Université Abdelmalek Essaâdi

Faculté des Sciences juridiques Economiques et Sociales

de Tétouan

Audit général- QCM

LEF: Economie et Gestion
Parcours: Gestion
Professeur: M. Siraj El aaroubi
Année universitaire: 2022/2023
Q1: le commissariat aux comptes est :
A. Un audit optionnel.
B. Un audit obligatoire.
C. Un audit interne.
D. Un audit externe

Q2 : Le commissariat aux comptes est un audit qui est :

A. Effectué par le commissaire aux comptes pour les sociétés SARL dont le chiffre
d’affaires à la clôture de l'exercice social est inférieur à 50 millions de Dirhams.
B. Effectué par le commissaire aux comptes quelle que soit la forme juridique de
l’entreprise.
C. Effectué par le commissaire aux comptes pour les sociétés en nom collectif dont le
chiffre d'affaires à la clôture de l'exercice social est supérieur à 50 millions de
dirhams hors taxes.
D. Effectué par le commissaire aux comptes pour les sociétés anonymes non cotées
en bourse.
Q3: l’audit opérationnel est un audit qui:
A. Permet de réviser les comptes de l’entreprise.
B. Permet de s’assurer de la réalité et de la qualité de l’information contenue dans les
états financiers.
C. Permet d’apprécier les performances des fonctions de l’entreprise.
D. Permet de vérifier la conformité d’une situation juridique à une norme.

Q4: un audit social (appliqué en particulier à la gestion des ressources humaines)

peut s’intéresse à:
A. Evaluer la procédure de recrutement.
B. Décider les augmentations de salaires.
C. Décider le licenciement des salariés non productifs.
D. Evaluer la procédure de promotion des salariés.
Q5: Le contrôle interne est un ensemble de mesures et dispositifs mis en place par
la direction en vue:
A. De protéger le patrimoine de l’entité
B. De publier les comptes
C. De contribuer au bon fonctionnement de l’entité
D. D’atteindre certains objectifs

Q6: quelles sont les bonnes affirmations parmi les propositions suivantes:
A. Seuls les commissaires aux comptes peuvent effectuer des missions d’audit.
B. Un commissaire aux comptes est seul habilité à effectuer un audit dans un cadre
légal.
C. Ces deux affirmations sont fausses.
Q7: Comment se nomme le risque que les travaux mis en œuvre par l’auditeur ne
permettent pas de détecter des erreurs significatives:
A. Risque d’audit
B. Risque inhérent
C. Risque de non détection
D. Risque lié au contrôle

Q8: Le mandat d’un commissaire aux comptes, quand il est désigné par les statuts,
doit durer:
A. 2 ans
B. 3 ans
C. 1 an
D. 4 ans
Q9: Sont obligées de désigner au moins deux commissaires aux comptes :
A. Les sociétés anonymes non cotées en bourse.
B. Toutes les SARL.
C. Les SARL dont le chiffre d'affaires, à la clôture d'un exercice social, dépasse le
montant de cinquante millions de dirhams, hors taxes.
D. Les sociétés cotées en bourse.

Q10: une norme est :

A. Une règle.
B. Un risque.
C. Une loi.
D. Un processus.
Q11: une norme peut être:
A. Externe.
B. Interne.
C. contractuelle
D. réglementaire

Q12: les dispositifs du code général de normalisation comptable sont:

A. Des normes externes.
B. Des normes internes.
C. Des normes contractuelles.
D. Des normes réglementaires.
 Q13: Quand un client impose à son fournisseur un niveau de qualité donné, il
s’agit dans ce cas d’une:
A. Norme réglementaire.
B. Norme contractuelle.
C. Norme interne.

Q14: Au cours de la phase de prise de connaissance générale de l’entreprise,

l’auditeur s’intéresse au:
A. Risque lié au secteur d’activité de l’entreprise
B. Risque de non détection
C. La revue des procédures et le degré de respect de ces procédures
D. Risque lié à la structure organisationnelle
Q15: Dans la prise de connaissance générale de l’entreprise, quelle information ne
vous semble pas nécessaire à l’auditeur ?:
A. L’organigramme de l’entreprise.
B. La composition du conseil d’administration.
C. Le manuel des procédures comptables
D. La date de naissance de l’assistante du dirigeant.

Q16: Lors de la prise de connaissance générale de l’entreprise, l’auditeur

s’intéresse à:
A. L’organisation générale de l’entreprise
B. L’élaboration du rapport d’audit
C. L’évaluation des procédures
D. L’examen et le contrôle des comptes
Q17: L’orientation et planification de la mission
A. Vise à valider les comptes annuels.
B. Est la première étape de la démarche d’audit.
C. Vise à vérifier le fonctionnement des contrôles internes.
D. Vise à comprendre les particularités de l’entreprise auditée.

Q18: Pour analyser les informations dans la phase de prise de connaissance

générale de l’entreprise, l’auditeur utilise les techniques et outils suivants:
A. Comparaison des données.
B. Utilisation des logiciels et applications informatiques.
C. Analyse de tendance
D. Le questionnaire de prise de connaissance;
Q19: Pour chercher des informations dans la phase de prise de connaissance,
l’auditeur utilise les techniques et outils suivants :
A. La documentation interne et externe.
B. Le mémorandum.
C. La visite des locaux de l’entreprise.
D. Les entretiens.

Q20: Laquelle, des listes suivantes, représente l’ordre dans lequel les événements
énumérés ci-après interviennent dans un audit ?:
a) Identification des domaines et systèmes significatifs.
b) Appréciation du contrôle interne.
c) Rédaction du rapport d’audit.
d) Prise de connaissance générale de l’entreprise.
A. c/b/a/d.
B. d/a/b/c.
C. b/c/a/d.
D. a/b/c/d.
 Q21: Lors de l’appréciation du contrôle interne, l’auditeur peut mettre en
évidence:
A. L’existence des anomalies dans les comptes
B. Le risque de confusion des tâches
C. Le non respect des procédures
D. Le risque inhérent

L’auditeur interne de la société X dont le suivi des comptes clients est un domaine
sensible vient de mettre en place la procédure P1 stipulant que : « les principaux clients
doivent être contactés 8 jours avant la date d’échéance de leurs créances ».
Q22: La procédure P1 relève:
A. Du contrôle interne.
B. De l’audit interne.
C. De l’audit externe.
D. Du commissariat aux compte.
Q23: Un auditeur du système « Achat-fournisseur » peut:
A. Mettre en évidence les risques liés au dysfonctionnement d’achat.
B. Mettre en évidence le risque de forte dépendance d’un seul client.
C. Remettre en cause l’existence d’une procédure d’achat bien élaborée et bien
Respectée.
D. Remettre en cause la confusion des tâches tout au long d’un processus d’achat

Q24: Lors de l’appréciation du contrôle interne, l’auditeur peut remettre en cause:

A. L’existence des procédures bien élaborées et mal respectées
B. L’existence des procédures mal élaborées et bien respectées
C. L’existence des procédures bien élaborées
D. L’existence des procédures bien respectées
Q25: Lors de la deuxième étape de la démarche d’audit, l’auditeur peut mettre en
évidence les risques suivants:
A. Risque inhérent
B. Risque lié au contrôle
C. Risque de non détection
D. Risque d’audit

Q26: L’appréciation de l’existence du contrôle interne comprend:

A. Les tests de conformité/ Tests de permanence/Évaluation définitive du système de
contrôle interne.
B. Évaluation préliminaire du contrôle interne/ Tests de permanence/Saisie et
compréhension des procédures.
C. Saisie et compréhension des procédures/ Tests de conformité/ Évaluation
préliminaire du contrôle interne.
D. Saisie et compréhension des procédures/ Tests de permanence/ Tests de conformité
Q27: les tests de conformité ont pour objectif de:
A. garder une trace des informations recueillies et documenter la connaissance du
système.
B. vérifier que la description du contrôle interne est conforme à la réalité.
C. s’assurer que les procédures sont appliquées d’une manière constante et permanente.
D. De décrire le déroulement des différents systèmes.

Q28: les outils et techniques utilisés dans la phase des tests de conformité sont:
A. Le diagramme de circulation.
B. L’observation directe des supports matériels.
C. Le questionnaire de contrôle interne.
D. La confirmation verbale.
Q29: les outils et techniques utilisées pour la prise de connaissance du contrôle
interne sont:
A. Diagramme de circulation.
B. Entretien avec les responsables de l’entreprise.
C. Mémorandum.
D. Analyse des documents internes et externe à l’entreprise.

Q30: les outils et techniques utilisées pour la description du contrôle interne sont:
A. Diagramme de circulation.
B. Entretien avec les responsables de l’entreprise.
C. Mémorandum.
D. Analyse des documents internes et externe à l’entreprise.
Q31: En audit les éléments probants sont:
A. Les comptes annuels.
B. Les systèmes et domaines significatifs.
C. Les pièces justificatives.
D. Les états de synthèses.

Q32: lesquels des éléments ci-dessous peuvent faire l’objet d’une confirmation
directe:
A. Les créances clients.
B. Les amortissements des immobilisations corporelles.
C. Les banques
D. Les provisions pour créances clients.
Q33: lesquels des éléments ci-dessous ne peuvent pas faire l’objet d’une
confirmation directe:
A. Les clients.
B. Les dirigeants.
C. Les organismes sociaux.
D. Le service comptable.

Q34: dans la troisième phase de la démarche de l’audit comptable et financier,

l’auditeur s’intéresse:
A. À l’appréciation du contrôle interne.
B. Au risque de confusion des tâches.
C. Aux comptes du CPC et du Bilan.
D. Aux procédures.
Q35: Au niveau de l’appréciation du contrôle interne, l’identification des forces et
faiblesse définitives sont déterminées dans la phase :
A. Des tests de conformité.
B. De l’évaluation préliminaire du contrôle interne.
C. De l’évaluation définitive du contrôle interne.
D. Des tests de permanence.

Q36: les tests de permanence ont pour objectif de:

A. Garder une trace des informations recueillies et documenter la connaissance du
système.
B. S’assurer de l’existence d’une procédure.
C. S’assurer que les procédures sont appliquées d’une manière constante et
permanente.
D. vérifier que la description du contrôle interne est conforme à la réalité.
Q37: les outils et techniques utilisées lors des tests de cohérence sont:
A. Diagramme de circulation.
B. L’examen analytique.
C. Mémorandum.
D. Confirmation directe.

Q38: les outils et techniques utilisées lors des tests de validation sont:
A. Mémorandum.
B. Confirmation directe.
C. Examen analytique.
D. Observation ou inspection physique.