Vous êtes sur la page 1sur 7

66 questions pour mettre à l'épreuve

vos connaissances en Audit


1- L’audit est : A. Une année.
A. Un examen professionnel. B. 2 années.
B. Une sorte de vérification. C. 3 années.
C. Un type de contrôle de gestion. D 4 années.
D. Un processus méthodologique. E. Aucune réponse.
2- Un auditeur interne peut être un : 8- En matière d’audit légal, l’auditeur est tenu d’une :
A. Salarié de l’entreprise.C. Intervenant externe. A. Obligation de détection de fraudes.
D. Etudiant. B. Obligation d’amélioration de la gestion.
E. Aucune réponse C. Obligation de moyens.
3- Les normes générales de l’audit : D. Obligation de résultats.
A. Sont fictives. 9- Le contrôle interne est un ensemble des pratiques et
B. Sont optionnelles. procédures mise en œuvre par la direction en vue :
C. Sont obligatoires. A. De protéger le patrimoine de l’organisation.
D. Sont de nature comptable. B. De publier les comptes.
E. Aucune réponse. C. De contribuer au bon fonctionnement de l’organisation.
4- Nous pouvons parler de risque dans les situations suivantes : D. D’éviter complètement les erreurs et les fraudes.
A. Absence d’une répartition des tâches. E. Aucune réponse.
B. Confusion des tâches. 10- Lors de l’accomplissement d’une mission d’audit, un
C. Évaluation forfaitaire des stocks. auditeur n’est pas tenu de :
D. Sous-effectif du personnel comptable. A. Tout contrôler.
E. Aucune réponse. B. Revoir toutes l’opération passée au niveau comptable.
5- Un auditeur est forcément un : C. Planifier et orienter le travail de l’auditeur interne.
A. Commissaire aux comptes. D. Mettre en place tous les moyens nécessaires à la
B. Inspecteur. réalisation de la mission.
C. Expert-comptable. E. Aucune réponse.
D. Professionnel de traitement de l’information. 11- Pour détecter les anomalies l’auditeur peut faire appel aux
6- L’audit légal est : outils suivants :
A. Un audit optionnel. A. Des contrôles physiques.
B. Un audit obligatoire. B. Des impressions personnelles.
C. Un audit interne. C. La revue de vraisemblance.
D. Un audit externe. D. La technique de sondage.
7- Le mandat d’un commissaire aux comptes doit durer :
12- Les quels des éléments ci-dessous, peuvent faire l’objet de C. Remettre en cause l’existence d’une procédure d’achat
confirmation : bien élaborée et non respectée.
A. Les créances clients. D. Aucune réponse.
B. Les provisions pour créances clients. 17- Lors de l’accomplissement d’une mission d’audit, un
C. Les dettes fournisseurs. auditeur est tenu de :
D. Les amortissements des immobilisations corporelles. A. Planifier et orienter la mission de chaque salarié au sein
13- Au cours de son mandat un commissaire aux comptes : de l’entreprise.
A. Peut toujours émettre des opinions sans réserve. B. Tous vérifier.
B. Doit toujours exercer sa mission jusqu’ à son terme. C. Sélectionner les éléments à contrôler.
C. A toujours la possibilité de démissionner pour motif D. Faire appel à un expert dans un domaine que lui ne
légitime. maîtrise pas.
D. Ne peut jamais démissionner. E. De licencier l’auditeur interne en cas d’incompétence
14- Le principe de la propriété peut stipuler que : 18- Afin de détecter des anomalies, l’auditeur financier peut
A. Un bien acquis par crédit-bail ne doit pas figurer dans croiser de l’information issue de :
l’actif d’une entreprise. A. L’actif et du passif du bilan.
B. Le patrimoine d’une entreprise est constitué des actifs B. Bilan et CPC.
qui lui appartiennent. C. Bilan et du patrimoine personnel du dirigeant.
C. Toutes les opérations doivent être enregistrées et réelles. D. CPC et des orientations stratégiques de l’entreprise.
D. Aucune réponse. E. Aucune réponse.
15- Dans un processus d’achat, la mise en concurrence de 19- Dans le domaine de l’audit, l’auditeur peut faire appel à un
fournisseurs permet : certain nombre de technique de control et de vérifications,
A. D’identifier les avances aux fournisseurs non parmi lesquelles nous pouvons citer :
récupérées. A. La vérification des actifs corporels au sein de
B. De rechercher le meilleur rapport qualité- prix. l’entreprise.
C. De faire jour la concurrence entre les fournisseurs. B. La demande (collecte) d’information interne et externe
D. Aucune réponse. de l’entreprise.
16- Un auditeur des achats peut : C. La vérification d’un calcul.
A. Mettre en évidence le risque de forte dépendance d’un D. L’observation sur le terrain.
seul fournisseur. E. Aucune réponse.
B. Mettre en évidence le risque de non mise en concurrence 20- Le montant des provisions constatées attire l’attention de
des fournisseurs. l’auditeur parce que :
A. La constatation des provisions est une obligation légale.
B. Il existe des méthodes de calcul précises. A. Capitaux propres négatives.
C. Il s’agit d’une simple estimation. B. Surendettement.
D. Les provisions figurent aussi bien à l’actif qu’au passif C. Indépendance des produits financiers.
du bilan. D. Détérioration du niveau de rentabilité.
E. Les provisions peuvent avoir une influence significative E. Aucune réponse.
sur le patrimoine de l’entreprise. 24- Entant qu’auditeur, quelle(s) situation(s) présente (ent) pour
21- Dans quel (s)cas parle-t-on d’une fraude ? vous une anomalie (incohérence) :
A. Une erreur sur la date d’enregistrement d’une opération. A. Report à nouveau =0
B. Une erreur sur le calcul arithmétique d’une opération. B. Provisions pour risques et charges =380
C. Le non enregistrement d’une sortie de stock. C. Capital social stable en 2013 et 2014.
D. L’enregistrement d’opérations fictives. D. Réserves stables en 2013 et 2014
E. Aucune réponse. E. Aucune réponse
22- Les dirigeants d’une entreprise ont arrêté les comptes 25- sur la base des informations financières sur l’entreprise
annuels de l’exercice après avoir procédé à une majoration Gama nous pouvons avancer que :
d’importante de la valeur des stocks et une minoration A. Le niveau des emprunts et celui des frais financiers sont
significative des opérations ainsi que des provisions dans ce cas proportionnels.
on peut parler de : B. Le niveau des emprunts et celui de résultat sont
A. Du respecte du principe de prudence. cohérents.
B. D’une dissimulation de la situation financière de C. La stagnation du niveau des provisions est normale.
l’entreprise. D. Le niveau des emprunts est justifié.
C. D’une fraude. E. Aucune réponse.
D. D’une erreur. 26- La dégradation du niveau de commandes en 2014 présente :
E. Aucune réponse. A. Un risque de suractivité.
GAMA est une entreprise qui opère dans le secteur de B. Un risque de sous-activité.
l’électroménager, suite à la forte concurrence, le niveau de C. Un risque de crédit client.
commande ne cesse de diminuer à cause des prix de ventes D. Un risque éventuel de conflit.
compétitifs proposés par les concurrents. Dans le tableau ci-dessous, E. Aucune réponse.
on note les éléments liés à la situation financière de l’entreprise 27- En 2014, les dirigeants ont arrêtés les comptes annuels de
GAMA (en milliers) : l’exercice après avoir procédé à une réduction importante de la
(2) Produits financiers =0 DH pour les deux exercices. valeur des stocks et des provisions dans ce cas on peut parler :
23- À la lecture des informations ci-dessus, en tant qu’auditeur, A. Du respect du principe de prudence.
vous pouvez mettre en évidence les risques de : B. Du respect du principe de propriété.
C. Du respect du principe de réalité. D. Un audit de financement.
D. Du respect du principe d’évaluation correcte. 33- Un audit opérationnel :
E. Aucune réponse. A Vise à évaluer la sincérité et la régularité des documents
28- lors de la rédaction de son rapport de fin d’émission, le CAC comptables.
peut éventuellement formuler pour l’entreprise GAMA, les B. Vise à assurer le respect des principes comptables.
recommandations suivantes : C. Vise à certifier les comptes.
A. L’augmentation des prix de vente. D. Aucune réponse.
B. La diminution des prix de vente. 34- Le rôle d'auditeur financier et comptable est de :
C. La diminution des réserves. A. Certifier les comptes.
D. L’annulation des provisions pour risques et charges. B. Assurer la sincérité et la régularité des comptes.
E. Aucune réponse. C. Assurer le bon fonctionnement de toutes les fonctions de
29- Un auditeur social s’intéresse à : l'entreprise.
A. Evaluer la procédure de recrutement. D. Donner son opinion sur les comptes.
B. Décider les augmentations de salaires. E. Aucune réponse.
C. Décider le licenciement des salaries non productifs. 35- Le rôle d'auditeur sociale est de :
D. Vérifier le respect d’une procédure de recrutement. A. Evaluer la procédure de recrutement.
30- Un audit social peut porter sur : B. Assurer la performance de fonction ressources humaines.
A. La politique de motivation.
C. Evaluer le climat social.
B. Les salariés.
D. Licencier un salarié non rentable.
C. Les conditions de travail.
E. Élaborer un processus de recrutement.
D. L’effectif de personnel.
36- Un commissaire aux comptes doit être :
E. Aucune réponse.
A. Un auditeur opérationnel.
31- Un audit financier et comptable est :
B. Un auditeur financier et comptables.
A. Un contrôle de financement.
C. Un auditeur externe.
B. Un contrôle des documents comptables.
D. Un expert-comptable.
C. Un contrôle de performance des fonctions de
E. Un certificateur des comptes.
l'entreprise.
D. Est un contrôle fiscal.
37- Les éléments probants sont :
32- Un audit opérationnel peut être :
A. Des normes.
A. Un audit financier.
B. Des procédures.
B. Un audit d'achat.
C. Des pièces justificatives.
C. Un audit social.
D. Des anomalies.
E. Des informations basées sur les preuves. D. La politique d'achat.
38-L'audit se base sur : E. Aucune de ces réponses.
A. Les normes. 44- L'audit production se porte sur :
B. Les standards. A. La trésorerie.
C. Les procédures. B. Efficacité de la production.
D. Les impressions personnelles. C. Rémunération des forces des ventes.
E. Des références. D. L'utilisation des ressources de l'entreprise.
39- L'auditeur se raisonne en termes de : E. Aucune de ces réponses.
A. Faits. 45- Audit social peut se porte sur :
B. Conséquences. A. Climat social.
C. Risques. B. Accidents du travail.
D. Prévisions. C. Les salaires.
40- Le rôle d'un auditeur est : D. Recrutement.
A. certifier les comptes. E. Licenciement.
B. Donner son opinion sur les comptes. 46- L'audit de finance se porte sur :
C. évaluer les procédures. A. Les documents comptables.
D. aider l'entreprise à maîtriser ses risques. B. Le choix de financement.
41- L'audit interne : C. Financement des activités.
A. Entre dans le cadre de la politique du contrôle interne. D. La rentabilité financière.
B. Est un audit conseil. E. Aucune réponse.
C. Est un contrôle prévention. 47- Un auditeur est tenu :
D. Est un examen dépendant. A. D'une obligation des moyens.
42- En matière d'audit d'achat dans quel cas y'a-t-il un risque : B. D'une obligation des moyens et des résultats.
A. Indépendance d'un seul fournisseur. C. D'une obligation de certification.
B. La dépendance d'un seul client. D. D'une obligation amélioration de la gestion.
C. La mise en concurrence des fournisseurs. E. Aucune de ces réponses.
D. Le nom mise en concurrence des clients. 48- Un auditeur d'achat doit mettre en évidence les risques
E. Aucune de ces réponses. suivants :
43- L'audit marketing se porte sur : A. Existence d'une procédure d'achat bien élaborée et bien
A. Budget promotionnel. respectée.
B. Les moyens de communication. B. Existence d'une procédure d'achat mal élaborée et bien
C. La gestion des relations clients. respectée.
C. Existence d'une procédure d'achat bien élaborée et mal 53- Dans la troisième phase du processus d'audit, l'auditeur
respectée. s'intéresse :
D. Manques des procédures d'achat. A. Aux risques de confusion des tâches.
E. Aucune de ces réponses. B. A l'appréciation du contrôle interne.
49- Un auditeur social peut mettre en évidence : C. Aux procédures.
A. Le manque des procédures de recrutement. D. Comptes CPC et Bilan.
B. Existence des procédures de recrutement bien élaborée E. A l'examen analytique.
et mal respectée. 54- le contrôle effectué par l'auditeur dans la troisième phase du
C. L'existence d'une procédure de recrutement. processus d'audit s'agit :
D. L'existence d'une procédure de recrutement bien A. d'un examen des comptes.
élaborée et bien respectée. B. appréciation du contrôle interne.
E. Aucune de ces réponses. C. examen analytique.
50- Audit social s'assure à : D. examen limité.
A. La variabilité des salaires. E. Revue analytique.
B. Que les salariés perçoivent même salaires. 55- Dans le cadre de la phase d'appréciation du contrôle interne
C. A une division des tâches claire. l'auditeur s'intéresse à :
D. La revue et le respect des procédures. A. Risque de non-respect des dispositions législative.
E. Licenciement des salariés non rentables. B. Risque de confusion des tâches.
51- Dans le cadre de la phase de la prise en connaissance C. Comptes CPC et Bilan.
générale de l'entité l'auditeur s'intéresse aux comptes : D. Orientation stratégique.
A. Confusion des tâches. E. L'évaluation des procédures.
B. Structure organisationnelle. 56- Dans la deuxième phase de la démarche d'audit l'auditeur
C. Taux de croissance du secteur d'activité. peut mette en évidence les risques suivants :
D. Organigramme. A. Risque du contrôle interne.
52- Dans la première phase de la démarche d'audit en peut B. Risque inhérent.
mettre en évidence les risques suivants : C. Risque de non détection.
A. Risque inhérent. D. Inexistence d'un contrôle réciproque.
B. Risque du contrôle interne. E. Les anomalies dans les comptes.
C. Risque des problèmes techniques. 57- La mission d'audit peut se passer :
D. Sur effectif du service comptable. A. Sans tout contrôler.
E. Risque de non détection. B. Sans tout vérifier.
D. Sans passé à la phase de connaissance générale.
E. Sans planification. A. Existence des procédures bien élaborées et mal
58- La mission d'audit ne peut se passer : respectées.
A. Sans tout contrôler. B. Existence des procédures mal élaborées et bien
B. Sans tout vérifier. respectées.
C. Sans passer à la phase d'évaluation du contrôle interne. C. Existence des procédures bien élaborées et mal
D. Sans passer à la phase de la revue analytique. respectées.
59- L'approche à risques vise à : D. Existence des procédures bien élaborées.
A. Délimiter les zones à risques. E. Existence des procédures bien respectées.
B. Eviter les zones de risques. 64- Lors de la phase d'examen analytique l'auditeur peut faire
C. Limiter les zones de risques. l'objet d'une comparaison entre le chiffre d'affaire et :
D. Déterminer les zones à risques. A. Le résultat de l'entreprise concurrente.
60- L'analyse à risque à permet : B. La TVA déclarée par l'entreprise.
A. Sélectionner les éléments à contrôler. C. L'orientation stratégique de l'entreprise.
B. Orienter le travail d'audit. D. Le chiffre d'affaires d'une entreprise concurrente.
C. Faire l'objet d'approfondissement. E. Aucune réponse.
D. De limiter les zones de risques. 65- L'auditeur peut faire l'objet d'une confirmation auprès :
61- Lors de la phase de connaissance générale de l'entité A. Des clients.
l'auditeur s'intéresse à : B. De dirigeant.
A. La structure organisationnelle. C. De directeur financier.
B. Élaborer le rapport. D. Des fournisseurs.
C. Évaluation des procédures. 66- L'auditeur ne peut pas faire l'objet d'une circularisation
D. D'examen des comptes. auprès :
62- Lors de la phase d'évaluation du contrôle interne l'auditeur A. Des clients.
peut mettre en évidence : B. Des dirigeants.
A. Existences des anomalies dans les comptes. C. Organismes sociaux.
B. Risque de confusion des tâches. D. Du service comptable.
C. L'existence des procédures. E. Banques.
D. Le non-respect des procédures.
E. Aucune réponse.
63- Lors de la phase d'appréciation du contrôle interne
l'auditeur peut mettre en cause :

Vous aimerez peut-être aussi