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Introduction générale :

Ch1. LES CONCEPTS FONDAMENTAUX DE L'AUDIT


1. Définition
2. Les normes
3. Cadre conceptuel des missions de l'audit et services connexes
4. Les assertions d'audit
5. Le risque d'audit et la matérialité
6. Mise en situation

Ch2. LA DÉMARCHE DE L'AUDIT


1. Présentation générale de l'approche d'audit
2. Prise de connaissance de l'entité et travaux préparatoire
3. Évaluation du contrôle interne et élaboration de la stratégie d'audit
4. Le caractère probant des éléments collectés
5. Travaux de fin de mission
6. Mise en situation

Ch3. MISE EN ŒUVRE DES TECHNIQUES ET DES OUTILS


D'AUDIT
1. Les procédures d'examen analytique
2. Les techniques de description des cycles
3. Les techniques de confirmation directes ou circularisations
4. Les dossiers et feuille de travail
5. Test sur le fonctionnement des contrôles
6. Techniques de validation des comptes
7. Mise en situation

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Normalisation : les normes comptables ;
Les sumériens
Hammourabi : le 1er plan comptable ; les codes de Hammourabi ; II siècle avant JC, les
gouverneurs romains ont nommé des questeurs (juges ; magistrat) chargé de contrôler les
comptabilités de toutes les provinces.
Audit= Audit= écouter le questeur ;
XIX s : les grandes entreprises industriel et financières
Les pratiques de l’audit :
1. Le pointage détaillé : un full audit= total
- Comparer les écritures par rapport aux pièces justificatives
- exactitude des comptes et le principe de la partie double.
2. Le contrôle analytique : 20èmeS
En audit on parle d'organisation composé de différentes parties prenantes ;
Une analyse financière des comptes (les stocks ; les créances client ; les immobilisation)
Ex :
• Les encours clients élevés : problème de recouvrement
• Les clients douteux et litigieux
• Les prévisions (la couverture ; l'assurance)
• La loi de Pareto pour l’analyse : selon l'importante relative du poste de stock par
rapport à l’actif ; 20% du stock qui représente 80% du stock
• Les auditeurs sont payés par rapport au minutage des missions
• Assistance à l'inventaire physique
• Circularisation des clients de l’entreprise : déplacer chez les clients de
l'entreprise
3. L’approche par les systèmes :
Apparition du contrôle interne pour faciliter la démarche de l'audit
Détecter les zones de doute

Le contrôle interne :
Ensemble de moyens ayant pour le but d'assurer la fiabilité de l’information ; me respect des
instructions de la direction et de la protection du patrimoine.
Les moyens utilisés :
a. Les plans d'organisation-séparation des responsabilités : entre opérationnel,
sauvegarde, comptable et contrôle.

b. Les méthodes et les procédures prescrites ou autorisées par la direction Générale


: note de service ; manuel de procédure administrative ; programme d'inscription
et de contrôle.
4. L’audit informatique (audit à travers l'information)
Assurer le bon fonctionnement des SI
L’efficacité des contrôles intégrés dans ces SI afin de vérifier que l'information
comptable est complète et digne de confiance
L’inviolabilité des informations après traitement
Les problèmes de l’informatique :
Le concept de séparation est responsabilité= les codes d'accès
5. L'approche par les risques
Est due à une volonté des professionnels d'optimiser l'efficacité de leur travail.
Les causes :
• Insuffisance d'auditeur pour effectuer toutes les missions

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• La pression exercer sur les auditeurs par les autorités de surveillance pour
l=améliorer la qualité globale de leur mission : la société INRONE La crise de
2007 ; la crise supprime ; le cabinet ERNEST & Brothers ; la vente des
surprimes au moyen orient ; les élections américaine Jorge. Boch fils ;
• La contestation des honoraires des auditeurs par les entreprises-clientes qui
exigent une négociation sur une base concurrentielle (réduire au maximum la
durée de la mission)
• Instaurer un contrôle permanant
• Améliorer les dispositifs de contrôle
• Le contrôle de gestion

La force de l'auditeur est dans sa maitrise de la méthodologie de l'audit


Formation ; expérience ; flaire
Les audits :
Audit de régularité
Audit d'efficacité
Audit de management
Les cycles de l’audit :
Achat
Stock
Client
Trésorerie
Paiement
Immobilisation
Évariste Ahouangansi" audit et révision des comptes, aspect internationaux et espace OHADA" cours
et cas pratiques corrigés. Guide pour les professions ; mon expert Abidjan
Rifqi, sadqi Analyse financière et finance d'entreprise

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Les études de cas :

Étude de cas 1 :
L'audit interne s'intéresse à toutes les opération e l’entreprise ; d’où l'apparition de la notion
de l'audit opérationnel
Il recherche aussi loin qu'il faut dans l'organisation de l'entreprise, les causes profondes des
phénomènes qu'il a observé dans toute l'entre car il vise l'amélioration d'un système.
2. Nous ne savon pas le type de société M ; Bachir gère. Nous donnerons donc les
conditions générales concernant une SARL et SA qui parle d'une incompatibilité entre les
fonctions d'un commissaire aux comptes et les fonctions du gérant, d'associé, de DG,
d'administrateur et d'administrateur général.
a. Tout SARL présentant un CA sup à 50M dh et les SA sont obligés de
nommer au moins un commissaire aux comptes.
b. La définition de l’audit (voir le cours) ; l'expression d’une opinion motivée
3. Les raisons de la normalisation des pratiques :
a. Le droit que les opérateurs économiques ont de disposée d’information
comptable fiable
b. L’importance des infos en : matière de preuve, de garantie de fiscalité de
statistique, d décision stratégique
c. L’obligation de présenter les états financiers selon une norme comptable qui
nécessite l'intervention des professionnel abaisés
d. L’indépendance nécessaire à la formulation d'une opinion objective
e. L’impossibilité de réaliser un contrôle exhaustif à cause du volume du travail
et du budget de temps
Apparait donc que soit élaborer des normes de comportement de travail et du
rapport(confidentiel)
4. Les conditions du risque :
a. Aléatoire
b. Quantifiable
5. Les moyens d'assurer les comptes : l'audit financier, par un professionnel diplômé
9. Plusieurs raisons peuvent pousser les opérateurs éco :
a. Audit légal CAC
b. La détection de la fraude
c. L’amélioration de la gestion
d. La confiance des bailleurs(bourse)
0. Risque d’audit : le risque ou la probabilité de mettre une opinion inappropriée sur les états
financiers. Le plan de mission doit intégrer un niveau de diligence qui assurer une
couverture optimale du risque.
1. Le risque est en fonction des risques :
. Inhérent, propre à l'entreprise et son environnement.
A. Non contrôle ; lié au système comptable et d'information de l'entreprise et à sa capacité
d'assurer la prévention et la correction des erreurs.
B. Non détection : lié au programme mise par l'auditeur et sa capacité à détecter ses erreurs.
0. Réside dans le fait que le risque de non-détection est en fonction du programme d'audit et
leur capacité à détecter des anomalies, ce risque est mention" dans la lettre de mission ; si
le programme d'audit est faible alors le risque d'audit est élevé.
1. Mettre une opinion motivée…
2. Efficacité ; efficience ; économie

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3. Sont enregistré dans les comptes ; en cohérence avec les règles comptable assertions/
comptabilisation (exactitude et exhaustivité)
4. .
5. .
. Signataire du dossier : gère le contrat direct avec le client ; assure la conduite
générale de la mission ; superviser les travaux.
a. Chef de mission : assure la conduite de la mission dans son délai, supervise
les assistants.
b. Réviseurs principaux ! Organise les délais des travaux ; examine et assiste le
travail des assistants.
c. Reviseur assistant : des exécutants qui travaille sur la base des instruction
détaillées.

Examens : Questions directes :


I. Les 5 principes du contrôle interne :

Organisation et séparation des taches

Les autorisations

La comptabilisation des opération(exhaustivité)

Protection des actifs

Réalité physique

II. Risque du cimul des taches :

▪ Négligence

▪ Erreur

▪ Fraudes et leur dissimulation

III. Les outils de l’audit interne

a. Outils de description

• Digramme de circulation

• Narration

• Organigramme des fonctions

• Grille d’analyse des taches

• Observation physique

b. Outils d’integration :

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• Interview

• Interogation des fichiers informatiques

• Sondages

• Verification et rapprochement

c. Outils d’évaluation :

• Questionnaires ( de prise de connaissance et celui du contrôle interne) ; nécessaire pour


établir les FRAP( feuille de révéluation et de l’analyse de problème)

IV. Étapes d’élaboration du questionnaire du conrôle interne :

1. Décomposer chaque activité analysée en stade élémentaire

2. Pour chaque stade élémentaire définir les objectifs du contrôle interne

3. Quelles modalité de fonctionnement sont nécessaire pour atteindre l’objectif

V. Étapes d’élaboration de FRAP, suivant un raisonnement linéaire on distingue 3 phase

▪ Production au fur et à mesure

▪ Validation

▪ Supervision

VI. Avantages de FRAP

▪ Contribution à la qualité du contrôle interne

▪ Qualité de la communication

▪ Rapport d’audit

VII. Les principes de la réunion de clôture

▪ Livre vert : tout doit être présenté aux audités ( pas de caches)

▪ File d’attente : l’audit est le premier servi pas les autres services

▪ Ranking : classement des recommandations selon l’importance

▪ Action immédiale : appliquer les recommandation sans attendre la


publication des rapport finaux

VIII. La composition du domaine de gestion courant :

▪ Cycle stock

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▪ Cycle achat

▪ Cycle client

▪ Cycle vente

▪ Cycle immobilisation

▪ Cycle paie-personnel

IX. Les obligations du commissaire aux comptes

▪ Mission de certification

▪ Mission de vérification

▪ Égalité des associés

▪ Révélation des faits délictieux des inéxactitude et des irrégulrités

▪ Observation du secret professionnel

▪ Convention réglementé et convention interdites

▪ Mission d’expertise de gestion

▪ Obligation de souscrir une polisse d’assurance

▪ Alerte du CAC

X. Responsabilité du CAC

▪ Pénale/ du fait

▪ Personnele/ civile

▪ Prescription de l’action en responsable

XI. Les travaux de fin de mission

▪ L’examen des comptes

▪ Éléments postérieurs à la clôture

▪ Diligence spécifiques

▪ Lettre d’affirmation

▪ Le questionnaire de fin de mission

▪ Synthèse générale de mission

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▪ Bouclage du dossier

▪ Rapport

XII. Risque d’audit :

▪ Inhérent

▪ De non contrôle

▪ De non détection

XIII. Comment déterminer le risque d’audit

▪ Voir le cours( seuil designification….)

XIV. Rapport entre le risque d’audit et le programme d’audit :

▪ Plus le risque inhérent et de contrôle sont faible ; plus le risque de la non


détéction est élevé

▪ Vis versa

Le plan de la mission doit être établit afin de minimiser le risque analysé lors de :

- Prise de connaissance

- Évaluation du contrôle interne

- Évaluation des compétences comptables

Auditeur adapte son plan de travail (calendrier, étendu des travaux de révision) afin de
minimiser le risque d’audit à un niveau acceptable.

La plan d’audit constitue de :

- Caractéristiques de l’entreprise auditée

- Zones de risque

- Seuil de signification

- Domaines et système de signification( organisagramme)

- Axe principaux des travaux de contrôle

- Organisation de la mission

- Budget

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XV. L’objectif de l’audit :

▪ Exprimer une opinion motivéé sur la régularité, la sincérité et l’eeficacité


des états de sycthèse afin de les certifier.

XVI. Les 3 qualuté majeures des comptes en dehors de (régularité, sincérité, efficatité)

▪ Exhaustivité des enregistrements : toute les opérations sont enregistrées

▪ Réalité : toute les opérations enregisteés sont réelles

▪ Exactitude : toute les opérations sont correctement enregistrées et


présentées

XVII. Les opération sont correctement enregistrées :

▪ Comptablisées dans la bonne période( rattachement, spécialistion des


exercices ; autonomie ; indépendance desexercices ; coupure des
enrepgistrements)

▪ Correctement présentées dans les comptes appropriés

XVIII. La démarche d’une mission d’audit

▪ Acceptation du mondat

▪ Orientation et planification de la mission

A. Prise de connaissance

B. Identification des domaines et systèmes de signification

C. Rédaction du plan de mission

D. Évaluation du contrôle interne

E. Travaux de fin de mission

F. Expression de l’opinion

G. Rapport

XIX. La composition possible de l’équipe d’audit

▪ Expert comptable/ associés ( décisionnaires)

▪ Cadre, chef de groupe, niveau hiérarchique (intérmédiaire)

▪ Collaborateurs, assistants, aide comptable ( exicutants)

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 Niveau signataire

 Niveau du chef de mission

 Niveau des réviseurs principaux

 Niveau des assistants

XX. Les outils d’évaluation du contrôle interne

▪ Mémorundem descriptif

▪ Test de conformité de compréhension des procédures

▪ Analyse des circuirt par le diagramme

▪ Questionnaire et guide d’opération

▪ Grille d’analyse du contrôle interne

▪ Tableau d’évalutation du système

▪ Techniques de sondages

XXI. Contrôle des comptes :

Tableau !!!

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