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L’HISTOIRE DU PROPHETE MOUSSA ALAYHI SALAM

88- De Kanaan en Egypte

Ya’coub – Bénédiction et Salut sur Lui – se rendit en Egypte accompagné de ses fils.
Youssouf les accueillis et cela provoqua en lui une immense joie.
Tous les citoyens d’Egypte prirent en affection les membres de cette noble famille,
parce qu’ils aimaient Youssouf pour sa générosité et sa bienfaisance envers les
gens.

Quelques temps après, Ya’coub mourut ; puis Youssouf également ; ils les
enterrèrent. Ce fut des jours très difficiles pour le peuple d’Egypte, d’une énorme
tristesse ; et on pleura Youssouf pendant longtemps. Chaque enfant avait en effet
perdu un père et chaque adulte un frère. Ils se présentèrent condoléances. Et ils
dirent : « Nous enterrons aujourd’hui un frère très charitable, un maître magnanime
et un roi juste. C’est lui qui nous a guidé vers la juste voie en nous menant vers Allah
alors qu’avant son arrivée nous ressemblions à des bêtes qui ne connaissent ni
Allah ni l’Au-Delà. C’est lui qui nous a secouru lors de la famine et c’est grâce à lui
que nous avons pu manger à notre faim.

89- Les fils d’Israël en Egypte

Il en fut ainsi pendant longtemps. Le peuple d’Egypte surent être reconnaissants


envers les citoyens de Kanaan pour leurs bienfaits. Ces derniers étaient de ceux
qu’on appelait les « fils d’Israël », des gens nobles et riches.
Mais les choses se mirent à changer. Les caractères se sont endurcis, la voie
d’Allah fut délaissée. Ils devinrent donc comme tout le monde, ne s’en distinguant
plus que par leur affiliation. L’attitude des gens envers eux changea aussi. Ils se
mirent à envier les plus riches d’entre eux et à mépriser les plus pauvres.
Il y eut ensuite l’avènement des Pharaons (rois) sur le trône d’Egypte ; ils avaient une
grande haine pour les fils d’Israël. Ils ne voyaient pas que c’était des gens qui
méritaient la miséricorde et la justice, au contraire, Pharaon les traita comme on
traite (traitement) des ânes ou d’autres animaux qu’on utilise à l’excès mais en les
nourrissant (nourriture) au minimum.
Pharaon était un tyran orgueilleux qui se croyait supérieur à tous. Il ne croyait pas en
Allah, au contraire il disait : « C’est moi, votre seigneur suprême. » (Coran) C’est
ainsi qu’il ordonna aux citoyens de l’adorer et de se prosterner devant lui. Et les gens
furent obligés de lui obéir. Cependant, les fils d’Israël refusèrent puisqu’ils croyaient
en Allah et en Ses Messagers. La colère de Pharaon contre eux s’intensifia.
90- Des enfants égorgés

Un devin copte alla voir Pharaon et lui dit : « Un nouveau-né viendra au monde
parmi les fils d’Israël qui causera ta perte. » Pharaon en devint fou de rage et il
ordonna à sa police d’égorger tout enfant qui viendrait à naître parmi les fils d’Israël.
Il agissait de la même façon que le propriétaire d’un troupeau de moutons qui peut
égorger ceux qu’il veut de ses bêtes.
La police se répandit en Egypte et ils se mirent à leur recherche. Le jour où un
enfant naissait parmi les fils d’Israël était une journée difficile, une journée de
condoléances ; ils étaient pris de force et égorgés comme on égorge une brebis.
Des centaines, voir des milliers d’enfants furent égorgés sous le regard de leurs
pères et mères. « Pharaon était hautain sur terre et fit de ses habitants des clans
afin d’abuser des faiblesses de l’un des groupes ; il égorgeait sans pitié ses fils et
gardait ses femmes en vie. Il appartenait sûrement aux corrupteurs. » (Coran)
Allah a voulu que ce que craignait et tentait d’éviter Pharaon arriva. L’enfant qu’Allah
avait décrété à mettre fin au règne de Pharaon vint au monde, l’enfant qui mettra fin
à l’adoration des gens pour les mener vers l’adoration d’Allah.
Ainsi naquit Moussa, fils de ‘Imran, malgré Pharaon et ses soldats. Et il vécut trois
mois.

91- Dans le Nil

Cependant, la mère de Moussa craignit pour son bel enfant. Comment en aurait-il été
autrement alors que l’ennemi des enfants était aux aguets et que la police avait
enlever des dizaines d’enfants du giron de leur mère ? Comment allait-elle faire ?
Où allait-elle le cacher ?
C’est alors qu’Allah vint au secours de la pauvre mère et lui inspira de le mettre
dans une caisse et de le jeter dans le Nil. Qui va allaiter l’enfant dans la caisse ? La
tendre mère pensa à tout cela mais elle fit confiance à Allah et le jeta dans le Nil.
« Nous inspirâmes à la mère de Moussa : « Allaites-le, et si tu as peur pour lui, jette-
le dans la mer sans éprouver ni crainte ni chagrin car Nous allons te le rendre et en
faire un Messager. » (Coran)
92- Dans le palais de Pharaon

Pharaon possédait de nombreux palais au bord du Nil. Un jour, il se promena et


observa la rivière en compagnie de la reine d’Egypte, quand tout à coup, leur regard
(vue) tomba sur une caisse qui bougeait au rythme des vagues comme si elles
jouaient avec elle.
Le roi ordonna à l’un de ses serviteurs : « Prends cette boîte. » Le roi l’ouvrit et il s’y
trouvait un bel enfant souriant. Les gens furent intrigués et dirent : « C’est un enfant
israélite, et le roi l’égorgera certainement. » Cependant lorsque la reine vit l’enfant,
elle l’aima tout de suite et le prit dans ses bras. Elle demanda au roi : « C’est une
source de consolation pour moi et pour toi. Ne le tuez pas. Peut-être nous rendra-t-il
service ou le prendrons-nous pour enfant. » (Coran)
C’est ainsi que Moussa entra dans le palais de Pharaon et y vécu malgré Pharaon.
« La famille de Pharaon le recueillit afin qu’il leur soit un ennemi et une source de
tristesse. Certes Pharaon, Haman et leurs armées étaient dans l’erreur. » (Coran)

93- Qui allaitera l’enfant ?

Le bébé devint le jouet du palais et l’occupation de tous ses habitants. Tout le


monde le prenait et l’embrassait.
La reine demanda une nourrice pour allaiter le bébé et quand celle-ci vint, il se mit à
crier et la refusa. Elle en demanda une seconde puis une troisième, mais il la refusa
(s’allaiter).
La mère de Moussa ordonna à sa fille d’aller à sa recherche. Elle alla donc au palais
et entendit ce que se disaient (causer) les femmes sur son frère. Elle leur dit avec
politesse : « Je connais une femme de la cité qui pourra certainement allaiter le
bébé. La nouvelle parvint à la reine qui ordonna à la servante : « Va et ramène-moi
cette femme ! » La mère de Moussa vint et on lui présenta le bébé. Ce dernier se mit
à téter. Pourquoi ne le ferait-il pas alors qu’il était affamé depuis trois jours ?
La reine en fut très surprise ainsi que chaque personne de ce palais. La mère de
Moussa dit : « Je suis une femme qui a un lait dont les enfants aiment le goût. Tous
les bébés m’acceptent.
« Nous le rendîmes ainsi à sa mère pour qu’elle retrouve sa joie et pour qu’elle sache
que la promesse d’Allah se réalise toujours, mais la plupart des hommes ne savent
point. » (Coran)
Quand vint le moment du sevrage (fin d’allaitement), la mère de Moussa le rendit au
palais.
94- Le coup fatal

Moussa était un jeune garçon fort. Il détestait les injustes allant jusqu’à les haïr, et il
aimait les plus faibles et les protégeait, comme font tous les prophètes.

Un jour, il trouva deux hommes qui s’entretuaient (assassin), l’un était israélite et
l’autre copte. L’israélite cria et appela Moussa à son secours. Moussa assena le
copte d’un coup qui le tua. Moussa regretta beaucoup son acte et savait que ces
agissements proviennent de Satan. Il demanda pardon à Allah ; Allah accepta son
repentir car Moussa n’avait pas l’intention de tuer le copte.

Moussa vécut dans la peur (effrayé) et s’attendait à tout instant à être arrêté et
conduit devant le tyran par la police.
Le lendemain, Moussa rencontra le même israélite en train de se quereller avec un
autre copte. Il l’appela au secours. Moussa se mit en colère et lui dit : « Ne cesseras-
tu pas de te battre avec les gens ? Moussa s’avança vers eux et l’israélite pris peur.

« Il dit : O Moussa ! Veux-tu donc me tuer comme tu as tué hier un être vivant ? »
(Coran)
C’est alors que le copte apprit que Moussa était l’assassin recherché. Il alla donc
informer la police. Allah voulut cependant sauver Moussa, Il a décrété que la
délivrance des fils d’Israël viendrait grâce à Moussa.

Alors que Pharaon et ses ministres se concertaient pour décider s’ils allaient tuer
Moussa, un homme entendit ce qui se disait et il le rapporta à Moussa et lui
conseilla : « Sors, c’est un conseil loyal que je te donne. » « Il sorti donc de la ville,
plein de peur et d’appréhension et dit : Seigneur ! Sauve-moi de ce peuple injuste. »
(Coran)

Allah inspira à Moussa de se rendre à Madyan, une contrée arabe sur laquelle
Pharaon n’avait aucun pouvoir, et Allah lui accorda justice et savoir.
95- A Madyan

Moussa arriva à Madyan et ne connaissait personne. Où allait-il passer la nuit ? Qui


l’abriterait durant la nuit ?

Il y avait un puit où les gens venaient abreuver leurs moutons et leur bétail. Moussa y
trouva deux femmes avec leurs moutons qui attendaient que les gens finissent
d’abreuver leurs troupeaux. Il leur dit alors : « Pourquoi n’abreuvez-vous pas vos
moutons ? » Elles dirent : « Nous ne pouvons le faire que lorsque tout le monde finit,
parce qu’ils sont plus forts et nous sommes faibles, parce que ce sont des hommes
et nous sommes des femmes. » Et elles dirent : « Et notre père est un vieil homme
âgé. » (Coran)
La tendresse de Moussa grandit et il abreuva les moutons, puis les deux femmes
partirent.

Les deux femmes rentrèrent chez elles plus tôt que prévu et leur père en fut étonné
et leur en demanda la raison. L’une des deux l’informa, et le vieil homme dit : « Où
avez-vous laissé cet homme ? ». Elles dirent : « Nous l’avons laissé là où il était,
c’est un étranger qui n’a pas d’abri. » Le vieil homme dit : « Vous avez mal agi mes
filles. Nous lui devons l’hospitalité. Que l’une d’entre vous aille le chercher. »
« L’une d’entre elles vint à lui, marchant embarrassée par une certaine pudeur, et
dit : « Mon père te prie de venir pour qu’il te récompense pour avoir abreuver nos
bêtes. »
Moussa compris qu’Allah avait répondu favorablement à sa demande (de logement)
donc il ne refusa point. Il précéda la femme, afin que son regard ne tombe pas sur
elle. Quand il arriva auprès du vieil homme, il lui raconta son histoire, et le vieil
homme lui répondit : « N’aie crainte, tu es sauvé de la gent injuste. » (Coran)
96- Le mariage et la prophétie
Moussa demeura chez eux et devint pour la famille (prit la place de) un fils très
aimé.
L’une des filles dit à son père : « Mon père ! Engage-le (employer) à ton service car
le meilleur que tu puisses engager est l’homme fort et loyal. » (Coran)
Le vieil homme dit : « Qu’en sais-tu quant à sa force et sa loyauté ? ». Elle répondit :
« Quant à sa force, c’est qu’il a soulevé tout seul le couvercle du puit, alors
qu’habituellement plusieurs personnes doivent le faire. Pour ce qui est de sa loyauté,
il a marché devant moi et ne m’a pas regardée tout le long du trajet.
Le vieil homme analysa la situation (problème) en tant que père et homme sage ; il
dit alors à Moussa : « Je voudrai te marier à l’une de mes deux filles que voici (ces
deux), à condition que tu travailles pour moi pendant huit ans. » (Coran)
Le vieil homme voulait tester le jeune homme jusqu’à ce qu’il soit complètement sûr
de lui ; il le libérerait alors de son engagement.
Moussa accepta cette condition, il resta alors chez eux. Et lorsqu’il voulut retourner
en Egypte, le vieil homme le laissa. Moussa partit donc avec sa famille, par une nuit
très froide et très sombre (obscurité). Pendant qu’ils marchèrent dans le désert,
« Lorsqu’il vit du feu, il dit à sa famille - Attendez-moi ici, je viens d’apercevoir au
loin un feu. Peut-être vous en apporterai-je un tison ou trouverai-je auprès du feu de
quoi me guider. » (Coran) « Lorsqu’il s’y rendit on l’appela : « Ô Moussa ! Je suis ton
Seigneur, ôtes (enlever) donc tes sandales car tu es dans la vallée sacrée
Touwa. » « Je t’ai choisi Moi-même. Ecoutes attentivement ce qui es
révélé. » « C’est Moi Allah ; point de divinité que Moi ; adores-Moi donc et accomplis
la Salât pour le souvenir de Moi. » (Coran)
Puis Allah demanda à Moussa : « Quel est l’objet qui est dans ta main droite Ô
Moussa ? » « Il dit : « C’est mon bâton sur lequel je m’appuie » (Coran)
Il se mit à énumérer les usages en détail, puis Allah dit : « Jette-le Ô Moussa ! »
« Alors il le jette, et voilà que c’est un serpent qui se met à ramper (courir). » « Il
dit : « Prends-le et n’aie pas peur ! Nous le ramènerons à son aspect premier. »
« Serre (réunir, assembler) ta main sous ton bras, elle en sortira blanche, sans
aucune maladie, et ce sera un autre signe. » (Coran)
Allah a accordé à Moussa la prophétie et lui ordonna de commencer à exécuter la
tâche pour laquelle il avait été créé. Mais comment pouvait-il se rendre chez
Pharaon, lui qui avait tué le copte ? Puis il se souvint qu’il avait un problème au
niveau de la langue : il bégayait. « Il dit : Seigneur ! Je crains qu’ils ne me traitent de
menteur. » « Que ma poitrine ne devienne trop étroite et que ma langue n’arrive pas
à se délier, envoies donc Haroun. » (Coran) Allah a alors octroyé à Haroun la
prophétie et Leur ordonna : « Allez chez Pharaon et dîtes : « Nous sommes le
Messager du Seigneur des univers. » (Coran)
Allah recommanda à Moussa et Haroun la douceur avec Pharaon « Tenez-lui un
langage doux, peut-être se rappellera-t-il ou craindra-t-il. » (Coran)
97- Face à Pharaon

Moussa et Haroun se rendirent auprès de Pharaon et l’invitèrent à suivre la voie


d’Allah. Pharaon se mit en colère et dit, d’une manière hautaine :
« Ne t’avons-nous pas élevé parmi nous depuis ta naissance (nouveau-né) et n’as-
tu pas passé parmi nous plusieurs années (âge) de ta vie ? Et tu as fais ce que tu as
fais et a été ingrat. » (Coran)
Moussa ne s’énerva pas, il ne démentit pas ni ne nia ni ne s’excusa. Il répondit
avec franchise et dignité : « J’ai effectivement commis ceci et j’étais dans l’erreur
(égaré). » « Et toi Ô Pharaon ne vois-tu pas pourquoi je suis arrivé entre tes mains et
comment il t’a été possible de m’élever ? Est-ce donc un bienfait que l’on peut citer à
côté de ton injustice ? » (Coran)
Pharaon fut incapable de trouver une réplique quelconque. Il dit : « Est qu’est-ce que
le Seigneur des univers ? » (Coran) Moussa répondit : « Il dit : Le Seigneur et Maître
des cieux, de la terre et de ce qui est entre eux. Si vous cherchez à vous convaincre
(qui sait avec certitude). » (Coran)
Moussa ne s’interrompit pas pour autant. « Il dit : Votre Seigneur est le Seigneur de
vos premiers ancêtres. » (Coran) La colère de Pharaon s’intensifia et il ne put plus
patienter et dit : « Votre Messager qui vous a été envoyé est vraiment fou. » (Coran)
Pharaon voulut provoquer la colère de sa cour. « Il dit : Et qu’en sera-t-il (pensée,
souci, idée) des premières générations ? » Moussa répondit : « La science de leurs
affaires est chez mon Seigneur dans un livre. Mon Seigneur ne commet ni erreur
(égaré) ni oubli. » (Coran)
Pharaon resta stupéfait ne sachant quoi répondre. Il dit alors ce que disent les rois
quand ils ne trouvent pas de réponse et se fâchent : « Il dit : Si tu adores autre dieu
que moi, je te mettrai sûrement en prison (emprisonné). » (Coran)
98- Les miracles de Moussa

Dès que Pharaon eut lâcher sa flèche, Moussa a voulu répliquer (lancer) par une
flèche d’Allah. « Il dit : Et même si je t’apporte une preuve évidente ? » « Il dit :
Apporte-la donc si tu es un homme sincère. » « Il jeta alors son bâton et le voici
devenu serpent manifeste. » « Il sorti sa main et la voilà toute blanche au vu de tous
(qui regardent). » (Coran)
Pharaon trouva enfin quelque chose à dire (parole) aux gens qui l’entouraient : « Il
dit : « Il dit aux dignitaires de son entourage : Celui-ci est un magicien averti. » « Il
cherche à vous sortir de votre terre avec sa magie. Qu’ordonnez-vous donc de
faire ? » (Coran)
Les dignitaires conseillèrent au roi de réunir tous les magiciens de son royaume et
de laisser Moussa les affronter. Il en fut ainsi. Les magiciens se présentèrent donc et
furent ainsi rassemblés ; ils venaient de toutes les régions (coins) du royaume.
« On dit aux gens : Etes-vous tous réunis ? » « Peut-être suivrons-nous les
magiciens si ce sont les vainqueurs. » (Coran)
Les gens sortirent dans la matinée de leur maison et se rendirent par groupes sur le
terrain. Seuls étaient restés dans les maisons les malades et les invalides.
Les fils d’Israël vinrent hésitants, entre crainte et espoir, mais étaient plutôt
pessimistes. Les sorciers de leur part, vinrent avec orgueil et fierté. Ils riaient et se
pavanaient, car c’était la journée de l’art. Aujourd’hui le roi verra notre habileté
(travail, œuvre) et nos bienfaits.
« Quand les magiciens arrivèrent ils dirent à Pharaon : Avons-nous une récompense
certaine si nous sommes les vainqueurs ? » « Il dit : Oui, et vous serez parmi les
favoris. » (Coran)
Telle était la récompense des rois et leur don, et c’est ainsi que les hommes étaient
dupés et tel était le piège qui servait à attraper (chasser, pêcher) les héros.

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