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E XERCICE 1
E XERCICE 2
¡ ¢
1. z 3 − 12z 2 + 48z = 0 ⇐⇒ z z 2 − 12z + 48 = 0.
La solution 0 est évidente. Reste à résoudre l’équation du second degré : z 2 − 12z + 48 = 0.
¡ p ¢2
∆ = 122 − 4 × 48 = 144 − 192 = −48 = −3 × 16 = 4 3i .
L’équation a deux solutions complexes :
p
12 + 4 3i p p
z1 = = 6 + 2 3i et z2 = 6 − 2 3i.
2 © p p ª
L’ensemble des solutions est donc S = 0 ; 6 + 2 3i ; 6 − 2 3i .
4
A
+
1
→
−
v
Ω H
+
O →
−
−1 u 1 2 3 4 5 6 7 8
−1
−2
−3
+
B
−4
2. a.
(On utilisera une feuille de papier millimétré fournie avec le sujet)
Corrigé du baccalauréat STI Génie mécanique A. P. M. E. P.
b. On a |zA |2 = 62 + 4 × 3 = 36 + 12 = 48.
p p p
Donc |zA | = 48 = 16 × 3 = 4Ã 3. !
p
p 3 1 p ¡ ¢
On peur donc écrire zA = 4 3 + i = 4 3 cos π6 + i sin π6 .
2 2
π
Un argument de zA est donc .
6
p
c. Comme zB = zA , le module de zB est égal à celui de zA , soit OB = OA = 4 3 et un argument
π
de zB est égal à − .
6
π π π
On a donc BOA = + = .
6 6 3
Le triangle OAB est donc isocèle avec un angle au sommet de 60 ° : les deux autres angles,
égaux mesurent eux aussi 60 ° ; le triangle OAB est équilatéral.
d. On a OΩ = |zΩ | = 4 ;
¯ p ¯ ¯ p ¯ p
ΩA = ¯6 + 2i 3 − 4¯ = ¯2 + 2i 3¯ = 4 + 12 = 4 ;
¯ p ¯ ¯ p ¯ p
ΩB = ¯6 − 2i 3 − 4¯ = ¯2 − 2i 3¯ = 4 + 12 = 4 ;
On a donc ΩA = ΩB = ΩO, Ω équidistant des points O, A et B est le centre du cercle circons-
crit au triangle OAB.
Autre méthode : en considérant le point H d’affixe 6, on voit que [OH] est médiane du
triangle équilatéral OAB. Le point Ω situé aux 2/3 sur cette médiane est aussi le centre du
cercle circonscrit au triangle OAB.
P ROBLÈME
Partie A
1. g est la somme de deux fonctions dérivables sur ]0 ; +∞[ ; elle est donc dérivable sur cet inter-
valle et : µ ¶ µ 2 ¶
2 1 x −1
g ′ (x) = 2x − = 2 x − =2
x x x
2. Comme x > 0, le signe de g ′ (x) est celui de x 2 − 1 qui est positif sauf entre −1 et 1, soit ici
g ′ (x) < 0 si 0 < x1 et g ′ (x) > 0 si x > 1. D’où le tableau de variations :
x 0 1 +∞
′ −
g (x) 0 +
+∞ +∞
4
x
0 1 2
Partie B
1 1 ln(x) − 1
f (x) = x + + .
2 2 x
1 1 1
1. a. On a lim x+ = .
x→0 2 2 2
ln(x) − 1 ln(x) 1
On peut écrire = − .
x x x
ln(x) 1
Or lim = −∞ et lim = −∞, d’où par somme des limites lim f (x) = −∞.
x→0 x x→0 x x→0
L’axe des ordonnées est asymptote verticale à C au voisinage de 0.
1 ln(x)
b. On a lim = 0 et lim = 0, donc lim f (x) = +∞.
x→+∞ x x→+∞ x x→+∞
2. a. Puisque x 6= 0, f est une somme de fonctions dérivables et est donc dérivable sur I :
1
1 × x − (ln x − 1) 2 − ln x x 2 − 2ln x + 4 g (x)
f ′ (x) = + x = = = .
2 x2 x2 2x 2 4
b. On a vu dans la partie A que sur I, g (x) > 0, donc f ′ (x) > 0 sur I et la fonction f est croissante
1 1 ln 1 − 1
c. f (1) = + + = 1 − 1 = 0.
2 2 1
Comme f est croissante sur ]0 ; +∞[ et que f (1) = 1, on en déduit que :
• f (x) < 0 si 0 < x < 1 ;
• f (1) = 0 ;
• f (x) > 0 si x > 1.
3.
4 y
C
3
x
0
1 2 3 4 5 6
−1
−2
−3
−4
Partie C