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La peine de mort
Pour :
-Il faut donner l’exemple pour faire peur aux criminels éventuels.
Contre :
-La peine de mort est un acte barbare et inhumain, indigne d’un pays civilisé.
-La justice n’est pas infaillible, elle peut se tromper et condamner des innocents.
-Le taux de criminalité est plus élevé dans les pays non-abolitionnistes.
-Cette peine n’est ni moralisatrice, ni intimidante car la plupart ne sont pas lucide au moment du
crime.
-Il ne faut pas punir la violence par la violence et le sang par le sang.
-Au lieu de condamner à mort, il est primordial de remédier aux vraies causes de la criminalité : la
pauvreté, le chômage, l’analphabétisme et les produits hallucinogènes.
Pour :
-Ce sont des êtres humains qui ont des droits qu’il faut respecter.
-La prison doit être un lieu de rééducation et de formation pour faciliter la réinsertion.
-Si les conditions d’incarcération sont mauvaises, les prisonniers deviendront plus violents.
-La prison doit corriger et améliorer et les bonnes conditions sont nécessaires.
Contre :
-Si le séjour en prison est confortable, plus personne n’aura peur de commettre des crimes. Et le taux
de criminalité a augmenté au Maroc depuis l’amélioration des conditions d’incarcération.
-Il est cultivé et il pourrait être utile à la société. Il faut le condamner à des peines alternatives
d’intérêt général.
-Il a une famille à charge, une mère qui risque de mourir, une épouse qui va mourir ou devenir folle
et une petite fille de trois ans Marie qui restera sans protection.
-Il faut le punir sévèrement pour donner l’exemple et dissuader les criminels éventuels.
-Il a une famille à laquelle il n’a pas pensé au moment du crime, donc il est doublement coupable.
-Rien ne nous garantit qu’il n’aille pas récidiver et tuer d’autres victimes.
Pour
-La plupart des prisonniers sont des gens analphabètes avec un faible taux d’instruction.
- Comme dit le proverbe : « Qui ouvre une école, ferme une prison »
Contre :
-En prison, on trouve aussi des ingénieurs, des médecins, des juges et des gens fort cultivés.
- Les gens d’avant ne savaient ni lire, ni écrire et ils étaient respectueux de la loi.