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Ce cours est destiné aux étudiants qui veulent entamer les enseignements supérieurs
d’architecture ou urbanisme dans une université ou école d’architecture.
Cet enseignement l’initiation à l’architecture et urbanisme est un cours essentiellement
théorique, à issu du quel l’étudiant fera un bon choix pour la poursuite de sa promotion
suit en architecture ou en urbanisme.
Objectif
Les objectifs de ce cours sont :
➢ initier l’étudiant au domaine d’architecture et d’urbanisme.
➢ Familiariser les étudiants aux concepts architecturaux et urbanistiques.
➢ Acquérir l’esprit de rigueur et d’honnêteté facteurs nécessaire et importants pour
exercer le métier et la profession d’architecture et d’urbanisme
➢ Apprendre les différents champs d’action d’architecture et d’urbanisme
➢ Le futur étudiant en architecture et en urbanisme devra apprendre plusieurs disciplines
lie au dessin artistique et technique.
➢ Le dessin technique permet à l’étudiant d’exprimer et de concrétiser ses projets pour les
communiqués à ses semblables, faudra-t-il que ceci soit compressible à tous.
IL existe deux conventions de représentions graphique de dessin :
• La méthode européenne : qui convient pour le petit dessin
Ex : dessin de pied de table
• La méthode américaine : adoptée pour dessiner les conceptions compétentes
Ex : dessin du bâtiment
NB : quel que soit la méthode retenue, le dessin est valable non par sa beauté, mais par
sa valeur technique qui repose sur :
❖ La pensé créatrice : celle-ci favorisée par la découverte scientifique ancienne et nouvelle
savent adopter des solutions actuelle en faisant abstraction des héritages du passé,
source de routine paralysante
❖ Les analyses techniques de recherche ou d’observation.
❖ L’expérimentation car sans elle aucun progrès n’est possible.
Tout cela implique une formation que l’on acquiert au cours d’années et auprès de fort.
Elle permet de retenir la solution la meilleure parmi plusieurs, de résoudre un problème
par l’analyse technique qui tient compte :
• Les connaissances littéraires, mathématiques, technologiques, grâce aux quels l’homme
aujourd’hui est alaise dans le monde mouvant de technique
• Des conditions fonctionnelles à observer et des recherches esthétiques
• Des produits à mettre en œuvre, des moyens mécaniques disponibles et de la
planification professionnelle des exécutants.
• Les possibilités financière qui s’offrent.
Pour toutes ces raisons c’est pour inviter le futur architecte ou urbaniste à savoir créer
une conception satisfaisante par son esprit de recherche, d’analyse, et de synthèse ;
distinguer la différence qui existe entre ce deux branches ( architecte et urbaniste)
En un mot le concepteur doit être un créateur qui sait vivre avec son temps et satisfaire
les besoins et le gout de ses clients sans être une esclave de technique surannée.
CHAPI I ENVIRONNEMENT ARCHITECTURAL
1.5 …………………………………………………………………………………………..
L’architecte est un homme de synthèse et le dessin va avant tout lui permettre de
visualiser de nombreux paramètre du projet au travers les cartes, les schémas.
L’architecte est un professionnel d’espace qui a développé sa capacité d’appréhender et
d’imaginer les volumes. Cet apprentissage et cette maitrise sont impossibles sans
l’assistance des outils de représentation bi et tridimensionnelle.
• Maquette visuel
• Perspective, coupe, élévation
Ces conventions peuvent être très générales propre au domaine de la construction, ou
même particulaire à une spécialité de ce domaine. Elles permettent en tout cas de
représenter de travail de l’espace avec rigueur et précision.
L’architectes est aussi un créateur capable de donner une réponse aux objectifs défini
par le programme de bâtiment envisagé, en tenant compte de contrainte et de moyen
possible (financier et technique)
Le projet constitue une projection cohérente qui dépasse une simple résolution de
problème posé et qui a une valeur ajouté en terme possible. L’activité de création est
évidemment une activité montante, mais elle a besoin de la représentation ou
progresser. L’idée se formalise dans la représentation de celui-ci en retour à l’image de
la réflexion
Malgré la indéniable possibilité de technique affirmative, le dessin en main levée reste, à
ce nouveau, le moyen irremplaçable par sa sobriété (un crayon et un papier)
Relation entre la pensée et le dessin est directe de la ligne passée en main levée
procède un caractère inachevé qui ouvre une multitude des possibilités et évite
l’enfermement trop rapide dans une solution…
1.6 L’ECHELLE
Le terme échelle, rien que dans le domaine d’architecture à des nombreuses
significations différentes ;
L’échelle de perception (bâtiment hors échelle), échelle humaine, échelle de voisinage,
échelle de ville.
Dans le sens restreint de la représentation graphique, c’est le rapport entre la
représentation figuré d’une longueur et la représentation correspondante.
L’échelle est exprimée numériquement :
1/20, 1/50, 1/100
L’Echelle graphique : elle représente un avantage important lors de la réduction ou de
l’agrandissement d’un document, le rapport de l’échelle au dessin est conservé.
1/50, 1/1OO, 1/20 Sont les échelles habituelles du plan.
Les plans d’exécution sont tracés à l’échelle 1/50
Le degré de détail d’un plan dépend de l’échelle utilisée. Certains éléments peuvent avoir
une représentation exagérée selon l’échelle pour augmenter la lisibilité (menuiserie
porte et fenêtre)
Selon l’échelle choisit par le dessin, qui est nécessaire d’adoptée la hiérarchie des traits,
les type de rendu, la représentation plus au moins détaillée des éléments.
1.6 LES DESSIN AU CRAYON
Pour dessiner l’architecte va utiliser quelques instruments nécessaires qui seront
énuméré et dont l’utilisation sera expliquée
Il n’est pas nécessaire d’utilisé au début les matériels couteux, commençons avec les
matériels fondamentaux du dessin (crayon)
Si on veut réellement dessiner il faut connaitre le différent type de crayon, on peut
facilement dessiner en utilisant un crayon Nº2 qui est intermédiaire entre le crayon
tendre et dure, sa mine est faite de graphite et d’argile. Plus la mine contient des
graphites plus elle est tendre, plus elle contient d’argile, plus elle est dure. La mine est
recouverte d’un type de bois.
Le crayon Nº1 est plus adapté au dessin et il est plus tendre. Il donne un noir intense
et une immense……………………… et s’adapte en divers épaisseur
Le crayon Nº3 est dur par l’excellence et n’est pas approprier au dessin artistique.
Même si on intensifie le ton, il est en effet improbable d’obtenir un noir intense. Il a une
mine qui est dure et s’use difficilement, qualité idéale pour le dessin technique
Le crayon Nº4 il est le plus dur de tous, on l’utilise dans le cas où une grande
précision est nécessaire, il faut se rappeler que les crayons qui ont le chiffre 4 sont durs
et ceux qui ont une lettre B sont tendre.
Les crayons que nous avons énumérés précédemment sont de qualité courante et
permettent de dessiner sans grande dépense.
Les crayons de qualités supérieures sont gradués à partir de lettre 7H à 9B
Il existe par ailleurs des crayons fusain et d’autres composés du mine épaisse qui
s’effacent facilement et ils ne sont pas grands. Ils sont employés dans des académies de
dessin et qui ont une mine très épaisse.
Le fusain peut être de forme ronde ou carré employé pour les ombres large.
Il existe évidemment une grande variété de qualité et de nuance.
Avec la pratique on peut apprendre à tous les connaitre et à les utiliser bien attendu.
Les porte-mines sont métalliques et leurs mines sont graduées de la même façon que le
crayon en bois.
Il existe également des porte-mines adaptées au mine d’épaisse pour lesquels le,,,,,,,,,
Pour le dessin technique nous utiliserons le crayon dur H, HB, 2B, 2H
Pour le dessin artistique nous utiliserons le crayon tendre(B).
Ils sont destinés à surprendre le jugement, à éviter de se lancer dans une solution et à
élargir ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;; Ce dessin remplit trois fonctions principales :
Ils sont destinés à surprendre le jugement, à éviter de se lancer dans une solution et à élargir
La 1ere question que le concepteur est invité à se poser est de savoir si l’espace du travail qui lui
est proposé entre l’énoncé du problème et la solution qu’il suggère lui convient. Par souci de
maîtriser les insecticides liée à toutes entreprise nouvelle, le client ou toute sorte d’agent dans la
société tant à définir les espaces de travail aussi réduit que possible en fin que la solution soit les
plus fortement possible définie par la commande.
Il y a en particulier dans la société contemporaine de tendance forte à la normalisation et à la
reproduction de solutions standardisée. Celle-ci ne sont pas nécessairement souhaitable et il
appartient au concepteur de prendre position sur ce point. Mais le concepteur peut se méfier
tout autant de ces préjugés qui contribueront aussi à limiter étroitement le champ de problème
et de solution qui l’est en même déplorer spontanément.
• Un grand fa…………
• Une grande admiration ou des solutions
• Un attachement personnel à certaine forme.
• La stratégie pour s’affranchir consiste à déplacer la tension de la recherche telle qu’il est
posé
Il s’agit donc de transformer l’énoncé analytique du problème en un ensemble de documents
pratiques.
Il s’agit dans un premier temps de créer plusieurs représentations graphiques du problème sans
se préoccuper du tout de la nature de la solution qui peuvent être mis en œuvre.
Il arrive aussi le plus souvent que le problème posé ne soit pas complètement défini et qu’il y a
plusieurs manières possibles de préciser l’énoncé du problème.
Il est toujours souhaitable que ceci soit fait à l’étroite collaboration avec le client, car son
adhésion au projet final sera d’autant plus facile qui l’aura un d’avantage la possibilité de faire
bien solution envisagée par l’architecte ou urbaniste pour défaire dévaloir son propre point de
vie.
Une façon de l’associer à cette phase d’analyse du problème consiste d’envisager 6 questions. :
Une façon simple de définir un problème, consiste à définir les points de vu de différents
utilisateurs habituels ou très inattendus ou encore d’adopter de perspectives théoriques
différentes.
Il s’agit donc de se libérer de la pensée par clichés et de s’affranchir de crois comme des blocages
de l’imagination créatrice en particulier. Il s’agit :
• La perception stéréotypée ;
• Le blocage culture qui dénigre le droit d’humain. Parce que la conception est une chose
sérieuse.
• L’incapacité à adopter des points de vu différents.
Pour cela, il est utile de produire des dessins humoristiques mettant en relief des points de vu
des personnes différentes sur le bâtiment en caricaturant ces points de vue et en y appuyant
l’auteur du projet lui-même Deux autres sources de blocages peuvent être affronter par ce
dessin :
À cette phase de travail les esprits inductifs qui embrochent le dessin Technique d’architecture
et d’urbanisme devinent un instrument privilégié.
Les dessins d’élaboration sont souvent nécessaires en coûts de travail sur les dessins
d’exécutions et même quelques fois en cours de chantier, << le fait de changer de mode
d’expression d’un projet, suscite un nouveau cours de la pensée visuelle, d’autant plus riche que
le travail de clarification a levé le plus de clichés ces dessins sont destinés aux administrations,
qui veillent à l’application des évènements, aux ingénieurs et géomètre qui interviennent dans la
condition et aux entreprises. Ils sont toujours présentés aux clients, mais ils sont rarement
suffisants.
Ils sont destinés à surprendre le jugement, à éviter de ce lancer dans une solution et à élargir
La 1ere question que le concepteur est invité à se poser est de savoir si l’espace du travail qui lui
est proposé entre l’énoncé du problème et la solution qu’il suggère lui convient. Par souci de
maîtriser les insecticides liée à toutes entreprise nouvelle, le client ou toute sorte d’agent dans la
société tant à définir les espaces de travail aussi réduit que possible en fin que la solution soit les
plus fortement possible définie par la commande.
• Un grand fa…………
• Une grande admiration ou des solutions
• Un attachement personnel à certaine forme.
• La stratégie pour s’affranchir consiste à déplacer la tension de la recherche telle qu’il est
posé
Il s’agit donc de transformer l’énoncé analytique du problème en un ensemble de documents
pratiques.
Il s’agit dans un premier temps de créer plusieurs représentations graphiques du problème sans
se préoccuper du tout de la nature de la solution qui peuvent être mis en œuvre.
Il arrive aussi le plus souvent que le problème posé ne soit pas complètement défini et qu’il y a
plusieurs manières possibles de préciser l’énoncé du problème.
Il est toujours souhaitable que ceci soit fait à l’étroite collaboration avec le client, car son
adhésion au projet final sera d’autant plus facile qui l’aura un d’avantage la possibilité de faire
bien solution envisagée par l’architecte ou urbaniste pour défaire dévaloir son propre point de
vie.
Une façon de l’associer à cette phase d’analyse du problème consiste d’envisager 6 questions. :
Il s’agit donc de se libérer de la pensée par clichés et de s’affranchir de crois comme des blocages
de l’imagination créatrice en particulier. Il s’agit :
• La perception stéréotypée ;
• Le blocage culture qui dénigre le droit d’humain. Parce que la conception est une chose
sérieuse.
• L’incapacité à adopter des points de vue différents.
Pour cela, il est utile de produire des dessins humoristiques mettant en relief des points de vu
des personnes différentes sur le bâtiment en caricaturant ces points de vue et en y appuyant
l’auteur du projet lui-même Deux autres sources de blocages peuvent être affronter par ce
dessin :
À cette phase de travail les esprits inductifs qui embroche le dessin Technique d’architecture et
d’urbanisme devine un instrument privilégié.
Les dessins d’élaboration sont souvent nécessaires en coûts de travail sur les dessins
d’exécutions et même quelques fois en cours de chantier, << le fait de changer de mode
d’expression d’un projet, suscite un nouveau cours de la pensée visuelle, d’autant plus riche que
le travail de clarification a levé le plus de clichés ces dessins sont destinés aux administrations,
qui veillent à l’application des évènements, aux ingénieurs et géomètre qui interviennent dans la
condition et aux entreprises. Ils sont toujours présentés aux clients, mais ils sont rarement
suffisants.
1.9 LA PESPECTIVE
La perspective est l’une des connaissances fondamentales qu’il faut acquérir pour
dessiner. Sans elle le dessin ne peut pas bien être construit.
Il faut tenir compte du faites qu’on dessine sur un plan en deux dimension pour obtenir
les trois dimensions de chaque Objet, il faut utiliser la technique de perspective qui a été
découverte et a commencé à être appliquer pendant la renaissance.
Nous allons étudier les règles indispensables pour dessiner correctement. Tout le
monde à observer que plus les objets sont proches, plus on les voit grand ; plus ils sont
éloignés, plus on les voit petit ; tel est le principe de la perspective.
Les éléments fondamentaux qui permettent de l’obtenir sont aux nombre de trois :
• La ligne de terre
• La ligne d’horizon
• Les lignes de fuite
A ces éléments nous pouvons ajouter trois dimensions, la hauteur, la largeur et la
profondeur.
Pour une étude complexe de grand ensemble immobilier il faut donner aux ingénieures en
technique spécialisé et en vacillation leur rôle pour que ceci soit couronné des succès, par
exemple, devons être parfaitement coordonner avec des ingénieures en structure compatible
avec l’acoustique, comptable, l’économie, la fonctionnalité, l’esthétique et autre… ce rôle de
l’architecture difficile entre tous au sein d’une équipe de progrès peut être comparé à celui de
maitre d’orchestre.
Dans le découlement d’une étude, chaque phase depuis le
premiere ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, jusqu’à l’élaboration de document de cahier
d’exécution en pensant par le dossier de demande une coordination spécifique qui est fonction
du niveau de détail exigé pour cette phase.
L’art de chacun consiste alors à organiser ces études de façon a permettre un cheminement aussi
linaire que possible vers le détail de plus en plus fin, et surtout à éviter de tout remettre en
question pour un problème de principe qui n’aurait pas été soulevé suffisamment en temps.
Cette bonne organisation et la prévision de différente phase, sont la base d’un projet réussit ou
chaque intervenant participe effectivement au résultat final.
Dans cet optique il est indispensable que l’architecte procède une bonne compétence en matière, la
structure est effectivement le squelette du bâtiment. Elle est l’élément fondamental mais souvent
invisible, bien que son coût ne représente en général environ 30% du coût total du bâtiment. Lors
de la conception de l’ossature, le dialogue entre l’architecte et l’ingénieur est essentiel pour aboutir
à des choix performants et économiques.
D’autre part aujourd’hui, les objectifs de développement durable et la notion de haute qualité
environnementale sont des éléments dont il faut tenir compte de la 1ère esquisse, souvent en
complémentarité d’étude spécifique.
Lors de la conception de l’ossature, si la préoccupation du coût doit être présent, il faut avant tout
avoir à l’esprit tous les facteurs qui auront une influence sur le comportement physique de la
construction : La nature du sol, la fondation, nappe aquifère, construction rivelaine, porté, charge,
déformation, matériaux de seconde œuvre, mouvement thermique, retrait, résistance au feu.
Tout défaut, toute erreur ou toute négligence dans la conception pour le calcul, se traduira par des
désordres qui affecteront la durabilité, l’occupation, la technique de parachèvement et par
conséquent la valeur du bâtiment.
La fonction de l’ingénieure est non seulement de concevoir
l’ossature et de calculer mais aussi de conseiller le maitre d’ouvrage et l’architecte sur les
meilleures options à prendre en fin d’obtenir un résultat correspondant aux caractéristiques des
performances souhaitées par le client ou l’utilisateur final.
Les ingénieures et les architectes sont donc interdépendants dans cette démarche et leur objectif
doit être commun et leur relation sont basées sur la confiance, la notion de qualité de service et sur
la compétence. Le dialogue n’est en effet possible qu’entre professionnels qui se comprennent. Ce
dans ce but que sont dispensés ce cours de stabilité de construction et conception de structure aux
futures architectes. Les objectifs de ce cours sont multiple mais retenons les principaux :
✓ Bien comprendre le fonctionnement de structure simple pour pouvoir anticiper des choix
raisonnable et réaliste
✓ Assimiler la mécanique de transfert d’effort et le principe de la distribution de contrainte
dans les structures en fin d’en apprécier au mieux les performances et les domaines
d’utilisation
✓ Appréhender les comportements de matériaux sous contrainte
La complémentarité des architectes et des ingénieurs doit devenir, pour les étudiant une évidence
de telle façon qu’ils puissent collaborer harmonieusement avec tous les acteurs de la construction,
et que les uns et les autres gardent toujours au sein de l’équipe une place digne de leur compétence
et de la part qui fournissent à la réussite d’un projet.
Ayant suivi le cours de base de conception de structure, les étudiant sont prêts alors à aborder les
questions complexe liées à la morphologie culturelle, ou la forme des objets dépend entre autre de
la logique culturelle.
Le cheminement des efforts et les fonctionnements de structure devinent, dans ce cas des éléments
de composition. Les étudiants en architecture sont donc amener à comprendre le mécanisme de
répartition des efforts interne, à sentir, plus à calculer. Une bonne conception architecturale est
avant tout, un concept structurel clair, logique et bien compris.
CHAPITRE II ENVIRONNEMENT URBANISTIQUE
Dentition et missions
2.1 Définition : la définition de l’urbanisme n’est pas aise selon étiologie du mot, le
terme urbanisme par sa racine, latin ‹‹ URBS ›› Vient de ville, de cité. D’après le
dictionnaire la rousse l’urbanisme est l’ensemble des mésuses techniques, admirative,
économique et sociale qui doivent permettre développement harmonieux, rationnel et
humain des agglomérations.
Pour la section française de l’union internationale des architectes, urbaniste est l’art de
prévoir et de réaliser les milieux favorable à la naissance et aux développements de
société humaine et au plein épanouissement de leurs valeur sociale et spirituelle
Selon le rédacteur,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, cette dernière est connu comme la bible de
la profession de l’urbanisme
L’urbanisme est l’aménagement de lieu et de locaux divers qui doivent appliquer le
développement de la vie matérielle, sentimentale et spirituelle dans toute manifestation
individuelle ou collective.
II.2 Mission
❖ Mission générale : ces fonctions de penser, de planifier et d’organiser la mise en
forme de l’espace des agglomérations, l’urbanisme est appelé :
• Proposer une organisation réfléchit de territoire constitue par les espace
naturel, urbain et rivaux dans le respect de l’intérêt général et la recherche
d’équilibres et :::::::::::::::::::::::::::::::::::
• Coordonner le développement et la création de vile
• Mettre de l’ordre dans le tissu urbain ancien en le restituant
• Freiner la spéculation de foncière qui engage la physionomie d’un quartier ou
d’une ville en préconisant la réserve financière
• Contrôler l’occupation et l’utilisation du sol support
➢ Mission secondaire : à faire de professionnel dont l’action et inséparable de
celle de la puissance public, l’urbanisme à cependant d’autre misions portant sur :
Dans la disposition de bâtiment
La structuration de réseaux de communication et des équipements publics
La mise en œuvre de pratique urbaine (logement, environnement, zone d’activité).
Plus généralement
On peut retenir dans tout cela que l’urbanisme a pour mission de prévoir et de
réaliser les milieux favorables à la naissance et au développement des sociétés
humaines et au plein épanouissement de leur valeur sociale et spirituelle.
CHAP III CONCEPT ARCHITECTURAL
1. Le client ordinaire :
Il commande en général un petit bâtiment, ignore les contraintes de la construction, le rôle qui la
incombe dans la définition de la commande et ce qui peut attendre de l’architecte, celui-ci doit
donc l’informer et en même temps se substituer largement au client pour définir la commande.
2. Le client habituel : il passe le plus souvent une succession des commandes pas nécessairement
de même nature mais toutes liées à un même domaine d’activité( succursale, Bâtiment,
d’extension et de réhabilitation successive…) il acquiert au cour du temps une certaine
connaissance de modalité de travail et de compétences d’un architecte avec qui il houe une
réalisation de travail qui leur permet à l’un et à l’autre de se communiquer rapidement
l’essentiel pour une nouvelle commande.
3. Le client expert :
Il a non seulement l’assurance qu’il sait précisément ce dont qu’il a besoin mais il se sent
compétent pour l’organisation du processus de construction. Il s’agit le plus souvent Le maître
d’ouvrage public chargé d’un vaste programme de construction (ensemble de logements,
rénovation urbaine, hôpital…). Il s’appuie souvent sur les compétences d’architecte qui l’emploie
dans son organisme pour définir des programmations élaborée avant de passer la commande de
l’architecte. Ce type de client contribue à l’exploitation claire et à l’organisation dans le plan de la
commande.
4. Client extraordinaire :
Il définit la méthode scientifique dans les termes suivant : elle consiste en principe et procédure
utilisée dans la poursuite systématique du savoir accessible à la communication intersubjective
imposant les conditions nécessaires suivantes :
La démarche traditionnelle des résolutions de problème d'architecture tel qu'il conçoit sur un
cheminement parallèle :
➢ Définition : établissement des objectifs
➢ Rassemblement des informations
➢ Analyse du problème.
➢ Examen de la solution
➢ Résolution du problème qu’on appelle communément l’établissement du projet.
Les premières étapes de ces processus ont pour objectif d’aboutir à un problème correctement
formulé et les dernières à la résolution du problème.
En matière d’architecture il est souhaitable de bien distinguer entre ces deux phases et des
analysées plus finement chacun.
A. Programmation
La programmation peut être conduite selon et de celui qui a afin de tenir compte de de
l'importance d'une clarification de besoin satisfaire. Elle constituera très schématiquement en
deux phases :
➢ Définir les objectifs
➢ ressembler analyser les données
➢ mettre au jour et tester les concepts
➢ déterminer les besoins
➢ énoncer les problèmes.
La programmation constitue donc une phase d'analyse l'ordre des étapes dans cette analyse ne
pas nécessairement rigide comme serait le cas pour un algorithme mais l’énoncé du problème
constitue nécessairement la dernière étape.
Cette analyse quand il s'agit d'un problème d’architecture, doit prendre à chaque phase les 4
domaines distincts suivant les fonctions, les formes, l'économie et la durée.
Les objectifs sont destinés à permettre à l'architecte de savoir ce que veut réaliser le client et
pourquoi il le veut.
Les objectifs doivent être cohérents avec le concept. En effet les objectifs sont les finalités et des
concepts de moyen pour les atteindre.
Les concepts ne sont bien entendu que les idées mais au niveau de la programmation, se sont de
idée relative à des solutions en terme fonctionnel ou de terme d'organisation répondant à la
préoccupation du client.
Les concepts de programmation ne doivent pas être confondus avec le concept du projet qui est
le type de réponse en termes de construction à de problème de programmation.
Cette dernière expression qui tire de la théorie de Phase de graphe indique un processus de
décision sans feedback : on ne revient pas en arrière sur une décision, par ailleurs, le plus est
animé à effectuer le choix,………………………………,………,………………………………………………………
B. La conduite de l’opération.
P ESP EFP DE C
❖ La phase de conception :
P ESP EFP
Ces trois éléments constituent l’état de la conception.
P EP
Tout fois William Pena envisage des phases de programmation alterne avec des phases
…,………………………..
P ESP
Décrit à ces termes, cette méthodologie semble laisser dans l’ombre une partie essentielle
processus de conception à savoir : élaboration du projet lui-même. En fin ce n’est partout a fait
vrai car la mise en place d’un système d’énonce très précis portant sur les fonctions du coût, la
durée quand en réduire considérablement le domaine d’incertitude au moment d’élaboration de
projet de construction.
L’activité créatrice de l’architecte consiste à organiser l’espace définie pour divers besoins
sociaux comme étant propriété matérielle et spirituelle. Parmi le problème que rencontre
l’architecte ou l’urbaniste il se trouve celui de composition de création d’harmonie et de
production de l’expression artiste.
L’art de composition à n’importe quel type d’art est la base du professionnalisme dans la
création. La composition est l’étape la plus importante de l’expression artiste. Par composition
nous sous-entendons la structure de l’œuvre artistique, la disposition des éléments de base est
particulière dans un système définie et successive. On peut dire que le contenu d’une œuvre
artistique est conditionné par l’unité et l’intégralité de forme de l’œuvre. La composition doit
être vu sur deux aspect cohérassionnel comme :
• Processus de la création artistique càd résoudre l’exercice concret de la composition.
• Comment réaliser cette composition proprement dite.
Les éléments en harmonie se trouvent entre eux dans une relation inséparable de
proportionnelle.
Chaque élément n’apparaît pas seulement dans une valeur…………………… mais dans une dans
une subordination de la forme d’intégrale. De ce fait la forme acquiert l’unité en particulier et
dans son ensemble.
Dans cette unité il n’y a pas d’éléments et des relations fortuits. Ce pourquoi l’unité et
l’intégralité sont considérés comme de principe de base de la composition.
Toute pratique de la quel que soit les tendances, y compris l’architecture démontre
irréfutablement la vitalité les principes de l'unité et de l'intégrité de la composition à l'absence
de l’unité et d'intégration la forme perd ses propriétés expressive et devient un préjudice à
l’esthétique.
L’origine de l’objectivité dans la composition se manifeste dans les contenues artistique qui
incarne l'auteur dans la matière de l’art et qui est commissionné par la réalité.
La piste est beaucoup lié au monde extérieur à la société où il vit à la culture qu'il s’entande,
l’état d'esprit de la société qui constitue sa particularité de ses émotions etc…
Avec tout cela l'auteur lui-même ne rend pas toujours compte de ces conditions objectifs dans
ces mêmes cadres se trouve la réalité objectifs de la forme objective (cela se résume en un terme
courant : l’architecture se déroule dans le temps dans l’espace.
N’importe quel artiste doit prendre en compte des exigences objectives de matériaux de l’art.
L’écrivain doit procéder le mot, le peintre doit avoir la connaissance de couleur et les principes
de Mélange de leur couleur, l’esprit pe est sensé présenter honnêtement.
L’expérience du développement de chacun dans une certaine mesure s’est senti apparente dans
la matière.
En général acquérir un langage acoustique est un exercice complexe. Les connaissances dans la
composition peuvent être amassées sous de renseignements fortuits mis volontairement dans la
mémoire ou par l’entrée continue de diverses activités acquises grâce aux études. Dans ce cas, le
volume et le contenu des informations utile en matière de composition sont absolument vaste et
systématiquement, mais le processus lui-même, évolue efficacement dans une période très
courte.
Les activités de différente école d’art nous le démontre d’une manière dynamique et
convaincante. La connaissance se principe de composition rationalise l’activité professionnelle,
augmente la vivacité du résultat de la réalisation.