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https://hdl.handle.net/2027/gri.ark:/13960/t1wd9f15x
ET DE
La
&
cause finale de l’harmonie
est dans la simplicité des rap-
ports.
NOUVELLE ÉDITION.
JULES DE MEESTER
IMPRIMEUR-ÉDITEUR
Rue St-Alphonse, 7 & 9, ! Rue de l’Industrie, 27
ROULERS. J
BRUXELLES,
1900 .
LES
SECRETS du COLORIS.
1res êeçpets
da Çolopis
RÉVÉLÉS PAR
ET DE
NOUVELLE ÉDITION.
JULES DE MEESTER
IMPRIMEUR-ÉDITEUR
Rue St-Alphonse, 7 & 9, Rue de l’Industrie, 27
ROULERS. BRUXELLES.
1900 .
A SON EXCELLENCE
Monsieur le baron
employées.
En fixant la notion et la détermination de ces
dernières, je pense avoir écrit l’éloge des maîtres
*
HOMMAGE.
Dr A. CHARPENTIER
Professeur à la Faculté de médecine de Nancy
Membre corrtspondai t de l’Académie de médecine de Paris.
PRÉFACE.
physiologique.
Quoique écrit à un point de vue
différent , cet ouvrage
présente tant de contacts avec le nôtre , que l’auteur nous
ses pôles.
tique.
Il n’ appartient pas à la science de dicter ses conditions
G. DE LESCLUZE Pbr.
'
Dadizeele, T 1 Mars igoo.
JT
.
LES SECRETS DU COLORIS
RÉVÉLÉS PAR
PREMIÈRE PARTIE.
LA COLORATION ARTISTIQUE.
Notre but.
(i) Le lecteur peut passer les trois premiers chapitres, pourvu qu’il
possède les Tablatures-gammes coloriées. Pour le moment nous ne
savons les livrer qu’en noir et sans couleurs. L’étude du peintre doit
porter essentiellement sur les chapitres 4, 5 et 6 de la première Partie
de cet ouvrage. Les trois premiers chapitres peuvent se regarder
comme une introduction.
PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE PREMIER. 21
(i)
La qualité essentielle d’une couleur,
c’est sa réfrangibilité distincte. Une Jacinthe
et
vermillon scarlet sont des couleurs dis-
tinctes, bien qu’elles soient toutes deux
Vert
rouges.
Nous verrons plus tard qu’il une
a
y
Jaune
Nous avons donc deux qualités acci-
dentelles
:
i° La saturation ou la dessaturation,
et 2° l’état vif ou rompu d’une teinte.
me
Question. Combien de couleurs
y
2
donnant du blanc.
PREMIERE PARTIE. CHAPITRE PREMIER. 23
œ
Nos chiffres 128-255 expriment cette M
rapidité, mais seulement à échelle
réduite. Le chiffre absolu de cette rapi-
dité se compterait par trillions de seconde. «
Comment nommer les couleurs ? Nous nommerons
'
me
Question. L'harmonie des couleurs.
Quelles sont
4
tout fait
y
a
à
sérieux pour les peintres.
vert
CTQ
de chou
Bruxelles
l’artiste pourra déjà en tirer quelque parti. Pour une désignation plus
26 les secrets du coloris.
Nous venons
de parler d’un rappport simple. La
gamme est également un rapport, mais il n’est pas
uniquement simple; c’est à dire qu’à côté des con-
sonances, elle a également des dissonances. Une
gamme est une série de nuances dont les nombres
de vibrations se suivent comme 32 est à 33 34 35
'
etc. jusqu’à 64.
Les gammes employées par les grands maîtres ont
32 Degrés ou 32 nuances au grand complet.
La gamme est accordée de telle manière que le
chiffre de ses Degrés indique leurs harmonies. Tel
rapport entre les nombres, tel accord entre les cou-
leurs, et cet accord entre les couleurs indique en
même leur tendance
temps à se maintenir sur un
même plan. Voyez page 23.
C’est ainsi que les Degrés 32 et
48 sont en rapport
simple dans les nombres; ces Degrés forment un
accord. Les Degrés 40 et 60 sont en rapport simple ;
ces Degrés forment un accord. Les Degrés 56 et 42
sont en rapport simple; ces Degrés forment un
accord, etc. De
quelque manière que ces couples
de couleurs soient
employés, ils viendront toujours
se mettre sur un même plan.
7
me
Question. Le nombre des, gammes.
Combien de gammes y a-t-il? Nous pouvons former
une gamme, en appliquant notre rapport 32 est à
la
Nacarat frée, comme pièce annexe cet ouvrage.
256
à
Parmi ces trente-deux
gammes, l’art
n’en connait que cinq. Ce sont
:
i° Tonalité
la
espagnole obtenue en
240
lilas
disant, 160 est sa gamme comme 32
:
33 etc.
2° laTonalité Rubens obtenue en disant,
224
:
la Tonalité Jordaens obtenue en
3°
:
33 etc.
208
Blee
la Tonalité Rembrandt obtenue
40
en
disant, 208 est sa gamme comme 32
à
:
33 etc.
192
Tonalité
la
Vert
italienne obtenue en
5°
:
33 etc.
Peut être pourrait on ajouter cette à
176
Jaune
listelaTonalité Vert 192 qui nous avons
cru observer dans les vestiges 'de l’an-
cien décor gothique. Cette Tonalité se
160
Nacarat
Tonalité de Rembrandt qui n’em-
la
et
ploie cette nuance que dans une forme très rompue
(brun de Mars, Sépia)
CHAPITRE II.
distinguez-vous ?
Nacarat
Nous avons déjà répondu à cette ques-
tion, en limitant le nombre des couleurs
picturales à 128; toute modification ulté-
Lilas
rieure étant obtenue, soit par le mélange
de la lumière blanche, soit par celui de
la couleur complémentaire, ou des deux
à la fois.
Jacinthe
Quand il s’agira de poser ces 128 cou-
leurs, vous pourrez, pour quelques unes,
employer vos couleurs primitives pures
Blee
qui sont vos couleurs de fonds ; pour
les autres, il faudra prendre des teintes
composées.
La 2
rae
question sera en conséquence
Vert
de savoir quelles sont vos couleurs de
fond et à quel chiffre de la Tablature
générale elles correspondent.
Jaune
La 3 me question sera savoir de
combien de nuances nous devrons obte-
nir par l’union de poudres primitives?
Enfin nous étudierons quelques particu-
Orange
larités qui se rapportent à l’éclairage
des couleurs.
Nous répondons à la première ques-
Rouge tion. Combien de tubes avez-vous dans
votre boîte? A quels chiffres de notre Ta-
blature correspondent-ils ?
Neutralisez Par
192 238
195 vert céleri 240 violet minéral n° 2 Lefranc
196 vert gazon 241 outremer rose
200 vert chou de Bruxelles 244
201 carmin
248
202 Vs vert véronèse, cendre 252 garance vermillonnée
verte
203 vert de cobalt 128
204 131 vermillon chinois
207 émeraude 135 vermillon français
208 rouge anglais
138
140 vermillon scarlet
209 vert d’outremer 141 rouge de Vénise Lefranc
2x0 céruléum 148
2x4 cobalt 150 orange de Mars
216 outremer 153 jaune orange de Mars
Blockx
220 bleuet des blés J 59 jaune de Mars
221 laque bleue de garance
225 violet d’outremer Lefranc 162 terre de Sienne nat.
228 géranium pratense jaune indien
164
230 purpel 168 jaune serin
232 170 auréoline
233 176
234 Violet minéral n°i Lefranc 180 jaune-vert
235 183 vert jaune
236 violet de cobalt 187
237 190 vert persil
240 violet minéral n° 2 Lefranc J 95 vert céléri
241 outremer rose 196 vert gazon
244 200 vert chou de Bruxelles
246 garance pourpre
247 garance rose
248 carmin
252 carmin rouge 202 vert Véronèse
128 nacarat ou camélia 203 vert Rubens
4° LES SECRETS DU COLORIS.
Relatifs.
Parmi ces groupes, les principaux sont l’accord
formé sur la 8
me
ou 32 me de la gamme; le Relatif de
42 LES SECRETS DU COLORIS.
i2 m'(ou de 3
me
) ;
le Relatif de io me (ou de 5
me
) ;
le Re-
latif de I4
me
(ou de 7
me
). Nous présentons ces divers
groupes sous une forme synoptique, au moyen des
figures suivantes.
10 12 i5 9 25 15 35 21
8 14 12 21 10 35 14 49
Accord de la Relatif de Relatif de Relatif de
8 me ou 3 2me I2 me IO mC I4 me
39 ) 21.
PREMIÈRE PARTIE. CHAPITRE QUATRIEME. 45
Lois du Coloris.
empruntées.
Les intervalles 32 et 48 forment accord dans toutes les
Gammes. Dans la Gamme de Jordaens, c’est le Rouge de
Venise ou mieux le Rouge Saturne associé à l’Outremer.
Il serait faux de croire que les Rouges et les Bleus vont
conserver leur même accord dans toutes les Gammes.
Bien au contraire, je retrouverai, dans toutes les Gam-
mes, cette harmonie constante entre la 32 me et la 48 me .
Pour la Gamme Espagnole, elle sera réalisée par
l’Orange 160 et le Lilas 240. Pour la Gamme de Rembrandt,
ce sera le Bleu verdâtre 208 et une teinte Sepia ou Ocre
brune 156.
15 9 25 « 35 21
12 21 10 35 14 49
Relatif de I2 me Relatif de io™ Relatif de 14™=
PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE CINQUIEME. 49
3
me
LOI DU COLORIS. — En cas d’emploi du
Relatif, tous les éléments du Relatif se tiennent sur un
même plan. Aucun de ses éléments ne peut s’éparpiller
sur un plan différent. C’est le motif de l’infériorité de
Raphaël comme coloriste. La découverte du Relatif
paraît due à Georgione. C’est chez lui que nous trou-
15 9 25 15
12 21 10 35
Relatif de i2me. Relatif de iome.
i5 9 25 15 35 21
12 21 10 35 14 49
Relatif de I3 me Relatif de iome Relatif de I4 me
15X 1
= 5. ou 10 son duplicata 3 X 1 =?= 3 ou 12 son dupl.
3X19 = 57
3 X 21
= 63
X = 75 ou 37 con-
‘/s
3 25
junction.
X 27 = ou 40 cube.
‘/s
81
3
Conjonction chaque fois que est facteur avec 3.
Il
Si
y
5
Van Orleyisme chaque fois qu’on multiplie d’une
Il
a
y
Il
y
a
cube ou carré, chaque fois que ou sont multipliés
5
par eux-mêmes.
Remarquons me
8i rae
la
en passant que 75 et la
appartiennent la division in-64. Pour retrouver
à
la 37 me et la 38™.
x =7 ou 14 ou 56 3Xi=3 ou 12 ou 48
i
7
—
7X9 conjonction X = 27 ou 54 cube
63
13
3
X = u 45 Van Or-
«
13 91
V2
7
leyisme avec 39 =
X
13 39
3
PREMIÈRE PARTIE. CHAPITRE CINQUIEME. 55
12 21 10 35
Relatif de I2 me
PREMIÈRE PARTIE. CHAPITRE SIXIÈME. 59
me
y est remplacée par la 3i .
rac
et pourquoi la I5
En effet cette 15
me
, jointe à la 35 me de l’arrière-plan,
aurait produit un Van Orleyisme, puisque 35 et 15
appartiennent au Relatif de io .
me
LES SONS.
A 2 me et la 3
me Partie
comprennent les documents
et origines.
Il est de nos lecteurs qui, après avoir par-
couru nos premières brochures, croient que
nous comparons les couleurs aux sons. On ne saurait se
faire une idée plus inexacte de notre ouvrage. Nous cher-
chons à connaître les lois de l’équilibre des corps élasti-
ques.
Les vibrations sonores ne présentent tout au plus qu’un
mode occasionnel d’étudier ces lois générales qui, une fois
reconnues, peuvent s’appliquer aux vibrations de l’éther,
en apportant leur preuve « a priori » à certains faits que
nous n’avançons dans notre ouvrage qu’à titre d’hypothè-
ses confirmées par la preuve « à posteriori» on preuve expéri-
mentale. Aujourd’hui l’étude des phénomènes élastiques
paraît poussée assez loin, pour former un Chapitre distinct
de la Physique, servant d’introduction commune à l’Opti-
que et à l’Electricité comme à l’Acoustique. C’est un tra-
vail à faire, que nous laissons à d’autres plus capables et
plus entreprenants.
N OUS n’avons pas à apprendre à nos lecteurs
qu’est une vibration. Tout le monde a vu les
cordes très longues, étendues sur l’écheveau du cor-
ce
(i)
Quand
une corde tendue a été étirée ou frappée, elle ne
revient pas subitement sa position de repos mais
à
;
seulement après avoir décrit, autour de son axe,
une série d’oscillations qui sont de véritables vibra-
tions.
Cette oscillation peut s’étendre toute la longueur
à
s’appelle longueur d’onde. C’est ainsi que le son se transmet dans l’air.
DEUXIÈME PARTIE. CHAPITRE PREMIER. es
me
Corde divisée en deux parties égales, pour donner le 2
theilton.
(
mais chose plus importante pour nous, c’est un argument puis-
sant contre toute théorie des couleurs qui serait fondée sur les
analogies supposées avec la musique, » Or, Rood prend la région
moyenne des sons, l’échelle du violoncelle, pour laquelle
notre perception est plus parfaite, pour la comparer avec
dix-millionième de millimètre.
2 Obscure, obscuration,mots crées par le DT Charpentier pour
désigner l’état de l’œil soumis pendant un certain temps à l’obscurité
artificielle. L’obscuration augmente la sensibilité pour la lumière blan-
che, sans l’augmenter pour les couleurs.
DEUXIÈME PARTIE. CHAPITRE PREMIER. 6g
D ANS ce
les sons
chapitre, nous parlons
graves se distinguent
des sons en
des sons
tant que
aigus.
Les longues cordes vibra-
de la basse donnent des
tions plus lentes et plus rares. Nous rattachons la
sensation du grave aux vibrations lentes des cordes
longues.
Les cordes plus courtes du violon donnent des
vibrations plus fréquentes et plus rapides. Cette
rapidité augmente encore, quand nous racourcissons
ces cordes par l’impression du doigt. Nous ratta-
chons la sensation de l’aigu aux vibrations rapides
des cordes courtes. Donnez moi une corde, je vous
dirai quel son elle produira. Donnez moi un son, je
vous dirai quelle corde il faut pour le produire.
Retenons donc ceci : corde longue, vibrations rares,
sensation du grave; corde courte, vibrations plus rapides,
sensation de l’aigu.
Nous avons donc trois manières de reconnaître
un son : i° la sensation; 2° la longueur de corde; 3
0
la
vitesse de ses vibrations ou, ce qui revient au même, le
nombre des vibrations exécutées par seconde. De
ces différentes manières, c’est le nombre des vibra-
tions de la corde et la mesure de sa longueur qui
DEUXIEME PARTIE.
— CHAPITRE DEUXIÈME. 71
fi ffî
Tableau indi
indiquant les éléments de
I er Harm.
3 »
me
»
7
8 me »
me
i5 »
i6 me »
-r ■’ --•»
vitesse
longueur longueur de vibration nom
métrique. relative. relative. en notes.
0,18 I I do
o,og V, . 2 do
0,06 Va 3 sol
0,045 4 do
%
0,036 mi
Va.
0,03 sol
Va
0,0257 si'’ —
v
7
7
0,0225 do
Va
0,02 '% re
9
0,018 Vxo
10 mi
o,oi63 % fa
-|-
11
0,015 12 sol
V.
a
0,0138 13 la —
Vxa
—-
si6
0,0128 Vh 14
0,012 i5
si
%
0,01125 Vxa 16 do
74 LES SECRETS DU COLORIS.
jaune 535 » » » »
56 3
» » » »
Bleu 622 » » » »
653 » » » »
Violet 699
» » » »
735 J> » » »
» 0 CO
CO
(1)
Du moins aux initiés; qu’elle puisse rendre aussi de mauvais
.1
note. semble qu’il soit devenu une perfection de négliger les éléments
que la notation n’écrit pas, comme la pureté de son, la diction et la
cadence mélodique devenues des fautes d’un solfège pris la lettre.
à
La cause du mal est dans la destruction des privilèges des maîtrises
qui avaient le monopole de l’enseignement. Aujourd’hui le mal est
si
profond, qu’il demande un remède radical la nomination directe des
:
mes aussi des jambes; dans la marche elle même, le repos est plus
complet sur un pied que sur l’autre. Le pouls fait’ quatre-vingt pulsa-
tions par minute; mais s’en faut, qu’il ait la régularité d’une horloge.
il
si
DEUXIÈME PARTIE. CHAPITRE DEUXIÈME. 77
S , „,Îî 5L s?3!
2 / o . $2
8o LES SECRETS DU COLORIS.
4 5 6 7 8
b
Do Mi Sol Si Do
Nous avons là un degré d’octave de l’échelle des
harmoniques ; pour monter d’étage et obtenir les de-
grés de l’octave supérieure, doublez les nombres et
intercalez les impairs.
8 9 10 11 12 13 14 15 16
4 5 6 7 8
45678
Do Re Mi Fa Sol La Si b
Si Do
Pour obtenir les degrés d’octave inférieurs, biffez
les impairs et divisez par 2 les nombres pairs.
2 3 4
Do Sol Do
Les octaves d’un son ont un nombre double de vi-
bration et portent un même nom de note. Par simili-
en parlant de couleurs,
tude, nous attribuons, une
même nuance à tous les dimidiata et à tous les dupli-
cata d’un même nombre de vibration.
Il n’y a pas de limite théorique à la liste des theil-
tônen qu’une même longueur de corde peut fournir.
Le mot harmonique est synonyme de theïlton ; mais il
s’entend généralement des theiltonen les plus élémen-
taires. On emploie encore le terme de concomitantes
ou sons concomitants ; mais ce terme, qui est d’une
acception plus large, se dit de tout son qui accom-
pagne un autre son. Dans le bruit, dans le son des
cloches, des membranes, des xylophones, il n’y a ni
DEUXIEME PARTIE. CHAPITRE QUATRIÈME. 85
•1. Sans quoi, les theiltônen des différents sons d’an accord, ne réïn-
cideraient pas m idem, quand ces sons ont des theiltônen communs.
CHAPITRE V.
La Gamme.
le
me
32 theilton. C’est en effet dans cette Division in-16
musique devait trouver le nombre d’éléments
la
que
voulus pour accorder sa gamme par quintes justes ou
approximatives. C’est ainsi qu’elle doit satisfaire
1. Nous nous servirons plus tard des termes Division in-i6, Division
in-32. Ces termes ne doivent pas rappeler au lecteur l’idée d’une corde
divisée en seize ou trente-deux parties égales mais des seize ou trente-
;
e
t
theilton.
96 LES SECRETS DU COLORIS.
Divisionin -16 16 r7 l8 lg 20 zl 22 24 25 26 2? 28 2g 30 3I 32
Division in-8 8 9 10 II 12 13 I4 15 l6
Ces deux Divisions se ressemblent. Pour changer
la Division in-16 dans la Division in-8, il suffit d’effa-
cer les impairs et de dédoubler les nombres pairs.
Pour monter à l’étage dans l’échelle et pour aller
de la Division in-16 à la Division in-32, il suffit de
doubler tous les nombres et d’intercaler les impairs.
DEUXIÈME PARTIE. — CHAPITRE CINQUIÈME. 97
octave en couleurs ?
Les longueurs d’onde spectrales, prise s à partir du Rou-
ge extrême de 8000 À, embrassent plus d’une octave; cepen-
dant nous ne savons pas observer l’aspect très curieux de
ce que serait l’octave en couleurs, les sensations extrêmes
devenant confuses. En attendant que les études sur le
spectre deviennent plus complètes, on peut supposer que
l’octave en couleurs est une simple répétition. Dans cette
manière de voir, la Division in-128 ne diffère du spectre
réel que par les nuances intermédiaires. Entre temps an-
notons l’observation suivante. Analysez le spectre de quel-
ques pétales de fleurs. Il est curieux de voir les pétales
rouges déterminer, à l’autre extrémité du spectre,quelques
Les Secrets du Coloris, 7
LES SECRETS DU COLORIS.
98
Do Ré MiSol La
Fa Si" Si Do
Les nombres indiquent les consonances des theil-
tônen. A première inspection, vous saurez quels sont
les sons qui forment consonance ou dissonance en-
tre eux.
Il y aura consonance entre 8 io 12 et même
entre 8 io 12 14. (Remarquons que le Si de nos claviers
6
10 11 12 15 16
8 9 13 14
Do Re Mi Fa Sol La Si 6 Si Do
I
DEUXIÈME PARTIE. CHAPITRE SIXIÈME. 103
LE SPECTRE.
AVANT-PROPOS.
couleurs fondamentales
Quant à la distinction des trois
ete suf-
qui seraient le Rouge, le Jaune et le Bleu, elle a
fisamment refutée par Helmholtz, Plateau, Lambert, Rood,
etc. Elle s’appuie sur une observation superficielle qui
prend pour des couleurs pures, les teintes très composées
des poudres colorantes. Quand on unit le Bleu et lejaune
purs, à l’état de rayons spectraux, on obtient le
Blanc.
Toutes nos poudres colorantes jaunes et bleues, renfer-
ment des rayons verts. Dans le mélange de ces poudtes,
les rayons jaunes et bleus se neutralisent, puisqu ils sont
mais
complémentaires ; les rayons verts sont démasqués,
non directement produits. Ce mélange ne produit pas bien
les verts bleuâtres.
à lathéorie des complémentaires, il n’est plus
Quant
essaie d’en faire la base du co-
personne aujourd’hui qui
loris pratique. Opérant sur les couleurs-lumières, c’est-à-
dire sur des rayons spectraux, Helmholtz a fait voir que
les auteurs de cette théorie vieillie, n’avaient pas exacte-
ment connu les véritables complémentaires. Après les
r
remarquables travaux du D Charpentier de 1 Université
de Nancy, sur la perception du Blanc, ce dernier a perdu
tout droit à se regarder comme une somme de couleurs.
C’est une réaction simple et naturelle à l’œil, qui ne sup-
pose aucune harmonie dans les causes qui l’excitent.
Il est inutile de parler de la théorie Young-Helmholtz,
qui se rapporte à une question de perception physiologique.
Ce n’est que par un mal-entencju qu’on pourrait la rappor-
ter à l’art. Elle a été vivement combattue par Delbœuf.
Voyez la Revue scientifique du 23 Mars 187S.
formes,
Selon la doctrine d’Helmholtz.la perception des
n’est pas une sensation de
des distances, des dimensions
sui les don-
l’œil, mais une opération du jugement agissant
la
nées fournies par l’œil, et constatées par l’attention. Copier
nature, la nature pour maître est une locution impro-
prendre
pre, employée pour exprimer la manière toute personnelle
dont chaque individu, qu’il soit peintre ou non,
arii\e à
se rendre compte de l’existence des objets
extérieurs. Cette
a fait
liberté de style, reçue dans l’enseignement publie,
faire des progrès incomparables à l’éducation artistique.
La vieille méthode consistait à copier les bons modèles
:
d imitation.
elle était stérile comme toutes les méthodes
On a exagéré le sens du mot dessin linéaire , en 1 appliquant
à trois dimensions. Rubens au-
à la reproduction d’objets
très mauvais élève dans la classe
rait probablement fait un
les méthodes
de dessin linéaire. Du reste pour les enfants,
plastiques seraient préférables aux méthodes graphiques.
Le trait est déjà une abstraction.
du
Une autre méthode de dessin consiste dans l’emploi
tiait ou la sil-
talc sur fond noir, non pour tracer le
houette, mais pour copier directement lalumière. Lebut
est
Les couleurs
i ere
Probabilité. — Le spectre solaire est la partie
visible d’une vaste échelle harmonique, organisée à l’instar
de l’échelle des harmoniques sonores , par un même agent
2
me
Probabilité. — Le total des couleurs renfermées
entre une longueur d’onde quelconque prise à point fixe
dans le Rouge, et l’octave de cette longueur d’onde prise
dans le Violet, ou mieux dans le gris-lavande, est une
Puissance de 2. Cette Puissance est très élevée. Elle peut
se représenter par un total de 128 couleurs énumérées de
128 à 2SS-
La gamme spectrale, telle que nous la nous figu-
rons, est une harpe de 128 cordes dont la plus
longue serait avec les autres, dans le rapport I2S , f
1129) / 130)
etc.
3
me Probabilité, — Dans un éclairage qui serait
Les Secrets du Coloris. 8
114 LES SECRETS DU COLORIS.
verdâtre.
Elles étaient dessaturées sans altération de nuance.
i.Le mot ton, dans la langue des peintres, est toute autre chose que le
ton en musique. Le toi en peinture est la valeur de la teinte estimée par
son opposition au fond blanc du papier ou de la toile.
Il6 LES SECRETS DU COLORIS.
Il
d’indiquer leur nuance et de leur
Jacinthe
donner un nom.
semblequ’en suivant l’ordre logique,
Il
Bleu
que les couleurs comme les sons, ont
un triple caractère, dont un seul suffit
pour les faire reconnaître. En conséquen-
ce elles ont chacune trois noms i°
la
Vert
;
nuance exprimée par un vocable conven-
tionnel comme celui de rouge Saturne,
bleu cyané, outremer Guimet, etc.
la
; 2°
Jaune
fréquence de la vibration 0
la
longueur
3
;
d’onde.
Possédant droit de nous en tenir
le
vibration.
la
fréquence de
Pour
le
sa nuance.
Nous savons quel est nombre total
le
'
; 77U3
822,8 3650
256 camélia^
des Crucifères, qui donne
1. La lunaire est une fleur de la famille
exactement 240. On l’appelle encore monnaie de Judas, monnaie du pape,
Judas penning.
s Nacarat
CHAPITRE IV.
J
Les nuances.
Lilas
Jaune
Division in-64, I ue deviendrait notre
gamme spectrale ?
Vo
1
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55
pouvait avoir encore une couleur, elle de-
vrait nous rappeler la nuance du Nacarat ou 8
gammede
du Camélia .
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Donnée. Le spectre de la chambre obscure.
Vitesses
entrillions de d’après
seconde. Fresnel Helmholtz Rood
raie A 392
429 Rouge
raie B 436
Vitesses
entrillonsde d’après
• seconde. Fresnel Helmholtz Rood
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500 Rouge
502 Orange
591 Vert-bleu
633 Outremer
653 Bleu
740 Violet
raie H 764 limite du Violet
tion entre
en soit de la valeur de l’une ou de l’autre explication,
toujours est qu’il faut attribuer la plus grande im-
il
2
me
Donnée. La loi d’Euler.
La 2
me
donnée est fournie par la loi d’Euler.
C’est pour appliquer cette loi que nous avons dressé
la Table d’harmonie que nous donnons ici.
Pour saisir tout l’intérêt qu’offre cette Table, il
faut remarquer qu’un même nombre passe d’une
colonne dans l’autre >et relie ainsi cinq groupes de
cinq couleurs.
Chaque groupe offre une série de cinq nombres
dont les rapports sont comme 8 est à g, io, 12, 14.
Ces rapports étant simples entre eux, nous attribuons
à ces nombres, des couleurs harmoniques entre elles.
Nous savons que 128 répond à un Rouge Nacarat
ou Camélia que 192 est l’un ou l’autre de nos Verts ;
;
LA TABLE D’HARMONIE.
mes mes
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3
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Va
208
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158 141 21
3
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TROISIÈME PARTIE. CHAPITRE QUATRIEME. l35
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254 222
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4
V
8
4
Une couleur se détermine autant par son entourage
que par sa nuance elle-même.
Prenez par exemple Rouge 140 et suivants ils
le
:
forment une harmonie pleine avec les Bleus qui sont
leur douzième. Mais vous remarquerez que les Bleus
varient plus rapidement que les Rouges. Du Rouge
150, dix numéros, tandis que les Bleus
il
à
140
y
la
perspective, saga-
à
cité du spectateur.
138 LES SECRETS DU COLORIS.
3
me
Donnée. Le levier de Newton.
Pour cette 3
me
donnée, nous
renvoyons à la bro-
chure spéciale que nous y avons consacrée. Les
résultats du mélange de deux couleurs sont comparés
au levier interfixe. La position variable du point
d’appui correspond à la nuance résultante du
mélange. La longueur des bras de levier correspond
à la proportion employée. Pour se servir de ce
levier, il faut connaître trois données: i°et2° les nom-
bres correspondants à chacune des deux couleurs à
mêler; 3 0 le résultat d’un seul mélange, qui permette
d’apprécier l’intensité respective de chaque ingré-
dient pigmentaire.
rae
4 donnée. Les Gammes.
45678
et intercalez les impairs.
8 9 10 ii 12 I3 14 16
15
5
me
donnée. Les conjonctions.
Il
n’est pas rare de trouver une cou-
Jaune
leur identique chez des maîtres diffé-
rents. Jordaens emploie une laque rouge
qu’on retrouve chez Rubens et chez les
Orange Italiens. C’est une conjonction. Cette cou-
leur sera évidemment exprimée par un
même nombre, et ce nombre ne peut être
qu’un multiple commun ayant plusieurs
diviseurs. Un tel nombre est assez rare
pour se laisser facilement reconnaître et
dès lors nous sommes fixés sur sa
Nacarat
nuance.
Les nombres, qui présentent cette qualité, sont
TROISIEME PARTIE. — CHAPITRE QUATRIEME. 147
DU NACARAT AU ROUGE.
256
240
224
208
192
176
160
144
136
128
TROISIÈME PARTIE. — CHAPITRE QUATRIEME. l5l
DU ROUGE L’ORANGE.
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152 LES SECRETS DU COLORIS
DE L’ORANGE AU JAUNE-
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TROISIEME PARTIE. — CHAPITRE QUATRIEME • 153
DU JAUNE AU VERT.
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154 LES SECRETS DU COLORIS.
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TROISIEME PARTIE. — CHAPITRE QUATRIEME. 155
DU BLEU AU JACINTHE.
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156 LES SECRETS DU COLORIS
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DU LILAS AU NACARAT.
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CHAPITRE V-
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TABLATURE GÉNÉRALE.
256
Du Nacarat 128 au Rouge 144.
L’intervalle 128-244 comprend 16 subdivisions.
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Pour les fleurs des Capucines, voyez la Table des conjonctions, colonne
XIX ; pour les couleurs des poires, des cerises et de tous nos fruits à
pépin et à noyau fournis par la famille des Rosacées, voyez colonne V;
pour les Zinnias, les Dahlias et les Chrysantèmes, voyez colonne XXI.
164 LES SECRETS DU COLORIS
De
256
Orange 160 au Jaune 176.
1’
L’intervalle 160-176 comprend 16 subdivisions.
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une Ombellifère d’un très beau vert, quand la feuille estjeune.
i66 LES SECRETS DU COLORIS
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i68 LES SECRETS DU COLORIS.
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128
Pour les Gloxinias et les Azalées, voyez Table des conjonctions co~
lonne V, page. — Pour les Dahlias les Cinéraires, les Reines-Margue-
rite, les Zinnias, les Primevères et les Cyclamens, voyez colonne XXI.
Pour les Fuchsias et les Oeillets, voyez colonne XIX. Pour les Géra-
niums et les Capucines, voyez colonne XVII.
CHAPITRE VI-
I L
ailleurs.
nous reste assez peu de choses à dire dans ce
chapitrera matière traitée ayant déjà été effleurée
33 , 64 -
34.35
Sa division. La gamme des grands maîtres pré-
sente trente-deux degrés ou intervalles. Les familles
botaniques présentent souvent des nuances intermé-
diaires, qui supposent une division en 64 degrés.
La peinture doit se tenir à la Division in-32, sauf
peut-être quelques rares exceptions pour compléter
un Relatif. Le motif est que, dans les Divisions
ultérieures, le rapport entre les nombres devient
de moins en moins simple. Tel rapport dans les
nombres, telle harmonie dans les couleurs.
La nature peut se payer une division plus étendue,
parce qu’elle a, pour marquer sa perspective, des
ressources dont le chevalet ne dispose pas. Or, là où
il y a perspective, il y a coloris. Parmi ces ressour-
TROISIÈME PARTIE. — CHAPITRE SIXIEME. 171
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160 180 200 220 240 130 140 150 160
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La Tonalité Orange fournit le coloris de l’Ecole
Espagnole. Elle est abondamment représentée dans
la nature par les couleurs
des Perroquets et des
familles botaniques suivantes : Camélias, Rosacées,
Azalées, Rhodondendrons, Pavots, Fumariacées,
Convolvulacées, Cactées, Balsamines, Ombellifères,
Légumineuses, Gesnériacées, Crucifères. Voyez dans
la Table des Conjonctions la colonne V.
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L’Éclairage.
Je ne comprends la lumière
qu’à l’état de ruisseau.
J’associe cette manière de voir à ma manière de
comprendre le coloris. Les fautes de coloris m’appa-
raissent comme des improbabilités qui posent un
lac sur un pic et un port de mer sur le sommet d’une
montagne.
vérité plus importante par une image plus gracieuse que celle de
l’union des neuf Muses, que la fable (on dirait maintenant la légende)
avait fait sœurs. Elle personnifiait le lien qui relie le son, au mouve-
ment et à la parole, et qui fait du chant un geste sonore.
Nous avons un nerf insensible à la douleur, qui n’a d’autre fonction
que de nous faire voir la couleur, même quand il est frappé: c’est le
nerf optique. Il ne sent pas le chaud ou le froid ; mais il nous avertit
de l’harmonie des choses extérieures, et il y a des harmonies que la
perspective seule justifie. Il souffre et jouit, mais en voyant. De même
parmi les muscles si nombreux du corps humain, il y en a un qui n’est
pas fait pour frapper l’obstacle ou pour mouvoir la masse ; il n’a d’autre
acte que la production du son. Malgré toute notre viitucsité moderne,
il en faudra revenir toujours aux conceptions de l’antiquité; l’art
s’égarera comme un enfant, le jour où il les perdra de vue.
TROISIÈME PARTIE. — CHAPITRE SIXIEME. 187
Errata.
Page 29
yne
5 qui liiez que
20 les le
ix Tonaiitié Tonalité
14 cerchapitre au chapitre précédent
22JK1. Observations I. Observations
Le tableau de la page 72, complètement indépendant du
context, était destiné à la p. 88 du Chap. IV.
Table Analytique.
Dédicace .
Introduction
Préface . 11
PREMIERE PARTIE.
LA COLORATION ARTISTIQUE. U
Chapitre I. L’Album des couleurs .
....
Coloriage des 32 couleurs propres à cha-
.35
.....
que gamme . . . . .
....
Chapitre V. Lois du coloris 46
Chapitre VI. Programme d’un cours de coloris. . 56
i er exercice. U analyse des tableaux de
maîtres 56
2 me exercice. La transposition . . 56
3
me exercice. L’ interprétation du paysage
dans une gamme donnée . 56
me exercice. Substitution de .
4 relatifs 58
DEUXIÈME PARTIE.
64
...
Chapitre II. La relation entre la vibration, et la sen-
sation 70
Chapitre III. La loi d’Euler 79
Chapitre IV. L’Échelle des harmoniques 82
Chapitre V. La Gamme . . . . . -93
Chapitre VI. La Polytonie 102
TROISIÈME PARTIE.
LE SPECTRE. 109
Avant-propos 109
Chapitre I. Les couleurs
....
192 TABLE ANALYTIQUE.
Chapitre
Chapitre
Chapitre
II. La
III. Le
IV.
gamme dans le spectre
nom des couleurs
Les nuances.
i re donnée. Le
..... .
spectre de la chambre
scure
. .119
ob-
Ï22
124
127
2e donnée.La loi d’Euler . . • 13 2
....
La table d’ harmonie . . 133
me donnée. Le levier de Necoton . . 141
3
4
me donnée. Lesgammes artistiques et
botaniques 141
5
me donnée. Les conjonctions. . . 146
Table conjonctions .
des . . 15°
Chapitre V. Le spectre visible au plein air . .158
Description de la nuance des huit couleurs
de la Division in- 8 . . • ■ 158
-f-îf-f —