Commissariat Aux Comptes (CAC) Pr.

Charaf SAIDI

QCM- Révision CAC

1. « Consiste, d'une manière générale ; en un examen mené par un observateur sur la manière
dont est exercée une activité par rapport à des critères spécifiques à cette activité », ce
propos renvoie à la notion de…
A. Contrôle de gestion
B. Commissariat aux comptes
C. Audit
D. Contrôle interne
E. Aucune réponse

2. L’AFC s’intéresse …
A. à la vérification du respect des règles et principes comptables.
B. aux actions ayant une incidence sur la préservation du patrimoine,
C. aux actions ayant une incidence sur les saisies et traitements comptables
D. aux actions ayant une incidence sur l'information financière publiée par l'entreprise.
E. Aucune réponse

3. L’AFC …
A. peut correspondre à une mission contractuelle confiée à un professionnel et portant sur
la révision comptable.
B. Peut être une mission légale conduite par un commissaire aux comptes.
C. se limite au seul commissariat aux comptes obligatoire
D. ne peut porter sur un événement particulier ou avant de s'engager dans un projet
déterminé.
E. Aucune réponse

4. Un examen limité…
A. permet d'avoir un premier diagnostic de la situation ou d'aider à la prise d'une
décision urgente.
B. se penche sur un aspect particulier des contrôles.
C. Se base sur des procédures convenues où l'auditeur met en œuvre des procédures
d'audit définies d'un commun accord entre lui, l'entité et tous les tiers concernés
pour communiquer les constatations résultant de ses travaux.
D. Est un examen dans lequel le professionnel utilise ses compétences de comptable,
et non celles d'auditeur, en vue de recueillir, classer et faire la synthèse
d'informations financières.
E. Aucune réponse

5. Une mission d'examen …

A. permet d'avoir un premier diagnostic de la situation ou d'aider à la prise d'une
décision urgente en se penchant sur un aspect particulier des contrôles.
B. Se base sur des procédures d’audit convenues à l’avance.
C. Est un examen se basant sur un commun accord entre l’auditeur, l'entité et tous les
tiers concernés pour communiquer les constatations résultant de ses travaux.
D. Est un examen dans lequel le professionnel utilise ses compétences de comptable,
et non celles d'auditeur, en vue de recueillir, classer et faire la synthèse
d'informations financières.
E. Aucune réponse

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6. Une mission de compilation …

A. permet d'avoir un premier diagnostic de la situation ou d'aider à la prise d'une
décision urgente en se penchant sur un aspect particulier des contrôles.
B. Est une mission dans laquelle l'auditeur met en œuvre des procédures d'audit
définies d'un commun accord entre lui, l'entité et tous les tiers concernés pour
communiquer les constatations résultant de ses travaux.
C. Est un examen dans lequel le professionnel utilise ses compétences de comptable,
et non celles d'auditeur, en vue de recueillir, classer et faire la synthèse
d'informations financières.
D. une mission légale qui devrait être conduite obligatoirement par un commissaire
aux comptes.
E. Aucune réponse

7. Cochez le ou les énoncé(s) faux :

A. Le titre de commissaire aux comptes qui ne peut être porté au Maroc que par des
experts-comptables
B. Les travaux d’AFC et de CAC sont diligentés par des intervenants d’une même
nature
C. dans l'exercice de leurs missions, les experts comptables engagent leurs
responsabilités civile, disciplinaire et pénale.
D. L’AFC est un audit légal tandis que le CAC est un audit contractuel.
E. Aucune réponse

8. « La conformité des comptes » renvoie à/au…

A. la sincérité des informations au regard des opérations réalisées par l'entreprise,
B. respect des aux règles comptables et lois en vigueur,
C. l'image fidèle donnée par les états de synthèse ;
D. La diligence dans l’exercice de la vérification des comptes et opérations de
l'entreprise et de sa situation financière.
E. Aucune réponse

9. L’audit légal est…

A. un audit optionnel.
B. un audit obligatoire.
C. un audit interne.
D. un audit externe
E. Aucune réponse

10.En matière d’audit légal, l’auditeur est tenu d’une obligation de (d’)…
A. détection de fraudes
B. amélioration de la gestion
C. moyens
D. résultats.
E. Aucune réponse

11.Les risques à apprécier dans une mission d’AFC peuvent être associés à/aux…
A. décisions prises par les dirigeants et à la traduction chiffrée des événements passés et
futurs;
B. limites intrinsèques du contrôle interne;
C. moyens mis en œuvre par le CAC

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D. la situation de l'entreprise.
E. Aucune réponse

12.Le risque de non-détection d'une anomalie significative peut être attaché au(x)/à…
A. décisions prises par les dirigeants
B. la traduction chiffrée des événements passés et futurs
C. l’obligation de moyens et non de résultat e au (x) risque(s) de…
D. la situation de l'entreprise
E. Aucune réponse

13.Une anomalie significative est une anomalie pouvant ….

A. altérer l'appréciation du résultat
B. corriger les comptes
C. modifier la situation financière de l’entreprise
D. impacter la présentation des états de synthèse
E. Aucune réponse

14.« Le professionnel utilise ses compétences de comptable, et non celles d'auditeur, en

vue de recueillir, classer et faire la synthèse des informations financières ». Ceci
correspond à …
A. un examen limité
B. une mission d'examen
C. une mission de compilation
D. une mission d’audit interne
E. Aucune réponse

15.Ne fait (font) pas partie des missions du CAC :

A. Le Contrôle des comptes
B. La notation du personnel
C. La vérification du rapport des organes de direction
D. La garantie de l’égalité entre actionnaires
E. Aucune réponse

16. « Le risque de cessation de paiement » est un élément défavorable au maintien de la

continuité d’ordre…
A. commercial
B. industriel
C. social
D. financier
E. Aucune réponse

17.Laquelle (lesquelles) des propositions suivantes correspond (ent) à l’audit financier

et comptable (AFC) :
A. s’intéresse aux actions ayant une incidence sur la préservation du patrimoine, sur
les saisies et traitements comptables ainsi que sur l'information financière publiée
par l'entreprise.
B. évalue la pertinence de la stratégie eu égard à différents facteurs tels l’évolution de
l’environnement externe, l’état de l’organisation interne ou les ressources
disponibles

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C. Apporte les preuves d'une mauvaise gestion (fraude, malversation…) ou porter un

jugement critique sur une opération de gestion ou les performances d'une personne
ou d'un groupe de personnes
D. Correspond soit à une mission contractuelle confiée à un professionnel soit à une
mission légale conduite par un commissaire aux comptes.
E. Aucune réponse

18. « L’entreprise a l’obligation de prendre en compte toute dépréciation d’actif ou

risque de passif qui pèse sur l’entreprise, et de retarder la constatation de tout
produit ou plus-value jusqu’à sa réalisation définitive. » Ceci correspond au principe
de …
A. clarté
B. prudence
C. permanence des méthodes
D. spécialisation des exercices
E. Aucune réponse

19.Lesquels des principes suivants régissent les conditions de la conduite de la

comptabilité dans le temps :
A. Principe d’importance significative
B. Principe de continuité d’exploitation
C. Principe du coût historique
D. Principe de prudence
E. Aucune réponse

20.Le commissariat aux comptes …

A. Est un audit légal
B. audit contractuel.
C. ne peut être porté au Maroc que par des experts-comptables
D. est un audit réalisé par un auditeur internes, de manière régulière ou pour répondre
à des besoins spécifiques.
E. Aucune réponse

21.La mise en œuvre de la mission de CAC repose sur :

A. La correction des écritures comptables
B. l'appréciation des risques de nature à engendrer des anomalies significatives,
C. l’obligation de résultat et non de moyens
D. La rédaction des procédures comptables
E. Aucune réponse

22.Les risques d’une mission d’AFC peuvent être associés à (aux) …

A. décisions prises par les dirigeants et à la traduction chiffrée des événements passés
et futurs;
B. limites intrinsèques du contrôle interne;
C. la situation de l'entreprise.
D. non-détection d'une anomalie significative
E. Aucune réponse

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23.Cocher l’énoncé faux :

A. L’acronyme IFAC signifie : International Federation of Accountants Company
B. L’IFAC regroupe des organisations professionnelles de l’Europe et l’Amérique.
C. L’IFAC sert les buts lucratifs de l’ensemble de ses membres.
D. L’IFAC poursuit et renforce la profession comptable au niveau mondiale.
E. Aucune réponse

24.Cocher l’énoncé faux :

A. OEC marocain n’est pas membre de l’IFAC.
B. Les Institutions membres de l’IFAC ne peuvent appliquer des règles moins strictes
que celles prévues dans le code de l’IFAC.
C. L’éthique rassemble, de manière organisée, les règles élevées qui fondent
l’identité, la pratique professionnelle et l’estime confraternelle.
D. La déontologie correspond à l’ensemble des devoirs et règles applicables à chacun
des membres de l’OEC.
E. Aucune réponse n’est incorrecte

25.Le code déontologique de l’IFAC est organisé en…

A. Deux parties
B. Trois parties
C. Quatre parties
D. Cinq parties
E. Aucune réponse

26.La Partie A code déontologique:

A. illustre la façon dont le cadre conceptuel s’applique dans certaines situations
B. donne des exemples de mesures de sauvegarde susceptibles de répondre de façon
appropriée aux menaces de nature à porter atteinte à la conformité aux principes
fondamentaux
C. fixe les principes fondamentaux de déontologie professionnelle applicables aux
experts comptables
D. propose un cadre conceptuel que le professionnel comptable doit appliquer pour
identifier, évaluer, éliminer ou réduire les menaces risquant de compromettre le
respect des principes fondamentaux
E. Aucune réponse

27.Lequel (lesquels) des propos suivants renvoie(nt) au principe « d’intégrité » :

A. « Être droit et honnête dans l'ensemble de ses relations professionnelles et relations
d’affaires »
B. « ne laisser ni parti pris, ni conflit d’intérêts, ni influence inopportune de tiers
l’emporter sur son jugement professionnel ».
C. « Mise à jour des connaissances, qualité des services, diligence et conformité avec
les normes techniques et professionnelles en vigueur »
D. « Respect du caractère confidentiel des informations recueillies dans le cadre de
ses relations professionnelles et relations d’affaire ».
E. « se conformer aux lois et réglementations applicables et éviter tout acte
susceptible de jeter le discrédit sur la profession ».
F. Aucune réponse

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28.Lequel (lesquels) des propos suivants renvoie(nt) au principe « d’objectivité» :

A. « Être droit et honnête dans l'ensemble de ses relations professionnelles et relations
d’affaires »
B. « ne laisser ni parti pris, ni conflit d’intérêts, ni influence inopportune de tiers
l’emporter sur son jugement professionnel.
C. « Mise à jour des connaissances, qualité des services, diligence et conformité avec
les normes techniques et professionnelles en vigueur ».
D. « Respect du caractère confidentiel des informations recueillies dans le cadre de
ses relations professionnelles et relations d’affaire ».
E. « se conformer aux lois et réglementations applicables et éviter tout acte
susceptible de jeter le discrédit sur la profession ».
F. Aucune réponse

29.Lequel (lesquels) des propos suivants renvoie(nt) au principe de « Compétence et

diligence professionnelles » :

A. « Être droit et honnête dans l'ensemble de ses relations professionnelles et relations

d’affaires »
B. « ne laisser ni parti pris, ni conflit d’intérêts, ni influence inopportune de tiers
l’emporter sur son jugement professionnel ».
C. « Mise à jour des connaissances, qualité des services, diligence et conformité avec
les normes techniques et professionnelles en vigueur »
D. « Respect du caractère confidentiel des informations recueillies dans le cadre de
ses relations professionnelles et relations d’affaire ».
E. « se conformer aux lois et réglementations applicables et éviter tout acte
susceptible de jeter le discrédit sur la profession »
F. Aucune réponse

30.Lequel (lesquels) des propos suivants renvoie(nt) au principe « de confidentialité: » :

A. « Être droit et honnête dans l'ensemble de ses relations professionnelles et relations
d’affaires »
B. « ne laisser ni parti pris, ni conflit d’intérêts, ni influence inopportune de tiers
l’emporter sur son jugement professionnel ».
C. « Mise à jour des connaissances, qualité des services, diligence et conformité avec
les normes techniques et professionnelles en vigueur ».
D. « Respect du caractère confidentiel des informations recueillies dans le cadre de
ses relations professionnelles et relations d’affaire ».
E. « se conformer aux lois et réglementations applicables et éviter tout acte
susceptible de jeter le discrédit sur la profession ».
F. Aucune réponse

31.Lequel (lesquels) des propos suivants renvoie(nt) au principe de « Comportement

professionnel » :

A. « Être droit et honnête dans l'ensemble de ses relations professionnelles et relations

d’affaires »
B. « ne laisser ni parti pris, ni conflit d’intérêts, ni influence inopportune de tiers
l’emporter sur son jugement professionne »l.

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C. « Mise à jour des connaissances, qualité des services, diligence et conformité avec
les normes techniques et professionnelles en vigueur ».
D. « Respect du caractère confidentiel des informations recueillies dans le cadre de
ses relations professionnelles et relations d’affaire ».
E. « se conformer aux lois et réglementations applicables et éviter tout acte
susceptible de jeter le discrédit sur la profession ».
F. Aucune réponse

32.lorsque certains pays disposent de règles ou recommandations différentes de celles

du Code de l’IFAC …
A. les experts comptables de ce pays devront être informés de ces différences.
B. les experts comptables doivent se conformer aux règles et recommandations les
moins strictes.
C. les experts comptables peuvent opter des règles de leurs choix.
D. les EC doivent se conformer aux règles et recommandations les plus strictes.
E. Aucune réponse

33. Laquelle (lesquelles) des lois suivantes règlemente(ent) la Profession d'expert-

comptable au Maroc :
A. lois 15-89
B. La loi 17 -95
C. la loi 5 – 96
D. Loi 32-10
E. Aucune réponse

34.Le Code de déontologie est publié par L’IFAC en…

A. 1993
B. 2004
C. 2009
D. 2013
E. Aucune réponse

35.Les principales missions de l’OEC …

A. Réglementation de la profession d'expert-comptable
B. la sauvegarde des principes et traditions de moralité, de dignité et de probité
C. Le au respect par ses membres des lois, régissant l’exercice de la profession
D. Le renforcement de la profession comptable au niveau mondiale.
E. Aucune réponse

36.Adoption du code IFAC par l’OEC était en …

A. 1993
B. 2004
C. 2009
D. 2013
E. Aucune réponse
37.l’Ordre des Experts Comptables est membre de l’IFAC depuis…
A. 1993
B. 2004
C. 2009

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D. 2013
E. Aucune réponse
38.« l’ensemble des devoirs et règles applicables à chacun des membres de l’OEC:
Relations professionnelles - normes de comportement professionnel - principes
applicables à l’exercice des missions » ; ceci renvoie à la notion de...
A. L’éthique:
B. La déontologie
C. L’indépendance
D. la transparence
E. Aucune réponse

39.« Rassemble, de manière organisée, les règles élevées qui fondent l’identité, la
pratique professionnelle et l’estime confraternelle » ; ceci renvoie à la notion de...

A. L’éthique
B. La déontologie
C. L’indépendance
D. la transparence
E. Aucune réponse

40.La désignation d’un commissaire aux compte dans une SA est…

A. facultative
B. peut se limiter à 1
C. devrait être au moins 2 dans certains cas
D. devrait être au moins 3 certains cas
E. Aucune réponse

41.Dans une société d’assurance la désignation d’un commissaire aux compte…

A. devrait être au minimum 1
B. devrait être au minimum 2
C. devrait être au minimum 3
D. devrait être au minimum 4
E. Aucune réponse

42.La désignation d’un commissaire aux comptes dans une société faisant appel public à
l'épargne peut…
A. être facultative
B. se limiter à 1
C. dépasser 2
D. être au moins 2 dans certains cas
E. Aucune réponse

43.L'intervention d'un CAC dans les SNC, en qualité de réviseur légal est prévue par la
loi…
A. n° 5 - 96 (promulguée le 13/02/1997) dans son article 12
B. n° 17 - 95 (promulguée le 30/08/1996) en son article 159
C. n° 5 - 96 (promulguée le 13/02/1997) dans son article 80
D. n° 5 - 96 (promulguée le 13/02/1997) dans son article 159
E. Aucune réponse

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44.L'intervention d'un CAC dans les SA, en qualité de réviseur légal est prévue par la
loi…
A. n° 5 - 96 (promulguée le 13/02/1997) dans son article 12
B. n° 17 - 95 (promulguée le 30/08/1996) en son article 159
C. n° 5 - 96 (promulguée le 13/02/1997) dans son article 80
D. n° 5 - 96 (promulguée le 13/02/1997) dans son article 159
E. Aucune réponse

45.L'intervention d'un CAC dans les SARL, en qualité de réviseur légal est prévue par
la loi…
A. n° 5 - 96 (promulguée le 13/02/1997) dans son article 12
B. n° 17 - 95 (promulguée le 30/08/1996) en son article 159
C. n° 5 - 96 (promulguée le 13/02/1997) dans son article 80
D. n° 5 - 96 (promulguée le 13/02/1997) dans son article 159
E. Aucune réponse

46.Dans une SNC la désignation d’un commissaire aux comptes…

A. est une décision qui peut être prise par deux tiers des associés.
B. est obligatoire dans certains cas
C. peut être demandée au président du tribunal par un ou plusieurs associés
représentant au moins le quart du capital
D. peut se limiter à 1 CAC
E. Aucune réponse

47.Dans une SARL, la désignation d’un commissaire aux comptes…

A. N’est pas obligatoire si le chiffre d’affaires ne dépasse pas cinquante millions de
dirhams
B. Devrait être au moins 2 si le chiffre d’affaires dépasse cinquante millions de
dirhams
C. peut être demandée au président du tribunal, statuant en référé, par un ou
plusieurs associés représentant au moins les deux tiers du capital
D. est facultative dans tous les cas
E. Aucune réponse

48.Le mandat de CAC ne peut être exercé par :

A. Un comptable (fiduciaire)
B. Un groupement de professionnels d’EC.
C. Une personne morale
D. Une personne physique
E. Aucune réponse

49.Le CAC peut refuser les mandats sur décision de justice si…
A. le mandat ne rentre pas dans le cadre de l’exercice de la profession ;
B. l’affaires ne concerne pas un de ses clients ;
C. il y une incompatibilité et non une interdiction
D. l’affaire concerne son épouse
E. Aucune réponse

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50.Les EC ne peuvent …
A. refuser d’exercer leurs mandats sur décision de justice.
B. donner des cours de vacation et animer des conférences.
C. publier des articles dans les revues, journaux ou périodiques avec rémunération
fixe.
D. consacrer leur activité en majeure partie à des travaux concernant une seule
entreprise, un seul groupe financier ou une seule communauté d’intérêts.
E. Aucune réponse

51.Les EC peuvent faire des publications dans les revues, journaux ou périodiques en cas…
A. De collaboration libre avec rémunération fixe ;
B. D’existence de contrat avec l’administration ou la rédaction de la publication.
C. D’absence de rémunération fixe ;
D. De capitalisation sur des travaux d’audit d’un client ;
E. Aucune réponse

52.Quel(s) propos renvoie(nt) à l’exigence de « compétence » des EC:

A. Maintien et mise à jour des connaissances pour une bonne qualité du service
B. Suivi des développements techniques, professionnels et des métiers pertinents;
C. Le perfectionnement par la formation professionnelle continue.
D. Agir conformément à la mission, avec responsabilité, soin, et dans les délais.
E. Aucune réponse

53.Quel(s) propos renvoie(nt) à l’exigence de « diligence » des EC:

A. la responsabilité d’agir conformément à la mission, avec soin, et dans les délais.
B. Le perfectionnement par la formation professionnelle continue.
C. La prise des mesures raisonnables pour s’assurer que les personnes travaillant
sous son autorité professionnelle, disposent de la formation et de la supervision
appropriées.
D. Suivi des développements techniques, professionnels et des métiers pertinents;

54.Y a-t -il « incompatibilité » de l’EC (CAC) dans les cas suivants ?
A. Etre salarié dans une société commerciale ;
B. Etre salarié auprès d’un expert-comptable indépendant
C. Etre salarié auprès d’une société d’experts comptables
D. Etablir des actes de commerce ou d’intermédiaire liés à l'exercice de la
profession
E. Etre propriétaire ou dirigeant d’un cabinet d’expertise comptable

55. Le « Budget-Temps »…
A. correspond aux règles d’incompatibilité et d’indépendance de l’EC dans
l’exercice des missions d’audit légal
B. est le nombre d’heures de travail estimées nécessaires à l’exécution du
programme de travail de la mission
C. est proposé par le client du/des EC
D. peut être révisé à la hausse en cas de diligences ou interventions supplémentaires
E. Devrait être majoré de 50% en cas de désignation de deux EC eu égard aux
considérations de coordination des travaux et de revue croisée des dossiers de
travail.

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56.Cocher le ou les énoncés faux :

A. Toute publicité personnelle d’un EC est autorisée sauf pour les annonces
professionnelles liées à des actions de formation ou de recrutement
B. Le papier à en-tête d’un EC peut comprendre la mention « expert auprès des
tribunaux »
C. Les EC pourront faire apposer une plaque là où ils exercent indiquant le nom et la
mention du Conseil Régional dont il relève
D. Les Conseils de l’Ordre ne peuvent effectuer ou autoriser une publicité collective
qu’ils jugent utile pour l’intérêt de la profession
E. Il est interdit à tout EC de remplir un mandat politique ou une mission
administrative

57.Vrai ou faux ? Les experts comptables …

A. peuvent déclarer au Conseil Régional dont ils relèvent leurs mandats de
certification des comptes légale ou contractuelle : V - F
B. sont tenus à demander aux clients des provisions sur honoraires : V - F
C. autorisés à être payés sous forme d’avantages, commissions ou participations : V
-F
D. peuvent exercer le droit de rétention de livres et documents comptables
conformément au droit commun : V - F
E. sont tenus de payer une cotisation directement au Conseil National V - F
F. sont tenus d’informer le président du CR pour toutes poursuites administratives
ou judiciaires V – F
G. sont tenus de rémunérer le stagiaire en fonction des services fournis sans être
inférieure au minimum fixée, le cas échéant, par le Conseil National de l’OEC.
V–F

58. « Vrai » ou « Faux » ? La société d’Experts Comptable SEC.Sarl membre de l’OEC,

est titulaire d’une mission de CAC auprès de la société A. De ce fait, SEC.Sarl…
Vrai Faux
1. peut fournir des conseils à la société B filiale de A si lesdits conseils
rentrent dans le cadre des diligences de leur mission d’audit légal.
2. ne peut contribuer à l’élaboration des travaux de comptabilité auprès de la
société A.
3. peut fournir à A des conseils et avis relatifs aux procédures de contrôle
interne en vigueur.
4. ne peut donner des avis sur les procédures du système comptable à
envisager dans les années prochaines.
5. peut faire des ajustements pour corriger les insuffisances décelées au
niveau des états financiers.
6. peut émettre un avis sur les propositions de correction des erreurs dans les
données comptables
7. peut accomplir un acte de gestion ou d’administration de B
8. peut se substituer à l’un des organes de gestion de A.
9. ne peut tenir la comptabilité de A et établissement ses états de synthèse
10.peut élaborer des communications financières sur les états financiers de A
11.peut concevoir des procédures de contrôle interne de B
12.ne peut effectuer des travaux d’actuariat en dehors de celles nécessaires à
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l’accomplissement de la mission d’audit légale

13.peut concevoir ou mettre en place un système d’information pour A et B
14.peut donner à A des conseils juridiques, financiers, fiscaux ou de
financement
15.ne peut participer aux opérations de recrutement du personnel.
16.peut rédiger des actes juridiques pour B.
17.ne peut conserver des titres, de biens de valeurs ou de fonds de la société
A
18.peut représenter les intérêts de la société A.
19.ne peut représenter des intérêts de l’un des dirigeants de A
20.peut fournir des prestations d’assistance dans la négociation ou de la
recherche d’investisseurs pour des opérations en capital ou de recherche
de financement ;
21.ne peut réaliser pour A et B des opérations d’expertise privée
22.ne peut autoriser de ses associés à sous-traiter une des activités de la
société A.
23.peut recruter un EC dont le conjoint travaille dans A
24.peut avoir un associé dont le fils est apporteur d’un capital en nature dans
la société B
25.peut avoir un associé dont le grand père est membres du conseil de
surveillance de la société B
26.ne peut autoriser un de ses associés à détenir des valeurs mobilières
émises par B.
27.peut autoriser un de ses associés à souscrire un contrat d’assurance dans
les conditions de marché auprès de A.
28.peut avoir un niveau d’honoraires en provenance de A important par
rapport au total des honoraires du cabinet.
29.peut autoriser un de ses associer à contracter un emprunt auprès d’une
société contrôlée par B.
30.ne peut facturer et encaisser des honoraires à l’avancement des travaux de
la mission d’audit
31.ne peut nommer un des associés en tant que co-commissaire comptes

59.En cas de co-CAC, …

A. Les CAC peuvent saisir le CR en cas de désaccord sur la répartition des honoraires
avec des autres co-CAC.
B. Les CAC peuvent se concerter afin de planifier en commun la mission
C. Les CAC ne peuvent s’informer mutuellement de leurs travaux
D. Les CAC ne peuvent confronter leurs conclusions
E. Les CAC ne peuvent examiner réciproquement leurs dossiers de travail.
F. Les CAC peuvent remplir séparément leur mission.
G. Les CAC ne peuvent établir un rapport commun
H. Les CAC peuvent indiquer dans le rapport les différentes opinions exprimées en cas de
désaccord entre eux.

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60.En cas de recours des CAC à l’assistance par d’autres EC, ces derniers …
A. peuvent, être désignés par l’entreprise auditée.
B. Exercent leurs diligences sous la responsabilité du CAC titulaire de la mission légale.
C. peuvent, être désignés par les CAC à leur choix.
D. Peuvent être responsable du déroulement de la mission.

61.Les CAC dans les sociétés commerciales peuvent être récusés…

A. par un ou plusieurs actionnaires représentant au moins 5% du capital social ;
B. par le président du tribunal pour justes motifs
C. par l’Autorité Marocaine des Marchés de Capitaux (AMMC) la société fait appel
public à l’épargne.
D. Sur demande du directeur de l’entreprise

62.Le délai pour formuler une de demande récusation d’un CAC est de …. à compter
de la date de leur désignation par l’AG des actionnaires.
A. 15 jours
B. 30 jours
C. 60 jours
D. 90 jours

63.En cas de démission, le CAC…

A. Est tenu d’exposer de manière explicite les motifs de sa démission
B. Soumets un document au tribunal.
C. Transmets un document à l’AMMC pour les sociétés faisant appel public à l’épargne.
D. Soumets un document à l’AG

64.le CAC titulaire de la mission d’audit légal peut démissionner …

A. pour des raisons de santé
B. en cas de radiation de l’OEC
C. pour se soustraire à l’application de ses obligations légales
D. en cas d’irrégularités graves rectifiées,
E. sans préavis dans certain cas
F. avec préavis de 15jours

65.En cas de non renouvellement du mandat d’un CAC,…

A. Le CAC sortant peut demander une audience auprès de l’AG
B. Le CAC entrant n’est pas tenu de vérifier le paiement intégral des honoraires de son
prédécesseur
C. Le CAC entrant est tenu de s’informer sur les raisons et conditions du remplacement
de son prédécesseur
D. Le CAC entrant a le droit de consulter les rapports de son (ses) prédécesseur(s)

66.Cochez les phrases justes :

A. Les CAC ne peuvent être administrateurs des sociétés dont ils contrôlent les comptes.
B. Les CAC peuvent être directeurs généraux des sociétés qui détiennent moins de 10%
du capital de la société dont ils contrôlent les comptes.
C. Les CAC ne peuvent être administrateurs des sociétés qui détiennent 10% ou plus du
capital de la société dont ils contrôlent les comptes qu'après un délai minimum de 5
ans à compter de la fin de leur fonction

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Commissariat Aux Comptes (CAC) Pr. Charaf SAIDI

D. Les personnes ayant été membres du directoire d'une société anonyme ne peuvent être
désignées CAC de cette société dans les dix années au moins après la cessation de
leurs fonctions.
E. Les personnes ayant été directeurs généraux d'une société anonyme ne peuvent, être
CAC des sociétés détenant 20% ou plus du capital de la société dans laquelle elles
exerçaient lesdites fonctions
F. Le CAC ne peut être administrateurs, des sociétés qu'ils contrôlent ou qui détiennent
10 % de ces dernières qu'après un délai minimum de 10 ans.
G. L’administrateur ne peut être CAC des sociétés qu'ils gèrent ou qui détiennent plus
10% de ces dernières qu'après un délai minimum de 5ans.

67.Le rapport du CAC …

A. Peut être présenté oralement
B. Doit être nécessairement écrit.
C. doit en être lu lors de l’AG des associés
D. doit être approuvé par le conseil d’administration ou le directoire

68.La date portée sur le rapport…

A. engage la responsabilité du commissaire aux comptes pour ce qui concerne les
événements avant l’arrêt des comptes
B. doit correspondre à la date de fin d’exercice
C. doit précéder la date de la réunion de l'assemblée générale d’au moins un (1) mois
D. peut-être antérieure à la date de signature ou d'approbation des états de synthèse par la
direction
E. Aucune réponse

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