Vous êtes sur la page 1sur 24

INTRODUCTION

Ce cours est destiné aux étudiants qui veulent entamer les enseignements supérieurs
d’architecture ou urbanisme dans une université ou école d’architecture.
Cet enseignement l’initiation à l’architecture et urbanisme est un cours essentiellement
théorique, à issu du quel l’étudiant fera un bon choix pour la poursuite de sa promotion
suit en architecture ou en urbanisme.
Objectif
Les objectifs de ce cours sont :
➢ initier l’étudiant au domaine d’architecture et d’urbanisme.
➢ Familiariser les étudiants aux concepts architecturaux et urbanistiques.
➢ Acquérir l’esprit de rigueur et d’honnêteté facteurs nécessaire et importants pour
exercer le métier et la profession d’architecture et d’urbanisme
➢ Apprendre les différents champs d’action d’architecture et d’urbanisme
➢ Le futur étudiant en architecture et en urbanisme devra apprendre plusieurs disciplines
lie au dessin artistique et technique.
➢ Le dessin technique permet à l’étudiant d’exprimer et de concrétiser ses projets pour les
communiqués à ses semblables, faudra-t-il que ceci soit compressible à tous.
IL existe deux conventions de représentions graphique de dessin :
• La méthode européenne : qui convient pour le petit dessin
Ex : dessin de pied de table
• La méthode américaine : adoptée pour dessiner les conceptions compétentes
Ex : dessin du bâtiment
NB : quel que soit la méthode retenue, le dessin est valable non par sa beauté, mais par
sa valeur technique qui repose sur :
❖ La pensé créatrice : celle-ci favorisée par la découverte scientifique ancienne et nouvelle
savent adopter des solutions actuelle en faisant abstraction des héritages du passé,
source de routine paralysante
❖ Les analyses techniques de recherche ou d’observation.
❖ L’expérimentation car sans elle aucun progrès n’est possible.
Tout cela implique une formation que l’on acquiert au cours d’années et auprès de fort.
Elle permet de retenir la solution la meilleure parmi plusieurs, de résoudre un problème
par l’analyse technique qui tient compte :
• Les connaissances littéraires, mathématiques, technologiques, grâce aux quels l’homme
aujourd’hui est alaise dans le monde mouvant de technique
• Des conditions fonctionnelles à observer et des recherches esthétiques
• Des produits à mettre en œuvre, des moyens mécaniques disponibles et de la
planification professionnelle des exécutants.
• Les possibilités financière qui s’offrent.
Pour toutes ces raisons c’est pour inviter le futur architecte ou urbaniste à savoir créer
une conception satisfaisante par son esprit de recherche, d’analyse, et de synthèse ;
distinguer la différence qui existe entre ce deux branches ( architecte et urbaniste)
En un mot le concepteur doit être un créateur qui sait vivre avec son temps et satisfaire
les besoins et le gout de ses clients sans être une esclave de technique surannée.
CHAPI I ENVIRONNEMENT ARCHITECTURAL

1.1 ARCHITECTURE, BATIMENT, ARCHITECTE


Pour essayer d’y voir Claire, il faut d’abord définir ce que c’est un architecte.
On peut donner la définition suivant :
L’Architecture : est l’art d’organiser un espace, d’en construire les limites et les
rendre habitable
Tenant compte de moyen dont il dispose, mais également de nombreuse contraintes qui
s’imposent à lui, l’architecte devra essayer de réaliser des objectifs qu’il aura défini avec
son commendataire, ces objectifs s’expriment en terme de budget, de délai et de la
qualité de réalisation.
La question de la qualité, très actuelle mérite quelque éclaircissement, le grand public
pensera bien évidemment à la qualité du bâtiment entant que produit càd la manière
dont le bâtiment répond aux attente du client.
Un bâtiment : est cependant un produit particulier lié à un milieu physique, social, et
culturel.
Aujourd’hui avec le développement de l’assurance qualité, on fera souvent la référence à
la qualité du service ;
• Respect des engagements contractuels, du budget, de délai...
• La qualité de ces prestations aura très vraisemblablement une influence sur la qualité du
produit, mais ne la garanti pas nécessairement.
Mais il existe encore un troisième niveau de qualité, de tout autre ordre. Il s’agit de la
qualité de l’architecture. Celle-ci ne découle pas automatiquement de deux autres sur
lesquels elle s’appuie. C’est ainsi qu’un bâtiment correctement construit et qui satisfait
aux attentes de… peut ne pas être considérer comme de l’architecture, alors que la
qualité architecturelle peut être perceptible dans le projet non réalisé. Comme on peut le
voir, le travail de l’architecte est complexe et riche. Il lui suffit une formation de 7ans de
nouveau universitaire compléter par une formation professionnelle complémentaire.
Au terme de long parcours de la formation on pourra donc embrasser la profession
d’architecture, mais cette profession peut se définir sous divers forme, qu’on peut
trouver des architectes :
• Architecte indépendant
• Architecte appointée
• Architecte spécialiste à l’architecture l’hospitalière
• Architecte polyvalent
Lorsqu’on attend parler des difficultés de la profession, celle-ci fait le plus souvent
référence des architectes incluent sur le tableau de l’ordre et on peut constater que ce
sont surtout des petits bureaux qui apparaissent les plus touchés et c’est donc l’image
de l’architecture libérale qui semble remise en question.
Face à ce multiple des métiers de mode pratique comment encore assurer la formation
de futur architecte ?
Il faut dire que tout une série (d’architecte) d’aspect d’un professionnel d’ailleurs
souvent lié à la pratique libérale, ne peut valablement acquérir au cours de la formation
professionnelle pour raison de temps disponible.
Les écoles d’architecture et les universités doivent donc toujours veiller à assurer les
socles de compétence de base, valable pour tout le métier d’architecture.
1.2 A TOUT D’UNE FOMATION SPECIFIQUE
Quel est donc ces socles de base ?
On évoque souvent le dessin car celui-ci est un outil essentiel qui permet de
communiquer et qui est le prolongement et le support de l’acte de création de
l’architecte.
Dans la formation académique de l’architecture, une place importante est à louer à
l’apprentissage du dessin sur toute les forme, mais il faut cependant noter que le dessin
ne constitue pas la finalité de l’acte architecturale dont l’objectif reste de produire non
un beau dessin mais un beau et bon bâtiment
Esprit de synthèse est évidemment essentiel compte tenu de la complexité de projets qui
doivent prendre en compte une grande variété de paramètre.
La capacité de création constitue une autre compétence de l’architecture.
Une grande partie de formation de l’étudiant en architecture est en effet consacrée à
l’apprentissage d’atelier qui conduit le travail individuel, travail de groupe, le dialogue
avec le maitre et la comparaison avec la composition des autres. Mais s’il est une
compétence du travail de l’architecte, c’est bien la capacité de représenter et d’imaginer
les espace.
• L’enseignement de la géométrie descriptive dans des études secondaires facilite cette
capacité dont nous avons parlée précédemment.
L’étudiant qui n’a pas lu (compris) le cours de la géométrie descriptive est situé aux
divers problèmes,
C’est ce qui explique qu’on retrouve les diplômés en architecture où cette compétence
n’est pas bien maitrisée.
…………………………………………………………………………….
Ici encore le travail de l’atelier est essentiel comme on peut s’en rendre compte, la
formation de l’architecte doit embrasser une multitude d’aspect qui n’est pas
d’approfondir de façon individuel durant les années de la formation académique.
Ce qui est essentiel et qui constitue finalement la particularité et le fond commun à tous
les diplômés en architecture, ce sont donc des capacités fondamentaux qui sont ; la
maitrise d’espace, la créativité et l’esprit de synthèse.

1.3 DESSINS ET MOTS


Le dessin est un outil essentiel pour l’architecte, qu’il dessine aux instruments ; avec le T,
l’équerre, par l’entremise d’un ordinateur et une souris, en main levée, sur une table, sur
un mur, avec un crayon, stylo en bille, un marqueur, une craie. Le dessin est pour lui un
incomparable instrument de communication et l’expression, mais aussi un outil
artistique au service de la créativité
1.4 LES DIFFERENTS TYPES DE DESSINS
1. Croquis :
2. Esquisse : un dessin en main levée respectant les proportions en vi d’une étude.
3. Etude : c’est un dessin avant-projet en petite échelle exécuté aux instruments à partir
d’une esquisse.
4. projet : dessin en grande échelle à partir d’un mis au point d’une étude.
5. Plan d’ensemble : dessin en petite échelle montrant les détails principaux de la
construction
6. Plan de situation : dessin inculquant l’emplacement du terrain par rapport à de
repère fixé facilement repérable.
7. Plan de masse : situation de la construction sur terrain.
8. Perspective :

1.5 …………………………………………………………………………………………..
L’architecte est un homme de synthèse et le dessin va avant tout lui permettre de
visualiser de nombreux paramètre du projet au travers les cartes, les schémas.
L’architecte est un professionnel d’espace qui a développé sa capacité d’appréhender et
d’imaginer les volumes. Cet apprentissage et cette maitrise sont impossibles sans
l’assistance des outils de représentation bi et tridimensionnelle.
• Maquette visuel
• Perspective, coupe, élévation
Ces conventions peuvent être très générales propre au domaine de la construction, ou
même particulaire à une spécialité de ce domaine. Elles permettent en tout cas de
représenter de travail de l’espace avec rigueur et précision.
L’architectes est aussi un créateur capable de donner une réponse aux objectifs défini
par le programme de bâtiment envisagé, en tenant compte de contrainte et de moyen
possible (financier et technique)
Le projet constitue une projection cohérente qui dépasse une simple résolution de
problème posé et qui a une valeur ajouté en terme possible. L’activité de création est
évidemment une activité montante, mais elle a besoin de la représentation ou
progresser. L’idée se formalise dans la représentation de celui-ci en retour à l’image de
la réflexion
Malgré la indéniable possibilité de technique affirmative, le dessin en main levée reste, à
ce nouveau, le moyen irremplaçable par sa sobriété (un crayon et un papier)
Relation entre la pensée et le dessin est directe de la ligne passée en main levée
procède un caractère inachevé qui ouvre une multitude des possibilités et évite
l’enfermement trop rapide dans une solution…
1.6 L’ECHELLE
Le terme échelle, rien que dans le domaine d’architecture à des nombreuses
significations différentes ;
L’échelle de perception (bâtiment hors échelle), échelle humaine, échelle de voisinage,
échelle de ville.
Dans le sens restreint de la représentation graphique, c’est le rapport entre la
représentation figuré d’une longueur et la représentation correspondante.
L’échelle est exprimée numériquement :
1/20, 1/50, 1/100
L’Echelle graphique : elle représente un avantage important lors de la réduction ou de
l’agrandissement d’un document, le rapport de l’échelle au dessin est conservé.
1/50, 1/1OO, 1/20 Sont les échelles habituelles du plan.
Les plans d’exécution sont tracés à l’échelle 1/50
Le degré de détail d’un plan dépend de l’échelle utilisée. Certains éléments peuvent avoir
une représentation exagérée selon l’échelle pour augmenter la lisibilité (menuiserie
porte et fenêtre)
Selon l’échelle choisit par le dessin, qui est nécessaire d’adoptée la hiérarchie des traits,
les type de rendu, la représentation plus au moins détaillée des éléments.
1.6 LES DESSIN AU CRAYON
Pour dessiner l’architecte va utiliser quelques instruments nécessaires qui seront
énuméré et dont l’utilisation sera expliquée
Il n’est pas nécessaire d’utilisé au début les matériels couteux, commençons avec les
matériels fondamentaux du dessin (crayon)
Si on veut réellement dessiner il faut connaitre le différent type de crayon, on peut
facilement dessiner en utilisant un crayon Nº2 qui est intermédiaire entre le crayon
tendre et dure, sa mine est faite de graphite et d’argile. Plus la mine contient des
graphites plus elle est tendre, plus elle contient d’argile, plus elle est dure. La mine est
recouverte d’un type de bois.
Le crayon Nº1 est plus adapté au dessin et il est plus tendre. Il donne un noir intense
et une immense……………………… et s’adapte en divers épaisseur
Le crayon Nº3 est dur par l’excellence et n’est pas approprier au dessin artistique.
Même si on intensifie le ton, il est en effet improbable d’obtenir un noir intense. Il a une
mine qui est dure et s’use difficilement, qualité idéale pour le dessin technique
Le crayon Nº4 il est le plus dur de tous, on l’utilise dans le cas où une grande
précision est nécessaire, il faut se rappeler que les crayons qui ont le chiffre 4 sont durs
et ceux qui ont une lettre B sont tendre.
Les crayons que nous avons énumérés précédemment sont de qualité courante et
permettent de dessiner sans grande dépense.
Les crayons de qualités supérieures sont gradués à partir de lettre 7H à 9B
Il existe par ailleurs des crayons fusain et d’autres composés du mine épaisse qui
s’effacent facilement et ils ne sont pas grands. Ils sont employés dans des académies de
dessin et qui ont une mine très épaisse.
Le fusain peut être de forme ronde ou carré employé pour les ombres large.
Il existe évidemment une grande variété de qualité et de nuance.
Avec la pratique on peut apprendre à tous les connaitre et à les utiliser bien attendu.
Les porte-mines sont métalliques et leurs mines sont graduées de la même façon que le
crayon en bois.
Il existe également des porte-mines adaptées au mine d’épaisse pour lesquels le,,,,,,,,,
Pour le dessin technique nous utiliserons le crayon dur H, HB, 2B, 2H
Pour le dessin artistique nous utiliserons le crayon tendre(B).

1.8 LES FOCTION DU DESSIN


La réflexion sur la capacité tant à focaliser l’attention sur la production de l’intuition
première qui mène vers la solution d’un problème.
Le travail de la conception architectural ou urbanistique ressemble à un parcours
d’obstacle au cours duquel sont rencontré …………………………………………………………. Apres
plusieurs jours de travail peuvent être la conséquence de choix de solution envisagée au
début du processus.
En réalité, la succession de problèmes rencontrés et leur complexité dépend souvent de
la démarche à suivie que de la nature du problème à traiter.
L’étude de différent type de dessin fournis par un bureau d’étude, devrait reconnaitre
pratiquement les fonctions remplie par chaque type de dessin par rapport à l’ensemble
de processus et préparer ainsi une étude empirique de la structure du processus de la
conception.
C’est une étude qui n’existe pas à notre connaissance par conséquent, les enseignants
dans les écoles et faculté d’architecture et urbanisme se sont souciés de proposer une
définition de différente fonction qu’ils assignent au dessin dans leur enseignement et de
la pratique architecturale et urbanistique. William Kirby distingue une succession
d’usage du dessin qui commande des recours à de technique différente dont nous nous
inspirons…..
1.8.1 DESSINS DESTINES A EXPLORER LE PROBLEME
Ces dessins remplissent trois fonctions principales :

Ils sont destinés à surprendre le jugement, à éviter de se lancer dans une solution et à
élargir ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;; Ce dessin remplit trois fonctions principales :
Ils sont destinés à surprendre le jugement, à éviter de se lancer dans une solution et à élargir

La 1ere question que le concepteur est invité à se poser est de savoir si l’espace du travail qui lui
est proposé entre l’énoncé du problème et la solution qu’il suggère lui convient. Par souci de
maîtriser les insecticides liée à toutes entreprise nouvelle, le client ou toute sorte d’agent dans la
société tant à définir les espaces de travail aussi réduit que possible en fin que la solution soit les
plus fortement possible définie par la commande.
Il y a en particulier dans la société contemporaine de tendance forte à la normalisation et à la
reproduction de solutions standardisée. Celle-ci ne sont pas nécessairement souhaitable et il
appartient au concepteur de prendre position sur ce point. Mais le concepteur peut se méfier
tout autant de ces préjugés qui contribueront aussi à limiter étroitement le champ de problème
et de solution qui l’est en même déplorer spontanément.

Ces limitations peuvent prévenir de diverse source

• Un grand fa…………
• Une grande admiration ou des solutions
• Un attachement personnel à certaine forme.
• La stratégie pour s’affranchir consiste à déplacer la tension de la recherche telle qu’il est
posé
Il s’agit donc de transformer l’énoncé analytique du problème en un ensemble de documents
pratiques.

Il s’agit dans un premier temps de créer plusieurs représentations graphiques du problème sans
se préoccuper du tout de la nature de la solution qui peuvent être mis en œuvre.

Il arrive aussi le plus souvent que le problème posé ne soit pas complètement défini et qu’il y a
plusieurs manières possibles de préciser l’énoncé du problème.
Il est toujours souhaitable que ceci soit fait à l’étroite collaboration avec le client, car son
adhésion au projet final sera d’autant plus facile qui l’aura un d’avantage la possibilité de faire
bien solution envisagée par l’architecte ou urbaniste pour défaire dévaloir son propre point de
vie.

Une façon de l’associer à cette phase d’analyse du problème consiste d’envisager 6 questions. :

✓ Sous quelle forme dessiner doit-on se représenter la totalité du


problème.
On dispose un choix important entre les représentations sous forme de diagramme, de matrice
et des réseaux.
On peut aussi établir un système de convention d’usage de la couleur, pour représenter les
différents usages du futur bâtiment et la fréquence de leur usage. En bref, on peut définir avec le
client un langage d’expression visuelle d’idée abstraite de nature systémique. On recherche alors
en quoi le projet engage les choix au niveau plus élevé, si le projet doit se fondre ou caché par
rapport à l’environnement, si le projet contribue au non à la solution d’un problème régional.

✓ Quelle information complémentaire peut-on trouver par rapport à ce


problème ou à d’autres problèmes analogue ?
Il est question ici de rassembler des informations et traduire sous forme graphique.

✓ Quelles sont les manières alternatives d’envisager le problème ?


On peut toujours le considérer comme un sous problème d’un problème plus vaste. Qui se pose
l’échelle du quartier, de la ville, de la province et du pays. On cherchera à connaître alors à quoi
le projet engage le choix au niveau plus élevé si le projet contribue ou non. On peut aussi
envisager le problème comme un tout en soit susceptible de se décomposer en sous problème et
chercher les différents modes de décomposition possible.

✓ Quelle sont les analogies utiles pour aborder le problème ?


Le choix d’analogie peu inciter à créer de nouvelles manières de décomposer un problème et
peut siccité la reformulation inattendues aux problèmes qui amènent à examiner les aspects qui
auraient être ignorés…………

Une façon simple de définir un problème, consiste à définir les points de vu de différents
utilisateurs habituels ou très inattendus ou encore d’adopter de perspectives théoriques
différentes.

✓ Quelle sont les différentes manières de conduire le processus de


conception envisageable ?
• Dans quel ordre et dans combien de temps doit-on trouver une solution ?
• Quel sont le aspect critique du projet ?
• Quelle sont les décisions cruciales ?
• Comment sera organisée la communication avec le client, avec d’autres personnes
concernées ?
• Quelle est la phase cruciale dans le rapport avec le client ?
• Sur quoi le concepteur fera-t-il un effort particulier de créativité.
Toutes les réponses à ces questions devraient l’objet d’un effort de représentations graphique. A
ce stade, le dessin doit être au service de la pensée schématique.

1.8.2 Dessin de clarification


La clarification a pour but de s’assurer que la formulation du problème qui était retenu ne
conduit pas aux solutions toutes faites et aux incompatibilités entre certaine d’entre elle.

Il s’agit donc de se libérer de la pensée par clichés et de s’affranchir de crois comme des blocages
de l’imagination créatrice en particulier. Il s’agit :

• La perception stéréotypée ;
• Le blocage culture qui dénigre le droit d’humain. Parce que la conception est une chose
sérieuse.
• L’incapacité à adopter des points de vu différents.
Pour cela, il est utile de produire des dessins humoristiques mettant en relief des points de vu
des personnes différentes sur le bâtiment en caricaturant ces points de vue et en y appuyant
l’auteur du projet lui-même Deux autres sources de blocages peuvent être affronter par ce
dessin :

• La peur de se tromper à la quelle on peut s’attacher en dessinant les exemples


invraisemblable des réponses aux problèmes.
• La référence culturelle pour la critique des idées, au détriment de leur inventions : ces
dessin ne constituent pas de fin en lui-même, mais seulement des moyen grâce auxquels
des idées absurdes, interdite ou sans intérêt peuvent suggérer une modification de la
manière d’envisager le problème. Les jeux par le dessin servent à préparer de
reformulation de problèmes, et des esquisses d’intention. Les dessins qui en résultent
constituent un catalogue des synthèses alternatives, relative aux aspects divers du
problème d’ensemble. Il ne s’agit pas donc d’une démarche de la réduction de la variété
de solutions imaginables mais plutôt d’un travail d’explication des voies de propositions
le plus divers possible.

1.8.3 Dessins d’élaboration


Ces dessins ont pour but de rechercher les propositions de solutions partielles à une partie
spécifique du problème. Ils peuvent être……….. Par superposition des indépendante ou par
déformation successive d’une proposition répondant à une à une intention simple mais y sont
soumis par l’analyse à partir des critères emprunter à l’énoncé du problème dans un premier
temps, Ces dessin servent à rechercher une direction, il convient de poursuivre ce travail à partir
de perspective différentes et surtout en s’attaquant aux aspects successifs du problème jusqu’à
ce que les aspects du problème soient abordée, l’essentiel des aspects.
On attend alors une phase du travail qui consiste à établir les directions de conception à partir
de la mise en relation plusieurs des directions explorées précédemment.

À cette phase de travail les esprits inductifs qui embrochent le dessin Technique d’architecture
et d’urbanisme devinent un instrument privilégié.

1.8.4 Dessin d’exécution


Une fois obtenu la conceptualisation graphique de solutions, il est possible et nécessaire de
changer de moyens d’expression et de s’attaquer à l’élaboration de dessin d'exécution
conformément aux conventions graphique en l’usage dans le bâtiment.
Ce travail relèvera inévitablement des problèmes inattendus et il faut les sépares aussi
nettement que nous les faisons dans les phases successives de travail.

Les dessins d’élaboration sont souvent nécessaires en coûts de travail sur les dessins
d’exécutions et même quelques fois en cours de chantier, << le fait de changer de mode
d’expression d’un projet, suscite un nouveau cours de la pensée visuelle, d’autant plus riche que
le travail de clarification a levé le plus de clichés ces dessins sont destinés aux administrations,
qui veillent à l’application des évènements, aux ingénieurs et géomètre qui interviennent dans la
condition et aux entreprises. Ils sont toujours présentés aux clients, mais ils sont rarement
suffisants.

1.8.5 Dessin d’exposition


Ces sont des dessins qui sont destinés à suggérer l’expérience de l’espace dont on pourra
bénéficier une fois le bâtiment achevé. Ces dessins peuvent faire l’appel à un très grand nombre
des techniques de rendu, et jouent un rôle considérable à la fois dans l’acceptation du projet du
client, mais aussi dans son acceptation par les critiques architecturales et sa diffusion éventuelle
par la presse professionnelle : celle-ci ayant ses modes, il se peut que les techniques de dessin
retenus soient choisis en fonction du support de publicité ultérieures. Le dessin peut certes
prendre toute sorte de forme mais celle-ci ne nous renseigne pas sur l’habilité des dessinateurs
qui travaillent avec l’architecte, mais surtout la perspective de diffusion de son travail qu’il
envisage.

Ce dessin remplit trois fonctions principales :

Ils sont destinés à surprendre le jugement, à éviter de ce lancer dans une solution et à élargir

La 1ere question que le concepteur est invité à se poser est de savoir si l’espace du travail qui lui
est proposé entre l’énoncé du problème et la solution qu’il suggère lui convient. Par souci de
maîtriser les insecticides liée à toutes entreprise nouvelle, le client ou toute sorte d’agent dans la
société tant à définir les espaces de travail aussi réduit que possible en fin que la solution soit les
plus fortement possible définie par la commande.

Il y a en particulier dans la société contemporaine de tendance forte à la normalisation et à la


reproduction de solutions standardisée. Celle-ci ne sont pas nécessairement souhaitable et il
appartient au concepteur de prendre position sur ce point. Mais le concepteur peut se méfier
tout autant de ces préjugés qui contribueront aussi à limiter étroitement le champ de problème
et de solution qui l’est en même déplorer spontanément.
Ces limitations peuvent prévenir de diverse source

• Un grand fa…………
• Une grande admiration ou des solutions
• Un attachement personnel à certaine forme.
• La stratégie pour s’affranchir consiste à déplacer la tension de la recherche telle qu’il est
posé
Il s’agit donc de transformer l’énoncé analytique du problème en un ensemble de documents
pratiques.
Il s’agit dans un premier temps de créer plusieurs représentations graphiques du problème sans
se préoccuper du tout de la nature de la solution qui peuvent être mis en œuvre.

Il arrive aussi le plus souvent que le problème posé ne soit pas complètement défini et qu’il y a
plusieurs manières possibles de préciser l’énoncé du problème.

Il est toujours souhaitable que ceci soit fait à l’étroite collaboration avec le client, car son
adhésion au projet final sera d’autant plus facile qui l’aura un d’avantage la possibilité de faire
bien solution envisagée par l’architecte ou urbaniste pour défaire dévaloir son propre point de
vie.

Une façon de l’associer à cette phase d’analyse du problème consiste d’envisager 6 questions. :

✓ Sous quelle forme dessiner doit-on se représenter la totalité du


problème.
On dispose un choix important entre les représentations sous forme de diagramme, de matrice
et des réseaux.
On peut aussi établir un système de convention d’usage de la couleur, pour représenter les
différents usages du futur bâtiment et la fréquence de leur usage. En bref, on peut définir avec le
client un langage d’expression visuelle d’idée abstraite de nature systémique. On recherche alors
en quoi le projet engage les choix au niveau plus élevé, si le projet doit se fondre ou caché par
rapport à l’environnement, si le projet contribue au non à la solution d’un problème régional.

✓ Quelle information complémentaire peut-on trouver par rapport à ce


problème ou à d’autres problèmes analogue ?
Il est question ici de rassembler des informations et traduire sous forme graphique.

✓ Quelles sont les manières alternatives d’envisager le problème ?


On peut toujours le considérer comme un sous problème d’un problème plus vaste. Qui se pose
l’échelle du quartier, de la ville, de la province et du pays. On cherchera à connaître alors à quoi
le projet engage le choix au niveau plus élevé si le projet contribue ou non. On peut aussi
envisager le problème comme un tout en soit susceptible de se décomposer en sous problème et
chercher les différents modes de décomposition possible.

✓ Quelle sont les analogies utiles pour aborder le problème ?


Le choix d’analogie peu inciter à créer de nouvelles manières de décomposer un problème et
peut siccité la reformulation inattendues aux problèmes qui amènent à examiner les aspects qui
auraient être ignorés…………
Une façon simple de définir un problème, consiste à définir les points de vu de différents
utilisateurs habituels ou très inattendus ou encore d’adopter de perspectives théoriques
différentes.

✓ Quelle sont les différentes manières de conduire le processus de


conception envisageable ?
• Dans quel ordre et dans combien de temps doit-on trouver une solution ?
• Quel sont le aspect critique du projet ?
• Quelle sont les décisions cruciales ?
• Comment sera organisée la communication avec le client, avec d’autres personnes
concernées ?
• Quelle est la phase cruciale dans le rapport avec le client ?
• Sur quoi le concepteur fera-t-il un effort particulier de créativité.
Toutes les réponses à ces questions devraient l’objet d’un effort de représentations graphique. A
ce stade, le dessin doit être au service de la pensée schématique.

1.8.2 Dessin de clarification


La clarification a pour but de s’assurer que la formulation du problème qui était retenu ne
conduit pas aux solutions toutes faites et aux incompatibilités entre certaine d’entre elle.

Il s’agit donc de se libérer de la pensée par clichés et de s’affranchir de crois comme des blocages
de l’imagination créatrice en particulier. Il s’agit :

• La perception stéréotypée ;
• Le blocage culture qui dénigre le droit d’humain. Parce que la conception est une chose
sérieuse.
• L’incapacité à adopter des points de vue différents.
Pour cela, il est utile de produire des dessins humoristiques mettant en relief des points de vu
des personnes différentes sur le bâtiment en caricaturant ces points de vue et en y appuyant
l’auteur du projet lui-même Deux autres sources de blocages peuvent être affronter par ce
dessin :

• La peur de se tromper à laquelle on peut s’attacher en dessinant les exemples


invraisemblables des réponses aux problèmes.
• La référence culturelle pour la critique des idées, au détriment de leur inventions : ces
dessin ne constituent pas de fin en lui-même, mais seulement des moyen grâce auxquels
des idées absurdes, interdite ou sans intérêt peuvent suggérer une modification de la
manière d’envisager le problème. Les jeux par le dessin servent à préparer de
reformulation de problèmes, et des esquisses d’intention. Les dessins qui en résultent
constituent un catalogue des synthèses alternatives, relative aux aspects divers du
problème d’ensemble. Il ne s’agit pas donc d’une démarche de la réduction de la variété
de solutions imaginables mais plutôt d’un travail d’explication des voies de propositions
le plus divers possible.

1.8.3 Dessins d’élaboration


Ces dessins ont pour but de rechercher les propositions de solutions partielles à une partie
spécifique du problème. Ils peuvent être……….. Par superposition des indépendante ou par
déformation successive d’une proposition répondant à une à une intention simple mais y sont
soumis par l’analyse à partir des critères emprunter à l’énoncé du problème dans un premier
temps, Ces dessin servent à rechercher une direction, il convient de poursuivre ce travail à partir
de perspective différentes et surtout en s’attaquant aux aspects successifs du problème jusqu’à
ce que les aspects du problème soient abordée, l’essentiel des aspects.
On attend alors une phase du travail qui consiste à établir les directions de conception à partir
de la mise en relation plusieurs des directions explorées précédemment.

À cette phase de travail les esprits inductifs qui embroche le dessin Technique d’architecture et
d’urbanisme devine un instrument privilégié.

8.1.4 Dessin d’exécution


Une fois obtenu la conceptualisation graphique de solutions, il est possible et nécessaire de
changer de moyens d’expression et de s’attaquer à l’élaboration de dessin d'exécution
conformément aux conventions graphique en l’usage dans le bâtiment.
Ce travail relèvera inévitablement des problèmes inattendus et il faut les sépares aussi
nettement que nous les faisons dans les phases successives de travail.

Les dessins d’élaboration sont souvent nécessaires en coûts de travail sur les dessins
d’exécutions et même quelques fois en cours de chantier, << le fait de changer de mode
d’expression d’un projet, suscite un nouveau cours de la pensée visuelle, d’autant plus riche que
le travail de clarification a levé le plus de clichés ces dessins sont destinés aux administrations,
qui veillent à l’application des évènements, aux ingénieurs et géomètre qui interviennent dans la
condition et aux entreprises. Ils sont toujours présentés aux clients, mais ils sont rarement
suffisants.

1.8.5 Dessin d’exposition


Ces sont des dessins qui sont destinés à suggérer l’expérience de l’espace dont on pourra
bénéficier une fois le bâtiment achevé. Ces dessins peuvent faire l’appel à un très grand nombre
des techniques de rendu, et jouent un rôle considérable à la fois dans l’acceptation du projet du
client, mais aussi dans son acceptation par les critiques architecturales et sa diffusion éventuelle
par la presse professionnelle : celle-ci ayant ses modes, il se peut que les techniques de dessin
retenus soient choisis en fonction du support de publicité ultérieures. Le dessin peut certes
prendre toute sorte de forme mais celle-ci ne nous renseigne pas sur l’habilité des dessinateurs
qui travaillent avec l’architecte, mais surtout la perspective de diffusion de son travail qu’il
envisage.

1.9 LA PESPECTIVE
La perspective est l’une des connaissances fondamentales qu’il faut acquérir pour
dessiner. Sans elle le dessin ne peut pas bien être construit.
Il faut tenir compte du faites qu’on dessine sur un plan en deux dimension pour obtenir
les trois dimensions de chaque Objet, il faut utiliser la technique de perspective qui a été
découverte et a commencé à être appliquer pendant la renaissance.
Nous allons étudier les règles indispensables pour dessiner correctement. Tout le
monde à observer que plus les objets sont proches, plus on les voit grand ; plus ils sont
éloignés, plus on les voit petit ; tel est le principe de la perspective.
Les éléments fondamentaux qui permettent de l’obtenir sont aux nombre de trois :
• La ligne de terre
• La ligne d’horizon
• Les lignes de fuite
A ces éléments nous pouvons ajouter trois dimensions, la hauteur, la largeur et la
profondeur.

La nature procède quelque forme de base qui est nécessaire de connaitre :


Le cube, le cylindre ; le cône et la pyramide. Presque tout ce qui existe coïncide avec
l’une de ces formes.
Quel que soit le point où on se trouve, la ligne d’horizon se trouve toujours à la hauteur
des yeux. Si on monte, elle monte et si on descend, elle descend également. C’est une loi
inaltérable.
Tous les corps géométriques comporte des lignes de profondeur qui sont projetés vers
les points de fuite situe vers la ligne d’horizon, le point de fuite est le point où converge
les lignes de fuite; il se situe toujours sur la ligne d’horizon.
Pour le carré qui est une forme géométrique de base, si on se situe exactement à son
milieu, on le verra avec ses quatre cotés et les angles égaux. Si l’on recule, toujours
centrer sur le même point de vu le carré se verra en perspective parallèle, de deux ligne
sont parallèle à la ligne d’horizon et deux ligne converge dans le point de fuite.
Dans la perspective parallèle, le point de vue et le point de fuite coïncide toujours.

1.11 LE CADRAGE ET LA COMPOSITION


Avant de commencer à dessiner il faut de prime abord tenir compte du cadrage et de la
composition. Il est question d’agencer correctement les éléments qui constituent
l’ensemble en fin qu’il puisse donner une sensation d’équilibre et dégout.
Imaginez que vous êtes en présence des éléments que vous aimeriez fixer sur un tableau
mais vous ne savez comment placer chacun d’eux. Mettez en tête que toute composition
doit mettre un accent sur un élément qui se détache par rapport aux autres et constitue
le centre d’intérêt autour duquel d’autres facteurs s’ordonnent. Ensemble doivent
constituer une unité complète et harmonieuse et cela s’apprend avec la pratique.
Pour commencer consacrons-nous à ce qu’on appelle la nature morte qui est constitué
généralement à une composition de fuite ou d’autres.
C’est à l’auteur qu’il revient d’ajouter, d’éliminer, de changer les objets en fin que la
composition soit harmonieuse et reflète l’intention, les sens qu’il veut lui donner.
Quand il s’agit d’une nature morte il est recommandé de prendre les objets grandeur
naturelle on peut facilement choisir la dimension de cadre et ne pas ainsi courir le risque
de mal proportionner certains éléments. Nous devons savoir que l’art, ne se soumet à
aucune règle fixe. L’auteur d’un travail de dessin est le maitre de tout ce qu’il fait sur son
œuvre.
A ce qui concerne le paysage, on ne peut pas procéder de la même façon que pour la
nature morte parce qu’il est difficile de supprimer pour apporter certains éléments. Par
contre on peut choisir le cadrage.
A ce propos, le professionnel observe le paysage à travers un petit cadre en carton noir
qu’il déplace jusqu’à trouver l’angle recherché. A partir du moment où l’on a acquis une
certaine maitrise, on peut commencer à supprimer ou à déplacer un élément pour que la
composition soit harmonieuse.
1.12 CONVENTION DE L’ARCHITECTE
Cependant le dessin ne pas une fin en soi pour l’architecte, il reste avant tout un
constructeur. A ce titre, il faudra donc communiquer, coordonner et contrôler ; ces trois
importantes fonctions nécessitent une grande variété des documents (plans, cahier de
charge, métrés, planning, courrier écrite et électronique…etc.) qu’ils s’appuient sur 4
grandes familles de conventions :
➢ La convention graphique,
➢ les mesures,
➢ les codes
➢ et la terminologie
le document graphique destiné aux différents intervenants dans l’acte de bâtir (maitre
d’ouvrage, administration, entreprise…) au-delà des principes généraux de la
représentation déjà évoquée, nous devons encore représenter d’autres conventions
relative par exemple au type et épaisseur de trait ou mode d’expression de matériaux et
d’élément de construction, à la cotation, à la notation, et au mode de pliage de plan.
Le recours au dessin assisté par D.A.O par ailleurs imposé l’établissement des
conventions particulières révisant l’organisation et le mode d’échange ou de
modification de ce nouveau type de document.
Les mesure sont un autre outil indispensable de composition, de prescription et de
contrôle, il faut cependant souligner ici encore l’intérêt d’une certaine imprécision au
niveau de la phase de dimensionnement artistique pour lequel les dimensions
approchés constitue un compromis entre les exigence diverse du programme, de la
composition et de la structure dans lequel le rapport proportionnel joue un rôle
essentiel .
Et pour ce qui consterne l’exécution, il faudra toujours tenir compte de tolérance qui
dépendent de matériaux utilisé, de technique et de combustion de mis en œuvre, mais
également des interférences entre les différent Corps de métier appelé à collaborer une
seule fois sur un bâtiment ou ouvrage qui restera toujours un prototype.

1.13 MOTS DU BATIMENT


C’est comme on a l’habitude de le dire un petit croquis vaut mieux qu’un long discours »
le dessin à pourtant ces limites, surtout quand lorsqu’on arrive à la phase contractuelle
ou perspective où tout doit être………………………….. En se référant à de textes
réglementaires ou normatifs.
A ce moment les dessins vont devoir s’enrichir des légendes ou renvoyer aux articles de
cahier de charge et autres descriptifs. Une terminologie riche et précise sera également
nécessaire dans la phase de réalisation durant laquelle les nombreuse descriptions
seront nécessaires pouvoir mener à bien le projet.
Cette terminologie joue aussi un rôle dans la structuration de la pense de édificateurs
parce qu’elle est entrée dans le terroir et de mode de pratique ; certaine technique sont
spécifiques à une région et les mêmes éléments constructifs peuvent être nommé
différemment selon l’endroit où l’on se trouve ou selon à qui l’on s’adresse.
L’architecte entant que professionnel du bâtiment est appelé à coordonner le travail de
différents corps de métiers, doit acquérir ses vocabulaires multiples
Il existe évidemment de bon dictionnaire alphabétique français dans lequel les termes
sont illustrés, mais aussi ce dernier ne couvre évidemment pas le particularisme de
notre pays qu’on retrouvera notamment, dans les grossières thématiques publiques
dans les notes d’information technique. Il existe de bon dictionnaire traductif par contre
ce qui est plus rare est pourtant tellement utile, se sont de grossier visuel (qui
permettent de retrouver les termes recherché à partir de la de la représentation des
éléments. On en trouve quelques exemples en Belgique et en France.

1.13 ARCHITECTE ET L’INGENIEUR (nécessaire complémentaire)


L’acte de construite, probablement fondateur de société humaine, saveur être de plus en plus
complexe. Aujourd’hui les architectes, maitres d’ouvrage de projet de plus en plus vaste, ne
peuvent plus maitriser la totalité de technique de construction. Pensons à ce grand projet de
cours ont des complexes commerciaux, réunissant dans une même étude et souvent dans le
milieu très court, de délai court, de multiple technique et science appliqué à l’un de la stabilité de
construction, à la mécanique de fluide et à l’électricité par exemple.
Il y a plus aujourd’hui de grand projet qui ne soit mené par une équipe étant devis de consultant.
Celle-ci, il veut le défis auquel ils sont confronté, doivent apprendre à se parler et surtout à se
comprendre. Le rôle centrale de l’architecte conduit ce dernier à s’imposer non seulement
comme gestionnaire d’étude et des compétences diverses.

Pour une étude complexe de grand ensemble immobilier il faut donner aux ingénieures en
technique spécialisé et en vacillation leur rôle pour que ceci soit couronné des succès, par
exemple, devons être parfaitement coordonner avec des ingénieures en structure compatible
avec l’acoustique, comptable, l’économie, la fonctionnalité, l’esthétique et autre… ce rôle de
l’architecture difficile entre tous au sein d’une équipe de progrès peut être comparé à celui de
maitre d’orchestre.
Dans le découlement d’une étude, chaque phase depuis le
premiere ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, jusqu’à l’élaboration de document de cahier
d’exécution en pensant par le dossier de demande une coordination spécifique qui est fonction
du niveau de détail exigé pour cette phase.
L’art de chacun consiste alors à organiser ces études de façon a permettre un cheminement aussi
linaire que possible vers le détail de plus en plus fin, et surtout à éviter de tout remettre en
question pour un problème de principe qui n’aurait pas été soulevé suffisamment en temps.
Cette bonne organisation et la prévision de différente phase, sont la base d’un projet réussit ou
chaque intervenant participe effectivement au résultat final.
Dans cet optique il est indispensable que l’architecte procède une bonne compétence en matière, la
structure est effectivement le squelette du bâtiment. Elle est l’élément fondamental mais souvent
invisible, bien que son coût ne représente en général environ 30% du coût total du bâtiment. Lors
de la conception de l’ossature, le dialogue entre l’architecte et l’ingénieur est essentiel pour aboutir
à des choix performants et économiques.
D’autre part aujourd’hui, les objectifs de développement durable et la notion de haute qualité
environnementale sont des éléments dont il faut tenir compte de la 1ère esquisse, souvent en
complémentarité d’étude spécifique.
Lors de la conception de l’ossature, si la préoccupation du coût doit être présent, il faut avant tout
avoir à l’esprit tous les facteurs qui auront une influence sur le comportement physique de la
construction : La nature du sol, la fondation, nappe aquifère, construction rivelaine, porté, charge,
déformation, matériaux de seconde œuvre, mouvement thermique, retrait, résistance au feu.
Tout défaut, toute erreur ou toute négligence dans la conception pour le calcul, se traduira par des
désordres qui affecteront la durabilité, l’occupation, la technique de parachèvement et par
conséquent la valeur du bâtiment.
La fonction de l’ingénieure est non seulement de concevoir
l’ossature et de calculer mais aussi de conseiller le maitre d’ouvrage et l’architecte sur les
meilleures options à prendre en fin d’obtenir un résultat correspondant aux caractéristiques des
performances souhaitées par le client ou l’utilisateur final.
Les ingénieures et les architectes sont donc interdépendants dans cette démarche et leur objectif
doit être commun et leur relation sont basées sur la confiance, la notion de qualité de service et sur
la compétence. Le dialogue n’est en effet possible qu’entre professionnels qui se comprennent. Ce
dans ce but que sont dispensés ce cours de stabilité de construction et conception de structure aux
futures architectes. Les objectifs de ce cours sont multiple mais retenons les principaux :
✓ Bien comprendre le fonctionnement de structure simple pour pouvoir anticiper des choix
raisonnable et réaliste
✓ Assimiler la mécanique de transfert d’effort et le principe de la distribution de contrainte
dans les structures en fin d’en apprécier au mieux les performances et les domaines
d’utilisation
✓ Appréhender les comportements de matériaux sous contrainte
La complémentarité des architectes et des ingénieurs doit devenir, pour les étudiant une évidence
de telle façon qu’ils puissent collaborer harmonieusement avec tous les acteurs de la construction,
et que les uns et les autres gardent toujours au sein de l’équipe une place digne de leur compétence
et de la part qui fournissent à la réussite d’un projet.
Ayant suivi le cours de base de conception de structure, les étudiant sont prêts alors à aborder les
questions complexe liées à la morphologie culturelle, ou la forme des objets dépend entre autre de
la logique culturelle.
Le cheminement des efforts et les fonctionnements de structure devinent, dans ce cas des éléments
de composition. Les étudiants en architecture sont donc amener à comprendre le mécanisme de
répartition des efforts interne, à sentir, plus à calculer. Une bonne conception architecturale est
avant tout, un concept structurel clair, logique et bien compris.
CHAPITRE II ENVIRONNEMENT URBANISTIQUE

Dentition et missions
2.1 Définition : la définition de l’urbanisme n’est pas aise selon étiologie du mot, le
terme urbanisme par sa racine, latin ‹‹ URBS ›› Vient de ville, de cité. D’après le
dictionnaire la rousse l’urbanisme est l’ensemble des mésuses techniques, admirative,
économique et sociale qui doivent permettre développement harmonieux, rationnel et
humain des agglomérations.
Pour la section française de l’union internationale des architectes, urbaniste est l’art de
prévoir et de réaliser les milieux favorable à la naissance et aux développements de
société humaine et au plein épanouissement de leurs valeur sociale et spirituelle
Selon le rédacteur,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, cette dernière est connu comme la bible de
la profession de l’urbanisme
L’urbanisme est l’aménagement de lieu et de locaux divers qui doivent appliquer le
développement de la vie matérielle, sentimentale et spirituelle dans toute manifestation
individuelle ou collective.
II.2 Mission
❖ Mission générale : ces fonctions de penser, de planifier et d’organiser la mise en
forme de l’espace des agglomérations, l’urbanisme est appelé :
• Proposer une organisation réfléchit de territoire constitue par les espace
naturel, urbain et rivaux dans le respect de l’intérêt général et la recherche
d’équilibres et :::::::::::::::::::::::::::::::::::
• Coordonner le développement et la création de vile
• Mettre de l’ordre dans le tissu urbain ancien en le restituant
• Freiner la spéculation de foncière qui engage la physionomie d’un quartier ou
d’une ville en préconisant la réserve financière
• Contrôler l’occupation et l’utilisation du sol support
➢ Mission secondaire : à faire de professionnel dont l’action et inséparable de
celle de la puissance public, l’urbanisme à cependant d’autre misions portant sur :
Dans la disposition de bâtiment
La structuration de réseaux de communication et des équipements publics
La mise en œuvre de pratique urbaine (logement, environnement, zone d’activité).
Plus généralement

On peut retenir dans tout cela que l’urbanisme a pour mission de prévoir et de
réaliser les milieux favorables à la naissance et au développement des sociétés
humaines et au plein épanouissement de leur valeur sociale et spirituelle.
CHAP III CONCEPT ARCHITECTURAL

1. Le client ordinaire :

Il commande en général un petit bâtiment, ignore les contraintes de la construction, le rôle qui la
incombe dans la définition de la commande et ce qui peut attendre de l’architecte, celui-ci doit
donc l’informer et en même temps se substituer largement au client pour définir la commande.

2. Le client habituel : il passe le plus souvent une succession des commandes pas nécessairement
de même nature mais toutes liées à un même domaine d’activité( succursale, Bâtiment,
d’extension et de réhabilitation successive…) il acquiert au cour du temps une certaine
connaissance de modalité de travail et de compétences d’un architecte avec qui il houe une
réalisation de travail qui leur permet à l’un et à l’autre de se communiquer rapidement
l’essentiel pour une nouvelle commande.

3. Le client expert :

Il a non seulement l’assurance qu’il sait précisément ce dont qu’il a besoin mais il se sent
compétent pour l’organisation du processus de construction. Il s’agit le plus souvent Le maître
d’ouvrage public chargé d’un vaste programme de construction (ensemble de logements,
rénovation urbaine, hôpital…). Il s’appuie souvent sur les compétences d’architecte qui l’emploie
dans son organisme pour définir des programmations élaborée avant de passer la commande de
l’architecte. Ce type de client contribue à l’exploitation claire et à l’organisation dans le plan de la
commande.

4. Client extraordinaire :

Il cherche à construire un bâtiment qui se distingue manifestement d'une manière ou d'une


autre par sa taille, sa complicité de prestige qui s'y attache ou par la valeur symbolique de sa
fonction la cité. Il est alors, en général, nécessaire que l’architecte et le client consacrent des
efforts de recherche particulière pour définir la commande.

1.5 Programme Architecturale

Il définit la méthode scientifique dans les termes suivant : elle consiste en principe et procédure
utilisée dans la poursuite systématique du savoir accessible à la communication intersubjective
imposant les conditions nécessaires suivantes :

-La reconnaissance et la reformulation d'un problème


- la ressemblance d'informations par l'observation et éventuellement par expérience.
- la formulation d’hypothèse
- la mise à l'épreuve en vie de la confirmation de l’hypothèse formulée

La démarche traditionnelle des résolutions de problème d'architecture tel qu'il conçoit sur un
cheminement parallèle :
➢ Définition : établissement des objectifs
➢ Rassemblement des informations
➢ Analyse du problème.
➢ Examen de la solution
➢ Résolution du problème qu’on appelle communément l’établissement du projet.

Les premières étapes de ces processus ont pour objectif d’aboutir à un problème correctement
formulé et les dernières à la résolution du problème.
En matière d’architecture il est souhaitable de bien distinguer entre ces deux phases et des
analysées plus finement chacun.
A. Programmation

Appelons la programmation la phase de la clarification et l'élaboration du produit


aboutissant à une solution du problème il est bien clair quelle ligne et d'autres font partie de
la conception architectural et tout aussi claire quels sont distinctes

La programmation peut être conduite selon et de celui qui a afin de tenir compte de de
l'importance d'une clarification de besoin satisfaire. Elle constituera très schématiquement en
deux phases :
➢ Définir les objectifs
➢ ressembler analyser les données
➢ mettre au jour et tester les concepts
➢ déterminer les besoins
➢ énoncer les problèmes.

La programmation constitue donc une phase d'analyse l'ordre des étapes dans cette analyse ne
pas nécessairement rigide comme serait le cas pour un algorithme mais l’énoncé du problème
constitue nécessairement la dernière étape.

Cette analyse quand il s'agit d'un problème d’architecture, doit prendre à chaque phase les 4
domaines distincts suivant les fonctions, les formes, l'économie et la durée.

Les objectifs sont destinés à permettre à l'architecte de savoir ce que veut réaliser le client et
pourquoi il le veut.

Les objectifs doivent être cohérents avec le concept. En effet les objectifs sont les finalités et des
concepts de moyen pour les atteindre.

Les concepts ne sont bien entendu que les idées mais au niveau de la programmation, se sont de
idée relative à des solutions en terme fonctionnel ou de terme d'organisation répondant à la
préoccupation du client.

L’analyse de données relatives au contexte économique, physique et à l’environnement du projet


est une nécessité élémentaire mais il faut prendre garde à ne pas se laisser envahir par des
données inutile et s’attacher en utiles que l’information directement utile pour la confrontation
des objectifs et de concept et en vérifier la justesse ou la vraisemblance.

Les concepts de programmation ne doivent pas être confondus avec le concept du projet qui est
le type de réponse en termes de construction à de problème de programmation.

12 concepts de programmation semblent susceptibles de se présenter dans un


grand nombre de projets :
• Le groupement de service et leur éclatement ;
• Le groupement de personnes ou leur dispersion ;
• L’interaction spéciale ou la ségrégation des activités ;
• La priorité ;
• Les réseaux de relation entre les espaces
• Le contrôle de sécurité ;
• La flexibilité du bâtir sur les 3 espaces : la capacité d’agrandissement, la possibilité de
transformation, et la plurifonctionnalité ;
• Le chemin suivi par le flux ;
• La ségrégation de flux ;
• La rencontre de flux différents ;
• La capacité d’orientation ;
• Les économies d’énergie.

Cette phase de programmation est une phase de clarification de la demande destinée à


permettre à l’architecte d’aider le client à explicite sa demande en lui faisant approfondir ses
raisons (besoin et objectifs) et ses implications en terme de concept de programmation. Il est
donc nécessaire que le client soit le plus possible impliqué dans les choix successifs il se
présente sur l’arbre de solutions ou de décision.

Cette dernière expression qui tire de la théorie de Phase de graphe indique un processus de
décision sans feedback : on ne revient pas en arrière sur une décision, par ailleurs, le plus est
animé à effectuer le choix,………………………………,………,………………………………………………………

B. La conduite de l’opération.

On peut décompte la conduite d’une opération à un certain nombre de Phase susceptible :

La Programmation (P), l’Elaboration Schématique du projet (ESP), Élaboration finale du projet


(EFD), le Détail d’exécution (DE), et la construction (C) ; soit :

P ESP EFP DE C

Est appelé conduite de l’opération.

❖ La phase de conception :

P ESP EFP
Ces trois éléments constituent l’état de la conception.

Ceci se subdivisé en 2 phase distinct :

P EP
Tout fois William Pena envisage des phases de programmation alterne avec des phases
…,………………………..

P ESP

EFP Prog Fine

Décrit à ces termes, cette méthodologie semble laisser dans l’ombre une partie essentielle
processus de conception à savoir : élaboration du projet lui-même. En fin ce n’est partout a fait
vrai car la mise en place d’un système d’énonce très précis portant sur les fonctions du coût, la
durée quand en réduire considérablement le domaine d’incertitude au moment d’élaboration de
projet de construction.

Une traduction de ce concept de programmation tend à transformer la phase de synthèse et


l’exploitation de nombre limité de Pezel Technique et Géométrique.
CHAP IV : NOTION GENERALE DE LA COMPOSITION

4.1 Composition dans l’art et en architecture

L’activité créatrice de l’architecte consiste à organiser l’espace définie pour divers besoins
sociaux comme étant propriété matérielle et spirituelle. Parmi le problème que rencontre
l’architecte ou l’urbaniste il se trouve celui de composition de création d’harmonie et de
production de l’expression artiste.

La création de la composition contribue aux activités des architectes ou urbaniste, l’aspect


artistique.

L’art de composition à n’importe quel type d’art est la base du professionnalisme dans la
création. La composition est l’étape la plus importante de l’expression artiste. Par composition
nous sous-entendons la structure de l’œuvre artistique, la disposition des éléments de base est
particulière dans un système définie et successive. On peut dire que le contenu d’une œuvre
artistique est conditionné par l’unité et l’intégralité de forme de l’œuvre. La composition doit
être vu sur deux aspect cohérassionnel comme :
• Processus de la création artistique càd résoudre l’exercice concret de la composition.
• Comment réaliser cette composition proprement dite.

La composition représente la particularité professionnelle de la création pèse. Et aborde dans


l’esprit général le problème lié à la réalité. Philosophiquement l’art apparaît comme forme de la
connaissance sociale exprimant le monde avec l’aide de moyen spécifique, moderne, artistique.
L’art n’exprime pas seulement le monde mais simultanément………………. il facilite le processus
social.

Unités et l’intégralité base de la composition.

Dans toutes les compositions définies, il existe constamment l’indice de base :


• L’intégralité de la forme dans toutes les étapes de l’activité de la composition, ayant
toujours une direction et un rôle définie.
• L’intégralité de composition et d’unités de ses éléments apparaissent en qualité
d’harmonie.

Les éléments en harmonie se trouvent entre eux dans une relation inséparable de
proportionnelle.

Chaque élément n’apparaît pas seulement dans une valeur…………………… mais dans une dans
une subordination de la forme d’intégrale. De ce fait la forme acquiert l’unité en particulier et
dans son ensemble.

Dans cette unité il n’y a pas d’éléments et des relations fortuits. Ce pourquoi l’unité et
l’intégralité sont considérés comme de principe de base de la composition.

Toute pratique de la quel que soit les tendances, y compris l’architecture démontre
irréfutablement la vitalité les principes de l'unité et de l'intégrité de la composition à l'absence
de l’unité et d'intégration la forme perd ses propriétés expressive et devient un préjudice à
l’esthétique.

L’origine de l’objectivité dans la composition se manifeste dans les contenues artistique qui
incarne l'auteur dans la matière de l’art et qui est commissionné par la réalité.

La piste est beaucoup lié au monde extérieur à la société où il vit à la culture qu'il s’entande,
l’état d'esprit de la société qui constitue sa particularité de ses émotions etc…
Avec tout cela l'auteur lui-même ne rend pas toujours compte de ces conditions objectifs dans
ces mêmes cadres se trouve la réalité objectifs de la forme objective (cela se résume en un terme
courant : l’architecture se déroule dans le temps dans l’espace.

Vol de connaissances dans……

N’importe quel artiste doit prendre en compte des exigences objectives de matériaux de l’art.
L’écrivain doit procéder le mot, le peintre doit avoir la connaissance de couleur et les principes
de Mélange de leur couleur, l’esprit pe est sensé présenter honnêtement.

L’expérience du développement de chacun dans une certaine mesure s’est senti apparente dans
la matière.

En général acquérir un langage acoustique est un exercice complexe. Les connaissances dans la
composition peuvent être amassées sous de renseignements fortuits mis volontairement dans la
mémoire ou par l’entrée continue de diverses activités acquises grâce aux études. Dans ce cas, le
volume et le contenu des informations utile en matière de composition sont absolument vaste et
systématiquement, mais le processus lui-même, évolue efficacement dans une période très
courte.

Les activités de différente école d’art nous le démontre d’une manière dynamique et
convaincante. La connaissance se principe de composition rationalise l’activité professionnelle,
augmente la vivacité du résultat de la réalisation.

La particularité de création de la composition dans le travail de l’architecte se différencie les


activités des artistes des autres types d’art par la construction de forme artistique (construction
Architecturale) qui nécessite un dépassement important de matériaux et de ressources
humaines.

Adminition des erreurs de calcul lors de la réalisation des éléments architectural ou


urbanistique est pratiquement difficile à corriger. Voilà pourquoi il est évident quand on résous
un problème de composition Architecturale ou urbanistique, de tenir compte de forme de
précision de calcul et de principe objectif artistique. L’objectivité de l’expérience artistique des
architectes et urbaniste du passés y compris leur succès constitue le fondement de la valeur
professionnelle.

Vous aimerez peut-être aussi