Excel Avancé

ÉCOLE SUPÉRIEURE DE GESTION
ET D’ADMINISTRATION DES ENTREPRISES

Agrément définitif par Arrêté n°4677/MES/CAB du 05 Juillet 2017
Accréditée par le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES)
BP : 2339 – Brazzaville – CONGO
E-mail : esgae@esgae.org Site web : www.esgae.org
Département Licence
MICROSOFT EXCEL AVANCE
Parcours
Licence 3 – Gestion
Enseignants
Equipe pédagogique
Support de cours Excel (Niveau LPAE)
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Crédit : 1,5
Cours : - L3-IG
EC 5 Microsoft Excel avancé
TP: 15 H
Objectif général :
Cet enseignement vise à fournir à l’étudiant les connaissances approfondies sur MS Excel.
Objectifs spécifiques :
A l’issue de cet enseignement, l’étudiant doit être capable de:
 créer et utiliser des listes des données sous Excel ;
 maitriser les fonctions de calcul d’Excel ;
 maitriser la construction et la mise en forme des graphiques sous Excel ;
 pratiquer la comptabilité sous Excel.
Chapitre 1 : Quelques fonctions

Section 1 : Recherche dans une liste avec les fonctions recherche
Section 2 : Tableau croisé dynamique (tcd)
Chapitre 2 : Cas pratique

Section 1 : Outils mathématiques et statistiques d’excel pour analyser ou extrapoler une tendance
Section 2 : Fonctions financières et analyse de la rentabilité d’investissement
Chapitre 3 : Mise en place des scenarios avec les outils valeur cible et solveur
Section 1 : Outils valeur cible
Section 2 : Solveur
Section 3 : Amélioration de la lisibilité des tableaux avec mise en forme conditionnelle des
valeurs
Chapitre 4 : cas pratique de comptabilité avec MS Excel

Section 1 : Bilan
Section 2 : Compte
Section 3 : Journal
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Chapitre 1 : Quelques fonctions
Section 1 : Recherche dans une liste avec les fonctions recherche

 Définition :
Une fonction renvoie une valeur précise qu’elle calcul.
La fonction Recherche est utile lorsqu’un tableau possède toutes sortes d’informations et qu’on a
besoin de trouver rapidement les renseignements.
 Programmation :
Pour programmer des formules, il faut procéder de la manière suivante :
- Cliquez sur fx de la barre de formule ;
- Dans la fenêtre d’insertion des fonctions/choisir l’option « Recherche et Matrice » dans
catégorie ;
- Puis choisir la fonction Recherche désirée :
o RECHERCHEH ;
o RECHERCHEV.
 RECHERCHEH :
La fonction RECHERCHEH cherche une valeur dans la première ligne d’un tableau puis elle
affiche le contenu de la cellule qui se situe sur la même colonne que la valeur recherchée.
Exemple :
A partir du tableau ci-dessous, afficher l’âge d’une personne en fonction de son prénom.
Solution : Cherchons l’âge de Séverine par exemple.

Dans « Valeur_cherchée », Entrez B6 qui correspond à Séverine.
Dans « Tableau », Définissez la plage de cellule qui contient le tableau.
Dans « No_index_lig », Entrez le n° de la ligne qui contient les données à afficher (ici les âges c.à.d
ligne n° 2).
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« Valeur_proche » est facultatif, mais permet soit de chercher la valeur exacte de

« Valeur_cherchée » (en entrant : FAUX), soit de trouver la valeur la plus proche de
« Valeur_cherchée » (en entrant : VRAI ou en laissant vide ou encore tapez Espace).
On obtient finalement l’âge de Séverine.

Maintenant, il ne reste plus qu’à modifier B6 pour trouver l’âge d’une autre personne (par exemple
Silvio).
 RECHERCHEV :
La fonction RECHERCHEV cherche une valeur dans la première colonne d’un tableau puis elle
affiche le contenu de la cellule qui se situe sur la même ligne que la valeur recherchée.
Exemple :
A partir du tableau ci-dessous afficher le prénom d’un candidat en fonction de son numéro.
Solution : Cherchons le prénom du candidat 8.

Dans « Valeur_cherchée », Entrez E2 qui correspond à 8.
Dans « Table_matrice », Définissez la plage de cellule qui contient le tableau.
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Dans «No_index_col», Entrez le n° de la colonne qui contient les données à afficher (ici les
prénoms c.à.d ligne n° 2).
«Valeur_proche» est facultatif, mais permet soit de chercher la valeur exacte de
«Valeur_cherchée» (en entrant : FAUX), soit de trouver la valeur la plus proche de
«Valeur_cherchée» (en entrant : VRAI ou en laissant vide ou encore tapez Espace).
On obtient finalement le prénom de la candidate 8.

Maintenant, il ne reste plus qu’à modifier E2 pour trouver un autre prénom (par exemple 5).
Section 2 : Tableau Croisé Dynamique (TCD)

 Définition :
Les TABLEAUX CROISES DYNAMIQUES sont des outils puissants pour l’analyse et la
synthèse de bases de données Excel. Ils permettent de faire des présentations simples, et de façon
aussi rapide pour des tables de 20 à 10 000 lignes.
 Programmation
Pour créer un tableau croisé dynamique Sélectionner toutes les données (en incluant les titres) ->
Onglet Insertion -> Groupe Tableaux -> cliquer sur Tableau croisé dynamique
On obtient : Une nouvelle feuille contenant une zone de liste des champs du tableau croisé
dynamique divisée en deux volets dont :
Le 1er contient la liste des champs de l’entête du tableau source ;

Le 2ème contient 4 cases à cocher dont les détails suivent :
- Le Filtre du Rapport :
Propose de limiter ou non les données affichées à la valeur du champ sélectionné.
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- La zone Etiquette de Colonne :

Correspond à l’entête de colonne du Tableau Croisé Dynamique.
- La zone Etiquette de Ligne :

Correspond à l’entête de ligne du Tableau Croisé Dynamique.
- La zone Valeur :
Celle dans laquelle sera appliquée la formule prédéfinie choisie sur le champ de
donnée sélectionnée.
Parmi les formules, on trouve : la somme, le produit, la moyenne, etc…
N.B : il est possible de modifier la formule en cliquant sur le bouton droit de la souris sur la zone
Valeur du tableau puis choisir l’option « Paramètres des Champs de Valeur ».
 Mise en forme du Tableau Croisé Dynamique :

Pour mettre en forme un Tableau Croisé Dynamique, il suffit de procéder de la manière suivante :
- Cliquez sur la cellule du TCD ;
- Deux Onglets apparaissent dans le Ruban.
o Le 1er Options : permet d’intervenir sur le contenu du tableau ;
o Le 2ème Création : permet de mettre en forme le tableau.
N.B : c’est dans le 2ème que l’on trouve les éléments de mise en page et d’impression.
 Les Filtres :
Elles sont utilisées pour cacher une partie du tableau pour afficher que les données issues des
sélections. Chaque champ de ce tableau peut être utilisé pour affiner l’affichage.
 Les Listes Déroulantes :

Il peut arriver que la valeur d’un champ soit limitée à quelques possibilités comme les noms des
mois, de l’année ou des jours de la semaine par exemple.
Pour cela, il est nécessaire de créer une liste de termes, ensuite sélectionner la cellule qui va
accueillir la liste déroulante.
Exemple :
Créer le tableau suivant :
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Travail à faire :
- Saisir le tableau et enregistrez le sous le nom EXA_TCD;
- Calculez les chiffres d’affaires de chaque produit sachant que :
o Un manioc coûte 250 FCFA ;
o Une banane coûte 1 000 FCFA ;
o Un sac de riz coûte 10 500 FCFA ;
- Renommer la feuille de calcul (Feuil1) par TCD ;
A l’aide du TCD,
- Quel est le chiffre d’affaire du CONGO au mois de JANVIER, tous les produits
confondus ? et renommer la feuille de calcul concernée par CA_CONGO ;
- Quel est le chiffre d’affaire des BANANES de la localité de GUINNEE pendant les mois de
FEVRIER, MARS et AVRIL? et renommer la feuille de calcul concernée par
T_BAN_GUINNEE ;
- Quelle est la meilleure localité sur les trois mois : (JANVIER, FEVRIER, MARS)?
- Mettez le chiffre d’affaire en Gras et renommer la feuille de calcul concernée par
BEST_LOC ;
1- Protéger votre feuille (Feuil1) par le mot de passe : LPAETCD
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CHAPITRE 2 : CAS PRATIQUE
Section 1 : Outils mathématiques et statistiques de MS Excel pour analyser ou extrapoler une

tendance
 Outils mathématiques :
o SOMME.SI et NB.SI
o SOMME.SI :
La fonction SOMME.SI permet d'additionner des cellules d'une plage si elles répondent à un critère
donné.
La syntaxe générale est la suivante :
=SOMMME.SI(plage_de_cellules;critère;plage_à_totaliser)
Attention : la plage à totaliser doit être déclarée en références absolues pour que la recopie vers
le bas fonctionne correctement.
Ici également, le critère retenu peut être une cellule, une valeur numérique ou une chaîne de
caractères (ne pas oublier les " ").
o NB.SI :
La fonction NB.SI permet de compter le nombre de cellules situées à l'intérieur d'une plage qui
répondent à un certain critère.
La syntaxe générale est la suivante :
=NB.SI(plage_de_cellules;critère)
Note : le critère retenu peut être une cellule, une valeur numérique ou une chaîne de caractères
(ne pas oublier les " "). Il faudra alors modifier la chaîne en cas de recopie de la formule.
 Les courbes de tendance :

Les statistiques de ventes d'un produit de grande consommation ont été saisies dans une petite
feuille de calcul Excel.
Le premier travail à faire est de les illustrer sous forme d'un graphique (ci-contre à droite) à l'aide de
l'assistant graphique.
L'insertion de la courbe de tendance se fait ensuite de la manière suivante :

Faire un clic droit sur la courbe + Ajouter une courbe de tendance dans le menu contextuel.
La boîte de dialogue Options de la courbe de tendance apparaît alors.
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Suivant la tendance observée sur les graphiques, il

est possible de tracer la courbe de tendance
répondant à six types différents d'équation de
courbe.
Dan le cas qui nous concerne, les points sont bien
alignés, nous choisissons donc Linéaire.
Suivant l'apparence de la courbe formée par les
points, on peut choisir un autre type de courbe de
tendance.
Nous pouvons donner un nom personnalisé à cette
courbe de tendance.
Il est également possible de faire des prévisions, en
notant un nombre de périodes à transférer au
paragraphe Prévision. La courbe de tendance sera
alors prolongée au-delà des points existants
observés.
Il est possible d'afficher l'équation de la courbe de
tendance sur la graphique ainsi que le coefficient de
détermination en cochant les cases concernées.
Les autres rubriques de la colonne de gauche
concernent la mise en forme de la courbe de
tendance.
La capture d'écran à gauche illustre le résultat
obtenu, avec la courbe chronologique d'origine (en
bleu), et la courbe de tendance (en rouge) qui
comporte des prévisions sur trois ans.
Bien évidemment, le choix du type de courbe de
tendance influence fortement les prévisions
obtenues.
Il convient également de s'interroger sur la
validité de ce type de prévisions.
 Outils statistiques :
o PREVISION :
La fonction PREVISION extrapole une nouvelle donnée par rapport à d’autres déjà connues.
Exemple :
Prévoir les chiffres d’affaire de l’année 2005 à l’année 2009.
 Dans « X », nous indiquons 2005 car nous recherchons le chiffre d’affaire de cette année-là.
 Dans « Y connus », entrez la plage de données contenant les chiffres d’affaires.
 Dans « X_connus », entrez la plage de données contenant les années.
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Après validation et recopie, nous obtenons toutes les prévisions (chacune tient compte de l’année
précédante).
Section 2 : Fonctions financières et analyse de la rentabilité d’investissement

 Fonctions financières :
 VC
La fonction VC calcule la valeur capitalisée, c'est-à-dire un montant payé ou reçu à un
nombre exact de périodes à partir d'un moment donnée.
La syntaxe de la fonction VC est la suivante: =VC(taux;npm;vpm;va;type)

taux = taux d'intérêt (annuel)
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npm = Nombre total des versements

vpm = Montant du remboursement de chaque période (ex. mensualités)
va = Valeur actuelle (montant du placement ou montant d'un prêt)
type = Valeur facultative qui représente l'échéancier paiement au début de la période = 1 ou à la
fin de la période = 0, peut être omis
Exemple:
Quel sera le montant d'un placement de 10'000 CHF sur 4 ans à un taux fixe de 2.5% par an?
Dans ce cas le VPM est = 0 car pas de paiement périodique et la VA (valeur actuelle = capital placé
au départ) est négative car il s'agit d'un placement.
 TAUX
La fonction TAUX calcule le taux d'intérêt annuel par rapport à un placement ou un prêt. Il
est calculé pour l'année afin de calculer un taux d'intérêt trimestriel vous devez diviser le
taux par 4 (ex: 5%/4).
La syntaxe de la fonction TAUX est la suivante: =TAUX(npm;vpm;va;vc;type;estimation)

Npm = Nombre total des versements
Vpm = Montant du remboursement de chaque période (ex. mensualités)
Va = Valeur actuelle (montant du placement ou montant d'un prêt)
Vc = Valeur capitalisée, c'est à dire la valeur future (si omise la valeur est = 0)
Type = Valeur facultative qui représente l'échéancier paiement au début de la période = 1 ou à
la fin de la période = 0, peut être omis
estimation = Valeur estimé du taux (facultative, si omise =0, ex 0,1 = 10%)
Exemple:
Quel est le taux d'intérêt annuel si pour un montant placé de 1000 pendant 8 ans on reçoit 2000?
 NPM
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La fonction NPM calcule le nombre de paiements d'un investissement ou prêt à versements

réguliers et taux d'intérêts constants. Cette fonction permet donc aussi de calculer combien
d'années il faut pour atteindre un certain montant à partir d'un capital de départ.
La syntaxe de la fonction NPM est la suivante: =NPM(taux;vpm;va;vc;type;estimation)

vc = Valeur capitalisée, c'est à dire la valeur future (si omise la valeur est = 0)
type = Valeur facultative qui représente l'échéancier paiement au début de la période = 1 ou à la fin
de la période = 0, peut être omis
Exemple:
Il faut combien d'années pour en obtenir 100'000 CHF à partir d'un capital de 10'000 CHF placé à
8.5% ?
Dans notre exemple l'argument vpm = 0 (pas de paiements réguliers), et le va est négative car il
s'agit d'un placement.
 VA
La fonction VA calcule la valeur actuelle, c'est-à-dire un montant payé ou reçu désigné
comme montant principal
La syntaxe de la fonction VA est la suivante: =VA(taux;npm;vpm;vc;type)

npm = Nombre total des versements
vc = Valeur capitalisé ou valeur future (facultative) le montant qu'on aimerait atteindre à la fin
de la période
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type = Valeur facultative qui représente l'échéancier paiement au début de la période = 1 ou à la

Exemple:
Un placement a atteint le montant de 15'000 CHF sur une période de 2 ans à un taux de 5%. quel
était le montant initial du placement?
 VPM
La fonction VPM calcule le montant pour chaque échéance de paiement (ex mensualités).
La syntaxe de la fonction VPM est la suivante: =VPM(taux;npm;va;vc;type)

npm = Montant du remboursement de chaque période (ex. mensualités)
vc = Valeur capitalisée facultative, c'est à dire la valeur future (si omise la valeur est = 0)
type = Valeur facultative qui représente l'échéancier paiement au début de la période = 1 ou à la fin
de la période = 0, peut être omis
Exemple:
Quel est le montant des mensualités pour un prêt de 10'000 CHF remboursable en 12 mois avec un
taux d'intérêts annuel de 6.75% ?
Vu qu'il s'agit de remboursement mensuel le taux à été divisé par 12.
 INTPER
La fonction INTPER calcule les intérêts par période d'un investissement ou d'un prêt sur la
base de remboursements réguliers et fixes et un taux d'intérêts constant.
La syntaxe de la fonction INTPER est la suivante: =INTPER(taux;période;npm;va;vc;type)

Taux = taux d'intérêt (annuel)
Période = Période pour laquelle on veux calculer les intérêts.
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Npm = Montant du remboursement de chaque période (ex. mensualités)

Vc = Valeur capitalisée facultative, c'est à dire la valeur future (si omise la valeur est = 0)
Type = Valeur facultative qui représente l'échéancier paiement au début de la période = 1 ou à la
Exemple:
Quel est le montant des mensualités pour un prêt de 10'000 CHF remboursable en 12 mois avec un
taux d'intérêts annuel de 6.75% ?
Dans cet exemple nous avons calculé le montant des intérêts pour la première période, notez que le
taux à été divisé par 12 pour tenir compte du remboursement mensuel.
 PRINCPER
La fonction PRINCPER calcule le capital remboursé à chaque période pour un prêt à
remboursement et à taux constants.
La syntaxe de la fonction PRINCPER est la suivante: =PRINCPER(taux;période;npm;va;vc)

Taux = taux d'intérêt (annuel)
Période = Période pour laquelle on veux calculer les intérêts.
Npm = Montant du remboursement de chaque période (ex. mensualités)
Vc = Valeur capitalisée facultative, c'est à dire la valeur future (si omise la valeur est = 0)
Exemple:
Quel est le montant du capital remboursé (amortissement) par période pour un prêt de 10'000 CHF
remboursable en 12 mois avec un taux d'intérêts annuel de 6.75% ?
Dans cet exemple nous avons calculé le montant du capital remboursé pour la première période,
notez que le taux à été divisé par 12 pour tenir compte du remboursement mensuel.
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 Analyse de la rentabilité d’investissement :

On peut parler de rentabilité qu’en apportant des capitaux investis, le résultat de ces capitaux. S’il
n’y a pas de capitaux investis, il n’y a pas de rentabilité.
La rentabilité des capitaux propres est le rapport entre l’accroissement de richesse (le résultat) et les
capitaux investis.
On doit donc s’intéresser d’une part à la rentabilité de l’actif économique mesurée par le rapport au
résultat d’exploitation après impôt sur les sociétés (I.S.) sur l’actif économique.
On parle alors de taux de rentabilité économique.

Et d’autre part à la rentabilité des capitaux propres qui se mesure par le rapport :
résultat net/capitaux propres.
Qu’est-ce que l’effet de levier :

L’effet de levier est tout simplement l’impact de l’endettement sur la rentabilité économique.
En effet, il explique le taux de rentabilité des capitaux propres en fonction du taux de rentabilité de
l’actif économique et du coût de la dette.
Chapitre 3 : Mise en place des scenarios avec les outils valeur cible et solveur
Section 1 : Outils valeur cible

Un commerçant a créé une petite feuille de calcul qui lui
permet de fixer son prix de vente en fonction de son prix
d'achat et du taux de marque qu'il souhaite.
Le contenu des cellules B2 et B3 est fixé au clavier.
La cellule B4 contient la formule suivante =B2/(1-B3).
Dans l'exemple ci-contre il a tapé un prix d'achat de 80 € et
un taux de marque de 20% ce qui lui donne un prix de vente
de 100 €.
Mais les temps sont durs. Et notre commerçant pense, en étudiant la concurrence, qu'il doit fixer
son prix de vente à 90 € pour rester compétitif.
Il a deux possibilités pour atteindre ce nouveau prix : conserver son taux de marque et négocier
un prix d'achat plus faible, ou bien conserver le prix d'achat actuel et accepter une baisse de
son taux de marque. Pour ce faire, il va s'aider de la valeur cible.
Étudions la première hypothèse. La valeur cible s'utilise en activant Analyse de scénarios +
Valeur cible dans le groupe Outils de données de l'onglet Données. La fenêtre suivante s'affiche
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alors :
 La zone Cellule à définir contient la formule dont on

veut fixer le résultat, ici la cellule B4 qui calcule le
prix de vente.
 Dans la zone Valeur à atteindre, taper le résultat
souhaité, ici 90 €.
 La zone Cellule à modifier contient la donnée de
départ qui va être modifiée en fonction du résultat
souhaité, ici il s'agit du prix d'achat situé en B2.
note : il n'est pas nécessaire de taper les références, on peut
également utiliser à la souris le bouton de sélection de cellule
situé à droite de chaque zone et cliquer sur la cellule
souhaitée. Excel affiche alors les coordonnées de la cellule
en références absolues ($) comme illustré ci-contre.
La réponse est immédiate. Excel a calculé que le commerçant
doit négocier un prix d'achat de 72 € afin de pouvoir fixer
son prix de vente à 90 € en pratiquant un taux de marque de
20%.
La deuxième hypothèse est

illustrée ci-contre :
Le commerçant a de nouveau
fixé un prix de vente de 90 €,
mais cette fois il recherche le
nouveau taux de marque (B3
est la cellule à modifier). La
valeur cible d'Excel répond
par un taux de marque de
11%.
Section 2 : Solveur
 présentation
Le solveur est un outil très puissant qui permet à la fois d'optimiser et d'allouer des ressources. Il
est souvent utilisé pour résoudre des équations.
En effet, il permet de trouver le minimum, le maximum ou la valeur la plus proche d'une donnée
tout en respectant les contraintes que l'on a émises.
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note 1 : le solveur est une macro complémentaire d'Excel qui n'est pas incluse dans l'installation
par défaut du logiciel. Il faut donc éventuellement l'ajouter en procédant de la manière suivante :
- Cliquez sur le bouton Microsoft Office/sur Options Excel/puis sur la catégorie Compléments;
- Dans la zone Gérer, cliquez sur Compléments Excel, puis sur OK;
- Dans la zone Compléments disponibles/activez la case à cocher Complément Solveur/puis
cliquez sur OK.
- Redémarrer Microsoft Office Excel.
note 2 : La Valeur Cible est une fonction d'EXCEL qui a le même objectif que le Solveur mais
sans les contraintes. Cet outil est utilisé lorsqu'on veut qu'une cellule atteigne une valeur
particulière.
La cellule doit obligatoirement contenir une formule. La Valeur Cible a besoin de 3 paramètres
pour fonctionner :
 la référence de la cellule pour laquelle on veut affecter la valeur particulière ;

 la valeur déterminée pour cette cellule ;
 la cellule variable qui doit être modifiée pour atteindre la valeur cible.
Exemple :
Un commerçant a créé une petite feuille de
calcul qui lui permet de fixer sa marge
commerciale en fonction des quantités
vendues, du prix de vente unitaire et du prix
d'achat unitaire.
Le contenu des cellules B1, B2 et B3 est tapé
au clavier. Ce sont les cellules variables.
La cellule B4 contient la formule
suivante =B1*(B2-B3). La cellule B4 est
la cellule résultante dont la valeur dépend
des cellules B1, B2 et B3.
 utilisation du solveur
Le solveur se met en œuvre par la commande Solveur du groupe Analyse de l'onglet Données.
Notre commerçant souhaite atteindre une marge commerciale de 800 000 FCFA. Mais certaines
contraintes s'imposent.
La quantité vendue ne peut pas être supérieure à 600 unités compte tenu de la zone de chalandise.
La concurrence limite le prix de vente à un maximum de 3 500 FCFA.
Enfin, le prix d'achat unitaire ne peut être inférieur à 1 800 FCFA après négociation.
 Paramétrage :
- Sélectionnez la cellule marge (B4)
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- Cliquez sur le Ruban « Données »/Solveur (dans le groupe analyse) pour obtenir la fenêtre
qui suit.
La fenêtre ci-contre montre l'utilisation

du solveur.
La cellule cible est celle qui contient

l'objectif, c'est à dire la marge
commerciale.
Sa valeur a été fixée à 800 000 FCFA.
Cette valeur peut également être définie
comme un maximum ou un minimum.
Les cellules variables contiennent les

valeurs de départ du problème.
Les contraintes sont les valeurs

imposées éventuellement par la situation
étudiée.
Les cellules peuvent facilement être
choisies grâce à l’outil .
Ci-contre, à gauche, la fenêtre d'ajout d'une contrainte.

Dans l'exemple, la quantité vendue a été fixée à un
maximum de 600 unités.
à vous de jouer
Avez-vous trouvé à quelle quantité et à quels prix
correspond une marge commerciale de 800 000
Résultat attendu :
N.B : Lors de la résolution (c.à.d. après avoir cliquer sur Résoudre, vous pouvez enregistrer ou
afficher le rapport des scénarios) pour être consulter ultérieurement.
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SECTION 3 : AMELIORATION DE LA LISIBILITE DES TABLEAUX AVEC MISE EN

FORME CONDITIONNELLE DES VALEURS
 Généralités
La mise en forme conditionnelle (MFC) permet de formater une formule en fonction du contenu
d'une cellule, qu'il s'agisse d'un contenu numérique, chaîne de caractères ou logique. (vrai/faux).
La MFC est donc un outil de mise en relief des données, utile dans tous les domaines.
Excel comporte un certain nombre de MFC prédéfinies repérées par une grande icône dans l'image
de droite. Ces boutons font partie du groupe Style de l'onglet Accueil.
Il est également possible de réaliser une MFC personnalisée suivant un grand nombre de critères
en cliquant sur le bouton Nouvelle règle...
Le bouton Effacer les règles... permet d'effacer les règles de MFC présentes dans les cellules
sélectionnées, ou dans l'ensemble de la feuille.
Gérer les règles... permet de modifier les règles de MFC existant dans une feuille de calcul,
d'enlever une règle ou d'en rajouter.
Bien entendu, il est nécessaire de sélectionner la cellule ou la plage de cellule concernée avant de
lui appliquer une MFC. Il peut être intéressant de nommer la plage de cellule.
 Mises en forme conditionnelles prédéfinies
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Les mises en forme conditionnelles prédéfinies sont appliquées

après avoir rempli une boîte de dialogue de ce type. Il suffit de
préciser la ou les valeurs choisies et la mise en forme désirée.
Dans l'exemple de droite, on a choisi les dix valeurs les plus
élevées d'un tableau. Elles sont mises en valeur par un texte rouge
foncé sur un fond rouge clair. D'autres choix sont possibles bien
entendu.
*Les mises en forme conditionnelles prédéfinies sont rapides à appliquer et comportent les choix
suivants :
 Règles de mise en surbrillance des cellules :

Cette première catégorie de mises en forme conditionnelles
permet de mettre en évidence des cellules en comparant leur
contenu à des valeurs particulières choisies.
Dans l'exemple de droite, on a choisi de mettre en relief les
cellules dont le contenu est supérieur à 500.
Note : dans les images de droite, le tableau n'est pas montré
entièrement.
* Règles des valeurs plus/moins élevées :

Cette catégorie de mises en forme conditionnelles permet de
mettre en relief des cellules en les situant par rapport à
l'ensemble des valeurs de la plage de cellules sélectionnée.
L'exemple de droite montre un tableau dans lequel les cellules

contenant des valeurs supérieures à la moyenne arithmétique
(calculée automatiquement) ont été colorées en vert
Barre de données :
Cette catégorie de mises en forme conditionnelles affecte à
chaque cellule une barre de couleur proportionnelle à la valeur
contenue dans la cellule.
L'exemple de droite montre un tableau dans lequel chaque cellule
comporte une barre bleue dépendant de la valeur numérique
contenue dans la cellule.
Nuances de couleurs :
Ces MFC permettent des visualiser les données grâce à des
dégradés de couleurs en fonction de la distribution des valeurs à
l'intérieur de la plage de cellules sélectionnée.
À droite, un tableau comportant des nuances de couleur. Les
valeurs supérieures à la moyenne ont un fond vert plus ou moins
foncé, plus foncé pour les valeurs les plus élevées. Les valeurs
faibles ont un fond plus ou moins rouge, plus foncé pour les
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valeurs les plus faibles.
Jeux d'icônes :
Cette dernière catégorie de MFC affecte à chaque cellule une
icône significative indiquant comment se situe la valeur de
chaque cellule par rapport à l'ensemble des valeurs de la plage.
L'exemple de droite montre des valeurs affectées d'une icône
différente suivant que la valeur est forte, faible ou proche de la
moyenne.
* Mises en forme conditionnelles personnalisées

Pour obtenir une mise en forme conditionnelle personnalisée, choisir Mise en forme conditionnelle +
Nouvelle règle.
La boîte de dialogue ci-dessous apparaît :
La partie haute de la boîte de dialogue comporte les différents types de règles pouvant être appliquées.
La partie basse présente les possibilités de formatage possibles en fonction du type de règle choisi.
Cette partie s'adapte à chaque type de règle déterminé.
Mettre en forme toutes les cellules d'après leur valeur.

Ici, la règle va attribuer à chaque cellule de la plage sélectionnée une mise en forme en fonction de la
valeur de la cellule. Contrairement à ce qui se passe avec les autres types de MFC, quelle que soit la
valeur, une mise en forme sera appliquée.
20
_____________________________________________________________________________________________________________
____________________________________________________________________________________________________
Elle changera en fonction de cette valeur.
Appliquer une mise en forme uniquement aux cellules qui contiennent met en forme uniquement
certaines cellules, celles qui contiennent une valeur précisée, une date, un texte spécifique, un contenu
vide, une erreur etc...
Appliquer une mise en forme uniquement aux valeurs rangées parmi les premières ou les dernières
valeurs met en forme uniquement les cellules qui contiennent des valeurs extrêmes. Le nombre de cellules
à mettre en valeur peut être précisé.
Applique une mise en forme uniquement aux valeurs au-dessus ou en-dessous de la moyenne met en
forme les cellules en fonction de leur position par rapport à la moyenne. Cette règle permet de faire
intervenir les écarts-types.
Appliquer une mise en forme uniquement aux valeurs uniques ou aux doublons met en relief les
cellules contenant des doublons, ou, au contraire, des valeurs uniques.
Utiliser une formule pour déterminer pour quelles cellules le format sera appliquée donne une mise
en forme en fonction du résultat d'une formule. Selon que le résultat sera la valeur logique VRAI ou
FAUX, la mise en forme sera appliquée ou non.
mises en forme conditionnelles personnalisées se référant à une ou plusieurs autres cellules

Toutes les MFC présentées ci-dessus s'appliquent à une ou plusieurs cellule en fonction du contenu de
cette/ces cellules.
Il est souvent utile d'appliquer une MFC déterminée en fonction du contenu d'une autre cellule. Ceci
implique de se servir d'une formule.
C'est l'exemple de la feuille de calcul ci-dessous :
Dans cet exemple, des MFC ont été appliquées aux moyennes d'un
groupe d'élève. Ces moyennes ont été saisies dans la colonne B.
La colonne C contient des MFC déterminées en fonction des

notes contenues dans la deuxième colonne (B).
Dans la colonne C, les cellules sont colorées en vert (note
supérieur ou égale à 10) ou en rouge (note inférieure à 10).
Les formules utilisées sont détaillées ci-dessous :
21
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____________________________________________________________________________________________________
Détaillons ce qui se passe pour la colonne C (notes supérieures ou inférieures à 10).

Une cellule a été sélectionnée, on lui a appliqué la formule=B10<10 et affecté un fond rouge quand son
résultat est VRAI (la note en B10 est inférieure à 10).
On a ajouté à la même cellule une deuxième règle en sélectionnant : Mise en en forme conditionnelle +
Gérer les règles + Nouvelle règle. Cette fois la formule est =B>=10 et le fond de la cellule est vert
quand le résultat est VRAI.
Ces MFC ont ensuite été étendues aux autres cellules par la poignée de recopie de la cellule. Il est donc
nécessaire que la cellule d'origine contienne une formule dénuée de références absolues (du type
$B$10).
Chapitre 4 : Cas pratiques de comptabilité avec MS Excel
Section 1 : Bilan
22
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Exercice :
Au 05 janvier 2021 les postes du bilan de l’entreprise BAKO sont les suivantes
- Avoir en banque…………………………………………………………….400 000 frs

- Capital………………………………………………………………………1800000 frs
- Constructions…………………………………………………………………600000 frs
- Matériels………………………………………………………………………800000 frs
Travail à faire :
En utilisant le logiciel Excel Etablir le Bilan de cette entreprise
Section2 : les comptes
Exercice
L’entreprise MTN dont l’activité principale est la Communication a réalisé les opérations
suivantes
03 janvier 2021, vente de marchandises à crédit …….……………………90000 Frs

04 janvier 2021, achat de marchandises réglé par chèque bancaire :……800 00 Frs ;
05 janvier 2021, paiement par chèque bancaire du loyer du magasin :… 70 000 Frs ;
06 janvier 2021, achat à crédit d’une caisse enregistreuse …………… 160 000 Frs ;
08 janvier 2021, vente de marchandises de la semaine Encaisses en espèces : 90000 Frs ;
10 janvier 2021, retrait d’espèces à la banque ………………………...120000 Frs ;
Travail à faire :
23
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En utilisant le logiciel Excel, enregistrer ces opérations dans les comptes schématiques.
Section3 : le journal
Exercice :
L’entreprise PRIMUS dont l’activité principale est la production de la boisson

a effectué les opérations suivantes :
01/01/2021 : Achat en compte de marchandise à OBO pour …………. 80000 F

02/01/2021: Vente au comptant, en espèces de marchandises facturées …. 70000 F
03/01/2021 : Vente à TALA pour 90.000F de marchandises. Nous lui expédions la Marchandise
accompagnée de la facture.
08/01/2021: Achat au comptant en espèces de 50.000 F de marchandise
10/01/2021: Vente de marchandise de 85.000 F à la cliente TOUMATA
Travail à faire :
En utilisant le logiciel Excel, Établir le journal de cette entreprise.
BIBLIOGRAPHIE
1) Calculs mathématiques, statistiques et financiers avec Excel, Auteur : Claude DUIGOU
2016
2) Les tableaux croisés dynamiques avec Excel. Auteur : Remy Lentzner 2018
3) Tableaux croisés dynamiques. Editions ENI 2016
4) Excel 2016, puissance de programmation avec VBA Auteur : Michael Alexander 2016
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ET D’ADMINISTRATION DES ENTREPRISES

MICROSOFT EXCEL AVANCE

Chapitre 1 : Quelques fonctions

Chapitre 2 : Cas pratique

Chapitre 4 : cas pratique de comptabilité avec MS Excel

Chapitre 1 : Quelques fonctions

Section 1 : Recherche dans une liste avec les fonctions recherche

Solution : Cherchons l’âge de Séverine par exemple.

« Valeur_proche » est facultatif, mais permet soit de chercher la valeur exacte de

On obtient finalement l’âge de Séverine.

Solution : Cherchons le prénom du candidat 8.

On obtient finalement le prénom de la candidate 8.

Section 2 : Tableau Croisé Dynamique (TCD)

Le 1er contient la liste des champs de l’entête du tableau source ;

- La zone Etiquette de Colonne :

- La zone Etiquette de Ligne :

 Mise en forme du Tableau Croisé Dynamique :

 Les Listes Déroulantes :

CHAPITRE 2 : CAS PRATIQUE

Section 1 : Outils mathématiques et statistiques de MS Excel pour analyser ou extrapoler une

 Les courbes de tendance :

L'insertion de la courbe de tendance se fait ensuite de la manière suivante :

Suivant la tendance observée sur les graphiques, il

Section 2 : Fonctions financières et analyse de la rentabilité d’investissement

La syntaxe de la fonction VC est la suivante: =VC(taux;npm;vpm;va;type)

npm = Nombre total des versements

La syntaxe de la fonction TAUX est la suivante: =TAUX(npm;vpm;va;vc;type;estimation)

La fonction NPM calcule le nombre de paiements d'un investissement ou prêt à versements

La syntaxe de la fonction NPM est la suivante: =NPM(taux;vpm;va;vc;type;estimation)

La syntaxe de la fonction VA est la suivante: =VA(taux;npm;vpm;vc;type)

taux = taux d'intérêt (annuel)

type = Valeur facultative qui représente l'échéancier paiement au début de la période = 1 ou à la

La syntaxe de la fonction VPM est la suivante: =VPM(taux;npm;va;vc;type)

Vu qu'il s'agit de remboursement mensuel le taux à été divisé par 12.

La syntaxe de la fonction INTPER est la suivante: =INTPER(taux;période;npm;va;vc;type)

Npm = Montant du remboursement de chaque période (ex. mensualités)

La syntaxe de la fonction PRINCPER est la suivante: =PRINCPER(taux;période;npm;va;vc)

 Analyse de la rentabilité d’investissement :

On parle alors de taux de rentabilité économique.

Qu’est-ce que l’effet de levier :

Section 1 : Outils valeur cible

 La zone Cellule à définir contient la formule dont on

La deuxième hypothèse est

 la référence de la cellule pour laquelle on veut affecter la valeur particulière ;

La fenêtre ci-contre montre l'utilisation

La cellule cible est celle qui contient

Les cellules variables contiennent les

Les contraintes sont les valeurs

Ci-contre, à gauche, la fenêtre d'ajout d'une contrainte.

SECTION 3 : AMELIORATION DE LA LISIBILITE DES TABLEAUX AVEC MISE EN

 Mises en forme conditionnelles prédéfinies

Les mises en forme conditionnelles prédéfinies sont appliquées

 Règles de mise en surbrillance des cellules :

* Règles des valeurs plus/moins élevées :

L'exemple de droite montre un tableau dans lequel les cellules

valeurs les plus faibles.

* Mises en forme conditionnelles personnalisées

Mettre en forme toutes les cellules d'après leur valeur.

Elle changera en fonction de cette valeur.

mises en forme conditionnelles personnalisées se référant à une ou plusieurs autres cellules

La colonne C contient des MFC déterminées en fonction des

Détaillons ce qui se passe pour la colonne C (notes supérieures ou inférieures à 10).