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CHAPITRE 4

CALCUL DES POUTRES


DE PONTS
Chapitre : 4 Calcul des poutres de ponts

I. INTRODUCTION :
Les tabliers des ponts à poutres sont des structures tri-dimensionnelles pour lesquelles de
nombreuses méthodes de calcul classique ont été proposées. En général, l'étude du tablier de
pont sous chargement mobile est subdivisée en deux étapes distinctes:
- Le calcul longitudinal : qui a pour but de déterminer les sollicitations globales (moment
fléchissant et effort tranchant) dans le tablier en disposant les surcharges
longitudinalement de la façon à avoir l’effet le plus défavorable en utilisant le théorème
de BARRE pour déterminer la section dangereuse puis le moment critique dans cette
section par les lignes d’influence.
- Le calcul transversal : Les sollicitations globales les plus défavorables calculées
suivant le sens longitudinal, seront réparties transversalement sur les poutres
principales en tenant en compte de la présence ou non des entretoises qui influent sur la
répartition des sollicitations totales sur les poutres.
Dans ce chapitre, on va étudier le calcul des poutres droites sous chaussée des tabliers des
ponts routiers sans entretoises (intermédiaires et about) , qui est le cas souvent rencontré de
nos jours à raison de la préfabrication des poutres soumises aux surcharges routières.

II. HYPOTHESES DE CALCUL :


Les méthodes exposées ci-dessous considèrent que les charges sont appliquées directement
sur les poutres, on suppose dans la suite de ce calcul les hypothèses suivantes:
1. Les poutres principales sont équidistantes et situées dans un même plan.
2. Les charges appliquées sont verticales.
3. Le tablier entier du pont est assimilé à une poutre simple de même portée (L) que celle
du pont et avec les mêmes charges totales appliquées.
Puis, on calcule les sollicitations globales dans une section quelconque située à une
distance (a) de l’appui de gauche, ensuite, on procède à la répartition transversale des
sollicitations trouvées sur les différentes poutres principales.

III. CAS DES SURCHARGES REGLEMENTAIRES :


1. Cas de la surcharge Br : Cette surcharge n’a pas des effets locaux sur la dalle et elle n’est
pas prise en considération.
2. Cas de la surcharge Bt : On place sur le pont d’autant de tandem que la réglementation le
permet (2 au maximum), ces surcharges sont généralement les moins défavorables par rapport
aux autres surcharges (Bc, A et militaires).
3. Cas de la surcharge Bc : On place sur le pont autant de convois de camions qu’il
comporte de voies de circulation, la position des convois dans le sens transversal n’a pas
d’importance.
4. Cas des surcharges A(L) et 150 kg/m2 : Le moment fléchissant maximum au milieu du
pont et l’effort tranchant maximum à l’appui s’obtiennent en chargeant le pont sur toute sa
longueur (L).

IV. CALCUL DES SOLLICITATIONS TOTALES LES PLUS


DEFAVORABLES :
IV.1. Calcul du moment fléchissant maximum dans une section donnée :
 Cas des charges concentrées :
Soit une poutre droite isostatique de portée L soumise à un convoi de charges ponctuelles
Pi représentée sur la figure 1(a).Un convoi est un système de charges concentrées qui se

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déplacent ensemble, les distances entre ces charges sont invariables, donc il faut chercher à
trouver la position du convoi qui provoque le moment fléchissant maximum dans la section C.
On appelle :
- PG : la résultante des charges du convoi appliquées à gauche de la section C.
- PD : la résultante des charges du convoi appliquées à droite de la section C.
Le moment fléchissant à la section C s’obtient en appliquant la méthode des lignes
d’influence du moment fléchissant :
𝐧
𝐲. 𝐡 (𝐋 − 𝐲 − 𝐜)
𝐌𝐂 = 𝐏𝐢 . 𝐲𝐢 = 𝐏𝐆 𝐱 + 𝐏𝐃 𝐱 𝐱𝐡
𝐚 𝐛
𝟏
D’après le chargement de la figure 1(a), les résultantes PG et PD ont pour valeur :
PG =P1+P2
PD= P3+P4+P5

P1 P2 P3 P4 P5

A C B
PG PD
y c
(a)
a b

L. I. Mf

𝑦. ℎ (𝐿 − 𝑦 − 𝑐)ℎ
𝑎 𝑏
𝑎. 𝑏
𝐿
(b)
Figure.1: Ligne d’influence du Mf d’une poutre isostatique soumis à un convoi.

Le moment fléchissant en C est maximum pour la valeur de (y) qui annule la dérivée du
𝐝𝐌𝐜 𝐡 𝐡
(Mf) donc : =0, d’où : PG(𝐚)- PD( 𝐛) =0 ; on obtient :
𝐝𝐲
𝐏𝐆 𝐏
= 𝐃 (1)
𝐚 𝐛

On constate que l’équation (1) est indépendante de y. Pour déterminer la position du


convoi qui donne le moment fléchissant maximum on procède comme suit :
- La première situation du convoi est celle de la figure 1(a), qui est :
𝐏𝐆 𝐏𝐃 𝐝𝐌𝐜
> , soit : >0
𝐚 𝐛 𝐝𝐲
- Le convoi se déplace vers la droite, le moment en C va croître tant que :
𝐏𝐆 𝐏𝐃
>
𝐚 𝐛
- Le moment en C commence à décroître lorsque le passage d’une charge à gauche de la
section C conduit à l’inégalité suivante :

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𝐏𝐆 𝐏𝐃 𝐝𝐌𝐜
< , soit : <0
𝐚 𝐛 𝐝𝐲

On peut conclure que pour trouver le moment fléchissant maximum dans une section
donnée, il faut placer une des charges du convoi à cette section. Soit R la résultante des
charges appliquées du convoi sur la poutre, L’équation (1) peut être écrit d’une façon plus
simple :
𝐏𝐆 𝐏𝐃 𝐑
= =
𝐚 𝐛 𝐋

𝐑.𝐚
On peut déduire que : 𝐏𝐆 =
𝐋
En pratique, pour trouver le moment fléchissant maximum dans une section donnée d’une
poutre, on dispose chaque charge du convoi à la section donnée et on calcule :
𝐑.𝐚
- Le rapport : ;
𝐋
- La somme des charges situées à gauche de la section C et on ajoute la valeur de la
charge appliquée en C, cette somme est désignée par la suite par : 𝐏𝐆𝟏 ;
- La somme des charges situées à gauche de la section C seulement, désignée par la suite
par : 𝐏𝐆𝟐 .
Donc, le moment fléchissant est produit pour la disposition qui vérifie les deux inégalités
suivantes en même temps :
𝐑. 𝐚
𝐏𝐆𝟏 ≥
𝐋
et (2)
𝐑. 𝐚
𝐏𝐆𝟐 ≤
𝐋
Dans le cas où les inégalités (2) sont satisfaisantes pour différentes positions du convoi, on
doit calculer les moments produits pour ces positions par la méthode des lignes d’influence et
on prend le moment maximum de ces valeurs. On peut résumer les différents calculs des
différentes positions dans le tableau 1 comme suit :

Charge en C 𝐑 𝐑. 𝐚/𝐋 𝐏𝐆𝟏 1ere inégalité 𝐏𝐆𝟐 2ème inégalité


vérifiée vérifiée
Tableau.1 : Tableau des différents calculs à préparer pour chercher la ou les positions des
charges qui donnent le moment fléchissant maximum.

 Cas des charges réparties :


Comme nous avons vu, les ponts sont soumis à des charges réparties telle que la surcharge
A pour cela les lignes d’influence sont également utiles pour ces surcharges.
Soit une poutre sur deux appuis simples soumise à une charge mobile répartie sur une
longueur d (figure 2).

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d
q

αd (1-α)d

A B
R1 R2
C
a b
L
Figure .2 : Poutre isostatique soumise à une charge mobile répartie

Avec :
R1 : résultante des charges appliquées à gauche de C.
R2 : résultante des charges appliquées à droite de C.
Pour obtenir le moment fléchissant maximum en C et en appliquant l’équation (1), nous
obtenons :
𝐑𝟏 𝐑𝟐
=
𝐚 𝐛
Soit :
𝛂. 𝐝. 𝐪 𝟏 − 𝛂 . 𝐝. 𝐪
=
𝐚 𝐛
on obtient donc :
𝐚
𝛂= (3)
𝐋
Pour cette position de la charge, les ordonnées de la ligne d’influence sous les extrémités
de la charge sont égales.
IV.2. Calcul de l’effort tranchant maximum dans une section donnée :
Pour une poutre isostatique soumise à un convoi de charges, l’effort tranchant dans une
section quelconque est maximum lorsqu’on place l’ensemble des charges au droit des
ordonnées de même signe des lignes d’influence (efforts tranchants maximums positif et
négatif). Cette règle fait quelques exceptions lorsque l’effort tranchant maximum peut se
produire lorsqu’une ou des charges se déplacent du coté où les ordonnées sont de signe
opposé. On doit donc établir une règle permettant de disposer les charges de manière à avoir
les valeurs extrêmes de l’effort tranchant. Il conviendra donc d’envisager toutes les positions
du convoi pour les quelles une charge est en section C, on retiendra la plus grande des valeurs
trouvées pour chaque position. L’effort tranchant maximum produit au droit de la section C
par les charges Pi est donnée par la formule suivante :
𝐢=𝐠
𝐓𝐦𝐚𝐱 = − 𝐢=𝟏 𝐏𝐢 𝐳𝐢 + 𝐢=𝐧 𝐢=𝐡 𝐏𝐢 𝐳𝐢 (4)

Si a < b : c’est l’effort tranchant maximum positif ;


Si a ≥ b : on prend (Pi.zi) du premier terme seulement : c’est l’effort tranchant maximum
négatif.

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P1 Pg Ph Pn

B
C
a b

L
zh zk zm
Ligne d’influence de l’effort tranchant
zn
+
-
z1 z2
zg

Figure. 3 : Ligne d’influence de l’effort tranchant dans une section donnée C

N.B : Lorsqu’une charge du convoi est placée en C, c’est l’ordonnée positive qui est pris dans
le calcul de l’effort tranchant maximum.

V. RECHERCHE DE LA SECTION DANGEREUSE (CRITIQUE) :


Il s’agit donc de déterminer la section au droit de la quelle les sollicitions (moment
fléchissant et l’effort tranchant) seront maximum.
V.1. Section dangereuse pour le moment fléchissant :
 L’objectif : est de déterminer la position du convoi qui donne le moment fléchissant
maximal dans une poutre sur 2 appuis simples soumis à un convoi mobile et la valeur de ce
moment maximal.
La section au droit de la quelle une charge Pi du convoi produit le moment fléchissant
maximum est appelée la section dangereuse ou critique, cette section est donnée par le
théorème de BARRE.
V.1.1. Enoncé du théorème de BARRE :
Pour une poutre reposant sur deux appuis simple d’une portée L soumis à un convoi
composé de charges ponctuelles Pi , d’après la figure 4, on définit les grandeurs suivantes :
R : La résultante des charges du convoi (R = Pi ).
O : Le centre de la poutre.
e : La distance de R au centre de la poutre O.
ei : La distance de Pi au centre de la poutre O.
di : La distance de Pi à la résultante R.

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P1 Ph Pi R Pn
di

A ei e B

O
RA L/2 RB
L/2
L

Figure.4 : Représentation de différentes charges et distances d’une poutre isostatique soumis


à un convoi.

Enoncé du théorème : Le moment fléchissant produit par un convoi composé de charges


concentrées sera maximum au droit de la charge (Pi) lorsque cette charge (Pi) et la résultante
des charges du convoi (R) seront symétriques par rapport au centre (O) de la poutre (figure 4)
c.-à-d lorsque :
ei = e (5)
V.1.2. Méthode pratique pour la recherche de la section dangereuse :
Pour obtenir la section dangereuse nous devons déplacer les charges du convoi dans les
positions qui vérifient le théorème de BARRE. Pour chaque position, il y aura un moment
fléchissant, la section dangereuse sera celle qui correspond au plus grand moment fléchissant
trouvé, la charge Pk sous la quelle s’est produit le plus grand moment maximum réalisé au
droit de chaque charge est d’habitude celle qui vérifie l’inégalité suivante :

𝐢=𝐤−𝟏 𝐑 𝐢=𝐤
𝐢=𝟏 𝐏𝐢 ≤ ≤ 𝐢=𝟏 𝐏𝐢 (6)
𝟐
Avec :
R : la résultante des charges du convoi (R = Pi ).
k : L’indice de la charge considérée (k=1 jusqu’à n).
L’utilisation de l’inégalité (6) permet un très gain de calcul, pour les charges qui vérifient
cette inégalité, on calcule le moment fléchissant à l’aide des lignes d’influence et on retiendra
la valeur maximale des moments calculés : c’est le moment critique et la section sous la
charge s’est produit le moment critique est la section dangereuse.
V.2. Section dangereuse pour l’effort tranchant :
Comme le montre le tracé ci-dessous(figure 5) de la ligne d’influence de l’effort tranchant
au droit de l’appui d’extrémité(A) pour une poutre sur deux appuis simples soumise à convoi,
la section dangereuse ou critique n’est autre que celle confondue avec l’appui A . Il s’agit
pour ce cas là pour obtenir le plus grand des efforts tranchants de disposer le maximum des
charges du convoi et de façon que les plus lourdes soient au voisinage de l’appui A et cet
effort tranchant maximum est donné par la formule suivante :

Tmax= P1.1 + P2.z2 + P3.Z3+…+Pn.zn (7)

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P1 P2 Pg Ph Pn

A B

z1=1
z2
zg
zh
zn
L. I. T

Figure.5 : Ligne d’influence de l’effort tranchant au droit de l’appui A (section dangereuse).

VI. REPARTITION DES SOLLICITATIONS TOTALES LES PLUS


DEFAVORABLES SUR LES POUTRES PRINCIPALES :
VI.1.Hypothèses de calcul :
La dalle transmet les charges sur les poutres principales, pour cette transmission on
supposera par simplification que la dalle est articulée sur ces appuis (poutres principales), sauf
que la dalle sous le trottoir forme une console.
VI.2.Répartition des sollicitations sur les poutres principales :
La ligne d’influence des réactions d’appui d’une poutre isostatique donne facilement cette
répartition pour les poutres intermédiaires(P2). Par contre pour la poutre de rive (P1), il y a
d’ajouter la ligne d’influence des réactions d’appui d’une console.

VI.2.1.Lignes d’influence des réactions d’appui :

Ligne d’influence de la réaction d’appui A Ligne d’influence de la réaction d’appui B


Figure.6 : Ligne d’influence des réactions d’appui d’une poutre isostatique.

A
L

1
L.I. RA
Figure.7 : Ligne d’influence de la réaction d’appui d’une poutre console.

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Pour déterminer la valeur maximale de l’une des sollicitations totales (moment fléchissant
ou effort tranchant) qui revient à une poutre principale, il y a lieu de déplacer
transversalement les charges de façon à avoir les réactions maximales sur la poutre en
question.

(a)

1 2

(b) : L.I. Réaction d’appui (P2) P1 P2 Pi Pn

z=1 zi
(c) : L.I. Réaction d’appui de rive (P1)

Figure.8 : (a) Coupe transversale d’un tablier à poutres ;(b) L.I de la réaction d’appui de la
poutre intermédiaire (2) et (c) L.I de la réaction d’appui de la poutre de rive.

VI.2.2. Répartition des sollicitations sur les poutres intermédiaires :


Soit zi l’ordonnée de la ligne d’influence de la réaction d’appui au droit de P i et soit R2 la
réaction sur la poutre intermédiaire (P2) qui est donnée par la formule suivante :
RP2 = 𝐢=𝐧 𝐢=𝟏 𝐏𝐢 . 𝐳𝐢 (8.a)

Si Pi sont égales (Pi=P), la formule (8.a) devient :


RP2 = P. (z1+z2+…..+zi+…+zn) (8.b)
n : le nombre de charges du convoi.
On désigne par :
MTmax et TTmax : le moment fléchissant total maximum et l’effort tranchant total maximum
respectivement sur le pont entier.
MP2max et TP2max : le moment fléchissant maximum et l’effort tranchant maximum
respectivement revenant à une poutre intermédiaire (P2) et qui sont donnés par les relations
suivantes :
𝐑𝟐
𝐌𝐏𝟐𝐦𝐚𝐱 = 𝐌𝐓𝐦𝐚𝐱 . 𝐧
𝟏 𝐏𝐢
et (9.a)
𝐑𝟐
𝐓𝐏𝟐𝐦𝐚𝐱 = 𝐓𝐓𝐦𝐚𝐱 . 𝐧
𝟏 𝐏𝐢
Avec : n : le nombre de charges du convoi, zi : sont les ordonnées maximales de la ligne
d’influence de la réaction d’appui de la poutre intermédiaire (P2) et si Pi sont égales, les
relations (9.a) deviennent :

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𝐧
𝟏 𝐳𝐢
𝐌𝐏𝟐𝐦𝐚𝐱 = 𝐌𝐓𝐦𝐚𝐱 .
𝐧
et (9.b)
𝐧
𝟏 𝐳𝐢
𝐓𝐏𝟐𝐦𝐚𝐱 = 𝐓𝐓𝐦𝐚𝐱 .
𝐧
VI.2.2.Poutres de rive :
MP1max et TP1max : le moment fléchissant maximum et l’effort tranchant maximum
respectivement revenant à une poutre de rive (P1) et sont donnés par les relations suivantes :
𝐑𝟏
𝐌𝐏𝟏𝐦𝐚𝐱 = 𝐌𝐓𝐦𝐚𝐱 . 𝐧
𝟏 𝐏𝐢
et (10.a)
𝐑𝟏
𝐓𝐏𝟏𝐦𝐚𝐱 = 𝐓𝐓𝐦𝐚𝐱 . 𝐧
𝟏 𝐏𝐢
Si les Pi sont égales, les relations (10.a) deviennent :
𝐌𝐏𝟏𝐦𝐚𝐱 = 𝐌𝐓𝐦𝐚𝐱
et (10.b)
𝐓𝐏𝟏𝐦𝐚𝐱 = 𝐓𝐓𝐦𝐚𝐱

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