Mesure : Processus d'évaluation d'une grandeur physique à l'aide d'instruments.

Mesurande : La grandeur spécifique mesurée.

Étendue de mesure : Gamme complète des valeurs que peut prendre une grandeur mesurée.
Incertitude : Plage de valeurs dans laquelle la vraie valeur de la grandeur mesurée est supposée se
situer.

Erreur de précision : Différence entre la valeur réelle et la valeur mesurée, due aux limitations des
instruments.

Grandeur d'entrée/sortie : La grandeur mesurée/obtenue respectivement par un système de

mesure.

Sensibilité : Capacité d'un instrument à détecter de petites variations de la grandeur mesurée.

Erreur de linéarité : Différence entre la réponse réelle et la réponse idéale attendue d'un
instrument.

Linéarisation : Processus visant à rendre la réponse d'un système de mesure plus linéaire, souvent
par des corrections mathématiques ou techniques.

Cc
Q1 ;Quelle est la différence entre un multiplexage par le temps et un multiplexage par la
fréquence ?

 Dans le multiplexage par le temps, le canal de transmission est divisé en intervalles de

temps. Chaque signal utilisateur est attribué à un intervalle temporel spécifique, et
les signaux sont transmis successivement pendant ces intervalles.
 Avantage : TDM est efficace lorsque les signaux des utilisateurs ont une bande
passante relativement faible par rapport à la capacité totale du canal, car chaque
utilisateur n'a besoin du canal que périodiquement.
 Dans le multiplexage par la fréquence, le canal de transmission est divisé en bandes
de fréquences distinctes. Chaque signal utilisateur est attribué à une bande de
fréquences spécifique, et tous les signaux sont transmis simultanément mais sur des
fréquences différentes
 Avantage : FDM est efficace lorsque les signaux des utilisateurs ont des bandes
passantes importantes, car chaque utilisateur peut utiliser toute la largeur de bande
attribuée simultanément.
Q2 ;Pour transmettre l’amplitude mesurée d’une tension continue, on la convertit en
fréquence.
Citer 2 avantages majeurs de cette technique de transmission des mesures.

 Résistance au bruit : En transmettant la mesure sous forme de fréquence, les

perturbations et les interférences extérieures ont moins d'impact sur la qualité du
signal. Les variations d'amplitude, sensibles au bruit, sont transformées en variations
de fréquence plus facilement isolables et détectables.
 Efficacité de transmission : La manipulation et la transmission de signaux en termes
de fréquence sont souvent plus efficaces que celles basées sur les amplitudes. Sur de
longues distances ou à travers des canaux bruités, les variations de fréquence sont
récupérées avec moins de distorsion, assurant une transmission plus fiable et précise
des mesures.

Q3 ;Par quelle technique on peut transmettre, simultanément et sans interférences,

plusieurs
signaux (informations) fournis par plusieurs sources dans un même câble de transmission de
signal, avec une immunité maximale au bruit ?
Orthogonal Frequency Division Multiplexing (OFDM) :
 Principe : OFDM divise la largeur de bande disponible en plusieurs sous-porteuses
(ou sous-bandes) qui sont orthogonales entre elles. Chaque sous-porteuse transporte
un flux de données indépendant. Ces signaux orthogonaux peuvent être transmis
simultanément sans interférences significatives entre eux.

 Immunité au bruit : En raison de l'orthogonalité des sous-porteuses, les interférences

entre celles-ci sont minimisées. De plus, la distribution des données sur de
nombreuses sous-porteuses permet une tolérance élevée au bruit. Si une sous-
porteuse est perturbée, les autres restent souvent intactes, préservant ainsi
l'intégrité globale du signal.

 Transmission simultanée de multiples signaux : Chaque signal à transmettre est

assigné à une sous-porteuse différente. Ainsi, plusieurs signaux provenant de
différentes sources peuvent être transmis simultanément à travers le même canal de
transmission.

Ou bien
L'ADSL (Asymmetric Digital Subscriber Line)
 Q4 ;Quelle est la principale caractéristique d’un générateur de tension idéal ?
Tension constante : Il maintient une tension fixe et constante indépendamment des
variations de charge ou du courant demandé par le circuit connecté.

Résistance interne nulle : Idéalement, il ne présente aucune résistance interne, ce

qui signifie qu'il peut fournir la tension souhaitée sans subir de chutes de tension
internes, même avec des charges variables.

Capacité à délivrer n'importe quel courant : Il doit être capable de fournir le courant
nécessaire à la charge sans altérer sa tension de sortie.

Absence de bruit : Un générateur idéal ne génère aucun bruit électrique parasite qui
pourrait interférer avec le circuit connecté.

Pas de déperdition d'énergie : Il ne dissipe pas d'énergie sous forme de chaleur

interne ou de pertes, fournissant ainsi la même puissance à la charge sans
consommer d'énergie pour son propre fonctionnement.

Q5Quand on monte en fréquence, la résistance électrique d’un câble de transmission en

cuivre augmente ou diminue ?

lorsque la fréquence augmente, l'effet de peau réduit la section transversale utilisée par le
courant, ce qui augmente la résistance apparente du câble de transmission en cuivre.

Q6 ; Lorsqu’on utilise une Thermistance R comme capteur de température d’un fluide

isolant, citer l’inconvénient principal de l’utilisation directe de la loi d’Ohm en se branchant à cette

thermistance avec une paire de câbles torsadée pour mesurer la température.

Lorsque vous mesurez la température avec une thermistance via une paire de câbles
torsadés, l'inconvénient majeur est la variation de résistance induite par la longueur des câbles et les
changements de température le long de ceux-ci. La résistance des câbles ajoutée à celle de la
thermistance fausse la mesure réelle de la thermistance, compromettant la précision de la lecture de
température.
 Q7 ; Quel est alors l’avantage de l’utilisation de 4 fils pour mesurer la température d’un
fluide isolant à l’aide d’une thermistance R(T) ?

En utilisant une configuration à quatre fils pour mesurer la température avec une thermistance R(T),
on minimise l'erreur induite par la résistance des câbles. Deux fils alimentent directement la
thermistance, réduisant l'impact des résistances des câbles sur la mesure. Les deux autres fils
mesurent la tension aux bornes de la thermistance, compensant ainsi toute perte de tension due aux
câbles. Cette méthode améliore la précision de la mesure de la résistance de la thermistance,
assurant une évaluation plus précise et fiable de la température du fluide isolant.

Q8 ;Pour mesurer une Impédance Z, citer l’avantage principal de l’utilisation du pont de

Wheatstone, en ce qui concerne le réglage de la valeur utilisée de la tension d’alimentation.

Le pont de Wheatstone permet une mesure précise de l'impédance Z, indépendamment des

variations de la tension d'alimentation, grâce à son fonctionnement équilibré basé sur les rapports
des résistances du pont plutôt que sur la valeur absolue de la tension d'alimentation.

Q9 ; Pour la mesure d’une capacité C avec un pont de Wheatstone, peut-on utiliser une tension
d’alimentation continue du pont ?

L'utilisation d'une tension d'alimentation continue pour mesurer une capacité avec un pont de
Wheatstone standard peut causer des erreurs, car ces ponts sont principalement conçus pour
mesurer des résistances. Pour une mesure précise de la capacité, il est recommandé d'utiliser des
techniques de mesure de capacité spécifiques, comme les ponts de mesure de capacité, qui utilisent
souvent des signaux alternatifs plutôt que des tensions continues.

Q10 ; Quel type de tension d’alimentation doit-on utiliser dans un pont de Wheatstone pour
mesurer avec une meilleure précision une inductance L ?

Pour mesurer précisément une inductance L avec un pont de Wheatstone, utilisez une tension
alternative (AC) plutôt qu'une tension continue (DC). Cela réduit les effets de polarisation
magnétique, diminue les perturbations et facilite la détection de l'équilibre du pont, assurant des
mesures plus précises.
Q11 ; Dans une chaine de mesure, quelle est la valeur optimale de l’impédance interne du
générateur source de courant alternatif ?

impédance interne infinie

Q12 ; Comment vous pouvez immuniser votre carte électronique contre les rayonnements
électromagnétiques parasites ?

 Blindage électromagnétique : Utilisation de matériaux conducteurs comme le cuivre ou

l'aluminium pour créer des boîtiers ou des enveloppes qui entourent les composants
sensibles. Cela réduit l'impact des rayonnements externes.
 Filtrage des signaux : Utilisation de filtres pour éliminer les fréquences indésirables ou
parasites. Les filtres peuvent être intégrés sur la carte électronique pour éliminer les
interférences.

Q13 : Pourquoi doit-on toujours relier le châssis d’un système de mesure à la masse ?
la mise à la masse assure une référence stable pour les mesures, réduit les interférences et améliore
la sécurité électrique, éléments cruciaux pour des mesures précises et fiables dans un système de
mesure.

A votre avis, est-il suffisant de relier simplement le châssis d’un système de mesure à la masse ?

Non, car cela ne garantit pas une protection complète contre les interférences électromagnétiques et
ne résout pas certains problèmes spécifiques liés aux circuits complexes et aux mesures de haute
précision.

Q14 ;Par quel type d’interaction physique, sans contact, une source de bruit électromagnétique
externe peut affecter un circuit électronique ?

 Couplage inductif : Il se produit lorsque le champ magnétique d'une source externe induit un
courant parasite dans les fils ou les circuits du dispositif cible. Ce courant induit peut
introduire des perturbations indésirables dans le circuit électronique.
 Couplage capacitif : Ce type de couplage se produit lorsque le champ électrique d'une source
externe induit une charge électrique parasite dans les composants du circuit. Cela peut
causer des fluctuations de tension ou de charge, affectant ainsi le fonctionnement normal du
circuit.

Q15 ; A quelles fréquences se manifeste l’effet de peau dans un conducteur électrique ?

L'effet de peau se manifeste principalement à des fréquences élevées, généralement au-delà de
quelques kilohertz (kHz), où le courant électrique a tendance à se déplacer principalement à la
surface d'un conducteur plutôt que dans toute sa section transversale.

Est-il possible de le réduire et comment ?

Pour réduire l'effet de peau, on peut utiliser des conducteurs multicouches, des matériaux
spécifiques ou des formes de conducteurs particulières pour favoriser un transport plus uniforme du
courant à travers la section transversale du conducteur, surtout à des fréquences élevées.

Un exemple courant pour réduire l'effet de peau est l'utilisation de conducteurs coaxiaux, où le signal
est transporté à travers un conducteur central entouré d'une couche isolante et d'une gaine
conductrice externe.

Q16 ; La notion d’équipotentialité est-elle toujours vrai le long d’un câble de transmission de signal
?

En théorie, l'équipotentialité le long d'un câble de transmission de signal est valable, mais dans la
réalité, des interférences électromagnétiques, des capacités parasites ou des inhomogénéités
peuvent altérer cette égalité de potentiel. Dans des conditions optimales, elle reste valable pour la
transmission des signaux, mais diverses perturbations peuvent la compromettre.

Si votre réponse est ‘’Non’’, préciser dans quelle condition ce n’est pas vrai.

- Un câble ne doit pas dépasser λ/30 pour l’assurer en fautes fréquences.

Q17 ; Le câble reliant votre ordinateur portable au chargeur (supposé de grande performance) est
parfois muni d’une bague cylindrique en ferrites, pourquoi ?

La bague en ferrite autour du câble reliant l'ordinateur portable au chargeur agit comme un filtre
contre les interférences électromagnétiques. Elle absorbe les hautes fréquences indésirables,
réduisant ainsi les perturbations du signal et assurant une alimentation plus stable à l'ordinateur.

Q18 : Comment à l’aide d’une détection synchrone on peut s’affranchir du bruit généré par une
chaine d’amplification analogique d’un signal ?

Votre répondre doit comporter les mots clés suivants : démodulation, aval, amont, synchrone,

modulation.

La démodulation synchrone extrait l'information d'un signal modulé en utilisant une

modulation de fréquence ou de phase. Par exemple, elle peut être réalisée en amont
par une phase-locked loop (PLL) et en aval par un filtre
Q19 ; Citer 3 avantages principaux de la mise à la terre d’un circuit électrique.
Sécurité électrique : Elle aide à protéger les personnes et les équipements en offrant une voie de
faible résistance pour détourner les courants de fuite, réduisant ainsi les risques de chocs électriques.

Réduction des interférences : Elle minimise les interférences électromagnétiques et les perturbations
en offrant une référence commune et en évitant les différences de potentiel entre les équipements.

Protection contre les surtensions : Elle permet de décharger les surtensions et de canaliser les
courants de foudre ou les surtensions transitoires vers la terre, préservant ainsi les équipements
contre les dommages.

Q20 ; Lorsqu’on relie 2 appareils très sensibles par un câble de transmission de données, on doit
prendre plusieurs précautions pour limiter l’influence des champs électromagnétiques parasites.

Citer la plus importante.

La précaution la plus importante est l'utilisation de câbles blindés ou de techniques de blindage pour
réduire l'impact des champs électromagnétiques parasites.

La masse

Q21 : Pourquoi on amplifie à la source dans une liaison de transmission et quel avantage on peut
tirer?

L'amplification à la source dans une liaison de transmission est souvent utilisée pour compenser les
pertes de signal sur de longues distances. En amplifiant le signal au point de départ de la
transmission, on augmente le rapport signal sur bruit (RSB) avant que le signal ne soit affaibli par les
pertes sur la ligne. Cela permet de maintenir un niveau de signal adéquat tout au long de la
transmission, réduisant ainsi les risques d'interférences ou de distorsions lors du parcours du signal
sur une longue distance.

Q22 : Comparativement aux transmissions analogiques, pourquoi d’après vous la transmission

numérique est plus gourmande en bande passante ?

La transmission numérique est souvent plus gourmande en bande passante que la transmission
analogique en raison de la nature discrète des signaux numériques, du besoin d'échantillonnage et de
conversion, ainsi que de l'utilisation de techniques de modulation complexes, nécessitant une plage
de fréquences plus large pour transmettre efficacement les données.
Car son débit numérique dépend par excellence de la bande passante

Q23 : Dans une opération d’échantillonnage du signal, citer 2 facteurs importants limitant le
nombre de bits utilisés.

 Précision et résolution : Augmenter le nombre de bits augmente la précision de

l'échantillonnage, mais cela entraîne également une plus grande quantité de données à
stocker ou à transmettre. Il existe donc une limitation pratique en termes de quantité de
données que l'on peut manipuler efficacement.
 Contraintes de stockage ou de transmission : Un plus grand nombre de bits signifie une
plus grande quantité de données à stocker ou à transmettre, ce qui peut poser des
contraintes en termes de capacité de stockage ou de bande passante dans les systèmes où
l'espace ou la vitesse de transmission sont limités.
- Canal utilisé
- Fréquence d’échantillonnage

Q24 : Dans un circuit numérique, quelle est la différence entre la fréquence d’horloge et le débit
binaire ?

La fréquence d'horloge représente la vitesse des opérations d'un circuit, alors que le débit binaire
correspond à la quantité de données transférées par unité de temps.

Q25 ; Avec une transmission par codage RZ 50%, peut-on utiliser des capacités de liaison au niveau du

récepteur ?

- Oui

- Pourquoi ?

Avec une transmission par codage RZ à 50%, l'utilisation de capacités de liaison au niveau du
récepteur peut être limitée en raison de la nécessité d'une bande passante plus large pour récupérer
le signal correctement. Cela peut rendre la démodulation et la récupération du signal plus complexes
par rapport à d'autres schémas de codage.

Q26 ; Dans une transmission à distance, lequel des codages est d’après vous le plus intéressant :
Codage NRZ Unipolaire, Codage RZ 50% ou Code Manchester ?

Réponse :

- Code Manchester

Q27 ;Citer 2 avantages de l’élargissement de la bande passante d’un circuit ou d’un canal de
transmission de données numérique ou analogiques.

Réponse :

- Eviter la distorsion des données.

- Augmenter le débit.

Q28 ;Quelle gamme optimale de fréquences est utilisée dans une fibre optique pour la
transmission

de données ?

Réponse :

- Gamme des GigaHertz

Q29 ;Citer 4 facteurs physiques principaux atténuant la transmission du signal dans une fibre
optique.

Réponse :

- Longueur d’onde

- Bande passante

- Longueur de câble

- La fréquence d’échantillonnage

Les sources d’informations : Peu importe la source d'information, qu'elle soit numérique ou
analogique, comprendre le fonctionnement du capteur est crucial. Identifier s'il est actif ou passif
(générant un courant ou étant capacitif, résistif, inductif, effet de Hall, etc.) est essentiel pour
déterminer les paramètres de mesure comme le mesurande, l'étendue de mesure, et les sources
potentielles de perturbation. Souvent non linéaire, il est nécessaire de définir des intervalles de gain
et d'offset pour linéariser la mesure et l'exploiter au mieux. Les capteurs, prélevant une faible
énergie, sont sensibles aux interférences, aux dérives temporaires dues à des réactions chimiques,
d'où la nécessité de comprendre les divers paramètres perturbateurs, tels que les impédances
internes des générateurs et des appareils de mesure ainsi que les parasites d'entrée.

Le condignement du signal : La phase de conditionnement du signal est essentielle dans le

traitement du signal. Les mesures des capteurs passifs peuvent être altérées par divers éléments
secondaires, comme la résistance des fils pour les capteurs résistifs. Des solutions comme le montage
à 4 fils ou l'utilisation de ponts déséquilibrés ont été développées pour corriger ces biais. Pour les
capteurs actifs, des techniques de conditionnement incluent la conversion du signal utile à un signal
exploitable, par exemple via des oscillateurs pour la conversion de fréquence. La linéarisation, la
modulation (en fréquence ou amplitude) et la considération de la compatibilité électromagnétique
(CEM) sont également primordiales. Pour contrer les six modes de couplage des interférences
(courant, différence de potentiel, inductance, capacité, champ électrique et boucles), différentes
méthodes sont appliquées, comme le maillage des masses, le filtrage ou le blindage des câbles. Enfin,
pour assurer un système équipotentiel et protéger contre les parasites, la gestion adéquate du
problème de masse est fondamentale.

L’échantillonnage : Lorsqu'il s'agit de capteurs analogiques, l'étape d'échantillonnage et de

conversion analogique-numérique requiert des précautions essentielles, incluant le respect du critère
de Nyquist et la précision de la discrétisation d'amplitude.

La phase du codeur/décodeur de source revêt une importance cruciale, car elle traite le flux de
données binaires fournies par le capteur à la sortie de l'échantillonneur. Cette étape requiert un
codeur de source précis, capable de traduire fidèlement les états logiques en niveaux de tension,
utilisant des codes binaires ou à M-aires. Différents codages binaires tels que RZ, RZ 50%, NRZ,
Manchester ont été étudiés en détail, tout comme la distinction entre compression avec ou sans
pertes en fonction du taux de compression (taille initiale/taille comprimée).

Le codage de canal joue un rôle crucial pour évaluer le taux d'erreur binaire induit par diverses
perturbations internes ou externes durant le transport des données, en utilisant des mécanismes tels
que le bit de parité ou la redondance par répétition ou triplement des bits.

Les modulations jouent un rôle essentiel lors de la transmission via un réseau mobile, utilisant la
propagation des ondes électromagnétiques par une antenne. Cette étape implique l'utilisation de
modulations telles que l'amplitude, la fréquence ou la phase pour la transmission analogique, ou des
techniques comme l'ASK (Amplitude Shift Keying), le FSK (Frequency Shift Keying), ou le PSK (Phase
Shift Keying) pour la modulation numérique.

Q1 ; Citer 3 inconvénients de l’utilisation directe d’un fil résistif (ou une piste sur circuit imprimé),
de résistance R(T), pour mesurer la température d’un fluide isolant.
Sensibilité aux variations de température : Les fils résistifs peuvent être sensibles aux variations de
température, ce qui peut affecter la précision de la mesure

Influence de l'humidité : L'humidité peut également affecter la mesure de la température lorsqu'un

fil résistif est utilisé, car l'humidité peut altérer les propriétés électriques du matériau

Contraintes de mise en œuvre : L'utilisation directe d'un fil résistif pour mesurer la température d'un
fluide isolant peut présenter des contraintes de mise en œuvre, notamment en termes de fixation et
de protection du fil.

Cc bourouhou

1.1 Vrai - Le codeur en ligne ajoute des bits de redondance.

1.2 Vrai - Le codeur de canal façonne le signal pour la transmission.

1.3 Vrai - Les interférences entre symboles sont causées par le bruit du canal.

1.4.1 Vrai - La densité spectrale de puissance d'un signal en bande de base dépend du débit binaire.

1.4.2 Vrai - Elle dépend aussi de la densité spectrale de puissance du bruit.

1.4.3 Faux - Elle ne dépend pas nécessairement de la corrélation des symboles ak.

1.5.1 Vrai - Le taux d'erreur binaire dépend du débit binaire.

1.5.2 Vrai - Il dépend également de la densité spectrale de puissance du bruit.

1.5.3 Vrai - Il dépend aussi de la bande passante du canal.

1.6.1 Vrai - La probabilité d'erreur augmente généralement lorsque M (le nombre de niveaux dans la
modulation) augmente.

1.6.2 Faux - L'efficacité spectrale peut varier, mais généralement, elle n'augmente pas
nécessairement lorsque M augmente.