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L L
1). (0, 75) D’après la figure 1 : tan = comme est petit, on a tan soit =
2D 2D
2). (0,75) On a = avec en radian ; et a en mètre.
a
(0,75) La courbe = f(1/a) est une droite passant par l’origine, or l’expression précédente montre que
et 1/a sont proportionnels (coefficient directeur ). La figure 2 est en accord avec la relation. .
3). (0,5) Le coefficient directeur de la droite représentative de = f (1/a) est égal à la longueur d’onde
.
1
A l’aide de la figure 2, on peut calculer le coefficient directeur de la droite : soit le point ( a = 3,5.104 m1);
= 2,0.102 rad (0,75).
1
× a = 2,0.102 3 , 5 . 10 4 = 5,7.107 m donc la valeur à retenir est = 560 nm
4). = C/f, alors f = C/ = 3×108 / 560 ×10-9 ͌ 5,36 × 10 14 Hz (0,5 + ,05)
5). Non, car la source est la même, car monochromatique (0,75).
1). Pour que les interférences soient constructives, les deux ondes cohérentes doivent être en phase : la
différence de marche δ est un nombre entier de longueur d’onde : δ=k×λ, avec k entier positif ou nul
(0,75).
2). Pour que les interférences soient destructives, les deux ondes doivent être en opposition de phase :
La différence de marche est égale à un nombre entier de longueur d’onde additionnée d’une demi-
1
longueur d’onde : δ = (k + ) ×, avec k un entier relatif (0,75).
2
3). Pour un angle de 20 °, il faut vérifier s’il s’agit d’interférences constructives ou destructives, il faut
calculer les différences de marche pour chaque radiation rouge et violette et la comparer à la longueur
d’onde de chacune d’elle.
R
a). Pour la radiation rouge : angle r = 20°, nR= 1,33 : R = 2 × nR × e × cos r +
2
-6
750.10 -9
Application numérique (AN) : R = 2 ×1,33 × 0,15×10 × cos20° + = 7,50×10-7 m (0,75)
2
R R
On a R = 750 nm (rouge). Calculons le rapport . On trouve = 1. (0, 5). La relation est du type
R R
R = 1, avec k = 1. Il s’agit donc d’interférences constructives. (0,25).
1
V
b). Pour la radiation violette : angle r = 20°, nV= 1,34: v = 2 × nv× e × cos r +
2
-6
380.10 -9
AN : V = 2 ×1,34 × 0,15×10 × cos 20° + = 5,70×10-7 m (0,75)
2
V V 5,70 10 7
On a V = 380 nm (violette). Calculons le rapport . On trouve = =1,5. (0, 5). La
V V 3,80 10 7
1
relation est du type V = (k + )×, avec k = 1 (0,25). Il s’agit donc d’interférences destructives. (0,25).
2
4). Coloration violette. Interférences constructives. Détermination de l’angle de réfraction r
V
On cherche l’angle r : v = 2 × nv × e × cos r + = k×λV pour des interférences constructives. (0,5)
2
V 1 V × (k - 1/2 )
On tire alors cos r : 2 × nv × e × cos r = k×λV - = λV × (k - ) (0,25), soit cos r = (0,25)
2 2 2 nV e
380 10 9 0,5
Si k = 1, cos r = 0,473, soit r 62° (61,8 accepté) (1) ;(0,5 si on trouve cos r et
2 1,34 0,15 10 6
non r).
Pour un angle de réfraction d’environ 62°, on peut observer la couleur violette.
Remarque : pour k = 2, on a cos r >1 ce qui est impossible.
5). Loi de Descartes : nair × sin i = n × sin r
Lorsque l’angle d’incidence augmente, d’après la loi de Snell-Descartes, l’angle de réfraction augmente,
donc la différence de marche change et la longueur d’onde pour laquelle les interférences sont
constructives aussi. (0,5)
La couleur observée change donc l’angle d’incidence est modifié. (0,5)
Une couleur interférentielle change lorsque l’on change l’angle d’observation (angle d’incidence).
Une couleur pigmentaire est toujours identique quel que soit l’angle d’observation. (0,25).
1.1 L’importance du phénomène de diffraction est liée au rapport de la longueur d’onde aux dimensions
de l’ouverture ou de l’obstacle ; ainsi, si la longueur d’onde est fixée, le demi-angle 0 sera plus
élevé si le diamètre du fil est faible (0,5). On retrouve cette idée dans la relation 0 . (0,25).
a
L
L
1.2 À l’aide du schéma, on peut écrire : tan0 2 (0,5). Dans le cadre de l’approximation des
D 2D
L L
petits angles donnés : 0 tan0 . Or 0 (question 1.1) donc 0 . (0,5)
2D a a 2D
2
2 .D 1
On en déduit que L que l’on peut écrire L k . avec k 2 .D (0,5).
a a
1 1
1.3 Vu que L k . avec k 2 .D , la courbe L f est une droite passant par l’origine de coefficient
a a
k
directeur . (0,25)
On trace la droite modélisée (passant au plus près de tous les points expérimentaux), on détermine son
L 10 ,0 10 2 0
coefficient directeur : k 2,5 10 6 m2 (0,5).
( 1/a ) 4 ,0 10 4 0
(ATTENTION L doit être en mètre pour que la relation soit homogène)
k
Or k 2 .D donc
2D
6
2,5 10
2
6 , 25 10 7 m 6 ,3 10 7 m (0,5).
2 200 10
1.4 Conformément aux recommandations de la métrologie, nous faisons le choix de la notion U(x) pour
l’incertitude (Uncertainty) sur la mesure x plutôt que la notation x ?
2 2
U( D ) U( k )
U( ) .
D k
Sur la figure, on lit D = 200,0 ±0,1 cm, on en déduit que U(D) = 0,1 cm
2 2
0 ,1 1,2 10
7
U ( ) 6 ,25 10
7
6
3 10 8 m (0,5)
200 ,0 2,5 10
Ainsi : 6 ,3 0 ,3 10 m (0,25)
7
La valeur de 635 nm = 6,35×10–7 m donnée par le fabriquant est bien incluse dans l’intervalle de confiance.
Les mesures sont validées. (0,25).
2.1. Le grain sphérique se comporte comme un obstacle circulaire et donne donc la même figure de
diffraction qu’un trou de même dimension (tout comme une fente et un fil de mêmes dimensions donnent
la même figure de diffraction). (0,5)
2.2. D’après la courbe fournie, 0 0 ,018 rad (0,25)
1, 22. 1, 22.
Or sin0 donc a sin
a 0
1, 22 635 10 9
a 4 ,3 10 5 m 43 μm (0,5)
sin(0,018)
D’après le document 2, ces grains sont trop gros pour être utilisés comme chocolat de couverture dont le
diamètre moyen vaut a = 10 μm. (0,25)