FONCTION NUMERIQUES

I. ENSEMBLE DE DÉFINITION :
Étude de la fonction f(x) :  Fonction polynôme : f(x)=ax2+bx+c

 Ensemble de définition Df f est définie sur R, alors Df=R ou Df=] [

 Limites aux bornes de Df  Fonction logarithme : f(x)= [ ]
 Dérivée
 Signe de dérivée Df={ }
 Tableau de variation
 Fonction exponentielle : f(x)=eV(x)
 Équation de la Tangente (T) en x0
 Courbe (C) Df=DV
 Primitive/Intégrale
 Aire A  Fonction rationnelle : f(x)=

Df={ }
Représentation graphique :

o Le repère ⃗⃗ II. LIMITE :

o Les droites particulières : asymptotes, tangentes et demi-tangentes 1. Limites Classiques :
o Les points particuliers : Intersection avec les axes, points d’inflexions… LOGARITHME EXPONENTIELLE
o La courbe  
 
 
 

2. Propriétés :
LOGARITHME EXPONENTIELLE
 
  =1
 
 
 
 ( ) 
 3. Formule : III. DÉRIVÉE
 a. Dérivée des fonctions usuelles :

1
4. Interprétations des limites :
a
ASYMPTOTE VERTICALE n
 Si , Alors la droite d’équation x=a est une asymptote
b. Formules de la Dérivée :
verticale de la courbe (C).
o (U+V)’=U’+V’ o (
o (αU)’=αU’
ASYMPTOTE HORIZONTALE o
o (UV)’=U’V+UV’
 Si , Alors la droite d’équation y=b est une asymptote o (Un)’=nU’Un-1 o
horizontale de la courbe (C).
o ( ( ))

BRANCHE PARABOLLIQUE (x’Ox)

 Si * + , Alors (C) admet une Branche Parabolique de
Direction Asymptotique suivant (x’Ox).
IV. TANGENTE
Équation de la tangente (T) à la courbe (C) au point d’abscisse :
BRANCHE PARABOLLIQUE (y’Oy)
 * + , Alors (C) admet une Branche Parabolique de
Direction Asymptotique suivant (y’oy).
V. REPRÉSENTATION GRAPHIQUE
BRANCHE PARABOLLIQUE ( ) SYMETRIE
 Si * + et [ ] Alors (C) admet une Le point I(a,b) est une centre de symétrie de la courbe (C) si pour tout x ϵ Df,
f(2a - x) + f(x) = 2b
Branche Parabolique de Direction Asymptotique suivant (x’Ox).
La droite (D) d’équation x=a est un axe de symétrie de la courbe (C) si pour tout
THÉORÈME x ϵ Df, f(2a - x) = f(x)
 Si [ ] , alors la droite d’équation y=ax+b est PARITE
une asymptote oblique de la courbe (C). f est paire si pour tout x ϵ Df, f(-x) = f(x)
f est impaire si pour tout x ϵ Df, f(-x) = - f(x)
 REMARQUE
Si f est paire, alors l’axe (y’Oy) est un axe de symétrie de la courbe (C).
Si f est impaire, alors le point O(0,0) est un centre de symétrie de la courbe (C).
POINTS D’INFLEXION
Si f’(x) s’annule et change de signe en x0=a, alors le point I(a,f(a)) est un point d’
inflexion de la courbe (C).
INTERSECTION AVEC (x’Ox)

INTERSECTION AVEC (y’Oy)

{ VII. CALCUL D’AIRE :

Si F est primitive de f sur l’intervalle[ ].
Si f est continue et f garde le même signe sur l’intervalle[ ], alors l’aire
géométrique du domaine plan compris entre la courbe (C), l’axe (x’Ox) et les
VI. INTEGRATION droites d’équations x=a et x=b.
Définition :
|∫ | ‖⃗‖ ‖ ⃗‖
F est une primitive de f sur l’intervalle I, si pour tout x ϵ I, F’(x)=f(x).
Propriétés : | | ‖⃗‖ ‖ ⃗‖

 ∫
 ∫ ∫ y
(C)
 ∫[ ] ∫ ∫

Primitives des fonctions usuelles :

⃗
A
O ⃗ a b x

+k
SUITE NUMÉRIQUES
 SUITE NUMERIQUE PROBABILITÉ
Définition :
est une suite croissante si pour tout n ϵ IN, . Si on effectue p tirage dans n élément.
est une suite décroissante si pour tout n ϵ IN, .
est une suite constante si pour tout n ϵ IN, . Les 3 types des tirages sont :
1-Simultanément : Combinaison
Remarque :
On dira que : - est convergente lorsqu’elle admet une limite finie. 2-Successivement sans remise : Arrangement
- est divergente lorsqu’elle admet une limite infinie. 3- Successivement avec remise : p-liste

****///**** Suite Arithmétique Suite Géométrique NB : Successivement toujours avec permutation P sauf même nature et ordre.
Premier terme
Exemple : «RRV »
Raison r (r ϵ IR) q (q ϵ IR) Le nombre de permutation est : =3
Formule de récurrence
Vocabulaires :
Formule explicite
A. Épreuve : c’est une expérience aléatoire qui a des résultats cancre.
Somme (S)
( ) ( ) Ex :-lancement d’un dé une fois
-Naissance d’un enfant
-Résultat de l’examen
-Tirage des boules
Propriétés :
-Élection
 Suite arithmétique :
Si , alors est une suite croissante. B. Univers Ω : ensemble de tout les résultats possibles lors d’une épreuve.
Si , alors est une suite décroissante. Ex :- Lancement d’un dé une fois
Si , alors est une suite constante. Ω { }
-Naissance d’un enfant
 Suite Géométrique : Ω { }
Si , alors est une suite constante.
Si , alors C. Événement : un sous ensemble de Ω
Si , alors A : « Avoir un numéro paire »
Si , alors n’admet pas de limite lorsque A { }
 D. Événement contraire :
STATISTIQUE
̅ : « Avoir un numéro impaire »
̅ ={ }
(1) Généralité :
E. Événement impossible : qui ne peut pas être réalisé
Population : ensemble des personnes, des animaux, des objets où on fait
l’enquête statistique dans un domaine définie.

Méthode pour traiter la probabilité :

Individu : chaque élément de population.
Caractère : valeur attribué à chaque individu.
1) Lecture (compréhension de la réalité) Il existe deux types de caractère à savoir :
2) Figure correspondante  Caractère quantitatif : caractère mesurable (poids, hauteur, longueur,
3) Calcul de nombre de cas possible (cardΩ) taille, volume, nombre d’enfant, nombre des familles)
4) Détermination card(A) de l’événement donné.  Caractère qualitatif : caractère non mesurable (couleur, profession,
saveur, sexe…)
5) Écrire la formule
Il existe deux types de variables quantitatives :
6) Application numérique (il faut mettre sous la forme de fraction irréductible)  Variable quantitative discrète
 Variable quantitative continue : elle doit représenter sous forme de
Propriété : classe (ou sous forme d’intervalle)

 (2) Série statistique à une variable :


 Variable quantitative discrète :
 ̅
a) Tableau :
Caractère Effectif Fréquence Moyenne
1 10 0.2 10 0.2
2 7 0.14 14 0.28
3 3 0.06 9 0.18
4 11 0.22 44 0.88
5 8 0.16 40 0.8
6 1 0.02 6 0.12
7 10 0.2 70 1.4
N=∑ =50 F=1 ∑ ̅
 5) Moyenne :
b) Effectif total : ∑
̅ Ou ̅ ∑

N=∑
6) Classe modale : la classe correspondant à l’effectif maximal.
c) Fréquence : Dans notre cas, la classe modale est : [ [
.
d) Moyenne produit :
(3) Série statistique à deux variables :
∑
̅ . a) Tableau statistique :
e) Moyenne simple : Caractère ….
∑ Caractère …
̅ .
f) Mode : la valeur du caractère correspondant à l’effectif maximal. b) Nuage des points :
Dans notre cas, M=4 C’est l’ensemble des points avec est la valeur représenté sur
(x’ox) et est sur l’axe (y’oy).
Variable quantitative continue :
c) Calcul G point moyen :
Il faut utiliser la moyenne simple.
1) Tableau :
∑ ∑
Salaire Effectif Centre Fréquence Amplitude Moyenne tel que et .
[ [ 24 100 0.3 100 30
[ [ 26 200 0.325 100 65 d) Ajustement linéaire :
[ [ 20 300 0.25 100 75 On fait l’ajustement affine à l’aide d’une méthode de Mayer.
[ [ 4 400 0.05 100 20
[ [ 4 500 0.05 100 25  On divise la série statistique en groupes
[ [ 2 600 0.025 100 15  On détermine les points moyens du groupe
N=80 F=1 ̅ =230 Et
2) Centre de classe :
 On trace la droite ( qu’on appelle droite de Mayer ou droite
d’ajustement linéaire.
3) Fréquence : e) Équation de la droite de Mayer (
De la forme :
4) Amplitude de classe :
Avec et b= ou b=
A= borne sup - borne inf