Vous êtes sur la page 1sur 63

PARTIE SBAI

SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE

1. La surveillance épidémiologique est un système destiné à :


A. Alerter les responsables sanitaires
B. Informer les responsables sanitaires sur l'état de santé de la population
C. Mesurer de manière systématique et continue certains paramètres de la santé
D. Mesurer de manière systématique et continue certains paramètres de l'environnement
E. Identifier les problèmes jusqu'au là inconnus

2. Au Maroc, la surveillance épidémiologique est assurée essentiellement à travers


A. Le système des déclarations obligatoires
B. Les réseaux sentinelles des médecins vigiles
C. Les centres nationaux de référence
D. Les bureaux communaux d'hygiène
E. Le secteur de santé libéral

3. Le meilleur système de surveillance épidémiologique est celui qui est basé sur :
A. L'exactitude des données
B. La rapidité de recueil des données
C. Le nombre important des données
D. La réactivité du système de surveillance
E. La centralisation des données

4. Dans la surveillance épidémiologique passive, on retiendra la (les) caractéristique(s) suivante(s):


A. Le système attend les notifications
B. L'information est complète
C. L'information n'arrive pas en temps opportun
D. Le cout de l'activité est élevé
E. L'information recueillie est de meilleure qualité

5. La classification des différents types de surveillance épidémiologique se fait en fonction de (s)


A. La collecte des données
B. L'étendue de la zone couverte
C. La source des données
D. L'étiologie des maladies concernées
E. Objectifs d'utilisation des données

6. Parmi les limites de la surveillance épidémiologique, on retiendra


A. La charge de travail
B. La contrainte de temps
C. Les rapports d'investigation incomplets
D. Les difficultés de suivi
E. Les difficultés d'évaluation d'impact

1. La surveillance épidémiologique est un processus continu


A. De collecte de données sur l'ensemble des maladies
B. De collecte de données sur les maladies à déclaration obligatoire
C. Auquel seuls les médecins du secteur public doivent participer
D. Permettant la diffusion de données aux personnes et services intéressés
E. De collecte d'informations concernant les dépenses liées aux programmes de santé.
2. Parmi les objectifs de la surveillance épidémiologique on peut citer:
A. Décrire un phénomène de santé
B. Alerter en cas d'épidémie sévissant dans la population
C. Evaluer l'impact des mesures de santé publique
D. Emettre des hypothèses quand aux phénomènes de santé
E. Dégager des axes de recherche

3. La surveillance épidémiologique nécessite la mise en place d'un système destiné à:


A. Alerter les responsables sanitaires
B. Informer les responsables sanitaires sur 1'état de santé de la population
C. Mesurer de manière systématique et continue certains paramètres de la santé
D. Mesurer de manière systématique et continue certains paramètres de l'environnement
E. Identifier les problèmes jusqu'au là inconnus

4. Parmi les caractéristiques de la surveillance épidémiologique, on retiendra:


A. Le recueil exhaustif de l'information
B. Le traitement systématique de l'information
C. Le recueil d'informations sans actions
D. Le suivi des tendances évolutives des phénomènes de santé
E. La détection des phénomènes épidémiques

5. Parmi les activités de la surveillance épidémiologique on retiendra


A. La collecte des données
B. L'analyse des données
C. L'interprétation des données
D. L'évaluation de l'impact des mesures de prévention
E. L'utilisation des données à des fins de planification

6. Dans la surveillance épidémiologique active, on retiendra la (les) caractéristique(s) suivante(s):


A. Le système attend les notifications
B. L'information est complet
C. L'information n'arrive pas en temps opportun
D. Le cout de l'activité est élevé
E. L'information recueillie est de meilleure qualité

7. La surveillance épidémiologique dite « sentinelle »»


A. Se fait par réseau
B. Porte sur un échantillon représentatif des unités de surveillance
C. Concerne les hôpitaux étatiques
D. Concerne les cabinets privés
E. Est limitée dans l'espace

8. Au Maroc, la surveillance épidémiologique:


A. Est assurée, essentiellement, à travers le « réseau sentinelle »
B. Est, essentiellement, basée sur la biologie
C. Est coordonnée par la direction d'épidémiologie et de lutte contre les maladies
D. (DELM)
E. Concerne le suivi des tendances évolutives des maladies sous contrôle
F. Est sous la responsabilité du personnel paramédical

9. Un bon système de surveillance épidémiologique est caractérisé par:


A. Sa simplicité
B. Sa souplesse
C. Son efficacité
D. Sa réactivité
E. Son abondance en données

10. La surveillance épidémiologique est un processus continu:


A. De collecte de données sur l'ensemble des maladies N
B. De collecte de données sur les maladies à déclaration obligatoire
C. Auquel seuls les médecins du secteur civil doivent participer
D. Permettant la diffusion de données aux personnes et services intéressés
E. De collecte d'informations sanitaires concernant la gestion des programmes

11. Parmi les objectifs de la surveillance épidémiologique on peut citer


A. Décrire le phénomène de santé
B. Alerter en cas d'épidémie
C. Evaluer l'impact des mesures de santé publique
D. Emettre des hypothèses quand aux phénomènes de santé
E. Dégager des axes de recherche

12. La surveillance épidémiologique est un processus continu


A. De collecte de données
B. De regroupement et tabulation de données
C. D'analyse de données
D. De diffusion de données
E. De collecte des informations a propos des programmes sanitaires

13. Parmi les objectifs de la surveillance épidémiologique:


A. Décrire le phénomène de sante
B. Alerter en cas d'épidémie
C. Evaluer les mesures de santé publique
D. Emettre des hypothèses quand aux phénomènes de sante
E. Dégager des axes de recherche

14. La surveillance épidémiologique, dite passive est


A. Caractérisée par la relance des sources d'information
B. Basée essentiellement sur la clinique
C. Celle qui est utilisée pour les maladies à déclaration obligatoire au Maroc
D. Celle qui est utilisée pour la surveillance des paralysies flasques aigues
E. Celle qui est utilisée pour la surveillance de la grippe saisonnière

15. La surveillance épidémiologique, dite active est:


A. Caractérisée par la relance des sources d'information
B. Basée essentiellement sur la clinique
C. Celle qui est utilisée pour es maladies á déclaration obligatoire au Maroc
D. Celle qui est utilisée pour la surveillance des paralysies flasques aigues
E. Celle qui est utilisée pour la surveillance de la grippe saisonnière

16. En matière de diffusion des résultats de la surveillance épidémiologique, les données doivent être diffusées
en respectant les règles suivantes:
A. La régularité
B. L'exhaustivité
C. La périodicité
D. L'attractivité
E. Une bonne interprétation
17. Parmi les performances d'un système de surveillance épidémiologique on retiendra:
A. L'adéquation aux objectifs fixés
B. La capacité de s'adapter à une nouvelle définition des cas
C. La capacité de s'adapter à une nouvelle source de données
D. La réactivité du système
E. L'exhaustivité du système

18. L'acceptabilité d'un système de surveillance prend en compte:


A. Le taux de participation
B. La qualité de l'information fournie
C. Le délai de remplissage et d'envoi
D. La capacité d'identifier tous les cas
E. La capacité de décrire tous les cas

25. Au Maroc, la surveillance épidémiologique


A. Est assurée, essentiellement, par le système des déclarations obligatoires
B. Est basée essentiellement sur le laboratoire
C. Utilise, essentiellement le secteur de santé libéral
D. Utilise, essentiellement le secteur des centres hospitaliers universitaires
E. Est caractérisée par une sous-notification de façon manifeste

26. Au Maroc, à propos de la surveillance épidémiologique on peut retenir que


A. Une partie du personnel impliqué manque de formation adéquate dans la surveillance
B. Des données absentes sur certains phénomènes de santé
C. Des progrès manifestes ont été accomplis ces dernières années
D. Rôle limité du laboratoire
E. Sous notification manifeste de certains secteurs du système de santé

27. Parmi les critères de performances d'un système de surveillance épidémiologique on peut citer:
A. Utilité
B. Simplicité
C. Souplesse
D. Acceptabilité
E. Réactivité

28. La Surveillance épidémiologique sentinelle par réseau est caractérisée par


A. Un engagement volontaire d'un groupe de services, de cliniques, de cabinets médicaux ou de
laboratoires
B. Une déciaration faite à des intervalles de temps réguliers
C. La surveillance d'une maladie particulière,
D. La surveillance de l'ensemble des maladies à déclaration obligatoire
E. Est utilisée pour la surveillance de l'infection VIH/SIDA

29. La surveillance épidémiologique a pour objectif(s) :


A. Le recueil ciblé de l’information
B. Le traitement systématique des informations recueillies
C. L’analyse des informations de base mais sans action immédiate
D. Le suivi des tendances évolutives des phénomènes de santé
E. La détection des phénomènes épidémiques

30. Parmi les activités de la surveillance épidémiologique, on retiendra :


A. La collecte des données
B. L’analyse des données
C. L’interprétation des données
D. L’évaluation de l’impact des mesures de prévention
E. L’utilisation des données à des fins de planification

31. Les différents types de surveillance épidémiologique sont fonction de :


A. Des objectifs d’utilisation des données
B. L’étiologie des maladies concernées
C. Du type de collecte des données
D. L’étendue de la zone couverte
E. La source des données

32. Dans la surveillance épidémiologique passive, on retiendra la (les) caractéristique(s) suivante(s) :


A. Le système de santé attend les notifications
B. L’information est complète
C. L’information n’arrive pas en temps opportun
D. Le cout de l’activité est élevé
E. L’information recueillie est de bonne qualité

33. La surveillance épidémiologique dite « sentinelle » :


A. Porte sur un échantillon représentatif des unités de surveillance
B. Se fait par réseau
C. Concerne les centres de santé
D. Est limitée dans le temps
E. Est limitée dans l’espace

34. Au Maroc, la surveillance épidémiologique :


A. Est assurée, essentiellement à travers les « centres de référence »
B. Est essentiellement basée sur le laboratoire
C. Est coordonnée par les Observatoires Régionaux d’Epidémiologie
D. Concerne le suivi des tendances évolutives des maladies sous contrôle
E. Fait partie des attributions de la Direction de la Réglementation et Content du Ministère de la Santé

35. Un bon système de surveillance épidémiologique est caractérisé par :


A. Sa simplicité
B. Sa souplesse
C. Son efficacité
D. Sa réactivité
E. Son faible coût

36. Parmi les limites de la surveillance épidémiologique, on retiendra :


A. La charge de travail
B. La contrainte de temps
C. Les rapports d’investigation incomplets
D. Les difficultés de suivi
E. Le coût élevé des activités afférentes

37. La surveillance épidémiologique nécessite la mise en place d’un système destiné à :


A. Alerter les responsables sanitaires
B. Informer les responsables sanitaires sur l’état de santé de la population
C. Mesurer de manière systématique et continu certains paramètres de la santé
D. Mesurer de manière systématique et continu certains paramètres de l’environnement
E. Identifier les problèmes jusqu’au là inconnus
38. la surveillance épidémio est un processus continu
A. De collecte de données
B. De regroupement et tabulation de données
C. D’analyse de données
D. De diffusion de données
E. De collecte d’infos sanitaires concernant la gestion des programmes

39. Parmi les objectifs de la surveillance épidémio on peut citer


A. Décrire le phénomène de santé
B. De regroupement et tabulation de données
C. D’analyse de données
D. De diffusion de données
E. De collecte d’infos sanitaires concernant la gestion des programmes

40. la surveillance épidémio est un processus continu


A. De collecte de données sur l’ensemble des maladies connues
B. De collecte de données sur les maladies à déclaration obligatoire
C. Auquel tous les médecins sont tenus par la loi de participer
D. De diffusion de données aux personnes et services intéressés
E. De collecte d’infos sanitaires concernant la gestion des programmes

41. Parmi les objectifs de la surveillance épidémio on peut citer


A. Décrire le phénomène de santé
B. Alerter en cas d’épidémie
C. Evaluer l’impact des mesures de santé publique
D. Emmètre des hypothèses quant aux phénomènes de santé
E. Dégager des axes de recherche

42. Parmi les caractéristiques de la surveillance épidémiologique, on retiendra :


A. Le recueil ciblé de l’information
B. Les informations recueillies doivent faire l’objet d’un traitement systématique
C. Le recueil d’informations de bases sans action immédiates
D. Le suivi des tendances évolutives des phénomènes de santé
E. La détection des phénomènes épidémiques

43. Parmi les activités de la surveillance épidémiologique, on retiendra :


A. La collecte des données
B. L’analyse des données
C. L’interprétation des données
D. L’évaluation de l’impact des mesures de prévention
E. L’utilisation des données à des fins de planification

44. La classification des différents types de surveillance épidémiologique se fait en fonction de :


A. La collecte des données
B. L’étendue de la zone couverte
C. La source des données
D. L’étiologie des maladies concernées
E. Des objectifs d’utilisation des données

45. Dans la surveillance épidémiologique active on retiendra la (les) caractéristique(s) suivante(s) :


A. Le système attend les notifications
B. L’information est complète
C. L’information n’arrive pas en temps opportun
D. Le coût de l’activité est élevé
E. L’information recueillie est de meilleure qualité

46. La surveillance épidémiologique dite « sentinelle » :


A. Se fait par réseau
B. Porte sur un échantillon représentatif des unités de surveillance
C. Concerne les hôpitaux étatiques
D. Concerne les cliniques privées
E. Est limitée dans l’espace

47. Au Maroc, la surveillance épidémiologique :


A. Est assurée essentiellement à travers le « réseau sentinelle »
B. Est essentiellement basée sur la clinique
C. Est coordonnée par les Observatoires Régionaux d’Epidémiologie
D. Concerne le suivi des tendances évolutives des maladies sous contrôle
E. Fait partie des attributions de la Direction de la Population du Ministère de la Santé

48. Un bon système de surveillance épidémiologique est caractérisé par :


A. Sa simplicité
B. Sa souplesse
C. Son efficacité
D. Sa réactivité (utilisation rapide de l’information)
E. Son abondance en données

49. Parmi les limites de la surveillance épidémiologique, on retiendra :


A. La charge de travail
B. La contrainte de temps
C. Les rapports d’investigation incomplets
D. Les difficultés de suivi
E. Les difficultés d’évaluation d’impact

50. La surveillance épidémiologique nécessite la mise en place d’un système destiné à :


A. Alerter les responsables sanitaires
B. Informer les responsables sanitaires sur l’état de santé de la population
C. Mesurer de manière systématique et continue certains paramètres de la santé
D. Mesurer de manières systématiques et continues certains paramètres de l’environnement
E. Identifier les problèmes jusqu’au là inconnu

51. Parmi les fonctions de l’épidémiologie il y a :


A. La surveillance épidémiologique
B. La mesure de l’importance des problèmes de santé
C. L’identification des groupes à risque élevé (GARE)
D. La recherche étiologique
E. L’évaluation de la santé
REGLEMENT SANITAIRE INTERNATIONAL :

1. Le règlement sanitaire (RS) actuellement en vigueur:


A. Est l’instrument juridique obligeant les états membres à déclarer les maladies
B. Est à vocation de protéger la santé des voyageurs internationaux
C. Est administré par les états membres
D. Est adopté officiellement par 1'OMS en mai 2005
E. Vise à surveiller et combattre le choléra, la fièvre jaune et la peste

2. Le (les) certificats de vaccination exigés), actuellement par le RSI concerne(ent):


A. La variole
B. La fièvre jaune
C. La méningite à méningocoques A,C, W135, Y
D. La peste
E. Le choléra

3. La vaccination anti-amarile (contre la fièvre jaune)


A. Est exigée par le RSI pour les destinations vers pays endémiques
B. A une efficacité qui dure 3 ans
C. Est valable dès le 10 me jour après la vaccination
D. Se pratique dans un centre agrée OMS
E. Doit &être authentifiée par la délivrance d'un certificat règlementaire

4. Le RSI actuel prévoit de déclarer à P'IMS la ou les maladies ci-après:


A. Un cas de choléra
B. Un cas de SRAS
C. Un cas d'infection à un nouveau variant de virus grippal
D. Un cas de fièvre hémorragique virale
E. Un cas de fièvre jaune

5. Parmi les nouveautés du RSI (2005), nous retiendrons:


A. Un champ d'application plus étroit uniquement en rapport avec les maladies infectieuses
B. La notion d'urgence de santé publique à portée internationale
C. Une réactivité accrue face aux épidémies
D. La possibilité d'une assistance technique internationale rapide en cas d'alerte
E. La mise en place de points focaux nationaux chargés de communiquer avec l'OMS

6. Le règlement sanitaire (RSI), actuellement en vigueur


A. A été révisé en 1969
B. A été révisé en 2005
C. A été adopté, officiellement par 1'OMS, en 2007
D. Ne concerne que les voyageurs empruntant les vols aériens internationaux
E. Vise à contrôler le transport international des maladies

7. Le RSI actuel prévoit de déclarer à POMS le ou les maladies ci-après


A. Un cas de variole
B. Un cas de peste pulmonaire
C. Un cas d'infection à un nouveau variant de virus grippal
D. Un cas de choléra
E. Un cas de maladie à virus Ebola

8. La vaccination anti-amarile (contre la fièvre jaune)


A. N'est pas exigé actuellement, par le RSI
B. A une efficacité très limitée dans le temps
C. Est valable le 1 jour après une primo-vaccination
D. Se pratique dans tous les centres de santé au Maroc
E. Doit être authentifiée par la délivrance d'un certificat réglementaire

9. Parmi les nouveautés du RSI (2005), nous retiendrons:


A. Un champ d'application plus large
B. La notion d'urgence de santé publique à portée internationale
C. Une réactivité accrue face aux épidémies
D. La possibilité d'une assistance technique internationale rapide en cas d'alerte
E. La mise en place de points focaux nationaux pour communiquer avec l'Organisation Mondiale de la Santé.

10. Parmi les nouveautés du Règlement Sanitaire International de 2005, nous retiendrons
A. Un champ d'application plus étroit uniquement en rapport avec les maladies infectieuses
B. La notion d'urgence de santé publique à portée internationale
C. Une réactivité accrue face aux épidémies
D. La possibilité d'une assistance technique internationale rapide en cas d'alerte
E. La mise en place de points focaux nationaux chargés de communiquer avec L'OMS

11. Un événement est qualifié d'urgence de santé publique à portée internationale selon le RSI de 2005 selon une
évaluation et un algorithme prenant en compte:
A. La gravité et la mortalité
B. Le fait que cet événement est inattendu ou inhabituel
C. Le risque de propagation internationale
D. Le risque de restriction internationale pour le pays touché
E. Le besoin d'assistance du pays touché

12. Parmi les champs d'applications du RSI de 2005 on peut citer les cas suivants
A. Evénements susceptibles de présenter un danger pour la santé publique d'origine naturelle, accidentelle ou
délibérée
B. Evénements qui impliquent des agents biologiques
C. Evénements qui impliquent des agents chimiques
D. Evénements qui impliquent rayonnements ionisants
E. Aucune des propositions n'est juste
13. L’arrêté du Ministre de la Santé Publique N°685-95 du 21 Mars 1995, fixe les modalités d’application du Décret
Royal du 26 Juin 1967, portant loi obligatoire la déclaration des maladies transmissibles concerne :
A. Les maladies quartenaires, soumises au RSI
B. Les maladies dont la liste est fixée par arrêter du Ministre de la Justice
C. Les maladies pouvant donner lieu à des poussées épidémiques
D. Les maladies considérées à caractère social
E. Les maladies cancéreuses

14. Le Règlement Sanitaire International (RSI), actuellement en vigueur :


A. A été élaboré pour la 1ère fois en 1965
B. A été adopté officiellement par l’OMS le 25 juillet 1969
C. A été révisé, pour la dernière fois en juin 2005
D. Ne concerne que les voyageurs empruntant des vols aériens internationaux
E. Vise à contrôler le transport international des cargaisons de marchandises

15. Les maladies quarantenaires à déclaration obligatoire prévues par le RSI sont :
A. La fièvre jaune
B. La grippe aviaire
C. Le paludisme
D. Le choléra
E. La peste

16. Le (les) certificat(s) de vaccination exigé(s), actuellement par le RSI concerne (ent) :
A. La variole
B. L’hépatite B
C. Le choléra
D. La fièvre jaune
E. La peste

17. La chimio-prophylaxie du paludisme prescrite dans les voyages internationaux pour les voyageurs se rendant
dans les pays classés Zone (B) :
A. Est à base de CHLOROQUINE
B. Est à base de MEFLOQUINE
C. Est à base de CHLOROGUINE + PROGUANIL
D. Est à base de DOXYCYCLINE en cas d’intolérance à la MEFLOQUINE
E. Peut être arrêtée après avoir quitté la zone impaludée

18. La vaccination anti-amarile :


A. Est exigée actuellement par le RSI
B. A une efficacité très limitée dans le temps
C. Est valable 10 jours après une primo-vaccination
D. Se pratique dans tous les centres de santé du Maroc
E. Doit être authentifiée par la délivrance d’un certificat réglementaire

19. Parmi les nouveautés du RSI (2005), nous retiendrons


A. Un champ d’application plus large
B. La notion d’urgence de santé publique à portée international
C. Une réactivité accrue face aux épidémies
D. La possibilité d’une assistance technique internationale rapide en cas d’alerte
E. La mise en place de points focaux nationaux pour communiquer avec l’OMS

20. Le Règlement Sanitaire International (RSI), actuellement en vigueur :


A. A été élaboré pour la 1ère fois en 1965
B. A été adopté officiellement par l’OMS le 25 Juillet 1989
C. A été révisé le 25 Juillet 1969
D. Ne concerne que les voyageurs empruntant des vols aériens internationaux
E. Vise à contrôler le transport international des cargaisons de marchandise

21. Les maladies quarantenaires à déclaration obligatoire prévues par le RSI sont :
F. La fièvre jaune
G. La grippe aviaire
H. Le paludisme
I. Le choléra
J. La peste

22. Le (les) certificats de vaccination exigé(s) actuellement par le RSI concerne (ent) :
A. La variole
B. L’hépatite B
C. Le choléra
D. La fièvre jaune
E. La peste
23. La vaccination anti-amarile (contre la fièvre jaune) :
A. Est pas exigée actuellement par le RSI
B. A une efficacité très limitée dans le temps
C. Est valable 10 jours après une primo-vaccination
D. Se pratique dans tous les centres de santé du Maroc
E. Doit être authentifiée par la délivrance d’un certificat réglementaire

24. L’arrêté du Ministre de la Santé Publique N°688-95 du 31 Mars 1995, fixant les modalités d’application du
Décret Royal du 26 Juin 1967portant loi rendant obligatoire la déclaration des maladies transmissibles concerne :
*****
A. Les maladies quarantenaires soumises au RSI
B. Les maladies dont la liste est fixée par arrêté du Ministère de la Justice
C. Les maladies pouvant donner lieu à des poussées épidémiques
D. Les maladies considérées à caractère social
E. L’ensemble des maladies infectieuses

25. La chimioprophylaxie du paludisme prescrite dans les voyages internationaux pour les voyageurs se rendant
dans les pays classés Zone (B) :
K. Est à base de CHLOROQUINE
L. Est à base de MEFLOQUINE
M. Est à base de CHLOROQUINE + PROGUANIL
N. Est à base de DOXYCYCLINE en cas d’intolérance à la MEFLOQUINE
O. Doit se poursuivre durant 4 semaines après avoir quitté la zone impaludée
HYGIENE DE L’ALIMENTATION

1. Dans le cadre de la restauration collective, les règles de bases à respecter en matière d'hygiène alimentaire sont:
A. Hygiène des locaux.
B. Hygiène relative au transport et au stockage des denrées alimentaires.
C. Hygiène des équipements.
D. Hygiène du personnel et la formation spécifique.
E. Nettoyage, désinfection et lutte contre les nuisibles

2. En matière d'hygiène alimentaire, la prévention des TIAC, concerne


A. Les modes de préparation des repas
B. Les modes de conservation des aliments
C. Le contrôle médical régulier du personnel
D. L'agencement et l'architecture des locaux de cuisine
E. Les modes de stockage des denrées alimentaires

3. Les préalables fondamentaux dans l'hygiène de I'alimentation sont


A. Le respect de la marche en avant des denrées
B. La sectorisation des plans de travail
C. La vaccination du personnel de la restauration
D. La réduction du déplacement
E. La séparation des circuits propres et des circuits sales

4. Dans le cadre de la restauration collective, les règles de bases à respecter en matière d’hygiène alimentaire sont :
A. Hygiène des locaux
B. Hygiène relative au transport et au stockage.
C. Hygiène des équipements.
D. Hygiène du personnel et la formation spécifique.
E. Nettoyage, désinfection et lutte contre les nuisibles

5. En matière d’hygiène alimentaire la prévention des TIAC concerne :


A. Les modes de préparation des repas
B. Les modes de conservation des aliments
C. Le contrôle médical régulier du personnel
D. La salubrité des locaux de cuisine
E. Les modes de stockage des denrées alimentaires

6. en matière d’hygiène alimentaire, la prévention des TIAC concerne :


A. Les modes de préparation des repas
B. Les modes de conservation des aliments
C. Le contrôle médical du personnel
D. La salubrité des locaux de cuisine
E. Les modes de stockage des denrées alimentaires

7. Dans le cadre de la restauration collective, les règles de bases à respecter en matière d’hygiène alimentaire sont
A. Hygiène des locaux
B. Hygiène relative au transport et au stockage
C. Hygiène des équipements
D. Hygiène du personnel et la formation spécifique
E. Nettoyage, désinfection et lutte contre les nuisibles

8. en matière d’hygiène alimentaire, la prévention des TIAC concerne :


A. Les modes de préparation des repas
B. Les modes de conservation des aliments
C. Le contrôle médical du personnel
D. La salubrité des locaux de cuisine
E. Les modes de stockage des denrées alimentaires

9. Le contrôle sanitaire du lait doit se faire :


A. Au niveau de l’étable
B. Pendant la traite
C. Pendant le transport
D. Durant la commercialisation
E. A l’arrivée dans les centrales laitières

10. Les additifs alimentaires qui entrent dans la conservation des aliments sont :
A. Les colorants
B. Les gélifiants
C. Les épaississants
D. Les stabilisants
E. Les arômes

11. Parmi les départements chargés du contrôle des denrées alimentaires au Maroc, on retiendra :
A. Le Ministère de la Santé
B. Le Ministère de l’Agriculture
C. Le Ministère de l’Intérieur
D. Le Ministère des Finances
E. Le Ministère du Commerce

12. La prévention dans le cadre de la restauration collective concerne le contrôle: ?


A. Des modes de préparation des aliments
B. Des modes de conservation des aliments
C. Médical du personnel de la restauration
D. De la conception de l’architecture des cuisines
E. De la qualité marchande des aliments
HYGIENE DE L’EAU

1. La chloration de l'eau permet l’élimination des:


A. Bactéries
B. Virus
C. Parasite
D. Champignons
E. Prions

2. Dans le cadre de la surveillance de l'eau destinée à la consommation humaine on contrôle:


F. Le pH de 'eau
G. Le taux de minéralisation de l'eau
H. La dureté de l'eau
I. La saveur de l'eau
J. L'existence de germes pathogènes

6. les étapes suivantes font partie du traitement de l'eau pour la rendre potable:
A. L'ébullition
B. La clarification
C. L'affinage
D. La désinfection
E. L'ajout d'antibiotiques

7. En pratique quotidienne, parmi les mesures de contrôle de l'eau d'alimentation du réseau en milieu urbain, on
retiendra:
A. Le dosage du chlore (chlorémie)
B. Le taux de minéralisation de l'eau
C. La dureté de l'eau
D. Le dosage des matières grasses
E. La concentration de l'eau en germes totaux

8. Parmi les polluants physico-chimiques de l'eau, on retiendra les:


A. Engrais
B. Pesticides
C. Produits désherbants
D. Détergents
E. Agents microbiens

9. Dans le cadre de la surveillance de l’eau destinée à la consommation humaine on contrôle :


A. Le pH de l'eau
B. Le taux de minéralisation de l'eau
C. La dureté de l'eau
D. La saveur de l'eau
E. L'existence de germes pathogènes

10. Les étapes suivantes font partie du traitement de l’eau pour la rendre potable :
A. L'ébullition
B. La clarification
C. L'affinage
D. La désinfection
E. L'ajout d'antibiotiques

11. parmi les polluants de l’eau


A. Les engrais
B. Les pesticides
C. Les herbicides
D. Les détergents
E. Les métaux lourds

12. Dans le cadre de la surveillance de l’eau destinée à la consommation humaine on contrôle


A. Le PH de l’eau
B. E taux minéralisation de l’eau
C. La dureté de l’eau
D. La saveur de l’eau
E. L’existence des germes pathogènes

13. le traitement de l’eau comprend les étapes suivantes


A. Des prétraitements
B. La clarification
C. L’affinage
D. La désinfection
E. L’ajout d’antibiotiques

14. le traitement de l’eau comprend les étapes suivantes


A. L’ébullition
B. La clarification
C. L’affinage
D. La désinfection
E. L’ajout d’antibiotiques

15. Parmi les polluants physico-chimiques de l’eau on retiendra :


A. Les engrais
B. Les pesticides
C. Les produits désherbants
D. Les détergents
E. Les métaux lourds

16. En pratique quotidienne, parmi les mesures de contrôle de l’eau d’alimentation du réseau en milieu urbain on
retiendra :
A. Le dosage du chlore (chlorémie)
B. Le taux de minéralisation de l’eau
C. La dureté de l’eau
D. La radioactivité de l’eau
E. La concentration de l’eau en germes totaux
DERATISATION DESINFECTION :
1. Parmi la (les) méthode(s) chimique(s) de la désinfection il y a:
A. La chloration
B. L'ébullition
C. L'autoclavage
D. La filtration
E. ..

2. Parmi les maladies à désinfection obligatoire, au Maroc, on retiendra:


A. La tuberculose
B. La rickettsiose
C. La poliomyélite
D. La leptospirose
E. La lèpre

3. Parmi les maladies à désinfection obligatoire, au Maroc, on retiendra:


A. La diphtérie
B. La peste
C. La fièvre typhoides
D. La fièvre jaune
E. Le trachome

4. Le(s) vecteur(s) non ailé(s) d'intérêt médical inclue(nt) le(s)


A. Anophèles
B. Aedes
C. Punaises
D. Culex
E. Acariens

5. Le(s) vecteur(s) ailé(s) d'intérêt médical inclue(nt) le ??


A. Anophèles
B. Aedes
C. Punaises
D. Culex
E. Acariens

6. Parmi les règles de la lutte anti-moustiques nous retiendrons :


A. L’évaluation de la sensibilité du moustique avant chaque compagne de désinsectisation
B. L’alternance d’application des insecticides
C. L’utilisation des produits différents dans la lutte anti-larvaire et la lutte imagocide
D. L’utilisation exclusive des nouveaux insecticides
E. La coordination étroite entre les ministères

7. Les désinfectants de niveau d’activité élevé sont :


A. Le glutaraldéhyde et le formaldéhyde
B. Actifs sur les spores
C. Actifs sur les mycobactéries
D. Actifs sur les virus
E. Les chloramines

8. La rougeole est une maladie : ??


A. Pouvant donner lieu à des poussées épidémiques
B. A déclaration obligatoire
C. A désinfection obligatoire
D. A désinsectisation obligatoire
E. A dératisation obligatoire

9. La leptospirose est une maladie :


A. Pouvant donner lieu à des poussées épidémiques
B. A déclaration obligatoire
C. A désinfection obligatoire
D. A désinsectisation obligatoire
E. A dératisation obligatoire
TIAC
1. Les toxi-infections alimentaires collectives (TIAC) sont des maladies:
A. A déclaration obligatoire
B. Dues à des micro-organismes prédéveloppés dans l'aliment
C. Provoquées par l'ingestion des produits toxiques bactériens
D. Dont 1'incidence est en nette augmentation au Maroç V
E. D'origine bactérienne dans 90% des cas

2. Les TIAC par mécanisme entéro-invasif :


A. S'accompagnent d'une symptomatologie fébrile
B. Sont due à la libération d'histamine dans l'aliment
C. Sont due à l'excrétion de toxine dans 1l'aliment
D. Sont dues à la lyse de la cellule intestinale
E. Ont une période d'incubation courte

3. L’enquête épidémiologique en cas de TIAC a pour objectif :


A. Identifier l'agent pathogène
B. Identifier les facteurs favorisants
C. Identifier l'aliment en cause
D. La vaccination du sujet réceptif
E. De sanctionner en cas de faute sur la chaine alimentaire

4. La phase analytique de l’enquête épidémiologique en cas de TIAC consiste à :


A. Tester l'hypothèse nulle
B. Estimer l'horaire du repas contaminant
C. Décrire le phénomène
D. Orienter les prélèvements biologiques
E. Collecter les cas

5. L'enquête épidémiologique autour d'une TIAC, a pour objectif(s)


A. De médiatiser le phénomène épidémique
B. D'identifier l'agent pathogène
C. D'identifier les facteurs favorisants la survenue
D. De proposer des mesures visant à éviter les récidives
E. De valider la prise en charge thérapeutique des cas

6. La phase descriptive de l'enquête épidémiologique lors d'une TIAC permet de :


A. Formuler une hypothèse sur l'agent causal
B. Décrire la répartition des signes cliniques chez les cas
C. Calculer le taux d'attaque
D. Calculer le risque relatif (RR) pour chaque plat
E. Formuler une hypothèse sur le repas suspect

7. Le diagnostic de TIAC est évoqué lorsque:


A. Plus de deux personnes sont atteintes de troubles digestifs rapportés à une même origine alimentaire
B. Un seul cas de botulisme est détecté
C. Plus de deux personnes sont atteintes de troubles neurologiques rapportés à une même origine
alimentaire
D. Plus de deux personnes sont atteintes de troubles digestifs sans l'existence d'une même origine alimentaire
E. Les cas sont détectés dans différentes villes et rapportés à une même origine alimentaire

8. En matière des TIAC la pullulation microbienne peut être


A. due à une contamination initiale des denrées fraiches
B. due à une contamination des denrées pendant le processus de préparation des repas
C. La conséquence d'une faute professionnelle
D. Favorisée par un délai trop long entre préparation et consommation
E. Favorisée par une conservation de l'aliment préparé à une température de 20°C

9. En matière des TIAC I'intoxination est:


A. Caractérisée par une durée d'incubation longue de 48 heures et une fièvre chez les cas
B. Observée avec certaines souches de Staphylocoque aureus
C. Observée avec Clostridium botulinum
D. Due à la présence d'une toxine dans l'aliment avant sa consommation
E. Caractérisée par une durée d'incubation très courte

10. En matière des TIAC I'infection entéro-invasive est


A. La conséquence de l'existence de toxines dans l'aliment
B. La conséquence d'une multiplication bactérienne dans le tube digestif
C. S'accompagne souvent d'une destruction des entérocytes
D. Caractérisée par de la fièvre chez les cas
E. Caractérisée par une durée d'incubation très courte de lordre de 2 heures

11. Les toxi-infections alimentaires collectives (TIAC) sont des maladies


A. Transmises par un aliment contenant des pesticides
B. Dues à des micro-organismes prédéveloppés dans l'aliment
C. Provoquées par l'ingestion des produits toxiques bactériens
D. Dont l'incidence est en nette diminution au Maroc
E. Dont la prévention est relativement simple

12. Les TIAC dues aux intoxinations


A. S'accompagnent d'une symptomatologie fébrile
B. Sont due à la libération d'histamine dans l'aliment
C. Sont due à l'excrétion de toxine dans 1'aliment
D. Sont dues à la lyse de la cellule intestinale
E. Ont une période d'incubation courte

13. L'enquête épidémiologique en cas de TIAC a pour objectif(s):


A. Identifier le repas en cause
B. Le plat en cause
C. L'aliment en cause
D. La vaccination du sujet réceptif
E. Identifier le germe en cause

14. La phase descriptive de l'enquête épidémiologique en cas de TIAC consiste :


A. Tester l'hypothèse nulle
B. Estimer l'horaire du repas contaminant
C. Décrire le phénomène
D. Orienter les prélèvements biologiques
E. Collecter les cas

15. L'enquête épidémiologique autour d'une TIAC, a pour objectif(s):


A. De médiatiser le phénomène épidémique
B. D'identifier l'agent pathogène
C. D'identifier les facteurs favorisants
D. De proposer des mesures visant à éviter les récidives
E. Valider les protocoles de prise en charge thérapeutique des cas

16. La phase descriptive de l'enquête épidémiologique lors d'une TIAC permet de


A. Formuler une hypothèse sur l'agent causal
B. Décrire la répartition des signes clinques chez les cas
C. Calculer le taux d'attaque
D. Calculer le risque relatif (RR) pour chaque plat
E. Formuler une hypothèse sur le repas suspect

17. Le diagnostic de TIAC est évoqué lorsque :


A. Plus de deux personnes sont atteintes de troubles digestifs rapportés à une même origine alimentaire
B. Un seul cas de botulisme est détecté
C. Plus de de ux personnes sont atteintec. de troubles neurologiques rapportés à une même origine
alimentaire
D. Plus de deux personnes sont atteintes de troubles digestifs sans l’existence d’une même origine alimentaire
E. Les cas sont détéctés dans différentes villes et rapportés à une même origine alimentaire

18. En matière des TIAC, la pullulation microbienne peut être :


A. Due à une contamination des denrées avant le processus de préparation des repas
B. Due à une contamination des denrées pendant le processus de préparation des repas
C. La conséquence d'une faute professionnelle
D. Favorisée par un délai trop long entre préparation et consommation
E. Favorisée par une conservation de l’aliment préparé à une température de 20

19. En matière de TIAC l’intoxication est :


A. La conséquence d'une libération de toxines après lyse bactérienne dans l’intestin
B. Observée avec certaines souches de Staphylocoque aureus
C. Observée avec Clostridium botulinum
D. Due à la présence d'une toxine dans l'aliment avant sa consommation
E. Caractérisée par une durée d'incubation très courte N

20. En matière de TIAC l’infection entéro-invasive est :


A. La conséquence d'une libération de toxines dans l'aliment
B. La conséquence d'une multiplication bactérienne dans le tube digestif
C. S'accompagne souvent d'une destruction des entérocytes
D. Caractérisée par de la fièvre chez les cas
E. Caractérisée par une durée d'incubation très courte de l'ordre de 2 heures

21. La prophylaxie des TIAC est basée sur :


A. La lutte contre le réservoir de virus
B. La lutte contre la transmission
C. La vaccination du sujet réceptif
D. L’identification de l’origine de la contamination
E. La déclaration immédiate des accidents collectifs

22. En matière d’enquête epidemio autour d’une TIAC, le ou les objectifs à retenir selon vous est (sont) :
A. De médiatiser le phénomène épidémique
B. D’identifier l’agent pathogène
C. D’identifier les facteurs favorisants
D. D’éviter les récidives
E. Valider les protocoles de pec thérapeutique des cas
23. la phase descriptive de l’enquête épidémio lors d’une TIAC permet de
A. Formuler une hypothèse sur l’agent causal
B. Décrire les signes cliniques
C. Calculer le taux d’attaque
D. Calculer le risque relatif RR pour chaque plat
E. Formuler une hypothèse sur le repas suspect

24. le diagnostic de TIAC est évoqué lorsque


A. Plus de 2 personnes sont atteintes de tr digestifs rapportés à une même origine alimentaire
B. Un seul cas de botulisme est détecté
C. Plus de deux personnes sont atteintes de tr neuro rapportés à une même origine alimentaire
D. Plus de 2 personnes sont atteintes de tr digestifs sans l’existence d’une même origine alimentaire
E. Les cas sont détectés dans différentes villes et rapportés à une même origine alimentaire

25. en matière des TIAC la pullulation microbienne est


A. Uniquement due à une contamination des dentées avant le processus de préparation des repas
B. La conséquence d’une faute professionnelle
C. Favorisée par un délai trop long entre préparation et consommation
D. Favorisée par un délai trop court entre préparation et consommation
E. Favorisé par une conservation de l’aliment préparé à une température de 20°c

26. en matière des TIAC l’intoxication est


A. La conséquence d’une libération de toxines après lyse bactérienne dans l’intestin
B. Observée dans certaines souches de staphy aureus
C. Observée avec Clostridium botulinum
D. Due à la présence d’une toxine dans l’aliment avant sa consommation
E. Caractérisé par une durée d’incubation très courte

27. En matière des TIAC l’infection entéro –invasive est


A. La csq d’une libération de toxines dans l’aliment
B. La csq d’une multiplication bactérienne dans le tube digestif
C. S’accompagne souvent d’une destruction des entérocytes
D. Caractérisée par la fièvre chez les cas
E. Caractérisée par une durée d’incubation très courte

28. L’enquête epidemio autour d’une TIAC a pour objectifs:


A. De médiatiser le phénomène épidémique
B. D’identifier l’agent pathogène
C. D’identifier les facteurs favorisants
D. D’éviter les récidives
E. Valider les protocoles de pec thérapeutique des cas

29. la phase analytique de l’enquête épidémio lors d’une TIAC permet de


A. Formuler une hypothèse sur l’agent causal
B. Décrire les signes cliniques
C. Calculer le taux d’attaque
D. Calculer le risque relatif RR pour chaque plat
E. Formuler une hypothèse sur le repas suspect

30. le diag de TIAC est évoqué lorsque


A. Plus de 2 personnes sont atteintes de tr digestifs rapportés à une même origine alimentaire
B. Un seul cas de botulisme est détecté
C. Plus de deux personnes sont atteintes de tr neuro rapportés à une même origine alimentaire
D. Plus de 2 personnes sont atteintes de tr digestifs sans l’existence d’une même origine alimentaire
E. Les cas sont détectés dans différentes villes et rapportés à une même origine alimentaire

31. en matière des TIAC la pullulation microbienne est


A. Due à une contamination des denrées avant le processus de préparation des repas
B. Due à une contamination des denrées pendant le processus de préparation des repas
C. La conséquence d’une faute professionnelle
D. Favorisée par un délai trop long entre préparation et consommation
E. Favorisé par une conservation de l’aliment préparé à une température de 20°c

32. en matière des TIAC l’intoxication est


A. La conséquence d’une libération de toxines après lyse bactérienne dans l’intestin
B. Observée dans certaines souches de staphy aureus
C. Observée avec Clostridium botulinum
D. Due à la présence d’une toxine dans l’aliment avant sa consommation
E. Caractérisé par une durée d’incubation très courte

33. En matière des TIAC l’infection entéro –invasive est


A. La csq d’une libération de toxines dans l’aliment
B. La csq d’une multiplication bactérienne dans le tube digestif
C. S’accompagne souvent d’une destruction des entérocytes
D. Caractérisée par la fièvre chez les cas
E. Caractérisée par une durée d’incubation très courte de l’ordre de 2 heures

34. Les manifestations cliniques en rapport avec une toxi-infection alimentaire due aux moules sont :
A. Brutales
B. Neurologiques
C. Respiratoires
D. Digestives
E. Réversibles

35. Parmi les risques infectieux en liaison avec les viandes on retiendra :
A. Les zoonoses
B. Le botulisme
C. La toxoplasmose
D. Le kyste hydatique
E. Les salmonelloses
HYGIENE HOSPITALIERE
1. L’hygiène hospitalière a pour objectif(s) de
A. Réduire la consommation des ATB
B. Protéger les patients sur le plan éthique
C. Préserver la sensibilité des germes aux ATB
D. Faire des économies de santé
E. Promouvoir la santé

2. Les acteurs de l'hygiène hospitalière sont:


A. Le comité de lutte contre les infections nosocomiales
B. Les référents en hygiène hospitalière au niveau des services cliniques
C. Le laboratoire de microbiologie
D. Chargés de l'investigation des épidémies d'infections nosocomiales
E. Répartis en instances hospitalières et extra-hospitalières

3. L'hygiène hospitalière a pour objectif(s):


A. D'améliorer la qualité des soins
B. D'éviter le risque d'hétéro-infection
C. De protéger les patients sur le plan éthique
D. De réduire les surcouts des soins en milieu de soins
E. De protéger le personnel soignant

4. Pasteur a montré l'importance


A. De l'air dans l'infection hospitalière
B. De la stérilisation dans l'infection hospitalière
C. De la filtration dans l'infection hospitalière
D. Des instruments dans 1'infection hospitalière
E. Des vaccins dans la prévention de l'infection hospitalière

5. Les infections nosocomiales sont :


A. Un problème majeur de sante publique
B. Une réalité inacceptable sur le plan éthique
C. Source de dépenses ajoutées pour le système de santé
D. Le marqueur d'une bonne qualité des soins
E. Des infections pour lesquelles aucune prévention n'est possible à l'hôpital

6. Les acteurs de l’hygiène hospitalière sont :


A. Le comité de lutte contre les infections nosocomiales
B. Les référents en hygiène hospitalière au niveau des services cliniques
C. Le laboratoire de microbiologie
D. Uniquement chargés de l'investigation des épidémies d'infections nosocomiales
E. Réparties en instances hospitalières et extra-hospitalières

7. Parmi les facteurs favorisant la réceptivité aux infections nosocomiales


A. La mauvaise hygiène des malades
B. L’antibiothérapie prolongée
C. Multiplication des gestes invasifs a visée diagnostic et thérapeutique
D. Le sexe des patients
E. L’Age des patients

8. les acteurs de l’hygiène hospitalière sont


A. Le comité de lutte contre les infections nosocomiales
B. Le référent en hygiène hospitalière au niveau des services cliniques
C. Le labo de microbiologie
D. Uniquement chargés de l’investigation des épidémies d’infections nosocomiales
E. Le labo de biochimie
INFECTIONS NOSOCOMIALES :
1. Parmi les mesures de prévention des infections nosocomiales ou « IAS» on retiendra
A. Le respect des précautions « standard »
B. L'isolement des malades infectés, potentiellement contagieux
C. La désinfection et/ou la stérilisation adéquate du matériel de soins
D. La formation du personnel hospitalier en matière d'hygiène
E. La maitrise de l'environnement du patient

2. Dans le cadre de l'infection puerpérale, Ingaz philipp SEMMELWEISS a montré le rôle de:
A. L'air dans la diffusion de 1'infection (IAS)
B. La stérilisation dans la prévention des IAS
C. L'antibiothérapie dans la prévention des IAS
D. L'antisepsie des mains dans la prévention des IAS
E. La taille de l'établissement de soins dans 1'infection

3. Pasteur a montré l'importance de la:


A. Désinfection dans l'infection nosocomiale
B. Stérilisation dans l'infection hospitalière
C. Filtration dans l'infection hospitalière
D. Taille de l'établissement dans l'infection nosocomiale
E. Vaccination du personnel dans la prévention de l'infection hospitalière

4. L'apparition des antibiotiques a


A. Supprimé les IAS
B. Fait disparaitre les septicémies à streptocoque
C. Fait négliger les précautions d'asepsie
D. Modifié les LAS
E. Démontré le rôle important des souches multi-résistantes dans les LAS

5. Les facteurs favorisants les infections nosocomiales sont:


A. Les conditions d'hygiène défectueuse
B. La virulence des agents pathogènes
C. L'altération des moyens de défense
D. La sévérité de la pathologie sous-jacente
E. L'âge et le sexe du patient

6. Les bactéries multi-résistantes (BMR) incluent les


A. Staphylocoques aureus résistants à la méticilline
B. Entérobactéries productrices de céphalosporinases
C. Entérobactéries productitres de Blactamases
D. Entérocoques résistants aux glucopeptides
E. Acinetobacters baumani résistant à la ceftazidime

7. Les infections nosocomiales sont


A. Un problème majeur de santé publique
B. Une réalité inacceptable sur le plan éthique
C. Source de dépenses ajoutées pour le système de santé
D. Le marqueur d'une bonne qualité des soins
E. Des infections pour lesquelles des mesures de prévention sont réalisables à l'hôpital

8. Les infections nosocomiales


A. Sont des infections acquises à 'hôpital
B. Sont favorisées par l'absence de procédures écrites et par la tradition orale
C. Sont favorisées par le déficit immunitaire chez le patient
D. Peuvent être évitées par la rédaction de procédures de soins écrites et leur application stricte
E. Peuvent être contractées par le personnel soignant durant son activité

9. Parmi les facteurs favorisant la réceptivité aux infections nosocomiales on cite:


A. La mauvaise hygiène des malades
B. L'antibiothérapie prolongée
C. Multiplication des gestes invasifs à visée diagnostique et thérapeutique
D. Le sexe des patients
E. L'age des patients

10. Parmi les précautions dites « standards » en matière de lutte contre les infections nosocomiales nous
retiendrons:
A. Le lavage des mains
B. L'usage de conteneur rigide pour stocker les aiguilles usagées après injection
C. Le port de gants et de blouses
D. Le transport sécurisé des prélèvements sanguins

11. La transmission des infections nosocomiales est favorisée par:


A. L'âge avancé des patients
B. Les interventions chirurgicales prolongées
C. Le sexe féminin
D. Le défaut d'hygiène et d'asepsie
E. L'oralité des pratiques de soins

12. Parmi les mesures de prévention des infections nosocomiales ou « IAS » on retiendra:
A. Le respect des précautions « standard »
B. L'isolement des malades infectés, potentiellement contagieux
C. La désinfection et/ou la stérilisation adéquate du matériel de soins
D. La formation du personnel hospitalier en matière d'hygiène
E. La maitrise de l'environnement du patient

13. Les infections nosocomiales :


A. Sont des infections acquises à l’hôpital
B. Sont favorisées par l'absence de procédures écrites et par la tradition orale
C. Sont favorisées par le déficit immunitaire chez le patient
D. Peuvent être évitée par la rédaction de procédures écrites et leur stricte application
E. Peuvent être contractées par le personnel soignant durant son activité

14. Parmi les facteurs favorisant la récéptivité aux infections nosocomiales on cite :
A. La mauvaise hygiène des malades
B. L’antibiothérapie prolongée
C. Multiplication des gestes invasifs à visée diagnostique et thérapeutique
D. Le sexe des patients
E. L’âge des patients

15. Dans l’épidémiologie des maladies transmissibles, les facteurs favorisants :


A. Modulent le faciès épidémiologique de la maladie
B. Sont recherchés lors des enquêtes épidémiologiques
C. Sont importants pour les maladies à transmission directe
D. Sont de nature intrinsèque exclusivement
E. Sont la cible des mesures de prophylaxie non spécifique
16. Les facteurs favorisants intrinsèques physiologiques sont :
A. L’âge
B. La malnutrition
C. La grossesse
D. Le sexe
E. Les tares associées

17. Les facteurs favorisants agissant sur la transmission des maladies infectieuses sont :
A. La profession
B. L’entassement
C. Les facteurs météorologiques
D. Les déplacements
E. Les mœurs

18. Les facteurs favorisants agissant sur la réceptivité sont :


A. L’âge
B. Le sexe
C. L’état immunitaire
D. La rupture de la barrière
E. Les portages de germes

19. les infections nosocomiales sont


A. Un problème majeur de santé publique
B. Une réalité inacceptable sur le plan éthique
C. Sources de dépenses ajoutées pour le système de santé
D. Le marqueur de la bonne qualité de soins
E. Des infections pour lesquelles aucune prévention n’est possible à l’hôpital

20. les infections nosocomiales


A. Sont des infections acquises à l’hôpital
B. Sont favorisées par l’absence de procédures écrites et par la tradition orale
C. Sont favorisées par le déficit immunitaire chez le patient
D. Sont la rançon des progrès technologiques en matière de soins
E. Peuvent être contractées par le personnel soignant durant son activité

21. les infections nosocomiales sont


A. Un problème majeur de santé publique
B. Une réalité inacceptable sur le plan éthique
C. Sources de dépenses ajoutées pour le système de santé
D. Le marqueur de la bonne qualité de soins
E. Des infections pour lesquelles aucune prévention n’est possible à l’hôpital

22. les infections nosocomiales


A. Sont des infections acquises à l’hôpital
B. Sont favorisées par l’absence de procédures écrites et par la tradition orale
C. Sont favorisées par le déficit immunitaire chez le patient
D. Peuvent être évités par la rédaction de procédures écrites et leu stricte application
E. Peuvent être contractées par le personnel soignant durant son activité

23. Parmi les facteurs favorisant la réceptivité aux infections nosocomiales


A. La mauvaise hygiène des malades
B. L’antibiothérapie prolongée
C. Multiplication des gestes invasifs à visée diag et thérapeutique
D. Le sexe des patients
E. L’Age des patients

24. La notion de terrain susceptible :


A. Résulte de l’intrication de facteurs favorisants intrinsèques
B. Définit les personnes prioritaires de la prophylaxie
C. Comprend le nouveau-né malnutri
D. Comprend le vieillard
E. Comprend la femme enceinte
DASRI :

1. L’élimination des déchets d’activité de soins à risque infectieux (DASRI) fait appel :
A. A Un triage préalable
B. La fermentation contrôlée
C. La décharge publique
D. L'incinération
E. Des entreprises spécialisées

2. Les déchets d'activité de soins à risque infectieux (DASRI) regroupent:


A. Les déchets anatomiques du bloc opératoire
B. Les emballages des médicaments
C. Les cultures bactériennes et virales des laboratoires de microbiologie
D. Les instruments de soins piquants et tranchants utilisés chez les patients
E. Les déchets l'activité hôtelière de l'hôpital

3. Les déchets d'activité de soins à risque infectieux (DASR), regroupent:


A. Les déchets mous contaminés
B. Les piquant
C. Les déchets issus de l'activité d'hôtellerie
D. Les tranchants
E. Les déchets anatomiques

4. Les déchets d'activité de soins à risque infectieux (DASRI) regroupent:


A. Les déchets anatomiques du bloc opératoire
B. Les emballages des médicaments
C. Les cultures bactériennes et virales des laboratoires de microbiologiev
D. Les instruments de soins piquants et tranchants utilisés chez les patients
E. Les déchets l'activité hôtelière de I'hôpital

5. Parmi les procédés d’élimination des déchets solides :


A. Le triage préalable
B. La décharge brute
C. L’incinération
D. Le compostage
E. Le rejet à la mer

6. les déchets d’activité de soins à risque infectieux regroupent


A. Les déchets anatomiques du bloc op
B. Les emballages des médicaments
C. Les cultures bactériennes et virales
D. Les instruments de soins piquants et tranchants utilisés chez les patients
E. Les déchets de l’activité hôtelière de l’hôpital

7. les déchets d’activité de soins à risque infectieux regroupent


A. Les déchets anatomiques du bloc op
B. Les emballages des médicaments
C. Les cultures bactériennes et virales
D. Les instruments de soins piquants et tranchants utilisés chez les patients
E. Les déchets de l’activité hôtelière de l’hôpital
8. L’élimination des déchets hospitaliers fait appel à :
A. Un triage préalable
B. La fermentation con…..
C. La décharge publique
D. L’incinération
E. Des entreprises spécialisées
ACCIDENT D’EXPOSITION AU SANG

1. En cas d’accident d’exposition au sang par projection directe du sang sur une muqueuse il faut :
A. Arrêter l'activité en cours
B. Nettoyer immédiatement la zone lésée à l'eau et au savon
C. Désinfecter à l'eau de javel à 12° de chlore de la zone concernée
D. Consulter rapidement un médecin référent
E. Mettre l'accidenté immédiatement sous chimiothérapie antirétrovirale

2. Le risque de contamnation par du sang infecte en cas d' AES est de :


A. 30% en cas d'infection par le VIH
B. B 3% en cas d'infection par le VHC
C. 0,3% en cas d'infection par le VHB
D. 0,03% en cas d'infection par le VIH, si projection cutanéo-muqueuse sur peau saine
E. 3% en cas d'infection par le VIH

3. En cas d'accident d'exposition au sang par piqûre avec une aiguille creuse il faut
A. Arrêter l'activité en cours
B. Nettoyer immédiatement la zone cutanée léésée à l'eau et au savon
C. Rincer abondamment cette zone à l'eau après 'avoir nettoyée
D. Déclarer l'accident
E. Désinfecter avec l'alcool à 70° avec un temps de contact d'au moins 5 min

4. En cas d'accident d'exposition au sang par projection sur la conjonctive oculaire, il faut
19. Arrêter l'activité en cours
20. Nettoyer immédiatement la zone par un savon détergeant
21. Rincer abondamment cette zone au sérum physiologique
22. Déclarer 'accident le plus rapidement possible
23. Désinfecter avec l'alcool à 70° avec un temps de contact d'au moins 5 min

5. En cas d'accident d'exposition au sang par piqure, blessure ou contact direct avec un liquide biologique sur une
peau lésée, il faut:
A. Arrêter l'activité en cours
B. Nettoyer immédiatement la zone lésée à l'eau et au savon
C. Désinfecter à l'eau de javel à 12° de chlore la zone cutanée concernée
D. Désinfecter au dakin stabilisée la zone cutanée concernée
E. Désinfecter avec l'alcool à 100% avec un temps de contact d'au moins 5 min

6. Un accident d'exposition au sang est défini sur:


A. Le mécanisme de 1 accident
B. La profondeur de la blessure
C. La nature du liquide biologique
D. Le statut vaccinal de l'accidenté

7. L'évaluation de la blessure en cas d'AES prend en considération :


A. Le type de blessure
B. La profondeur de la blessure
C. La nature du produit biologique
D. Le type de matériel ayant causé l'accident
E. La mesure de l'incidence de l'infection dans la population

8. Lors d’un accident d’exposition au sang la contamination peut se faire par :


A. Des agents viraux
B. Des agents Bactériens
C. Des agents Parasitaires
D. Des agents Fungiquues
E. Aucun des agents susmentionnés

9. Les facteurs déterminants la contamination suite à un AES chez le personnel soignant sont :
A. Le non respect des précautions « standards »
B. La prévalence de l'infection parmi la population
C. Le taux de transmission après exposition
D. La fréquence de l'exposition
E. La gravité de l'infection chez le patient source

10. Le risque de contamination après une piqure contenant du sang contaminé est estimé :
A. 15% pour le VHC
B. 30% pour le VHB
C. 0,3% pour le VIH
D. 30% pour le VIH
E. 3% pour le VHC

11. En cas d’accident d’exposition au sang par piqure avec une aiguille creuse il faut :
A. Arrêter l’activité en cours
B. Nettoyer immédiatement la cone cutanée lésée à l’eau et au savon
C. Rincer abondamment cette zone à l’eau après l’avoir nettoyée
D. Déclarer l’accident
E. Désinfecteur avec l’alcool à 70º avec un temps de contact d’au moins 5 minutes

12. En cas d’accident d’exposition au sang par projection sur la conjonctive oculaire il faut :
A. Arrêter l’activité en cours
B. Nettoyer immédiatement la zone par un savon détergeant
C. Rincer abondamment cette zone au sérum physiologique
D. Déclarer l’accident le plus rapidement possible
E. Désinfecter avec l’alcool à 70º avec un temps de contact d’au moins 5 minutes

13. Parmi les précautions dites standards


A. Le lavage des mains
B. Le recapuchonnage des aiguilles après injection
C. Le port des gants
D. Le port des blouses
E. Le nettoyage des surfaces souillées par du sang

14. Lors d’un accident d’exposition au sang, il peut y avoir contamination par des agents
A. Viraux
B. Bactériens
C. Parasitaires
D. Fungiques
E. Chimiques

15. les facteurs déterminants la contamination suite à un AES chez le personnel soignant sont
A. Le non-respect des précautions standards
B. La prévalence de l’infection parmi la population
C. Le taux de transmission après exposition
D. La fréquence de l’exposition
E. La gravité de l’infection chez le patient source
16. le risque de contamination après une piqure contenant du sang contaminé est
A. 15% VHC
B. 30% VHB
C. 0.3% VIH
D. 30% VIH
E. 3% VHC

17. En cas d’accident d’exposition au sang par piqure ou blessure il faut


A. Arrêter l’activité en cours
B. Nettoyer immédiatement la zone cutanée lésée à l’eau et au savon
C. Rincer abondamment cette zone à l’eau après l’avoir nettoyée
D. Eviter de déclarer l’accident
E. Désinfecter avec l’alcool à 70°avec un temps de contact d’au moins 5 min

18. En cas d’AES par projection sur la conjonctive oculaire, il faut


A. Arrêter l’activité en cours
B. Nettoyer immédiatement par savon détergent
C. Rincer abondamment avec sérum physio
D. Déclarer l’accident rapidement
E. Désinfecter avec l’alcool à 70°avec un temps de contact d’au moins 5 min

19. Lors d’un accident d’exposition au sang, il peut y avoir contamination par des agents
A. Viraux
B. Bactériens
C. Parasitaires
D. Fungiques
E. Aucun des susmentionnés

20. les fact déterminants la contamination suite à un AES chez le personnel soignant sont
A. Le non-respect des précautions standards
B. La prévalence de l’infection parmi la population
C. Le taux de transmission après exposition
D. La fréquence de l’exposition
E. La gravité de l’infection chez le patient source

21. le risque de contamination après une piqure contenant du sang contaminé est
A. 15% VHC
B. 10% VHB
C. 0.3% VIH
D. + important en cas de piqure par aiguille creuse qu’en cas de piqure par aiguille pleine
E. 3% VHC

22. En cas d’accident d’exposition au sang par piqure ou blessure il faut


A. Arrêter l’activité en cours
B. Nettoyer immédiatement la zone cutanée lésée à l’eau et au savon
C. Rincer abondamment cette zone à l’eau après l’avoir nettoyée
D. Déclarer l’accident
E. Désinfecter avec l’alcool à 70°avec un temps de contact d’au moins 5 min
23. En cas d’AES par projection sur la conjonctive oculaire, il faut
A. Arrêter l’activité en cours
B. Nettoyer immédiatement par savon détergent
C. Rincer abondamment avec sérum physio
D. Déclarer l’accident rapidement
E. Désinfecter avec l’alcool à 70°avec un temps de contact d’au moins 5 min
ISOLEMENT PROTECTEUR :

1. En matière d'isolement protecteur, il faut:


A. Isoler géographiquement le malade
B. Isoler techniquement le malade
C. Appliquer toujours le traitement de l'air
D. Hospitaliser le malade en chambre en suppression
E. Hospitaliser le malade en chambre en dépression

2. La ou les mesure(s) qui ne fait (font) pas partie des précautions « standard » sont:
A. La désadaptation des aiguilles à la main
B. La destruction des DASRI
C. Le port de gants
D. Le nettoyage des surfaces souillées
E. La vaccination du personnel

3. En matière d'isolement septique, il faut:


A. Isoler géographiquement le malade
B. Isoler techniquement le malade
C. Appliquer toujours le traitement de l'air
D. Hospitaliser le malade en chambre en surpression
E. Hospitaliser le malade en chambre en dépression
F. Déboucher sur une action

4. La ou les mesure(s) qui fait (font) partie des précautions « standard » sont :
A. La désadaptation des aiguilles à la main
B. La destruction des DASRI
C. Le port des gants
D. Le nettoyage des surfaces souillées
E. La vaccination du personnel

5. L’isolement septique en milieu hospitalier :


A. Est indiqué en cas d’affections avec neutropénie sévère
B. Nécessite le renforcement des précautions lors de l’élimination des déchets
C. Nécessite un respect strict des précautions standards
D. Vise à éviter la diffusion de germes
E. Fait appel à des précautions spécifiques selon la nature du germe et son mode de transmission

6. L’isolement protecteur en milieu hospitalier :


A. Est indiqué en cas de patient atteint de tuberculose multirésistante
B. Nécessite le renforcement des précautions lors de l’élimination des déchets
C. Nécessite une organisation architecturale des chambres d’hospitalisation
D. Nécessite un traitement de l’air des chambres d’hospitalisation
E. Nécessite la restriction de l’accès à la chambre du malade aux seules personnes autorisés

7. l’isolement septique en milieu hospitalier


A. Est indiqué en cas d’affections avec neutropénie sévère
B. Nécessite le renforcement des précautions lors de l’élimination des déchets
C. Nécessite un respect strict des précautions standard
D. Permet d’éviter la diffusion des germes
E. Fait appel à des précautions spécifiques selon la nature du germe et son mode de transmission
8. l’isolement protecteur en milieu hospitalier
A. Est indiqué en cas de patient atteint de tuberculose multi résistante
B. Nécessite le renforcement des précautions lors de l’élimination des déchets
C. Nécessite une organisation architecturale des chambres d’hospitalisation
D. Nécessite un traitement de l’air des chambres d’hospitalisation
E. Nécessite la stérilisation de l’alimentation

9. Parmi les précautions dites standards


A. Le lavage des mains
B. Le recapuchonnage des aiguilles après injection
C. Le port des gants
D. Le port des blouses
E. Le nettoyage des surfaces souillées par du sang
LAVAGE ET DESINFECTION DES MAINS A L’HOPITAL :

1. Le lavage chirurgical des mains a pour but de :


A. Réduire les salissures
B. Réduire la flore transitoire
C. Réduire la flore résidente
D. D'éviter les infections croisées
E. Protéger les opérés

2. Le lavage « chirurgical » des mains:


A. Se pratique avec un savon simple
B. Nécessite un temps de contact minimum de 5 minutes
C. Vise à éliminer la flore de transition et réduire la flore résidente
D. Doit se pratiquer avant chaque prise de service
E. Peut se faire avec une solution hydro-alcoolique

3. Le lavage « simple » des mains est indiqué:


A. Avant la prise de service
B. Pour réduire la flore transitoire
C. Avant le repas et après chaque geste de la vie quotidienne
D. Avant la pose d'un cathéte
E. Avant et après chaque examen médical

4. Le lavage simple des mains a pour but de:


A. Réduire les salissures
B. Réduire la flore transitoire
C. Réduire la flore résidente
D. D'éviter les infections croisées
E. Protéger les soignants

5. Les désinfectants de niveau d'activité élevé sont représentés par:


A. Les Amoniums quaternaires
B. Les Hypochlorites
C. Le Glutaraldehyde
D. Les Chloramines
E. Le Formaldéhyde

6. Parmi les méthodes physiques de la désinfection il y a:


A. La chloration
B. L'ébullition
C. L'autoclavage
D. La filtration
E. L'alkylation

7. Dans le cadre de l'infection puerpérale, Ingazphilipp SEMMELWEIS a montré le rôle : ??


A. De l'air dans 1'infection
B. Des instruments de chirurgie dans l'infection
C. De l'antibiothérapie dans l'infection
D. De l'antisepsie des mains dans l'infection
E. De la taille de l’établissement de soins dans l'infection

8. Le lavage chirurgical des mains


A. Se pratique avec un savon simple
B. Nécessite un temps de contact minimum de 5 minutes
C. Vise à éliminer la flore de transition et réduire la flore résidente
D. Doit se pratiquer avant chaque prise de service
E. Peut se faire avec une solution hydro-alcoolique

9. Le lavage simple des mains est indiqué :


A. Avant la prise de service
B. Pour réduire la flore transitoire
C. Avant le repas et après chaque geste de la vie quotidienne
D. Avant la pose d'un cathéter
E. Avant et après chaque examen médical

10. Parmi les précautions dites standard nous retiendrons :


A. Le lavage des mains
B. L'usage de container rigide pour stocker les aiguilles usagées après injection
C. Le port de gants et de blouses
D. Le transport sécurisé des prélèvements sanguins
E. Le nettoyage des surfaces souillées par du sang

11. le lavage chirurgical des mains


A. Se pratique avec un savon simple
B. Nécessite un tps de contact min de 5 minutes
C. Vise à éliminer la flore de transition et réduire la flore résident
D. Doit se pratiquer avant chaque prise de service
E. Peut se faire avec une solution hydro alcoolique

12. le lavage simple des mains est indiqué


A. Avant la prise de service
B. Pour réduire la flore transitoire
C. Avant le repas et après chaque geste de la vie quotidienne
D. Avant la pose d’un cathéter
E. Avant et après chaque examen médical
UTILISATION DES ATB :
1. En antibioprophylaxie chirurgicale l'antibiotique doit
A. Etre administré au début de l'intervention
B. Etre administré à une dose différente qu'en antibiothérapie curative
C. Etre poursuivit au-delà de 48 heures après l'intervention
D. Avoir une demi-vie égale à la durée de 1'intervention
E. Etre choisi généralement parmi les C2G

2. A l'hôpital le comité du médicament est chargé de


A. Elaborer la liste des antibiotiques admis à l'hôpital
B. Etablir la liste des antibiotiques soumis à un contrôle
C. Examiner les informations concernant la fréquence des germes résistants
D. Diffuser les informations sur la consommation d'antibiotiques à l'hôpital
E. Participer à l'établissement de protocoles d'antibiothérapie curative et prophylactique
F. Le nettoyage des surfaces souillées par du sang

3. En antibioprophylaxie chirurgicale l'antibiotique doit:


A. Etre administré la veille de 1'intervention
B. Etre administré à une dose différente qu'en antibiothérapie curative
C. Etre poursuivit au-delà de 48 heures après l'intervention
D. Avoir une demi-vie égale à la durée de l'intervention
E. Etre choisi généralement parmi les C3G

4. A l'hopital le comité du médicament est chargé de :


A. Elaborer la liste des antibiotiques admis à l'hôpital
B. Etablir la liste des antibiotiques soumis à un contrôle
C. Examiner les informations concernant la fréquenće des germes résistants
D. Diffuser les informations sur la consommation d'antibiotiques à 'hôpital
E. Participer à l'établissement de protocoles d'antibiothérapie curative et prophylactique

5. Dans un souci d'optimisation de l'usage des antibiotiques à l'hôpital toute prescription d'antibiotiques doit être :
A. Signée lisiblement
B. Datée
C. Nominative
D. Limitée dans le temps
E. Documentée par des résultats d'analyses bactériologiques

6. à l’hôpital le comité du médicament est chargé de


A. Elaborer la liste des antibiotiques admis à l’hôpital
B. Etablir la liste des antibiotiques soumis à un contrôle
C. Examiner les infos concernant la fréquence des germes résistants
D. Diffuser les infos sur la consommation d’antibio à l’hôpital
E. Participer à l’établissement de protocoles d’antibiothérapie curative et prophylactique

7. Dans un souci d’optimiser l’usage des antibio à l’hôpital toute prescription d’antibio doit être
A. Signée lisiblement
B. Datée
C. Nominative
D. Limitée ds le temps
E. Documentée par des résultats d’analyse bactério
STERILISATION
1. Parmi les facteurs qui conditionnent une bonne stérilisation nous retiendrons:
A. Le pré-traitement
B. Le nettoyage
C. Le conditionnement
D. Les contrôles de la stérilisation
E. Le stockage
PARTIE MRABET :

HISTORIQUE EPIDEMIO : (jpensais ct impasse HHH)

1. La médecine de collectivité a comme objectif(s) de :


A. Protéger les sujets sains
B. Réduire la morbidité
C. Guérir les malades
D. Rentabiliser mieux les ressources financières

2. L'épidémiologie est une science appliquée à


A. L'étude des maladies infectieuses
B. L'étude des phénomènes épidémiques
C. L'étude des maladies non transmissibles
D. L'étude de l'environnement
E. L'évaluation des techniques de soins

3. L'épidémiologie se définit comme l'étude:


A. De la biodisponibilité du médicament dans 'organisme
B. De la distribution du problème de santé
C. Des indicateurs démographiques dans les populations
D. Des déterminants des problèmes de santé
E. Des populations touchées par le problème de santéé
INTRODUCTION A LEPIDEMIO :
1. L'épidémiologie est un raisonnement et une méthode appliquée:
A. A la description de la maladie
B. A l'explication de son étiologie
C. Au traitement du sujet atteint
D. A l'étude de la distribution des phénomènes de santé
E. A l'évaluation des techniques de soins

2. L'épidémiologie est un raisonnement et une méthode appliquée:


A. A la description de la maladie
B. A l'explication de son étiologie
C. Au traitement du sujet atteint
D. A l'étude de la distribution des phénomènes de santé
E. A l'évaluation des techniques de soins

3. L’épidémiologie est un raisonnement et une méthode appliquée :


A. A la description de la maladie
B. A l’explication de son étiologie
C. Au traitement du sujet atteint
D. A l’étude de l’évolution du phénomène morbide chez le malade
E. A l’évaluation des techniques de soins

4. l’épidémiologie est un raisonnement et une méthode appliquée


A. L’étude des maladies infectieuses
B. L’étude des maladies non transmissibles
C. L’étude des causes des maladies
D. L’étude de la distribution des phénomènes de santé
E. L’évaluation des politiques sanitaires
LES MESURES EN EPIDEMIO :

1. L'incidence d'une maladie est définit par


A. La fréquence des cas de décès liées à cette maladie
B. Le nombre de nouveau cas d'une maladie
C. Le nombre de nouveau cas d'une maladie survenue dans une population à risque durant un intervalle de
temps donné.
D. La fréquence des cas existant d'une maladie dans une population donnée à un moment donné
E. Le rapport d'exposition chez les cas et chez les témoins

2. La prévalence d'une maladie est définie par:


A. La fréquence des cas de décès liée à cette maladie
B. Le nombre de nouveau cas d'une maladie
C. Le nombre de nouveau cas d'une maladie survenue dans une population à risque durant un intervalle de
temps donné l'une maladie dans une population donnée à un
D. La fréquence de cas existant moment donné
E. Aucune réponse juste

3. Parmi les fonctions de l’épidémiologie il y a :


A. La surveillance épidémiologique
B. La mesure de l’importance des problèmes de santé
C. L’identification des groupes à risque élevé (GARE)
D. La recherche étiologique
E. L’évaluation de la santé

4. La mesure de l’importance d’un problème de santé se fait à travers :


A. Sa fréquence
B. Sa gravité clinique
C. Sa gravité économique
D. Sa gravité sociale
E. L’efficacité des moyens préventifs ou thérapeutiques disponibles

5. Un facteur de risque :
A. Est une notion statistique
B. N’a pas toujours un rôle causal
C. Permet de définir les groupes à risques
D. Peut être en rapport avec une caractéristique socio-économique
E. Peut être en rapport avec l’état matrimonial

6. Un groupe à risque élevé (GARE) est un groupe :


A. Ayant une probabilité élevée de survenue d’une maladie
B. Dont la vulnérabilité physiologique est accrue (vulnérabilité endogène)
C. Exposé à des facteurs de risque
D. Prioritaire en matière de prévention
E. A rechercher lors des enquêtes épidémiologiques

7. Pour le repérage des groupes à risque élevé on :


A. Etudie l’incidence de la maladie
B. Etudie la prévalence de la maladie
C. Etudie la morbidité de la maladie
D. Compare les risques relatifs parmi les différents groupes étudiés
E. Compare les risques attribuables parmi les différents groupes étudiés
8. l’épidémiologie est un raisonnement et une méthode appliquée
A. A la description de la maladie
B. A l’explication de son étiologie
C. Au tt du sujet atteint
D. A l’étude de la distribution des phénomènes de santé
E. A l’évaluation des techniques de santé

9. l’épidémiologie descriptive a pour but de


A. Apprécier l’importance du problème de santé
B. Décrire la maladie
C. Etudier la distribution du phénomène de santé
D. Etudier le facteur causal
E. Etudier l’impact d’un facteur causal

10. L’épidémiologie analytique a pour but


A. Etudier la cause de la maladie
B. Déterminer un facteur de risque
C. Etudier l’impact d’un facteur de risque
D. Décrire la maladie
E. Traiter le sujet atteint

11. l’épidémiologie évaluative a pour objectifs d’opérer des choix parmi


A. Plusieurs actions thérapeutiques
B. Plusieurs programmes de santé
C. Les soins optimaux
D. Les schémas d’étude

Exercice 1 : On s'intéresse à l'infarctus du myocarde dans la population marocaine, pour lequel on s'est fixé 4
objectifs
1- Connaitre la fréquence dans cette population
2- Savoir quels sont les facteurs de risque
3- Estimer combien de cas d'infarctus du myocarde seraient évités si les facteurs étaient supprimés
4- Etudier l'efficacité sur la mortalité après infarctus du myocarde d'un nouveau traitement thrombolytique

1. Parmi ces schémas d'étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au premier
objectif:
A. Etude expérimentale
B. Etude d'observation
C. Etude de cohorte prospective
D. Etude cas-témoins
E. Mesure de prévalence

2. Parmi ces schémas d'étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au deuxième
objectif:
A. Etude expérimentale
B. Mesure du risque relatif
C. Etude de cohorte prospective
D. Etude cas-témoins
E. Mesure de mortalité

3. Parmi ces schémas d'étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au troisième
objectif:
A. Etude de cohorte prospective
B. Etude cas-témoins
C. Nombre de cas attribuables
D. Etude expérimentale
E. Etude d'incidence

4. Parmi ces schémas d'étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser répondre au quatrième objectif
A. Etude expérimentale
B. Etude de cohorte prospective
C. Etude d'observation
D. Etude cas- témoins
E. Etude transversale

5. Les études cas-témoins reposent sur le (s) principe (s) suivant (s) :
A. La sélection des sujets selon le statut, cas/témoins
B. La sélection des sujets selon le statut, exposés/non exposé
C. La comparaison des 2 groupes selon leur exposition antérieure
D. La comparaison des 2 groupes selon l‘évènement futur
E. Le calcul de l'incidence de la maladie parmi les sujets étudiés

Exercice 2:
On a étudié 18 sujets atteints d'une pathologie pancréatique qui prédispose à la survenue d'un diabète
Les résultats sont présentés sur la figure 1 suivante
DC: indique le décès à cotte date
M: indique le diagnostic de diabète à cette date
Si aucune information n'est précis6e à la fin du suivi du sujet considéré, ce sujet est considéré comme perdu de
vue.

Figure 1:Survenue du cancer chez 18 sujets atteints d'une pathologie du pancréas prédisposant au diabète Etude
de cohorte, 1990-1992

1. Quel est le taux annuel de mortalité dans cette population de 1991 à 1992
A. 3 cas ?
B. 16.9 cas pour 1000 personne-mois ?
C. 202 cas pour 1000 personne-années ?
D. 472 cas pour 1000 personne-années ?
E. 202 cas pour 1000?

2. Combien y a-t-il de M prévalent en 1991 ?


A. O
B. 4
C. 5
D. 9
E. 28 %

3. Quel est le taux d'incidence de M en 1991 ?


A. 4 cas
B. 5 cas
C. 16.9 cas pour 1000 personne-mois
D. 39,3 cas pour 100 personne-années
E. 202 cas pour 1000 personne-années

Exercice 3 :
Les résultats concernant tous les cas de retard de croissance chez l'enfant estimés en 1980 et 2000 dans les pays
en développement sont présentés dans le tableau suivant
Tableau 1 : Fréquence du retard de croissance chez l'enfant d'âge préscolaire, dans les pays en développement par
région et sous-région (classification des Nations Unies), en 1980 et 200

4. Concernant les effectifs, s'agit-il de


F. Prévalence absolue?
G. Prévalence ?
H. Nombre de cas incidents ?
I. Nombre de décès ?
J. Létalité ?

5. Concernant la fréquence, s'agit-il de:


A. Prévalence absolue?
B. Prévalence ?
C. Nombre de cas incidents ?
D. Nombre de décès ?
E. Létalité ?
LES DIFFERENTES ETUDES EN EPIDEMIO :
1. Parmi les schémas d'études suivants quels sont ceux qui font partie des études analytiques observationnelle
A. Etude de prévalence
B. Etude de cohorte
C. Etude cas-témoins
D. Les séries de cas
E. Les études corrélationnelles

2. Une enquête de cohorte


A. Offre la possibilité d'étudier plusieurs facteurs de risque d'une maladie
B. Convient pour l'étude des maladies fréquentes
C. Permet l'étude des maladies rares
D. Offre la possibilité de calculer des taux d'incidence de maladies
E. Se base sur la constitution de deux groupes malades et non malades

3. L'épidémiologie est un raisonnement et une méthode appliquée:


A. A la description de la maladie
B. A l'explication de son étiologie
C. A la surveillance épidémiologique
D. A l'identification des groupes à risque élevé
E. A l’évaluation des techniques de soins

4. L'épidémiologie descriptive a pour but de


A. Apprécier l'importance du problème de santé
B. Décrire la maladie
C. Etudier la distribution du phénomène de sante
D. Etudier les facteurs associés à la maladie faire
E. Etudier l'impact d'une action de santé

5. L'épidémiologie analytique a pour but de:


A. Etudier la cause de la maladie
B. Déterminer les facteurs de risque des maladies
C. Etudier l'impact d'une action dans le domaine de santé
D. Décrire la maladie
E. Traiter le sujet atteint

6. L'épidémiologie évaluative a pour objectifs


A. Evaluer les résultats d'actions en santé publique
B. Evaluer les résultats d'essais de médicaments
C. Evaluer les résultats d'essais de vaccins
D. Evaluer le poids d'un facteur de risque
E. De faire des choix en matière de programme de santé

7. La classification des études épidémiologiques prend en considération les critères suivants


A. Le mode d'échantillonnage
B. La procédure de l'étude
C. La chronologie de recueil des informations
D. La chronologie de l'étude
E. La finalité de l'étude

8. Dans les études épidémiologiques dites observationnelles


A. L'exposition est choisie par l'observateur
B. L'exposition est choisie par le sujet observé
C. L'équipe réalise la recherche observe sans intervenir
D. L'équipe réalise la recherche intervient sans observer
E. L'observateur n'intervient pas dans le choix de la population étudiée

9. Dans les études épidémiologiques expérimentales:


A. L'exposition est choisie par l'observateur
B. L'exposition est choisie par le sujet observéé
C. L'équipe qui réalise la recherche intervient et observe
D. L'équipe qui réalise la recherche assure le suivi et la comparaison pour l'évènement étudié
E. L'observateur n'intervient dans le choix de la population étudiée

10. En épidémiologie les enquêtes observationnelles transversales, ont des objectifs d'application:
A. Essentiellement descriptif
B. Parfois descriptif
C. Parfois étiologique
D. Essentiellement étiologique
E. Dans le domaine des pathologies chroniques et récurrentes

11. Les études épidémiologiques transversales ont pour intérêt (s):


A. D'être facile à mettre en euvre
B. D'estimer l'incidence
C. De constituer un préambule pour d'autres études
D. De répondre rapidement à une question de recherche
E. De générer des hypothèses étiologiques

12. Les études transversales ont pour limites


A. D'estimer la prévalence
B. D'estimer les cas présents au moment de l'enquête
C. D'étudier la chronologie entre l'exposition et l'événement
D. De favoriser des biais de sélection
E. D'interpréter difficilement les liens de causalité

13. Les études observationnelles analytiques permettent


A. La surveillance épidémiologique
B. La mesure de l'importance des problèmes de santé
C. La recherche étiologique
D. L'identification des groupes à risque élevé (GARE)
E. L'évaluation de la santé

14. Les études observationnelles analytiques:


A. S'intéressent aux déterminants de la santé
B. Visent à comparer les fréquences des maladies dans différents groupes
C. Font appel à l'observation
D. Font appel à l'expérimentation
E. Sont considérées comme le volet qualitatif de l'épidémiologie

15. L'étude de cohorte prospective analytique et observationnelle:


A. Est considérée comme le schéma idéal pour étudier un facteur de risque
B. Consiste à suivre les sujets de l'étude de façon prospective
C. Consiste à suivre des sujets exposés au facteur étudié et sujets non exposés au facteur étudie
D. Consiste à recruter des sujets déjà atteint de la maladie' en rapport avec le facteur étudié
E. Consiste à comparer la fréquence de l'exposition entre exposés et non exposés
16. ldéalement les études de cohortes prospectives analytiques et observationnelles sont applicables:
A. Quand l'exposition est rare
B. Quand l'exposition est fréquente
C. Quand la maladie est rare
D. Quand la nmaladie est fréquente
E. Pour établir clairement la séquence entre exposition et maladie

17. Les études de cohortes prospectives analytiques et observationnelles ont pour avantages:
A. D'estimer le taux d'incidence
B. D’estimer le risque relatif
C. D’estimer le risque attribuable
D. D'étudier simultanément plusieurs expositions en rapport avec la maladie
E. D'éviter le biais de sélection

18. Les études de cohortes prospectives analytiques et observationnelles ont pour inconvénients:
A. D'être longue
B. D'être couteuse
C. De nécessiter une logistique lourde
D. D'estimer que la prévalence
E. La possibilitéé de changement du statut « exposé » au cours du temps d'observation

19. Les études observationnelles, analytiques de type cas-témoins.


A. Sont de nature rétrospectivve
B. Consistent à comparer la fréquence de l'exposition antérieure chez les cas et les témoins
C. Permettent de mettre en évidence une association entre une exposition et une maladie
D. Sont de nature prospective
E. Permettent de vérifier l'hypothèse étiologique

20. Les études observationnelles, analytiques de type cas-témoins:


A. Sont applicables pour des hypothèses nouvelles sur les facteurs de risque
B. Sont applicables pour les maladies rares
C. Sont applicables si le délai entre l'exposition et la maladie peut être reconstitué
D. Sont applicables si l'exposition peut être reconstituée
E. Pour établir clairement la séquence entre exposition et maladie

21. Les études observationnelles, analytiques de type cas-témoins ont pour avantages
A. D'être faciles à réaliser
B. D'un cout faible
C. Applicables aux maladies fréquentes
D. Applicables aux expositions rares
E. Permettent d'estimer l'incidence

22. Les études observationnelles, analytiques de type cas-témoins ont pour inconvénients
A. D'approximer le risque relatif (RR)
B. Difficulté de choix de témoins
C. D'éviter le biais d'information
D. Favoriser le biais lié à la mémorisation
E. La subjectivité de l'enquêteur

23. Retenez les propositions justes concernant les études cas témoinss
A. La sélection des témoins est difficile
B. Les témoins et les malades doivent posséder les mêmes caractères de personnes
C. Pour chaque cas on peut faire correspondre 2 à 3 témoins
A. D Les témoins doivent être choisis dans la population générale ou dans l'entourage du cas
D. Il ya le risque de « perdus de vue »

24. Une enquête de cohorte:


A. Peut être planifié à l'avance
B. A besoin de dépenses modestes
C. Comporte beaucoup de risques de conclusions fausses ou inexactes
D. Permet le suivi d'une grande série d'individus
E. Est de longue durée

25. Une enquête de cohorte


A. Convient pour l'étude des maladies fréquentes
B. Permet l' étude de facteurs d'exposition rares
C. Offre la possibilité d'étudier plus d'une maladie à la fois
D. Offre la possibilité de calculer des taux d'incidence de maladies
E. Offre la facilité pour déterminer le statut exposé/non exposé au facteur de risquue
26. Une enquête cas-témoins:
A. Convient aux maladies rares
B. Permet l'étude de plusieurs facteurs
C. Permet de calculer des taux d'incidence de la maladie
D. Demande beaucoup de temps pour sa réalisation
E. Est économique

27. En épidémiologie descriptive, on utilise le ou (les) schéma(s) d'étude


suivant(s):
A. Etude de prévalence
B. Etude de cohorte
C. Etude cas témoins
D. Les séries de cas
E. Etude avant-après

28. En épidémiologie analytique les arguments en faveur d'une relation causale sont :
A. La séquence dans le temps
B. La constante de l'association
C. La reproductibilité
D. La force de l'association statistique
E. L'existence d'une relation dose-effet

29. L'épidémiologie descriptive se définit comme:


A. La branche descriptive de l'épidémiologie N
B. Le volet quantitatif de l'épidémiologie
C. Le volet qualitatif de l'épidémiologie
D. La branche analytique de l'épidémiologie
E. Une branche de la recherche fondamentale

30. L'épidémiologie analytique se définit comme


A. La branche descriptive de l'épidémiologie
B. Le volet quantitatif de l'épidémiologie
C. Le volet qualitatif de l'épidémiologie
D. La branche étiologique de l'épidémiologie
E. Une branche de la recherche appliquée y

31. Parmi les objectifs de l'épidémiologie analytique on note:


A. La recherche étiologique
B. La Détermination des facteurs de risques
C. L'étude de l'impact sanitaire des facte urs de risque
D. La description des phénomènes de santé
E. Le traitement des sujets malades

32. Généralement on classe les études épidémiologiques selon les critères


A. Observationnel
B. Expérimental
C. Descriptive
D. Analytique
E. Le mode de recueil des données

33. On regroupe dans les études épidémiołogiques observationnelles:


A. Les études descriptives type longitudinale de cohorte
B. Les études descriptives transversales
C. Les études étiologiques type transversale
D. Les études étiologiques type cas-témoins
E. Les études étiologues type cohorte prospective

34. Dans les études expérimentales type « essais clinique phase lll»
A. L'exposition est observée
B. L'exposition est contrôlée
C. Les groupes comparés sont randomisés par rapport à 'exposition étudiée
D. Les groupes comparés sont randomisés par rapport à l'événement étudié
E. Les groupes sont suivis et comparés par rapport à l'évènement étudié^

35. Dans les études transversales


A. On étudie les sujets de la population présents au moment de l'enquête
B. On sélectionne les sujets de notre étude
C. On mesure l'incidence
D. On mesure la prévalence v
E. On mesure au même temps l'exposition et la maladie

36. Les études transversales ont comme avantages


A. D'être facile à mettre en œuvre
B. De constituer une base d'intervention en santé publique
C. De générer des hypothèses étiologiques
D. De constituer un préambule pour d'autres études
E. De démontrer l'association causale

37. Retenez les propositions justes concernant les études cas-témoins :


A. La sélection des témoins est difficile
B. Les témoins et les malades doivent posséder les mêmes caractères de personnes
C. Pour chaque malade on doit faire correspondre 2 à 3 témoins
D. Les témoins doivent être choisis dans la population générale ou dans l’entourage du malade
E. Il y a le risque de « perdus de vue »

38. Dans les études cas-témoins l’appréciation de l’exposition au facteur de risque :


A. Repose souvent sur l’interrogatoire
B. Repose sur l’examen clinique
C. Peut constituer un biais du fait de l’oubli par l’enquête de l’exposition
D. Ne constitue jamais un biais
E. Peut se baser sur la recherche d’un stigmate sérologique.

39. Retenez les propositions justes concernant les études cohortes :


A. La cohorte sera suivie pendant longtemps
B. Un des groupes est constitué par les sujets exposés au FDR
C. Un des groupes est constitué par les sujets non exposés au FDR
D. On calcule l’incidence dans chaque groupe
E. On calcule la prévalence dans chaque groupe

40. Retenez les propositions justes concernant les études cas témoins :
A. Elles conviennent à l’étude de maladies rares
B. Elles permettent l’étude de plusieurs facteurs de risque
C. Elles permettent l’étude de plusieurs maladies à la fois
D. La détermination du statut malade/non malade est facile
E. L’obtention d’un groupe de sujets comparables est difficile

41. L’épidémiologie descriptive permet :


A. De définir les maladies prioritaires
B. De définir les groupes de population particulièrement exposés
C. Avoir une évaluation des besoins de santé
D. De proposer des stratégies pour atteindre les objectifs que l’on se propose
E. Suggérer des hypothèses sur l’origine de la maladie

42. Dans une enquête de cohorte :


A. Les cas introduits dans l’étude ne peuvent pas échapper à l’action du facteur étudié
B. Les exposés et les non exposés peuvent être choisis à l’avance
C. La mesure du risque n’est pas biaisée par la présence d’une autre maladie
D. La reproduction de l’étude est difficile
E. La composition du groupe de sujets choisis varie avec le temps

43. la classification des études épidemio prend en considération les critères suivants
A. Le mode d’échantillonnage
B. La chrono de recueil des infos
C. La chrono de l’étude
D. La procédure de l’étude

44. Les études analytiques incluent les études


A. Expérimentales
B. Observationnelles type « cas-témoin »
C. Observationnelles type « cohorte »
D. Corrélationnelles
E. Concernant les séries de cas

45. Dans une étude expérimentale, l’exposition des sujets doit répondre aux questions suivantes
A. Qui sera exposé ?
B. A quoi sera exposé ?
C. Quand sera exposé ?
D. Comment sera exposé ?
E. Ou sera exposé ?

46. Dans les études observationnelles


A. L’observateur intervient sur les conditions d’exposition des sujets étudiés
B. L’observateur intervient dans le choix de la population étudiée
C. L’exposition résulte du choix personnel des sujets étudiés
D. L’observateur n’intervient pas dans le choix de la population étudiée
E. L’observateur n’intervient pas sur les conditions d’exposition des sujets étudiées

47. Les études transversales reposent sur les principes


A. L’estimation de la prévalence
B. L’estimation de l’incidence
C. La ponctualité de l’étude (un moment donné)
D. La mesure au même temps l’exposition et la maladie
E. La sélection des sujets sur l’exposition et la maladie

48. Les études transversales ont pour intérêts


A. D’être facile à mettre en œuvre
B. D’estimer l’incidence
C. De générer des hypothèses étiologiques
D. De constituer un préambule pour d’autres études
E. De prendre en compte la chronologie entre l’exposition et la maladie

49. L’étude de cohorte prospective est caractérisée par


A. Le suivi des sujets de l’étude au cours du temps
B. Des mesures successives de l’exposition et de l’état de santé des sujets de l’étude
C. L’inclusion des sujets non atteints de la maladie, objet de mesure
D. La sélection des sujets selon le statut, malade/non malade
E. La sélection des sujets selon le statut, exposé / non exposé

50. Les études de cohortes prospectives ont comme intérêt d’estimer :


A. Le taux d’incidence
B. Le risque relatif
C. Le risque attribuable
D. Le taux de prévalence
E. Le rapport de cotes

51. Les études cas-témoins reposent sur les principes suivants


A. La sélection des sujets selon le statut, cas/témoins
B. La sélection des sujets selon le statut exposés/non exposés
C. La comparaison des 2 groupes selon leur exposition antérieure
D. La comparaison des 2 groupes selon l’évènement futur
E. Le calcul de l’incidence de la maladie parmi les sujets étudiés

52. Un tiers facteur ou facteur de confusion est


A. Un biais
B. Une erreur systématique
C. Une erreur aléatoire
D. Un facteur lié au facteur étudié
E. Un facteur lié à la maladie

53. En épidémio analytique, les critères internes à l’étude, en faveur d’une relation causale sont
A. La séquence dans le temps
B. La constante de l’association
C. La reproductibilité
D. La force de l’association statistique
E. L’existence d’une relation dose-effet
54. En épidémio analytique, les critères externes à l’étude en faveur d’une relation causale sont :
A. L’observation de l’association entre exposition et maladie de façon répétée
B. La plausibilité biologique de l’association
C. La cohérence avec las connaissances générales sur le sujet
D. La cohérence dans le temps entre distribution de l’exposition à la caractéristique et la maladie
E. La cohérence dans l’espace entre distribution de l’exposition à la caractéristique et la maladie

55. l’épidémiologie descriptive a pour but de


A. Mesurer l’importance du problème de santé
B. Décrire le phénomène de santé
C. Etudier la distribution du phénomène de santé
D. Déterminer la causalité du phénomène de santé
E. Assoir les bases d’intervention en santé publique

56. L’épidémiologie analytique a pour but


A. Surveiller les phénomènes de santé
B. Etudier la distribution du phénomène de santé
C. Déterminer la causalité du phénomène de santé
D. Assoir les bases d’intervention en santé publique
E. Mesurer l’importance du problème de santé

57. l’épidémiologie évaluative permet de :


A. Choisir les actions thérapeutiques
B. Etudier l’impact des interventions en santé publique
C. Déterminer la causalité du phénomène de santé
D. Assoir les bases d’intervention en santé publique
E. Mesurer l’importance du problème de santé

58. les critères qui sont pris en considération pour la classification des études épidémio sont
A. La chrono de l’étude
B. La finalité de l’étude
C. La procédure de l’étude
D. Le mode d’échantillonnage
E. Le recueil des infos
59. En matiére de classification des études épidémio , les études descriptives incluent les études
A. Transversales
B. Corrélationnelles
C. D’n=individus
D. Cas-témoins
E. Cohortes

60. Dans une étude expérimentale


A. L’exposition des sujets et non contrôlée
B. Les groupes exposés et non exposés sont suivis pour l’évènement étudié
C. Les groupes exposés et non exposés sont comparés pour l’évènement étudié
D. La population est très sélectionnée
E. L’imputation causale est évidente

61. Dans les études observationnelles


A. L’exposition des sujets est contrôlée
B. Les groupes exposés et non exposés sont suivis pour l’évènement étudié
C. Les groupes exposés et non exposés sont comparés pour l’évènement étudié
D. La population est très sélectionnée
E. L’imputation causale est évidente

62. Les études transversales


A. L’étude porte sur les sujets sélectionnés
B. L’étude porte sur les sujets présents au moment de l’enquête
C. La sélection des sujets se fait sur l’exposition
D. La sélection des sujets se fait sur la maladie
E. Le recueil d’info porte sur exposés/non exposés et malades/non malades

63. Les études transversales ont pour avantages


A. D’estimer la prévalence
B. D’estimer l’incidence
C. Attribuer la causalité
D. Etre facile à mettre en œuvre
E. Estimer le risque relatif

64. les études transversales ont pour inconvénients


A. Ne pas estimer la prévalence
B. Ne pas estimer l’incidence
C. Ne pas prendre en compte la chronologie des évènements
D. Ne pas générer des hypothèses étio
E. Etre difficile à mettre en œuvre

65. les études de cohortes prospectives les sujets sont :


A. Sélectionnés par rapport à leur exposition
B. Sélectionnés par rapport à leur maladie
C. Suivis plusieurs fois au cours du temps
D. Comparés par rapport à leurs exposition
E. Comparés par rapport à leur maladie

66. Une étude de cohorte prospective


A. Convient pour les patho fréquentes
B. Permet l’étude de facteurs d’exposition rares
C. Offre la possibilité d’étudier plus d’une maladie à la fois
D. Offre la possibilité d’étudier plusieurs expositions à la fois
E. Etablit clairement la séquence chrono entre exposition et maladie

67. Une étude de cohorte prospective est :


A. De longue durée
B. Facile à mettre en œuvre
C. D’un cout élevé
D. D’une logistique lourde à gérer
E. Adaptée aux maladies rares

68. Une étude de cohorte prospective


A. Est adaptée aux maladies fréquentes
B. Permet l’étude simultanée de plusieurs pathologies
C. Est à l’origine d’une meilleure qualité des données
D. Peut-être biaisée
E. Est adaptée aux maladies rares

69. Les études de cohortes prospectives permettent d’estimer


A. Le taux d’incidence
B. Le risque relatif
C. Le risque attribuable
D. Le taux de prévalence
E. Le rapport de cotes

70. une enquête cas -témoins


A. Convient aux maladies rares
B. Permet l’étude de plusieurs expositions
C. Permet l’étude de plusieurs maladies
D. Permet de fournir une réponse rapide à une hypothèse épidémio
E. Est économique

71. Dans les études cas-témoins


A. La composition des deux groupes se fait sur la maladie
B. La composition des deux groupes se fait sur l’exposition
C. La comparaison des deux groupes se fait selon l’exposition ant
D. La comparaison des deux groupes se fait selon l’évènement futur
E. L’estimation permet d’approximer le risque relatif

72. Dans une étude cas-témoins


A. Il y’a impossibilité d’estimer l’incidence
B. Le choix des témoins est facile
C. Il y’a possibilité de biais de sélection
D. Il y’a le problème de la mémorisation des enquêtés
E. Il y’a le problème de la subjectivité de l’enquêteur

Exercice 1 :
On s’intéresse à l’IDM dans la population marocaine, pour lequel on s’est fixé 4 objectifs
1. Connaitre la fréquence dans cette population
2. Savoir quels sont les FDR
3. Estimer combien de cas d’IDM seraient évités si les facteurs étaient supprimés
4. Etudier l’efficacité sur la mortalité après IDM d’un nouveau traitement thrombolytique

1. Parmi ces schémas d’étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au 1 er
objectif
A. Etude expérimentale
B. Etude d’observation
C. Etude de cohorte prospective
D. Etude cas témoins
E. Mesure de prévalence

2. Parmi ces schémas d’étude et ces mesures , lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au 2 eme
objectif
A. Etude expérimentale
B. Etude du risque relative
C. Etude de cohorte prospective
D. Etude cas témoins
E. Mesure de mortalité

3. Parmi ces schémas d’étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au 3 eme
objectif
A. Etude de cohorte prospective
B. Etude cas témoins
C. Nombre de cas attribuables
D. Etude expérimentale
E. Etude d’incidence

4. Parmi ces schémas d’étude et ces mesures, lequel (lesquels) pourriez-vous utiliser pour répondre au 4 eme
objectif
A. Etude expérimentale
B. Etude de cohorte prospective
C. Etude d’observation
D. Etude cas témoins
E. Etude transversale
EPIDEMIOLOGIE EVALUATIVE :

1. Parmi les objectifs de l'épidémiologie évaluative on note:


A. Evaluation des processus de la planification sanitaire
B. Evaluation des résultats des interventions sanitaires
C. L'identification entre plusieurs programmes sanitaires
D. L'identification entre Plusieurs actions thérapeutiques
E. L'élaboration des besoins sanitaires des populations

ECHANTILLONNAGE :
1. Retenez les propositions justes concernant les sondages stratifiés :
A. Le tirage au sort s’effectue sur l’ensemble de la population
B. Le tirage au sort s’effectue dans les différences strates (sexe, l’âge …)
C. Ils fournissent de meilleures estimations que les sondages simples
D. Ils sont difficiles à organiser et à interpréter
E. Ils permettent d’éviter certains biais

2. Lors des sondages en grappes à plusieurs niveaux :


A. On tire au sort les arrondissements de la région à étudier
B. On tire au sort dans les arrondissements sélectionnés
C. On tire au sort les villages à étudier
D. On tire au sort les familles ou les individus
E. Il disposer d’au moins 20 grappes
LES BIAIS EN EPIDEMIO :
1. Parmi les biais qui peuvent fausser les résultats d'une étude épidémiologiques on retrouve:
A. Les biais de sélection
B. Les biais de hasard
C. Les biais de mémoire
D. Les biais de confusion
E. Les biais de randomisation

2. Un tiers facteur ou facteur de confusion


A. Provient lors de la constitution de l'échantillon
B. Doit être prévenu par la randomisation
C. Doit être prévenu par l'ajustement Iors de l'analyse des données
D. Est un facteur lié à l'exposition
E. Est un facteur lié à la maladie

3. Un tiers facteur ou facteur de confusion est:


A. Un biais
B. Une erreur systématique
C. Une erreur aléatoire
D. Un facteur lié au facteur étudié
E. Un facteur lié à la maladie

4. Un tiers facteur ou facteur de confusion est :


A. Un biais
B. Une erreur systématique
C. Une erreur aléatoire
D. Un facteur lié au facteur étudié
E. Un facteur lié à la maladie

5. En épidémiologie, un biais :
A. Altère les résultats de l’étude
B. Est une erreur systématique
C. Peut être dû à un mauvais échantillonnage
D. Peut être dû aux techniques de mesures
E. Peut être dû à l’enregistrement des données

6. Un tiers facteur ou facteur de confusion es


A. Un facteur lié au facteur étudié
B. Un facteur lié à la malaide
C. Un biais
D. Une erreur systématique
E. Une erreur aléatoire
NOTION SUR LA CAUSALITE :

1. Un tiers facteur ou facteur de confusion est :


A. Un biais
B. Une erreur systématique
C. Une erreur aléatoire
D. Un facteur lié au facteur étudié
E. Un facteur lié à la maladie

2. Parmi les critères causalités externes à l’étude, on note:


A. La répétition de l'association entre le facteur de risque et la maladie
B. La plausibilité biologique et clinique de l'association entre le facteur de risque et la maladie
C. La cohérence avec les connaissances générales sur le sujet
D. La cohérence dans le temps entre distribution de l'exposition à la caractéristique et la maladie
E. La cohérence dans l'espace entre distribution de l'exposition à la caractéristique et la maladie.
DEPISTAGE EN EPIDEMIO :
1. Un bon test de dépistage doit être
A. Simple
B. Acceptable
C. Peu couteux
D. Peu nocif
E. Un test qui confirme le diagnostic

2. La spécificité d'un test de dépistage correspond:


A. A la probabilité d'avoir un test négatif quand le sujet est non malade
B. A la proportion de vrais positifs parmi les malades
C. La proportion de vrais négatifs parmi les non malades
D. Probabilité d'avoir un test positif quand le sujet est malade
E. A la valeur de prédiction d'un test de dépistage

3. La sensibilité d'un test de dépistage correspond


A. A la probabilité d'avoir un test négatif quand le sujet est non malade
B. A la proportion de vrais négatifs parmi les non malades
C. La proportion de vrais négatifs parmi les non malades
D. Probabilité d'avoir un test positif quand le sujet est malade
E. A la valeur de prédiction d'un test de dépistage

4. Le test de dépistage:
A. Est appliqué aux personnes apparemment saines
B. Est appliqué aux personnes présentant des troubles
C. Est pratiqué sur des groupes
D. Est moins précis que le test de diagnostic
E. Constitue une base de traitement

5. Un dépistage doit
A. Etre discriminatif
B. Etre adapté
C. Etre acceptable
D. Entrainer une confirmation
E. Déboucher sur une action

6. Le test de dépistage
A. Est appliqué aux personnes apparemment saines
B. Est appliqué aux personnes présentant des troubles
C. Est pratiqué sur des groupes
D. Est moins précis que le test de diagnostic
E. Constitue une base de traitement

7. Le test de dépistage :
A. Est appliqué aux personnes apparemment saines
B. Est appliqué aux personnes présentant des symptômes
C. Est pratiqué sur des groupes
D. Est moins précis que le test de diagnostic
E. Constitue une base de traitement

8. On dépiste les maladies fréquentes car dans ce cas le test de dépistage a :


A. Une valeur prédictive positive augmentée
B. Une validité élevée
C. Une sensibilité augmentée
D. Une spécificité augmentée
E. Une pertinence élevée

9. L’appréciation du coût d’un dépistage comporte :


A. Le coût de la campagne de dépistage
B. Le coût du traitement
C. Le nombre d’années de vie sauvées
D. L’appréciation du nombre de faux positifs
E. L’appréciation du nombre de faux négatifs

A RECHERCHER le chapitre

1. Parmi les mécanismes de défenses, l’effet barrière est constitué par :


A. La peau
B. Les sécrétions des muqueuses
C. La flore microbienne des voies aériennes supérieurs
D. La flore microbienne du tube digestif
E. La réaction inflammatoire

2. Les 3 maillons de la chaine épidémiologique sont : ***


A. Les sources d’infection
B. Les facteurs favorisants
C. Les sujets réceptifs ( ???)
D. Les conditions de transmission
E. Les mesures de prophylaxie

EXERCICES :
Exercice numéro 1 :
En vue d'identifier les facteurs de risque liées à la survenue d'infection nosocomiales (IN) dans un service de
réanimation chirurgical, nous avons réalisé une étude chez les malades exposés au cathétérisme vasculaire.
1. Quel type d'étude permet d'atteindre cet objectif ?
A. Etude de prévalence
B. Etude de cohorte
C. Etude cas-témoins
D. Etude ici-ailleurs
E. Etude avant-après

2. Cette étude fait partie de quelle branche d'épidémiologie ?


A. L'épidémiologie descriptive
B. L'épidémiologie analytique
C. L'épidémiologie évaluative
D. L'épidémiologie d'intervention
E. L'épidémiologie étiologique

3. Pour atteindre cet objectif nous avons constitué 2 groupes : le premier groupe avec 100 patients présentant l'IN,
et le deuxième groupe de 100 patients ne présentant pas l'IN. Ensuite nous avons cherché à savoir ceux qui étaient
sous cathétérisme vasculaire. Préciser le ou les schémas d'étude
A. Etude de prévalence
B. Etude cas-témoins
F. Essai thérapeutique
C. Etude de cohorte
D. Etude ici-ailleurs

4. Préciser la ou les mesures d’association correspondantes :


A. Le risque absolu
B. Le taux d’incidence
C. Le risque relatif
D. Le rapport de cotes
E. La valeur prédictive

5. Parmi les 100 patients (IN), 50 avaient été cathétérisés et parmi les 100 patients ont infectés, 20 avaient été
cathétésiés. Préciser la ou les valeurs de la mesure d’association :
A. 0,5
B. 1,5
C. 1
D. 2,5
E. 4

Exercice numéro 2 :
Pour etudier l'incidence de la tuberculose en fonction du statut vis-à-vis de l'infection par le VIH. La question posée
était: « la fréquence de la tuberculose est-elle différente chez les sujets infectés par le VIH par rapport à ceux qui ne
sont pas infectés par le VIH ?». Des Sujets ont été recrutés au Malawi entre 1986 et 1989. La survenue d'une
tuberculose était 7,1 fois plus frequente chez les sujets infectés par le VIH (RR=7.1) que chez les sujets non infectés
par le VIH.
1. Quel est le type d'étude épidémiologique?
A. Expérimentale ?
B. D'observation ?
C. Transversale?
D. De cohortes ?
E. Cas-témoins ?

2. Quelle est I'exposition étudiée ?


A. Infection par le ViH?
B. Tuberculose?
C. Résidence de Malawi?
D. Infection par le VIH et tuberculose ?
E. Résidence au Malawi et VIH

3. Quelle est la maladie étudiée?


A. Infection par le VIH ?
B. Tuberculose?
C. Résidence au Malawi?
D. Infection par le VIH et tuberculose ?
E. Résidence au Malawi et tuberculose?

4. Peut on dire qu’il existe une association entre infection par le VIH et la tuberculose ?
A. Oui, de façon certaine car le risque relatif est supérieur à 1
B. Non, de façon certaine car le risque relatif est inférieur à 1
C. Oui, a priori, mais il faudrait connaitre l'intervalle de confiance du risque relatif
D. D'après les données, on ne peut pas savoir s'il existe ou non une association
E. Pour savoir s'il existe une association, il faut calculer le rapport de cotes

Vous aimerez peut-être aussi