CHAPITRE III : Les réseaux divers

Les réseaux divers forment un ensemble essentiel dans l’aménagement des espaces, qu’ils
soient urbains ou ruraux et quel qu’en soit la destination.

1. Les réseaux d’AEP

1.1. L’alimentation en eau

L’eau est indispensable à la vie courante, aussi bien dans la vie domestique, que dans
l’industrie et l’agriculture.

La distribution de l’eau relève des compétences et de la responsabilité des collectivités

locales (communes, groupements de communes,……….). Lorsqu’elles disposent des
services compétents, ceux-ci se chargent eux-mêmes de sa distribution. Les collectivités
peuvent également la confier à une société para-publique ou privée. Distribuée sous
pression dans les réseaux dimensionnés en fonction des besoins, ou obtenue par pompage
dans la nappe phréatique pour desservir un habitat isolé ou répondre aux exigences de
l’agriculture, elle est employée dans tous les domaines d’activités.

1.1.1. Les besoins en eau

L’objectif de l’adduction d’eau est de répondre aux besoins, pour les différents usages :
domestique, tertiaire, industriel, arrosage des plantations, lavage et nettoyage des espaces
publics, lutte contre l’incendie. Ces besoins sont quantifiés afin de définir les
caractéristiques du réseau de distribution dans la zone à aménager. Leur évaluation est
relativement délicate puisqu’elle dépend de :la destination des constructions (habitation,
tertiaire, industrie), la localisation (zone urbaine ou rurale),de l’étendue de la zone
desservie, de l’importance des espaces collectifs et de l’éventualité d’une extension
ultérieure. Deux facteurs viennent influencer la consommation moyenne :

 La période de l’année : la consommation mensuelle est affectée d’un coefficient

correcteur égal à 0,5 en hiver et 1,5 en été ;
 La période de la journée : le débit évolue dans la proportion de 1 à 7 entre les
heures creuses et les heures pleines.

Une formule couramment appliquée pour calculer le débit qui est la suivante :

Q = 4 x C x N x 1/86 400

C : consommation journalière par habitant (Litre/second)

N : Nombre d’habitants

1.2. Le réseau de distribution

Raccordé sur le réseau général, par l’intermédiaire d’une vanne. C’est un assemblage de
plusieurs conduites en série ou en parallèle accompagne d’un ensemble d’accessoires
(coude robinets bouche d’incendie), qui sont appelées à remplir des fonctions bien
spécifiques.
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1.2.1. Les différents types de réseaux: On distingue deux types de réseaux (figure 1.1):

1. réseau ramifie: C’est le système le plus ancien, l’écoulement des eaux s’effectue dans
le même sens, c’est à dire pas d’alimentation en retour des canalisations ; c’est un système
économique mais il présente un grand inconvénient en matière de sécurité et de
souplesse lorsqu’un arrêt se produit en un point ; il nous oblige d’isoler toute ou une partie
d’un réseau située en aval, il a comme avantage, la facilite de réalisation et de calcul.

2. réseau maille:

Il présente l’avantage de simplifier considérablement l’exploitation car les coupures

peuvent se faire en isolant une seule maille le reste étant toujours alimenté, aux heures de
pointe les surcharges en point sont absorbées par les possibilités multiples d’alimentation.

Avantage : la sécurité est garantie en cas de panne

Inconvénient : coûteux et calcul complexe

Le réseau de distribution est composé de canalisation, de raccords pour les branchements

et de différents éléments tels que vannes d’arrêt, bouches à clé, bouche d’arrosage ou de
lavage, poteaux incendie, compteurs, disconnecteurs, etc.

Tous les composants doivent être suffisamment résistants pour éviter toute détérioration
due surpressions et aux coups de bélier occasionnés par les ouvertures ou les fermetures
intempestives des vannes.

Figure 1.1 : Les différents types de réseaux

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1.2.2. Les matériaux

Qu’il s’agisse de canalisations ou d’appareillages (vannes, opercules, compteurs,…..), les

matériaux sont adaptés aux objectifs à atteindre : résistance mécanique, aux chocs, à
l’écoulement de l’eau, à la corrosion, etc.

Pour l’eau destinée à la consommation humaine, les matériaux entrant dans la constitution
des canalisations, des raccords, des réservoirs et des accessoires doivent répondre à des
spécifications particulières.

1.2.2.1. Les canalisations

Elles sont fabriquées à l’aide des matériaux suivants : le béton armé, la fonte, l’acier
galvanisé, le PVC, le polyéthylène. L’emploi de l’amiante-ciment est interdit, comme tous
les produits contenant de l’amiante.

1.2.2.2. Les appareillages

Ils sont essentiellement construits avec des matériaux offrant une bonne résistance à
l’usure et au frottement. Les appareillages de gros diamètre ont un corps en fonte ; les
autres sont en bronze, en laiton ou en résine synthétique.

1.3. Les branchements particuliers

Ils sont constitués des canalisations et des ouvrages situés entre le réseau public et le point
de livraison de l’eau à l’abonné, particulier, industriel ou autres. Ils sont toujours réalisés
perpendiculairement à la canalisation principale (figure 1.2).

Les branchements comprennent les composants suivants :

 Une prise d’eau sur la conduite du réseau public ;

Les tuyaux de diamètre approprié ;
 Une vanne d’arrêt quart de tour commandée par une bouche à clé, située sous le
domaine public afin d’isoler le branchement ;
 Un dispositif d’arrêt placé immédiatement avant le compteur ;
 Un dispositif de comptage placé soit dans un regard en limite de propriété, soit
dans le bâtiment ;
 Un appareil de protection du réseau public contre les risques de retour d’eau du
réseau privé, placé après le compteur.

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Figure 1.2 : branchements particuliers

1.4. Le service et réserves d’incendie

Le matériel de lutte contre l’incendie est soumis à une réglementation stricte. L’objectif
est d’optimiser la fiabilité des appareils de lutte contre l’incendie en toutes circonstances
et pour une utilisation rapide par les services de secours. Le raccordement s’effectue sur
un réseau d’eau sous pression, qu’il soit public ou privé.

La défense contre l’incendie peut être abordée de deux manières :

 Depuis l’intérieur des bâtiments, à l’aide de dispositifs installés lors de leur

construction adaptés à la conception et à l’utilisation qui en sera faite ;
 Depuis l’extérieur, en se raccordant sur des poteaux ou sur des bouches
judicieusement répartis.

Dés la mise au point d’un projet d’aménagement d’une zone ou de construction d’un
bâtiment ou d’un groupe de bâtiments (habitation, scolaire, établissement recevant du
public, industriel, etc.), le concepteur se met en rapport avec les services de l’incendie et
de la sécurité afin de définir les moyens à mettre en œuvre dans le cadre de lutte contre
l’incendie et leurs implantations.

2. Le réseau de distribution électrique

la distribution d’électricité est assurée par les services de la sonelgaz (en Algérie). Les
installations électriques doivent faire l’objet d’une attention particulière compte tenu
des risques encourus par le personnel d’entretien ou par les utilisateurs.

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2.1. Les besoins en électricité

Ils sont évalués en fonction de la destination des bâtiments desservis : habitation,

tertiaire, commercial, industriel, etc. il convient de tenir compte, dans l’étude, de
l’évolution de la puissance demandée due soit à l’amélioration du confort et des
conditions de vie, soit à l’intension des zones urbanisées.

2.2. Les caractéristiques du courant distribué

Elles font référence à la tension nominale. En courant alternatif, les ouvrages relèvent
de deux domaines de tension.

2.2.1. Le courant basse tension (BT)

Il à une valeur nominale qui excède 50 volts et ne dépasse pas 1 000 volts.

2.2.2. Le courant haute tension

Le courant haute tension A (HTA) Il à une valeur nominale supérieure à 1 000 volts,
sans dépasser la valeur de 50 kilovolts.
Le courant haute tension B (HTB) Il à une valeur nominale supérieure à 50
kilovolts.
Le courant très haute tension A (THT) Il atteint des valeurs nettement supérieures
et concerne que les lignes de transport d’énergie sur de longues distances.
Cela conduit à retenir le principe de distribution suivant :
- Les lignes HTA sont réservées :
 aux lignes principales desservant les agglomérations ;
 aux lignes secondaires pour les dérivations en zone rurale ;
 aux dessertes directes de poste de transformation afin de répondre à une
demande importante de puissance émanant d’un groupe de bâtiments ou
d’un client spécifique ;
- les lignes BT sont réservées :
 aux lignes desservant un quartier ou une zone résidentielle ;
 aux branchements des abonnés.
2.3. Les réseaux de distribution

Ils sont réalisés à l’aide de câbles électriques regroupant un ou plusieurs conducteurs

actifs. Ils partent du point de raccordement sur le réseau général afin de desservir toutes
des dérivations correspondant aux branchements individuels ou collectifs, chacune étant
commandée par un dispositif de coupure (figure 2.1).

Les réseaux de distribution sont réalisés selon quatre grands principes : réseaux aériens,
les réseaux posés dans des caniveaux techniques de surface, les réseaux passant dans des
ouvrages, les réseaux enterrés.

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Figure 2.1 : réseaux de distribution

2.4. Les composants électriques des réseaux de distribution

Ils comprennent les câbles, les boîtes de raccordement et les organes de coupure et de
protection.

2.4.1. Les câbles électriques

Ils comportent un ou plusieurs conducteurs actifs composés d’une âme en cuivre ou en

aluminium, entourée d’une enveloppe isolante en résine synthétique et d’une gaine de
protection.

Ils se divisent en deux grands groupes :

 Les câbles torsadés : qui sont utilisés dans la construction de lignes aériennes dont
la tension n’excède pas 1 kv.
 Les câbles lisses : qui sont utilisés tant pour les lignes enterrées, sous fourreau ou
non selon leur composition, que pour pose en aérien, dans des caniveaux ou en
galerie technique.
2.4.2. Les raccordements et les jonctions

Les raccordements et les jonctions, en réseau enterré BT, sont réalisés à l’aide de
boîte injectées ou coulées en matière synthétique, dans lesquelles est versée une résine
isolante polymérisable à froid.

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2.4.3. Les organes de coupure ou de protection

Ils sont regroupés dans des coffrets ou des armoires extérieures, accessibles en
permanence.

2.5. Les branchements particuliers

Les branchements particuliers forment les parties terminales du réseau de distribution

publique. Ils amènent le courant électrique en limite ou à l’intérieur de la propriété
desservie selon qu’il s’agisse de branchements individuels ou de branchements
collectifs.

2.5.1. Les branchements individuels

Ils desservent un seul point de livraison et sont composés de la manière suivante :

 La liaison au réseau de distribution publique ;

 La dérivation individuelle ;
 Le comptage, l’appareil général de commande et de protection et les appareils de
contrôle éventuel ;
 Le relais récepteur de télécommande éventuel (ou horloge), en cas de tarification
multiple ;
 Les circuits éventuels de télé-report.

2.5.1.1. Les types de branchements

1. Le branchement aérien est pratiquement abandonné en zone urbaine ; il est

encore employé en secteur rural lorsque les lignes du réseau sont aériennes.
2. Le branchement aérosouterrain se rencontre surtout dans les zones rurales ou
dans les lotissements de villas, lorsque la desserte est faite en réseau aérien.
3. Le branchement souterrain est le plus courant, que ce soit pour desservir un
pavillon, un lotissement de plusieurs villas ou un lotissement industriel.

2.5.2. Les branchements collectifs

Ils desservent plusieurs points de livraison. Ils comprennent les éléments suivants :

 Les câbles assurant la liaison entre le point de raccordement et les coffrets de

coupure placés en façade des bâtiments ;
 Les organes de coupure et de protection ;
 Les circuits éventuels de télé-report

2.6. Les postes de transformation

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Ce sont des éléments indispensables dans la distribution du courant électrique.

Implantés au centre de la zone à raccorder, ils sont accessibles en permanence depuis
une voie de desserte et conçus de manière à s’intégrer dans l’environnement.ils sont
soit construits de manière traditionnelle dans le groupe d’habitation ou dans le
lotissement, soit préfabriqués et mis en place sur une dalle béton. Ils peuvent
également être situés à l’intérieur des bâtiments, dans un local technique prévu à cet
effet. Il est alors impératif de veiller à leur parfaite isolation acoustique vis-à-vis des
locaux voisins.

3. Le réseau de distribution du gaz combustible

Le gaz est une des énergies les moins polluantes et les plus économiques lorsque le
secteur aménagé est à proximité d’un réseau existant. Il répond aux besoins très
diversifiés tant pour l’habitat que pour le tertiaire et l’industrie.

3.1. Les besoins en gaz

Les besoins en gaz répondent à plusieurs usagers :

 L’usage domestique : cuisson et fourniture d’eau chaude ;

 Le chauffage des locaux ;
 La climatisation ;
 L’énergie de base dans le domaine industriel ou artisanal.

3.2. Les gaz distribués

Ils sont de différentes natures et proviennent de plusieurs sources :

Gaz naturels : qui sont d’origines diverses : Lacq, Mer du Nord, Algérie ou Russie

Gaz manufacturés : anciennement appelés gaz de ville, sont produits localement.ils sont
plus légers que l’air.

Hydrocarbures liquéfiés : ils sont des produits issus de la distillation du pétrole. Classés
en deux catégories : le butane commercial et le propane commercial, ils sont plus lourds
que l’air.

3.3. La pression de distribution

Elle est différente selon la nature du gaz et varie selon les points du réseau. Le gaz
naturel est distribué sous différentes pressions :

 la basse pression< ou égale à 0,005 MPa, correspond à la pression d’utilisation

au niveau des appareils.
 la moyenne pression A comprise entre 0,005 MPa et 0,04MPa, est celle
admise dans les branchements et les canalisations desservant les bâtiments.

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 la moyenne pression B comprise entre 0,04 MPa et 0,4 MPa, permet d’utiliser
des tuyauteries de section réduite dans la réalisation des réseaux.

3.4. Les réseaux

Ils comportent les éléments suivants : les conduites de distribution, les branchements
collectifs ou particuliers ; les postes de détente ; les organes de coupure et les
dispositifs de comptage.

3.4.1. Les conduites de distribution

Elles constituent la partie essentielle du réseau puisqu’elles amènent le gaz aux

différents points à desservir.

3.4.2. Les matériaux

Les matériaux retenus pour les canalisations sont :

L’acier pour les canalisations principales qu’elles soient enterrés, ou en élévation ;

Le polyéthylène pour les canalisations d’alimentations et de desserte ;

Le cuivre il n’est pratiquement pas utilisé pour en canalisation enterrées, compte tenu
de son coût.

3.4.3. Les branchements particuliers

Ils sont raccordés sur les canalisations de desserte par un T, ou plus fréquemment, par
un dispositif de prise en charge. Ils sont commandés par un dispositif de coupure,
accessible en permanence. Ils comprennent : la canalisation de desserte ; une vanne
d’arrêt ; un détenteur et un compteur.

4. Le réseau de télécommunication
Malgré le développement de la téléphonie mobile, le raccordement au réseau
général de la téléphonie fixe reste encore de règle, compte tenu de nombreux
services rendus : téléphone, télécopie, télex, vidéoconférence, internet, etc.

4.1. La composition du réseau téléphonique

Le réseau téléphonique comporte plusieurs composants : un répartiteur général,
des lignes de transport, de distribution et de branchement, des points de
distribution, des barrettes d’arrivée pour raccorder le ou les postes terminaux
(figure 4.1). Il est réalisé selon l’un des principes suivants :
 Le réseau aérien, pratiquement abandonné en zone urbaine, il est
particulièrement sensible aux intempéries : vent, neige.

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 Le réseau en galerie technique, est relativement peu fréquent, sauf

lorsqu’il s’agit de complexes commerciaux, hospitalier, industriel….
 Le réseau posé dans une bordure-caniveau, solution économique mais
qui rencontre quelques difficultés. D’une part, en phase réalisation, lors de
la coordination avec les autres réseaux et , d’autre part, en phase
utilisation, les caniveaux ne résistent pas aux surcharges des poids lourds.
 Le réseau enterré est la technique la plus courante en site urbain ; les
câbles passent dans les fourreaux aiguillés.

Figure 4.1 : réseau téléphonique

4.1.1. Le répartiteur général

Il distribue les lignes de transport.

4.1.2. Les sous-répartiteurs

Ils sont positionnés en des points stratégiques du réseau, sur le domaine public,
de manière à être accessibles en permanence, ils constituent l’interface entre
les lignes de transport et les lignes de distribution.
4.1.3. Les chambres de tirage
Elles sont disposées à des distances régulières ou en des points particuliers du
réseau (changement de direction). Implantées sous trottoir ou sur chaussée.
4.1.4. Les fourreaux

Se sont des tubes en PVC rigides aiguillés gris. Leurs nombre et leur diamètre
sont adaptés au nombre de lignes qu’ils doivent contenir, en prévoyant une
réserve dans l’éventualité d’un développement ou d’une modification de la
demande.

4.1.5. Les lignes téléphoniques

Elles font appel à deux techniques :
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 Le métal conducteur avec les câbles multipolaires qui sont formés de

fils de cuivre isolés et torsadés, assemblés en paire ou en quatre, leur
coût est réduit et sa manipulation est aisé. C’est le procédé le plus
courant en télécommunication.
 Ou les câbles coaxiaux qui sont constitués par une âme en cuivre
autour de laquelle se trouvent successivement un diélectrique, une
tresse métallique formant le conducteur extérieur.

et l’onde lumineuse avec les fibres optiques qui comportent une âme, fibre de
verre de quelque dizaine de microns.

4.1.6. Les points de distribution

Ils sont placés judicieusement afin de desservir les abonnés, ils sont constitués
de la manière suivante :
- Par des bornes en élévation construites en béton armé ou en polyester, à proximité
immédiatement d’une chambre et en limite de la voirie publique ;
- Par une dérivation réalisée dans la chambre de tirage.
4.1.7. Les barrettes d’arrivée
Se sont les éléments sue lesquels se raccordent les utilisateurs.

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