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Contrôle Continu du 05/12/2020

Santé Publique, Médecine Sociale et Économie de Santé :


Pr. KHALIS/Pr. JALLAL/Pr. ZBIRI/Pr. BELABBES :

1. Dans une population de 10 000 personnes, 30 sont touchées par la COVID-19.


Quelle est la prévalence de COVID-19 dans cette population ?
A. 300 000.
B. 30%.
C. 0,3%.
D. 333,33.

2. Pendant le mois de Mars, dans une population de 24 000 personnes, 360 ont été
infectées par le COVID-19.
Calculer l’incidence cumulée ?
A. 360.
B. 0,015 (15 cas pour 1000 personnes).
C. 15 (150 cas pour 1000 personnes).
D. 0,36 (360 cas pour 1000 personnes).

3. L’étude de l’évolution de COVID-19 au cours du temps au Maroc est une étude :


A. Evaluative.
B. Analytique.
C. Expérimentale.
D. Descriptive.

4. L’étude de l’association entre l’utilisation de téléphone mobile pendant la conduite


d’un véhicule et l’accident de la voie publique, est une étude :
A. Descriptive.
B. Expérimentale.
C. Analytique.
D. Evaluative.

5. Dans les essais cliniques, le schéma croisé permet :


A. Gommer la variabilité interindividuelle.
B. Nombre de sujets moins important à inclure.
C. Comparaison plus précise des traitements.
D. Un recrutement plus facile.
Contrôle Continu du 05/12/2020

6. Le réseau hospitalier est appuyé par des structures spécialisées comme :


A. Le Centre Régional de Transfusion Sanguine et d’Hématologie.
B. Le centre hospitalier provincial.
C. Les cliniques privées.
D. L’hôpital de proximité.
E. L’hôpital de jour.

7. Parmi les ressources dans un service hospitalier, on trouve :


A. Les ressources humaines.
B. Les ressources financières.
C. Les ressources technologiques.
D. Les ressources naturelles.
E. Les ressources cognitives.

8. Le tableau de bord permet de :


A. Comprendre les conditions de prise en charge d’un patient.
B. Garantir la continuité des soins.
C. Evaluer la productivité des ressources humaines.
D. Aider à la prise de décision.
E. Communiquer avec les membres de l’équipe.

9. Parmi les dysfonctions liés à la gestion d’un service de soins, on peut trouver :
A. Le conflit interpersonnel.
B. Le respect des procédures d’hygiène.
C. Une meilleure qualité des soins.
D. Une mauvaise gestion des rendez-vous.
E. Le taux élevé de l’absentéisme.

10. Pour améliorer la qualité des soins et la sécurité au sein de votre service, vous
pourrez :
A. Créer une cellule de gestion de la qualité au sein de votre service.
B. Tenir des formations au profit de l’équipe sur le respect des différentes
procédures au sein de votre service.
C. Discuter des différents dysfonctionnements avec le directeur médical, le
directeur des soins et le responsable qualité de l’hôpital.
D. Lancer une enquête de satisfaction auprès de vos patients.
E. Tenir des réunions avec les membres de votre équipe pour identifier les
problèmes et leurs solutions éventuelles.
Contrôle Continu du 05/12/2020

11. Qu’est ce qui fait que nous ne sommes pas tous égaux devant la maladie ?
Choisissez la ou les bonnes réponses :
A. Les caractéristiques individuelles.
B. Les habitudes de vie.
C. Le niveau socio-économique.
D. Le fait de vivre dans des villes différentes.

12. Parmi les affirmations suivantes, choisissez la ou les bonnes réponses :


A. La santé et la maladie de l’individu ou de la communauté sont multifactorielles.
B. La santé et la maladie de l’individu sont dues uniquement à son patrimoine
génétique.
C. La santé et la maladie de l’individu dépendent uniquement du système de santé.
D. La santé et la maladie de l’individu dépendent d’un seul facteur.

13. Pour pouvoir alerter les pouvoirs publics par rapport à un problème de santé
publique, de quoi a-t-on besoin :
A. De réunions mensuelles.
B. De manifestations pacifiques.
C. De déclarations de droit humain.
D. De preuves scientifiques.

14. Pourquoi l’EBM est-il important ?


A. Car ça aide le praticien à prendre de bonnes décisions par rapport à ses patients.
B. Car tous les jours, de nouveaux types de preuves sont générés.
C. Car c’est un phénomène à la mode.
D. Car ça permet au praticien de rester à jour.

15. L’approche pour pratiquer l’EBM repose sur :


A. La recherche dans la littérature.
B. La formulation d’une question appropriée.
C. L’évaluation critique de la littérature.
D. L’appel d’un confrère pour avis.

16. L’évaluation médico-économique proprement dite se base sur le calcul de :


A. Rapport incrémental coût efficacité.
B. Différence des coûts moyens par rapport aux efficacités moyennes.
C. Différence des coûts moyens.
D. Rapport du coût moyen sur l’efficacité moyenne.
E. Aucune réponse n’est juste.
Contrôle Continu du 05/12/2020

17. Dans les études coût-bénéfice, le bénéfice est souvent calculé par :
A. QALY.
B. DALY.
C. Taux de mortalité ou d’incidence
D. Unité monétaire.
E. Aucune réponse n’est juste.

18. Dans les études coût-utilité, l’utilité est couvent calculée par :
A. QALY.
B. DALY.
C. Taux de mortalité ou d’incidence.
D. Unité monétaire.
E. Aucune réponse n’est juste.

19. Dans les études coût-efficacité, l’efficacité est souvent calculée par :
A. QALY.
B. DALY.
C. Taux de mortalité ou d’incidence.
D. Unité monétaire.
E. Aucune réponse n’est juste.

20. Concernant l’évaluation médico-économique, pour quelle perspective je dois


absolument prendre en compte l’ensemble des coûts indirects :
A. Celle de l’hôpital.
B. Celle du patient.
C. Celle de la société.
D. Celle des financeurs (assurance maladie).
E. Aucune réponse n’est juste.

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