Vous êtes sur la page 1sur 7

TD LES EXPERTS

Spéciales révisions examens nationaux


!!! LICENCE & MASTER !!!!

FILIERE : FCA
Prof : M. KOUYE Lopez (96 73 60 87 / 60 41 41 43)

TD 1 – AUDIT FINANCIER

CAS PRATIQUE 1
TAF : VEUILLEZ CHOISIR CLAIREMENT LA LETTRE ET LA REPONSE ECRITE
CORRESPONDANTE)
1- L’audit financier est un processus d’examen critique de caractère professionnel
qui porte sur :
a- Les finances de l’entreprise
b- Le contrôle interne
c- Des informations financières
d- Les comptables de l’entreprise
2- La conclusion d’une mission d’audit est globalement :
a- Le rapport sur le contrôle interne
b- Les états financiers
c- Le bilan
d- L’opinion d’audit
3- L’audit financier se fait sur le plan international par référence aux normes
d’audit appelées :
a- IAS
b- ISO
c- ISA
d- IFRS
4- En vue de la vérification de l’exhaustivité du chiffre d’affaires, l’auditeur
financier doit vérifier :
a- Tous les stocks appartenant à l’entreprise le 31 décembre de l’année de
vérification
b- La bonne démarcation entre les exercices successifs au début et à la clôture
de l’exercice de façon à rattacher à chaque exercice tous les produits et les
charges qui concernent et ceux-là seulement ;
c- La séparation entre jeunes et les personnes âgées au sein de l’entreprise
d- Si toutes les opérations de ventes ont été enregistrées dans les comptes de
ventes et que tous les faits importants y ont été mentionnés.
5- Les assertions d’audit appelées assertions sous-tendant les états financiers sont :
a- Des critères relatifs aux enregistrements comptables que
l’auditeur vérifiera
b- Des critères relatifs aux procédures de contrôle interne que
l’auditeur vérifiera
c- Des critères relatifs aux enregistrements comptables, aux
soldes des états financiers et à leur présentation, que l’auditeur
se chargera de vérifier

1
d- Des critères relatifs aux soldes des états financiers que
l’auditeur vérifiera.
6- Pour faire un audit des états financiers un auditeur doit prendre connaissance et
évaluer le contrôle interne de l’entité avant d’examiner les comptes car l’objectif est
:
a- d’identifier les forces et les faiblesses du système de contrôle
interne
b- de s’en servir pour déterminer sa stratégie d’audit des comptes
c- de proposer des mesures d’amélioration des procédures de
contrôle interne
d- toutes les réponses ci-dessus.
7- Le risque d’audit est la possibilité que l’auditeur exprime une opinion inappropriée
sur Les états financiers. Les éléments constitutifs de ce risque dépendant de l’entité
à auditer
Sont :
a- le Risque inhérent (RI)
b- le Risque de contrôle (RC)
c- le Risque de détection (RD)
d- toutes les réponses
e- les réponses a) et b).

8- Parmi les assertions sous-tendant les états financiers on retrouve les critères ci-après
que l’auditeur financier doit vérifier :
a- La régularité
b- La sincérité
c) L’intégralité (exhaustivité)
d) la séparation des exercices (cut-off)
9. En vue de la vérification de l’exhaustivité d’une manière générale, l’auditeur
financier
doit vérifier :
a) tous les stocks appartenant à l’entreprise le 31 décembre de l’année de vérification
b) la totalité du capital social se retrouve dans les fonds propres d l’entreprise
c) la présence de tout le personnel travaillant au sein de l’entreprise
d) si toutes les opérations (actifs, dettes, et transactions) ont été enregistrées dans
les comptes annuels, et que tous les faits importants y ont été mentionnés.
10. En vue de la vérification de la séparation des exercices (cut-off), l’auditeur financier
doit vérifier :
a) tous les stocks appartenant à l’entreprise le 31 décembre de l’année de vérification
b) La séparation entre les cadres supérieurs et les agents d’exécution au sein de
l’entreprise
c) La bonne démarcation entre les exercices successifs au début et à la clôture de
l’exercice de façon à rattacher à chaque exercice tous les produits et les charges qui le
concernent et ceux-là seulement la présence de tout le personnel travaillant au sein de
l’entreprise
d) Si toutes les opérations (actifs, dettes, et transactions) ont été enregistrées dans les
comptes annuels, et que tous les faits importants y ont été mentionnés.
11. Les ISA sont des normes professionnelles

2
a) de qualité ;
b) d’audit ;
c) contrôle interne ;
d) d’informations financières.

12. Selon l’IFAC, le référentiel comptable identifié correspond à l’une des


normes ci-après :
a) ISA
b) IAS
c) ISO
d) SYSCOHADA.
13. L’audit est une mission d’assurance :
a) de niveau élevé mais non absolu
b) de niveau élevé et absolu
c) de niveau faible
d) de niveau modéré

14. Parmi les états ci-après un seul ne fait partie des états financiers annuels, il s’agit du
:
a) Bilan
b) Compte de résultat
c) Budget de trésorerie
d) TFT
e) notes annexes

15. La lettre de mission d’audit peut se définir comme étant :


a) L’opinion que l’auditeur délivre en fin de mission
b) L’accord écrit signé par l’auditeur et son chef qui précise les termes et les
conditions de l’audit
c) La lettre que l’auditeur envoie à son client pour le démarrage de la mission
d) La lettre que l’auditeur envoie à son client pour lui présenter les constatations de sa
mission.

16. La documentation des travaux d’audit consiste à :


a) Vérifier tous les documents et pièces comptables de la période soumise à l’audit
b) Consigner dans des documents les éléments probants, collectes et les travaux effectués
par l’audit et les conclusions qu’il a élaborées
c) Elaborer les documents justificatifs de tous les postes figurant dans les états financiers
de
L’entreprise et mettre à jour.
d) Classer, remplir le dossier permanent (PAF) de l’audit

17. A la fin de la mission d’intérim, l’auditeur doit envoyer au client sans attendre la fin
de l’audit :
a) La lettre de mission
b) Le rapport de recommandations sur le contrôle interne
c) Le plan de mission

3
d) Le rapport notifié

18. Pour l’élaboration de sa stratégie d’audit :


a) S’appuie sur les forces et faiblesses pour accroître l’étendue de ses contrôles
substantifs
b) S’appuie sur les faiblesses pour réduire l’étendue de ses contrôles substantifs
c) S’appuie sur les forces pour réduire l’étendue de ses contrôle substantifs
d) S’appuie sur son expérience passée pour réduire l’étendue de ses contrôles substantifs

19. Les procédures analytiques ont pour objectifs :


a) Vérifier les éléments probants qui justifient les montants figurants dans le bilan
et dans le compte de résultat de N et N-1
b) La cohérence des informations figurants dans les états financiers à partir des
variations et autres connaissances.
c) Demander la confirmation des soldes de comptes auprès des tiers, banques fournis.

20. En cas d’échec d’une procédure de circularisation des comptes l’auditeur doit
effectuer :
a) La revue analytique de tous les comptes de tiers et de banques non circularisés
b) Le rejet pur et simple de tous les comptes de tiers et de banques non circularisés
c) Des procédures alternatives visant à relever les encaissements d’une part et les
décaissements d’autre part intervenus dans les 2 ou 3 premiers mois après la clôture de
l’exercice considérées comme la période subséquente
d) La rédaction d’un rapport modifié qui sera remis au client à la fin de la mission.

CAS PRATIQUE 2
TAF : Choisir la ou les bonnes réponses
1- Qu’est-ce que l’audit ?
a - Attester de l’exactitude des comptes,
b - Attester de l’exactitude des états financiers,
c - Donner une opinion professionnelle sur les états financiers,
d- Donner une opinion professionnelle sur les normes comptables.
2- Lequel des énoncés suivants n’est pas une norme générale d’audit ?
a - Compétence,
b - Indépendance,
c - Secret professionnel,
d - Evaluation du contrôle,
e - Qualité du travail
3- Lequel des énoncés suivants n’est pas un principe comptable ?
a - Certitude raisonnable,
b - Prudence,
c - Importance relative,
d - Nominalisme,
e - Indépendance des exercices.
4- Lequel des énonces suivants n’est pas un objectif audit ?
a - Présentation
b - Comptabilisation

4
c - Exhaustivité,
d - Evaluation
e - Continuité d’exploitation.
5- Quelles sont les contraintes auxquelles l’auditeur est confronté ?
a - Engagement vis-à-vis des actionnaires,
b - Budget d’audit et planification –Calendrier,
c - Eléments probants,
d - Risques professionnels
6- L’estimation statistique permet :
a- De déduire des résultats relatifs aux échantillons à partir des caractéristiques d’une
population mère ;
b- De tirer des conclusions relatives aux échantillons à partir des caractéristiques d’une
population ;
c- De tirer des conclusions sur les caractéristiques de la population mère à partir des
caractéristiques d’un échantillon ;
d - De tirer des conclusions sur les caractéristiques d’un échantillon à partir des caractéristiques
de la population mère.
7- Lequel des éléments suivants n’est pas une source de confiance selon la
démarche d’audit ?
a - Confiance allouée aux procédures de validation,
b - Confiance allouée aux contrôles internes,
c - Confiance allouée à l’examen analytique,
d - Confiance préalable

8- Lequel des éléments suivants n’est pas une étape de la démarche d’audit ?
a- Mise en œuvre de la stratégie d’audit ;
b- Travaux préalables à l’acceptation d’une mission ;
c - Conclusion et rapport d’audit ;
d - Evaluation de la stratégie d’audit ;
e - Evaluation des risques.

9- Lequel des éléments suivants ne doit être pris en compte dans l’évaluation de la
confiance préalable ?
a- Seuil de signification ;
b- Rôle de l’audit interne ;
c- Transactions non répétitives ;
d- Aucune réponse

10- Lequel des éléments n’est pas une des responsabilités de l’auditeur ?
a - Savoir travailler avec l’entreprise auditée ;
b - Superviser le travail dans l’entreprise auditée ;
c - Exécuter des sections du dossier d’audit ;
e- S’intéresser aux affaires de l’entreprise auditée.
11- L’audit est :
a- Un examen professionnel ;
b- Une sorte de vérification ;

5
c- Un type de contrôle de gestion ;
d- Un processus méthodologique ;
e- Aucune réponse.
12- Un auditeur interne peut être un :
a- Salarié de l’entreprise ;
b- Commissaire aux comptes ;
c- Intervenant externe ;
d- Etudiant ;
e- Aucune réponse.
13- . Les normes générales de l’audit :
A. Sont fictives ;
B. Sont optionnelles ;
C. Sont obligatoires ;
D. Sont de nature comptable ;
E. Aucune réponse.
14- Nous pouvons parler de risque dans les situations suivantes :
A. Absence d’une répartition des tâches ;
B. Confusion des tâches ;
C. Evaluation forfaitaire des stocks ;
D. Sous-effectif du personnel comptable ;
E. Aucune réponse.
15- Un auditeur est forcément un :
A. Commissaire aux comptes ;
B. Inspecteur ;
C. Expert-comptable ;
D. Professionnel de traitement de l’information ;
E. Aucune réponse.

16- L’audit légal est :


A. Un audit optionnel ;
B. Un audit obligatoire ;
C. Un audit interne ;
D. Un audit externe.
17- Le mandat d’un commissaire aux comptes doit durer :
A. Une année B. 2 années C. 3 années D. 4 années E. Aucune réponse.
18- En matière d’audit légal, l’auditeur est tenu d’une :
A. Obligation de détection de fraudes ;
B. Obligation d’amélioration de la gestion ;
C. Obligation de moyens ;
D. Obligation de résultats ;
E. Aucune réponse.
19- Le contrôle interne est un ensemble de pratiques et procédures mise en œuvre
par la direction en vue :
A. De protéger le patrimoine de l’organisation ;
B. De publier les comptes ;
C. De contribuer au bon fonctionnement de l’organisation ;
D. D’éviter complètement les erreurs et les fraudes ;
E. Aucune réponse.
20- Lors de l’accomplissement d’une mission d’audit, un auditeur n’est pas tenue de
A. Tout contrôler ;
B. Revoir toute l’opération passée au niveau comptable ;
C. Planifier et orienter le travail de l’audit interne ;

6
D. Mettre en place tous les moyens nécessaires à la réalisation de la mission ;
E. Aucune réponse.
CAS PRATIQUE 3
Indiquez si les énoncés suivants sont vrai ou faux
1- Les fondations ont la particularité de ne pas avoir d’assemblée générale. Les comptes
annuels sont approuvés par le conseil d’administration. C’est lui qui nomme le commissaire
aux comptes
2- En cas d’omission de nomination d’un commissaire aux comptes, toute personne intéressée
peut demander en justice la désignation d’un commissaire aux comptes
3- Un commissaire aux comptes prend sa retraite en 2010. Son mandat devait s’achever en
2014. Un nouveau commissaire aux comptes doit être nommé en 2011 pour 06 exercices.
4- Le mandat du commissaire aux comptes suppléant suit celui du titulaire.
5- Un nouveau commissaire aux comptes doit contacter son prédécesseur avant d’accepter le
mandat.
6- Un commissaire aux comptes peut démissionner avant la fin de son mandat si une
incompatibilité survient
7- La lettre de mission n’est obligatoire que pour les missions contractuelles.
8- L’audit est une mission d’opinion
9- L’opinion est fondée sur une assurance raisonnable de l’absence d’anomalie significative et
sur le jugement du professionnel
10- La démarche d’audit est basée sur une analyse des risques d’anomalies significatives
11- Les anomalies significatives sont soit des erreurs (inexactitude ; irrégularité ; omission) soit
des fraudes
12- Une mission d’audit comptable et financier peut être interne (les conclusions sont adressées
à la direction) ou externe (les conclusions sont adressées aux actionnaires ou à des tiers).
13- Une mission d’audit comptable et financier peut être contractuelle ou légale, commissariat
aux comptes.
14- La responsabilité du conseil d’administration en matière de contrôle interne est illusoire
15- Le contrôle interne peut être assimilé au contrôle de gestion
16- Le manuel de procédures est une pièce maitresse du contrôle interne
17- La séparation des fonctions est une garantie du bon fonctionnement d’un service.
18- L’appréciation du contrôle interne est nécessaire dans toutes les missions d’audit.
19- En l’absence d’écrits, l’analyse des procédures ne peut être mise en œuvre
20- Un test de conformité a pour objectif de vérifier la conformité d’une procédure avec les
décisions de la direction
21- Les commissaires aux comptes peuvent porter une appréciation sur toute la procédure mise
en place dans une entreprise.

Vous aimerez peut-être aussi