé obtenait ainsi l’empire universel. Supposons que le Roi de France n’eût pas rencontré sur sa
route un prince aussi puissant que Charles Quint, et aussi bien informé des secrètes ambitions françaises,
on verrait aujourd’hui l’Italie presqu’entière soumise aux Capétiens et, avec l’Italie, une partie de
l’Espagne (par suite des prétentions sur la Navarre) et, en outre, tous les Pays-Bas et quelques autres Etats
de l’empereur. L’Empereur, ce ne serait pas un Habsbourg mais un Valois.

Marino Cavalli, extrait des Relations des ambassadeurs vénitiens sur les affaires de France au XVIe
siècle, trad. M.N Tammaséo, Paris, 1838.

Sujet 8 : Le château de Versailles en 1668, symbole de l’absolutisme royal

Pierre Patel, Vue du château et des jardins de Versailles, prise de l’avenue de Paris en 1668, huile sur
toile, 115×161 cm, XVIIe siècle, Château de Versailles.

Sujet 9 : Révoltes et révolutions en Europe occidentale (fin XVe-fin XVIIe siècle)

VI L’EUROPE ET LE MONDE

Sujet 10 : L’empire colonial français de 1534 à 1715

Sujet 11 : La Chine, une puissance asiatique (fin XVe-fin XVIIe siècle)

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