Examen Audit Session ordinaire juin 2016 Mr AKRICH corrigé par Mohamed Ouallal
Cochez la ou les bonnes réponses
Q1.l’audit est :
A. Un type de contrôle
B. Un type de vérification
C. Une sorte de comparaison
D. Un processus méthodologique
E. Aucune réponse
Q2.l’approche par les risque a pour objectif de :
A. Définir les zones de risques.
B. orienter le travail de l’auditeur
C. Déterminer les forces et les faiblesses de
l’entreprise,
D. Réaliser un diagnostic stratégique,
E. Aucune réponse
Q3.au cours de la phase de la prise de connaissance,
l’auditeur s‘intéresse au :
A. risque lié au secteur d’activité de l’entreprise,
B. Risque de non détection,
C. Risque lié à la structure organisationnelle,
D. La revue des procédures et le degré de respect de
ces procédures,
E. Aucune réponse
Q4.dans la prise de connaissance de l’entité quelle(s)
information(s) vous emble (ent) nécessaire (ent):
A. Les perspectives de croissance du secteur
d’activité,
B. La réglementation liée au secteur d’activité,
C. Le taux de croissance du secteur d’activité,
D. Les coordonnées personnelles des dirigeants,
E. Aucune réponse
Q5.dans le cadre de la démarche générale de l’audit, une
mission d’audit ne peut se réaliser :
A. Sans passer par la phase de la prise de connaissance
générale,
B. Sans passer par la phase de l’évaluation du contrôle
interne.
C. Sans passer par la phase de l’examen analytique.
D. Sans passer par les trois phases du processus
d’audit,
E. Aucune réponse
Q6. Dans le cadre du contrôle réalisé par l’auditeur il s’agit
d’un :
A. contrôle de gestion,
B. contrôle stratégique,
C. contrôle fiscal,
D. contrôle financier,
E. aucune réponse
Q7. Lors de la phase d’évaluation du contrôle interne,
l’auditeur se préoccupe d’analyser :
A. Le risque lié à la confusion des tâches,
B. Le risque au non, respect des dispositions
législatives et réglementations mise en vigueur,
C. Les comptes de l’actif et du passif,
D. Le manuel des procédures,
E. Aucune réponse
Q8.l’audit interne s’inscrit dans de le cadre d’une :
A. politique globale du contrôle interne,
B. Démarche de vérification par rapport aux
procédures
C. Activité de contrôle réalisé d’une manière objective
et impartiale,
D. Mission de commissariat aux comptes
E. Aucune réponse,
Q9.la désignation d’un commissaire aux comptes est
A. Obligatoire pour toutes les entreprises,
B. Obligatoire uniquement pour les SA dont le CA est
inférieur à 50 millions Dhs.
C. Facultatives pour toutes les entreprises,
D. Facultatives uniquement pour les SARL dont et CA
est supérieur à 50 millions Dhs.
E. Aucune réponse
Q10.le mandat d’un commissaire aux comptes ne doit pas
durer :
A. Une année
B. Deux années
C. Trois années
D. Quatre années
E. Aucune réponse,
Q11.la crédibilité de l’opinion exprimée par un CAC peut
être remise en cause dans les cas suivants:
A. Exerce du métier de CAC pendant une langue durée.
B. Existence de liens familiaux avec le directeur
générale l’entreprise,
C. Respect des normes générales de l’audit,
D. Incapacité de détecter les anomalies dans les
comptes
E. Aucune réponse
Q12.lors de l’examen des comptes, l’auditeur :
A. Fait appel à la méthode de recoupement
d’informations.
B. S’intéresse à la vérification de la réalité des
éléments de l’actif
C. S’intéresse à la vérification de la réalité des
éléments du passif,
D. Réalise un contrôle exhaustif de l’information,
E. Aucune réponse
Q13. Parmi les objectifs principaux de l’auditeur financier :
A. La détection des fraudes,
B. La détection des erreurs,
C. L’amélioration de la gestion,
D. La vérification de la régularité et la sincérité des
comptes
E. L’élaboration des comptes réguliers et sincère
Q14. Dans un objectif de vérification de la fiabilité des
informations financières, l’auditeur peut comparer entre le
CA en volume et :
A. Le chiffre d’affaires en valeur,
B. Le volume de la production et des stocks,
C. La capacité de production du concurrent,
D. La TVA déclarée,
E. Aucune réponse
Q15.Lors de l’accomplissement d’une mission d’audit, un
auditeur doit systématiquement faire appel :
A. A une circularisation auprès des clients et
fournisseurs,
B. A une circularisation auprès des organismes sociaux,
C. A une circularisation auprès des banques
D. Aux rapports d’audit antérieurs
E. Aucune réponse
Q16.le montant des provisions constatés peut susciter une
attention particulière de la part de l’auditeur parce qu’il
peut s’agir d’un risque de :
A. Surestimation des charges liées aux provisions pour
dépréciations (actif) ;
B. Surestimation des charges liées aux provisions pour
risques et charges (passif) ;
C. Sous-estimations des charges liées aux provisions
pour dépréciations (actif) ;
D. Sous-estimation des charges liées aux provisions
pour risques et charges (passif)
E. Aucune réponse
Q17. La mise en place d’une procédure d’achat a pour
objectif: Q21.Sur la base des informations financières de
A. De définir les étapes à suive lors de toutes l’entreprise SAFA S.A, nous pouvons considérer que :
opération d’achat, A. L’évolution des emprunts et celle des
B. De rationaliser les ressources financières de immobilisations sont cohérentes
l’entreprise, B. L’évolution du résultat net et celle du CA sont
C. D’éviter complétement les risques de fraude proportionnelles ;
D. D’éviter complétement les risques d’erreur C. La stagnation du niveau de réserves est normale
E. Aucune réponse D. L’augmentation des provisions pour risques et
charges est justifiée
Q18. Un auditeur d’achat peut : E. Aucune réponse
Q22.l’auditeur a soulevé, lors d’un entretien avec le PDG
A. Mettre en évidence le risque de forte dépendance de l’entreprise SAFA S.A que la situation financière
d’un seul client continue à se dégrader au cours de 2015, elle est
B. Mettre en évidence les risques liés au confrontée de plus en plus à des problèmes de rentabilité,
dysfonctionnement du processus d’achat, de trésorerie, de pénurie de la matière première
(poissons) et de commercialisation de ces produits, cette
C. Remettre en cause l’existence d’une procédure
situation peut :
d’achat bien élaborée et bien respectée A. Compromettre le principe de la continuité
D. Remette en cause la confusion des taches tout au d’exploitation,
long d’un processus d’achat. B. Entraine une sous-activité durable
E. Aucune réponse C. Entraine une suractivité durable
D. Entraine un risque de licenciement et de conflit,
Q19.l’audit informatique peut porter sur : E. Aucune réponse
Q23.au cours de l’exercice2015, les dirigeants ont arrêté
A. L’efficacité du site web de l’entreprise, les comptes annuelles de l’exercice après avoir procéder à
B. L’efficacité du choix des logiciels utilisés une majoration importante de la valeur des
C. Les risques liés à la sécurité des informations. immobilisations et une minoration significative des
D. Les risques liés à la performance du matériel provisions pour risques et charges dans cette situation, il
s’agit :
informatique,
A. du respect du principe de la réalité
E. Aucune réponse B. du respect du principe d’exhaustivité
C. D’une fraude ;
Partie II D. D’une erreur ;
SAFA S.A est une entreprise de pèche, elle réalise E. Aucune réponse ;
l’essentiel de son chiffre d’affaires à l’export notamment Q24. Lors de la rédaction de son rapport de fin de mission
au niveau de l’union européenne. le CAC peut formuler pour l’entreprise SAFA S.A les
Le secteur d’activités se caractérise par une forte recommandations suivantes
concurrence au niveau mondial et une baisse continue des A. L’augmentation de l’effectif afin d’améliorer la
marges suite à une augmentation des couts de revient productivité
De ce fait le volume de production diminue sans cesse B. L’exportation des produits à forte valeur ajoutée
Dans le tableau ci-dessous, on note les éléments liés à la C. La diminution des couts de revient à travers la
situation financière de l’entreprise SAFA S.A (en milliers) : maitrise des charges
Eléments 2015 2014 D. La révision éventuelle des techniques de
Actif immobilisé 687000 687000 commercialisation
Créances clients 376000 295000 E. aucune réponse
Trésorerie actif 345 856 Q25.le CAC de l’entreprise SAFA S.A peut éventuellement
Capital social 200000 200000 certifier les comptes de 2015 dans :
Réserves 12000 12000 A. le cas de respect de toutes les normes de l’audit
Provisions pour risques et 18600 3400 B. le cas où le CAC manifeste un état d’esprit
charges (1) frauduleux
Dettes de financement 620000 320000 C. le cas où les principes comptables sont
Dettes fournisseurs 41260 49150 partiellement respectés
Trésorerie passif 1400 1000 D. Lorsque l’entreprise ne déclare pas la totalité des
(1) indemnité de licenciement produits et charges
E. Aucune réponse
2015 2014 Bon courage
Résultat net 52000 62000
C.A 850000 830000
Q20.a la lecture des informations ci-dessus, en tant
1ABCD 2AB 3AC 4ABC 5ABCD 6E
qu’auditeur, vous pouvez mettre en évidence, pour 7ABD 8ABC 9EE 10D 11BD 12ABC
l’exercice 2015, les risques de : 13D 14ABD 15D 16ABCD 17AB
A. Liquidité (trésorerie),
B. Financement des emplois stables, 18BD 19ABCD 20ACD 21D 22BD
C. Saturation de la capacité d’endettement, 23C 24BCD 25B
D. Détérioration de la rentabilité financière
E. Aucune réponse