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fa 5%
'Г' Г> ГЛГ-íS vï^C"^ ".Т .'"

G,E N Е RAL

Para. todas las feien-

bfcias;èn dwinftru-

.r;ь - íiientos .

*Rgcofilada del oArte magna,


у Arborfeientiœ del (DoBor^ymun-
do hull î Nueuamente adicionada y
enmendada por el Licenciado Фе-
dro de Gueuara, natural de la
J, "billa de Selborado.

Dirigida àla CR.M. del Rey Don


^эr; phelipe nueftro Scfior.

. CON PRIVILEGIO.
En Madrid , <Por 'Pedro Madrigal.
- M.D.LXXXVI, l:
VIsto yexaminado estelibro íst-
titulado,Declaracionde.dosÌR-?
strumentosvniuersales para todaslas"
sciencias,por oráfn de los senores dcl
Consejo Real deTu Magestád", com-
puesto por el Licenciado: Pedro de
Gueuara, capellan de contaduria ma-
yor de su Magestâd , hallo ser vn libro
muy curioso y proueclïoso,y que trata ^
deeosas muy dignas desersabidas, y
pornueuoestilo: y notiene ninguna
cofa que contradiga a nuestra santa Fè
Catholica. Y en fè desto,di efta íìrmav^*
dademinombre,en 29. de Deziem-
bre, Anode 1 ?8j. „;
F.Bartholomc
deHinojosa.
TASSA.
»Л£ГЯ
О M IG V E t
, de Ondarça çaualai,
У fecrefагю del cofcjo
I de fti Mageftad, do/
fc,cj los feñores del dicho confefo;
de pedímiento y fuplicacion del
JLicenciadoPcdrode Gueuar3,taf-
faron vn libro intitulado Declara
ción de dos iníhumentos vniuer-
falcs para todas las fciencias, que
con licencia de fu Mageíhd imprt
rnio,aquatromaraucdis cada plic
go en papel. Y a cfte precio, y no.
mas, mandaron quefe vendary q
primeroq fe venda ningún libro
feimprimaefh taifa en la primera
hofa decada volumen, Yparaque
Jlo confie de pedimiento deí
dicho
dicho Pedro de Gueuara, y man
damiento delos dichosTenores di
la prefente firmada de mi nóbre¿
en la villa de Madrid, a doze dias
del mes de Abril,de milyquinie-
fos y ochenta y quatro años, r. . .*
Miguel de Ondarça
J : * • caualct.;. : :. T
* , . . . i-, ' . • • ' *• ' 'i

;.' -';! .- ; . "M Di:,!; i.!-.


• r.it.' ór, •;• гис rn . :

Oí, V .:! ... .: *íb С i : ^ ' . ..*'


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í . м ..'...• .)..'; J !'.':r. t '.
'*" ".. п.-,-
oí. ' :' V ,•л -,. . ..: '•:

li';ff.i!'! :.•
SVM A DE LOS
Priuilegios.

L A MagestadRealdelReyDonPhe-
lipenuestrosenorj, concedio priuíle-
giopordiezanos, alLicenciado Pe
dro de Gueuara , para poder imprimir el li-
bro intitulado: Arte genenal para rodas las
íciencias , en dos instrumentes recopilada.
-JFecho en Vaciamadrid a 9 . dias del mes
deHenero, de 15-84. aííos . Ante Antonio
de Eraííb Secretario.

Tambien ay priuilegîo de Aragon,dado


ensant Lorenço elRcal, alvltimodiadel
-Sa es de Mayo, Ano de 1 784.
Z LICEN CIÉ i

О N Phelipc por la
gracia de Dios,Rey de
Cartilla, de Leon , de
Argon.de las dos Seci-
lias de Ierufalc-, dePor
tugal , de Nauarra , de
Granada , de Toledo,
de Valencia, deGali-
cia,de Mallorcas , de Seuilla , de Cerdeña,
de Cordoua , de Corcega , de Murcia, de
Iaen, de los Algarues , de Algecira , de Gi
braltar^ las Iftas de Canaria, de las Indias
Orientales,y Occidentales,Iflas,e tierra fir
me del mar Oceano , Archiduque de Auf-
tria. Duque de Borgoña, de Brauante, de
Milan Conde de Afpurg, deFlandesy de
Tirol , ¿kc. Por quanto por parte de vos el
Licenciado Pedro de Gucuara , nos ha fido
fecha relacion, diziendo, que vos auiades
compuefto vnlibro,m titulado, Arte gene
ral , y breue para todas las feiencias , y por
los del nueftro Confejo , fe os auia dado li
cencia para lo poder imprimir:y agora para
mayor declaració.leauiades añadido ciertos
efcolios.fuplicandonos,hos dieíTemos licen
cia, y facultad para lo poder imprimir, o
que fobre ello proueyeíTemos , como la
nue
«cencía:
nuestra mereedfueíle . Lo qual visto por
losdel nuestrOìComejo v por quanto en el
dicho libro- se hizoladiligencia,que la prag
marica por nosincjcha dispone, sue acordan
do, que deuiamos mandar dareftanuestra
carta para vos en ladacha razomyjios toui-
moflo por bien s y por la presentemos da-
moslieenciayXacultad, para que-por esta
Vez podaysiiazerímprimir el dicho libro,
que de sufó fè'hazeTnincion en estos nues
tros Reynoáj AniporxlLo caer , . ni incurrir
en pena alguna, por el original que en el
nuestro Consejo se vio, que van rubricadas
las planas , y . sirmadaïal sin del de Miguel
de.Qndarça-Cauaia. nuestro escriuarto de
Camara, de los que en el nuestro Gonstio
residen . Conque antes que se venda , lo
traygays ante los del nuestro Consejo, jun
tamente con el original , para que se vea,
si la dicha impression esta consorme a el:
y traygays seeen publica fcrma,en como
porcorretor nombrado pcr nuestro man
dado, se vio, e corrigio la dicha impression
por el dicho original, y se imprimio con
forme a el , y que quedan anst mismo im-
preslas las erratas por el apuntadas para ca
da vn libro de losqueansi sueren impres-
j|%scos taffc el precio per que ouieredes
de fie , sueron mai de tres.mil íibroipttrd
todas las .fciencias . Hajoymtftfea»ie.ndo
V. M, en fus felicijiimçs dias hecho ")/ntt
merced un fenalada. en ejlablecer en ejla
Cortey "\nn ^ícademid doniefeíeatodàstis
Mathematicas y Philófophia , poniedo para
cllo maejíros tan eminentes: ,j de teinta, eruì-
dicion y experiencia. Pttselo en nuejìra lek
gua Cafiellana por fer la "Voluntad de V.
que enl/uejlra ^icademta se lean todas las
fciencias enejìra lengua , para que tanto
bien feade todos mas facilmente apren~
• - . dido con el fauor de Dios y
*•';/,' ' .. dcVïM.' . • . i"-

v. ..o •. A t'iivr . ¡y
'. toliKV •V.KOOfcfV • "i '- ♦,."jì.
"M tx. \sr¡ ' .v,«U.ïKo\v.-vr:.t:-.." ." Vt
'».».•.. •-'.».;: :. • ... .:r.t- kua fit - r t:
íэ!
Я

L Que apartado de to*


da inuidia , y murmura*
cion, quifiere aplicaría
entendimiento a ellos
dosinûr umentos, halla?
ra en ellos tan grade generalidad, quo
bien aprendidos le daran camino, ;y
medios para refponder a qualqutee
queftion . Porque la tal queftioh rraí
tara deDiosro deius criaturas. Las
quales fereduzen aocho fubjetos^què
fon,Angel, cielo, hôbre, imagination
íenfitiua, vegetaiiua, elemetatiua,inf»
trumentatiua. .b .. . ; ;akup
El primer inttrurflemp fe diuideaea
onze círculos;- En el primero,qúe.efta
junto al centro, dize, Arte breuepara
todas las feiencias. En elfegund&efta
л uewe letras por feñales : por las дияг
les
Àl Lecton
les t&Xi toda-fu arte Raymundo^son:
B. C. D. E. F. G. H. I. K. En el terccr
circulo esta los nueue vicios , que son:
Auaricia, gula , luxuria, soberuia , de-
íidia^inuidia, irxymcnùts^y inconstan-
cia. En el quarto circulo estan nueue
vìrtudes , que son j justicia , prudencia,
fortaleza,templança, fee, esperança,
charidad^aciencia^piedad. En èï
quinto estan los nueue sugetos , a que
lodo lo que tiene ser íê fugeta : los
quales son: Dios, Angel,xielo, hom-
bre , imaginatiua , vegetatiua , ele
mentatiu a , instrumentatiua . En el
sexto estan nueue reglas , con las
quales se niuelan, y reglan todaslas
questiones de lo/que tiene ser . Las
quales son , Vtrum dudando , afsir-
mando, negando? Qukl con qua»
«rcpefoccies , que es la cofa en si , y
que tiene cnsi , y que esren otro ty que
Al Lector."
primiriuamente , y deque dcriuati-
uamente , y de que poísessiuamen-
te? La quarta es Quare, con dos es
pecies, porque formal, y si nalmente?
Laquinta crQiianto, con dos espe
cies, quanta continuo, y quanto dis
creto? La. sexta es Qual, con dos
especies , que son propriamentc j y
y apropiadamente ? La septima es,
Quando con quinze eípecies , las
siete deia: C' O. y las ocho de la K.
La octaua es y en donde : con otras- -
quinze especies de las mismas letras;-
Ç-^-D . .R.^-Lii: nona es , Como,
y ¿ón lque^ con ocho especies . L»
primera , como es parte ? y la se
gunda corno esta la parte en parte?
y la rércera y como el todo esta en
sus partes ï y las partes en íù todo? y
la quarta , como el todo comunica
fu semejanea , y la de sus partes? Y
las mismas quatro eípecies tiene la
AÎLe&wv
Eh cl fepthrto eftan losmacue princi
pios.relatos,quc fon la dififerenci^con
cordancia, y contrariedad,quefc hallar
entre vn fenfiial y otro ..: y entre va
intelectual y otro: y entrevn-fenfua^y:
vnintelectual. El prineip iaiubftan-,
cial de las quatre, cauiàs , final , mate*.
rial,formal,y.cfficiente.¿Yí cl principio
accidental, qué Гoп^саашЬк!, calidad^
relacion5aétion,pafsion jTbabitövfitio*
en donde,y quanda. Ytrèi na'edios dè
menfuracion ¿de conjuncion,y de ex*-
tremidades.. Y tres fineside priuacion>
terminâciôyperfecio.Y lamayöridadj
igàaldadjminoxidad entre vnafu:bftan
cia.yoira, f entre vn acódete y otro^y
éntrelafubftaciay accidére;En etafta,
uo eftan los nueue principios abfolu-
tos, que fon bondad, grandeza, dura-
cion,poder?fabiduria,volutad, virtud,
vèfdad,y gloria . En el nono eftan los:
concretos quefaîen deftos abfolutos,
que fon,bueno, grande j
Al Le&or.
derofo,fabíbj Vôlente, virtuofo, ver
dadero, gloriofo . El decirtto; y el
vndecímo declaran vna tabla gene
ral, que fe haze de ochenta yquatro
columnas, a veynte fyllogifmos cada
columna , mezclando los principios
abíolutos con los relatos de tal ma
nera, que los que eftuuieren antes de
la. T. fon principios abfolutos , como
B.C. D.T. bondad, grandeza, dura
cion : y los que eftuuieren defpues de
Ja. T. feran relatos, como. Т. В. C. D.
differencia, concordancia, contrarie
dad ( como fe dira efto a la larga en fa
lugar) Aduirtiendo,que cada letra fig-
nificafeys cofas, vn principio abfolu-
to, vn principio relato, vna regla, vn
fubjeto, vna> virtud, y vn vicio . De-
manera , que fon nueue vezes feys,
que fon cinquenta y quatro terminos,
con los quales mifturados vnoscon
otros, fe haze vna calculacion tan alta,
y tanpoderofa, y de tanto myfterio,
Al Leftofc
que penetrado y entendido , parece
mas diuino , que humanó . Porque
mezclando por ellos qüalquiex par
ticular, fe vera fu generalidad : como
fe vera en el proceffo de la declara
cion. . .'">" .-
ERRATA S.
Hpja. i .Plana. 1 .Renglon ' 7.poi' c ftà.di .c fta ?
p. eifà.; èrta .pe«.«ftiL?fta. 4 .1 .1 .o.alla. halla. ,
8.»iij.&eljctu.llelaw>. ijmiftCorUa.cóaa.
tfi.y.h*a. ly,T.-rp mothodoimcchodo.^á»
dela.R.dcla.Ki m , 1 .antcp. echa hecha.
îj.t , antep.boficable.bonihcablc. 1-4,1.17.
t&*9»proptÌQ. propria, j^ua.ioi prcílade.
preftada. -jrnn4.dela gente.dcl agence,
33.i.n?.euifciroituiccino. $4tïai, les», las. .
3^.6isubflauiij,subílaiiiul. ^7.2.13. hafr
-ta4»Kiyafsi y as8»<-40-Ji antcp. ara.harâ.
vki.pondrarnpôdTan . 43.1,1. porla^aplka
cioa de. dela aplicacioftpor. £1.1.17. assí. a
si. 69.i.io.espiciclos.cpiciclos. 7f.i.i<).se-
uera.se vera. 7<5.2.i7.assí.a si. 78. 1. pen.
oyo.hoyo. 78.2.24. assí.a si. 79.2.13.I0S.
las. 8o.2.io.iIumisicable. y lumiíìcable.
Declaracion.
Hoja.i. Plana.i. Rengló.27. particu.partî. ,
3. 1. 18. les. los. f. 1.14. alçado. calcado.
lo.cololacíon.colûcacion. 7. 2. 14.laJ.loi.
16.La.Las. 8.1.3. quel.qual.9.e.î.tarar.tra.tat
io.2.i6.allar.hallar. 14.1. 8. echas. becha»,
i7.i.i.legicas.loglcas. 7. termito. termíno.
i3.subaleerto. subalterne), xo.i.i.precisisii-
ma. preciosissima. j. sc extrin. extrin. 13.
Stersicorc.Sresicoro. ii.i.iÇ.m?bro.rniem
bm.ii.hata.hara.i6.i.2r.merc£da.incr';ada
26.2.
i^í.Sil-cnoturaes potfciofa no es. criatura
es poderoía.luego alguna cofa poderola noL
es. t7.2-^>eh.rccuzir,rednzir. jo.i.iy.ahj;
a•fi. 3¡5.i.i9.aun. avn. j&Vtf. antecenden'
cia. antecedencia, 39.1.15:. hatiâ.harina. '
39.2.vlti.dela.del a* 4b.í.*nteplalagos.ha-
lagos. 41:г.6.пaшгa1 es. natàrâles. 41.1.
ij.fin.fin. 44.1.17.10.1a. 4i,%. í14 vencoT
al que te vence a ti. venço al que tu vences^
4.6.t.7.de:ia. te: la. 48.ia8.cerro.cerró¿
ly.cerro.cerro.xi.cerïô..ccrrô. л UM
' .sitian Vazquez 'J'v

-.": Vï...^ .. .:.:'.:.:9..-.4. -м.". ъ .л


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*:. -"o.i. i.. •.; .,•,( .yl, . ) .. '"•":'u'Vj.it
,п:лк '• t. ;.j.', J ,., .r.:.-' '.. : j.'- i:
".5.VV r ... i.-ï .V-. Jurc.V
ARTE ,s;

GENERAL PARA
todas las fcicncias.

Proemio.

A%^A Queconmasfacíli
j dadfe tenga en la memoria
efia arte -, diuido efie ItbrQ
en feys tratados. t .
Enel Фг'тего fe-declaran Us nue-
lie letras della por тем Capítulos.
Folio, i.
EnelSegudofe declaran enpartU
calarlas nueue reglasjFol. 19.
i Enel Tercerofepone algunas aduer
tencias para el Jfo deßa arte Fol. 3 r .
EnelQuartofe contienen los quin
"Ze "bfosdeüa. Fol^ y.
EnelQuintofepone !¡>nafumaria de
linea"
limación dehsdie^y-feys arbores
âgl4fiber. Fot.64. . ,f
Enet Sextofe pone algunos exem
ples para mas claridad dkl^fo.forpg.
Finalmentefe añade enefiafegtida
imprefsion Ъпа fumaria declaracion
defia arte diuidida en nueue capitu-
losyaue efla alfin defia artery çomîçi
ça. Folio, i.

TRATADO PRÎ
mero de la declaración de las
' nueue letras generales.

Diuidcfe eñe tratado en nueue Ca


pitulos,porelordendelas nue
ue letras generales.
.ú " CA
Fol. t
CAPITVLO
PRIME R O
de la letra. B. j defusfeys Si
gnificaciones , Emanado -
nes'3 j ^Argumentos.

B
A. B. signisica la Bondad, Diffe
rencia, y Si es? Dios, Iusticia, y
Auaricia.
' La Bondad es,por cuya causa el B
bueno obra bien,y todas las cossas , que tie
nen ser,son buenas.Y assi bueno es tener bó
dad: y malo no la tener . Esta bo.ndad es
criada, o increada: essenciaLo accidental:na
rural, moral, o artisicial. A esta bondad se
le opone la malicia : y por tanto bueno es
ser:y malo no ser. La bondad moral fe cau
sa de muchos actos, que proceden de la vo-
lútad:por ser consormes a la razon re£ta:co
mose dira adelante en el nono subiectode
lainstrumentalidad. Yaquelobiecto tie
ne su ser de la bondad natural (de donde se
regula) aquien se le opone el mal. Y esta
bondad es vn abstracto y vn principio gene
ARTE
ral, que esta en todo lo que se entiende ín-
ftrinsica y sormalmente:/ assi es primitiva',
verdadera, yneceffaria: con la qual todas
las cossas son verdaderamente buenas, y sin.,
ella todas son malas. Su concreto es lo bue
no y a ella rebocamos lo que es honesto,per
teneciente,decente,licito,acomodado,hon-
rado, acceptable, saludable,adornado, san-
ctoconueniente, agradablcbenemerito,pu
ro, digno,justo,debido,comodo,tranquilo,
benigno, Frutisero,y persecto: y sus contra
rios destos: De los qùales se da Regla, que
siempre se concluya afsirmando por la ma
yoridad del sin dela persection : y con los
contrarios negando por la minoridad del
sindepriuacion. Exemplo de lo primero,
todo lo persecto es mejor y mas noble que
lo impersecto: todo sin de persection es me
jer, y mas noble que lo que le ordena para
el sin:porq lopersecto dize mas de entidad,
que lo impersecto : y el sin y bueno se con-
uicrten: la causa es: porque el sin es por si,y
lo que se ordena es para el sin. Porque nin
guna cossa ordenada es mejer , q aquellopa
ra que se ordena. Y por esta Regla se suelta
insinitas dudas, como si Dios es mas noble,
y mas persecto que las criaturas ? Respon
dese, que si: cojuoparesce por la maxima
«- - dicha:
GENERAL. ì
dicha: porque todo lo que es buenopor si y
por su naturaleza es mejor y rnas noble que
lo que es tal por otro:Dios es assi:luego,&c¿
y lo mesmo se dize del hombre respecto de
las demas criaturas;, del todo y sus partes: y»
estomismo es enlo moral. Como obrar ju
stamente es mas noble que la justicia: y la
causa es: porque el habito es por el acto, y
se hade elegir lo mas consorme ala bondad:
Eueslo bueno se ha de dessear y lo malo se
a de deísechar: y reduzese lo impltcito a lo
esplicito destos principios essencialesjVerda
derosjprimitiuos,y necessarios (por los qua
les principios los de todas las sciécias se pue
de prouar.por ser estos vniuersales y fraseen
dentes.) Reducese pues a esta bôdad (como
dize Lupeto)todaslas obras dejusticia,mise
iicordia,honestidad,los articulos dela se los
precetos dela ley, los sicramé'tosjlos dones
del Spiritu santo,y las bienauéturaças: y tra
tádo vna cossa por la bondad se hallara todo
lo necessario para discurirse en la mezcla de ,
llaco los otros principios,por la cubicacion.
El principio relato desta letra.B. es la dif
serencia, por quien la bondad , grandeza y
las demas colas sons claras y no consusas;
y esta differencia ay entre vn sensual y
otro: como entre las cossas elementadas
? J ; A i vege-
' A R T E
Vegetales , sen suales :i magi nales,hum3nalesT
ycelestiales, que scn sensibles . Y entre vn
intelectual y otro: como entre Dios , ange-
lesy las almas,que son intelectuales. Y en
tre íensual, y intelectual: cotno entre cl
cucrpoyel amma. Esta differencia tiene
suscrnatos, oemanationes, que son, alie-
d.ad,discrecion,pluralidad, multiplicaríonj
diuersidad , diuision, desemejança, despro-
porcion, desygualdad , variedad, aparta-
miento, y separacion . De los quales se da
per Regla , que siempre seconcluya afsir-
mandoconlamayoridad delfìn de la per-
secion: y al contrario negando por la mî-
noridad del sin de piiuadon . Porque to<-
da differencia arguye pluralidad, y toda
pluralidad differencia: y níngun índístín-
to arguye pluralidad : pcrque lo que es
indistinto es singular y absoluto y vno .
Reducense a esta differencia todos los nom
bres proprios ,spbrenombre, titulos , pro-
nombres, primkiuos , deriuatiuos , demo-
stratiuos : y todas las proposition es singu*
lares, è indifsinitas. V se arguye assi. To
da differencia es mejor , mas firme susfîcîé-
te yde mas potencia enla pluralidad,que en
lasingtilaridad: Y toda differencia espeot
y mas ír'agil enla singularidad que enla phi-
- " ralídads
GENERAL. j
ralidad: porque la razon de la differencia
esta en la pluralidad, y no en la singulari
dad. Luego toda distincióobiectiua es ma
yor mejor y mas estable cj lasubiectiua: y la
subiectiua que la generica:y la generica que
la essencial : y la essencial que la numeral:
y la numeral que la real: y la real que la ser
mal: y lasormal que la natural: y la ratural
2ue la de la razon . Y por esta escala de
as nueue dístinúones se saben millones
de riquezas.
La Regla de sta letra. B. es vtrum, o si es ?
Y tiene tres especies Duda, Afsirmacion, y
Negacion. Escogiendo lo que fuere mas
consorme con los diez y ocho principios ab
solutos,y relatos . Demanèra quesivno as-
sirma todos afsirman , y si vno niega todos
negaran ;v Y si consideramos a cada vnojle
no delos demas: porque son transeenden-
tes,en cada vno se encierran los demas. Co
mo si es bueno que aya Dios ? La Bondad
dize que si,y la Grandeza , Duracion , Po
testad , Sabiduria , Voluntad , Virtud^
Verdad , y,Gloria . Y que Dios sea justo,
todos dizen que si: y que sea abariento to
dos dizen que no. Y aunque parezcan al
gunas vezes que contrarian alguno^ no es
afsi: porque si mezclamos los vnos con los
ARTE
'otros, demanera que la conclusion no cótra
diga amistura alguna de la arte, hallaremos
que nos descubren la verdad.
B El subiecto desta letra es Dios nuestro, su
mo bien, todo poderoso, immenso, eterno,
sapientissimo,amorosissimo,vktuosissimo,
de eterna bondad, y gloria.
B La virtud desta letra es la Justicia , con ¿j
se da a cada vno lo que es suyo.
B El vicio desta letra. B. es la Auaricia, q es "* ^
vn habito vicioso con q el auariento habitua
do es cfcaso,y huye de dar a cada vno lo q es
fuyo.Y por ser esta auaricia , Rayz de todos
les males, se ha de huyr della muy de veras.

£af. ij. 'De la letra. C. y deftif


jeys Signifìcacìonesy Emanaciones ry
Argumentos. :-:', . •;
. •• • .: u
C.
• . i , "'. » ; '
LA,C.signisica Gradeza, Concordada,'
Que es? Angel, Prudencia, Gula, k
La Grandeza es vna propriedad, por
quien la Bondad y Duración y todos los de*
mas tiene principios de cumplimiento en su
ser , yque -abrazan todas las extremidades |
" del,
GENERAL. 4
àel, conpIenitud,y persecion, sin salta ni
sobra de algu principio necessario.Esta Grâ
deza es subltancial, y accidentai. L a substan
cial o quiditariua o essencial, es la sufficien-
cia de cada cosa segiï su capacidad essencial.
Y assi plenitud se llama aquella sin quien ta
das las cosas serian pequenas,y su priuacion
seria gra Vacuidad. La grádeza accidéral es
o de virtud,O de corporeidad. Y la devirtud:
h se^alla en las cosas elpirituales: y la de corpo
reidad (que llamá molis) en las corporales.
Eílagrandeza tiene sus emanaciones assi en
cocreto.comocnabitracto.Eii abílractoscn
capacidad,copiosidad,susflciécia, intélìdad,
extensidad,abundanciajargueza,,y transcé-
dencia.Dc la qual se da Regla, que siépre se I
cócluya en sabur dela mayoridad del sin dcl
fer y perseció , y al contrario por la minori-
dad del sin y priuació. Y con la affïrmacion
en fabor del intéso:y con la ncgacion en fa-
bor del Remiso o extéso. Como todo copio
so intenso es mas perseíro q su extélo: porq
intéso dize razon sormal , y lo mas de enti-»
dad : y el extenso lo menos , como es la. ra
zon material en la qùalla virtudefta exten
: fa y mas debil.Como pareíce del ruegcque
encédido en vn poco de hierro es mas fuerr
- teqenlaestopainflamada.Yassielangeles
V-> ' A 4 ' maJ'ot
A K 1 E
es mayor que el Cielo : y el hombre, que el
Leon: y la substácia mayor que el accidente
intensiuamente . Y por la negacion: como
ningun deffecto es mas persecto, ni abun
dante, que lo copioso y grande intensamen
te. Ninguna cosa accidental es mas fertil y
copiosa que la substancial. Ninguna cosa fi
nita es mayor que la insinita. Ningun cor
ruptible es mas que lo incorruptible. A esta
grandeza se reducen todas las cosas particu
lares, y singulares, todas las razones delos
habitos, todas las composiciones, todo lo
material, y todo lo corporal,todos los habi
tos exteriores,todo termino y toda medida
en razó de plenitud de todo y de partes.
C El principio relato desta letra. C. es la
concordancia,que es vna sorma por la quai
la Bondad, Grandeza y los demas princi->
pios concuerdan en vno, o en muchos. Cu
yas emanaciones son Identidad,Semejança
Propinquidad,Vnidad, Con)uncion,Con-
ueniencia.La Etymologia dela cócordancia
es cócorsdantia,que es concorde entidad.A
que se reduzentodas las semejançss , todos
los parftescos , y afsinidades:y todas las co
fas que dizé vnion,como matrimonio:y las
que dizen pactos y conciertos: y todas las
alianzas, y amistades como par,conuenien-
cia,
G E N E R A L. f
cîa,ytodos los abstractosvniuoccs o fyncmo
mos, y vniuersales, y proporciones vniuer-
íâles:todas las vnidades fraternales : como
el todo, la ciudad, el pueblo, la cosradia, el
colegio. Desta concordancia se da por 'Re
gla que siempre se concluya afsirmádo por
la mayoridad del sin del ser de la persecicru
y al contrario negado por la minoridad del
sin de la priuacion.Como si el angel es mas
persecto,que otra criatura? Respondese que
lí: porque aqueüo quees mas semejante -â
Dioses mas persecto, que lo menos seme
jante. Yafsi toda concordancia es mejor»
mayor. y mas sirme en la vnidad i y - simili*"
tud, cj en la pluralidad y dessemejançarporq
toda concordancia o entidad de la naturale
za de la cossa precisamente, es mayor que la ...
sormal: y la sormal mas que la real: yafsi
de las demas concordancias . Y por las de
la Biblia se podra sacar la grandifsima vtili-
daddeste principio: lasquales jamassele
auian de caer delas manos al Theologb- Y
por este principio Relato se puede cojectu-
rarel valor delos demas principios desta ^
arte : porque concordando y conuinando
este con ellos, hallaremos el medid preciso
dela demostracion.
La Regla desta letra es,Que es'Con qua- C
A 5 «o
ARTE
tro especies.Quc es la cossa en si? Y que tenga
en si ? Y que fea en otro ? Y que tenga en
otro? Y ressp. a que es en si la grandeza?
Que la grandeza es aquella , por la qual la
cossa grade haze cossas grandes: o aquien pro
priamente leconuiene engrandezer. Y a
que tiene en si? Como la grandeza es vn
principio que tiene en si su tiuo, bile, y are :
íln los quales no seria grande:porque no ten
dria principio para haz'er ni recebir ni ajun-
tar:y afsi no íe podria mezclar sino huuiera
algun particular. Y a que es en otro? Como
ien k bondad buena y en la potestad podero
fa. Y a que tiene en otro ? R. que dar cum
plimiento ala bondad, potestad , y alas de
mas cossas. ¡tt- ;»:-;
C ; Elsubiectodestaletra.C,eselAngel,qes
vna substácia espiritual sin euerpo,a quié le
pertenece y es proprio y natural ser criado,
para amar, seruir y adorar al gran Dios nfo
fumo bié,todo poderoso, co mas simple ser.
que toda pura criatura. Y afsi es mas seme-
-- -jante en esto a Dios.
|Ç r ! La virtud desta letra. C. es la Prudencia,
que es vn habito que tiene prouidfcia de las
cosas que estan porvenir. ::.•»
Ç El vicio es la Gula,co la qual habituado ej
goloso pierde su vida, alma,y hazienda.
GENERAL. 6
Caf.iij. Deßa letra3D.y defm
fejs Significaciones, Emanaciones } y
frumentos .
D
LA,D.(lo;nifica la Duracio, Cotrnriedad,
De q?Cielo,Fortaleza,y Luxuria.
Laduracioes aqlla propriedadpcrlaql D
la Bódad y las demas cofas dura. La quai es
eterna,cuiterna,ot€poral.La eterna esDios:
la euiterna los Angeles y Aimas: y latépo-
ral las demas cofas generables y corrupti
bles,,} proceden de la materia primera.! la
tal duració fe caufa del primer mobiLfegun
la tardaça de las cofas mudables.Las emana
ciones delta duració fon, permanecia, con-
ftancia,eitabiridad,firmeza, perfeuerancia,
prefencia perenidad,vida,mouimieto,tem-
poralidad,mortalidad,eternidad, y euiterni
dad:y fus cótrarios.Y dizefe Duració,como
fi dixefe dura eihció.Ydafe por regla enella
qfiêpre fe cocluya de lo eterno reipec"to de
lo cuiterno, y delo euiterno relpeclo delo te
pcralaffirmando . Como todo immobil, y
eterno es mejor mas firme,yperfefto,qlo q
es mobil y euiterno : y lo c¡ es euiterno me*
jor q lo fucefiuo y téporal. Y negado, como
ji'w ец téporal es mejor, ni mas perfecto que
? loeui-
A R T E
loeuitèrno,Ningú euiterno es mejorni mas
persecto que lo eterno: porque lo eterno di-
ze mas de enridad : y lo euiterno es mayor
que lotéporal. Y assi lageneracion en Dios
«s mas noble y estable, sin comparació, que
lageneració en las criaturas:porq enlas cria
turas dize succession: y assi requière tiépo y
lugar: y en Dios no.A la duracion se reduze
toda la constanria del ente,como esperança,
ccnsiança,permanencia,y toda dictió que si
gnisica termino de tiempo,como afio,mes,
semana,dia hora: y toda diction quesignisi
ca immobilidad, como sempiterno : y toda
edad como infancia^adolescencia,iuuentud.
virilidad,vejez,decrepita:y la vida,sanidad,
eonualescencia: y lainconstácia, y todo mo
bil, ysuccessiuo.
D • El principio RelatodestaletraD.es la c5
trariedad,que es vna resistencia reciproca y
trastrocada : por causa de diuersos sines. A
la qual contrariedad se reducen todas las,
contrariedades , agora scan aduersatiuas , o
priuatiuas,o relatiuaSjO contraditorias. Ytiè
ncestas emanacionesextraneidad, ineopa-
tìbilidad.resistencia,enemistad, desistencia,
y sinalmente todas sus oposiciones.Yassi es/
principio general, vniuersal cubicado en los
demas prLncipiosyniuersales. Ytodacótra
riedad
GENERA L. 7
ríedad de la criatura en que ay sines contra
rios espectsicos , yparticulares,como calor»
frialdad,humedad, sequedad : peso , liuian^
dad: sorma priuacion: acto, potencia, algo,
nada: y assi de los demas , que tienen incli
nacion a diuersos sines. A esta contrariedad
se reduzen todas las oposiciones , todas las
dessproporciones,priuaciones,discordias,se-
paraciones,controuersias,diuorcio5, y todos
los analogos, y las preposiciones de acussati-
uo,como son contra, aduersus,aduersum:y
todas las cótrariedades, que ay en las demas
cossas.La qual contrariedad ay entre sensual
y sensual, o entre intelectual , e intelectual,
centre sensual e intelectual. Especulando
pues bien esto , bien a la clara se vee la gran
generalidad y exceso desta arte a todas las
del mundo . Y esto c¡ue se ha dicho dela dif
ferencia, concordancia, y contrariedad con
stituye el triágulo primero del arte natural.
La Regla desta letra D. es De que?Y tie
ne tres efpecies.De que es la cossa primitiua-
mente? Y de q«e es deriuatiuamente ? Y de
3ue posesiuamente?Como de que es la bon
ad primitiuamente ? R. que de si messma.
Y deriuatiuamente? R. que, de sus partes q
son tibo,bíle,are:deías quales es. Y poscfsiua
mente? del íubj ecto, q la posee, o dóde esta.
ARTE
D El subiecto desta letra es el Cielo, donde
se trata de toda la Asfrologia,que siendo bie
entendida es cossa suauissima:y toda se reda
ce a lo sensible : y asi derechaméte ño fiier-
%a a lo intelectual. Aunq por la concordacia
con lo corporal inclina mas o menos. ;
D La virtud desta letra es,la Fortaleza, q es
vn habito , con el qual los demas principios
obran con sortaleza.
El vicio deílaletra es,la Luxuria,q es vn
habito priuatiuo,có el qual el luxurioso pier
¿e vida,alma,honra,yhazienda.

Cap. üij. De la letra, E.y ¿/o


fus fejs Significaciones , Emanado^
nes} j Argumentos.

E.

IA, E. signisica la Potestad , Principio,


Porq?Hóbrc,Templ.inça,y Soberbia.
—» La potestad es vn principio,por quiê"
laGrandeza, Bondad , y las demas tienen
potestad de ser y obrar . Laqual, o es insi
nita, o sinita . La insinita es , el mefmo
Dios : ylasinita, o es , natural, o legitima,
«violenta. La natural esta en todas las co
fas,
general: s
íàsjComo la potencia del mar para tragar
las cossas , y anegar las naos.La legitima po
testad es , la que el Derecho y Leyes nos c6
ceden. Y assise dize: Que aquello pode
mos , que con derecho podemos , ygualan-
dolo con los principios desta arte: y soltare
mos lasquestiones de leyes porque la ley,
que contrabiene a la mistion deste arte , es
injusta. La potestad violenta es la con que
vsamos mal delas virtudes,o suerças,o otras
cossas : las quales van contra la mistion de
estos principios. Su etymologia es potente
estado ( que quiere dezir poderosa vigoro
sidad a vigoroso y suerte estado ) Sin la
qual en ninguna cosa abriaser ,ni poder,
ni obrar . Sus Emanaciones son , autho-
ridad , sacultad , aptitud , osficio , y digni
dad . En la qual potestad se da por regla ,'
( como en las demas ) que siempre se con
cluya afirmando en sabor de la mayoridad
del sin del ser y poder, y obrar persecto :
y al contrario negando por la minoridad
del sin de la priuacion . Como si la rosa
en el ramo es mas persecta que en la rayzï
O el trigo en la espiga ? O el ser subiecti-
uo , que el obiectiuo? Digo, que si : porque
todo acto es mejor.y mas sufnciente,y csta-
i>le,y mas semejate a Dios, que la potencia.
-". ' Y negando.
ARTE
y negando, Ninguna potencia es mejor, ni
mas sufficiente ni persecta, que su acto: por
que el acto es segun la mayoridad,y la pote
cia segun la minoridad:y la causa es porque
la potencia íe ordena para el acto. A la pote
fiad se reducen todos los entes que son,, en
potécia y en acto: y todas las determinacio
nes: y todas las calidades de las cossas,y todp
genero de armas,cOmo espada, lança, escu
do, y los demas poluorines , y machinas Be
licas : y todas las potestades,com o E mpera-
dor, Rey, Principe , y sus officiales : y todo
lo que dize vigor y facultad, como ser guar
da, o conseruador.
E El principio Relaitodesta letra E. es el
que llamamos Principio, el qual esta en las
cossas como caussa,que denota alguna priori
dad. Eí qual es o substancial, como las qua-
tro causas, material sormal, essiciente, y si
nal. O accidental , como los nueue acciden»
tes¿calidad,Relacion,acti5,passion,cátidad,
habito,sitio,lugar, y tiépo. Y las emanacio
nes de este principio, son , laprimitiuidad,
principalidad, caussalidad,originalidad,ante
cedería. Y dize se principio como principal
estado. Y redizé se a este principio todas las
cossas dichas delos demas principios en razo
deprioridad : y todas las preposiciones de
GENERAL. 9
ablatiuo, como a, e, ex, de , y las demas . Y"
da se por regla en este principio , que siem
pre se concluya affirmando por la mayori
dad del sin del ser de la persection :y al con
trario negando por la minoridad del sin de ,
lapriuacion: y affirmatiuamente poi: la per
section mayor de la causa sinal respecto de
la efsiciente : y de la efficiente respecto de
la material. Exemplo de la primera : Porq'
lasubstácia es mejor y mas noble que el ae-
cidente,toda causa sinal es mas noble que el
accidente. Toda causa sinal es mas noble, y
mejor que la efficiente o eftecto : y la causa
es , por ser la causa independiente , y el este-
cto dependiente: y lo mesmo es de laefficte
te. É toda causa es primera qne su effecto : y .
todo principio es primero en su genero.-
La regla desta letra , E. es , Porque ? con £
dos especies, sormal,y sinal. Como,Pcrque
es la bondad sormalmente? Respondesse,que
porque es de su bonisicatiuo, bonisicable,y
bonisicar. Y para que es la bondad sinalm?
te? Respondese,quc para hazer siempre bi?.
: Eísubiecto desta letra es, el hombre, en E
quien summò Dios todas las criaturas. El
qual es vn.aninul,ai quien propriamente c5
pete homisicar.' Ir,
. LaviituddestaletraeStlaTemplançaJa E
. A R T E
quales vn habito,con que el habicuado ha* .
zc sus cosas templadamente. ,
B -El vicìo es la Soberuia,de la qual habitua-
do el soberuio haze todas sus cosas, como,
Luciser, hasta dar en los insiernos, con íu
altiuezy ambicion.

Çap. tv. De la letra. F. y deÇm


Jeyi Signifìcaciones) Emanacioaes } y
yirjrumentos .

F. ¡

LA,F.signifìcalaSabíduria,Mecuo,Quí
to es?Imaginatiua,Fee,y Accidia.
La Sabiduriaes aquellapropriedad,
\ por quien el Sabio entiende. En Dios,se lla
masabiduria:y en elAngelinteligencia: y
en el Hombre se llama entendimiento:mas
en todas las demas cosas se dize instincto. Y
es verdadera,primera,y necessaria:y sin ella
ninguna cossa se podria entender: y todo sc-n
riaignorancia . Sus emanaciones son conse
)o, orden ,ley , regla razon , sciencia, arte,indu»
striajprudencia,y conocLmúento. Su etymo.
logia es sabrossa íciencia,o sabida sciencia , o
capacidád dssccrctos. Ds la quai se da por
'* regla.
GENERAL: to
regla , que sicmpre se concluya affirmando
por la mayoridad del sin de lapersecion : y
al contrario negando por la minoridad del
sin de la priuació. Como toda razon es me
jor,mayor, mas durable, y poderosa,que la
estimatiua:y la estimatiua es mas que el sen
tido: y el sentido mas que el instinto. Y la
causa es, porque la estimatiua es para el en.-
tendimiento: el sentido comun para la esti
matiua : y el instinto para el sentido . Y a
esta sabiduria se reduzen todas las cossas ra
cionales , y del entendimiento : con las qua
les se conocen Dios , el Angel, el Hombre ,
el sentido , todas las artes liberales, y me-
chanicas y todos sus obiectos exterioriores ,
è interiores: todas las que dizen doctrina., f
disciplina : y todos los grados de las scien-
cias, como Bachiller, Licenciado , Doctor,
y Maestro.
El principio Relato desta letra , eS el F
Medio , el qual es vn subiecto , pcr
?uien el Fin influye en el Principio , y el
rincipio refluye enel Fin :particip ante de
la naturaleza de ambos . De donde con
sta , que el medio es aquella semejança
de la influencia, y refluencia delos dos e-
stremos , de que se viste, y constituye la
substanciade entrambos.: y dize la vniort
-; B» dej
•ARTE 1
del ¿juntamiento de la sorma y materia: y
es principio distinto de los estremos,de que
es el compuesto . En este medio vniuersal
estan todos los medios particulares. LaEty
Tnologia del medio es en latin ametisdiui-
duum, (que quiere dezir ) apartable de sus
cstremos. Sus emanaciones son, mitad, ca-
mino,paso,mediania, instrumento:y a este
"medio se reducen rodas las cintas;como zo-
na,correa,cenogil: y todos los instrumentos
naturales y artisiciales , como compas , sier
ra, martillo : y las moroles ,'como virtudes,
y vicios,y las artes y todos íos habitos positi
uos,y priuatiuos: y todos los miembros cor
porales,con los quales obramos , como lai
manos,ojos,pies:y todos los actos y opera^
ciones, con los quales hazemos algo : todas
las medidas con que medimos, como linea,
sigura: todos los numeros: y todos.los Sacra
mentos, y obras de Misericordia : todos los
Mandamientos de Dios, y de la sancta ma
dre iglesia. Enoes inconueniente ,quevna
cosa fe aplique en diuersas partes,por diuer-
sos respectos:porque todo lo dicho se aplica
á la bondad, y la bondad a todo lo dicho en
quanto es bueno : y a la grandeza en quáto
es persecto: y al medio , en quanto median
entre elprincipio y el sin. lleducense tam-
Ci E N E l A L. n
tien al medio las prepositiones que dízer*
mouimientoycomo in, per:y los verbos que
señalan mouimiento.medio,otrásito devng
cosa a otra,como vado,pergo,curro: y todaj
lascomposicione's ert qùanto delias se hazc
el todo.Del qual medio se da por regla, que
siempre se concluya-affirmaduamente per
la mayoridad.delíìn de persection: y nega-
tiuamente por elfìndepriuacion y por su
minoridad. Gomo todo medio persecto ar
guye principio persecto,y sin persecto.
. La Regla desta letra es , Quanto? con dos E
especies: quanto continuo? y quanto discre
Eo ? De la Bondad continua es, como , Que
tan grande es su habito bueno en el subiecto
donde esta?y de la discreta,como: Quantos
ion sus corelatiuos esenciales » »
El subiecto desta letra , F. es la Imagina-s F
tiua,que es vna potenciaron la qual se ima
gina todolo imaginable. ...i
La virtud desta letra , F. es la Fee , que es F
yna virtud , en la qual habituado elcreyea
te , cree todo lo que de Dios , y de su sancta
ley le es mandado, por la sancta Iglesia Ro
mana: aunque no lo entienda. .'.~
: El vicio desta letra, F. es, Accidia o Tibie F
0» de see , coala qual el tibio haze todas las
«osas delseruiciodeDios con grá floxedad
a rte;
ypcreza. El quai vicio es vna lima forda,c|
roe la conciencia humana, halla ponerla cu
los abifmos infernales.

Capitulo, vj. dela letra, ,Gj de


. fusftys Significaciones , ErhanAaoncsy

LA. G. lígnifica la Voluntad, Fin, Qué


tal es?Senfitiua,Efperâça , y la Inuidia.
La Volutad es vnapropriedad, por
cuya caufa la Bódad,y la Grädeza: y las de
anas fon amables.En Dios,en el Angel,y cri
el Hombre fe dize voluntad: mas en las de*
mas cofas fe dize apetito. Todo en quantt?
es bueno es amable y defeable, y en quantd
es malo es aborrecible. No pudieran confc-
guir fu fin , finotuuieíTen apetito para el
todas las cofas. Sus emanaciones fon aтor,
apetito , deíTeOjardor, feruor,codicia , affe-
£to,concupicencia , aluedrio, defignacion¿
charidad,dilecbon,deuocion,y agradamien
to.La etymologia de la voluntad, es volédi
vnitas,que es en CaíMlano vna vnidad de
querer.De laquai fe da Regla, que fiempre
íe concluya affirmathiamenrerde lo amable
jpcr fi en coparacion de lo amable por otros
" : . ., Comçk
GENERAL. n
Como IVDîo's es masamabteqlacriaturaro '»
laselicidadq la virtudrllesp. qsi:porqucro-
•do lo atïiabk por si es mejor , mas copiolo,
durable y poderoso,y mas sabio,y gloriôso:
que lo quese ama por otro.Y nëgatiuamétfc
seconeluyai como nínguna cosa que se ama
por otro,e§ mejer qlo que es amable pcr si.
A -esta vcluntad se reduze todo lo q nos ha?-
ze grâtos a DiosjComo la graciA,charidad,y
;todoslosvotos,craciones , sacrisicics , ayif-
-nos penitencias, lacontricionjCcnsefsionjy"
íatisrarípn , tôdas las sanctas cèremomas dfc
la Iglesia/y sinalmente tcdos los atíectos del
anima alegres,y tristes.
ElprincipioRelatodestaletra es el sin, fj q
es aquel en quié el principio reposa. Este sin
o es de priuació,como la muerte:o es de ter
'ininaciç como los çttminos q se ponf enlos
cápos.y possessícnes, y los pfitps 3'elá l'meí:
' o es fin de persecien donde todas'tas cosas
"buenas tienen ítl vlti mado sin,sôssiego,y re"-
"posojcomoes Dìqs, y comoacjlloen quicla,
Bódad,Gradeza,Duració, y los demaspriH
cipios reposan, quado constituyen vnaiati-
'stancia:y lasubftácii quado se costitaye eji
«1 AngeljO en el cuerpo en 4 resulta èlindi
uiduo , que es este Angel,oeste cuerpo éc
cierta especio elemcntal vegètaLo sciisùal.
c r " \ 4 Y si-
s ;Y siguiendo el orden de la naturaleza en
las coías artisiciales, como el principio del
.hierro, que tiene su quiete y íbfiego en el
sin. El qual esta sujeto al sin del hombre,
y el hombre a Dios : porque todocjLmundo
íue.hecho por el hombre, y el hombre para
Dios,Y assi sino huuiera hombre , aquellos
principios artisiciales caressera» de fin. Y
fste sin es general , donde resplandescen to
dos, los sines particulares , conseruando su
naturaleza. Las emanaciones deste sin son,1
persection, effecto , extremidad ,postrero,
yljìmo,íôsiego, estado, y cumplimiento. A
este sin se reduzen todos los estados de per
fection , como ser persectos, beatos en loj
apartamientos,desiertos,y Religiones:y los
grados índiuiduales , que son de la primera
;ïntcnçipn:porque por.su causa sonlosgene-
*os,y especies , y qualefquier principios. Al
fin, de la priuacion se reduzen todas las pri-
.uadoncs,afsi mcralesjComonaturalesAr ar
tisiciales.. Dase en el sin por regla,que heru*
pre se concluya affírmariuaméte pcr lopo-
l|trero,y vltimo: y por la persection de mar
yor hn,y mas principah Al qual se reduzen
jos otros sines, que se ijíáman menos princi
pales : Como el comer, que es para el vluir;
y lo postrero , que arguye.lo primero : y lp
Ci E N' E R A L. IJ
vltimo,denota q ay primero : yel termírct» _
«auer principio,y medio: y la existencia Suer "-
/er> Y notese, que entre el serylaeísenciai
<stan los principios desta arte:y que presupr
pone a laessencia elscr,y aLsereî ente*ytg+
ûàofe resiere , y es por el supuesto, o indiui- q
duo vlúmo : y que todo sin que es pot si, e$
mejor y mas persecto , que eì sin que *é poc
otro : el qual es el summo sin,aqui«n W>do$
los sines Buenos apetecen, y .desean;.. ;v a íb
La regla desta.setra es ; Que tal es i epst G
dos especies : Quetal es propriamente ? y
ouô tal apropriada., o ^prestadamentt^
'Crômo la bondad que propriedades^tiène
suyas. R.que subonisi'catìuo , bonisiçablç, y
bonisicar: Qualea .pre!latadaj o apropria-
das?R,sergrande^dur'abIe.,y los demas prin
cipios, ïsino sesalîe vsar destas calidades
proprias , y apropriadas , se hazen muchos
errores, Y en esta Regla se vec la gran distV
rencia desta arte , y la§ demas: como fè di|»
adelante, " ; . , .1
.El [subiecto desta letra cs , la Sensitiua,
la qual es vn4jJ0tencia ,, con que elahfta;
fiente todo lo sensible : como con la vistac
Jas colores , y siguras : con el oydo los so:t
nidos , y voçes : y con las narizes , los olo-j
JTes ; y con el gustos sabores : yconeitaj
V , ; ARTE '..
as tío loi obieftos tangibles.
i - jLa virtud defta letra es,la eiperança, dei
la qual el Verdadero Cliriftiano habituado,
tfpera los premios de fus meritos , que la
fuMmaVerdad le promete.
|p? * Él vicio es la Inuidia, de la qual habituar
äoellnuidiofo , íe confume y carcome con
él buen fueceffb de fupproximo:por faltarte
áella eiperança de alcançar otro tantoiY es
efte vicio tan m aldito, que donde cae,no ajr
ö tíña,^uc tanto ft arraygue.

'Cap. щ.Щ*ЬпаЖу4<£
% /ту* Significaciones , Етапасмь* иЛ
-r ;•.-. nesyyvfrgumentos.

воиэп ..;! .í , ;r.: '.rr.• ' rj


*Г;'",Л. H. figmfica la Virtud M*yór£
*|ib 9¿ad, Quandó? Vegetatiua , Chindadí
'jira. as
J5f 4 'La Virtudes vn origen 'y principio de
fabbndad,grandcza:>y'de 1& demas. l t¿,o
xíatural, o moral j o artificial.. La natural (b
halla en las cofas naturales : la moral fe çau-
fädela voluntad, de quien nacela ciencia)
lùural y derechos pofitiu os;y la artificial ët.
GENERA L: . 14
torao ramo de la moral , en quien se funda
la virtud detodos los artisicios. Sus emana-
ciones son, constituydo.,cópuesto,regulado,
nascido,y produzido:y todo lo q tìene prin
cipio de algun principio. Yson concrètes de
la virtud , como lo justo, digno, loable,ygu al,
templado,prudente,benigno, y sobrio . La
ety mplogia de lâ virtud en Latin es vigoris
rectitudo . Y son dcsta dase todas las virtu-
des,y habitos buenos y males:cpmoprinci-
pios pâra'obrar,y el acto de exercicio, y vso
vltirríofdellos'. De la qual virtud se da pet
regla , qsiempre desdeelactorespectodet
habito/seconcluya afsirmatiuamente, pcr
la mayoridad de sin de perseçioh del ha-
bito:y negatiuamente,segun la minoridadv
Como todo acto bueno de obrar es mejorj
y mas aperible que íuhabito:porqel habite»
«s cierta serma ymôdo,mas su acto es la opè
íracion para quìen es lasorma,y no al rebes;
porq elactoesmejbVy mas noblíq supo-
tehcialY assi,holos que son mas suertes Ion
coronadosjsino los que pelearcn: porq toda
la alabança de la virtud , consiste en su actd,
o operacion,o action. A esta virtud se redií-
todos los actos positiuos:comoson,las vtr
tudes:yíos habitos priuatiuos,,como son los
Vkxos.Dêlo quai íè" dira cnel nono subiectér.
* r . * • Y no
«de ..')'-
r A R TE r: :V
Ynotese,que los contrarios siempre se ponw
dran en la clase de su principio general : co
mo en esta se pone el vicio en la clase de la
.virtud: y desta clase son las propriedades e£
senciales, y los vicios y virtades naturales:
porque las propriedades accidentales, y los
vicios y virtudes morales, y artisiciales,pro^
» priamente son de la calidad : aunque todos
estan encubiertos en este principio dela vir-
lud, como en superior dase. ; jcjírínri
El principio relato desta letraes-jia Ma-
yoridad,la qual es vna imagen dela.im mea
iidad de la Bondad, y Gradeza,y de los de-
jnas principios. Y cs,o substacia^oj acciden
tal: la substancial es,para que pueda auer se
mejanza de la immensidad, de la grandczaj
«Jela substancia natural:y la, accidétal cs me-
¡iior scmejança: porq la su$sta,nçia es mayor
.que ningun accidente; Esta mayoridad ay,
jo entre vna substácia,y otra:o entre vn acci
dente y otrptp entre vjwmbstânçia,y vn ao
cidente:entre vna substahcia,y otra;porque
mayor es la substancia del hombre, q la del
cauallo.Y entre vn accidente y otronporque
mayor es el entender,que el sentir. Y entre
vna substancia,y vn accidente : porque ma-
y yox es la substancia del hombre,que su can'!
júdad » Lat emanaciones desta mayoridad,
GEN Ë R A t. if
jR>n,íuperioridad,sublimidad, transcenden-
cia,exceiencia , superexcelencia, dominio,
Reyno, m as persecto , mas lleno, mas suffi-
cìente. Y su etymologia es mayor entidad,
omayer supenoridad. Yreduzense ha estât
mayoridad todos los grados de dignidades,
como, ObispOjArçobiípOjCardenaL Papa,
Rey, Emperador,y todo lo que dize exceso,
y todo grado de comparatiuo. Dase por re
gla desta mayoridad , que siempre se con
cluya affirmatiuamente por lo mas alto,
y mas digno : y negatiuamente por el con
trario : como toda mayoridad es mayer,/
mas noble,que la minoridad,y ninguna mi
noridad es mejor,ni mas noble , q la mayo-
ridad:porque la mayoridad, dize, superiori
dad:y la minoridad,insericridad : y porque
may oridad.y minoridad son Relatiuos se re
guian por el mismo methodo.
La Regla desta letra es, Quando?co quín f£
zc efoeciesjlas siete de la. C D. y las ocho
de la. íT. Como , quando es la bondad en sil -
y quando tiene en si? y quando es en otro? y
quando tiene en otrc?y quádo es primitiua*
mente, derittatiuamente, y posiessiuaméte?
y quando modal mete es parte?y quádo vna
parte es pa¡ te:y quando es todo,y quando el
todo da fu similituda ks otras partes . Con
- v —' estas
estas quinze maneras se sabe mucho del
tiempo,que es vna sorma muy difficultossa,
para quien no sabe esta arce : y muy llana,
para quien la sabe , pastando el tiempo por
las reglas y sus especies: y lo mesmosc pue
de hazer en qualquier cosa, q ignoramos.
El sujeto desta letra es , la Vegetatiua^
la qual es vna potencia,que trasmuta vna es
pecie en otra:ydeste linage son los milagros
que dizen de hazer hablar al carnero,y a las
perdizes , y al pan : porque comiendolo se
buelué en substácia del hombre. En la qual
potencia ay apetitiua,retentiua,digestiua, y
expulsiua, y generacion,corrupcion,priua-
cion,y renouacion.
f-js La virtud desta letra es Charid.:d, de que
habituado el Charitatiuo haze cossas sobera
nas , y agradables al Señor. Esta es la joya
que el Esposo dexo tan encomendada. Esta,
es la puerta del Cielo , y sin ella ninguno cit
trara en las moradas del.
¡j , El vicio desta letra es Ira , de la qual ha
bituado el ayrado , haze cossas escandalosas,
|io perdonando a padres, ni a sus mayores^
de la qual nos libre el Señor cnel .
' yltimo dia del vniuei-
faljuyzio. • '. .
.co . ;
i .... Capítulgi
GENERA U i*
7."' ' 'V ' '" , A ;.') " < '>
Cap.'viíj. Dejìa letraj.y defni
feys Signijìcdáûnes, Emdnttciones , ^
^írgumcntos .

LA.Ï.signîfìcala Verdad, Igualdad,A- Jf


dódeSElemératiuajpaciécia , y métira.
La Verdad es vnavirtud por cuya
causa la Bodad,Grádeza: y los demas prin»
cipios son verdaderos,cssenciales, reales,na
turales.primitiuos , y necessarios. Porquc si
fiosiiestc primitiuajyneceflaria: ninguna
cofa q tumefie primitiuo seria verdaderar
y la verdadpresuponeal scr,pcder,y cbrar
con perfecion , y segun su cspecic: y assi so*
lemos dezinestc siqae esverdadero hom-
bre . Las emanaciones desta verdad son la
razon del ser, la razon sormal, la quididad,
equació^probacipnjsalud,autorizaciójiegí
stro,ratisicació , y probació.La ctymclogia
es veri entitas. De la qual se da por Regla, q *
desdeelente pcsitiuorespecto del priuati-
HOj siempre se concluya afsirmatiuamente,
segun la mayeridad del sin del ser y per-
fecion. . Comô tpdo J.0 positiub es mis
, ' ""* """"" ' persecto
:-" - • ARTE
persecto q lo priuatiuo, como el que vee cí
*us persecto que el ciego , y la lumbre que
las tinieblas, y el justo que el injusto,la vida
que ra muerte. A esta verdad se reduzen los
articulos de la see , rodo el testamento viejo,
y nueuo, todo lo que dize ser,essencia,y en
tidad , y todas las aprobaciones ^de los san-
ctosjconsesiiones,y prosessiones de las san-
ctas Religiones. Deaqui se insiere ñecessa-
riamente todo lo que se llama necestario re
specto del sin, y del artisicio,y lo que escort
tingente por razó del sin es necessario:y por
la mistura de los principios , lo que pareíce
improbable se prueua,como hizo Salomon
en la causa de las dos mugeres , sobre el hrjo
viuo y muerto : que aunque no hazia prue-
ua, colige ser verdadera madre la q no quiso
la muerte del hrjo : porque los principios
con ygualdad de proporcion an de entrar
*n qualquier verdad , y en esto esta el pú-.
.mor de toda esta arte, como en la aplicacio
se vera manisiestamente.
- £l principio Relato desta letra es la ygual
dad, que es vn subiecto, en el qual el sin de
la concordancia, y de la bondad, y de los de
mas principios consigue su quietud y repc«
so. Eíla ygualdad es, o accidentado subítan
cial, y por ella la bondad, grádeza,duració,
gehNì-e^val; tf
y las demas son partes ygualcs/queconftiW
tuyen vna sobstancia. Esta igualdad ay en
tre vnasubstancia y otra:y entre U sirbstan-
cia y el accidente : y entre vn accidente y»
otro. Entre .vna substácia y otra:conro tlhá
bre, y la piedra : y entre vn accidéte yotroS
comp amaryentédeny entre la íubstácia yî
el accidente:como entre la quatidad y el silo
jeto, que son iguales extensiuamente. Est*
igualdad esta en la substancia,y transserma
m semejança en las operaciones,exteriorcs: |
como el nombre, quedebaxode Razon,
de Bondad^y deGrandeza,y las demasjia-
zc alguna obra igualmente buena y grando
íîibstancial, p accidental. La substancial es,'
quando igualmente engendra otro hom-*
bre bueno , y grande naturalmente : y acci
dental es, cornoel medico quandogradua f
las medicinas con grados iguales de calor, o
frialdad,con igualdad de numero, opesojO^
medida. Las emanaciones desta igualdad •
íon,Iusticia, Equidad,Proporcio,y Comenï
suracion. Laetymologia de la igualdad es,
xqua entitas: y a ella se reduzen todas la*
emanacio nes de la concordancia , quando
estan en su reposo. . ,,
La Regla desta letra es. Ponde ? Con las £
misinas qiiinzc cípecics de la regla , Qnan~
C áo*
do? Como donde es el lugar en si ? y dorïder
tiëne en si? y donde es-ën otro? y donde tie-
ne en ôtro? y donde es primitiuamente ? y"
donde deriuatiuaméte? y donde pcffessiua*
mente ? y las demas de la modaìidad y in-
itrumentalidad . Y nOtese , que rodas estas
fegías son como transcendehtes , ylugares
cosnunesparn qualquier cosa que con ïuiri-
bre natural del cntendimiento se aya de
descubrir.
I : -El sujeto desta letra es,la El(!menratiua,q
es vna potencia,q en elsujetoen dóde esta,
riene su sorma y materiajquátidad, y qualî-
dád.y su mouimiento,y lo demas:como en
h planta,y en el animal.Y esta elemétatiùa;
es sundamento detodasias càthegorias/y
prëdicables corporeosi • ";
I t La virtud destaletra es , Paciencia , de la
qual habituado el pacifte, haze todas las co
ías pâcisicaméte:y los q esta herôyca virtud
rïenen estan ardiedoen charidad : como vn
Sant Loréço aflado.y vn Esteiiá apedreado
quando dezian.Perdona Sencr a estos q ho
faben lo q hazen , al sin como cftfcipulos de
la paciencia y mahsedúbre del Cordero sin
manzillaChristo nuestroRedemptor." ' "»
fì El vi'cio desta letfa es ,la Mentira , de la
qual habituado el mentiroso^haze sus cosas
^ G E "N E R 'A L. ig
fedasco métiras y trapaças': porq tienc pot
padre al denionio q es inuentor delias.

Cap.jx. D e la tetra, K. y dc^J


r fus feys Sigmficdciones } Emanacio-
ï» í» .1 . , »f, 1 nes^y sirftunentos.

A. K. signiíïca la Gloria, Minoridad,'


En que modo?Coiiq?Instrum€ratiua,
' íapiedad,y laconstancia.
• La gloria es aquel gozo,qmetud,y descá- '
íb,dondelabondad,grandeza, y los de mas-
principiosr;epossan:la qual,o es igual,odesi-
gual. Laigualestaenel vltimotermino, el
quai es èl bendito Dios, a quien todaslas
coías vá dirigidas.La desigual es , qualquier
otra delcctacìó, y descanso. Sin la gloria to-
doestaenpènay trabajo : las emanaciones
delia son, contento,gozo, solaz,placer,seli-
càdad',pt'osperidad,alegria,loa, fama, victo-
ria,íriúpho,côrèa,exuLtacion,honta,jubila-
cion.y fruyció. La alegria esta en el rostro,
la leticia ènel entédimiento , la jubilació en
elcoraçon , el solaz en la raciocinatiua , el
gozo en el alma , y la jucundidad en el es-
píritu. Ycomo en eíprincipio del obrar esta
la virtud, assi enel termino vltimo la glorias
' P a yíU
?t .j :a 'R :rr. Eh o
y su erymologia es gauitlà quícs.De ta qual
sedapor regla, cjuciiempre se corictuyaaf^
sirmatiuamcnte desde U profperidad res-
pecto de ladelectacioh , y gpzo porta ma*
ycrìdad de sin del ser y perFckon : y ne-
gatmaméte por la mínomfad desin delser,
y deta priuarion:comotoda prosperidad es
me'jor, mas sjfficiente, poderosa, sabia, de-
seableiVÏrtuosa , y gloiSosà^cuit la delectas
don y gczo, Esta claro : porque la prosptír
ridad , esta en la mayotidad de'sin del scr,
perfecíon'jdelectacion -, y-gózo; y lapriua-
c'wn en la mînoridad de sin detser y perse-*
cion ,. A h gloria se reduzentodps los esta-
do¡ide la bíenauentmançajsortiina,y toda
caussa de gozói vozesj harmonias;, siestas., y.
regpzftos:y sus contrario},; sbí^ijif, . ;
- Eiprïncipio Kelato desta íctta es , la mí-,
' ncridad, la quai es vn ente cercanaaî n ada,
y mas allegâdoaloquenoes; y menos a io,
cfue mas es . Esta mînoridad es- entre vna-
sttbstancia y otra y entre vn accidete y
y entre lasubstancia y el accidente. La mí-,
noridad es parte de la substahcia , dondei
estan sustentadas todas las iVunoridades..
I as emaríacíónes desta minoridadson, ínse.
rioridad, pecjuenez, carestía. pobrezai mí-
seria fcruíduiïibïc, ínQpia, siibjecjon , obli
gation.
G ËTîTË'R A L. if
^âacaijfaTt'a/enserhiedad, quebrarttamieh- Â
tpjnuirilkfcd;împefrecto , y ínsufíìcîent*.
Laetyinología delamrnoridades, hiínor
•entitas : yaella^redaztn todosio^gradps
dcinfcrlcresicoínOjvafalso^scùdero,sicruo,
y todos los demasgrádcss de dí mintfïiuos, y
iuscomp«aratiuos,y superlatiuo$.
La Regla de sta lctra es , En que modo? y R,,
Con qucrcon ocho esperìes:las quatro dela
xegla En que modo? y las quatro deia regla
Con que?Laprimeraescomo, eslabondad
part«?y la segunda, camo la parce esta en îa
parte?y latercera,como ei todo esta' «nítis
partes : y las partesen su todo ? y la quarta,
íomo el todo comuiúça su virtud * / 'la de
susparcesry otrastantas especíestierie Iarè-
gla Conque: com,o,con queel bonìsicrôuo
esta en el bonísicabie? con que esta Ja bpr}-
<lad en sus relatés;? y. estos en ella? y con que
.el bueno conmVìícafá virmd , yMt sias reía-
tos,bonííìcandola grandeza,y los demai?
Elsubjetodeftaileiïa-R.eslamstrunieF- R
tattuâtque enlo moralsonlosvîáosvy v'ì-
tudes:y en ias cosas artísicîales ,son tcdos los
instíumëntoscon que se hazenlas<:psasi.n}
La virtud de esta letra esÌ3píedacijjyR
conque elpiadbso habítuado obrâpïaio#
sameme. O:.>..lt'/Jt- i-.r .,íJ]W»no!j.
*r A R- TE; O
Ei vicio desta letra es lamcó.stancïa,cost^
cl inconstante es vario «n todas sus obras.^
Y esto es lo quecada letra contiene en siP

S EGVN^Q XR al
tado de las Reglas porfi. ,
Orq las reglas son los modos de
aplicar íos atributos a los sujetos^
resta tratar delias muy de propoíî
co:las quales dara grádissïma luz
alas cosas q setratar?,y escriuieré(como fe
Vera en su declaracio) Y son las q se siguéjSì
es?Que es?De q es?de quiées?porq es?pârá
q es?c[ tá grade es?Ç>ue tantos son? Qual es)
âdóde? Qùando'eri que modo'y con que? y
jpondranse por el orden de las nucue letras.

-Gas. ]. De la Regla, B. que


es de la Posibilidad. '
/r/^Xw Ai
'^r: A primera Regla signisicada por esta
•I letra.B.esvtrumjOn es? qsellamadç
tr—! lapossibilidadda qualcausase,o credi
to,x> suposicion: porq supone q qualquiera
de las partes affirmatiua,y negatiua puede
ser.verdadera.Tiene ella letjra tres efpecies>
ó son/duda, asirmacion, y negacion.Lapíir
£i i Ó mera
G Ç-:NrE !Rj\A L. zo
mera cspecie iupone.q pucde ser,y no.pue-
deîcr:para q elchtcnHimiento- no este^b-
stinado,m searrcje hiego a affirma r', o ne-
gar:sino ^vaya'hiq'uiriendo, ífísafsi, o no:
y esto con condicion, q siempre cócluya en
fauor las cosas,q son gias memorables,inte-
ligibles y amables:ayudandoíe de los prin-
cipios generales desta arte . Como è ay en
fendimientOjOnorR.que si.pcrque mejor y
rnas amable es, que le aya. Y a se de escogeî
(como-csia dichp)lo'mas memorable, inteT
ligible, y amable, pcrq la elecionde lp me*
ncsiiiteligible no es del genejp de la Filo-
Xosia,sinpdela credulidad. La elecion dela,
in ayor recplibilidad,dilection, i'nteligibili-;
dad engendra mayçr.sciencia, v<rdadera,y;
necefleria;en la qual el entendimitnto ycr*
daderamente se quieta : porquc toca vcrda-,
deramente el objeto q buscaua,Yalsi eneste
passo consiste toda la virtud destaRegla.B.
en q se pucde concluyrneceíltiriamente lin.
dar caul"as,splo proaando el ser,y no el pof-»
q es:y assi la demoítracion quia,se reuoca a '
esta regla:en quien lo prouable en razon des
arrificio,puede ser neceflario. Y parapoder,
mejor saber la verdad, prouarcmos primel
ro entrambaspartes , para mejor poder has
|lar el medio dela deniostracjon»; . ,.. i'çr.^n
Uu-J? ." C:4 . Caphulo
A R TE o ^

Çap.ij. De la Regla. C.que


es de la !Juu

G ,1
ï
A Regla.C. es de la quídidad^q essub
jeto y íuéte de todas las diffinicionesi
' Tiene quatro cfpeciës. La primerâj
que es la cofa ensi'la segunda , qiie tïene en
frila tercerá,que es en otro?y la quarta, que
tiene en otrO? Como elaentendimiento que
es en si'R.quees lu essehcia aquien propria-
ïnente compete el erïtënder : y a que tiene
en íì'R.que los corelaíiuos cflènciales , que
son intelectiuo, inteligíble-, y ènrënder. Y
en cada vno destos ay quatro conjugádos de
la actió.quèson intelectiùidad.intelectiuo,
intele£tiuamente y entendedor : y quatro
áe la passion,que son inteligîbilidad,inteli*
gïbleientóridído inteligîblementeìyquatro
del acte,qùe son intelecion,entender/entert
diendo intelectualmentë'. Y â que es el en-*
tendtmiento eno.rof R. que eh la bondad
buenoten la gfartdèza grande , y afsi èn to*
dos kjsdemas-principios . Y a que tiene el
cntendimienco-cnotio?R^que ës aquekpoe
cwJJi^ui 3 quicn
GENERA L. ,a>
íjurervla^ndaíl grandeza y Jos äemas.iorl
entendidos. Y.dela manera que diximcs de
ei entendi miento , per efta llegla:a{si dire*
hips deilavdemas cofas, (.a difihnicídn fient
pre es igual a lo que fe diffine y es Vna riiif-
ma cofa con el. Ay dos vic ios en el diffinirí
ó excederJtó Faltar en algo : y conuiertffeel
diffinído ydiffinicion, predicandofe el vno
delotroj oííguiendofedel vnoel otro: y «i
comun ladimnicion quereprefenta el fer,
de cada cofa , o explicando la fubftancia ; ó
los accidentes:y la fubftancial es,opor cau*
fas , o por potencia y afto: o por genertí 3^
djfFercnciaieftatoca al Logico : la por actOj
y potencia al Metaphifico:y la por foriruf
ínateria al Frfiiqci.
..- :.. .". - y:n:• . . .• :i..':)./i:f У..'-'Л

Cap.iij. Vela Regla.D.dt í•

[¿Materialidad, ... . . .• .

, A tiercefa Regla es dela Ш$пШй&


y buföf el Ôrigeh de las cofas ', t.iëhè
• treyèí£¿cí¿s;£a primera^qué
iniera.de'que féal*
feal;
colàprimmriaïttcnrc: y"lala íégúnda";
iêgunda*; dé
de qiil:i
qijj
С î deriua-
J AR 1 t ; -o
ácriuatiiiamccc:y la tercera,de que seajpoí?
sesma mente. De manera que eon tres Dec?
fe sanen distinguir todas las cosas: el prime?
ro es , De que es el entendimientoprimiti^
gamente? Respond. que de si mismo : por?
3ue el es de si primeramente, y no es hecho
e otro . Y de que es el entendimiento de?
xiuatiuamente í Respond . que de fus pro?
prios corelatiuos intrinsecos: que ion, su
forma y materia y acto: o su inte,lectiuo,inj
telígible , y entender. El segúdo es, De quc
es elhombre deriuatiuamente ì Rcsp. q de
fu cuerpo y alma , de los quales es compue
sto: como el clauo de hierro , y las demas
fuateriasde q son las cossas. La tercera efpe
¿ie es , De que es el entencümientopostcfe
uamente?R.que del sujeto donde esta: por
que elentenqimiento.es del hombre,como
el #eyrio del Rey . Y Como esta RcgU se
aplico al entendimiento, se aplicara a las
demas cofas, segun su modo: Como consta
del Vmuerfeque por laprimera especie es
de si misino : y por lasegunda de su sorma y
materia substancial , y'vniuersal (de la qual
Aprima vniuersal constan todas la5j?articufa
jesTòrmàs)y de su materia vniuersal , de 6
jcoristan todas las materias particulares . x"*
.j>or la tercera especie,el mundo es de Dios ;
G E NÍ.R A Ls
,p0rq es su echura,o criarura.'yassidiremosíï
: la bódadjgrádeza,y delos demas principips
jq son generales para codas las ccías partiot-
,larcs.De q estopuestp elhpbrerJi.de cuet-
-pp y de aima. .J por lasegúda especie de te
D.dissieré en naturaJ.ezajy_g.enero : pprq *l
vno es sustácia corporal,yel otro espiritual.
La quátidad no es dela eflencia dela subílá-
cia , pero es d«su habito, por cuya cause es
quáta:y qualpofla.quaiidâd^y assi delos de
mas habités áccìdíráîesTCo todo èsto la sub
stácia y accidétes,se cóponé enel cuerpo:sin
la qual composició rjp puede ser el cuerpo .
Por la tercera especie delaD.los accidentes
jio íofl desi mismos , íînodelasubstáciaw
los âccidétes no son por si,sino por la substa
cia:porq son sigura^ysimilitud, y como in
strumentes dçlauìbstancia.Alléde desto cl
accidente, como quantidad , es primitiuq,
4e si rnismó :.y ès primera quantidad de to-
dâslasquátidadesparticulares. Y dela mef-
ma manera la qualidad y los demas. Y as$i
de los âccidétes mechanicos, como la siguta
dela arca , que es la sigura dela madera: y la
jfela torre,q es sigura dela$ piedras d&q efla
Jjtchá :y assi delas demas cosas en su modo.Ys
' «ilo balte para esta regUQ.q buseaja matp
furocáte al sisicû?porîa ql raftrea la yfçdajj!.
W ~ «Yauncj
« Л ^АНТЕ О
?5f aunque trata de la materia , forma, a£ftj,
/lagerae, fin, y Diosmotrata^delloscomo de
TÈtfufas fifícas:fmocomodeorigen, como Ja
-cfpecífc es del genero , .y ,los abfolutos fon
.^r.íncipío de los relatos , y el tiuo del tiÜSiy
;*l;tiuoyelbiledelflre. i, ' -ai: ' . . .'

fóp'iitj- Юе1а Regla. E. que


es dela Cáufalidad. . :'' '
' '.л .v :' .•, ы
.
:At quarta Regla de la, É. es porque ?y
•para que? Lapririteradeícubreelfer,
y la fegunda el obrar * Como porqut
'es el ehtendiniiento?Rifeguh'fu exigencias
'que el entendimiento «S: porque es de fus
éorelatiuos,que fon el intèteûiiiô , înteligi*-
fble, f entender : como el.fódo que is de. ids
'partes proprias,' effen&a^de'las quaiese&
^arique es et eftfendimîento i Refp.' para
•^[üecnáendai .у parque àefto fe тиеОД
Î*"róesfufin eseLenténdeetasVerdadeSiyâl
edades de las cdfa$,que tiene» feir : f pk№
•que aya habito fcientificd V y entendtendô .
.aúnelo «jucha de amar^aborteze.a lo falfo
t*"3^-" yen-
G ENÍ H/'A Ls %i
y anganoso. Porquc c$ el.h(ûïnbre?R,,qUe*s
de fus causas ,fsrmá l,y m ateria f, essiciente /
sinal. Y para que effecto?Kes. para qiïe vea,
y reuerencie,y sirïïa a DIos, y siruíendole le
amc , y amandole le dessee , y desseandcle
le goze.Por esta Kegla para que ? sontodtìf
Iosgenerosjespecies,ïndiuiduos , y lasartes
liberales, y meeiwnïcas: y;todos los instru
mentes : assiiraatóiaks, comoartifkialest
las virtudes y Los vicies: y sinalmentetbdasi
las cosas endercçâdasiaafgunsin: segunet
quai tiehen la sorma :,yia mesma sorma e*
nn y termina del ser de Iacosá: porque
enteniendolaeslâ cóíaacabada,y tienc fu
Çroprio ser, y esprincipio para el obrar.-
ei que obra es èl Índiuiduo, como estfe
suego.con su sorma comunica su ser , y lé
augmenta , mediante el caíor, que es su in-
flrumento.Y muehas vezes,segun la sorma
apetece el índiuiduo vnacosa, yporelsia
apetece otra:comolatierxapcr su sor-
ï-.ii ; ma apetece bajaryporel sin -".-¡
!.-. .subie , y componer , y .' i .'.»'
:» ', i elcmetïtan ' i'i\»uj
:;[»v V^4t)-i:;(V: •..< , i»'i ,;2a
r*i.;.w{ v. :,! !* fi.oriuusiír-^ :.ii«.bijj
-pyy!oq . .H." í•."!f! "s' 2s !""'. Y .''•"»
twn'A-h ,.;»n ri io-:! .. .;t •'- b {'-', „*
i.horr ' Capitule»
^œp. V, Dela ReglaS.aúê}
tratadeía Qjtatidad; >-.:,
•rS5.MK, '•;..>J: .1,,-,.,

A quinta Regla. F. bufca la grandçzí


eonrinua,oindiuísible:y la diuisible,or
discreta en fl&das las«©sas : y assî tiene
doi especies, la vna simple ; y la otra corn-
pueíta.La primeia'cs,íomo , q tan grande;
ës el entendinïiento?.R'. 'q estahto,quSto es
«Her de su c{TenciauìI^a:seguda es,quáras soij-
las partes delentiendimiento? R.qquantosi
ibn sus corelatittÒT,t«tèlectiao , inteligible,
y entender.-por los qwales tiene ser,y obrar*;
ficÉDeíla regla se buscá todas las mcdidas de
fej q tiene ser.Y q sea estoafsifaciltiiente se:
prueùa por las drfsiniciones delabondad,
grandeza.y delosdemas principios:y por Uí
fegúda cspecie dela,G.yi.D. Porq la bódatL
en-quanto es sorma y essencia simple, tiene
quátiJad cotinua inseparable de las demas
cssencias, por sengeneray naturaleza.Pero
cn quanto es causa, q produze lo bueno,tie
ne naturaleza copucítay diuisible , por sus
corelatiuos bonihcatiuo.,b<?jfìcable,y bonisi
car. Yestainfluyelas quantidadesperegri-
nas:y delia manan por la quatidad discreta,
!Oi.'ji't|'i ». por la
G E Ê K A L; 24
pqr la .coTnppsicion q tiene el siib}eî,q,ô^n-
dhfiduoren elquallabondadtiencTu qirkn
tidad contjnuay discreta . T del modo q se
dix:o de la bondad,te dira de las demas sor
mas superiorcs^q causan quantidades conti
nuasy discreta s insenores: Comoen lapie-
dra, â esta habituadade vna quan tidad dte
las èïRnchtr dèlòs èlementos, de los quasès
es. Yasii de la planta por laelcmentatiua y
vegetatiua, t y del hombre por la elemehta-
ti"ua,vegetatiua,sensitiua, imaginatiua.y ra-
cioctnatina,de las quales es cópuesto.Y assí
ëelatorrc,nao,y de las demas cosaspor artî
ficio fabricadas. Ix> artisicial no es táto con
tinuOjComo es lo natural:porque las partes
naturales estan mas continuas . Y todo cl
mundo esvn continuo:aunq aya partes s«yi
fibles y discretas:como vn dedo, aúque aya
Iiuessoycarne,esvn continue Y esta regla
pone fi.cy mundo por transcedental,y rïoso
loparà la quanti dad accidentabsinopara la
quantidad de persecion y grandeza de cada
- cosa.Y notese, que como esta regla es
c- transcendental,losontambien ,.i i
]$s demas. . , »'» '
-::s (*)
. . •. • . • . i . •-'.». »-:

Capitulo
": Çaf*ùf^l)eU Regla. Cf. que
:» ~:trœPà de la Qmalidad. ; '
-i.»t ?K'n i • TTrfsr.b.ior! :;I '. ,
i:::T) ¡-!'"sr,!ii'-!, • , j !j.iytr)ínris! ,
-•-r» •! r.>i.,-.i • .' G'/!::f Yì» •/

ËStasexta- Régla dela.G.tratadelaQa*


lidad ::y tienedcs especies1, queíbrt
• . . iqual es propriamerite , y quai apro«<
priadamente. Como quctal esel entendi-'
jnientoptoprîamente ? Resp . que quales
fcnsusccrelatiuos propres, quesonelin-
tekctiuoánteligible , y ehtender: queíbn
fusprincipioscoessenciales, actiuoi y pas-
siuO,y aílcocnexiuodeentrambcs. Y por
fesegunda especie qualésel entendîmien-
ro.apropriadamente?Resp.que el que es ha-
bkuado de las especies peregrinas:como el
Logitode la Logica, y el-Fiheo de laFisica.
Deímodoque delsuego esapropriáda qua
Mdad el secar , y propria^lcallentar : y de!
aguaprepriael enfriar y del ayre humede-
ccr:y pïesthda el'callèmar:y de la tierra pro
Î>n«a.el secar, y prestadfc.el enfriar. Las qua-
idades proprias son íliperiores a las apro-
priadas. Y ansi la bondad y los demas prin-
cipios tieneníusprcpriedades, y las quali-
-o-r:ï»:-tor> • dades
general: it
dades preftadas. La Bondad tiene fus core-
latïuos proprios,quefon,bonifîcatiuo, boni
ficable,y bonifar. Y los apropriados fon,to-
doslos demas ribos, biles , y ares delos de
ni as principios:com o el magnificatiuo, ma-
nificable,y magnificar, y los demas . Por
cfta regla ran efeogida fe entienden las co
fas fuperiores,y las inferiores entre el fubje-
to y el predicado . Las propriedades fe lla
man propriaspafsiones , y primeras quali-
dade s, y las qualidades apropriadas fe lla
man fegundarias apropriadas , y inferiores.
У efta regla defcubre la admirable agudeza
deftaarte: porque los principios della fon
proprios,pri meros eíTenciales, naturales, y
ncceflarios,y por fi conocidos : y tan cubi
cados, que faltando vno faltan todos : mas
los principios de las demas artes fon fegun-
<larios, y inferiores . Y afsi el que fupierf
bien efta arte fe auentajara en todas : y no
con todas,fin efta.Porque eftriban en eftos,
y falé dellos todosjos dmas principios y me
dios de la demoftracion de las artes parti-
culares:y todos los generos de caufas;
» . * y la diráerfij^ad de la comuni
cacion delias. . ,
A R TE

Cap. feptimo dela Regla. H,


. .Que trat a deltiempo.

ESta feptima Regla es del tiempo, y


tiene tantas efpecie : , como la. C. D¿
К : por fer difficultofa de entender
íaeífencia deltiempo. Per laprimera ef
pecie de la. C. Se pregunta , Quando es
el entendí mientoen fi? Refpon. que quan-
"do.es fa fer*. Por la fegunda efpecie fe du
da , Quando tiene en íi? Refpondefe, que
quando tiene en fi fus partes coeíTenciales>
de que es:que fon fu tiuo , bile , y are . Por
la tercera fe duda , Quando es el entendí»
miento en otro? Refpondefe. que quando es
bueno en la bondad : y grande en la gram-
'deza, y afsi en las demas . Y por la quarta
efpecie fe pregunta , Quando el entendi
miento tiene en otro ? Refpondefe , que
quando todas las cofas fon en:endidas por
el . Y por la primera efpecie de la. D. Se
pregunta , Qu.ando.el entendimiento e$
grimitiuo? Refpondefe , que quando fu ef-
O fencia
général: Ví
sencïa esprimera , y no deriuada de nadie:
comola primera materia. y laprimera sor
ma , que no son deriuadas de orra alguna;
afsi el tiempo esprimitiuamente en quáto
el es el primero, y del sc deriuan sus sormas
parricularesj siglos, anos, meses, semanas,
días, lieras, y momentos . Porlasegunda
especie de la. D. Se piegunta, Quando es
el tiempo deriuatiuamente ? Respondese,
que quando el mouimiento (que tiene eníì
el mouiétè,mo«ibie,y mouer) qesdeltem
porisicaáuo , temporisicable y tépor';sicar.
Y no digo,q entonces el tiempo y el moui
miento son vna misma cosa por essencia., sis
no q son dos habitos, de los quales elsubje-
to esta veíHdo. Por la tercera especie de la*
î>. Seprëgîíra, Quando es elentendimiéto
posTessiuamenteJl. q quando esta sujeto al
agéte.cnel agible,por el hazer: porq la sub-
ílacia se viste del natural o moraíméte. Por
la regla de.K.El tiépo cósiste enel mouiére,
mouible,y mouer,y eÇto habitualméte:co-
mo la parte enla parte substácialmente:y la
scmejáça del tiempo es , comola sigura del
paíTado , presente , y por venir : como en
el'habîto del calor estanlas siguras cale-
fáctiuo , callentable ', y callentar : y en cl
mouimiento el mouiéte,mouible,ymouer-
" p z Por la
.. ARTE
Por la segunda especie de la, K.instrumen-
tal, el tiempo esvn instrumento delasub-
stancia,con mouimiento : para que las sub
stancias puedan obrar : y enelsubjeto sean
agibles . Y fu agibilidad es sigura por el
tiempo, y mouimiento. Y enestepaíTb
se conoce , porque modo el entendimien
to aleança verdadera y realmente laessen-
cia del tiempo. Y que esto fea verdad,
facil mente se prueua, por las difsiniciones
de los principios , y por las reglas. B. C.
D. F. G. masconuiene, que el entendi
miento sea muy alto, claro, y muy aparta
do de consuísion , y duda para entende-
1lo . Por esta Regla inuestigamos qual-
quier duracion , o temporal , o euiterna,
o eterna : porque Dios siempre es eter-
nalmente : y el Angel,y el Alma
racional euirernalméte:y las
demas cossas soft t«-
.: porales.

Capitulo
GENERAL. 27

Cap . oftauo. De la Regla. I,


Que trata dellugar.

LAOctauaRegla. I. es Adonde ? y
trata del lugar, que tiene otras quinze
especies, como la p alfada, del tiempo
sacadas delas mismas tres letras. C . D. K.
Por la primera especie de la.C. se duda que
es el entendimiento en su estencia, o scrnat
tural ? que es el hombre en su humanidad,
yen su ser? y el entendimiéto en si mismo?
Por la segunda especie,que son sus partes eit
su todo? como el bonisicatiuo, y el bonisir
cable , y el bonisicar en la bondad . Por la
tercera esspecie,Si el entendimiento esta ert
el alma, o en el hombre? Por la quartaesspe»-
cíe, Sí el entendimiento esta en aquella tár*
tud, en que tiene su habito de ser y enten-
der?y esta en aquel subjeto, en el qual tiene
habito practico de entender? Y por esta re
gla se pregunta , en dóde estan las cosasíCo
rao el humano entendimiento donde esta»
ilesp.que esta en lugar , segun la tercera si*
D 3 gura,
. ' A hi e; о
gura y quarta, у no efta en lugarfegú la pri
rtieray fegundà:por ferente efpiritual , y
fin línea í ni fuperficies : mas por fer cofa
criada efta en el vniuerfcdiffinitiufcmente,
como finito . Pi eguntafe , Que es el lugar?
Refpondefe , que eliugar es vn ente aquien
prepriamente compete el fer lccalmente
en fu tiuó , bile , y are : y que es vn habito
ccllocadó en fu fubjeto , como el càlor en el
fuego, y la accion en el agente. Afsi mifmo
el lugar fe conoce por la primera efpecie
de la.D : porque como el entendimiento es
primitiuo : por no tener cofa de donde de
penda y fe deriue materialmente :.afsi
tambien el lugar es primitiuo en quanto
fes geheràl deli mifmo : elqual noesfenfi-
ble,ni imaginable, fino folo inteligible.Pcr
•loíegündaefpeciedela.D. Su figura es vi*
fiblc.y imagir;abk:mas no fegüla eflencia.
Por la tercera eípecie de la. D, El lugar es
del que lopefiee , como el calor es del que
pollee el calor. Per eftas tr.e&«fpecies fe al-
cança la eíTencia del lug,"r,con lelo el enten
«limiento. Ynotefe, que el lugarpatticu-
.lar y proprio efta fubjetado en el fubjetà
particular: y el lugar vniuerfal en el fubjeto
iiníuerfabque es el chaos : el quai lugar vni-
ucríalcolccd tedas las cofas., quefen color
i» • г cables:
GENERAL. ti
cables : afsi como las cofas calidas fe hazen
tales con el calido vniueríal . YporlaR'è*
. gía de la mpdalidad.podemos ccnocer tam
bien el lugar:pcrque ia parte eíta en.Japavr.
te,como el fuego creel ayre:y laformaenlçi
ftiateria, y todas laspa.es eflan en el todo:?
y como el todo fuera efe li faca fulemejan^
ça, cfigura : afs¿ tambien vn lugar efta en
otro: los lugarèïpaiiicularesenlosviiiuer-*
fales , y la figura del lugar fe parece en еД
que contiene, y lo contenido. Afsi mifmo
el lugar fe conoce per la fegunda Regla de
la.K : porque el lugares inltrumento de la
fubftancia.ccn el qual coloca la parte en la
parte,como el habituado efta en el habito',
y el bueno en la bondad y el grande en lji
grandeza. У la figura: ddfteiníTrumenCo le"
balla conelfentido.yimaginatiuaicomo^n?
(I q coloca la agua en el harina. У declaralo
: jnas eíla Regla por las diffiniciones do. ;ft
.r}. líos principios,yporlascop-diáa- ч
i; -tieft .«te laSidemasi: . : > ;? ;l¡i
t h Rtegla^ . , • •, ,v;-ni.:b\ ti
ARTE !

Capítulo nono. De la Regla.


K. Que trata delas dosprin
cipales partes de la praética%
quefon elmodo,yelinftrumen-
to: Tarife .lama de'la modali
dad,y instrumentaitdad.

K
L '', - • • '
ESta Regla se diuide en dos generos. El
primero es , del modo que se ha de te
ner en todas las cossas : y tiene quatro
especies. La primera es , De que manera la
cossa es en si?como el entendimiento de que
manera es en si?la segunda especie , De que
manera el entendimiento es en otro? Resp.
que el entendimiento tiene modo de ser en
la voluntad, y la volundad en el mismo , en
quanto con el y la memoria el anima racio»
nal es constituyda.Por la tercera especie.P.
De que manera el entendimiento esta en
íùSpartes,ysus partas en el ? Resp. que del
modo que el que entiende . y el inteligible,
y enten-
GENERAL." *,
y entender estan en el entendimiento, y el
entendimiento en ellas . Por la quarta es
pecie. P. De que manera el entendimien
to comunica su semejáça suera de si?R. por
el habito {cientisico , entendiendo las cosas
inteligibles, que haze en su proprio inte
ligible. Y como la differencia es causa de
las distinciones , y es modal para distri-
buyr las cossas : afsi la concordancia es mor
dal , para concordar muchas cossas en vno.
La parte esta en laparte, y el todo en sus
partes , como en el dinero , en quien el oro
esta en la plata , conseruando cada vno
íuestencia. Y esta modalidad es general,
y della salen todas las modalidades parti
culares: como el modo de la sigura, que es
semejança del modo de la substancia , y
de la color: y el modo moral, que es scme-
jança del modo natural . Y de la modali
dad se descubre quanto ay por las cfíffi"
• »' naciones de los principios,y por. .
las especies de las de*
mas Reglas.
é)

D j Del
A R T-B- :

'Delsegûdo genero dejla letra]


K. Qvte trata de la injtru-
mentalidad. '- y . .

k . ..

^ta dezima Regla.K.de la instrumen-


talidad,pregunta con que instrumen-
. .tos obra las cpsas?y tiene. 4. especies.
J.a..i. es con que el entendimiento e$ parte
del anima? R. que el entendiinicÇQ es parte
del anima con su differencia, concprdancia,
Eoteflad^y las demas,saluo Ja contrariedad,
a.z.es^con que el entendimiento entiende
Jas demas cofassucra de si? R. que entiende
adquiriendo y mezclando vna especie coa
otra:y poniédolas en su propriointeligiblei
como el ojo, qüe en el efptjomirafupro-
pria semèjança.La tercera es con que el en
tendimiento es yniuersal yparticular ? ReC
que esvniuersal por la potencia a¿Uua , o
intelectiua y sormal j conque aleança mu
chas cossas en vn inteligible vniniuersal,
queesde su essencia: por el qual , y en el
$ual estan muchas cofas inteligibles parti-
G E N E R A Ls 30
cularess:Ccmo en vn espeio muchas iiragi-
nes . Y el particular inteligible es , quando
deseiende praticando el entenrìimiéto pcr
aigunaespecic particular , que adquiere y
conserua en la memcria.La.4.es: Ccn que
elentendimiento despide suera de sisuse-
mejança? R. que çon.su proprio inteligible,
intelec\iuo,y entehder:cçn losquales hazc
que las eípecies le sean conccidas , y pcr la
memoria accrdadas.y porja voluntad ama
das;o aborrecidas. Pcr esta iRegla se pregun
ta delcs instrumentes de las cosas eípiritua-
lc£occrporale$. De los instrumentes vnoí;
íonsubstanciales:comoJos machos .y em-
bras : los quales tienen instrumentes sub-
stanciales con que engendran: êtres son ac*
cidcntales:Como el suego ,, que con su calor
(allenta lo que es callentable : y el hombre
qaeconlajuílkia sehazejusto : otrosícn.
vniuersales,comoel entendimientOj q ccn
so inteligible intericr , causa el inteligible
peregrino.o exterieny el varcn que ccn vn
mismo instrumente engendra muchoshi-;
jos:y el suego que con lu caler calienta mu
chas cosas:y cl officia] q con vn misiiio mar
tiilo haze muchos clauos. Los insírumétos
particulâres son eitco aql có q esta,o aqlla.
cosa en particular se hazc , ceiiio el conque
; " " ' Eíto
ARTE
Este carpintero haze la caja : ycomo las
dos proposiciones , con las quales se haze la
concluhon.Otros instrumentos ay intrinse
cos,con que el maestro enseña por causas.
Y todo lo que se dudare de la instrumenta-
Kdad, facilmente se prouara por las difsini-
ciones de los principios, y por las especies
de las demas Reglas.

ET I LO G O. -

HAuiendo tratado del orden de esta»


diez Reglas con sus especies: Resta
aduertir, que el que supiere vsâr de
Uas,en los nueue subjetos , y en las dos ma->
ñeras de predicadosjnueue absolutos, y nue
ue relatos: y en las virtudes y vicios : en su
mano estara cóponer en poco tiempo mu
chos libros:y del modo que se hizieron,con
vn solo principio relato desta arte las con-»
cordancias dela Biblia : se podran hazer ü-4
bros de concordancias en las demas seien-
cias:y otros de las differencias:y otros de las
contrariedades. Y siruen estas questiones,y
reglaspara reuocar qualquier termino,y ha
llar los medios neceílarios,para defitiarañar
qualquier question propuesta : paflandola
• íubje*
general: 3ï
subjetìuamente por la especie de la regla
aquí en mas sea aplicable el sentido y propo
sito de la question. Y a se de notar , que al
gunas vezes la question propuesta contie
ne mezcla de muchas reglas : y eneste caso,
se acudira a la q mas propriamente nos pue
de seruirpara descubrir nuestra intencion:
como si preguntamos quien es mas semeja
tea Dios, el Angel, o el hombre? se reduci
ra a la regla que tan grande es ? por causa de
la quantidad de persecion,que se incluye en
ella: aunque la íemejança mayor , parece
de regla de las qualidades.

fT E E 2^.0
Hjratado 3 de algunas aduer-
tenciaspara el 'ufo de
efla oArte.

A Se de notar para entender el


vsodesta arte que los 27 termi
nos, 9 absolutos, y 9 relatos, y
las reglas con sus especies son trascendieses,
y todos segun su proporcion pertenecen a
qualquier ente persecto , y a qualquier ter-
¡mino y naturaleza ; como parecera pasan
do
ARTE
do los terminos por los principios y reglas;
porque combinandolos entre si descubren
muchas raçones , y en cada mezcla del vnd
con el otro differente concepto, que estado
simples : porque otra cossa es dezir la bon
dad es grande , que la bondad y grandeza.
Y aunque en qualquiera question entran
estos differantes conceptos , y son aptos paJ
ra probarla: todauia mas sormalmente sé
reboca la question a vn cócepto.que a otro:
como si preguntamos, Si el alma es inmor
tal ? se aplicara propiamente la question a
la camara. D. E.G.T.porq en la D. esta el
inmortal: y la alma como parte del hóbre,
fcn la E. y el sin en la G.porque el sin del al
itia es raçon deísiempre durar:y afsi se dirai
Lo que fue criado para sin euiterno dura sie
pre necelTáriamente : el alma sue criada pa
ra sin de entender, y amar a Dios, y para
esto tiene memoria, entendimiento, y volu
tad:. luego el al ma es inmortal . .Y puede se
rastrear la resolucion desta duda, por la
mezcla de la duracion con los demas prin
cipios, o por la conueniencia mayor; ome
nor, que tienen con los principios y reglai
estas dos propositiones:Laalma esinnfor?
tal: La alma no es inmortal .Porque es im-
possible,que con igualdad conuengan á-eft
«ambas;
general; 3ï
trartibas: porque la primera camara cócuer
da mas con la affirmatiua, que con lanega-
tiua: y las difsiniciones de la potestad, y vo
luntad lo declaran manisiestamente: porq,
por la potestad sin contrariedad natural, <
puede sustentar en concordancia todas sus
parte : vnadelas quales es la vida y vnion:
concordancia, y sin contrariedad, por resoe
sto del sin. Yel segundo lugar. D.E. T.D-
lo declara: porque si suesse de contrarios, se
ria de qualidades contrarias compuesta , y
de naturaleza de cuerpo: y tendria su origa
primitiuo corporeo, y de vna almageneraU
como materia primera:y no podria ser ser
ina ni acto de cuerpo como es , ni sin de las
substancias corporales : y asii no seria cria
da para sin permanente : loqualesimpossi
ble . Y siguiendo toda esta columna , siem
pre veremos,que viene mejor la mezcla co
la parte affirmatiua , que con la negatiua :
y la camara. D.C.T.E.dize,que los princi
pios del alma son Dios inmediatamente,sin
agente natural: mas , procediendo todo lo
corporeo, por obra dela-gente natural.de la
materia primera saltara la grandeza de la
producion para la plenitud, si Diosnopro-
duxesse alguna cossa inmediatamente de na
da. Desta camara fe saca la razon mas sor-
' ARTE
mal y propria: porque la letra.E. denota el
principio Relato por estar despues dela T .
y enella ay causa y quátidad y tiépo (como
arribase declaro en la letra.E.)y la causa co
tiene la esficientcmaterial, sormal, y sinal»
Tambien se notara , lo segundo que arriba
se noto , que para hallar el medio demostra
tiuo , se buscara en el atributo y sinonomoi
de la question, vno que tenga conexion co
el sujeto, cerno inmortal en la duracion del
alma : el qual se aplicara a las reglas y sus
especies , como este predicado inmortal es
lo que no puede Dexar de ser,ni de perma
necer : luego a de tener incorruptibilidad y
permanencia : y si el sol es incorruptible , y
iu resplandor es permanente: porque fue
criado sin partes cótrarias : tambien el alma
inmortal,y sus propriedades naturales, son
permanentes : porque no tienen contrarie-
dad,ni la pueden tener, por causa del sin pa
ra que fueron criadas: porque,si se corrom
pieran , de ay se engendrara algo . Y abe
mos de conuenir primero en la signisicació
comum del alma, y en quales son los verda
deros principios della, y en que sus combi
naciones son neceílariaspara quenocareZ
ca de su igualdad y vtilidad natural: lo qual
es impossible : porque vio Di os, que todo
GENERA L: 35
loque auia hecho , era bueno , y por tal lo
alabo. Y por la camara. D.E.T.G. no se
ña del alma su sin el amar,entender , y go-
zar de Dios : ni seria el vjtimo termino de
los inteligibles , ni sorma del cuerpo : ni la
generacion del hombre , y ella le constitu
yeran en especie humana : y faltara la v-
nion,que tiene este mundo abreuiado. Por
tanto viue el alma de sus partes espiritua-
les,sin tener necessidad de vida extrinseca,
ni de alimento.-como el hombre y el arbol,
y las demas cossas,que no permanecen. Por
la camara.D. T. E. G. Los principios de la
cossa , que tiene sin euiterno , son causa que
la cossa sea euiterna : el alma , y todos sus
principios tienen sin euitetjçp: luego es eui-^n
jerna . Ninguna substancia, cuyas partes
fon concordantes sin contrariedad, -puede
ser mortal:iuego , por sus proprias y apro-
priadas pafsiones , nunca sera mortal el al
ma: aunque se pueda apartar del cuerpo,
faltando la vnion natural , por dessecto de
las potencias del elementar , vegetar , y
sentir:y afsi,por todas las tres especies de la
Jetra. D • y de la. E. y de la. G. se
prueua afsirmab'uamente : y con ellacon-
uiene mejortoda la mezcla dela arte, que
con la negatiua, y especialmente la regla
E Deque
ARTE";
Dequeprimniua derìuatiua y poflsessîua-
mente:porquc las cossas criadassondc Dios
y no de la generacion, por la primera el-
peciede la. D: y por la segunda de sus prin
cipios concordantes sin contrariedad':
afsi Dios bien puede anichilar los depo*
tencia absoluta: pero no de ordenada:porq
cl sin para que la crio no quiere, sino que
la conserue : y aunque se aya de conde
nar, segun sus culpas , la justicia requiere,
que siempre dure : y afsi paflando la que-
ltion por las Reglas , consirma la afir
macion , y destruye la negacion . Secun
do exempjo . Toma la escuela para pro*
uar , que qualquier hombre es substan
cia , por la Regla de los priores , el consi
guiente del subjeto , y antecedente del pre
dicado : y dize afsi . Qiialquiera animal
es substancia : qualquier hombre es ani
mal : luego qualquier hombre es substan
cia . Mas por esta arte , se reuoca, de la
question propuesta, el homhrea la letra
E . Y el predicado que es substencia a la
letra . t . En quarto la plenitud de la
grandeza esta en la substtntia : y tam
bien se aplica al principio Relato de la
igualdad: porque es sin dela concordan-
<w de todos les principios : y afsi fe for
mara
GENERAL. 34
mira, el lu 'ar para esto de la quarta si
gura : poniendo de la columna quatrolu-
garcs'Xqueson. C. fi. L T, C. £. T.
C. ë. fi. T. E. C. E. T. I.)Por
«1 primero digo, que essubstancia : porque
supoder verdaderamente abtaça las estre-
midades del ser : y es parte sensible , y
parK inteligible: porque no seria acto del
cuerpo sinel alma : ni seria suconcordan-
cia poderosá con la grandeza, ní susprin-
cîpios substanciales : ni pudiera ser sin,
en cl qual reposassen l& substancias cor-
porales . Y assi toda la arte asegura la
•afsir-matiua ,, porque de la . E . que es
potestad,tomandola difsinicion ccartada
ul païticular , y priuada de su generali-
dad : para no comerer falacia de consi-
guiente : nodiremos, que loque tienepo-
teílad cS íubstancia r mas diremos } que lo
que tisneporestaddeelementar, vegetar,
sentir^imaginar, y entender , es substancia:
<\ hombre ciene esta potestad:luego es sub-
-stancia. La mayor es notoria: porqnoten-
dria partes substáciales , ni coposicion sub-
stancial de marcria y fbrma:q son differâtes
eir geiTcro, aunq cónstituy e vn.3 .en especie
deter minada de hóbre:el qual,ni es alma ni
tuerpo j sino cl copuesto de alma y cuerpo.
V,i:a £ i ' ?fl
'ARTE
Ysilesaltara alhombrc poder substancial,
fuera accidental , y por ser accidente no
pudiera ser sin delvniucrso, ni- fuera ma
yor que el la substancia : antes el accidente
suera sin de la substancia . Allende desto
se pregunta , si la materia primera tiene
forma de corporeidad ,.osi
«ia ? Reuocando primero el nombre del
subjeto , y predicado .. La materia se rer
noca a la Regla. D. y a la primera espe
cie, De que es primiriuaméte ? la sorma de
corporeidad se reducira a la Regla porque?
y luego aplicarase la mixtion ocios prin
cipios de la columna . D . E . H: . T.
D. E. T. D. D. E. T. E. D. E.
T. H. Y por el primer lugar tiene scrpri-
miriuo : que sin sorma no pudiera tener
con poderio y duracion . Por la segunda
parece lo mismo : porque la potestad dura
fin contrariedad , y tiene poder paraxlurar
con concordancia . Y por la tercera , por
susprncipios substanciales no pudiera ella
tener su ser primitiuo, sino suera substan
cia:/ aunque no es persecta , comparando
la a la segunda , toda via en. su genero de
primitiua,le lleua ventaja : porque esinge-
nerable,,y incorruptible : y el printípiopri-
merode quegoza es permanecer en simií-
GENERAL. 3$
fcia , y assise vee, como neceflariame.nte
aquella parte esverdadera, que mascon-
cuerda con los principios, y la mixtion
dellos: porquecon ellossedescubreelnii?
merojpeso , y medida , con que estânbrde-
nadas todas lascoíâs : mediante lamuina
sibiduria , que allega desde vn sin á otro
con fortaleza , y diípone todas las cosas con
suauldad. '"'.

QVJRTO TRAtfÀ-
do, de los quinzJe evsós de'" \
,,: .•.JaÀrt^^i;/-'--ï y ;
QVinze vsos tiene ests infini rnfto,^
son. El.udelimplicito, y ex'psicito,
+ El.'i.del <!oncreto,y abítractp. El
j. de la primera sigura. El . 4. de la segunda
sigura.ELi.de la tercera.El.6. dejá quarta fi,
gura.EL7.de laï difíìniciones.Éí.iS,cie las rc
glas.EI.9. de la tablá general. ÉLio.ìde la e-
uacuacion de la.j. sigura. El .û. de Ja mulci*
plicacion de lâ. 4. sigura. El. ii. de la mix
tion de los principîós. El.ij. deTos.ç.subje-
tos.El.14.de Usciênfprmas. Y el.ií,vso de
las questipnes.Losquales.ij. vsos sc irande
daxando pôt otros tantos paragrafòt'. .' ' 4 *
. . ..tARTE .n
$ primero. Dcía aplicación del
- implicìto3y explícito.
T , fi. aplicado se haze al termino explîcl
. I "'• ' to.tomádo los de ía questió, como en
esta: ¡fj ay Dios?el si ay se aplicara a la
.B.donde ay explícitos.*, principios, q son
la l>ondad,y differécia : y Dios se aplicara a
la mifmaletra,comosujeto:y por que Dios
quiere dezir jvna íumma y. eterna bondad»
seie aplicaran la grandeza, ccncordancia,y
<Juracicn,de la. C. D. y porq si ay Dios es
por su insinita grandeza y eternidad : 'sino
ay insinita grandeza y etermdad,Sigucse c|
no ay Dios,X discurriendo por todo lo que
estas tres titiras' signisican , le puede tomar
cada tejrñjíjno pcr si , o niezcladp con los o-
tros : guardando fus condiciones y concçr-
dando l«i con'clusio conellas.ysi en el lugar,
deícubicrtq'rio se hallare lo/que se buíca,
passarernos a,las demas.'setras'.. Y si en vna
letra câyer?.2.terminos como cnesta qstió,
Si es Dios eterno? acudirase a la siguiéte de.
la vltima letra descubierta', q en esta es la
E. que signisica 'la potestad, y cïpríncipìo;
y se concluyra , que si es eterno puede ser
principio de potestad cierna,, tato en fu ser,
,"W» , q " '"como •
tibN'tRAL. 3<f
<omo en sii obrany si puede serlo,çj eterno:
porquccn laeternidad son lo rrïistno elpp-
oer, y el ser: y assi en tcxlo lo eterno proua-
áp la poíVIbilidad esprouadc elscr. V r. ose
se que la regìa de la pokibilic'ad è$ de grau
primer,paf} preuar muchas cosas , de q no
íabciiios las diiiertcias vltimas.Ysi huiiicre,
tr«s terminpstcxpliútos de ditìscrétesletras;
cn la question como si csbien,quc Dios sea
tan infini topor fa grandc>'a , xpnmpci sij
cternidad ? ip.aplicaran.j.dissereiites-letras;
fa. G.por la^raiideza,)' la.B. par la fcodad»
y la.D. por$adurnrion:entas quales.j.letras
j)osoloscíií«scfnrapqr ellos , mas por los
'demas terminos, apìicando todas las clas
ses a la question propuesta : ycamo sç
dio excrnplo en laclaíle. b.c.d. se podra dar
de todas las demas:cpmc siDios es raas aílo
pc* su entéderjí] por sueternidad:se aplicar
ra elmas a lamaycridad,y el menos (q esta
«ncubierto enel q)a la iuínoridad.Ysi se pre
gûta,si es ta poderosc por su petestad cpnip
por su volútad'se acudira a laigualdad:coar
tádo los terminos transcédentes de los vnos
có los otros en el sujcto,y especie de la regla
tn q se sorma la question. Mas la aplicacion.
lïel implicite» se haze por los synonomos'de
los terminos explicicos de la question. . .
A R T E

Ç.ij.Dtlconcreto3y abjlrato.

LAaplicació del cocreto y abtracto se


haze en quatro maneras.La.i. quádo
el cócreto yabstracto son substâciales,
comolaigneidad y el fuego: porq la ignei-
dad es la essencia íubstanciaídel suego , y el
fuego es el termino delia, q tiene el acto sub
stancial.La.i.cSjquando ambos ados son ae
cidentesjcomo la quantidad y el quâto ( El
quáto digo , en quáto es habito accidental)
La.j.manera es,quádo el abstra'cto es substâ
ciaby el concreto accidental:como la ignei-
dad y el calido (digo calido eh quanto es ha
bito:porq assi es accidente absoluto) La. 4.
es,quando el abstracto es accidente,y el có*
creto substácia , como la blâcura y el blaco,
(digo bláco debaxo de razon de cuerpo ha»
bituado de blacura: porq assi es substacia, f
ho accídéte). Estos.4.modos esta encubièr
tos en los termines de la question : y alsi se
ha de tenergradissima quèntaco ellos:por-
q no puede estât el vno sin el otro o tacita,
o expreflamente: pues porno entéder esto
muehos,no saben , q la sorma tiene su con
creto y abstrato:como la bonisicatiuidad en
abstracto,yelbonisicatiuo en concreto: f
la mate»
G ENE R A L. 57
la materia:como bonisicabilidad en abstra-
sto3yet bonicable es c5crèto:y enel acto me
ciïoìa bonisicaciòes abstrato^yelbomsicar es.
concreto: mas toda la escuela no trata mas,
3" del total abstracto., como de la bondad :/
el total concreto, como de lo bueno. El ab
stracto signisica la essencia, y el concreto di
ze el ser de la eflencia.La demostracion per
secta nace del ser de cada cosa con su poder
y obrar, como por el poder de la bondad,
puede el bueno serpoder y obrar bien: lue
go lo bueno conuiene con el ser, yloijulò
con el no ser. °- ' r!
,1 v - ; --.».i .[ ..

§ . iij.. D e la aplicación de la
^frmerafiima,^;
n' » «' . » :...) i. "ï r~«'"s i.:
À Yquatro figuras en là arte natural: y
' M llamanseprimera,segunda.tercera,y"
* quarta. Da primera es circular (de
quien se trata eh cite paraso^para los prin
cipios absolutos en quien se procede con-
uirtiendo el subjeto en predicado, y el pre
dicado en subjecto,como la.B.es.C. y la.C.
es.B. Lâ bondad es grande , y lagranBez*
«s buena : y afsi en todaí las letras w cioti-
. . r.r, ¿ . E y uierte
«ï AA K i jj: o
tuerte la rna letra en otra , y la çtra- en îa
ctra: y tratando con esta figura de. Dios
se conuierten los abstractos , rnas en ,las
criaturas no. La segunda sigura es trian
gular para los principios Relatos , y tiene
nueue angulos , y en cada angulo su prin
cipio Relato. Él primer triangulo es de dif
ferencia, concordancia , contrariedad: y el
segundotriangulo.es de principio „. .medio,
y sin: el. tercer triangulo ¡es,qela mayori
dad, igualdad, y njinqrida&.Y, estas dos si
guras son parales principios simples* „j v
La tercera figura es compuesta de las
dos , y haze treynta y seys casitas qua-
dradas , y en cada vna pone dos .letras,
diziendotf B €. . B D ;.&Tst*ia.K:y ¿sii
C D.hastal.a K. y assi en codas, como esta
declarado* en laàrte de R^ymiipdo .
La quarta sigura es de tres circuios,
vno metido enpt.ro, que. hagan .'B ÛJD.
C D É r hasta la K . y. mudaiidq'vna
letra con el circulo menor dira. , lì, JD B.
hasta la... K , y-assi dira de todas las de este
circulo hasta J.a . K. donde se haran .mi-
Jlones de Jylogisinos por ,la variedad y sigr
nisieaciones de las tre s letças^, , n , ^
, jifíauiendo tratado sumariamente de toé
da^ U$ Aguisas , resta tratar. del v4 ^e 1?
t-.:-¡j î .1 v primera
G E N .E .R^A L: b*
•primera figura que csckcular por h quai
se contíce-, que es insiflka elsubjeto don?
de se <onujerten lp$ abstractoj , y sinito
dond,<: no se conuierten : y assi decimes»
Íue laj!bcndad de Djos es la grandeza de
)ip$j, :)s la grandeza de Dio$ es la bendad
deD-jos,, V assi dc.tqdo el circtilo: masila
bpndad^dgl Angel.no es la grandeza dfi
Augel : y assi er) las demás «osas suera dtt
Dios.- Yen estasigura se entiende lo que
siene-ísf, porque si es ha de ser bueno,gra?i-
de durable, poderoso,,i,nteligible, amablei
virtupso, verdadero, y clotíQsQr.y faltando
qaalquiera destqs neceïïariamente faltan
todos,,y si vno dellos ( qualquiera que sea)
aíîíîrma.todos afsirnian,y si Vnp niega rodes
nïegan. En esta- primera sigura se halla, la
naturalvnionjo medid demonstratiuo poj
la disposició y proporcion , q denélosprin
cipioscon elpredicado.de Jaquesìion, y el
predicado con et-subjetp. Y assi la bondad
cel aíûmal,respfctq de. U bppdad del hotn-
bre,se ha como gene.rp,y lo-mismo dela grá
deza y los demas del anitrçahqse halla en di
uersas especíes,çomo enel lep enel hóbre, y
€ràq$dtm»s. ElABgel csbuenOjgráde,&c.
y la auaricia no es uiiena , hi durable, fino
jwala f y danosa. JEìe estd figura se conoœrc
lasprimeras proprias pafsiones,y las apir»3!'
priadas, como en el Angel que c$ bueno,
grande, &c. y las aproprjadas, como en eb
Angel malo , que tiene malicia , ignotácia,,
«ngaño,priuaeion del fin moralmenceimay
no naturalmente:el fuego, que tiene buer*
calor y grande fuyo proprio , y buena, y
grande fequedad apropriada : porque no es¡
«lya.fino de la tierra.Cóuiene adiïcrtîr mit
cho a-cfte paíTo, procurando fiempre coar-¿
tat el principio general a los terminos de?
la queftion . Como el hombre tiene buena?
y grande jufticia , y mucha malicia y falfe-
dad.,y eftopOría. moralidad , y no natural-*
mente : porque naturalmente es bueno,-'
grande.&c. y moralmente falfoy malo : y.
como fe fepa vfar deíta figura fe hazën conf
tila grandes rharauiliasy fe entienden gran
dès proíundidades y fecretos.El vfo es la. B-
es. С. y la.G. es . В . La bondad es grande,
y la grandeza es bueria: y a'nfi en todas vnal
con todas,y todas con vna:tomo labondad
es grande, durable, poderíjfa , inteligible,'
amable,virtuofa , Verdadera, y gloriola : là?
grandeza,duracion, poteftàd ,. y las demas?
fori buenas per libondad.&c. Y cúrmientf
exereitarla>adùirriendo generalmente, qué
entonces es la Cpncluíion-buíena,y verdade^
{ raquando
GENERAL. ì9
ra guando no es contra alguna mistion , de
¿[tos principios absolutos entre si, tratan
do del ente en quanto vno. . . i v

ÍSi.- Quarto de la aplicación de


la segunda figura . «

LA aplicacion que sehazepor esta se


gunda sigura de los nueue principios
Relatos , es q assi conio en la pastada
serrato del ente en quanto vno , se trata en
¡esta enquanto ay en elpluralidad. Y señala
se esta figura con Ja letra. T . porque se di-
.-uide en tres triangulos (como arriba se di-
-xo)yno verde de la difterencia,concordan-
cia y contrariedad q ay entre sensual y sen-
.sual, y entre intelectual y intelectual, y en
tre sensual y intelectual. Y el otro colorado
.del principio, medio , y sin: el principio es
/ubstancial , o accidental : el medio o es de
conjuncion, de medida , o estremidades. Y
:el tercer triangulo es amarillo , que es dela
'mayoridad , igualdad, y minoridad que ay
entre vna substancia y otra, y entre vn acci
.dente y otro, y entre la substancia y el acci-
dente.D.e manera, que la primera sigura es
para
» « . - A K. 1 C
para tos principios ciel ser, y esta segunda
para loi principios del obrar.Y assi estos an
gulos entran en rodas las cos.is,que son mas
que vna: porque pastando de vna, estan en
differencia yconcordancia, y contrariedad:
o en principio, medio, sin: o en lamayari-
dad,igualdad, y minoridad.
tí» -

£t Qjiïinto M'vÇo de la tercç-


»-» rafigura.

LA tercera sigura es compuesta de hl


primera y segunda:y tiene eníkrcyn
ta y seys lugares: y cada vno con dozft
proposiciones , y veyntèy quatrô questio--
•nes, y doze medios-, y diffiniciones,y diffe-
Tencias de reglas, y escala de subir y descen
der por lo intrinseco y estrinseco decada co
ía. Y va desta manera B C. B D. B E.
B F. B G. B H. B I. B K. Y luego B D.
hasta la K. y assi con todas hasta dezir I K.
La bondad es grande, differente , yconcor
dante. La grandeza es buena, differente, y
concordante . La concordancia es buena ,
grande , y differente. Preguntase si la bon
dad es grande , differente , concordante r
Que
GENERA L. 4¿
Que es la bondad grande, differente, y en
cordante? Que tiene en si? q es en otro ? y q
tiene en otro? Y las condiciones q cada vna
tiene en otra son, como la bondad es diflè-
rcnte,grande,y concordante, durable, con
traria, poderosa,, principiante, inteligible,
mediante,amable,siniente virtuosa, mayo-
risicante,verdadera,Cqualisicante,gloriosa,
minorisicarìte': justa y no auarienta : prude
te, y no golosa: ruerte,y no luxuriosa : tem
plada, y no soberbia: siel, y no acidiosa: c5
esperança,y sin ira: paciente,y no mentiro
sa: piadosa, y no inconstante. Esta bondad
de q es primitiuamente,y deriuatiuaméteì
y de que es postessiuamente? y porq sorma
y sin ? y quanta' es esta bondadeontinua y
discretamente ? y quai sea propria , y quai
apropriada?y qùando sea en si, y téga en si,
y sea en otro;y tenga en otro'y donde?de q
manera y con que ? y puede se tratar de la
bondad de Dios y de las criaturas que son
los angeles, cielos , hombres, imagínatina,
scnsituta,vegetatiua,elementatiua,y infini
mentátiïta. Y lô mesmo , que se dize de la
bondad, se dira de la grandeza , duracion y
de las ciemas. En esta tercera sigura, estriua
toda la mixtion de los principios y rcglas.y
enelia ccnsistc*todo el primor de la apli-
: V." cacion
, ' , A R 1 fi ,
cacion deste Arte, mezclandosolasdosle*
tras delia en cada raçon del discurso.

S- Sexto de la aplicacion de la
quarta figura.

SI la tercera sigura con dos letras tuuo


tantas colas , acrecentando vna letra
mas,q scrarporqcomo deziamos BC»
agora diremos B C D . y II auia dozc pro-
posiciones en ellas : con tres letras hallare-
mos treynta proposiciones, y nouenta que
ftiones. Como la bondad es grande , dura
ble, differente, concordante y contrariante.
La duracion es buena, grande, differente,
concordante , y contrariante . La differen
cia es buena, grande, durable , concordan
te^ cótrariânte.La concordancia es buena,
grande, durable, differente;y contrariante.
La ccntrariedad.es buena, grande,durable,
differente , y concordante : porque tres ve
zes quatro hazen dozc, y seys vezes cinco
son treynta, y tres vezes treynta hazen no
Òfn- uenta . Y tambien el discurso se ara por las
reglas y sus especies : y sino se satissara con
sok vna eóbinacion sepq*dran las demas
: ^'ì'J-j camaras
G ENE R A L. 41
camaras , ó lugares discurrir hast» hallar lo
que deseamos.

$. Séptimo . De la aplicación
de la diffinicion,

LA aplicacion que se haze por las diflv-


niciones,es desta manera:difsiniranse
los terminos de la question implíci-
citos y explicitos,como para esta pregunta,
Si Dios esnlsihito?disinirqseaDios, y que
sea insinitó, dizíendo: Dioses vn ente tan
persectoY que no tierte necessidad de Otro
alguno : y ta insinidad es vn ente al qual le
competen las tosas insinitas, yloscorcla-
tiuos insinitos . Y como se dize , la bondad
es vn ente en razon del qual el bueno haze
• bien:de la misma manera se dira de la gran .
deza,comò la grandeza esvn ente, en ra
zon del qual el grande haze cofas grandes:
y assi en las demas en su modo. El termino
que se pone en la question,se puede diffinic
en muhas maneras discurriendolo por las -
eTpecies de las Reglas : y primero la de la
Regla que es? por la primera especie: el
hombre es anirflar racional, o animal ál
• .' í» qual
ARTE ¿> ^
quai propiamente toca el acto intrinseí
co y proprio del ser humano . Por la se
gunda especie , el hombre es animal que
tiene en si sus cordatos intrinsecos , que
fon potencia actiua , pafsiua , y conexiua.
Por la tercera , el hombre es animal que '
obra, como en la cscriptura escriue , y en
el cauallo anda . Por la quarta , el hombre
esr.anijwal , que tiene potestad y dominio
ibbrc las plantas y brutos. Per la primer* '
especie dela. D. El hombre cs ej-primeró
ente en la nobleza entre los sensibles , Por,
la segunda,; el hombre es yn .ente al aual
estân subjetos los animalesy plantas . Por
Imprimerai de la, E. El hombre es substan^
cia,por su humanidad . ¡Y.por.la segunda,
el hombre es vn ente criado para seruir a.
Dios con todo lo vegetable , y sensible.Por.
la primera especie dela. F. El hombre es.
vu ente indiujduo , o continuo ppr su ele-
mentatiua, vegetatiua, sensitiua, imagi-
nariua , y racíocinatiua ,. de las quales es có-.
stituido : y discreto, o diuissiblctambié por.
estaspartes , que son enel discretas , o dif
ferentes . Y por la primera especie de ll
G.. El hombrees vn ente , al qual propia
mente le conuieneel obrar , comohom*
bre . Por la segunda , el hombre es gran-:
- dcy
G ENE R A L. 4»
áe-y durable i Y por la Regla. H.El-hom-
bre es lector quandolee, y escriprpr quan-
do escriue . Por la Regla . I . El hombre e*
V$ ente que reza en la Iglesia : y caua en
la. viña . . Por la Régla . K . de la modali
dad. > el hombre es vn ente que tiene mo-,
do He obrar : y engendrar naturalmente a
otro hombre . Por la instrijmentalidad,
el. honibte¡ es el que.haze elçlauo con el
siartillo:y escriue con la pluma. Y coma
íc dio exemplo del hombre , se dara de to
das las. demas cosas en su modo diseurrient
dolasppr las reglas y prjncipiosjpor via de
diffiniciones» j, '¡ :..->.-..>
ñs , ;.¡ »\ h'v i .». (»'»'• .' -.i i¡ . : I
i: ••.'til » ..! ;.»'{ ' . >;.nv ..• ;i's : ?:•••»

S¿ Octano. tDe la aplicación


• por las Reglas. :
ífjjó iY-L Ci-;..'.' ; !. - <-»-î '
I^A^ A TV RALEZ A porlapri-
; mera Regia de ia'C . es euencia sur,
r^stentada eh-siinatural coneretoiymo^
uida por el acto natural :: en el qual acto,
esta en reposo . Por la segunda especie
la naturaleza tiene en si ius corelatiuos
ianatos silbjstaüC'ialíSji a$íe son natura^
:;oV'. "•' F * ' «««
íÑ : À fcTE: Г'•
tino, inatufâblc , naturar : lin los quales né
tetnia fer,nipoder,ni obrâf . Porta tercera
«ffpccic , la naturaleza cita en cl fubjeto en
q4lec< á¿tiiía,ypafshla.y conexiua. Por h
2uartA efpecie ,. 1л fíatл ralezл tiene en et
ibjet6,eh cjúe d^acoicn pafsion yvnion,
o áfttvVniftuo/pof el a¿e"ríre ííatural ,y por
la natural forma f materia y fin, y con lo*
*afafâles ínftíumcntds . Por la primera
efp cieeíckb D. Là naturaleza eScíTencia
primitiu'améht¿de fi híifíTiajy esprimitiua
«h el airo proprio de naturalizar . Por la
fègunda eípeci<: , la naturaleza és de fui
corelatiuos intrinfeCos . Per la tercera el*
pecie , la naturaleza es del fubjeto , en
que efta naturalmente . Por la primen
efpecic dela. E. La naturaleza c$: por
que tiene en fi fus coreíatiuos • Por W
íegunda , la naturaleza , es. para que los
entes tengan fer y obrar naturalmente.
Por la primera efpecie dela letra. F. La
naturaleza. es eJTebAá'i que fiene 'efl fi
quàriíidad continua , oindiuifible : y lo*
eeM'órétdi foh fus quantrdades diferetas , Ô*
dia!.fibl-ss\- Por la primera efpecic de la
G'.i'-a naïufaleza riane^roprias, accionesí
^pafsfotyesh como la naturaleza del fuegoí
que tiene fu catóacion í y ia agua caliente.
tiene
GENERAL. 4}
rient su calefatiuocalefìcable, y calentar.
Por la . H . La naturaleza es en tiempo
continua , y successiuamente . Continua,
por la quantidad continua : y successiua,
ϻor las quantidades diseretas , en lasqua-
es esta la naturaleza en tiempo . Por la
Regla. I. La naturaleza esta enlag^r, co
mo lo contenido , y lo que contiene , ^ e$
agente en el agible: y esta en el subjeto don
de es sustentada , y mouida. Por la Regla.
K. de la modalidad) U naturaleza tiene el
modo de mezclar , engendrar , y íorrem»
per . Y porJa Regla. K. de la instrumen-
talidad, la naturaleza es con fus mstrumen
tos , como la substancia con sus accidentes/
y el mechanico ton sus instrumentos . Y
no es lo mismo del milagro por fsr sota»-
natural : porque el milagro entra por supe-
rier modo, que nola naturaleza t y a (Vi eí
sobre la naturaleza , y èsta en mayoridad:
mas discurriendo el milagro per reglas se
conocerâ por modo superior . Y enest«-
paííb conoce el entendimiento de que
manera se conoce el mayor por
i- i - «Imcncrconlas
Reglas.
(O
S. Monofátla aplicación flor
latablaffeneraL
o,

EL aplicacion que sehaze por estatâ-


blageneneral, es desta manera , qufe
los terminos de la question , que cert-
uienc a la primera cclumna,que es. BCI>.
se le den:como si se preguntase , Si esgraii
bien , que el mundo sea eterno ? o si se pre-
funtatsi fuera el acto insinito, puesto que 1*
ondadsea razon porque se haga bien: y la
grandeza sea razon porque hagagrande-
mente:y la eternidad sea razon del durar el
acto eterno eternamente? Y si el termino,ô
terminos dela question compete a la se
gunda columna. C D E. se le apiiearan:eo-
mo la grandeza de lapotestad, porque esl
Reíp. que por los corelatiuos de ta grande*
za y potestad,y afsi en los demas en fu mo
do . Y aunque cada termino es aplicable a
qualquiera de todas las columnas : cada co
lumna tiene su aplicacion propria a vna
determinada conclusion general, y sus par
ticulares i Allende desto, quando se pre
guntas el mundo es eterno , la segunda ca-
>ti i *i mará
GE ÑERA L." 44
asara ejae es' BC T B. seapücaâiacama-
xasuperioren razon del atributo de laque-
Ition: y lo misino de la camara B C.T G.
y aísi en todas las demas, hasta la T B C D.
y la causa es: porque la eternidades atribu
to y termino expltcito en la question . Y si
se pregunta, si la potestad del msndo es in*
sinita, apliquese la respuesta a la camara.
B C D. como se aplico laquestion.quese
hizo de la eternidad d el mundo. Y tengase
la negatiua : porque como se sigue grande
inconueniente dtí que el mttndosea eterno:
assi se siguira grade inconueniente de q el
mundo tenga potestad insinita. -Y como se
dize del mundo, de la misma manera se di-
- ra de todo lo que contiene el mundo,Mas si
se pregunta , si vn Angel produze otro An
gel, apliquese la respuesta a la camara B C
D. porque entre lacssencia del Angel .y
del hombre y de la rosa -ay gran differen
cia: porque el cuerpo delhombrcesta sun
dado en la materia general de los elemen
tos , de que vn hombre puede engendrar
otro hombre, y vna rosa otra: ynoesassi
del Angel : porque vn Angel no tiene de
donde produzga otro Angel /porque no es
deriuado .de vna misma materia general
Angelica. :» u\ .*..v ••
^ F 4 Ytcm,
, j ARTE;- o
Ten la aplicacion que se hiziereporefta
tabla, conuiene , que se conseruen las espe
cies > y diffiniciones de cada camara , y las
reglas , y que se le apliquen aquellas cossas
que vienen al proposito para la conclu
sion , affirmando,o negando , conueniente
o inconuenientemente : como parece por
el exemplo pastado , aplicando a vna parte
lanegatiua,y aotralaafsirmatiua , Yjuz-
garaíe . verdadera aquella parte de quien
no se. sigue algun inconueniente , y false
dad . T por ser transcendentes estos ter
minos importara mezclarlos , para hazer
Vn medio coartado con la conclusion : por?
que aquella sera verdadera , que concorda»
re c5 todas las mixtiones:porq le son peces-
sanas :y aquella falsa,que contraria a algún*
mixtion. ...u :.-.''

S/Decimo.. I)eU cuaçuacïo di


la termve figura.

A aplicacion de los. terminos que efll


en la question explicados , se aplica
ran a. la euaeuacioni'*Jajercera sigu»
i»:como si se pregunta, Si es bien grande,
que la bondad y grandeza tengan corelar
tiuos substanciales ? y que los corelatiuo;
tengan buena y grande concordancia ? la
tal question, se aplicara a la camara. B C.
Y por lo que se dixo , delo que estaca^
mara signisica en la tercera sigura, se sol?
tarala tal question, affir mando, o negan
do conuiniente o inconuinrentemente, -
Ytem , si se pregunta , Si por ventura en
la eternidad , la contrariedad de la bondad
puede ser eterna» aplicarase h tal question
ala camara. B -C. y a lâ. C D. y a la.D E.
Y segun lo que las camaras signisican, que
dara la question suelta , afirmando, o ne
gando conueniente, ctinconuenientemen-
te: porque lo que se hallare possiblej cen-
Uenicnte , segun la mixtura , e$ neceílario
en razón de artisicio •* porque son esto*
principios por quien la UbidurU Hega de
vn estremo a ça» k coq j^ucha, çoncorr
dancia. • t.. „' , », ,...-.t , . .^..••; »
Ytem,si se pregunta Si«i la bondad ay
grandes corelatiuos î aolicarasc esta que
stion a la camara. B C. y entonces se ha
llara en ella que responderjíor sus Henisi
cacios»; . ; V, , : A »„\!l '{ • *
Ytem,si se pregunta loj corelatiuos gran-
iti de Platón : de qu; son ? sc^plicara a la
>к ART É
сЫГе С D ,y la queffion particular aplî*
cara a la fubalternada . Y alargarafe el difcur
fo,lleuando adelante la combinatoria dcfdc
$ Qhafta В K,y en В D. CD. С E, y
en todas halb 1 К. En el qual lugar fe acaba
de vaciar la tercera figura.

S. xj. Dela aplicación por U


multiplicado dela quar
ta fimra.

E' fta aplicacion de la quarta figura ,. lé


haze añidiendo vnà letra a lapafia-
da : demanera que fi en la paíTada de-
ziarhós con dos euacuando defdc В Challa
la K. todo lo que auiaquedezirde las fig-
tiificaciones de dos letras , añadiendo agora
Vna m as.podem os dezir infinitas со Gis, co
mo en lo que atras diximos de la quarta fi
gurada qual fe pone por tres letras para cí
yfofylogiffico de la eicuela.

§. xij. De la mixtion de- -


fi'. Jasprincipios^.. :
Aib i 3 ' LA
G E N E R A I.: , /4.«
.V Ä-mixtion fe haze poniendo por car
I beças dos principios,y combinandû-
los con los demas defta marieM. ' • *
? : • •.,o.í - . *. .. Ь
• . j. . ........ ( . . .
: $ ffR G.

P Orque Dios és bondad , grandeza , y


eternidad es infinito en fiifer,y poder,
y obrar, г la mifma bondad que es
poderofa en el fer de. Ja grandeza es bonifi-
cadora y engrandecedora. j Ninguna bon
dad fe fabe que en la grandeza fea con ma-
ttca,ni pequenez. 4 Dios es.bondad gran
deza y vcluntad,y"fu bondad esfugrädeza
y volütad. y Aquella virtud es la bondad q
puede fírvna mifma cofa con la grandeza,
б Aquella bódad q fe conuierte Ampíeme
te có la verdad es fuma grandeza. 7 Aqlla
bondad es grande qenel fer de la gloria est
elorificante . y glorificada . 8 Nmguna
bondad puede (« grande fin diftincicn del
bonificante, y bonificado. 9 La bondacf
y grandeza no puede concordar fin la con
cordancia, ío la bondad y la grandeza
-Vi con-
t A "R T E í ")
concordando se apartan de la malicia y pe»
queñez y contrariedad, n Aquella bódad
«s grande que enel ser de la grandeza prin»
tipia el bien, n Ninguna bondad es mas
grande en la grandeza que aquella que en
el medo es principio y sin. ij Ninguna bo
dad sin el sin puede íer grade. 14 La bódad
«n la mayoridad engrandece su grandeza,
te La bondad y lagrádezacnlaygualdad
fe apartan de la desigualdad. 16 Aquella
bondad es pequeña que suera de la cssenciá
dcla grandeza participa con la minoridad.

' B. D. . , -,
' " '. 1 t i. . -'. r '' . - ' ' •
$. Bondad, duración.

A Bondad qut puede ser bien eterno


es summa en potestad., x Jmpolsible
es saberse modo, en que U bondad sea
causa dela malicia en la eternidad. 3 Todo
el bien es a madp en la eternidad. 4 Aque
lla bondad es summa que c ernal mer,te se
■parta del vicio, y Aquella bodad es muy
«lea en la verdad que contradice en la eter
nidad a la falsedad. 6 lncom«nj«nte es el
fejr
G E^ El'A L. wr
fereremo fin bódad y fin gloria. 7 Impof-
Cèltes que 1» eternidad difiera realmente
deíti bondad. 8 Bueno esqueaya en la e-
rernidad concordancia de fer y obrar. 9 Es
impcfsible que tí Contrariedad pueda eftar
éntrela fumma bódad y eternidad, porque
feria muy grañdifsirrio mal. 10 Afsi con-'
«ienc que lo etefno principie lo eterno en
razo dela eternidad: corrio el bueno lo bue
noen raton díla bondad, и Aquella bon-»
dad e$ fuinma que enel fer del medio es fin
ííhemidades. íi Tmpoí iblees que la bon
dad contradiga al fin en la eternidad. 13 Ira
pofsiblees que el bien cite en la eternidad
con mayoridad. 14 No es malo ygualar ci
principio y cl fin con el fer de la etermdad.
Ц Aquella bondad no es eterna que efta
*, la minoridad. .. :. . '.
,

.1 ;л• ... ..:: .B.

S. Bondad,j PoTeßad.

Vences faber hazer bien,y poder lo


mefmo la eiTencia,que la naturaleza.
* Malo es no querer eiafto de la bon-
Г.Г; dad
.J A'KTE A
«lad ypotestad. 3 Impossible es queel bietï
este.en la virtud dela potestad, sin el bonisi
cary poder. 4 Impoísible es, que se halle
falseoad en la eíTencia de la bondad y dcl
pdder. f Ningun bien puede tener gloria
sin el poder.: 6 El bien de la potestad na
puede obrar sindistincion.. 7 La bondad
y la potestad concuerdan en el bonisicar, y
bonisicado, poderoío y possible. 8 labon^
«lad en la potestad cohtradize, a la malicia.
p Aquella bondad es potestad que en fa
priricipio y medio aleança su sin. io Nin
gun mal ay en q la bondad sin esbremidad
produzgasu semejança. a la bçndady la
poíestaqsinelsinserian cn priuacion.
ìa la bondi» d y la potestad enjrazcm de su--
íiancta.e,stan:<;n la mayorjdad . ij ; JNingu-;
na akerâcion abria de lo bueno en lo malo
fíh bondad y la potestad pudiessen tener
igualdad en los accidentes. 14 Aquella
bondad esta en ìaminoridad de la
potestad que suera de si tie-1
í - nc necessidad -de c
otroZ '•.•.'^

;v B F.
GENERAL. 4З.

.h..hi ; В. F* .: .»

;Ж: Sondad, Sà&idnria^

AQuella voluntad es en la bondad de- !


feftuofaqueajnajmas el afto dela fa-
biduri a que el delà bondad, z Aquel
«ntender,que no es dela eiïència del enten*
dimièhtOjtaka etih. Virtud delà bondajj.
? Porque el bueno fabe la verdad y falíe-
dad.concuerdâ; 1a,,уcr<1д4 con la bondad,^,
lafabid uria en Ja gfandera. 4. fi es bueriq
faberlo glorificante xgloriÎîcado,no eslsu*
nojgnorar al glorificante y glorificado,,
î Diferencia ay entre aquelîa bondad y a-^
fuella (äbiduria: en las quales difieren el
bonificar y entender. 6 Sin el bonificar Y
entender esimpofsible. que la bondad y la ',
íabiduria concuerda. 7 Да bondad bonifi-.^
cado al entéder contraria à la ignorancia,
8 Bueno es principiar el entéder, 9 Si es ina:
loq el entéder. t;fte en medibdel principio^
Y,fin,bueno es-á la ignorancia eftc cnel fin. |
íoPorq el bonificar y el faber fe cóuierté eri '
Úetíencia delfiiij.es todo clfabcr defleable,{
' 4" ' " n.La
II La bondad y la fabiduria fonmarorci
en la igualdad, qufcna jen la mayoridad,
u Aquella bondad efta en la minoridad,
que contraria a la igualdad en la fabiduria.
j$ Es impossible y que la minoridad fea
caula de la bondad y fabiduria.

- в g. '.Vi'
r•;i»A .r(. .., *.} >.» i , m V • .•• .'j

Nïn^hîi ^fôiaà^uedeamar lo bue


По fin la Virtud, i Bueno es el qtíe-
fèr У el hb quwèt por caufa delà
grandeza y vêrd'ed . j' Mejor es la bondad
queriendo glbriâ , qüehó queriendo "pena.
4" Buenb eí , qirëb yoltintàd ame la diffe
rencia , para que la bondad pueda alçàriçar
fu fin. 5: Porque la volutad tiene virtud con
cordante,es la mlfrria Voluntad buena ctî la
concordancia.^' La voluntad aborrecien
do 1q bueno , es lo hiifmb que fí amale lo;
jnalo . 7. Porque" Ib buefici.'es amàbjë '.
bonificante , que" es principio de lo bonifi
cado . 8 La voluntad quenÊdo el bien es
medio de ayunV^micnrcí-. ^"fÈi bonificado
es fin
G E N ER A L. 4>
tssin de la bondad,y querido es sin de lavo
lunrad. 10 Si la mayoridad es querer lo
bueno sin cesar , la minoridad es no querer
lo bueno cesando . n Assi le conuiene a!
bonisicar y al querer el igualar , como al a-
mar, y al querer, n Impossible es hallar
cumplimiento en la bódad y voluntad con
la minoridad.

B H.

§. Bondad, y Virtud.

PO R razon de la verdad se conuíerten


lo bueno y lo virtuoso, z En la virtud
de la gloria esta el bien glorioso:como
en la virtud de la bondad esta el glorioso
bueno, j Aquella distincion esta en la cum
bre de la virtud , en la qual el bonisicante y
bonisicado distintamente permanecen en
vna misma naturaleza y ser . 4 Sin la con
cordancia de la virtud ningun bien puede
ser virtuoso. J Porque es impossible q aya
contrariedad entre la bódad y virtud,es ne-
cessario, que entre ellas aya concordancia.
6 Aquella virtud , que en el principio es
... .; G buena,
„r. -A R T B :i :¡
bueM,essín tiempo yquantidád. 7 Sï et
vicio juntar el bonisicante y bonisicado eiï
el bonisicar : virtud es que le distinguan el
bonisicar del bonisicantc.y bonisicado. $
Porque ay sin en lo intrinseco de la bon
dad > ay virtud en medio de la bondad»
9 De Ja manera que la virtud y la bon-*
dad imprimen sus grandezas en la ima-
gen dela mayoridad : assi imprimen sus
semejanças en la imagen dela minoridad.
10 Assi como es impoísible , que la virtud
y la bondad igualen con lo malo y vicio-
Íb:assres neceísario entre ellos la igualdad.
11 La bondad y la virtud ha ziédo cossas mt
nimas participan con lo malo y vicioso.

„ B I.

§. Bondad ,y Gradead-

Quella es summa verdad , con la


qual , la bondad y la gloria secon-
uierten.2 La bondad por la diffe
rencia , assise aparta de la salsedad , como
la verdad con la distincion participa con la
bondad. } Porque el bueno por causa de la
bondad
G E N E R A V ?o
fcondatf esbonisicante, y el verdadero pot
]a verdad es verisicante : ay concordancia
entre la bondad y verdad. 4 Impossible es,
que la bondad y virtud sean contrarias a la$
grandezas de sus semejanças. y La bondad
y la verdad sin principio, medio,y sin care
ce de sorma. 6 La bondad y verdad estart
en lo sinnmo, quando en medio son , prin
cipio y sin. 7 Ningun bien puede tener ver
dadsinjsin.8 Porque la bondad es mayor
fubstanciahque la accidental: es impossible
hallar en los accidentes mayor verdad, que
en las substancias. .9 El entendimiento hu
mano, segun la naturaleza/igualméte se ha
en la bondad y en la verdad . 10 Aquella e$
mayor minoridad, que contradize a la ma
yoridad de la bondad y verdad.

B K.
§ . Bondad, Gloria.
LA Bondad de la distincion suple a
la grandeza dela gloria. * En el ser de
la gloria bueno es que concuerden
la bodad y la gloria. 4 Ningun bien contra
dize ala bodad cíela gloria. 4 Pcrq la bon
dad y la gloria son principios,se aleja la bon
dad de la malicia, y la gloria de la pena. J
Gz La
Гa gloria es deííeable mediante la bondatf.
y la bondad es deíTeable mediante la glo
ria. 6 Afsi es deííeable la gloria en el fin de
la bondad , como la bondad en el fin dela
gloria. 7 Si es impofsible hallar mayoridad
entre la bondad y la gloria : es poísible fin
bondad hallar gloria. 8 Impofsible es hallar
pena en la igualdad de la bondad y de la
gloria . 9 La bondad mas deííeable es en
la mayoridad, que en la minoridad.

BTB. : '.

§ . Bondad, Différencia.

IMpofsible es, que en el fer de la bondad


aya concordancia fin diftincion . г Im
pofsible es, que en el fer inteleftual de la
bondad aya contrariedad . 3 Ningun bien
puedefer fummo principio fin diftincion.
4 "En la bondad y diftincion que fe con-
üierten.es impofsibie hallar medio de efire
ïnidades. y En el fer de la bondad , impof-
í ible es hallar fin fin differencia. 6 Si la dif
ferencia eftuuieíTc en la mayoridad fin bon
dad, eftaria en la minoridad con malicia.
7 Im-
G E N E R A i: Sx
7 ïmpofsible es hallar mal en el bonificar
diftintamente,yconigualdad . 8 Si la dif
ferencia del bonificante y bonificado, eftu-
uieffe materialmente en la eflencia de la
bondad(el bonificar concordaria con la mi-
noridad,y el malificar con la mayoridad•

sа д

S. Bondad, Cocordœnriaï' \

N la conuerfion de la bondad y de la
concordancia , impofsible es hallar?
E
contrariedad . г Ningun bien puede,
fer principio fin concordancia . j Aquel
medio fe dize bueno,en el qual el principio
y el fin concuerdan . 4. "La bondad por to
dos fus bienes concuerda . J Mayor es la
bondad en la concordancia , que no en la
contrariedad . 6 Mayor es la bondad en la
concordancia de la igualdad , que de la
ínayoridad,y minoridad. 7 Porq el bueno
y elfer/econuicrten, cftan en la
mayoridad y minoridad .•,-, - .
. delabondad. : . .. . .
:'.¿k G г В TD.
!- • ' A R TE-1 ;J

j' - —' ? . Vj t îlîlï's .' .,!> »ie


S. Bondad} Contrariedad..",

PRincipiando el bienjjrecede la concor


dancia a la coritrariedad. % Mal es que
«l medio cótrarie al principio y al sin.
3 Maloes,que la contrariedad ejie en el sin.
4 Por causa dela concordancia,possible es,
que la bondad, y la contrariedad esten aue-
zes en la mayoridad . J Impossible es en el
principio hallar como sean iguales la bois
dad,y contrariedad. ' • •

b e. z;¡".".y

§ .Bondad,y Principio.
t \ ••; •»: • ' —- /• - \. ¿
L A bondad con el medio, que es del se»
de la bondad, mide igual mete el prin
cipio, y el sin de la bondad.i Porque
elsines de la eíleneia, dela bondad, y del
jnedio^el bué principio es deíleable. j Porq
;i ^ es bueno
G ENTER AL.' VY
es bueno , q el principiado lea principiado,
el principie es mas defleableen la mayori
dad , q en la minoridad. 4 Deífeabie es la
igualdad en el prmcipiante y principiado!
y Ningun bien es cumpli do «1 el principio
conb minoridad. . . у.,;л ; ¡ :
.' ');'[• и 1 :.' ' *. . .1". ;.: .'..•

В F.
Л
, S.BondadyAfedh.
' ., "Л", V '. "*
Ningun bien ay en el medio fin fin. a
La minoridad es el medio que con-
tradize a la mayoridad del fin de la
bondad, 3 Aquella bondad no es defecbio-
fa , que iguala el bonificado con el bonifica»
blcen el medio. 4 Para que la mayo» .
ridad fea imagen del fin es bueno,
q la mayqjídaid fea ima
gen del medio.
• \ .» i - .X
JSC.

%\J^orinad3 Fit% '

G 4 Porque
A R T E
POrquela bondad y el sin son mayores
por causa de lasubstácia -, que del ac
cidente , es la substancia sin del acci
dente, i La bondad y el sin, mas contra-
dizen a la minoridad con la igualdad , que
con la mayoridad. 3 Aquella bondad esta
en la minoridad del sin,que es ociosa.

B H.

§. Bondadg mayoridad.

IMpossiblees , que el m ayorisicante y


el mayorificado se ajunten en el ser de la
bondad, z El bien contraria al mal con
la mayoridad, como cL mal al bien con la.
minoridad. •»»...'!,»..

... .. t:UI ..

$. Bondad Igualdad.

AQuelIa bondad, esta en mayor ma


yoridad , en la qual esta la igualdad
sin minoridad..
general; п

в к.

§. ^Bondad Minoridad.
:- •.: .. 1" "v . • . - ; .a
EN el fer de la minoridad, impofsibfe
es que la bondad efte perfefta. 4 -
De la manera que fe paflo la В. ^
por todas las letras fe dira de la С•, сoд las
demas hafta la К . Y. ЬaАarл auer pueftd
exemplo en vna para que fe entienda la
grande harmonia, y abundancia que lkua
efta mixtiój quié* mas a la larga lo quifiere»
vealo en. el arte inuentiua de la verdad en
la fegunda diftincion ; y bien fe vee , que
todas eftas propoíkiones que falen de eftft
mezcla/on dignidades^ypEíncipioSiOine- r,
dios por fi conocidos: y ajos que faben efta
arte fon tan euidentes , que J5n duda'algu.-
na affirma lo que .concuerida. con ellosi, y .l
niega lo que no eoneuesda.:Es. vtilifsim*^
efta mezclai para el bajar de lo. . j :. . i
general a lo parti- , , . , vb íь!
. : ARTE I

§. хЩ. De lo 5tfukjetospor
, /fits diffimciones. .

los es vn ente infinito y eterno , que


no tiene necesidad de otro , y tcdo
lo criado tiene necefsidad del.
Q El Angel esvna fubftancia efpiritual fin
' CuewpO,cuyoproprio fin es bendezir, y ala
bar fin cellar al fummo criador Dios tcdo
poderoíb. '..
p j::r£l Cielo esvna materia corporal fimple,
<uya propricdad informa las criaturas in
feriores: o el Cielo es vn cuerpo esferico,
que fe mueuc con varies modos circula-
tes;- - ' .'' "". '"*:
JJ .^iü hombre es vn animal racional difcur-
íuo , aquien propriamente le conuiene el
.afto humanoU í;p ,¿-j'iv. ..
F "l La îmaginàtiua esvna potencia, a quien
propriamente comp ere reprefentara la vir
tud cxtijnatiua las efpecies íentidas, o infu-
fas de otra virtud^ r. í . : . ;
G Lafenfitiuaes vnapetécia,porcuyacau-
fa el alma comprehende lo concordate por
los cinco fenüdos particulares.
* ï .> La
GENERAL. í4
Lavcgctatiua es vna potencia del alma H
por cuya caufa muda el cuerpo de lo no
animado a lo ànimado:y muda el mixto de
vna eípecie a fer el mifmo de otra efpe-
cie , como fe parece en lo que fe come mu
dado en lafubíbncia del que come.
. L'ae te m entatraa es vna: perfeciofj.de la I
ferma mbftar:eial del mixto , peb cuya
cania los dementos eftan en el mixto , .de-
baxo<iel grado remifío,fcgun tedas las for
mas de todos. . s
La inflrumentalidad , o inftrumenta- К
tiua,,es vñrtabico virtuofo del animo, pee
cuya caufí :¿1 animal obra las coias natu
rales fagun la naturalcza : y las artificiales
fegun el arte. .. I-,
Pues pafTar cada fdbjeto por todos los i
principios' y /regias , y tabla general con
las mixtiones, íbracofa alrifshna , como
fe vera en el -vforicllos. Perque quando
dezimos , la bondad del Criador, o de to
das la$:criatmas , por cada fubjeto bien ay;
que dezir. . : .: b'.í : . . .: . .. ; , :Al,'. :. .'. w? - '

: ... .-'A a: í .'i;


ART E" "f
' « r- \ 'r
S- x'nij , cDeI vfe de las

cìenformas,
7-»"; o.. .-

LA S cicn sormas,sonfttentes p ara ro


das las diffinicionese.'yponense estas
, • cien sormas escogidas.de lasxomunes.
disciplinas, poniendo el numcx»siniro por
înfìnito: para dar a entender, quesi eriiestas
cien sormas podia diícurrìrcon el arrepor
los principios, reglas, y sus essp ecies : que 1c*
milmo podiamo&hazer enqUalquitta otra
de las deffias , que no estan. cxplicadas. eiv
estasciento. L v. - . .
. L A primera es, la entidad, y su euffini-
cion,y ks de las demas sonveomo las diffi-
niciones de los principios : porq a'fèi como
la bondad es causa por laquai elbueno o-
bra bien , afsi U entidad es-causa por la quai
vn ente causa otrofnqre:^y assi como la grá-
deza es causa que la bondad sca grandc,assi
la entidad es causa q la bondad fea ente.
. La essencia es vna sorma abstraida del
servysiistentada en el mismo ente: como la
bondad es abstraida de lo bueno , y susten-
ra da enlo bueno.

La
G E H E R'A L. y?
3 La vnîdad es vna sorma, a qufen pro-
priamenrc le conuiene el ser vno.
4 La pluralidad es vna sorma agregada
de muchas,que disieré" en numero,
y La naturaleza es vna sorma a quien pro
priamente le conuiene elnaturar, o
" Tel acto de naturaleza. ' ::i 11
6 El genero es vn ente consuso: el qual se
predica de muchos entes que disiere
«n especie.
7 La especie es vn ente que se predica de
muchos, que disieren en numero.
8 El indiuiduo es vn ente en quié reposan
el genero y especic,como en suvlti-
mo termino.
9 Lapropriedades vnasorma conla quai
se nazeespecisicamente.
10 La simplicidad es la sorma mas aparta
da de la composicion, que todo otro
ente* :.
K La composicion es vna sorma congre
gada de muchas essencias.
I* la forma es vna essencia con la qual se
obra en la materia actiuamente.
?3 la materia es vna essécia simple passiua.
1 4 la substácia es vn ente que por si es,y tie
ne ser. ;; •. '
ly El accidente es vna sorma que no esta
ni
J ARTE
ni clenc ser por fl., sino por la sub st a -
' cia.
16 La cantidad es vna sorma, cuyo sujeto
. . . eselquanto. ;r.;! ~,'u
»7 la calidad es vn ente, cuyos principio»
senquales.
i3 la relacion es vnasorma,qne tiene respe
to a diuersos entes, sin las quales np
puede tener ser.
19 la action es vna sorma, queesta en lo q
padece.
io la passion es vna sorma,que susténtala
accion. .. ,
ti. El habito es vna fcrma,de quien se viste
el sujeto.
iz Ei sitio esvna possession delas partes bic
y Testamente ordenadas; -'ï
13 El tiempo es vn ente,enel qual los entes -
criados son començadpsy mouidos:
o el tiempo es la nouedad de las co
sas constituydas de muchos, agoras,
según antes y despues.
24 El lugar es vn accidente por el qual
los entes estan colocados, y asienta-
. dos: o el lugar es vna supersicie que
rodea y contiene en si immediata.. .
mente las partes intraneas delcuer-
P°- * » r.
ay El
GENERAL." yí
*f El mouimiento es vn instrumertto , con
el qual el mouedor mueue lo que cs
: . - mouido. ;
xC laimmobilidadesvn ente, que no tiene
apetitcaningun mouimiento.
3.7 El instinto es vna sigura o semejaça del
entendimiento.
s.8 El apetito es vna sigura o semejança de
lavoluntad,
19 la atracion es vna sorma con la qual se
— ; ' atrahe.
30 la reception es vna sorma con la qual se
recibe.
|i La santasma es vna semejança abstrays
da de las cosas por la imagina
tion.
31 la plenitud o enchimiéto es vna sorma,'
porquien se aparta del vacio o va-
cuidad,qualquier entc.
33 El derramarniento.o difusion es vna fer
macon laqualsederrama.
34 la digeflion es vna sorma con la qual se
digiere,ocueze locrado.
3) la expulsion es vna sorma con la quai
lanaturaleza expele lo superflue, y
reparte lo digerido competentemé-
te.
3 6 La signisication, es vna rcuelacion.
"3>? ARTE
• de algun secreto con alguna señal 4c
ï monstratiua.
37 la hermossura,es vna forma o señal rece
i • . - bida dela vi sta, o oydo , o imagina.
cion,o delectacion.
38 lanouedad es vna sorma por cuya cau
sa el sujeto se habitua de nueuo ha-
" biro.
39 la idea en Dios es Dios, y en las criatu
ras es criatura.
40 la metasisica es vna sorma, con la quai
:•. el entendimiento humano desnuda
el sujeto de los accidentes.
41 El ente que esta en la potencia es vna
• • " sorma,que se sujeta sin moui miento
de cantidad,y calidad.
4z El puto es vna eflencia del termino na-
tural,que esta en la menor parte del
cuerpo.
43 la linea es vna largura , constituyda de
muchos puntos continuos, cuyas es-
tremidadesson dos.
44 El triangulo es vna sigura, q tiene tres
angulos,contenidos de tres lineas.
4î Elquadranguloes vna sorma, que tie
ne quatro angulos rectos.
46 El circulo es vna sigura, que se contie
ne de vna linea redonda. . - ' -
.47 El
G E N E- R A L.
47 El cuerpo es vn a subitancia Hen a de pu
ipâJiqeas,yangulos. -,
48 la sigura ès vn accidente constituydo de
, sitip y hafctftp,; ;~ , ; i' ; -,
49 las rectitudinesgenerales son feys arri-
ba,abaxo,adeIáte,atras, a la diestra.,
a lasinieftra. " , -;
$0 la monstruosidad es vn apartamiento
del mouimiento natural.
51 laderiuacion esvnsujetogeneraLporel
qual el pattkular.deciéde de} general.
$l la fóbraes vn habitoprmatiuo dela luz.
Î3 El espejo es yn çuerpo diasanp djspuesto
para recebirtqdas las siguras,que en
el sueren represcntadas. 7, .. ; v ,
Js4-El color es vn habico cótenido p.oriasi.
gura. • n !.'r . ¡
la proporcip.esvnaformaj a quíenpro-
priamëte le cÔuieneproporçionar.
%6 ladisposic-jon,ísvijaforma,aquienpro
priatnente çonuiene disponer.
f7 lacreacion en laTrinidad es idea, yen
•; ' v . eltiempoes creatura. , ..p ,. .,
f8 la predeíKnacio enlasabiduriade Dîci
» . . '• es ídea,y en la creacion escriatura.
y9 la miseck ordja, en Dios es ídea , y en la
, creackm es creatura.
60 lariecess^fad es vna sorma sorçpsa, qui
A R T E
denota, que no puede fer ottól
€i La fcrtuna es vna forma pegada con e|
subjeto.
Ci El orden es vnaforma, aquien propria«
mente le compete dl ordenar.
6\ El consejo es vna proposicion dubita*
ble,cuyo reposo es lo consuitado.
64 La gracia es vna sorma primera,puesta
en el que la recibio graciosamente,/
sin merecimientosuyo.
íj La persecion es vnasorma, aquien pro-
priamente pertenece el pcrsicionâr.
66 Ladeclaracióesvnafcrma, enlaqlrer
posa el enrédimiento distinguiédo.
6y La trásubstáciació es vn acto dela nata
raleza en Iotrâsubstâciado,mud3do
la sorma antigua en sorma nueua.
58 La alteracion e: vna forma intrinseca
en lo alterado.
09 La insin'dad es vnaforma , que tiene
vn habito insinito muy apartado de
lo siriito.
70 Elengano es vn habitopofitiuo, y ha
bito priuatiuo del enganado.
81 La hôra es vn habito actiuo enei q hon-
ra;y passiuo enel q es hontado.
71 La capacidad es vna íbrm3,con la quai
. el capaz puede contener tanto,qu.í-
G E N E R A L; s»
tose le puede recrecer.- :
La existencia es vna sorma, con la qual
el ente es aquello que es. ,
74 la operacion es vna sorma, que mucue
al que haze al termino adóde haze.
7J la coprehensió es vna semejáca dela infi
nidad, y determinacio dela£nidad.
76 la ínuencion es vna forma , con la quat
se halla lo que se busca.
77 la semejâça es vna sorma, có la ql se se
meja lo q es parecido, o semejado.
78 El antecedente es vnaserma, que caula
el consiguiente. - ;
79 El consiguiente es vn subjero,en donde
repesa el antecedente.
80 El acto es vna atadura de la potencia, y,
del objecto.
71 la generacio en la criatura es vna sorma,'
con la quai elq haze causa nueuas
sormas. .... .
81 la corrupcion es vna sorma,có la ql el q
corrope , priua las antiguas sormas.
83 la priuacion es vna Forma, q esta en me
dio de la generacion , y corrupcion.
84 lathcologia essciéciaq habla de Dios.
8j la philosophia es vn íubjeto , por elqual
el entendimiento se aplica a tratar
• de todas las sciencias. .
H » 8 * Ut
л ла/тсТ'Е:? о
86 La geometria es vn-arte inuentada parat
I. i.! tnedir lineas,angulos y figuras.
87 laaftronomia es vn arceícon q.el aftro-
•iûîïifrf logo conoce lasvirtudes.y moui mie
.-—^t\ -kos q el cielo tiene e&tftíuamente
ûn.i : :-: en los cuerpos inferiores.; r "
.88 la arkhmctica es vrr arte;inuétada para
han г.. conta* muchas vnídades. - .
89 la mufica.es vn arte inuentada para can-
'П '" rar muchas vozes concordantes en

.^G la-rçioricaies vnartecÓ la quai et retori


co adorna y heiimcfca fus palabras.
^ klóáka es vn arte có la qual el logico ha
ïla el rtíedio naturaípara pTouar la
V iSb::"qu'<|iH5 entre el lujete ypredicado.
91 la gramatica es vn arreq' halla el medio
•сггттоТ«им hablar y efcfiuirrecrainente; ;*
*9}:la moralidad es vn habito para ha¿er bie*
o ra al. .
fylf lapofítica cS vn arte conlaquaLet go-
•гсíпю u¿fHader procurala validad, y pací
-эíп.п? ficacierj dela republica. -' h-j ¿: .'.
*^;'CTdèrèelibes vn acto: cénceítàdo enel
'-^:ftrnbre habituado de lajufticia. . y
^8ШШ^йЫЫ es vn habito con eíqual el
^^:rriedico, procura iaíatuddtl enfermo.
92 el re¿iniientoes vnkfürflia^oiila qual
».3 ôg с Ii . ci
G B N E R A L. f?
i- «1 juez,o el principe, rigíy gouierna,
su pueblo. j: ,•' '
98 la milicia es vn habito.có el qual el fcl-
. . dadoayud^asu principe , para que,
pueda sustentar la jufticia. •J'^-*î
99 la merca/icia-es vn habito, con el quai el
mercader sabe comprar y vender, i
100 la nâuegacion es vn arte có el qual los
mariñerosnaueganpor la mar^j-.rj
101 la conciencia es vna sorma , con la qual
j , el entendimiento aflige al alma;por
- . .' Ios-pecados cometidos. -¡
lOi la predicacion es vna sormaron la qual
1 el predicador instruye al pueblo pa-:
ra que huya del mal,y haga siempre
bien, '•.•»»
jOj la oracion es vna forma con la qual el
hombre habla con Dios , suplicando
le haga merced de apartarle del mal,
y darle que haga siempre bien eñ su
santo seruicio. . ," . , •
Í04 la memoria es vna sorma con la qual se
acuerda el hombre de todas las cossas
dignas de memoria.
Qualqu'rera destas sormas se podra diffi-
nir por el instrumento deladifsinicion lo-
gica,sisic3y metasisica, solida supersicial y
gaictasorrcaraentc, y tambien por. los pnn-
't. H î cipios,
A RTE
cîpïos,y reglas,y sus especies: como" se dirt
en su lugar.

$.x<v. De Us xx. quejliones*


PAra la resolucion de las questiunes,antes
de entrar enellas,sc notaran en la aplica
cion délos terminos quatrocossas.Lapû
mera es,que cada sujeto tiene su propria di-
flnicion con que disiere deles otros sujetos;
La segunda cossa que se ha de aduertir es, q
los atributos o diserencias especisicas, dise
rencian vnas elsencias de otras: como la ba
dad diuina disiere de la angelica , en que la
vna es eterna y increada , y la otra euiterna
y creada. La tercera consideracion íe ha de
poner en la concordancia de los sujetos: pot
que Dios,y los angeles,y almas concuerdan
en ser incorpcreos:y los demas sujetos en q
fon cor poreos. La quarta condicion ,es,quc
al mayor sujeto se le demayer atributo, y
al menor menor segun la nobleza de cada
vno:como a Dio- no se le podra dar atribu
to inserior a suinsinidad,immensidad, om
nipotencia^ persetissima persecicn. 1"'-
Auiendo tratado de la i quatro condicio*
nes dela aplicacion resta poner el orden de
queslionar conforme a la tabla general q le
forma
GENE R A L. 60
forma por las columnas siguientes, que ma»
nan de la quarta sigura : como en la classe.
B C D T, o bondad , grandeza y duracion
confus mixturaste duda:si la bondad es en
tanto grado grande, q sea eterna ? B C T B.
si ay alguna bondad grande , q tenga cosas,
differentes? B C T C: si ay bondad grande^
que tenga cossas concordantes, y coeftencia-
les? B C T D:si ay bondad^randeque ten»
gaen si cossas contrarias ?B D T B: sila bon
dad eterna es differente'B D T C, si la bon
dad eterna es concordante ? B D T D: si U
bondad eterna tiene en si contrariedad? B
T B C : si la bondad tiene en si differencia,
y concordancia? BTBD.si lo bondad tie
ne differencias contrarias ? B T C D , si la
bondad tiene en si concordancia, y contra-
riedad,o si la bondad tiene differencias con
•rañas? C D T B, que cossa es la grande dif
ferencia de la eternidad?C Ù T C, que cosa
es la grande y eterna concordancia? C D T
D, que cosa es la grande y durable contra»
riedad? C T B C, que cossa es la crande
differencia y concordancia? C T B D , que
cofa es la gran differencia y contrariedadî

. H 4 . C
- T
—. C D
— -* »
'. ARTE'
CTC D.' Que cesa es la gran concordan
cía y contrariedad? D T B C. la difieren-
'cia de la cqncórdácia de la eternidad de que
ès ? D T B D. la diffèrencia de la eterni
dad de que es ? D T C D. la concordancia
de la contrariedad de que es? T B C D. la
differencia y concordancia de la contrarie
dad de que es ? Y lo mismo que se hizo en
las ¿o. quèstiones de B C D. mezcladas.se
fiara èn cada vna de las 84. columnas. Yen
estepaiso se vee muy bien la grandissima
genaralidaddël árte: y para mas certidum
bre , fe dara respuesta a las questiones pro
puestas por las diffinicíones'y signisicacio
nes de jas letras en el modo siguiente.
A laprimera B C T D , si es en tanto lat
bondad grande, que sea eterna?Ressp.que si:
porque la bondad es aquella por cuya causa
Iagrâhdeza, ylas demas son buenas, y la
grandeza le da su cumplimiento para boni
. siçár.y'la duracion le hazc durar.
... ". B C T B. Si la bondad puede ser gande
sin diftíhcion? Digo que no;,porque no hu
biera natural obra buena , pues en todoo-
Êrarconûiene que aya distintos terminosí
yaque es la gran distincion dela bondad?
. Í^ÍP; Hue es aquella, que es de susproprios
corelatiucs, en los guales es sustentada , y
con
G E K E R A L. et
con ellos tiene naturaleza y eilencia per?
• fèctà.; ...r. ' .'. - • ' .''
* BCTG. Si la bondad puede ser graçde
sin la concordancia ? Digo que no: porque
como la 'cohtrariedad responde al no ser,
Jrfs'r la concordancia al fer : y para que es la
grande grandeza dela bondad? Resp.que
para que ella misma tenga sus corelatiuos
naturales. - -¡•'' i
" BC TD. Y a,siel Angelas mayprque
el Cielo? Resp. quesi:porque el Angel tic-»
ne corelatiuos con que objeta a Dios , y
Cielo no : y a que es la grande-contrariedad
del Cielo? Res, que es la immobilidad que
tìene^uestojque el no se mueua: afsi como
el suego ternia gran contrari edad , si por su
Huiandad no se pudiesse mouer aísi mifmoi
ya de que es el grá mouimiemo del Cielo»
Resp.que de sus mismos corelatiuos, sin los
quales no podrta tenes fu cumplimiento:
como se prueua por la' segunda especie
de la C.
BDT B. Y a,si en la eternidad ay diffe
rencia? Resp.que si:porque ellapuede tener
fiis corelatiuo'S^sin los quales no pudiera-te
ner su naturaleza ni bbndad insinita i -ya li
bondad del mouimicnto del Cielo dtque
' es? Responde.se, de si mi smaicomo parece
H 5 por
ARTE.
per sus eorelatiuos. : •»
B D T C. P . si la diuina bondad , y sis
grandeza concuerdan? Resp.quesi: porque
fin la concordancia , la diuina bondad no
tendria su insinita grandeza , ni. bonisica
cion . P . que es la grande concordancia de
la bondad eterna; Refp > que la eflenciade
sus eorelatiuos, que son, bonisicatiuo, bo-
nisicable, y bonisicar, lleno el tiuo delos
tiuos, y el bile de los biles , y el are de los a-
res:los quales tres concuerdan en la ellcn-
cia de cada principio,
B D T B. P. si ay contrariedad entre la
diuina bondad y eternidad ; Resp. que si.
supuesto,que la eternidad impida ala bon
dad su acto: y al contrario la bondad a la c-
ternidaddo qual es impossible. Y supuesto,
que entre la diuina bondad , y eternidad ay
contrariedad : aquella contrariedad de que
es? Responese , que de los priuatiuos eore
latiuos , que estan opuestos a los eorelati
uos posi tiuos de la bondad y eternidad : lo
quai es impossible , y contradicion ma
nisiesta.
B T B Cpreg. si en la eslencia si mple de
la bondad puede hauer differeccia y con
cordancia? R. que si t con tal que la bondad
tengaíuscorclatiuos,porlascgun<íaespecie
••. i r deU
GENERAL.
de la C. signisicados : los quales por la dif
férencia son tres , y por la concordancia son
de vna eíïència: Preg . que cosa sea la dif
ferencia y concordancia en la eflencia de la
bendad? Resp.por la tercera especie de la
C. que son ambas buenas.
B TB D . Supuesto que el mundo sea
eterno, preg. si en su bonc'ad pueda estar la
difTèreneia y contrariedad en vno ? Resp.
que no , porque ninguna buena differencia
pedra estar en presencia de la contrarie
dad eterna. Preg.de que es esta buena dif
ferencia? Resp. que de sus corelatiuos signi
ficados por la segunda especie de la D.
B T C D . Supuesto j que el mundo sea
«terno . Preg. si podra estar la concordan
cia y contrariedad en vno ? Reíp . que no:
porque de otra manera la concordancia
ternia buen acto de concordar y contrariar
de vn eterno en otro eterno, lo qual es im
possible . Preg . que sera la gran contrarie
dad de la bordad ; Resp . que si la bondad
esta en vn subjeto natural,que este habitua-
do de malicia,comoenel hombre pecador.
C D T B; P. de q es la gran òisserecia de
la eternidád?R.pcrla.i.especie de la D. q cs
de si misma:porquc a la eternidad ninguna
cofa le puede ícranteccdente^ : . . . -v i
CDTC.
A rt m o
- CDTC. P, que es la grande concor"
dancia del Cielo? Resp. que sus corelatiuos
' con que es , y se mueue pôr si mismo. P. de
- que es la grande concordancia del Cielo?
Resp. que de sus corelatiuos,Con los quales
tiene moui miento interno , y natural: y
mueue, y naturaliza todos los cuerpos in
seriores. ' •.' uttL.'.v »
• CDTD. P . que cossa es la gran con
trariedad de la prudencia y Iuxuria? R. que
la contrariedad moral .P . de que dura la
contrariedad moral ?. Ressp . que de los ha
bitos positiuos y priuatioos ► resistiendo al
contrarioen el subjeto donde no pueden e-
star juntamente. . .
- CTI3C ,.P. si la justicia . y prudencia
tienen gran concordancia i Resp ; que si:
por tener y cauCar grandes actos, con los
quales- se adquiere y alcahean grandes me
ritos. P. Que es la gran concordancia de la
j¡ustic-ia, y prudencia? Ressp.quc los grandes
corelatiuos con los quales difsieren , y
eoncuerdan. : »''! -jj-»í .: w
• C D T D . E . ii en. la eslencia grands
puede estarcía differencia,y contrariedad?
Respt quesi,puesto que la essenciaseacom
puesta;, como; la-estencia del hombre , y de
los elementos: -pero «i ia;est«icia simple
1 U-J enmn-
GENERAL. ffj
en ninguna manera. -, •.• -, .
CT C D. Puesto, que en la grandeza
simple aya cancordancia y contrariedadi
P. que sera aquella essencia de la grandeza?
Resp. que sera vnaestencia impossible . P*.
la gran concordancia y contrariedad de que
son? Resp. por la primera especie de la D,
que de si mismas:porque sobre la grandaza
ningun ente es preí atente.
D T B C . P . si en la eternidad ay diffe
rencia y concordancia? Res. que si: porque
de otra manera la bondad en la eternidad
no seria causa de que lo bueno produxeste
otro bueno:y la eternidad sin concordancia
no ternia algo con que distaste de la contra» '
riedad, y cciosidad:lo quales impossibles.
Preg. la diserencia y concordancia que esta
en la eternidad de que son ? Resp . que son
desus proprios corelatiuos por la segunda
especiè de la C, y [a segunda de la D.'Preg»
que son en la eternidad la differencia,y con
cordancia ? Resp . que ellas mismas sonría 'v
misma etermdad. i'acjili
D T B D . Preg . si en la eternidad pócr ',
den estar juntas la differencia y contrarie
dad?. Resp¿quc;no : porque íi sueste kr con»-
trario, la eternidad seria compuesta de rjiiu-
chas eífencias contrarias , y corruptibles:.
. Y como
A K T fc
como parece en lo elementado . Puesto,"
que el Cielo suelle de muchas cstencias con
trarias. P. su duracion de que seria' Relp.
qu* seria de muchos habitos positiuos , ^
priiiatiuos.lo quai es impossible.
DTCD. Puesto que enlaessenciadel
A ngel huiiiesse concordancia y contrarie*
dad. Pregun . de que seria la duracion An«
gelica.R. que seria de sus corelatiuos con-
trarios:lo qual seria impof.ible. Preg. que
cossa sea la durreion Angelica ? Respondese,
que es la concordancia sin contrariedad. .
T B C D . Preguntase , si la différencia
podria ser subjeto de la concordaneia , 4y
contrariedad ¡? Respondese, que no, porque
ln concordancia tiene respecto al ser , y la
contrariedad al no ser en el subjeto donde
estan. Preg. que cosa es la differencia en
]a concordancia y contrariedad ? R. que la
différencia en la concordancia es principio
jsoíïtiuo , y en la contrariedad principio
priuatiuo.
Esto es lo que toca a esta columna gene*
Tïlpâra todas las ochenta y qaatro colum
nas generales : y del modo que en esta se
dioexemplo, se dara en cada vna de todas
en particular.

Yen
GENERAL. 64
Y enel libro que Raymundo hizo de A-
nima se podran verisicar y practicar todas
las reglas y principios. Y entendiendole
bien veran los hombres como han de viuir»
^lylaestimacionpreciosissima en quedeuen
tener sus almas. Y con esto auemos dicho
y/ .quanto toca al primer
_ instrumento de la
i luna.
&
W Q^v 1 n ra
tratadoi devna sumaria re-
o[ loción del segundo instrumen

to del Sol.

Ste segundo instrumento fe intí^


rula Arbol dcla sabiduria, y trata
lo mesmo que el instrum?to pas«
fado. aunque por mas facil y delicado esti
lo. Diuidesse en nueue letras : y porque los
arboles son diez y seys, y las letras nueue: a
la. E. que es el arbol del hombre se le dan
cinco, el humanal, imperial, apostolical, y
eldela^nadredeDios,y el delessuChristo
fu hijo. Y en el arbol del angel dos,eJ suyo¿,
y el de las animas en la letra. C. de manera
que
humanal: cl 6. mpral;eí, 7. imperial: cl 8.
apoftolical:el 9. celeftiak el: 10 . Angelicak
elin.euiternal, que es de las animas: el ü.
maternabel íj-chriftianahel J4.diuinai: el

EL Arbol elemental nos da materia рз_


raeöпocer lasproprisdsdes de las^co»;
- fèsnaturales elementabas, t y. par* Ф.1
cancar los effetos particulares de, cada elçr.
mento.. Eile Arbol fe druide en fieee par-
tes que fen , rayzesyïroHcajibraçes, ratnos,
fcôîasYnV;res>y fruélo: y qualquier queftion
eíe'mehtal;o eflara en las rayzes-, o- teórico,
o biaçbSjO ramos, Q'hojfls, o flores,ofrti<£ïo<
«. '. íiàs.rayzes de efte Afbol elemental fon
toi 18i.principios abíbluios ,y relatos , que
fbti la bondad y grahtifeza* duracion^, pqte?
ftad
GENERAL. gf
ftad, sabiduria, o instinto, voluntad, o ape
tito, virtud , verdad,gloria,o descaso , diffe-
rencia, concordancia, contrariedad, prin
cipio, medio, sin, mayoridad, igualdad,
minoridad. .
£l tronco es el que llaman cahcs , o ille:
los. bracos son los quatro elementos en su
simplicidad,suego , ayre,agua, y tierre: los
ramos son las quatro massas sensibles de es
tos quatro elementos , de que consta todo
lo elementado : como el suego material,
que vemos , dezimos ser fuego , y todo lo
que del sale, dezimos ser cosas sogosas:jr
lo mismo del ayre , y lo misino de la raaíu
de la tierra , y del agua : y en qualquiera
parte de qualquiera destas massas estan to-*
dos quatro elementos guardando cada vno
fu simplicidad, como se vee en la piedra de
quien hereda con el eflauon, sale la sigura
y el color del suego: yen vna esmeralda,
o Rubi se vec el ayre transparente con la
diasanidad, y la tierra en la dureza, y la,
agua en la frialdad.
La quinta parte deste Arbol son las ho-.
jas.lasqualesson los. 9. accidentes,quanti»
dad,qualidad, relacion, accion, pafsion,ha«
bito,sitio lugar,y tiempo.
La quantidad es principio: accidental ge?
I neral
•hèralparàTOeaVlas-quàïïtidadcs partícula*
res:yafsrdè.la quantidad y delos demás ac
cidentes . La fexta parte defte arbol , fore
lasflores , quefon los inftrumentosproxi-
mos,natura!es , y artificiales . Lafeptima
parte es el frufttí,quc es lo elementado cor-
poreo>comólarjiedra,yeloro:y afside to
do lo elementado.

;:. . : Ztelyi itArbal VegetaV :

E L'Arbol Vegetal nos da conocimien


to de'las plantas, yeruas,arbcles, y de
fus virtudes,y eíFeftos : y es inuifible,
y inferta «niel árbol vifible elemental : y
tiene fus!fiete partes.Las rayzesfón las ele
mentales vifibles pa fiadas, c| fon la bódad,
grandeza, y las demas : y otras inuifiblesí
por manera , que fon duplicadas : porque
todo lo vegetable es elementado'. El troco,'
es 1.1 vegetat'ma. Los bracos fori la apetitiua,
retentiua,digeftiua.y ejcpulfiua.Los ramos-
fon quarro. generacion , corrupcion, priua-
cion, y renoaacion. Las hojas ion los nueue
accidentes duplicados : como quantidad
elemental, y la vegetal : y ahílenlos de-
mas . Las flores fon los inftru mentas ve-
'..v'a . * " ge-calcs
G É N E "R A U '66
getales proximos. Y el fruclo es el vegeta
do i Y en efte, y en el paiTado arbolfçtra
ta la philoiophiâ natural.

ES te Arbol Senfual nos da camino pa*


ra conocimiëto de todas las cofas que
fon feníiblesjpor los cinco fentidos:^
tiene eíte arbol fiete partes,como los pafià-
dos.Las rayzes fon la bondad,gradeza,5cc»
triplicadas : porcj contiene en fisl-elemen*
tal,vegctaby fenfual . El tronco es la fenfi*
tíua . Los bracos los cinco fentidos,ver,oyr>
oler, guftar, y palpar . Los ramos-fon los
miembros interiores,y exteriores.Los inte
riores fon en la vegetatiua la generacion : y
en el hombre el higado,baco,liuianos,y los
demas : y ios exteriores , cabeça ; manos,
pies . Las hojas' fon los nucUc accidentes
triplicados : como la cjuanti'dad elemental,
Vegetal , yfenfual .Las flores fon les effe-
ftos de los cinco fentidos. El fruíto
es el fenfado, como fon los cuerpos
' » inditriduo^ fenfadgs. ."
4»)
I г De!
:, ARTE

'Del.iiij. Arbol Imaginai.

E S TE Arbolimaginal nos-da conoci


miento de las colas que quedan sija
das en la imaginacion , de lo que sen-'
timos con los cinco sentidos , donde imagi
namos lasrayzcs , troncos , braços, ramos,
hejas, flores , y frustos de todos los arboles,
como scmejanças repartjdaspor estas siete
partes de los arboles corporeos, y sensibles,
segun lo que sentimos por los cinco senti
dos. Ella imaginacion es la que nos daña,
y n os enga ña, m ayérmente a los que tratan
todas las cosas ph.isicanaente no entendien
do , y distinguiendo qualcs fon phisicas , y
quales logica$,y quales methaphisicas: con
la qualdiítinció se haría muy gran cossa,co-
mo se vera en lo añadido , y se entenderan
los puntos transcendentes, que son sobre la
imaginacion: y algunas vezes sobre nuestro
•discurso, el qual juzga segun lo que percibe
por los sentidos.

Del.v.ArbolHumanal.

Este
general; 67
EST В Arbol humanal nos da cono
cimiento de todas las cofas humanas:
y la razon donde Talen fuspritícipids
verdaderos^ tiene fus fíete partes como fos
paflados . Las rayzes fon los diez y ocho
Erincipios cinco vezes doblados, comoU
ôndad ele mental, vegetal, fenfual, iniagi-;
hal,y humanal: y afsi los demas . La bon
dad es en el hombre efpmtual , у corporah
La efpirituaT esla dela alma , que fediuide
en tres bondadeá: vna de la memoria t otra
del entendinYiento,y otra de la Voluntad: y
la corporal en elemental,vegetal, fenmal.y
ímaginal:y todas ellas,afsi la efpi ritual, co
mo la corporal fe hazen vna ene! hombre éj
fe dize humanal.El troco es el hombre.Los
braços, el cuerpo , y el alma. Los rarrios la*
partes dela alma.y las delcuerpo:las del al
ma fon los tiuos,biles,y ares de la memoria,
entendimiento,y Voluntad: las del cuerpo*
los tiuos,biles,y ares de lo elemental, vege-
tal,fenfual, y imaginal.Las hojas fon los. 9.
acidentes de todas las cinco naturalezas dir
chasXas flores fon los effecT:os,OÍnfl:rumen
tosproximos:afsi corporales, como efpiri-
tuales. £1 frailo es el humanado , o homi-
ficado.

I 3 Del
A R T Ei.J :;,
Del.vj. oArbol Moral'\J
[T Ste Arbol Mowl,n«P da ,coRcci«ricjf-
todelfructodelas virtudes, yyiciys;
. . tierve sus 7.partes. Las rayées son las se
m cj a n te s de laspastadas realess bendad, y
grandeza,&c.Y mas tjenp .^^yzes rualasi
^ sonJmalieia>ignoir.ar}cia)^ij.fedad, y priaa-
cion delsin. El troncoeslâcpstumbie con-
íussa. Losbraçosson las ^.:virtodes cardina
les,justicia,prudencia,teu>plança, y sortalo:
za : y las tres theologales, ree; esoerança, y
charidad . Los ramos son las semejanças de
los demas arboles .Las hojas son los 9.acci:
dentes destas virtudes , conio la quantidad,
«jualidadj&c.de la }usticia,y fclas demas vit
tudes y vicios . Las flores riquifimas.,los este
ctos destas virtudes : y lasperuersas flores,
son los efTectos de los vicios . La fruta deítc
fffbol es el castigo,o galardon. ;\ .
' y .[::':. f. í
iyel.vij.<±ArbolImpèrf,a{:
ESte Arbol Imperial nos declara la po-
tejÇladydominio â los Principes yRe
;Ws. Las rayzes, son las pasladas, bódad
frandeza , &c. El tronco es el Empera,doj5f
,os braçoslosCondeSjDuques. yMarque-
; í ses,
GEN E R, A L: 68
fcs.y los demas oííiciales. Los ramos las vir
tildes del Emperador y fus miniaros, y ofíx
ciales. La? hojas los •j.accidétes ä todas tilas
virtudes, y los vicios.Quefcra medir laqná
dad delabódad çqn las debías dignidades y
virtudes del Principe: c] la qualidad y los de
mas co el aberrecimiéto de la quantidàd de
la maliçia.y ignoramia, y íalfedad,y piiua-
cion de fin? Las llores los effeítos clrí Princi
pe eneftasvirtudes^yen fas dignidades y juy
zios.El fruto e la paz,y cocordia de fu Rcy-
no.Yporeíle arbçl imperial fepodraj:edu-
zir a ciencia, y demoflracícn todas las co
fas legales.
Del. vm. Arbol oApoßolit:al.
ENefte arbol apoftolic..lfcnps da" a en
téí' er la vicaria del Apo.S,Pedro,y fus
fuceíTores:y la virtud grande q-han de
tener los ¿jen eftä.filla de Chrifto fe. absien
tan. Las rayzes fon no foja'inéte la bondad,
gradüza>&c.P,ejrbbs virtudes., afsi cardina
les.co ni o theologales. El troco es elSuni.Po
tificc:c| qu3ndo,eftofeefcriuees. Sixto. V.
Los bracos fgrnlos Cardenales, Obifpos,
Arçobifpos, y los demasPixlados:¡os qua-
les deuen fer adornados ,de las njiímas ray
zes, que fu pafter. '
I 4 Los
Los ramos fon los diez mandamientos
ée la sancta ley de Dios.Las hojas son los
siete sacramentos, y los canones,y decretos
de los summos Pontisices .Las' flores son
los catorze articulos de sa Ffce. El frusto es
la saluacion de las gentes, Ay ^qui en esto
harto quedezir , y los Theologos teman
las manos llenas : y si mpiessen ios que go-
uiernan ordenar eítos dos arboles , el mun
do estaria en muy differente estado del que
csta:y sobre todo estriba, en dos cossas: en la
vnion delosjuezesEcclesiasticos, y segla-
rees : y la separacion d estos es grande mak
como se dira adelante en su lugar.

^Deljx. oArbol Celestial.

EN Éste ^rbol Celestial se declara to-


dalaAstroIogia , y' lz virtud que los
cuerpos Celestiales superiores influye"
en los inseriores . Las rayzes son las paita
das, boudad.grarideza.otc. sàluo la contra
riedad , sino es en lo cxttíu&tqi por razon
del lugar, mouímïemo, y á$¿'ctóiEl tronco
ion los Cjelos. Los bracos doze signos,
aríesttaurus,'&c-. Lbs ramdsT&s y. planetas.
La hojas los.9.accidentesCdè{tiales,como
laquan-
general; 69
Ja ejuStidad y qualidad de los lignos, plane
tas , y los demas . Las flores fon los effeftos
«ieftiales.El frufto fon las cofas criadas in
feriores. Mucho auia a qui que deziren eft*
arbol dela Aftrologia: como el medir los
Aftrologos a palmos los Cielos , y fus pro*
noíHcos , y lcuantamientos de figuras : las
guales todas van erradas en.i^.grados:pop"
que no ay nouena efphera , tú deci m л, ni ay
tfpiciclos,ní «centricos : eomopor èfta arte
fedefcubre:porque todo lo refuelue a las. 4.
quaÜdades,y à la mezcla de las cäufas phifi»
cas:como en la Aftrologia , y Theoricas de
planetas de Reymundo le podra ver. ' ''•!
. Mit/. , . . ' lu)

'Del.x.ArboloAngeUçaL Ц

ESte Arbol Angelical nosdeelara algo,


delomuchoqueayquedezir, de ias
criaturas elpiritualcy,,y qu^ gloria tic-
nemyelfauor, y amparo que los hombres
tenemos en los fariftos ,y fcreriaúieriturados
Angeles. Las rayzesfon laspaflada^í boá-
dad,grandeza,ôcc». EI tronco eíel ArigeLj
esfubftaciaefpiritual fin cuerpó'.Los bràçds
fon, memoria,entendimLftOjy volútad.Lcfe
ramos íbn las efienciales parres de la3 memfr
в* . ï A R Т П s
«&enrendimiento,y voluntad, qr.e fori me
3RQratiuo,rij<morable,y memorar :.intele-
^Üup,inteligible,y entendenamatiuo, ama
bfc>y amaras hojas defte arbol Гoл los ac
«identes efpirituales, como la quantidad de
la bondad y.grâdeza Angelica,y las demas.
JLasflores fon.los efl:edtos de los Angeles.
Quceffe&os haran los.Angeles co tal bon
dadjCon taígrandeza y las demas?a con ral
ínemoria, entédimieritoy volútad. Elfru
tp deftc arbol AngelicaLes amar, en rentier,
•tlafcar,,yíeruir:al íumo bien todopoderofo
Dios yerdadero,q tales criaturas hizo, tan
buenas,grades,durahles,y poderofas , de ta
ta fabiduria,amór,virtud, verdad, ygloria,
y ta difrerentes„y cócordätes,&c.El qual fié"
do intelligíble.y amable.fue bíé, y muy co
ueniente,q criafe criaturas que le amafen,y
b4ntendieíícn,y entendiendo legozaffen.

=: <&éLxf. Arbo l Emternal.


,T 4 fte.nps damatefja para tratar delas al
„Г"4 mas, y tiene;tus;;fiete partes . Las ray-
£гГ"' zes,/onlos meritos de las rayzes pa
ndas bócja,d,grädcza &c.El troco es la du
lcio. J^pf ramos,las retribuciones del bié,
.y. del mal: dd bté fon trcs,el j.dela julticia,
GENERAL." 70
èli.eldelagracia,y elj.el de lapastió.El de
la justicia es el que da a cada v.no lo que es
suVo: a la bendad loque es de la bondad,
y alagrandeza lo que ex de la grandeza, y
afsi a las de mas cosai . Elramo de la gracia
es el que da u:as de lo que se meresce: por
que ningúr..c>$,uede mcrçjscer tanto , cômo
ie-cia -pcr,la; gçacia . Ei tercero es el que
se daper:las'pJÍsioneSt cqmq el de los que
ÍOJ3£^ïcM4P*:por.sus merecimíentos en
yjriud de miqstro Seiior Iesu Cbristo., q es
g\ sundamcjKfftde nuestra jusiicia . Y el ra-
4VM3,in ftìtnal «sel q los danados tiené enelin
Ìîernt).poçsiiS culpas y,pecados:del qual ra-
fnpjijrruujfrsfcmos íìépïe memoria, jaraas
hafiamOs^oCasinjustas, malas, nidesone-
ítas. J,apiiRÎasispn loJ9.accidéfes,quátidad,
y^ualidtfd^iasderu^s.Las fipres son los
<ft«ctbsglci;ioscis de la gloria,o penales del
insiernOïEl fruto es la. glGria,yla pena-Que
auiaaquiqdezir en este;arbol porlasray-
«^SjtroBjCevbfaços SccìY Dios nos^.guarde
jdc los quatro/ráygpnes,q spst malicw,igno-
rancia, fjiisedad , y pj:iuacion de todos los
sines buenos:porq ìqs priuados de les bue-
nos, quedarana eícuras en las penas eter-
jïias insernales en coœpania de los da-
fados* . v.?r -:; / .f.,."
Г 'ARTE

DeLxîj- Arbol dela Ma


dre de Dios.

ESte Arbol maternal es de la Madre de


Dios:y nos declara el amparo; y focor
ro , que los hombres éhefta piadoíif-
lima virgen Mariia madre de r>íos,y feñora
nueftrâ,tenemos:cuyas parte^foh ííete.Las
rayzes no folofon las paíTadas, bondad,
grandeza,&c.pero los finesdé los hombree
recreados. El tronco es la madre de Dios.
Los bracos fon las dos naturalezas diuin a,y
humana de Iefu Chrifto : porque en quan-
to es hijo de la virgen Iefu Chrifto Redem-
ptor nueftro,y por obra del Efpiritu fanfto
concebido, es Dios y hombre Verdadero: y
afsi madre y hijo fon relatos , para tal hrfoí
talmadrcqualleconuenia : porque talfuc
efta bendita virgen , qual conuenia fer : y
pues mayor hijo no pudo tetter, ni mejor
madre,ni mayor muger ; fue exaltada pot
efte parto naturaleza humana en ambos
fcxosjtodo lopofsible: y demas no fue ca
paz. Bien tienen aquique decirlos fan clos
Theologos,para declarar tantas,y tales ex
celencias;
G E N E R A L. 7»
Celencias. Los ramos d este preciosissimo ar
bol, son efoerança, miseiicordia, y piedad.
Las hojas son los nucue accidentes , canti-
dad.y calidad, &c. Que sera ver la belleza
de la cantidad dela bondad de la Virgé:que
la calidad de susgrandissimas virtudes: que
lasrelaciones,accionesypassiones: q elna-
bito sacratissimo que en todas sus dignida-
des y virtudes tenia, princípalmente aquel
amorosifsimo amorconqueamaua alhijo,
que ella pario: esto dexoselo a sus santos ca-
pellanesBernardo,y AlóTo. Las flores des-
te bendito arbol son los essectos de sus digni
dades y virtudes. Que haria la Virgen có su
santissima bondad : que con lapersecion y
plenitud de su grandeza: que con la perseue
r ancia de sus virtudes : que con la potestad
sabiduria , y las demas: que con su prosun-
dissimahumildad ? Elfruto es elinnocen-
tisiimo cordero que ella pario, su hijoben-
ditissimo,y vnico remedio nuestro.

Del xiij. Arbol Chriftiamh


r^Nel arbol christianal de IessuChristo
se nos declara el admirable fruto delar
bol passade Las rayzes deste santissi-
mo arbol ícn las perfèciones díuinas,y prin
cipios
л А:к Т Ê - г.
ciplos humanos : como las dos bódades eil
vna.que es ia bondad de Iefu Chriflo : y lai
dosgrandezasenvna, y afsi delas demas.
El tronco es IcfüChrifto nueftro Señor, y
fumnio bien todo poderofo. Losbraços la
naturaleza diuiha y humana . Los ramos
fon los refpeftosj o relaciones dela naturale
za diuina y humana. Las hojas fon los nue-
uc accidentes: les quales aunque pertenece
alefu Chrifto folo en quanto hombre, fe co
munica al verbo Eterno^por ferlefu Chrif-
TÓ, Djosyhombretyeneftefentido es ver
dad que Dios muriOjfue fepultado y refuci-
ro,&c. Mas efl:a materia, mas compete a
íán Pablo, fan luan, y a los de mas Apofto-
les,y a los fantos Angeles, y a la Yglefia fa-
gradà que no a mi. Las flores fon aquellos
admirables efectos de fu facratiGima bon
dad/^randeza,y las demas: como fus haza
ñas bienauenturadas y heroycos hechos y
dichos. El fruto es laredempeion del gene
ro humanO,con la qual cumplio lo que to-
щo a cargo, y fu nombre declaraua;
y afsi engrandecio al .....
mundo.
..•,.• • . .... . . ..
GENERAL. 7»

DeljXíiif. (iArbol Dminai.

LA S Rayzs deste Diuîno Arbol son


sussanctissimas dignidades , bondad,
grandeza , ylasdemas. Este Arbol
diuino no tiene mas que quinze rayzest
porquc no tiene contrariedad, ni minori-
dad,ni mayoridad . Ei tronco es el misino
Dios. Losbraços son laspropriedadesper-
íònales,paternidad del padre„ siìiaciondel
hijo,y la passiua cspiracion del cspiritu san*
cto . L os ra m os son l a gen eracion , y a spi-
raçion.Aqui tienen los Theologos diuinos
las manos Uenas d diuinissimos mysterios.
No ay en este arbol hojas affirmatiuaSj mas
ncgacton si de los accidentes en Dios . Lap
flores son las prouanças de las produciones
diuinas . Elfructoes DiosperFcctamente
cuplido,y persectissimo. Que ay aqui q de-
zir,y q de sanctisimos mysterios? Acudase
a íûs sactos A postoles,y EuâgelistaSjProse-
tas,y,Doctores. Yporque cadadignidades
insinjta, bastavna ha declarafnos todos loj
mysterios, y dudas diuinas quc en las escue-
-las se mueuen,acerca delaessencia^relació,
y noc,'oncs.
7. • - Del
A K 1

'Del xv, ArbolQuffyional.


ESte marauilloso arbol questional tiene
quatro mil questiones enelprocesso de
las rayzesjtrçcos,braçosjTamos,hojas,
floress,y frutçs, de rodos los catorze arboles
dichos:y notesejquccon tantoartisiciopu-
so este autor en cada arbol las qucstiones, q
ïiinguna question importante esta tocada.
cn los otros autores que no este resuelta en
estos arb oies : si se sabe rastrear, mirando su
proprîolugar.

Delxvj. ArbolExemplar.
ESte arbol exemplarpone exéplos por
parabolasysemejanças por todas las
sieteparresde cada vno de'los catorze
arboles past ados:dóde los predicadores ha-
Ilaran grandissima abundancia de exéplos,
|>arabolas,scmejáças,y prouerbios,para per
luadir y disuadir,y encarecer, y declarar sus
conceptos. ... .. -
Ydetodosestos dezíseys -arboles se ha-
Ilara cumplidissima declaracion en Ray-
mundo.
G ETNìE R À L. 7}

►"i do : Deœlgunvs exemplosp*

h n,: . -, deefiaoArte. "


V..:\. : ;Mi
» I i •-' "-1
S. í. T>€ la Memorial f:; t

Viendo tratado de loados instrtt


cicio
mentosde ;pratica^
como porse siguen
via de los
exei-
si

guientes paragrafos. • .. . ; as Ktfjinsnt'


; ' " Prcguntíase•', si la memoria rebïbe mai
presto las cosas del entendimiento,que dela
voluntad?Renque si :lâ causa è"$ piprque I4
Vol untad tien.è deliberacion,por causa de su
libertadjdespües del discurso del entédimí?
ko: Por la primera eípecie de Iaíegla C. S«t
pregunta, que cofa «s la memoria? ^Respi.
que es vna potencia: aquien propríamencé
compete el acordar.Por la segunda especie,
la memoria es aquella potencia ] que tiene
*n si sos proprioj Ccwelatiuos , qtí¿ fon mo*
toorariuoymc*no«bic.v y.memora* '.¿ *Pj»
<¿/.p^j"' K la ter-
la tercera efpecie de esta letra C . es cn !á
Jtenda^ bWení\, y\èn lagraïideza grande
objètiuámenteïpcrque el cntendimieritOjjr
lWfcfclttsâjt rcposserf eft'-êHáï-ot!ietiùarridn-
te . "Y- CD la mglicia \ ,l^ tnèmoria es malar
porqûeja volurttaîf âkìs àcflièt fnal . La
memoria en el su!jjeft^',e«-iiíbito , con el
qual guarda la ciencia .'~Por la quarta ci-
pecie de la C. la memoria tieneenelob-
jecto buïno bondâtj ,v£ <Uf ttgrande gran-
dcza , y asii en las demas': y tiehe'adto en
el objecto y subjeto . Por la primera e£
pecieidcU letra D. Preg. de que ès la me>
-moria^ítrâniiiuamente l Jìcípondese , que
de rtrrri&na:porqc$Cîiada,y no iengédradai
nihechade otra prcjacerìce- ircateria . Pot
la sesçujid«iespecredc:»Salerra; : ÍX. es-dé sui
jcWWiuejmirinCKoa^deJQi¡qualèr es, jjr
p(iifi4ciy liaíse por su*spcci^ • Por la ter-»
fi<íí4cip^oo. 4e la Dw*£ ciel iubifío «tonde
tstftsi :ewnio las pactes del tcdô naturalf
eícàttKiV^tísitáahuenlce, como Ja capa dei
f^sa^adíj-síï.cabiertoien.ella . Por la prr?
WscarcTpecie de la E. es la jneqiorU por sii
f»i»»a>ròa.ccj:ia. ïîpdr:l3Ì"cgujldaí espar»
qusii íi&jco sas que ti crier* ser / íti n acórda-
d^S::»y^'bombrepuçd«oeeer€jcnGÌa de las
«ofît p*â#á«t»Y pre^idí4sscfi«£^seiuain^
-»"î kI 7\ te,quaa-
G'E-^E H A L. 74
tc,quanta es la memoria continua, y disere
ta por la F? y pot la G . qual sea propria , y
avpropriadaîy porla H. quando sea en si, y
Çenga en si, y sea en otro, y tenga en otro? y
3uando sea la memoria prirnitiuaj y quan-
o deriuatiua, y quando possesma ? y quan-
d o sea todo,y sea parte, y la parte en la par-,
te,yel todo en sus partes? y quando trasmi
te su signisicacion en las otras ? Y por la re-f
gla-.pïimeT:a , en donde este la memoria ? y
f>or la regla, K. y sus especies , comoy con.
que seaja memoria parte, y todo, y el todo
«nsus partes,y lasparteî en su todo, y comò
y con que- comunica el todo su semejança,
y las de fus partes ?

; %.ij É^èlEntendimiento]
Ë L Entendimiento es constituydo de
bondad,grandeza,&c . y de todos los
, principios: y discursiuo por las reglas:
como enla arteparua y magna se declara.
Tambien le podemos aplicar a las cien sor-
pias:y de JU aplicacio de cada sorma se puer
de sacar vn discurso , y assi se aplica a la enr
tidad,essencia^nidad ¿y pluralidad. Porla.
entidad yniucrsal , sera, el entendimiento
ente , y sor la «{sencia eísencial ,, y pos
j J£ » la vnidad
A RTE
lavnidàd fera vno, y por la pluralidad mtl*
chorcomopor la bondad es bueno, y por
la grandeza, grande-, y por la duracion du
rable , y aFsi en los demas . Y tiene en fi
pluralidad , como*el inteleftiüo , inteligi
ble , y entender , qtftfon el entendimien
to agente, entendimiento palîble, y el afto,
o conexion de entrambos . Y en quanto os
Vno , puede confiderar el vno como vno , y
los muchos como los muchos . Yes parre
fimpfede la fubftancia:porqueesdefufim-
ple bondad, grandeza , y duracion , en nu
mero fímple, y indiuiduo : por razon de la
qual fimplicidad alcançà losantes fimpies;
y por quanto es de muhos principios corrir
puefto,es apto para conocer qualquiercora
puefto de partes íímpicstporfer tompttefto
de inteligible grandeza,conoce al hombre>
queèscompueftódecüerpoyalma j y que
fio es;'alm.a,ni es cuerpo . Por la forma déla
bondad.y grandeza , tiene el entendimien-
To.íu Forma cfpirituâl , que cs: el'intelefüuo
compuefto del bonifícariuo, y-magnificá-
t'ruol Y érí quanto es de la bondad material
mente es bonificablc.mâgnificablç , y tiene
los derriasbiles el entendí miento paíible,y
propria inteligibilidad.Y del agente, y del
pafibïe reíuka Уйo por el acТю întrinfeco.
GENERAL. 7y
ejne es el entender : y esta compuesto del
bonisicar, magnisicar, y de los demas ares.
El entendimiento,es de la bondad general
de que es la memoria , y voluntad : por lo
qual puede cosiderár entes generales : y poç
que su bonda es propria , y distinta de la
bondad de la memoria , tiene naturaleza
para bajar a las especies sinitas particu
lares: y aísi considera el logico los generos
y especies de los entes naturales . i de la
misma manera se puede aplicar el entenr
dimiento alasdemas sormas : y ver loque
le conuiene segun los principios del arte:
con tal, que no se contrarie a alguna difsini
cion,ni a alguna mixtion dela arte.Y sobre
todo se lude tener quenta.para vsar bien
de esta arte , con la tercera y quarta sigura:
porque en la tercera esta toda la prat'ca en
general, como en el arte magna seuera : y
en la quarta esta la pratica , mas en parti
cular . Y assi para tratar con arte la quer
ftion propuesta , despues de reuocada to
da la question al arte , se sacaran doze pro
posiciones, comQ se dixo en la aplicacion
de la tercera sigura : y veynte y quatro
questiones : y doze medios de las doze
proposiciones : como para prouar esta pro
posición , U bondad es grande , se pone
C- : _ K i por
jpörmecüo:lo q es engrandecidoporla grî*
deza es grande: yfedira, la bondad es en
grandecida de la grandeza:lucgcla bondad
es grande.La mayor es por fi notoria^por el
lugar de los conjugados: là menor es verda
dera por la difmicion de la grandeza,comu
conftara fi fe paila por las reglas la grande
za : porque por la primera efpecie de la re
gla C. lagrandeza es aquella aquienteca
engrandecer: y fino engrandeciere a la bon
dac^no feria tranfcendente,ni feria grande,
pues no alcançaria efta manera de engríde
cer . Y por la fegunda efpecie de la mifma
regla C. la bondades grânde: pues tiene en
fi fer,poder.,y obrar,por fus corelatiuos . Y
porque lo mas dificultolo defto eftriua en
los cordatos , ( los -qualcfife hallan en quai-
qmer íer perfeclo) por tanto Reymundo
trata dellos en la fegunda eípecie de la regla
С. y en la fegunda de la D, y en la prime
ra dela G', y enlafegundadela K. Y por
que cafitoda efta arte eftriba en la inteligen
cia deftos tres corelatos, hizo vn libro Rej'-
mundo , que intitulo tratado de los corela-
tiuos:enel qual prueua , q en todas las cofas
perfeftas neceflariamente ha de äuer tie's
corelatiuos intrmfccos.para tener íér,podet
Y-obrarperfecto : los quäflSftoÄ clveftfgio
,yÍ- í ^ _ dela
G 'ENTE-HAAL." t*
tk la fancbfcima' Trinidad . Eftetitolo.de
cordatos es drficuitoío a muchos de la ef-
cuela:donde fiempre huuodiuerfas opinion
»e*fobrellos : q^vfe llaman relaciones in-
trmfecasvy extuunfceas.oaduenticias : rriasí
los que figuen a Efcoto,defpues de.los. bullt
ílas,han tratado mucho dellos , i fundados,,
en que de orea, manera qualquiera cofa c*~
cociera de naturaleza,)' fin. Y aísidixoAw.
ftoteles,q;elf¿rde.c..vd3.cofa espcrjfu obrar,

cedio eftos relatos. ¿ en el tercero dc anim a~


<.y. yel.i; d« la Metan fica, pone vrt^pri-.
юеr inteligible.Y Platon en еЬТ>ееЙк№Д;
efte propoíito.dize,que.el vniuerfo el mml-
»iiento,y fucra.de moui miento я»ау icola:*
con el quai qualquiera cofa tiene lu propria.
operació,como er:el¿?.de la Metafific.e.16.:
lo apunto. Ariúete¿es;porq de orra manera,
ni ferian , ni podrian, ni obrarían las cofàsi?
У en la Logiea eneicap. de reïatïs dixo/qae•
nadie ел eítct acertarla , fmo el que fusile
вшу exercitado en ellos. : Л. ' : ,.,. zd

Y aunque auia hauído en los antiguos


tres opiniones (las qua les tocan los interpre
tes en el. c. de relatis) la verdad es la q efta
atteeafeña,ycSf q qualquieranaturawza, ?
y essenda denecessidad ha de tener esto»
tres corelatos,que son lapotencia actiua -,y»
la poceneia passiua,y la cqnexió de entranr*
bas : porque si la cosa persecta no tuuieíTe
essencialser,y obrar mtrípseco^la grandeza"
faltaria en el obrar:lo qual es impossible , yi
contra su diffinicion principal. Y porqile las
casas sueron criadas para obrar : y el ser et
dirigido alobrar: faltando este : el sin suer*
tnenor , q lo q es medio para el : lo qual es
impossible.Y assi es verdadera la disinicion:
de la naturaleza en el.i.de los Fisicos : por
que de orra manera- careciera de prqprio
fin intrinfeco , y no tuuiera instinto,ni ape*
rito enlas cosas naturaiesrtodo lo quai esiiw-
posibleypues cada cossa haze en si conseruan
d ose , y persicionandoíeassi mistna: y ningu>
nacoia auria extrinseca,sino huuiefle la in-,
trinseca . "Yporque las acciones todas scn
del supuesto , todo es agence , y todô espa-
cientevrio destrayendo, sinopersicionando
y confèrufkto. Y afsi senatatodas fesintrin*
íecas obras Aristotelescn ellibro de anima:
para que obre con razon y instinto naturah
y enia accion immanente ( la quai dámos
en qualquier serperfecto) ninguna cosa ex-
terna cs.precuTamentenecefrària^si el agen-
^tenacural irosc mouiessc con proprÌQape-
c^nâTis^ tito,
G ETN'E R A L. 77
«t:ompara coriseruacion de suscf»3Í.Çácranp
olio este mysterio, mas de todo esto se dira
algun dia muy lata y estendídamente con
elrauor de Dios nuestro Señor» vji
Por laquarta sigura tomando tres letras,
tenemos ya mas medios en patticularpara
praticar la question: y en esta esta todo«,el ar
tisicio:porque por ella se buscan los medios
antecedentes , y consiguieses , a los extre
mos de la question., mezclando tres lftras
en cada camara : como se declaro en d vso
de la quarta sigura , y en la tabla general.
Resta deziren general de lo que toca ti al
ma,con sus tres potencias : porque ají bon
dad en cada vna de las tres potencias , me-
moria,entendimieBtQry voluntad-: ¡ f tojda|
tres bondades constituyen vna- bondad del
alma ( como se dixo en el arbol euiternal)
JSsta bondad-ira por sus rayzes, y tronío, y
y braços,y ramos,y hojas,y flores,yfru-
to: y lo mesmo de la grandeza, .
duracion , y de las - -. ; ¿
' .- : : demas.

$.itj. IDe U lumbrepajfadapor


losprincipios linealménte.
¿ A R T E •'•
À Lumbre es vn ente bueno , que
propriay natural mente alumbra
bien: como la luz déla candela,
que es vn ente bueno natural , que da
luz buena alumbrando bien: como la
lampara , y el Sol alumbrando el ayre
causan el dia:el qual dia es bueno , por*
que esinstrumétOjCon el qual.se deltru*
yen las tinieblas , y obscuridades de 1»
noche,y los animales pueden ver : y co
mo la luna, que alumbra la noche con*
traías tinieblas , que repugnan a lapo*
tenciavisiua, para ver lo que es malo,
contra lo bueno. " •"» ".•

La lumbre es vn ente por fu propria na*


turaleza gráde,con la qual da luz gran
de a lo que es alumbrado: como la lum
bre dela candela, que haze grande acto
alumbrando.Y la lurobrecs grande en
potencia con sus tres corelatiuos essen-
ciales , q abrastària grandemente todo
loquesele pusieste delante, que sueste
combustible : y alumbraria de tal ma
nera , que.con su gran resplandor de(-
haria,y destruyria las tinieblas, y obsci»
ridadeSjpQrgrarxdcí quefueflen.

i %: La
G E Sf "E R -A L. 78
I ta lumbre es vn ente durable por fuha»
-rural duracion propria , con la qual ha-
* áíe durarla lumbre del ayre : efto'-eon-
- íla por fu bondad; grandeza, poteftad,
;- : lnftínto,y apetito \ en tanto que fino le
faltafle la materiàifiempre, fin dirainu
don de fu qua«tidad,durana:de lâ'ma-
; '. ñera que duraría la candela, fino l&'fal-
tfeífeelpauiio, y la cera haria que du-
;,; raíTefuerrefíodlumbrando.

4 Ls lumbre es vn ente poderoío," coi}


. que propria y naturalmente Ja lum
bre tiene fer ,y obrar alumbrando , y
dando luzalas obfcuridades , y tinie
blas : y puede dar de fi otras lumbres;
la caufa es , porq fu bondad, grandeza,
y los demas naturales principio^, la
conferuan en fuíer: y fi faltafle alguna
: de todas > no pudierfe fer ni бbraЛ co
mo la cahdela no podria conferuaríe, tí
le faltafle el pauilo,ó la cera, o le contra
riafle el viento,o lugar dóde no'pudief-
íe tener mouimiento : porque afsi co-
Г " ; Jtio refplandece en vn apofento:afsi tâ>
; " " bien fi fe encerrarte en vn oyo,no-dura-
" . ria:por no "poder tener mouîmïento-
TARTE
5 ta lumbre es vn ente , que tiene instín-
- to natural , y preprio, con el qual haze
aquello que le pertenece propria y na«
fu ra 1 mete, q u e es el arder y dar luz, por
todo aquel modo que le compete lia-
ziendo ,y padeciendo en la candela , y
en la lampara:y sin esto la lampara no
podria luzir : porq su cffecto citaria ya
todo careciendo de este modo: como el
entendimiento saltandole el modo de
la inteligibilidad.
V La lumbre es vn ente , qne tiene apetito
proprip y natural para alumbrar.y muí
tiplicar sus especies : y afsi alumbrando
quieta, y solsiega su apetito: como la
candela quando da luz a la lampara, o al
ay re, o a otra candela muerta:decendié-
. 4o por el humo a la misma , por causa
del apetito natural,quc tiene a alübrar:
. - y lo mismo es del entendimiento , que
alumbra las especies: porque haze efpe
cies inteligibles para exercitar su intrin
seca bondad grandeza, y las demas: y
. para entenderse assi mismo.
y La lumbre esvn enteque nace y emana
Virtuosamente dela llama, y cftaenel
ayre infusa, o en la lampara : y esto, con
w bondad, y grandeza' virtuosa: como
la
GENERAL 79
c lá vírtud dela lumbre de la candela, que
có su buena virtud y grande alumbra cl
ayre,o lampara.
$ La lumbre es vn ente que alumbra c6 siì
propriay natural verdad, la lampara , y
• -el ayre, consigo mismo, y de si mísmo, f
có su bodad.grandeza.y las detnas dîgni
dades : como la candela, que verdadera-
mente da su lumbre, y el entcndimienrb
que verdaderamente da su entender o
luz a los demas para que verdaderamen
te seanentendidosi' • -
ç La lumbre es vn erìte,que se quieta, repo
'•. sa y deleyta dandaasegre y naturalm'en-
tesuluz y resplandbr^qùe es su vlrima.
do sin y descariso ) como la candela que
rcsplandeciendo bieri,y cumplidamente
dando su lumbre, yaumentanda sa^es-
peciesjse deleyta! Ylo-'mismolalurribre
oel cntendimientosque se deleytá enten
• diendo,y dando a eht'ctìder lo qsabe . T
; tsto haze el entendmiiènto trayendó a si
las especîesq con los senridos sintio,y con
laimaginaciortìmagíno:y en eíhvycori
• ' estô,y desto , y por esto tiene grá deleycc
: èl entendimierïtcc ' " - '' - : ;c •>
io La lumbre es vn entè,que alumbra las co
lòres y siguras; para q la potenria- visiua
,ab .. pueda
•t ^ .J - a R 'Til :v
qual' fdbjcto prefta la lucididad a о
" .• ot?oi ftibjetos, que propriarrtcntc no ion
Iuciik>s:;éomo cl fol da la lübre a la luna;
\ y laxandela alübra al ayre, y a la läpara.
ij La lübre es vn ente , que i'rehe relation
c :;ihtfícajñua;q demuefrra q ht lübte del fol
; ' fcj esdierpo del fol:y itd fuego.^tiehe par
*' ^ïftb'ftanciales,cocffenciâlesVywnatos
*' ^orrciânïios,con ías qualts èisdîurnîfîca
- ; tttiofHumificable ; y lumifièa:r.Y^deftos
. ':>iâre la lübre accidental y peregrinajqùan
; do alurñfefa cl coloreó àyreiQlÔTdèmàs.
18 La lübre esvn ente,que tiene accibn con
,л. . fu luz , ajübrädo el à'yreiporq le da color,
íз , 'y-rcfpí¿ritlor, y luz: y tiene tibien acción
*лТЬЪrе listinleblas deftefrandblaíj
10 Lajirbre ts vnaforníípafsiúWqeh quí-
'JJtô i'ihjfilàfëjia es la lurtiiri agilidad gene-
v Jfaf; en Üa;qual las lurranarFas petegrínas
"¿ itfclb^ ltó .'Àfsi miírhü fe' lübre es vna
^Torrhijbporêciapafsit:à.eri quïtdèl euer
*; '^ofprriotio impide IaluzVquäío puede:
"'".quädo'la far va fembíjfédtí.ías'fórr}bras,
obfeuridades por toda? la Cuantidad y
ícmlññento: para no ímedatejièr qui
idadei.tjenfiuamente^™ ,:; , J ' "*
»oLVluiпbre es vn tjuädo
7' *S alumbradb en el diá pdr $Ш',"?*п el
apo
GENERAL. 81
aposento por la lampara, o candela.
La lumbre es situada en el subjeto don
de esta : como en el ayre por la lon
gitud, latitud, y prosundidad , por
♦ la triangularidad , quadrangulari-
dad, y circularidad : y en la pie
dra potencial por la potencialidad:
y en la piedra , y en el hierro, por el
mouimiento.
La lumbre es vn ente temporisicatiuo»
el qual participa del mouimiento,
mas que otro ente : porque la lum
bre no puede estar sin mouimien-
to:y porque el mouimiento y tiem
po concuerdan : la lumbre partici
pa mas con la succession que otro
ente alguno.
La lumbre es vn ente, que se coloca
en el ayre alumbrando , y el ayre es
el colocante , assi por todas aquellas
extremidades , en las quales esta
estendida la misma lumbre . Y en
estepaflo se veedeque manera vn
color esta en otro contenido: ypor-
3ae"el proprio color no se separa a si
e su proprio subjeto : se vee claro,
como el vno esta en el otro porla;
mixtion , como los elementos en
L los
?. ARTE
los elementados, y el oro, y la plata
en el real,o escudo.
¿4 La lumbre es vn ente , que tiene habito
de alumbrarlo iluminado: como la
lumbre de la candelarque viste de su
luz la substancia,y el accidentes vi
ste el ayre alumbrando : porq es co
lorado por la luz,y có el ayre:como
en el entendimiento., q su inteligibi
lidad inata intrinseca , se hebitua de
ciencia,adquiriendo las especies pc-
regrinas,y dessuera habituadas de la
inteligibilidad.
*e La lumbre es vn sujeto del emispherio,
q esta en medio del orizonte : en el
qual la color, y el ayre se ajütan: co
mo el Sol en el dia , y la Luna en la
noche,y la llama en la candela , que.
esta en medio del aposento alúbran-
dopor todaslas estremidadesdelas
paredes : dando lumbre al ayre: y el
ayre ressulgcte con su diasanidad. Lo
qual seria imposible,sino suesië mix
tos el suego y el ayre , en el cepuesto
por todo el emispherio , y orizonte,
rormal,y materialmente.
*6 La lübre es vn sin,el ql reposa enel color
delsuego,yla pote"cia.visiua:y lasacaá
es,
GENERAL; 8*
sa es, porqsin luzno se puedc ver,
como el amante en el amado,y el in-
teligente en lo entendido: elamante
y amado en el amar: y el inteligente
y entendido en elentender.
»7 Laluz esvnaimagen d«laimmésidad
. delagrandeza,ydelâeternidad dela
bódad,potestad,sabiduria, volûtad,
virtud,verdad y gloria:porq si la lû
bre dela cádela tuuiesse leîîa insinita,
que estuuiesse en lugar dispuesta y
proporcionadamente, multiplicaria
ìnsinitamcte la lûbre su luz.La lûbre
nopuede hazeresto:porqcarecede
lena,y lugar insinito : lo qualproce-
detábié, en la lûbre dl entédimieto
humano,y dela memcria,yvolûtad.
18 La lumbre es vn subjeto , en el qual el
sin dela cócordancia esta el ilumina-
doigualmentealumbrando. Yesto
mismo se puede entender de la lum
bre del entendimiento,y dela llama
del amor ïnteligible : porel ama-
tiuo,amable,y amar.En este passose
entiédcen q maneralos entes corpo
oralesjsirué pa saberlos eípirituales.
6.9 La lûbre es aquella, q con su mínoridad
careciédo de modccae enla priuació
ARTE ;-¡
y su contrario son las tinîéblas : y
aun ay lumbre en la minoridad, co
mo esta en la piedra el suego en po
tencia.,)' no en acto intrinseco.

tiéj. De la lumbre pajeada,


por las Reglas. :,

PO R L A Primera Regla B .
con sus tres especies se pregunta „
si la lumbre de la candela , pro-
duzga la lumbre dela lampara, en
gendrandola de si misma, sin corru
pcion? Respodesse que si : porque si
no engédrasse a si misma de si mis-
mamo se produciria asi misma artisi
cialmente: y la lumbre de la lápara ,
no conuernia en el mismo genero:
lo cjual es mpossible.yque lalumbre
de la candela produzga la lumbre
de la lampara sm corrslpcion de si
misma:esta claro al sentido, pcrque
es permaneciente en su cantidad sin
diminucion. .
Pues como la lumtre de la candela en
gendre lalumbre dsla lamparaella , y
G EWE R'A L. 8j
ella no tinga tan gran poder como
. . . - el Angel . Preguntase, si vn Angel
pueda engendrar a otro Angel ? R.
. q no tiene materia multipífcatiua:
pero la lumbre de la candela si,por
•e • la materia primera: porque" la ma
teria segunda tiene transito con la
•- - . materia primera en la lumbre dejla.
lampara por Via de generacion,
j Preguntase , si la lumbre de la candela se
- muèueasi misma? Respondese, que
. • si: porqueenelpauiloy laçcracon-
'' - siste'la lumbre inuisible en- poten-
f:' cia: y dize la misma lumbre en acto
engendrado en su eípecie , y anihi-
landose a si misma por modo super
riory transmutandose en especie de
humo , como parece por el sentido.
4 Preguntase, si la lumbre de la candela
•'• ' con su eíïèncía alumbra el ayre? Res.
que si:porque el alumbrante', quees
- • . la especie del suego en su proprio
Üuminable alumbra el âyre:porque
« :. la illuminacion no es própria del
ayre, sino calidad del fuego, y-apro-
piadaal ayre por el illuminante, y
. . seria propría calidad suya la illumi-
- nacion , sinola tomafle prestada de
*. L } la pro*
.•ARTE
¡de la propria calidad del fuego.
J Preguntasen la lubre de la candela tras
muta la diasanidad del ayre pcrma-
nente?R.que sitafsi como la imagina
tiua multiplica las especies delos en
tes sensibles , producidas , y perma
nentes en si misma,.
6 Preguntases la luz de la lumbre es con
junta con la potencia visiua en el ver
. locolorado'Resp.'queno: y la causa
.,. : es , porque la lumbre de la candela,
ylalumbre de la lampara, son tan
solamente cuerpos elementados : en
^ . los quales no puede estar sustentada
la vegetacion.
7 Preguntases en la lumbre de la candela
- » . . estan los elementos en acto ? Rcsp.
que si, para que dellos mismos sea el
cuerpo lleno de longitud, latitud , y
prosundidad:y para que en ellos mis
. mos sean sustentados sus accidentes:
, - y el mismo cuerpo , se constituya de
forma,y materia.
8 Preguntase, si lalumbrc delalampara
iluminada por la lumbre de la can-
dela,espornecessidad,o por contin
gencia? Reppondese, distinguiendo,
que en quanto la lumbre de. la can-
general: 84.
dela alumbra a la lumbre dela lara"
, para,quc entonces es natural, y cau"
sada de la necessidad:pero es contin-
gente:porque el artisice alumbra ar
tisicialmente , y no naturalmente,
la lampara con la lumbre de la can
dela. Dicho se ha por la primera
question dela B. siguiendo sus con
diciones de negar , affirmar , dudar:
con las quales el alma tiene grande
entender,amar,y acordar.. S¿
Preguntase , que cola sea la lumbre en sií
Respondese , que es vn ente , que
alumbra: como la lumbre de la can
dela > que alumbra la lumbre de la
lampara, y al ayrc : como eldoctor»
que enseña que se alumbra a si , y a
los que enseña. . - a: »

Preguntase por la segunda especie dela


C. que tiene la lumbre en si coes-
sencial ,- y naturalmente ? Respon
dese, que sus coessenciales^corela-
tiuos : de los quales , es como la
lumbre de la candela $ que alumbra
la lumbre de la lampara , en la quat
esta el ilumisicante, iluminable,
7 y el iluminar : y en su iluminable es
k 4 lalum-;
arte;: o
ía lumbre de la lampara illumina-
tiua reduziendose a si mismo de po
tencia en acto porvia de generacion,
como el Angel que vsa con sus po
tencias inatas de las inseriores en sil
misma materia , que le es a el gene
ral para aleançar y ver las colores sin
ojos,y las vozes sin orejas, y las mo-
bilidades del cuerpo sin tacto.
3 Preguntase por la tercera especie de esta
C . que es la lumbre en otro ? Resp.
i ' .: - que en la grandeza esgrande,y en la
.- • potestad,poderossa , y assi enlode-
- ' . mas, como la lumbre esta en el ayre
disponiendo , para que la potencia
•• Visible aleance la color blanca, dif-
»•"{ «.¡gregando y apartandola color, y la
negra agregandola;~» ? t. v -
¡4 ' Preguntase por la quarta especie dela C.
• t ' ' • que cosa tiene la lumbre en otro ? R."
• que enel ayre tiene la lumbre accion
alumbrando todas las cossas ilumi-
- ' "". ' hables, y passion en la potencia vi-
• ' ' felâ: y esto, porque la vista aleançe
la color. Tambien la. lumbre tiene
virtud enla potencia vísiua,como en
el ojo organizado, alumbrando jun
tamente con la potencia yisiua: por-
que
GENERAL. 8j
—,.r: que la misma poséela es instrumen
to para ver.
Por la primera especie dela D . se pre*
-.' ' gunta, de que es la luz primitiuar
méte'R.q de la manera cj la luz del
Sol es de si misma primitiuamente,
y elmouimientoes de laoctaua Es-
phera, que no son.deriuados de nin
guna parte , ni tienennatural origen
de alguno. .
Por la segunda especie desta D. 'se pre
gunta, dô que es la lumbre deriuati-
' • uamente?Respondese,que de sus cor
• relatiuos essenciates : los quales son,
lumisicatiuo , lumisicable -, y lu-
' -, misicar : como la lumbre de la lam
para , que es de la lumbre de la can
dela: y la lumbre de la candela , que
es del suego simple: y como el respli
dor del ayre, que e± peregrino, y ad-
i' uenticio de la lumbre de la candela
accidentalmente , y de la lumbre de
la Luna, y de la lumbre del Sol:co-
¡f - - moel mouimiento de Saturno , que
es de la octaua Esphera,para que in-
seriormente, repecto de los Antypo
das,el circulo mueua los planetas de
occidente aoriente en la supersicie
ùv.. L 5 que
A R Tï " -
que estamos, como el agua mueué
la rueda del molino hiriendola infc-
riormenteparaquese mueua. " i
Por la tercera especie desta letra D. se
pregunta de que es la lumbre postes-
íìuaméte?R, que delsubjeto a donde
«sta,como la lumbre de la candela q
esta pofleydadela lumbre delSoli
porque los cuerpos superiores celes
tiales , posseen los inseriores terre
stres effectiuamente, y virtualmíte*
como el entendimiento diuino , que
possee el entendimiento humano, y
la calidad delfuego al ayre y al agua
calida , y lo siiperjor a lo inserior: U
qual possession llama la escuela co
mun eminente. ' ; i
Por la Regla de la E . se pregunta: porq
es la lübre sormalméte:R. porq es de
futiuo, bile, are:de losquales es.
Preg. por lat.especie de la E , paraq
sin es la lumbre? R.quc para q de lü-
brc,como la lumbre de la candela, q
es para que de lumbre , y la lumbre
del ayrc,es para que de lübre.y cuite
las tinieblas: para que el que vee con
la potencia visiua,pueda ver los ob-
\ jetos,que sin el ayre alumbrado , no
. i - podría
GENE R A t. 76
• pôdrîa ver. ' ." ":>
? Por la regla F.de la quantidadse preguta,
quanta es la lumbre continua ? R . q
quanta es su quantidad,como la lum.
bredelacandela,qpor lâ quantidad
es cuerpo,que tiene en si vna quanti-
cóKnnA dad çjiicrgfc* en quantidades <iifcre-
tas,sustentada enlas partes del cuer-
po: conuiene asaber,el lumisicatiuo,
lumisicable,y lumisicar.

Pcr la 1 . especie de la letra G .se pregúta,


quai es propria qualidad?o que qua-
lidadtienc propria lalumbrc?Rcsp.
que es propriamente a quien conuic
. . . ne altfmbrarjcomo la lûbre de la can
dela : en la qual ay dos calidade$:vn4
propriaiy.otra apropriada: corao la
lumbr© del suego simples que con su
color simpk eausa el color copuesto
. - ' en la líunbre de la candela : porque
«l color de la. lum bre de la candela,
; es calidad subalternada al cok>r perc
grino delalumbre delayre, de la
luz que causavel color > b lu*nbre de
la piedra-,0 de ïa rosa:y esto , porque
la qualjdad le es apropriada.
i Por la Regla H. q es quandoìsc pregúta,
cjuando
.j /a Rsi:;E, o
2uando es la lumbre en si, y tiene en
,y es en otro.y tiene enbtro,y quànj
. . . do es primit'mamente , y quando es
« detiuatiuamente, y quádo es-postes-
;• siuamente,y quando.es partejy quá-
- .. . doestaensuspartes,ylas partes en
su todo3 y quando trasmiteíttsimili-
-•; . v nid en las demas. m • ' i ... t.et3
Por la regla primera , ique es del lugar,
se preguntâ lo mismû, queenla passe
da , de quando : en donde es la lum-
, :. tr . . bre en si. " . . »n. '» , t si i - 9
• twifPor la regla de la m odalidad, que es K.
»ùì 3/ì se pr*gunta,de que-maneraes la lum
s.Vío bre parte y todo,y esta ensuspartes,
r.i. ì lí y sus partes en su todoiy lodemas.
pn-rY p or la mism a regla cte la Ki que es de
tl oi;i, lainstrumétalidad , sej^gunta, con
i:\ ma ijuelí lumbre «sparte en laparte, y
os'.auqto el todo: y con qiie:el todo en
s:.'.v^orsua-partes . V estobaste-, poque en
vt bh , losEscoliosse declara tpdoíráas esten
sïs' íWamente, . l.tr'Sf.lj'ir •),-.*

sl) Fin de la aArte teneral.


B R E V E, Y

M A R I A

; Declaración de la

- Arte general.

Ü\Qyeuamente compuestapor
i. i el mismo ¿tutor.

f
CON PRIVILEGIO.

En Madrid , Tor.Pedro Madrigal.


M. D.LXXXVI.
À P R O V A CÌ O N.

POR mandado de los señores del


consejo Real desu Magçstad he vi
fio estos Scholios, para entender la Ar
te natural de Raymundo Lull : com
puestos por el Licefsciado Pedro de
Gueuara,y pareceme obra muy inge
niosa y delicada, y para entender la Ar
temuy njeceíïària,y enellano.ay coía
qu e côtradiga a nuestra sancta Fee Ca
tholica, y como a tal se le puede dar li-
cecia para que la imprima. En Madrid
a vij. de Agosto,de ochenta'y cinco.

ïuanBâptista
Lauaña .
- ' ГР R О E mi o:

Orque cl modo
defaber,mascon
forme al modo
del fer de las co-
fas,es mas perfe
cto : comcnçare
con la naturaleza defdelo fimple,
primitiuoèimperfe<£lo:yprofigui
re por lo dcriuatiuo , coponîendo
haíh llegar a I o perfecto, y dando
matices con el orden de doftrina
en cada cofa de que fe tratare. Ypa
raque breue y fácilmente configa
mos el fin y propofito con que to
me la pluma en la mano :Diuido
cfte tratado en nueuc capítulos , y
el orden fera, q fe podran primero
losveynteyíictcprincipios:ylue-
a a go
go algunas máximas dcllos:y def-
pucs algunas aduertencias para la
Arte: y finalmente otras para faber
difinir, diüidir,y argumentar.Y en
cada principio fe pondra fu fignifi
cacion, y algunos fynonomos , y
contrarios: y vna díuifion triágu-
lar para folo encaminar a los inge-
•niofos:yparala memoria yrangra
düados por las nueue letras de la
Arte general que fon , В. C. D. E
F.G.H.IX .

В R

.
X
д . ; :;. Folr."
BR E VE, YSVM ARIA
declaración de la Arte
general.

f Capitulo primero . S)e losprincipios


ahfolutos. т,;:
.-. ri .

A Bondad criada es
vna femejança dela
diuina bondad, por-
ejuien todas las cria
turas tienen fer,y po-
der, y obrar bien: y
'nonomos ion,
T-^^J honeftidad', libcrali-
dad,difufion, comunicacion : y fus contra-
rios,malicia,incomunicabilidad,deíhonef-
tidad yauaricia.La qual bondad, oes im-
jnediata,o mediata,o mixta. Y a ella fe re- .
duzen todos los nombres , verbos, y parti
culas de las bondades naturales , morales,
y artificiales.
La grandeza es vna excelencia que pufo
Dios en fus hechuras , coque fon perfeftas,
y abracan todas las extremidades defufer,
a j ypoder.
DECLARA CION
y poder,y obrar, segun la mayor capacidad
de cada vna:y sus synonomos sen, perseció,
integridad,totalidad,y plenitud:y sus cótra
rios son,imperseció,y vacuidad: y todos los
nombres , verbos, y particulas,q dizen gri
deza,o espirituado corporal, o mixta.
) La duracion es vna semejança de la eter
nidad de Dios, q pusso en las criaturas , para
que dure su ser,y poder,y obrar.-y sus syno-
romos son constancia,.sirmeza, y períeue-
rácia:y suscotrarios son,incóstancia,muer-
te,y corrupcion: y son tábien desta ciasse to
«los los nombres, verboí,y particulas q sig
nisican la duracion sin principio ni sin ,q es
la eterna:y la con principio y sin , que es la
temporafy la con principio y sin sin,que es
laeuiternâV' 7
; La potesttid es vn principio positiuo,por
el qual puedéser,y hazer las criaturas:y sus
synóivomossonjposibiüdad,licfcia y poté- .
ciaty sia contrarios son,ìmposibilidad,yim :
potencia:y a esta ciaste toca todas lus potes
tades absolutas, y limitadas,y mixtas. '
La sabiduria es vn principio real, cj puso
Dios en las criaturas,para q pueda cada vna .
ser,y poder,y obrar,cosorme a su instinto,y
sagacídad:y sus synonomos fcnjConocimié-
to,solercia,instinto: y sus cótrarios,igcoranx
da , necedad , rudeza : y a esta clase tecá to-
D E L A R T E. - *
ào$ los conocimientos intelectualei, y fen-
•íuales,y mixtos. ,] . " • .,¡
Lâ volútad es vna persecion . q crio DîoS, Q
para q cada criatura apetezcasu ícr.y poder
y obrar : y sussynonomos son, inclination,
•apetito,y deseo:y sus cótrarios,odio,aborrc "
ciiwto.violécia : y a esta clase se reduzé los
nombres,verbos,y particulas, que denotan
cl apetitoesporaneo, ûneceíWio o mixto.
Lavirrud esvna proprkdad primitiua, j
perquiése mueué vnascosas có orras: .y sus
synonemos soji,VËlcrjincériuo: y sus cotrâ-
rios son imbecilidad.y staqueza: y desta cla
se son todas ias virtudes naturales.,morales,
y artisiciales. ^ :i
Lauerdadesvnasormalidad, q crioDios
en cada criatura.pnra q sea, y pueda,y obre
Verdaderaméte : y sussynonomos son reali-
dad,eíïencia,entidad:y sus cótrarios sonsi-
cion,salacia,métira : y desta claie son todas
las verdades sujetiuas.y objetiuas.y mixtas.
La gloria es vn atributo real, q crio Dicte k
para deícansode laessencia,potencia,y ope
ració de cada criaturary sus synoriomos son
sosiego.,cótento,reposo:y sus contrarios son
Î>cna dessasosiegOjdeícótento : y desta claie
òn todoslos nombres ,Verbos , yparricu- "
cu las, que signisican fosiego,ygozosubstsn
cialjo accidentai, o mixto.
a á. Cap
. DEC L A R A-C I O N

f Capitulo ßgundo. {Delosprincipios


Relatos. "'[' ' ;

g T A Differencia es vna tranfeenden-


I tal forma , que pufo Dios en las cria-
' turas,para que cada cofa difiera de las
demas clara, y diftintamente:y fus fynono
mos fon,djftincion , claridad, y diuilíon: y
fus contrarios.confufion, obfcuridad , y ti
nieblas: y defta clafie fon todos los nóbres,
verbos, yparticulas á todas las diftinciones
racionales,n aturales, forrnales,reales,effen
ciales , modales, numericas , objectiuas, y
fubjetiuas:fenfibles,o inteligibles, omixtas.
]¡/' La concordancia es vn principio relato
criado,para que concuerdenenvnolaspar
tes con el todo y lo fuperior con lo inferior,
y lo-mayer con lo igual y menor, y el prin
cipio con el medio y con el fin: y fus íyno-
nomoifon,côcordia,confederacîon,liança:
yfus ç0ntrarios,difcordia,€nemiftad, refif-
tencia:ydefta claffe fon todos los nombres,
yerbos.y particulas que dizen,vniô,dantej
o.recjpiente,o mixfó.
) La cócrariedad es yn principio pofitiuo,
^rranfcendentaly real , que crio Dios, para
que
::DrL' a rte. - j
«Jtíe segun su capacidad aya entre las cria-»
<uras,para su conseruacion, vna resistencia
fundada en diuersos sines:y son sus fynona
nos todos los opuestos, como blanco, y ne
gro:y los contrarios, como bondad y mali
cia : y sus contrarios son , la concordancia,
vnion,y amistad. La qual contrariedad,o es
relata , o priuatiua , o contraria , o contra*
diroria. ...,;.'.-».«
El principio es vna sormalidad tráseen-» E
dental criada , para que aya sundamentos,
substanciales , y accidentales en las criatu-»
ras : y sus synonomos son todas las causas,
substanciales , y accidentales , y todas las
prioridades de origen , orden, dignidad, y
naturaleza. La causa sinal es aquella para
que se haze alguna cosa.La causa efficiente
es la que haze alguna coíi.La causa ideal et
la que da ser idealmente a las cossas.La cau
sa formal es la que da ser acimamente a las
cosas. Causa material es la que da ser pafsi»
uamente a las cossas . Causa conexiua es la '
que da ser vniendo las cosasXos contrarios
fon , todo lo que carece de causas substácía-
les,yaccidentales.El qual princípiOjO es sin
principio, o con principio,o con principio;
y sin principio. •- '»
£1 medio es vna sormalidad real, para F
a j que
DECLARACION
que aya medianía real enlas cosas naturales)
morales,y artisiciales:la qual mediania,o se
raen tre extremos ajotandolos, o midiédo-
los,o participando dellos naturalmente:siis
fynonomos son elcétro,y medios:y sus có-
trarios son lo q carece de mediania . El me
dio de extremidades,o es comésurable,o in
eómenfiirable.El comensurable es vna mf
(diania causada del encuentro de la in fluécia
del sin,y refluencia d el principio, y partici
pante de la naturaleza de ambos. I el me
dio incómésiirable es el q entra entre extre
jnos contrarios al mismo medio, y entre si.
El medio de ajútamiéto es qualquiera cosa,
ó si rue de tener atados algunos extremos: q
sino sen de la naturaleza del medio, alome-
nos tienen proporcion, y disposicion con el
en la natural, o artisicial vniomcomo los gó
zes,clauos,y engrudo. El medio de medida
es qualquier pefo,o nümero,o medida,c5q
se pesa,o cuen ta,o mide qualqnier cossa.
O Elsinesvnasormalidad,qxemataelser,
y poder y obrar de cada cosa,opersicionan-
dola,o terminádola:ocorrópiendola:y su»
fynonomos íbn,sinalidad,termino,remate:
y fus contrarios,lo sin si n,sin termino,ni re-
mate:y desta clase son todos los rióbres, ver
- bosy partículas q dizen sinalidad de persa
ï v . don,
DEi A R TE. 4
«ïon , o terminacion , o corruption.
La mayoridad es vna excelécia,por quic j-|
ay en cada criatura la mayor entidad,y po-
T€cîa,y operacio:y sus synonomossonpreé
j.«inécia,excelécia ysuperiorïdad,corrupti-
b»ie,o incorruptible^ mixta:y sus cótrarios '
son la nihilidad , y el nada, y todo exccfio
jnalo. ; •:'.v—i; :,:
Lalgualdadesvnasorma,enquiérepo- _
ía U intention sinal de cada coù, recibiédo *
«n esta fìi ajustamiento^sin falra ni sobra: y-.
sus fy nonomos so rcctitud,derecbo,adequa-
ció simple,o copuesta5q mixta: y fus cótra- Q
rios son mégua salta.y iniquidad. ~.
La mincridad es el vltimo principio rcla-j *•
to posititto,q pone en cada criatura hasta là-
mas minima encidad,potécia, y operation:
la quai es muy disicultossa de tocar có el en-
tendimiento, porq es la mayor minoridad,
y lo menos de cada cósa : y sus fynonomos
son pèquenez,poquedad,diminucion:y sus f
contraries son superfluydadjdemasia, y de-
fectomalq;- j :.• :- » . ... :.

Cap. iij. íDeîos Accidentes.

LA qtutidad es vn acridéte comu pofirî- B


uo depédiente de lasubstaatia.,por el ql
DECLARCION
cada criatura es quantitatiua,y quotitatiua;
i y sus synonomos son , tantidad, continui-
dad,y contiguidad : y sus contrarios, todos
los atributos del nada, que tienen respecto
a la quantidad.
C La qualidad es vna sorma accidétal, per
quien cada criatura es tal, qual denotan fus
propriedades proprias, o prestada: :y sus Cy
, nonomos son, condicion, complexion, cC-
1 tado:y sus cótrarios son,todo lo q carece de
condiciones,y propriedades naturales, rao
rales,o artisiciales..' c.iüii. ... .
D La relacion eavn principio accidental,el
^.qual essemejahça de la relacion subífcin-
41 cial, por virtud de quien son comparables,
yse tiene rcspetovnas cosas a otras,o dual,o -
ternal,o quaternalmente:y sus synonomos
ibn,resspecto,recrprocácron , conuersion :.y
fus contrarios son los quecarecen de respe
cto,como es la soledad,y singularidad.
£ . - La action es vn accidente; dependiente
de la forma substancial , por quié se mueue
el que haze hacia el que pádece:y fussyno
nomos son los nombres en or, quedizen
action en potencia, £Omo criador^ pro
curador^ los participios de pressentecomo
£ leyente.escriuiente : y suscentrarjpíison, la
ocididad,y pereda, j 7¿, ..c^h c' v-i
i La
' D E L. AX T Ê. f
La passion es vna sorma accidental, por p
«mien se mueue el paciente admitiendo lo
«jue el agente le da, y dependiente de la ma
Teria substancial: y sus fynonomos son, to
dos los nombres , verbos , y particulas que
dizen mouimientopafsiuo,y los verbos de
sentir: y sus contrarios son , la impasibili
dad , y todo lo que carece de bile accid¿tal. 1
El habito es vn acídente passiuo,que re- y
fuira del apuntamiento de vna substancia
con otra, con el qual la vna se habitua de l*
otra : y sus fynonomos son todos los nom
bres,verbos, y particulas , que denotan ha-
bituacion,como vestido,alçado: y sus syno
tiomosdel habito son ornato,atauio, vesti-
do:sus contrarios el desaliño sensible , o in
teligibles mixto.
El sitio es vn accidente positiuo depen- H
diente de lasubstancia,que da la postura, y
cololacion, o modo de estar vna cossa en
erra : y sus fynonomos son artcmethodo,
orden, disposicion : y sus contrarios ion to
do lo que carece de modo de estar, y de oj-
deh, yínethodo.
El tiempo es vn accidente, de quien par I
ticipa mas elmouimiento que !de otro al
guno: y es medida de la duracion del prin
cipio, medio,y sin : y instrumento dela r o-
uedad
DECLARACION
uedad,ycótinuo enel Ínstate, ysucesiuoen
lus terminos dpaílado,y presente, y por ve
nir : y sus fynonomcs son todos losnom-
bres,verbos,y particulas de el quando:y siis
contrarios son lo que ni puede auer sido , ni
es, ni sera. Elqual es ttépodelascossassuc-
cessiuas,segun los Philosophos.
El lugar es vn accidente primitiuo, que
tiene su ser entre el locante , y locado , y es
poílcydo del subjeto localmente: el qual es
de las cossas estables,o propria,o comunmé"
te:ysussynonomos son los nombres, ver-
bos,y partículas del adonde'cuyas affectio-
nes son atras,adelante, ala diestra,a la sinies
tra,arriba,a bajo :ysus contrarios fon toda
lo que carece de adonde.

f Capitulo Quarto. S)e lo qnefe ha de


,' . aduertirpara la aplicación.

HAnse de reducir los nóbres, y ver


bos^ particulas a sus clases: alsi en
los positiuos, como en los priuati-
ucs: porque en cada clase ay dos luga
res, vno de positiuos y sus fynonomos,y
otro de priuatiuos o contrarios, xy. de
positiuos,y.z7.cîpnuatiuos,c[haztf.ç'4.
* Los
т. DEL ARTE.' <
* Los contrarios fereduziran a la clafe de
/us poímuos contrarios, como la mali
cia a la bondad.
3 Losprimitiuos ypoíTefsíuos fe pondran
en vna.mefma claíe, y los calos obli-
cjuos donde los recios.
4 Los coniugados yguales fe pondran en
vna mifma claíe.
5 los frcquentatiuosíbn de la clafe de fus
primitiuos.
6 los comparatiuos que dizen excelenciaí
. . fon dcla mayoridad.
7 los fuperlatiuos,que dizen perfecion,fon
déla grandeza: y los que dizen dimina
don,de la minoridad.
8 las ethimologias y alufiones y deriuacio-
nes nacen deftos.zy.lugares.
<> No fe tendra en la aplicacion tanca cuen
ta con las palabras, como con el fenti-
do.
xo Concluyrfe ha en cada categoria por los
fynonomos affirmatiuamente , y por
los contrarios negatiuamente.
7 DECLARACION

f Capítulo Quinto. fDe algunas


.-- - - mâximas.
§. Primero. Del Ente»

EL Ente es vn concepto , que todo lo"


abraça. % El que cíize ente,todo lo dí-
ze . 3 Fuera del ente, todo es nada.'
4 El ente es centro de tedas las cossas, j Nin
guna cossa ay de ta ayor latitud,quc el ente. '
6 Todo ente es amable . 7 El nada en
algo es aborrecible. 8 Por el nada en algo-
se priua el ente de su sin . 9 El pecado
solo es nada en algo. 10 Ningun algo es na ,
turalmente de nada. n. Si el sersueíTe de'
r.ada,el nada seria algo, iz Loquees, solo
ès mediante lacreacíon.13 El algo tiene,so-
lo por el pecado, inclincion alnada. 14 Si
el algo tuuiefl'e inclinacion al nada , seria el
nada algo, i? Todo menor ser,essubjeto al ;
mayor. 16 Ay vri ser por existencia, y otro
por operacion . 17 El ente que es por exis-,
tencia,es por si mifmo:y el que es por ope
raciones por otro.18 De vn algo, es otro: y
de vno muchos . 19 Por la composicion ,es
devno muchos, zo Todo ser,es o substan
ciado accidente.
^.Segundo
,i W >A K T B.J 7

*$ &>gurido.Oel nada...

L Nada carece de todo lo que es al-


go< z JEtnadascria-algpjsi muasse al-
go. j El pecado^y.el nada/e cQnui*-
•ten. 4 El nada çareciéra de nombre y sino
ruuieramos entendimiêto.f Dîps pp .cqnt,£
pla al nada.6 Si Dios considerasse alnadJa»
Jaego jserìaeljrada algo.7 Soloel sombre
considera al nada. 8 El g considera aínada»
^nsidera supcrflnaitiente. 8 Pprlapriua-
xion del algo , sc declara el nada> ib El na
da generaì,sQÌo.Ce. halla en la consideration,
íriada. iz. Àntes del nadajno ay algoJ « Si
el nada-sueíle aígOjtcrnia alguria coía intè-
J/gible; 14 Si elnada, y el algo no suessen
x^rTanpSjscria e^nada algo. 1* En elíen-
^^àje , el nadaj y, ja negaçion, concuerdari.
Del miuno modo tiene el nada colícor-
jjançia fp^'licofirupcionpor la.gèheïació,
comola tieneen-elhablar por lánçgaclpn'.
«7 Elnadasploppr- lafalsedadV tieslecón,-
çordancia con Jia..negaciph . 18 Del ìnis-
jno modo se sustenta el nada en la falsa sii-
posicion çpmo ej pepadp , 19, Si el nada
jse-cpHUirti esse cp^el al^o,seria algo.
í. ,,- ,..v. ' '' % '' "Oerc'c
CE CL ARA CI « N

$, Tercero. De lasùbs-
tancia.
' '-• ' ' ' - ' í ' " 't
T ,; A SVBSTANCIA Esvnea-
"I . te, que naturalmÊte se sustenta, por
, si misma y en ella el accidente, z Por
que la substancia consta de sorma y ma
teria, se puede sustentar por si, y estar «i
ÍUS pistes substanciales , que son los prin
cipios absolutos y relatos. $ Porque là
Tâtstáncia es fin del accidente ;, no puede;
estar sin ella, o sin dezir orden a ella.4To-
flo el mundo 'es vna substancia general,
constiíuyda de la bondad general , y ¿t
la> demas principios generales . y Dela
substancia general , salen muchas substan
cias especiales . 6 La substancias corpo*
raWson de las partes gruesas : y las espiri
tuales , de laj pattes subtiles . 7 Las subs
tancias1 especiales , de tal manera estan
]èn la general , como los peces en el agua.
8 La planta es vna substancia especiafe
y biue de la general , como el hombre del
ayre, y el pez del agua. 9 Las substan
cias , que tienen mas subtiles especies,
fon mas suptiles . 10 Toda substancia
corporal
'D EL A l T ET? S
corporal , esta en la substancia general,
ii Dios , y los Angeles , y almas son subÊ
tancia sin cuerpo . 1 1 La substancia del
Angel y su especie inuisible , se conuier-
ten ' i y Ningun sentido toca a la subs
tancia / sinió a sus accidentes . 14 Sol»
la substancia ', es{ subjeto de sus poten
cias. 1 y Niuguna substancia , tiene su
acto suera de si . 16 La vestidura natural
de la substancia, y sus instrumentos , son
•ios accidentes . 17 Ninguna substancia
crece en fuTraroero , sino por el augmen
to de sus partes . 18 En el crecimiento
de sus partes , crecen sus accidentes . 19
í^ualtjuier substancia Phisica , es corpò-
- ral , o espiritual. 10 No ay maye*
' ? contrario de la substancia,
•,¡, que el nada.
. i . '; •'(*") ' ",;n '•'
i- , • : — tíl '>
$. Qu^rto. Del Accidente."

Ccidenrees , todo lo que no tiene


en si su ser,sino en la substancia. 1 Si
el accidente ftiesse por si mismo , y
para si , sustentarase en si mismo, i Nin
gun accidfte es para si mismo, 4 Si el acci-
b % dente
f DICLA'RACION
jdente sucra para si, tuuiera en sir mifmo
qoietuch y repose $ El accidente es tan
íqyasinada, quenotienemateria. 6 Si H
accidente tuuiera en si matcria,- suera su£-
-tehíado en si misino. 7 No^a^ cosatan
Í5iequena,como el accidentè; & Es tan pe-
•queno el accidente , que portsijoo tieric
.jjser 9 ' Todo accidentc,ocs de substancia
'corporea,Oincorporea. r ifo- Si el«cciden-
te suesse parte substancial, seriasubstaár
cía sustentada en si misma t-. xxz-.í.os accir
-dentes , son instrumenÊofoeiqwc cïaicen jun-
•jamènte de la substancia . - -Enfla crea-
<ion de la substancia , nacen junfamente
íos accidentes : y assiselhunan concrcadfiB
13 iosaíiosdelos acidenícSa'Cn lapoten-
cia nace,ns)uiJtamestteHde b substancia. 14
Sola la substancia mueuea los accidentes.
1? Por el mouimiento de los accidentes,
se mucue la substancia. 16 Los actos na-
turales delçsaccidentos , ruucuen a los ac
cidentes' ar'tiii ciales .^17'LW-acddentes
-niorales, son semejanças delosnaturales.
'A$8e|fóP qtle 'k-aecêV-. e3 - áíeídençe.: y
ìîn qtiien éìtetè, es stibftàflëìaf-'J -Í9;" E^Vcci-
^«ëìflífey tifï'peqaeiia"e¥itídâd , que
ì?o^eneí#órsi fèr . ïb St^ráetidéhcetutaid»

* - §.Quinto.
D E V A R T E. 8
.. .V.:. I. •» .'"» s.J.3.' . -• . » :. f.

f. Quinto. De la Bondad.

LA BONDADES Aque
lla , por la quel lo bueno obra bien:
bien es que lo bueno sea , y lo malo
que no sea . x Afsi es lo bueno por la
bondad , como lo que es coloreado por
la color . 3 Porque la bondad es causa del
bien, es el ser bueno. 4 Por ser la bon
dad y malicia contrarias, la priuacion del
bien es mala . y El ser del mal es malo,
y el ser del bien es bueno .6 Si el bien
suetTe del mal, la priuacion del bien seria
buena . 7 Si el mal suesse del bien , la
priuacion del bien seria buena . 8 Si de
la bondad , y de la malicia se hiziesse al
guna cossa , su ser seria malo y bueno, y fu
priuacion tambien. 9 Todo aquello, que
es bueno , es bueno por la bondad.io Nin
guna cofa tiene ser enfí, debajo de especie
de bondad, sino es buena. 11 Enquanto
la bondad, es sor ma de todo bien, es prin
cipio de todo bien. n. Si ninguna bon
dad huuiesse substancial, seria lasubstan
cia mejor por otra cossa, que por la bondad,

.;'ïw..;;-' b j La
DECLARACÍON
¿abundad de la grandeza es accidental,
ij. La bódad de la justicia es accidétal me-
ral. 1 6 Si la bondad suefle sin accion , nin
gun bien pudiera ser delia. 17 Ningü acto
de la bondad es malo. 18 Todo aquello,con
quien la bondad participa , conuiene sea
bueno. 19 Porque la bondad es mayor enla
grandeza,que en la pequenez: la grandeza
y pequenez son buenas en la bondad. Y de
esta manera se podran yr poniendo veynte
maximas en cada principio , y sorma : co
mo las pone Raymundo en el libro de los
seys mil prouerbios.

f Capitulosexto. !De algunas


aduertencias.

§.Pimero. De los modos de discurrir,


y de fus instrumentos.

Diez modos pone Raymundo en U


tercera regla de la Arte inuentiua,
para descubrir la verdad. El prime»
ro se haze por vn instrumento circular,que
llama en su Arte general primera sigura;
., donde
DEL ARTE. 9
donde secóuierten los terminos absolutos»
vnos en predicados , y otros en subjetos re-
ciprocamente,segun la natural dispoíicion,
V proporcion delsubjeto a que se aplican.
Y para tatar de Dios , se idemptisican to
dos estos terminos, atribuyendose los vnos
a los otros en abstrato, y eti concreto : mas
en las criaturas , vnos se atribuyran en abs
trato , y otros en concreto , sin idempti-
ficacion. ., ,
El segundo modo , se haze con vn in
strumento de tres triangulos trauados, que
hazennueue angulos, que son escalas por
donde el entendimiento va subiendo y ba
jando , y atando y desatando las difsiculta-
des:y cada angulo destos tiene en si vn prin
cipio relato. , ,
El tercero môdo,tiene por instrumenr
to vna supersicie, con treynta y seys quAr
dradillos: y en cada quadradillo dos letras:
y cada vna signisica vn principio absotuto>
y otro releto:el qual instrumento sirue, pa
ra ressoluer la question, y dexar lo que no
hizierealcaso. ; . ' . m
El quarto modo, tiene por instrumen
to tres supersicies circulares. La vna ma
yory immobil : y de las dos ,vna es mediar
na mobil , y. otra menor tambien roo?
h4 M:
DECLARARON
bïl , en cl quai inftrumento fe forman lo$
íylogifmos : atribuyendo vna letra del cir
cula mayor , en lugar del fubjeto de la con
clufion : y la del mínimo en lugar de atri
buto : y la del medio en lugar del medio de
la demonftracion. En las quales figuras fe
ponen tetras en lugar de terminos por
íiuyr proligidad . Y conefta quarta figu-
ta (romo he dicho en la Arte general) fe
haze la tabla general de las fiete,y ochen
ta y quatfb columnas y^poniédo por guion
la T\ fe forman veynte fylogifmos , po
niendo en ellos combinados los princi-
pios âbfolutos convioS >fèlàtbs, como en Ja
tercera figura. •
" Щ quinto módoes , parâ'allar el medio
de la demonftracion , el qual ha de fer , o
Jriayorroiguab'om^noíéh'razon del me
do-de; "fer : y antecedente , o configuiente>
:ti repúgnante en rizjori del modo de en
tender : y a de concordar en genero , o en
fpecie conel íiibjefto , y; predicado de la
coridufion : cómaconcuefdan los medios
que da Raymundo. Como- píarà probar j
que Chrifto nueftrö Señor es el Verdade-
WMefiaj, en el apoftrôphe (defpues de
aueVprduado, quc'quahtonos dexo man
dado IcftfCnrifto «itteftfo Seño» <» pura
**f ver
verdad , y suma , sin «xcesfb , ni dessecto)
dize assi : impossible es que la suprema
y altissima verdad ysea descubierta , y en*
señada por el mas mâl hombre , y mas sal*
so , y mas enemigo -de Dios : porque sé- si»
guyera, que este talíj en quanto a la doctri|
na, suera el mejor hombre de quantos pue*
da auer: y el peor de todos auiendò -fe
echo Dios, no lo siendo: eorrompiendd
con esta falsedad la mayorverdad de quatl
tas puede auer : y por el consiguiente
siendo el mas falso jiera es mas verdade*
ro de todos quantos pudiera auer : rktë*
que nos descubrio la altissima verdad'.d»
los Articulos de la Sancta Fec : luego; el
2ue nos enseñe» la suma verdad , ynosla
escubrio es necessario que sea sumo'':'|y
auiendo sido éste lesa Christo , es neces*
sario que aya fidò»: y ¡es-blasphemia' del
zir, que aunque' no's; enseño la suma.ver:
dad , no es el, el verdadero Mesias.;
Tambien se consirma esto , porque sien*
do Dios sumamente sabio, y buenos de
tal manera ha de . disponer todas las \Q6¡-
fas , que no aya cohsusion;nt-falsedad eÁ
ellas : si Christo nuíftiwiSeñor no fuera
el que los Christiànos. adoramos; 5 .si¿&
¿tro- que huuiera de vena; v fiwwatinutil
*¿¿ b j fu
DECLARACION
íi venida, porq no huuíera quié creyera en
el, pues para creer en el , hauia de tenerlas
condiciones, q los Articulos de la santa see
nos enscñan:porq los Christianos, auiendo
el de enseñar lo mismo que ellos saben ya
por la see en Iesu Christo, tendrian susicié-
ce escusa para no creer en el,diziendo , q si
en su Iesu Christo no auian de creer,el qual
les enseño la misma verdad, tampoco quie
ren creer en este, pues lo misino les ha de
enseñar este que aquel: y los paganos,y ju
díos diran, q siendo la misma doctrina que
la de los Christianos : hauiendosido ellos
engañados,tábienlo seran ellos. Tambien
i fe prueua, porque toda verdad mas depen
de de aquel que la hallo,y enseño primero»
que no de aquel que nola hallo primero:
la verdrd de los articulos de la see Christia-
xiasue hallada,y enseñada porlesuChristoi
luego mas depende del , que no del segun
do.Y si este ha de ser verdadero Christo, y
«o aquel:mas depende la verdad Catholica,
delsalso,que del verdadero : esto es salso, y
impossible ; luego el que nos descubrio , J
hallo la suprema verdad de los articules de
la see ,-es el verdadero Dios y hombrelesil
Christo hijo de Dios víuo. ' • .',
- . -£1 sexto modo de descubrir la verdad>
? D E L A R T E. ;f iï
«s por la simplicidad de cada principio , jr
sus conjugados,como la bondad , o lo bue
no en virtud de su bonisicante , con su bo-
júsicatiuo, de su bonisicariuidad , bonisica-
t:iuaraente,bonisica lo bonisicado en lo bo-
nisicable, y con su bonisicabilidad , bonisi-
cablemente, bonisica bonisicando bien la
bonisicacion del bonisicar »
r. Elseptimo modo de descubrir la ver
dad , es por la relacion dual: y hazeíse con
dos terminos , que se tengan respecto
de plenitud: Jo quai acaece en dos mane
ras . La vna es segun concordancia : y la
otra , segun contrariedad. Segun concor
dancia, como ay sorma luego ay materia;
a y action:luego ay passion , ay anteceden-
te,luego ay consiguiente : ay padre , luego
ay hijo. Mas según contrariedad, sepro-
cede assirmando el vn termino y negan
do el otro: como es bueno , luego no es
malo: «s blanco, luego no es negro : es si
nito, luego.no es insinito.Tabien enestare
lacio dual:ay otro modo ádiscurrir,por via
de antecedete,y, cósiguiéte:comoay linea,
luego ay puto: ay esoecie,luego ay genero. .
El 8. modo de discurrir el entëdimiéto es
por via de triangulos de plenitud , con tres
terminos tcíycctiuos: como ay sorma, y
„ . 5 cancrU:
et DECLARACI ON
Jnateria : luego ay conjunto de amboSy
Ay potencia y acto: luego ay habito . Ay
asirmacion y negacion : luego ay duda .
Los quales triangulos se pueden sabricar,
o concordatiuamente,o contrariatiuamen-
te. Porque o vno concordara con dos con
trarios , como la differencia con la concor-
danciay contrariedad : o vno contrariara
a dos concordantesjcohio el principio me-
dioy sin : o vno contrariara a dos contra-
rios, çomo la mayoridad igualdad y mino-
ridad : y la largueza a la auaricla y prodi-
galidadi ". » .': : ir;- t ?*»
• El nona .modo de desseubrir la verdad,es
con quatro terminos respectiuos de p leni-
tud^quadrangulariconlp ay Causa sinal:lue-
gpay esiciente ,-y sormal,iy materiâl . Ay
persecta jtïsticiadaego prudente , suerte , y
templada.'Ay arribàduegoabâ)ô,y diestra;
ysiniestra. De losquales terminos: -o vno
contraria a tres conciardantes, como el ser,
al no ser , • y a la priuacion /-y al desecto : o
vno cqnccrdara con tues eôntraTÎosyComo
laquantidadco la rnayoridad, iguâidad, y
minoridad :q dos cqrttrariaran a dos con*
cordantes , como èl set y perfection con la
içriuacio y dessecto: odos cocordaran a dos
:cotrarios , comoel fitego y, tifigea aí-ayrey
iziiwia agua.
' DIE E ART E.'T 15
agua.Tambien se discurrc enestos quadrâ-
gulos por via de antecedente y consiguien
te: como ây cuerpo, luego ay linea y sis-
persicieyptmto. ' •• -Jir.-js:-»
Eldecimomodo yvltimo de deíaibsir
la verdâd,esla circulacion: la qual ha lugar
en los quatro modos anteriores a este: y a lu
de a la penetracíon cubica del primer mo-
do.JY enlasimplicidad de cada principio
discurre eì entendírhiéto circularmènfe, jû
tando el principio con el sin: como lo bue-
noïentaztan' dela bondad es bonisitante., y
bonïsicado;,y b,onisicable:porque lo bu«no
es bueno delâ bbndad,en la bondád,poÀa,
bondad,con la. bondad, para la bondad/Y
porquesin la bondad no seria bueno y ;es$l
bonisicante^bbnisicatiuamente de sit bonj-
fïcatiuidad corníu banisicatiuo; ,y es. bonisi-
c<ido de U bonihcabilidad con su bonisica-
iále bonisicablemente: y elbonisicar.boïM}-
iìcando:desu bonifìcacion bien.Los.qualc>
conjugados se{sofnran por los,tres<;prrefa-
tos(que llaartiimasitiuOjbilejy are)pY«n {a
rtelacion' dualísé haze la circulícion entre
ios terminosconuerribles:como la bondad.
es grande,híego la gcandeza es buena: y en
'î'a relacicn ternal,como la bondad es glan
de y poderosa; luego la pptestad eS grande
"y buena,
r DECLARACION
y buena : y en la relacion quaternal, por
que el sin mueue a la efficience , y la effi
ciente a la forma, y la sorma ala materia
en razon del sin. Y tambien dezimos la bó
<lad es grande constante virtuosa y verda
dera : luego la verdad es virtuosa constance
grande y buena.

i $«.Segudo. De los tres terminos.

A Y tresterminos,clvnose llamaíma
/A gen, el otro seraejança, el otro vesti-
*« f- gio: porc] cri ando el altissimo,quan-
do sue Tu sancta voluntad,repartio entre las
Criaturas lassemejanças de sus diui nas per
fecciones. Y porque entre las criaturas ay
gra'dosde capacidad mayory menor, repre
-sentan mas y menos las excelencias de fu
hazedor , segun su mayor o menor modo
raturaby assi las espirituales ( queconstan
de libre albedrio) hizo Dios a su imagen: y
las corporales substancias a susemejança: y
los accidentes de las vnas y de las otras, son
solo como vestigios.Imagen es,cómo vn re
trato sacado de la cosa retratada. Semejan
za es la que ay entre vn rostro y otro differé'
tes. Vestigio es solo vn indicio,o señal .o ra
stro
stropor donde sepuede cójccturar alguna
cosa. La imagen y vestigio tiene el angels
la semejança y vestigio los cielos, y elemen
tatiua,y vegetatiua,y sensi tiua,y imaginât!
ua: y el vestigio solo la instrumentatiua : y
la imagen , y se mejança , y vestigio tiene el
liombre . Todas las quales criaturas estan
echas cósorme a la idea del diuino entend!
. miento. Y assiVnos buscaron la verdadpoc
los accidétes o vestigios : y otros en las sub>
stancias sensibles por la semejança : y otros
en las intelligibles por la imagen. Mas pofr
que Christo en quanto Dios es la idca , y
en quanto hcmi br« i inagen y semejança y
yestigio: pudosoloel manisestarnos ladcs-
nuda ypura vjetdadryassi sinel nopode-
mos Iiazer nada , con Ari stoteles, ni Plató,
ni con los demas sabios del mundo.
? !í"'î '.noq iùa v .

- hr.r; ^ TcrcçrÒu tích diuîfîonì


: 'V- ' vnincrsal.
n. ? i.ó.oîf; ' . '"-vjtvr-; ' .' •«' ' - ;
DE quanto se puede tfatar o son cosas, o
conceptos , o vozes-. De vna sola cosa
-fe pueden sormar muchos conceptos , y de
tiada coceptomuebaîvozes.Con el primer
" ut,^ L AR AíGI <D N
aprehende el enteYidímiento las fiire-
ples femejarrçàs'd#ta$ cofas^y conceptos,y
Vozes:y corf *tf<^brtd,o¡Í:*ft{} las compone:
¡pcM .el telfcewT ikr,Wcifti»V У afsi en las
Tcíencias lascofts-féfetíaían por concep-
fcos/y vozesitaís tofárconfiften en el modo
de-fe, yjoscohtíepfbs^y vozescn el modo
ile'énfirrderi el qiblft declara con elverbo
^<íntal^ Vc¿al"ye'eferiptoiPbf razon de las
4]tfales ft^es dii&ïrtftifâUy^uuô tres m a-
iièïas tíe ÇpiiofôpbosvVpíofcreates,<]ue tra-
1Щ pprieipaí^hÚÚ^iiskbfííiiy.Gtws no-
mfflâlès^i^^Â^^tïiifip^inwnte de los
)boMbreíiy^rlí^.,y,battíeuM:y otros no-
noriales , cjUètpâ"tàï¥- ptmtip^ftmente de ¡os
eori'ceptb?.De tfodoflo iqliafceôrï differencia,
f'cfencÓT-dandattra^muyWrMciofanuntc
КaутгШ0у(%к&)тёё1 ôtdewqae íamáf-
manatutaleza guarda: y afsi pone nucue
grados de, cofas(cme^llamafubietos) que
fonjDíoslAng^it^^hymWeVi-linri^ínati-
ua^enfitiua^egfetàçna^eje/ri entatiu a,y in-
flrumer:tatiua:y doze grados de conceptos
en la clafe del entendimiento, que fon, are,
^ilèltiâô,na"Wfâlê^f&bftabci3,'ac5iH^ft't^,
^mpofitSon^í^plicidad^ndiuiduOycVpé-
cteigenefOjèiWè * y i oreos cincogrados .vpfc
^míeiic^e'foi^tí«ble>inteligiHe,íii»ágir
v-'Jii nable,
DEL ARTE. ïf i
mble,sensible, y dubitable:los quales con- ™
ccpros va multiplicando Raymundo por
las nueue redas de la arte inuentiua, que
fbn.B.supoficion:C. modos de ser y enten-
der:D. modos de discurrir:E.modos de ba
jar a lo particular :F. modos decótradezirs
G. modos de necessidad y contingencias
H. modos de demonstrar: I. modos de los
puntos transcendentes:K.modos de la ma
yoridad del sin.Tambien multiplica Ray
mundo estos conceptos por las. 1 8. reglas
de la arte amatiua,que son : B. simplicidad
y composicion:C.intencion-ND. distincion;
E.generacion:F.realidad y razon: G. pun
tos transcendentes: H. substancia , y acci
dente:!, mouimiento, y atamiento: K. in-
uencion del particular : B. contemplacion:
C.concreto,y abstrato:D. osadia^ temor:
E.esperanza:F.consolacion:G.conciencia,
y contricion:H.paciencia:I.satisfacion: K.
consideracion. Tambien multiplica Ray
mundo estos conceptos por las reglas de la
arte memoratiutrfq^e son : B. recepcion de
especíes:C.rediciondellas:D.conseruacion
dellas:E. aeracion dellas:F. discurso delias.
G. multiplicacion delias : H. signisicacioa
dellas:I.terminarió delias: K. complexion
delias. Y multiplica tambien v nos conce-
c ptos
DECLARACION
pros differentes por otros , y vnos concor
dantes por otros,y vnos córranos por tros.
Tambien multiplica ellos conceptos, vnos
primeros y principales porotros,y vnos fi
nales por otros : vnos mayores por otros , y
vnos iguales por otros, y vnos menores por
otros . Tambien multiplica elles conce
ptos por las diez reglas de la arte general,
que fon : B. poíibilida;) : C. quididad : D.
materialidad : E. formalidad : F. quanti-
dad: G. qualidad: H. temporalidad : I. lo
calidad : К . modalidad, y inftrumentali-
dad . En las quales elhn encubiertas ellas
formas(como efpecies en fus generos)afir-
macion, duda, negacion: àbfoluto , relato:
intrinfeco , extrinfeco : fubftancial , acci
dental : primitiuo ,diriuatiuo : pcíTeísmo,
efficiente , idea , forma, materia, vnion,
fin: aftion , pafsion : continuo , contiguo:
proprio, prellado, o poflizo: eterno , eui-
temo temporal : prefente , paflado , y por
venir: fuperior, inferior: dieflra,fínieftra:
atras, adelante: modo,inítrumcnto : todo»
y parte. ^Шт
Y para diftinguir los conceptos forma
les en todo quanto ay eícripto , fe confi-
dernn tres colas . La primera , que quan-
tos periodos huuiere,tantos conceptos for*
males
DEL ÂRTE." td
stiales ay . La segunda , que la calidad del
concepto , se descubrira por la ccnjuncion,
oaduerbio , que se hallare en el principio
del periodo . Por ranto es necesTario fa-
ber la propriedad de las particulas , de que
efcriuio curiosamente Godescalco . Lo
tercero es , que todo lo que se habla , o ess-
criue , es, odiffickion, o proposition , o
díuision : y su declaracion depende de vno
destos lugares, amplisicacion , restricioní
razon de dudar , de decidir , y de differen
cia , distincion, continuacion,exemplisi-
cacion , concordancia , suposicion , y reso-
lucion.
Las vozes son,o nobres.o verbos , o par
ticulas. Los nobres,o son simples,o copues-
tos:o primitiuosjO deriuatiuos, o positiuos,
o comparatiuos.osuperlatiuos , odiminu-
tiuos , o abstratos , o concretos : o synono-
mos:o equiuocos . Los verbos, o son actí-
uos,o passiuos, o substátiuos , o srequétati-
uos:generales , o particulares:simples , o co
puestos:primitiuos.o deriuatiuos.Las parti
culas,o son prepoíiciones de casos, oprepo
siciones de c6poílció:oconjúciones copule
tiuas,o disjûtiuas o aduersatiuas,o raciona-
les,o casuales,o aduerbios asirmatiuos,o ne
gaúucs^o locales,o téporales de quantidad,
íi pqua
DE С LA-RACION
o qúalidad , o comparacion , o demonftra-
riuos, o de congregar , o llamar, o rogar, o
dudar,o prohibir, o preguntado exempli-
fkar ocontar,oamenazar:o notas de abor
recimiento,deíTeo,admiracion,temor, do-
lor,rifa, exclamacion, filencio , alabança,
fonfacamiento,o encarecimiéto . Las qua-
les particulas fon'las pegaduras , con que fe
defcubren los affeftos interiores , y exte-
riorestcon que las cofas ( fígnificadas por
los nombres)hazen fus operaciones, figni-
fkadas por los verbos.

fliCap.feptimo. (De algunas aàuerten-


cias para faber dtffinir.

LA Diffinicion es vnabreue declara


cion de la naturalezas qualidades de
algun fubjeto,o predicado de nueftra
arteda qual confta de genero y differencia
logica,ofifica, o methanfíca: y refponde a
lapregunta,quees. Las diffiniciones o fon
artificiofas, o inartifíciales:eftas fe hazen
acafo , y fin arte : y aquellas con arte y dc
propefito. Lasquales o fon afirmatíuas, o
negatiuas:ovniuerfales , o particulares i o
fimples,o compueftas:o felidas , o fuperfi-
, . cíales,
D E L A R T E. - 17
cïaIes,o methasoricas:o legicas , o fìsicas, o
methasisieas . Genero se llama vn atri
buto, que compete a muchas cossas que fort
differentes en especie . Especie es vn atri
buto, que compete a muchas cossas diffe
rentes en numero indiuiduo. Iridiuiduo es
vntermito vltimo,yîndiuisible, donde re
posan el genero y especie. Differencia es
vnapropriedad, por razon de la quai di
siere vna cosa de otra. Y el genero p es ge-
ncralifsimo , que.es de tal manera genero;
que no puede ser especie , ni puede auer
otro antes debo es fabalterto, que es gene-'
ro, respecto de las especies inseriores : y cá
especie, respecto del genero superior . La
especie o es efpecialifsima , que ès de tal
manera especie, que no puede ser genero: o
es subalterna,que es de tal manera especies
respecto del genero superior,que puedeser
genero,resspccto de la especie inserior. '
Diffinicion solida , es la que llama la es
cuela eífencial , quîditatiua , y substanciah
Y la supersicial , es la que llama la escuela
accidentado deseriptiua , o interpretari.ua.
Y methasorica,es la que llamo afsi Aristo
teles en el. 6. de los Topicos . La qual se
puede llamar por otro nombre,impropria,
o postiza.
c 1 f pri
T> ECL AR ACION

prìmero. De lospreceptoscomu-
nes a todas las difEniciones.

TOda voz equiuoca se diuidira prì


mero q sc diffina. z Las cosas depo-
coraomento, no se han dedifnnir
«ncarecidamente. 3 La disinicion logica se
hara con genero,y differencia logica. 4. La
disinicion sisica, se hara con genero y diffe
rencia sisica. y La disinicion methasifica,
se hara con genero y differencia methasisi
ca. 6 El genero se disinepcr la concordan-
cia de diuersas especies y differencias. 7 La
especie se difìne por su genero y differen
cia. 8 El indiuiduo se difìne por su espe
cie y propriedad . 9 Aquien conuiene la
disinicion cóuieneel disinido.io Aquië no
conuiene la disinicion no conuiene eldisi-
nido. h La disinicion no ha de sersuper-
flua. 1% La disinicion nohadesersaltosa.
%l No se dara todas vezes credito alaalu-
íon, ni ethimologia s porque ha introdu-
zido muchos termines el vso vulgar , de
que si buscays sundamento no se hallara.
a-4 No todas las cosas son disinibles lcgica-
inente* 15 No todas las cosas son disini
bles
UtL A K I ET. Ta
bles físicamente . 16 Mas todas las cosas
fon disinibles methasisica mente. 17 Delas
disiniciones, la solida es la proprisima. 18
La supersicial es menos propria . 19 Mas
la methasorica es improprisima . 10 De
las disiniciones : vnas ay mayores , y otras
menores.

§. ij.De la diffinicion solida.


S Olida disinicion , es la que se haze de
partes substanciales , poniédo Vna por
genero, y otra por differencia,como el
hombre es vna bondad parte corporal, y
parte espiritual, z La solida responde a la
duda que es en si,que tiene en si , que haze
ensi,y de que es primitiuamente , y qual
propriamente?] Si lasolida disiniere el to
do por el mismo se le dara genero absoluto,
como la bondad es vn ente.4 Si disinicre et
todo por la sorma se le dara la materia poc
genero , como la bondad es bonisicable de
íu bonisicatiuo. ? Y la sormase disine, co
mo diziendo el bonisicatiuo , es vna sorma
actiua,de la bondad. 6 Ylamateria,como
ei bonísicable,es vna potencia o virtud paf-
siua de la bondad. 7 Y el acto de ambas,
como el bonisicar, es vna potécia conexiua
C 4 enquiert
Vb1¿ L ARA CION
en quien se remata la plenitud de la action
del bonisicantey bonisicable. 8 Y difsine-
se todo el supuesto , como la bondad es vn
íubjeto aquien propriamente le compete
hazer bien. 9 Y diffinese la sorma por el
acto , como el bonisicatiuo es aquien toca
bonisicar actiuamente. 10 Y la materia,co-
jno el bonisicable , es aquien propriaméte
compete bonisicar passiuaméte. n Y el ser
por la essencia , como todo lo bueno es tal
por la bondad, ií Y la eflencia por el ser,co
mo la bódad es eflencia del bié. 13 Y el sub
jeto por el objeto, como la bódad es sujeto
de todo lo bonisicable. 14 Yelobjectopor
elsujeto,comolo bonisicable es objeto pro
prio dela bódad.i j Y la potécia por el acto,
ícomo la bódad es wna potencia aquien pro
priaméte toca el bonisicar. itfPorqla diffi
nicion solida es essencial , y quiditatiua,ha
de constar de genero eflencial , y de diffe
rencia effenciaLo logicos,o sisicosjO metha
físicos. 17 El genero methasisi; o , es el que
abraça y comprehende expreflamente to
das las partes del disinido. 18 La differen
cia essencial,es laque essencialmfte distin
gue el difsinido de los demas subjetosdel
vniuerso . 19 Por esta disinicion sepueden
circular los conjugados intrinsecos^como la
elementa
:: D E Ь ARTE. i?
elementatiua, es aquien propriaméte toca
el elementar con fu tiuojbile,y are,de fu ele
mentatiuidad>elementabilidad,yeiemen-
tacion^lementädo,elefnentados,elemeni-
tatiuamenrej y elementable, y elementar
mente, гo Tambien fe diffine folidaméte
por las qualidadesproprias,como el fuego
es aquien propriamente compete callétar*
Dios es aqui? propriaméte cópete el criar>
. Vn..i:L./.j. Vi .":
§. iij.Dcla diffiniçion fuperfícial.
*). . . , . • . .. ' . . '. '*/' ' . ,
LA DIFINICION fuperficialft
haze por accidentes comunes fepära-
- bles,o infcpärables. i Y por las caufns
finaLefficïente, y exenmplar fe diffine fu-
perrkialmerite, y Por la nnal,cqmo Dio*
es el fin Vltimo с|е1;Ьoтbrе. 4 Per la ex?-
piar , como la bondad diuina es fuente cr?-
gínal y ideal de las bondades criadas. 5:.Y
jpor efficiente , como Dios es criador de
quanto tiene fer. 6 Y por los efreiítoS,como
qualquier criatura es hechura de la diuina
poteftad. 7 Con las diffiniciones fuperfi-
ciales fe refponde a la pregunta de que de-
j:iuatiuamente,poíTefsiuamente;apropria-
daniente, finalmente, eficientemente , y
С 5 cxcm-•
v v DEc Lara ct o n
exemplariïiente. 8 Tambien sc responde
con elta disinicion a la pregunta que es eu
otro,que tiene en otro, y que haze en orro,
TOodakyìn(lrumen.talmente? 9 Tambien
fe responde atodas las de mas preguntasac-
cidentales. 10 La sopersicial nos manisicír
ta los actos externos, como el cauallo es vu
animal de quarro pies,ligero,domablecon
silla , y freno, aquien le es naturalel reliur
char, comoal jumento elrebuznar, y at
perro ladrar . 1 1 Tambien se disine la tu-
persicial con la enumeracionde las partes,
como la pena introduzida por lasleyes,o
es corporaUopecuniarja,o mixta. iz Tam
bien se disine supersicialmente por los con
jugados extrinsecos : como elyâleroso He
ctor es el q dessendio valerósaméte supatria
hasta morir cnla valerosaguerra en demos-
.ttacion desugran valor. Y por las quali-
elades prestadas , como el fuego es vn eler
mento qvsadela sequedaden sucalorcn
virtud de la tierra. 14 Y por accidentes arti-
íìcialesjcomoParrasio nie aquel exeelente
pintor , que engano a los ammales con vn
razimo de vuas pintado de su mano . 1 J Y
por accidentes morales,como Demostenej
fiie vn eloquentissimo Atheniense,q mere
cíoser llaxnadopadrc de supatria,/ eterni
y. DE L A RTE. ao
Zado ccn vna eftatua precififsima,yvnaLet
gua de fino oro en memoria defu grade elo
<mêcia.i 6 Y lo q contiene por lo cótenido,
como el cielo* á Saturno es el cj cötiene al d¡
Iupiter.17 Ypqr fujetos,y objetos fe extr'ui
íceos fe drfine,como,la vifta es vna potela
q tiene per objetos los colores y figuras.
I per circunftäcias fe difine^comO) reynä-:
do Marte fucFalaris aquelgran tyrano de
Agrigéto , q por leuantarfe cq el gouiernq
de fu patria hizo muchas crueldades,aunéj
mas haziera fino le refiftiera el gran valor y;
prudencia de Sterficore / gran Filofopho y
tutor de fu patria .19 , Tabien fe difínc poç
via de ethimologia,y alufion,y deriuacion,
гo Como Chriftiano es el que conoce y
figue a Chrifto:Auguftm el q augmenta, jr
Pedro el que es piedra. , , . . j |

$.iiij.Dela difiniciô methaforicav. •

LA - JVlethaforicadifinicion , fe haze
trafplantando los atributos de vnas
cofas en otras para mayor adorno,
y amplificacion. Tabien fuple las faltas cj
ay de vocablos. 3 Täbien finie para ocultar
Id q no conuiene decirfe en léguaje del vu!
go. 4 Co alegorias fe diíSne methaforica-
ШСШСк
*s DEC LARA CION,
íhente. j Con enîgmas se diffine rhetha-
foricamente . 6 Con hieroglisicas se diffi
ne methasoricamente . 7 Con parabolas
fedifìne methasoricamente. 8 Con seme-
jançasse diffine methasoricamente.9 Con
creemplos se diffinc methasoricamente.
ro Cò comparaciones sc diffine mèthafo*
ricamente.11 Con siguras mathematîcasfe
diffine methasoricamente. iz Con fabu
las,^ ethopeyasse diffine methasoricamen
te. 13 Ha de córresponder igualméte la me
thaforay la cosa por ella representada. 14
No ha de ser menor la methasora, que la
cosa signifîcada por ella , 1 y No ha de ser
contraria'la'methásora . 16 No ha de ser
asectada. 17 No hâ de ser tibia, 18. No ha
ìleser aspera. 19 No ha' de ser sea, 20 No
ha de ser odiosa.io ni ha de ser obscura,

f Cap.o&auó. (De edgunas adtterten-


tiasparafaberdíuidir.

EL Segundo instrumento con que el


entendimientohumanodiseurre , es
la distincíon con que distingue vna
colá mas comun en otras menoscomu-
ocs,o eísencialjO accidental , o methasori
camente*
\ DEL ART E. *t
camente , y distinction es vn termino mas
lato que la diuision: y la diuision, es termi
no mas lato que la relacion:y la relacion es
termino mas lato que la differencia : porq
la differencia es entre los correlatiuos,y la
relacion entre los correlatos, y el fundame
to,y el termino:y la diuifìon entre los con
ceptos y voces y la relacion y el sunda meto
yel termino,mas ladistinció es entre los có
ceptos quidicos de la essencia , substancia ,
quididad,ynaturaleza,yser,ysingularidad,
y entre elfundaméto y el termino y la reía
cion: y sinalmente entre todas las cossas y
conceptos y voces. Por tanto sabidas las di-
stinctiones se saben las diuisiones y relacio
nes y differencias de todas las cossas: las qua
les son nueue,la primera se llama racional,
laseguda natural, la tercera sormal:la quar
ta realda quinta numeral, la sexta essencial,
la septima modafla octaua subjetiua , y la
nona objetiua. En las quales aunque se con
tienen todas las diuisiones (porque es nue
stro intento tratar mas destas que de aque
llas) se notara que las diuisiones tienen el
nom bre del todo y de las partes diuidiétes:
y afsi porque ay vn todo fìsico, y otro logi
co, y otro methasisico: a los quales corres
ponden sus partes logicas, sisicas,y metha-
si sicas:
DECLARACION
físicas: por tanto ay vnas diuisiones logica»,'
y otras sisicas , y otras methasisicas. Yíí
las partes fueren essenciales o proprieda-
des inmediatas e internas llamaremos a l»
diuision solida : y si sueren accidentales ,
separables , o inseparables , naturales , mo
rales, o artisiciales: sera la diuision super
sicial . Y si sueren las partes comparacio
nes , o semej ancas , o symbolos , ò nierogli-
sicas, o ethopeyas , o parabolas, o negacio
nes, o principios priuatiuos, o methaíbras :
sera la diuision methasorica. Y la diuision
generalmente ablando , o es de partes sen
sibles fìsicas , y llamase particion : o es de
alguna voz en sus signisicados , y llamase
distribucion , o enumeracion : o es de con
ceptos , y partes espirituales , o intelectua
les, y llamase diuision : en todas las quales
preside la diuisió general. Y enellas scguar
daran las siguientes reglas.
2 Cada parte ct las diuidiéres por si, a de sec ^
menor, q el todo q se diuide : como la
substancia o es corporea, o incorporea,
a Han de difFerenciarse , y desmemorarse
las partes del rodo cííplidamente, sin q
quede parte por diuidincomola criatu
ra,o es intelectual.o corponl,o mixta.
3 Iuntas todas las partes de la diuision han
DEL ARTE. u
de ser iguales al todo diuidido ^ coJ
mo lossundamftosj y paredes, y techo
hazen la casa .
4 No han las partes de la diuision de con
currir como vna,ni por vna sola razon,
sinocomo differentes totalmente : co
mo el entendimiento^ es diuino, o an
gehco o humano .
j No ha de auer en la vna parte , cossa que
sea de la otra, por vna misma razon :
como la criatura , o es substancial , o
accidental.
6 La diuision no ha de ser superflua:como
la criatura, o es espiritual , o corporal ,
o celestial,o mixta:donde el membro,
celestial,esta demas.
7 La diuision no ha de ser faltosa: como
la bondad , o espiritual, o corporal,
donde falta la plenitud del membro ,
mixta .
5 La diuision,entre dos cossas que se tenga
respeto de plenitud dual,sc hataco dos
solos miembros: como quanto ay o es
criador, o criatura . *.
9 La diuision , entre cosas q se tenga resoe
cto deplenitud ternal.se hara con tres
miembros: como la criatura,o es cele
ste, o íüper celeste,, o sublunar.
jo Sí
: DECLARACION
10 Si la diuision se hiziere , entre cosas que
se tengan respecto de plenitud qua-
temal , se haracon quatro miébros»
u Ladiuisicnsehara por in mediatas gra-
, : duaciones , poniendo primero las
partes mayores , y despues las me-
:» .) nores,hasta acabar enlasminimas y
indiuisibles . .mi: :,••/. .
14 Quando saltaren nombres^para signifi
car con propriedad las especies de al
. gun genero, se pondran las difieren
cias en lugar de las especies,
ij Y quando saltaren nóbres, para las esspe
cies y differencias afifìrmariuas, se
. . j. pondran las differencias negatiuas t
como de los animales vnos ay sensi
bles, y otros insensibles: y de los sen
sibles vnos ay racionales, y otros ir
racionales.
14 Porque la diuision recíue el nombre de
sus partes:si las partes sueren causas,
la diuision se llamara causal: y si ef-
sectos, fe llamara de effectos:y si sor
mas, formal: y si subjeto$,subjetiua;
y si essencias, esfencial: y si acciden
tes, accidental.
\% La fìsica diuision es,como el hombre se
diuide encuerpo,comocn materia:
DEL ARTE. a3
y en alma,Como en sorma.
16* La logica diuision es , como el ente, o
es racional, o real. El real, o es subs
tanciado accidental:hasta bajarpor
toda la categoria al indiuíduo.
17 La methasisica diuisió es,como la bon
dad, o es espiritual , o corporal, o
' 'mixta. . . .
j8 Ladiuision accidental, oesdesubjeto
en accidétes como de los hombres,
vnos son ricos,y otros pobres.
19 O es de accidentes en subjetos, como
los habitos , o son del cuerpeo del
alma. .. '. . h; ,
ío O es de aeccidentes en accidentes , co
mo lo blanco,o es dulee, o amargo.
-11 La diuision del genero en sus differen
cias , o especies, es , como delos
animales , vnos son racionales , y
<. .,. otros irracionales.
xi La diuision de la especie en sus indiui-
uiduos (que llamaron algunos muí
_. tiplicacion de la especie , es) como
elhombre,oes Pedro,o Alonso.
,13 La diuision es escala , por donde elen-
rendimiento sube a las cpsas altas;
- , : y baja a las ínsimas. •. ---,»,, -,
14 Las classes de los principios, y subje-
^ " d tos,
DECLARACION
tos, y reglas nos pueden seruir de gra
dos para diuidir.
^ . • i ' "i . '

« Capitulo, ix. (De algunas aàiierten-


tías para elargument ir.
A Argumentacion es vn instrumen
to , con que el entendimiento huma
no concluye per argumentos , en fa-
uorde la verdad aparente , o existente. El
argumento es el medio , con quien sepiue-
ua la duda : y la argumentacion es vna
compossicion artisiciosa ; de quien , per
via de antecedencia, y conrequencia , se
sigue la conclusion ". 'La qual argumen-
taciejñ consta d« materia ; y sorma . Su
"materia son las enunciaciones , que pot
otro nohibre se llaman , oraciones, pro
nunciados, o preposiciones: lasqualessi
tuuieren nota vniuerial ( como todo , o
ninguno) se llaman vniuersales': y si par
ticular^ como alguno, alguno no) se lla-
»mair particulares . La sorma dela argu
mentacion , es la que ata las partes ma
teriales mayores , y las menores ( que fon
los terminos delsubjeto, predicado, y pe
gadura, o verbo de las VnaS enunciaciones
"con laierras ) o en sorma .de ehthimema>,
que
DEL A R T E: 24
que consta solo de vn antecedente, yvri
consìgiùente : o en sorma de inducîon, O
en forma de exemplo , o en sorma de sy-
logismo .Esta es la mas persecta artisicio-
fámente. Lainducioncs vna prueua, por
fusiìciente enumeracion departes. Y el
«xemplo es vna argumentacion , que.se
haze con semejanças , cbmparacîones, /
exemplos . Mas el fy logismo es vna argu
mentacion que consta determinadamentè
de tres'proposiciones. La primera de las
quales, se llama proposicioniO mayer: y la
segunda asumpcion,o menor,: y la tercera
conclusion. Destas proposiciones vnasfort
simples, y otraScompuestas-.lasstmplesno
rienen mas que vn subjeto,y vn predicado,
y vna^pegâdura:y las cópuestas constan de
dos,o mas subjetos , y predicados . De las
quales las q sientpre son verdaderas;se lla-
man necelfarias:/ las qsiempre salsas.se di
zen impossibks:y las (\vta. vnas vezes falsas
y otras verdaderas,sellaman cótingentes:y
las q pueden ser verdaderas,se llaman pesi-
bles.Y estas ^posiciones porrazó ctquáti-
dad se dizévniuersales oparticulares,oindc
sinitas,y por la esséciase llamá categoricas,
ohypoteticasty por la materia^sellama có-
dicionales, modales, ccpulatiuas,disjûtiuas
d » simples,
DECLARACION
simples, Q compuestos : y porlasorma, se
dizen enunciaciones, : interrogatiuas, im-
peratiuas., admiratiuas,o optatiuas : todas
las quales enunciaciones simen de materia
en las argumentaciones . En cada enunr
ciacion ay sus terminos (como he dicho)
que son el predicado , yelsirbjeto. En el
íylogifmo, vno dellos se llama medio , o
argumento : y otro mayor extremo : y
otro menor extremo . El medio es el que
en el fyloeismo se pone dos vezes antes de
ja conclusion : vna en la mayor , o propo
rcion : y otra en la menor , o asumpeion:
mas este medio nunca entra en la conclu
sion. Y el mayor extremo es el que acora-
paña al medio en la asumpçion4o me-
. . nor. Todo lo quaL (para mayor
claridad ) fe. vera eneste
fylogifmOf:- V; b?: ',
. D E L' ART E. 2y
Not.^niu. medio. may.extfe.
May. Todo lo bueno es exceléte.
atadura. - '[
Mtn. extre. '•"'[ medio.
M'en. La justicia es buena.
Nota indifmita. . •'. •
Qcl. Luego la justicia es excelente.
j ; . Subieto.
' . : . . • Predicado.
.... )
$.2 El qual fylogismo , si la conclusion:
fuere necesíaria,sera necessario:y si contin-
gente,prouable:y si imposible salso. Y por
que en razon de declaracion , no puede ser-
mayor la conclusion,que el medio de don-'
de se insiere: portanto la conclusion neces-'
sariase insiere del medio neflario:y la pro-,
uable de medio prouable: y la salsa de me
dio falso.Y porque ay cosaSjsinque ni pue
de ser,ni saberse la cosa : y otras , sin que no;
puede ser, mas bien puede saberse en algun"
tiempo: y otraSisin que necessariamente es,;
mas bien puede methasorkamente saber-'
íe por ellas : por tanto ay vnós medios es-
sencialeS, que son los del primer angulo de:
este quadrangulo:y otros accidentales inse
parables, que respóden al segando angulo?
d 3 y otros
D ECLAR ACION
y otros separables, que corresponden al ter
cero angulo : y otros methaforiccs , que
corresponden al quarto angulo". Todos
los quales reduzgo a solidos los del prime
ro , y a supersiciales medios; los del segun
do j y tercero angulo, y a methasoricos los
' del quarto : que por otros nombres , se
pueden llamar medios internes ¡ o exter
nos^ mixtos : y por otro nombre , se pue
den llamar , necessaiios , y no prouables,
como los de laTheologia : o neceílarios y
prouables , como los de laFisicay metba-
îìsica : o prouables y no necefsarios , como
fon los del Lpgico : y otro angulo se podia
añadir del sosiíta, y es de los medios ni ne-
cefiarios,ni prouables. .,,'.'•,.••». ,
£ j . El qual medio , o sera sufej.eto en la
mayor, y atributo en la menor : y sormar
se ha con el la primera sigura . O sera atri
buto en la mayor y en la menor. : y sor ma
tase con el la segunda sigura . O serasub-
Íeto en ambos : y sormarase la tercera si
gura , O sera el medio atributo en la ma
yor, ysubjeto en la menor:eon quese ha-
ze la quarta sigura.. - ;- r, : -; .
$.4. Para hallar el verdadero medio , se
notaran quatro reglas : aduirtiendo pri- ,
mero , que la conclusion , o sera vniuersil
asirmaciua;
DEL A R T E, , 26
asìnnatiaa : o vniuersalnegatiua: oparri-
tular affirmatiua : o particular negatiua;
o indesinita , que tiene vez de vniuersaL
La primera regla, es, que si sucre la coi r
cluhonvniuersal , o indesinita afrìrmatir
ua,ei medio ha de ser causa, o anteceden
te del atributo delia, y ha de serestecto,
o consiguiente del subjeto delia en razen
de nuestro modo, de entender : como lq
que es sin de si misino inmediatamente,
es insinito: la bondad increada es sin de si
misma inmediatamente: luego, la bondad
increada es insinita . La íègunda regla ex,
que quando suere la conclusion indesini-
ta,o vniuersal negatiua , el medio sera ester
.cto , o consiguiente del subjeto della, y-t&
pugnante del.atributo : o repugnante del
atributo , y consiguiente del predicado,
segun nuestro modo de entender. Exem-
plodel medio que repugna al atributo,)' se
sigue al liibjeto. . ;. •»
Ninguna cosa eterna es sinita : toda pei-
secion mercada es eterna : luego nins.ur.st
.persecion increada, es sinita . \ el exem-
plo del medio que repugna al subjeto , y se
sigue al atributo es: como,Ninguna bódad
sinita es sabiduriadabódad infinita essabi
duriadueso la bondad insinita no es sini ta
0 > t'
DECLARACION
La tercera regla es,que quandofuere la co"»
clufion particular afimatiua, fe dara me
dio que tea antecedente total , o parcial del
atributo y fubjeto della : como toda bon
dad omnipotente es infinita : alguna bon
dad es omnipotente: luego alguna bondad
es infinita. La quarta y vitima regla es.quc
quando fuere la cenclufion particular ne-
gatiua,fe le dara medio que fea anteceden
te del fubjeto, y repugnante del predicado
della : como , ninguna criatura es infinitai
todacriotura es poderofa no es infinita.
$. J. De donde confta , que jodos los me
dios , ofon antecedentes , o coníiguientes,
«repugnantes, o iguales del atributo,o fub
jetodelaconclufion. Tambien fe pueden,
llamar los medios mayores, o iguales, o
menores que la conclufion :potquc quando
el medio afirmatiuo produze-, o prucua ja
conclufion negatiua, es mayor : y quando
el medio negatiuoprueua la conclufion a-
firmatiua es menor : y quando el medio
vn'merfal afirmatiuo prucua la conclufion
vniuerfalafirmatiua , o el negatiuo la ne-
gatiua, o el indefinito la indefinita, es me
dio igual. Y porque la mayor igualdad
y concordancia del medio con ellubjctd,
y predicado de la conclufion y e-s quando
tcdcs
" î> Ë L A R t E. 27
todos se conuicrten : ha de auer sorzosa
mente suera de lasprouanças de mayor a
menor ¡ y de menor a mayor, otra que
proceda de igual a igual: y no en qualquier
genero de igualdad , sino aun en la mayor
( que es la idemptica ) que se haze me
diante lâ penetracion cubica de los cor
relatos internos en todas las perseciones
cssenciales : la qual demonstracion llama
Ray mundo porcquiparancia : y la de ma
yor a menor llama de causa a efrecto : y la
menor a mayor llama deleíFecto âlâ ca-
usa . A la demonstracion de causa a effe-
cto llama tambien Raymundo de prime
ro a postrero , y la escuela proprer quid: '
tomo , si el hombre por ser animal es subf^
rancia : tambien el leon qne es animât,
es substancia . A la demonstracion que
lia mo Ray mundo de eftecto a la causa,' lía
ma tambien de postremo a primero , y la
escuela la llamo , quia, como a Pedro v«¡-
mos, <jue tiene vida exteriormente : lue
go de necessidad diremos , que tiene tam
bien vida interior: porque aquella es cau
sa desta, y esta es effectodella . Mas'sien-
:'áo , no inseriores , ni superiores , no ma
yores -, ni menores , sino, iguales las' pífo-
priedades deldemonstratmo , y derherif-
d j trable;
-, DECLARATION
trable:para manisestar las mas ocultas por
las mas notorias y conocklas,seruira la de-
monstracion por equiparancia, o por igua-
les. Y afsi llamamoscnrazon de nuestro
modo de entenderjas mas conocidas per-
feciones antecedentes , y las menos consi»
.guientes, y las que repugnaren a las vnas y
a las otrasrepugnancesmoporque lo scan
segun su realidad , íìno porque nos siruen
como tales a nuestro modo de entender .pa
ja ,mani,sestarnos la verdad : çomo lo que
iummamente esta lexos. dela.mayoridad y
minoridad.y de todo exceíTo y desse.cto , es
íum ma igualdad : la immensidad de Dios
.-esta fummamente lejos de la mayoridad y
WÌnoridad,y de todo excelïb y desecto:lue
goDioses sum ma igualdad . La qual de-
jnoiïstracion persecta, esla de Raymundo,
q ni procède de primero a postrero , ni de
.postrero a primero, íìno de igual a igual.
-$..6. Yparaentéder las admirables demos-
traciones de llaymundo,se notara: q no va
.atado a fylogismos las mas vezes,por ser ni
neria ysar siempre deílos : mas vnas vezes
calla la mayor , y otras la nìenor : y vsa de
vnos enthimemasperemptorios q para eri
tendellos,sc auran derecuzir a fylogisinos,
quândofueren detal mancra obscuros , q
,.i noie
T> E L A R T E. ' 28
no sepuedanentender de orra manera:por
q ei enthimema ( como esta dicho ) es vna
argum5tacin,en q desola'vna propositions
antecedéte,se colige la cóclusiô:como todo
k> q«ssininmediataméte3 si inifrno es in
íìriico:luego la bondad increada es insinita
(dóde salca la menor) Yeneste entymema,
toda bódad increada es èrerna:luego ningu
na bódad increada essinita(salta la maycr)-
Ypara sabersuplir la q saltare destas jpposi
ciones mayor,o menor, para hazer el enty
inemafylogismo , sc notará quatro reglais
La primera es, q quado el sub)eto de! ante-
cedéce del enty mema suere tábien subjeto
delacóclusió.íeanidira la mayor qsaltapa
w hazerle sylogismo:como,eneste entyme
ma ( toda bódad increada es eterna: luego-
ninguna, bódad increada es sinita)lè anidi-
ra U mayor,qes ninguna cosa eterna es sini
ta» La segûda regla es ,q si faere el atributo'
del antecedente del entymema,tâbien atri;
butb de su conclusion , se suplira la menor
q le falta para ser sylogismo , como en aql-
ejitymema(todo lo que es sin inmediata-
mente desi mismo es insinito:luego la bon-
dad increada es insinita(se aíîidira esta me
nor.La bondad increada, es sin inmediata-
mente de si misma. .. --" t
La
DECLARACION
La tercera regla es, que si el subjeto del an
tecedente del entymema,suere atributo de
úi conclusions añidira la menor que salta:
como en este entymema (toda bondad in
sinita es sabiduria : luego ninguna bondad
sinita es insinita) se añadira esta menor.
Ninguna bondad sinita es sabiduria.yque-
dara persecto syiogifmo . La quarta regla
es , que si el atributo del antecedente del
«jntymema, sueresubjeto de la conclusion,
se suplira la mayor que salta para ser perse
cto syiogismo , como en este entymema
( toda potencia es grande : luego alguna
grádeza no es sinita ) se suplia esta mayor,
algunapotencia no essinita.
$. 7. 1 para que se puedan poner estos fy-
Logisinos en ÍU sorma y sigura, se notaran
«ncadavnadelas quatro siguras , quatro
reglas , con el quadrangulo que atras puse
de la colocacion del medio : porque en la
primera sigura , el medio ha de ser subjeto
e¿i la mayor , y atributo en la menor : con
la qual se concluye en todos los quatro mo
dos âsirmatiuos , y negatiuos ; y en ella,
quando la menor es negatiua^no se conclu- .
ye cossa , ni quando la mayor es particular,
como todo loNbuenó es honesto: todo lo;
persecto es bueno: luego todo lo persecto.
;'D E V ARTE. %9
es honesto.Y en la segunda sigurad medio
es atributo en la mayor y menor : y enella
siempre se ha de concluyr negatiuamente:
en la qual de puras afsirmatiuas no se con
cluye cossa, ni siédola mayor particular: co
mo ningun deshonesto es persectojtodo lo
bueno eç persecto , luego ningun bueno es
deshonesto. Las condiciones de la tercera
sigura son, que el medio, sera subjeto en la
mayor y menor, y la menor no a de ser ne
gatiua : ni la conclusion vniuersal: porque
siempre a de ser particular,como toda bon
dad es durante: alguna bódad es espiritual:
luego algun duráte es espiritual. Y sinalme"
te las propriedades de la quarta sigura son ,
que el m edio a de ser atributo en la mayor,
y sub)eto en la menor , y que no a de ser la
assumpeion particular aFsirmatiua : ni la cp
clusion vniuersal negatiua : ni la mayor pa*
ticular negatiua: comotodo don erande,e;S
persecto : todo lo persecto es sin salta ni so
bra: luego todo lo que e$sin salta nisobrar
tsgrande. Porque, como ert los exéplqs
dichos se nos declara, y principalmente en
el primero de la-primera regla, dóde el me
dio es; igual con el atributo de la cóclusiofl :
porque lo mismo es , segun la realidad del
lubjeto* dezir sin inratedíatam.cte de si mis
are mo>
DECLARACION
mo que infinito: pues las diuinas perfecío-
nes elTenciales en Dios todas fe côuierten.
Y afsi el llamar antecedente a efte medio,
fegun la primera regla, no es en anteceden
cia realporque en Dios no ay antes nidef-
pues: masenrazo de nueftro modo de en
hender confideramos fer antecedente aque
lio de que inferkuosj corhode cofa mas co
nocida otra.ffi£rios conocida , aunque fea
ygual. Y en efla confederation llamamos
primerosy pöftferos,mayGres y menores,
antecedentes y configuientes a los diuinos
: atributos, fegu nueftro modo de entender:
'fiendo todos,fegü el modo de ferien fu idé
ptidad vno eil tlilftiero, que es la mayor y-
. Igualdad y fimplicidad pofsible:por la quaY
ító.demoftracioniq con ellos hazemos, lla-
mames por equiparacia. Y co ella no foto
.tratamos del fumo ente,mas aííde lateria*
•turas.en quato4Íada vna/egü fu capacidad
"participa de la femejança de ladiuina id«-
ptidad: Delaqual(pûrque lo fenjejSte no
es lio mifmo^ncoytan grande concordan-
:fcia.èn la criatura, que podamos detír fon
^íus' perfeciones vna en numero : porque
fon de tal manera diferentes, que jamas
puede la vna ferJa otra: mas cófíderamos,
que en la efíenck de cada criatura hade
auer
'л DEL ARTE. T jo
auer tanta concordancia de todas fus condi
ciones y propri edades, que no aya algun*
q eftorbe ni fea cótraria limpíemete alfer*
poder,o obrarcaraeleriflico yintrinfeco de
lla.Y por razon defta concordancia fe niez
clan y cubica fus principios en cadavna, de
tal manera q todas eftan en vnà, y vna en
todas,pero por.dtuerfosrefpectos:éla qual
cubicaciÖ fe funda la razó de equiparacia
delas criaturas. Y fuele laefcuela comil de
clarar eftefeCre£o,diziédo:q qualquier re-
foluciÖjhecha de alguna duda,fera faifa: aS
q cócuerdé todos los principios de vn arte,
fi vnoTolo falta. Y eibb es lo q enfena Ray
mûdo.dizîedo.i atédairios ano refoluer nin
guna qftió cotraalguna códicio.o difinicio
de furprincipibs.De todo lo ql fe nos maní
fiefta/q" fuera de lostres grados de m edios
pa demo{tr:ir',q^hallola efcucla comü fuda
da en Arift. ay tibié otro cóforme a Ray-
mudo,ifundadaen inegable Filofofia: el <|1
es la eqparacia.q podriamos llamar el me
todo del arte natural : porq no ay medió
an tecedéte,cófíguiente3ni repugnäte,en q
pa no auer falta o fobr'a, dexe defer riecefl
íario el medio de equiparacia- porq co el fe
reconoce,fi es alguno delies cótrario a algu
principio deaq.uella arte có qdiíputamos.
$ Octa
r DECLARACION
fv 8. Haciendo visto de las quatro condicíc
nes, que ay en cada sigura particularmente,
resta ueamos delas condiciones, que en to
das se han de guardar. La primera,que de
puras particulares no se sigue nada . x Es ne
ceísario que sea vniuersal , o indesi nita alga
nade las premistas. 3 De puras negatiuas
no fe sigile nada. 4 Es neccssario que algu
na de las premisses sea afsirmatiua. y Si al
guna de las premisses fuere particular, la có
clusion sera particular. 6 La conclusion sié
pre se arrima e insiere de. lo mas necesita
do y flaco. 7 Si alguna de, las premisses sue
te negatiua , fera Ta conclusion negatiua.
8 El medio Tolo a de entrar en la mayor y
menor. 9 El medio no entra en la conclu
sion, porcj no seprucua vna cossa afsi mis
ma» 19 No a de tener el fylugifmo salta ,
ni sobra. 11 An de preceder algunas pre
misses por si conocidas, vt En la recta arr
gumentaeion todo lo que repugna a toda la
conclusion,' repugna a todas las premisses.
13 De la contradictoria , déla conclusion se
insiere R contradictoria de las premisses.
Í4 , XvOdo lo que se sigue $e-]¡a conclusion,
se insiere de las premiflas^ .15; Delantece
dente verdadero siempre fesigue conüguié
te verdadero. 16 De las premislas Calsas
-i.tjO í 1 incipro
DEL. A R T E. * j*
impropriamente se sigue alguna vez con
clusion verdadera. 17 De las preinissas
falsas propriamente siempre se ligue con
clusion salsa. 18 DelaspremissasneceiTa-
rias siempre se sigue conclusion necessaria.
19 De las premissas contingentes alguna
vez se sigue conclusion necessaria por si
misma, y siempre contingente en razon
delUs. lo De las premissas impossibles se
sigue conclusion salsa derechamente, y por
razon de alguna circunstancia se puede se
guir conclusion que sea necessaria,o contin
gentco possible.
§, 9. Hauiendo dicho de los fylogisrrtos,
resta essorçar la masprincipal parte dellos,
que son los medios poniendo las condi
ciones que han de tener los medios gene
ralmente. Y despues en particular laspro-
priedades del medio solido, y las del su-
p.<grsipial,y las del methasorico.

nfl Aàuertenáas comunes,pa-

ra los' medios.,

EL Medio no ha de ser superior , ni


inserior a la conclusion, y si lo suere
reduzirlo hemos al igual coartando
DECLARACION
los terminos al subjeto por la differen
cia propria.
* Medio menortes,como el animal respe
cto del hobre: mas ajuílarasc dizier.*
do, todo animal racional es substancia
racional : todo hobre es animal racio
nal: luego todo hombre es substancia
racional.
j El mayor medio es, el que es idemptico
con el subjeto y predicado de la con
clusion.
4 Entre muchos , elegirse ha el mas ex
celente.
y El medio ha de ser consorme a la regla,
y especie de la pregunta.
6 El medio ha de concordaren genero con
el subjeto,y en especie con el atributo:
o en especie có el subjeto } y en genero
con el atributo.
7 Si el medio no se descubriere tan facil
mente en la especie de la pregunta,
combínese la. f. con las letras que nos
huuieren dado el predicado y el sub
jeto de la conclusion.
8 No es buen medio el que repugna a arn
bos terminos de la conclusion.
t> No es buen medio el q es effesto de am
bos los terminos de la conclusion.
to No
i<5 No cs bue medio el q es causa del atribu¡
to,y repugnate al sujeto dela coclusió,
il Quanto fuere el medio mas vniuersal,
tanto se podran prouar con el mas con
clusiones.
ix Para hallar c5 sacilidad muchos medios
se aura hecho exercicio en hallar mu
chos antecedentes , y consiguientes, f
repugnantes vniuersales.
i¡ Para có sacilidad resoluer las dudas/e fi
chara mano de los medios mas cerca
nos , segu el orden de las Cathegorias.
14 El medio cercano , es el q esta junto in-
mediataméte a la especiero subjeto de
la conclusion.
§.x . Aduertécias para el medio solido.1
EL medio solido vnas vezes scllamay-
gual; y otras essécial,y otras substacial,
y otras natural,o cÓcordante,o real.
x El medio solido ha de tener igualdad na
tural co el atributo y sujeto dela qstió.
3 Ha de ser conuertible con la conclusion.
4 Ha de ser mas conocido qla conclusion,
c H a de ser igual causa del subjeto y predi
cado de la conclusion.
6 Medio essencial es , el q demuestra ser
impossible lo contrario.
ex 7 No
DEC LAKAUlUxN
7. N o ha de ser superfluo,ni faltoso.
8. El medio solido , es o la propriedad es--
sencial, o algunos de los correlatos, o
conjugados internos , o alguno de sus
synonomos,mas conocido que la con
clusion. : 1
9. Qnando los terminos de la coclusion
son substanciales , el medio sera subs
tancial paraser igual.

Aduertencias para el rriedio


supersicial. ''\

L Medio supersicial es desigual a loj^


terminosde la conclusion. • ,
E 1 El medio supersicial, es accidental
a la conclusion. ... .J .
3. Aunque el medio sea substancial , si los
. terminos de la conclusion son acciden
taleSjserasupersicial. ',; :
4 Aunque los términos scanen lacon-
. clusion substanciales , si el medio suere
ac£idental,sera supersicial. . ¡ ,
y Yel medio parte substancial, yparte ac
cidental.
6 Es indifiirente essupersicial. .;• -t
7 El medio entre el subjeto.y.atributo dí-
* a serentes
: 'ET E L A R T E. \%
iêrentes,eíFencialmente es supersicial.
8 El mediaconringenteessupersiciaL
9 El medio accidental, es supersicial.'
10 El mediodeconjugadosextïirísecos, es
supersicial;'! --r ia r- '):: •'. • ' ,., "
n -Todo medio morales supersicial. - V
ìz Todo medio artisicial,es supersicial.
13" Ytodomedio parte natural,y parte arti-
- -^iiíciak"". ''-••» • -'. -
14-Èlmedio mayor, que la conclusion, es
- - supersicial.
1$ Todos los medios de los lugares inartisi
ciales,sonsupersiciales,como,testigos,
anthoridad, escripturajenteneia indi-
ciojtormento, fama: excepto la autori
• ' f 'dïd fagrada,que es medio solido. " .

$xîj.Delas aduertencias,para el i
.... , » medio methaforico.
r r ' Odo medio improprio , es metha-
'I sorico.
x Todo medio frasplântado de vn
"subjeto en otro es methasorico.
3 Todo enigma es medio methasorico. '
4 Toda parabola es medio methasorico;.'
J Todoexemplo es medio methasorico.
6 Todasemejança es medio methasorico.
c 3 7 Toda
DECLARACION
7 Toda comparacion esmediometKâsor.
S Toda paliada signisicacion es medio me
thasorico.
$ Toda fabula es medio methasorico*- ;
jo Todo resran es medio methasorico.
ai Toda alegoria es medio methasorico.
tí Toda sigura es medio methasorico.
ajTodahicroglisica es trfcdio methasorico.
J4 Todo negatiuo es medio methasorico.
iy Todo contrario es medio methasorico..
j<í Todo impossible , absurdo , y inconue*
nientees medio methasorico. ; T >

§.xiij.De los lugares otopicos.

Eneralmente se reduzen los luga-


I t res,o classes de los medios a nueue,
^ ^"""^ que son:difTerencia , concordancia,
contrariedad,principicmedio, sin, mayo-
ridad,igualdad , y minoridad:en cada vno
de ios quales ay muchos particulares luga
res simples , y innumerables los que remi
tan de la mezcla de los vnos con los otros.
Y mediante la mixtion dellos con los prirt
ripios absolutos,y accidétes,y reglas, y sub-
jetos de nfa arte:en cada vnos de los quales
ay q considerar su nombre , y su vso , tanto
respecto dei su;eto,como del atributo,ydel
modo,
DEL ARTE. 34
modo, o regla de la pregütâ.Por tato se no
tara,q para los sujetos y Fus propricdades,y
fu mayor o 'menor dignidad nos pusso Ray-
mundo en la arte nueue grados, de suje
tos. El primero es Dios , ». Angel^.cielo^
hobreJj.imaginatiua,f>.sensitiua,7.vegeta-
tiua,8.elementariua,y eL9.es lainstruméta
tiua,dóde se contiene los accidétes natura
les morales y artisiciales. Y para las quali-
dades destos.9. sujetos, hizo tres libros ad
mirables. El arbol dela sabiduria, los ,pucr-
bios^y la escala del entédimiéto,y lampar
te dela arte magna.Ypara los atributos sir-
uen todas las partes. 1.1.3.4. f.é.y.y. de la
jnifma arte,y la.i.distincióde laarteinucn
tiua:y sobre todo la aplicacio delos atribu
tos a los .17. principios de q auemos trata-
tado.Y la sorma de la duda a las questiones
o reglas,o maneras de pregfitar y reípóder:
d= las quales son treze lassimples. Lapri-
mera,si es'i.que es?3.de q es?4.de quien esi
Ç.porq es?6.para q es?7.q tan grande es? 8.
éj tantos son?9.q tal es?oquales?io. quado?
H-donde?ii.como es? 13. conque es'? En las
quales ay encubiertas otras muchas esspe-
cies:y de todas combinadas entre si resulta
otras innumerables , q podrtamos llamar
reglas,o questiones compuestas.
c 4 $.xiüj.
i - DECLARACION
' §. xiiij. Deloslugafes çncubíertòs
en la differencia,

L Primer lugar de la differencia , fe


llama de diuerfos . El qual procede
j desde laafsirmatiuadelvno,ala iie-
gatiuadefotio.-perono alreues, como mar
fodio,es marmol:lucgono es hombre:mas
no se seguira , no es hombreduego es mar-
jT)Ql:porque puede ser otra cossa.
. £1 segun do lugar, se llama de defíem e-
íantes.: en el qual se procede con lâ misma
prden,como el gentil-es muy amigo de ha-
jîcr in mortales , acerca de los hombres sus
obras: luego el Cb.ritti.ano solo acerca de
Dios. .1 : '... Y
: El tercero Jugarse llama de diuersa pro
porcion : en el qual se procede con la mis
ma prdenjComOjsi dos respecto de seys tie
nen diuersa proporcion que tresduego seys
respecto de doze,n.o tiene la miüna propor
cionjquequatro. o-;- :
El quarto lugar.1 fe llama de particular,
por general,comqtkne aima racicjial eltc
cuerpo: luego es hombre.
Elquintoje llama de diuision,y suregla
«Sj q de quien se arsh>jr»a vn miembro , se
-\ . , - ' niega.
<D EH/ ART EvT 3j
Ȕega el repugnante a el,comoestecauaUo
no esta ensermo:luego esta sano- . ' . -in
El sextOjse llama del todo a las partes, y
su maxima esjeon quien concuerda el todo
-vniuersal cocuerdan sus partes:comola vir
tud es amablerlaego la jtlíticia,templança,
prudencia,yfòrtaleza fon amables. .': • »
El scptimcvíè llamadelas partesaljtôdo,
y de la parte al todo nouale asirmatiuamé
te el argumento* ¡como es alma racional:,
Juego es hombre... • t
El octauolugar.se llama de differenría,o
-propriedad : y su maxima es, q con quien
concuerda la dirTerencia/concuerda iacofa
cuya es la dîffcrécia:cômo , todo difcursiuo
racionales risible; luego Pedro esresible.
Y generalmente sirue este lugarde la di
serencia, para arguyrydifferenciando entre
substancias y substancias, substancias y ac
cidentes , y accidentes y'accidentes, etpiri-
tuales,ocorpofales,o mixtos. '•iK.';. "-i

§.xv. De los lugares encubiertos en


la concordancia, -
' - . f . '
EL Primer lugar de la cocordancia, fe
llama de la disinicìon:y procedese&i
el desde la afsinnacion de ladisinició
c S ala
DECLARACION
a la di disinidozco mo,la humildad es vn ha
bíto bueno:luego es virtud.Ydesde la nega
ció de la disinició a la del d sinido:como el
leó no es substácia espiritual: luego el leon
no es Angel.Y el sundaméto deste lugar.es
la conuersion de la disinició y del disinido:
como y es animal ra-cional:luego es hóbre.
El segundo lugar , se llama notacion , o
ethimologia,y su maxima es en su tanto la
misma de arriba:como si eres móje(q quic
re dezir solitario) paraque callegeas y an
das de casa en casa lisonjeando?
El tercero lugar , se llama de ladescrip-
cion,y en su tato procede por la misma ma
xima:como, ningun habito loable dexa de
hontar a su posteedontoda virtud es habito
loable : luego ninguna virtud puede dexar
de hontar asu posseedor. •.
El .4. lugar,íc llama de los íynonomos:y
fu maxima esjq desde vn synonomo a otro
se ^cede asirmatiuaméte: como esta es grá
dza:luego es integridad,totalidad,ypseció.
El quinto lugar,se llama delo extrinseco
a lo intrjnseco y su maxima es:lo que pone
vna cossa en otra primero la tiene en si : co
mo el suego calienta a la agua : luegoel
fuego es caliente en si.
El sexto lugar,sc llama de conjugados,^
fon
DEL ARTE, 3j
Ion losnóbres q estan debaxo de vn jugo,
o nombre principal: codos los quales estan
dentro de vna misma naturaleza: y su ma
xima es :lo q compete a vnode los conju-
gadosjcÔpete al otro:como el herido pade-
ceduego la herida espassion.lo dulee es sa-
brpso:lucgo la dulcuraes sabor. La justicia
esjttstisicaciua, justisicatiuamfte: luego ay
justisicable justisicablemente,y justificacio
y Justisicar justamente.' .
El septimo lugar , se llama de relatos,o
correlatos.-como , ay padre: luego ay hijo,
©y tiuo:luego ay bile y are. •
z ELcctauq, se llama.de actiua en passiua:
como yo escriui este Übro:luego este libro
fue escripto de mi, ¿ ; .
El.9. se llama de adjíítos,o coherétesteo-
jmo el sacerdocio sue trásserido enel vicario
deChristo:luego sue conel trásserida la leys
porque el accestorioiîgue a su principal.
- - El decimo lugar,se llama de la semejáça
o fy mbolo:y su maxima es:lo q se asirma o
niega, del semejate , se asirma o niega de la
cosaq representa.como judas perecio mise-
rablem?te:porq desespero dela misericor
dia deDiosduego todos los q desesperaren
dela misericordia de Dios, pereceran.
Y cÔ este lugar delacócordácia se argu
ye
ïç DECLAR ACION
yc concordando vnas substancias co otrasì
y los accidentes con las substancias, y vnos
accidentes con otros: corao espirituales con
espirituales, espirituales concorporales ,y
còrporalesconcorporales. • • \ '

§. xvj. Del lugar de là çontrarieââ.4.

O S Cótrariososon proposiciones,
d terminos( cómo nombres, verbos
J y parriculasjosost coítfc las proposi*
ciones o son contradictoríâSj o contrarias^
subcontrarias, o nibalternâs : losterminos
y cosascontrariosj oson relatiuos, o priua^-
tiuos , o áduersatiuos, o contradizentes ; 9
para queestos seaîíïáles han de tener quar
tro condiciones. La primera, queseahtaìes
ïespecto dealgun subjeto proporcioriado:
lasegunda,reípect:o de vn miimo subjètoì
la tercera , en vn mismû modo y considera
tion: la quarta , aun mismo tiempo. Y este
lugar es el quellaman.de repugnântes,o ad
uersatiuos , y procedese en el desde la affir-
macion del vno, a la negacion del otro: co»
mo este papel es blanco,luego no es negrot
Miguel es hiimilde;luego no es soberuio. Y
desde la negacion del viïo a laaffirmacion
del
U ü 1, A K T E. 37
del otro: como tres,no son pares,luego son
nones: entre los quales contrarios , vnos ay
inmediatos, como pares y nones : malo y
bueno , humilde y iobcruio , sano y enser
mo: entre los quales vale la argumentacio
susodicha : mas ay otros mediatos , como
blanco y negro, callente, y frio: y todos los
actos humanos que tien? sus extremos mo
disicables con actos indifférentes. Entre los
quales no ha lugar la regla susodicha , porq
no se sigue desde la negatiua del vno a la af-
sirmatiua del otro , sino suere negando con
sufsiciente enumeracion los demas, y affir
mando solo el vno: como no se sigue , no es
blanco el carmesi, luego es negro : ni se si
gue de la negatiua del vno, la del otro , co-
moho es blanco , luego no es negro : mas
bien se sigue es colorado,luego no es negro
ni blanco . Aunque no se ponga mas de vn
termino negatiuo en la conclusion , mas si
se huuicre de poner enella el affirmatiuo es
necessario , que en las premissas negatiua-
mente se ayan puesto todos los contrarios
de la conclusion, como esta color no es blá
ca¿ ni negra, ni azul , ni parda, ni amarilla,
ni colorada,&c. luego es verde.
El segundo lugar es, de los opuestos reía,
tiuamente donde se procede desde la afsir-
. ,;({ ' mació
DE CLARAC I UN
macion del vrio a la negacion del otro en
este lugar , como nuestra Señora es hija de
fancta Anna , luego no es madre de fancta.
Anna.
El tercero lugar es de los priuatiuos y pro
cedese en el desde la afirmacio del vno a la
negacion del otro, como Pedro es ciego lue
go no vee, Pedro es anciano , luego no es
moço.
El quarto lugar es de los opuestos cótracfi
ctcriaméte,y procedesc en el desde la afsir*
macion del vno a la negacion del otro:por-
que de las contradictorias' vna es sorçoíá-
mente verdadera y otra falsa, como si todo
hombrees mortal, falso es que alguno sea
inmortal.
El quinto lugar es , de la impoíibilidad ,
la qual es vna sorma q pone entre el predi
cado y el subjeto de la conclusion vna incô-
cordable contrariedad: comodtn possible es
volarlas aues sin mouimiento,como callé-
tar el suego sin calor.
El sexto lugar es, de la manisiesta falsedad,
la qual es vna sensible contradicion einne
eable,como el sumo Pontisice es vicario de
lesu Christo , luego no tiene llaues para a-
brir y cerrar el cielo mediate los merecí mié
tos y potestad de Iessu Christo: Christo es
D E L A RT E. '58
Dios luego no puede resufcitar los muer
tos . laqual es manisiesta falsedad.
El septimo lugar es delinconuiníente , q
esvna obscura conscquencia contraria ala
rectitud y orden , como íí no ay resurreció
vniuersal, nunca abra premio ni pena pa
rt el hombre que con sus obras lo merecio :
pues la alm asola no es hombre , ni el cuer
po que ya se acabo y perecio.
El octauo lugares del absurdo, q esvna
contradicion sea y abominable , como si
noay paga para los buenos, ni pena para
los malos : seguyr se ya que Dios suera in
justo.
Y por este lugar se arguye c5trariado en
tre las criaturas intelectuales e intelectua
les: intelectuales y sensuales : y sensuales y
sensuales .
Y puede se enesta clase poner tábien por
nono lugar el de los incompatibles , el qual
situe para medios jocosos , como tan possi
ble es traer vn cribo de agua, como vn ger
gon de azeyte.
A los quales lugares deste triágulo verde
de differencia, concordancia, y cótrariedad,
se puede añidir otros muchos lugares por la
combinatoria de todos los demas princi
pios, pofttiuos > y priuatiuos , mas estos
veyn
DEC LAR AC1UN
Veynte y sute bastaran por exemplo . Y
cite triangulo es proprio de la accion.

ESte lugar es vtilifsimo, y signisica la


prioridad, o anteeendencia , o princi-*
.pnlídad, quevna cosa tiene a otra : y
fu maxima es , que puesto el principio , se
pone el medio, y sin : y puesta lá causa,se
pone el eftecto medio,y el sinal:y procede-
se desde la asirmacio delprincipio necessa-
rio,aladel medio, y sin necesíanamente:
como ,si el Sol ha salido en los Antypodas
yaesaüadedia. «i
El primer lugar particular, se llama de
la causa essiciéte actuabeomosó los agites,
y coadjutores,yconsejeros,y instrumentos,
yauthores, y sundadores : como el pecado
es maleuporque su author es el demonio.
El segundo lugar,se llam a de la causa ef
siciente potencial:enla quai se procede po-
tencialmente : como el Capitan es animo-
so:luego podra acometer: es labrador: lue-
fo podra dar su voto en materias de la'
ranea. , . . ; ' ,•» Ü-ó.». ' ¡
El tercero luga^se llam a delácaussaide-
•• ; ' ' alaí
D E L A R T E. ì9
al al effecto ideado.Y precedese de la bon
dad del original a la del trasumpto: y de la
maldad del origínal a la del trasumpto:
pero no al reues,como la idea de toda cria.-
tura en Dios es buena : luego todo lo que
crio Dios es bueno:pero no sc sigue la cria-
tura que peca es mala por el pecado:luego
su idea es mala en Dios : porque no ay en,
Dios idea delpecado, ni de la criatura en
quanto mala.
El quarto lugar, se llama de la causa ma
terial permanente : y su maxima es , que
quitada esta causa material se quita su effe-
cto : como no ay piedras , ni madera,ni ta
pias ,* ni los demas materiales : luego no ay
casa. t
El quinto lugar, se llama de la causa ma
terial transeunte, o mouediza:cuya maxi
ma es, que se proceda con nota de posibili
dad assirmatiua , desde esta causa a su effe-
cto : como ay agua y harina : luego podra
hazerse pan : mas negatiuamente precede
muy bien al argumento desde esta causa al
eftecto : como no ay hierro: luego no aura
armasmpay haria: luego no aura pan ( con
nota de tiempo suturo) Y por razon de la
materia sedizen muchas cossas buenas , o
malas, o corruptibles , y fragiles , o rezias,
f vtiles,
Vtiles , y inutiles.
El sexto lugar, se llama de la causa
fermal , cen que medimos la virtud de
cada cossa: y su maxima es puesta ,1a cau
sa sormal íe pone su effecto, y quitada, se
quita : como blancura ay : luego ay cosas
blancas.
El septimo lugar , se llama de la cause
natural, o propriedad, o serma a su effecto:
y fu maxima es , que tanto vale , y haze
cada cossa, quantole concede susorma na
tural : y tanto dexa de ser y obrar, quanto
le niega : como la agua no puede por si na
turalmente callentar, sino mediante el ca
lor: porque no tiene naturalmente sorma
en si para produzir este effecto. Ynegatiua-
mente tambien :como, no eres sacerdote;
luego no puedes sacrisicar. Yasirmatiua-
mente: como, eres fray le : atiende pues
a tu choro, recogimiento, obediencia, y
castidad,y pobrcça,ydexa los cuydados del
syglo.Y desta classe son tocios Jos argumen
tos de las formas políticas, y ceremonias,y
triumphos,y sunerales. ,•.•
El octano lugar,se llama de lacausa con-,
nexiua : desde la qual se arguye a la pleni-.
tud asirmatiuamente, ya la vacuidad ne-
gatiuamente: como , ay acto vnitiuo de la
gente
DEL ARTE. 40
gente y agible: luego agente y paciente;
ayraturai vnion : iuego ay disposicion , y
proporcion natural.
El nono lugar, se Ha ma de la causa sinal:
la qual es la primera en intencion : y la vl-
tima en execucion . En las cossas morales,
le llama meritoria : y assi la causa efsiciente
y las demas,son efsectos respecto desfa: co
mo la conseruacion legitima es buena.Con
todo estb , porque esta intencion, o es pri
mera , o segunda : y la primera es la prin
cipal: y la segunda, la menos principal;
dezimos por la yna , que son algunas co
fas mejores que otras: como, las virtudes
son mejores que las seiencias , porque estas
ordenan el desconcierto del entendimien
to: mas aquellas el dela voluntad. Y de
las virtudes son mejo:es las theologales,
1 que las cardinales: porque estas nos orde
nan con nuestros proximos : mas aquellas
nos encaminan para Dios . Y el modo de
argumentar con esta causa es , procedien
do desde la causa sinal , al essectoto por me
jor dezir desde la primera intencion a la se-
güda:como desteas ser beato, huyepues los
alagos dela carne,y engaños del mudo:y re
siste alastétacionesdeldemonio . Por esta
eausa dezimos, q la bodad no puede hazer
fx mal
DECL ARA CI ON
mal porquc su sin es hazerbien.
E| decimo lugar , se llama de la genera-
cion,oadquisicion,o instruciomy su maxi
ma es aquello es bueno , cuya generacion,
o adquisicicn,oinstrucicn es buena:y ma-
lo es aquello, cuya generacion , o adquiíw
cion , o instrucion es mala : como mejor es
la grangeria de la sabiduria , que la de oro,
ni plata : luego mejor es la sabiduria , que
eloroyplata. Losidolos, y estatuas de los
detnonios son malas:luego edifìcarles tem
plos es malo: todoel mundosehuelgacon
el n asci miélo de sant Iuan : luego Sant Iuan
es bueno.
El vndecimo lugar, se llama de primero
a postrero,de antecedentes a consiguiente ,
y deadjuntos antecedentes a adjuntoscon
íîguientes: como es hi jo!luego heredero . y
su maxima es, procedase desdeel antece
dente al consiguiente asirmatiuamente: co
moay suegoduegoay calor. .
El:dnodecimo lugar, se llama deautho--
ridad:por el qual se bade dar credito acada
artisice en su arte:y procedeseen el asirma-
tiuamente : como los doclos dizen que ay
cielo Empyreo : luego aísi es . Y nágatiua-
mente novale: porqueno se sigue. Aristo-
teles.ni Platon no hallaron esta mancra de
Filosofar:
D EL ARTE. 41
-Filosofar : luego no es buena : porque no
agoraron ellos elpoço deDemocrito:y este
lugar no es neceflario en quanto ala autho:
ridnd humana , sino solo prouable, y inar-
tisicial.
El decimotercio lugar, se llama de la au-
thoridad diuinajel qual es neceflario:como
fon todas las determinaciones de lasagra.-
da esseriptura , y de la san ¿"ta madre Iglesia:
como la sancta madre Iglesia enseña , que
ay siete Sacramentos , y que se deben los
diezmos y primicias:y que se debe ayunar
necestariamente la quaresma y vigilias : y
que se ha de conseffar y comulgar., alome
nos vna vez en la quaresma : y otros mu
chos articulos: luego rieceílariamente obli
gan todos estos preceptos.
Finalmente este lugar del principio sir-
ue para discurrir con el en razon de prio
ridad por todos los principios substancia-
]es,y accidentales,
*' ' ' '. ' ;- ' '. - ':..;.•.»
§.xviij. Del lugar del medio-

LOi medios se regulan, segun la diuer-


sidad de los sines : y segun la diuersi-
dad de los extremos : porque quanto
f3 sueren
DECLARACION
fueren los sines mayores seran los me
dios mayores : porque se han de propor
cionar los medios con los sines . Y alsi,
porque Dios es objeto sobrenatural , no
le puede aleanzar , sino por medios sobre
natural es:porque el medio inhabil impide
la vnion de los extremos: y esto en quanto
•al medio de ajuntamiento : elqualha de
tener natural proporcion y disposicion con
las cofas que íe han de vñir.
El segundo lugar del medio , se llama
de extremidades : el qual se funda en el
lugar de la plenitud y persectió : y esvn
Termino, que participa con igualdad, sin
exceflb,ni dessecto de la templança de dos:
el vno mayor , y el otro menor, o en quan-
tidad , o en qualidad, o en toderen quanti-
dad : como la vnidad y pluralidad ; que
íbn tres, respecto de la Vnidad , que es vno,
y dela pluralidad , que es dos : el qtaal se
llama por otro nombre vnion de ambos,
o tercero resultante . Y afsi dezimos en
razon de la plenitud , que auíendo acci-
piente , y dante , sorçossamente ha de auer
dante puro en si , y recipiente mero en si:
porque sino faltaran estas extremidades,
que abracan la plenitud de quanto tiene
scr,ypoder$yt>brar.
DEL ARTE. 4*
El tercero lugar, se llama del medio de
medida : donde se ponen todaslas reglas
con que se prucuan las proposiciones de to
das las artes y (ciencias : porque son la me
dida del numero , y peso , y virtud deliai:
y como instrumentos con que se regulan.
-Finalmente por este simen de medios to
dos los principios desta arte,porq son gene
raímente aplicables a qualquierfubjeto , y
mediante la coartacion espicisica son apli
cables a cada atributo . Y tambien se pro
cede con el desde les medies a los prin
cipios.

§.xviij.Del lugar del sin.

COn este lugar,se procede desde el sin


a los medios y principio , y desde el
cffèctoalacausa , y desde los consi
guientes a los antecedentes.
El primer lugar, es de los effectos neces-
sarios a las causas neCëssarias : como eldia
va acercandosc:luego el sol es vezino:y pro
cedesse assirmatiua mente : mas desde los
effectos sufficiétes a las causas negatiuame-
te:como no se sigue, Pedro murio:luego
murio aiustaciado.
f 4 El
DECLARA CI ON
El segundo lugar , es desde el effecto a la
efficiente, y precedese modisicatiuamentc,
y con nota del tiempo : como el Coliseo
esta en pieduego huuo quien le fabricaste:
porq no se sigue: luego viue quié le fabrico.
El tercero lugar, dize,q ningun effecto
malo es de Dios , ni algü effecto bueno de-
xa de ser de Dios : ningun sin bueno es de
principio malo,ni algü sin malo es depri»
tipio bueno . Y assise colige muy bien: ay
criatura: luego ay criador: mas con nota de
tiempo vale entre las cossas caducas ; como
ay copia:luego ay,o huuo original. Y deste
lugar es aquel dicho: los buenos principios
y medios no pueden dar mal sin.
El quarto lugar,es del effecto permanen
te a su causa material asirmatiuaméte : co
mo ay armas de azero:luego ay azero.
El quinto Jugar , es del effecto a la causa
material transeunte se procede desde la asir
mació del effecto a la precedécia de la cau-
sa,asirmatiuamente:pero no negatmamen-
te:aunque de la imposibilidad delfìn fe ar-
fuye impoíibilidad de los medios , Tam-
ien el effecto material bueno denota ma
teria buena: y el malo mala,respectodela
materia : y assise dize bueno vn libro que
es de buena letra y papel, aunque sea per-
U Ü L. <V A. i C- 4j
iierso en razon de la doctrina.
El sexto lugar , se llama del effecto a la
. causa sor m al, asi rmatiua méte:com o ay co
fas buenas : luego ay bondad : y negatiua-
mente: como no ay vacio : luego no ay va
cuidad. : r
El septimo lugar , se llama del effectoa
la causa connexiua: como ay amar : luego
ay amable,yamatiuo. t
El ostauo lugar, se llama del efsectoa
la causa sinal : como la virtud es buena:
luego la bienauenturança, que es fusin,es
buena, , , -:i
El nono lugar, se llama de los consi
guientes necesurios : como toda virtud es
loableduegolatemplançaes loable. »
El decimo Jugar , se llama del vso : por
que qual es el vso, tal es la bondad o mali
cia de cada cofa. Y este lugar se llama tam
bien de vtilidad,y prouecho. Y no se ha de
^consundir el vso malo de las cossas buenas,
con el bueno:porq este no es vsojsino abu
so y salacia, sise procede en el abuso asir-
jnatiuamente. Yassi deste abusose coligir-a
la malicia de los que mal vsan del bien:
tomo muchos sacerdotes vsan mal de su
ossicioUuego ay muchos sacerdotes malos.
Pero no se seguira lue¿o: el sacerdocio es
f j malo
malo:porque desde el vso malo no se ha de
inserir malicia de las cossas , sino de los que
mal vsan delias . Pero del buen vso delias
bien se insiere la bondad delias, quando no
son malas : mas del buen vso de las cosas
malas,se colige mas la bodad del q vsa para
bien delias, que nola bondad delias.
El vndecimo lugar, se llama deso que
communmente acaece: como es cossa ordi
naria hazer gran calor en el estio : luego
no saltara calor en Agosto.
El duodecimo lugar , se llama de lo pos
trero neceflario a lo primero asirmatiua-
-mente: como este arbol tiene fructo: luego
tuuo flores:y negâtiu amente:como no ha
bla de tierra el que no es de la tierra. •
El decimotercio lugar , se llama del sin
de priuacion,o:córrupció,a la persectió ne-
gatiuamente : y a la impersection asirma-
tiuamente. wa-::;,:-;';»:.:!! . -.• .•:
El deci moquarto lugar , se llama del sin
de persection,» los medios. ,
- El decimoquinto lugar, se llama del sin
del termino,a sos principios y medios.
Y sinalmente, con este triangulo colo
rado del principio, medio,y sin,ie procede
. en las cosas successiuas y q consta de moui-
irucmxvorasea espirituado corporal,ombc
to.Y se procede tâbien de vn eíFecto a otro.
, $.xx.Dellugar de la mayoridad ''
ËL Primer lugar de la mayoridad, nò
procede asirmatiuaméte desde lo ma
yor a lo menor: mas negatiuaméte si;
porque si lo q tiene mas aparécia de verdad
no es verdadero, mucho menos lo sera lo q
tiene menos : como si vn moço robusto no
basta leuantar Ocno árrouas, m crios bastara
vn niño delicado : porque lo q no puede el
mayor menos lo podra el menoiv : J '
El tercero lugar : se llama desde elcopa-
ratiuo al possitiuo(q llama los logicos ama
gis ad simpliciter) como el Sol es mejor,
el suego:luego el Sol es bueno. . ; ; r •: ., .
Eltercero lu0ar,se llama de vn campara
tiuo a otro:como lo justicia es mas amable
que las riquezas:luego es mejor. -• V j't
El quarto lugar, se llama de vn superlatí
«o a otro: como la sabiduria es muy ama
ble: luego es muy buena. ...'.'»
El quinto lugar,se llama desde elsiipcrla
tiuo a vn positiuo ; como la sabiduria e$
muy amabIe:luego es buena.
El.¿.lugar,se llama de mas a menos enel ql
íe procede asirmatiuaméte: como aquiéle
«es licito lo mas, tâbien le es licito lo menos.
" ' El
ARA CI ON
Elseptimo lugar se llama de antonoma
sia, o mas samosa signisicacion .
El octauo lugar se llama de superior a
inserior, y esta majoridad o es entre substi
cias y substancias , o entre substancias y ac
cidentes, o entre accidentes y accidétes espi
rituales,o corporales, o mixtas. ;

§.xxj. Del lugar de la igualdad.

EL primero lugar se llama de ra pro


porcion , de quien es sundamento el
de la scmejança (de que se trato en el
lugar de la concordancia ) la qual se presu
pone a la proporcion , y precedese compa
rando lo mas conocido de vnacossa, alome-
nos conocido de otra con quié en razon de
scmejança tiene proporcion : como del mo
do que se ha la luz del sol en el mundo sensi
ble, se hala luz sobrenatural de la gracia en
«1 mundo inteligible.
El segundo lugar sellama de estimacion,
ycorrespondencia o proporcion de paga a
la deuda: y su maxima es,que qual suere la
paga simple- del trauajo simple , tal sera la
paga doblada del doblado en razon de ju
sticia: y es esta regla muy importante para
»* ' la
D E L ART E. 4f
la determinacio de las penas, y para laspa
¿as de lo que ay cócertado.En los premios
que exceden la deuda y depéden de mera
liberalidad y donacion, no ha lugar este ac
gumento.i'; . ' '
El tercero lugar sellamadeajustacion,
en que da sant Pablo por regla ad Rom. 13.
Que l^gun la proporcion del merecimien-
* to,o demerito, se han de repartir los pre
mios , o dar los castigos.
El quarto lugar se llama de equiparan-
cia,con que fe busca, que no contrauengala;
determinacion, o difsinicion,o diuisionaat
gun principio de la arte en que se hazr,y
fundase en aquel dicho de Santiago,Quiirt
vno peccat sactus est omnium reus. leste
lugares el q da methodo a esta arte natural.
El quinto lugar sè llama de templanza" ,
con el qual se busca la equidad entre el ri
gor excesiuo,y laremiílafloxedad.
El sexto lugar se llama de equipolencia,"
con el qual,por la igualdad de razonase in
siere vna misma disposicion. --». '.. '•' ••
Y sinalmente con este lugar generalJè
buscala igualdad de vna s substáñciás con
otras, y de las substancias con los acddétrt,
y devnos accidentes con otros,corpora!es,
o espirituales, o mixtes. . i *
. $. xxff.
D ECLAR ACION
' i
§. xxij. Del lugar de la minoridad.
ESTE Lugar procede desde lo me-'
ñor alo mayor afsirmatiuamentejCo-
raovn muchacho tan pequeñosue ba
stante para amedrentar a Cesar,luego mu
cho mejor lo fuera vn moço robusto. i
El segundo lugar: procede desde la nega
tiua del menor ala del mayor,como este va
sillo no es capaz para vn quartillo de agua,
luego menos lo sera para vna azübre, y co
mo sino venco al q te vence a tumucho me
nos tevencere a ti:si lo q es menos verisímil
tiene mas valor q crasp, quato mas valor té
dra quien es mas verisimil que le tenga.
Y sinalmente con este lugar se busca la
minoridad entre vnas substancias y otras , y
las substancias y los accidentes , y vnos acci
denies y otros, corporales, o espirituales, o
> xnixtcs:y se cierra có este angulo, el vltimo
triangulo que es amarillo, que siruc de las
proporciones y moderaciones entre los ex
cesos y dessectos.
§.xxiij. Del lugar de la cSbinatoria.
E S T E Lugar se cópone de la mezcla
de los lugares arriba puestos entresi,
porque del ajuncar los vnos cen los
" " ;. ' otros
DELARTE. 46
otros resultan otros muchos , q podriamos"
Uamar cópuestos, y a ellos simples, de que
estan llenos acada paflb los authores, aunq
no ayan aduertido esta theorica mas de Pc
rionicy Raymundo,y los que lo siguien.

§' xxiiij. De las salarias.

D El no saber vsar bié de los dichos lu


gares:y del errar en el modo de Phi
lososar,disiniendo,diuidiendo y ar-
gumentando con salsos modos : Resultan
las salarias, q son vnos engaíïos q nacé dela
ignorácia,o maliciaXos q nacen dela ignor
rancia,oproceden de trastrocar el modo de
ícr,o el modo de entéder teniédo lo aparéte
por existéte:y por verdadero , segû la supe-
rior,lo q estal, segun la inserior potencia al
parecenmas segû la superior no:porq sobre
puja el modo de la superior al modo de co-
nocer de la inferior potéciaXos enganos q
nacé delamalicia,oproçedé detomarvnas
cosas por otras, o vnos conceptos por otros,
o vnas voces por otras * Estos se lìaman se
gun el modo de entender:y âquellos segun
el modo de ser . Y alsisellaman vnasfala-
cias reales,y otras norainales,o nocionales..
Las
>» DECLARACION
LasNominales,son siete: la primera se lla
ma de equiuocacion: y la.i.de ansibologia:,
y la.3.cíecóposici5:y la. 4. de diuisió: y la.j.
de accento:y la.6.de sigura de la diction : y
la.7.de la gerigóça o cifra vedada. Las rea
les son diezma primera se llama» del accidé-
de:la.t.del dicno simple al respectíuo: la. 3.
de la ignoracia del elécho:la.4.de la petició
delprincipio:la.j.del cosiguiente:la.6.se lia
ma la no causador causa: la. 7-se llama vna
pregunta sola de muchas cossas contrarias:
la.8.fc llama de contradicion: la.9.se llama"
peruersosentÍdo:y la.io.se llama del abussor
por manera . q ay diez y siete falacias que
se causan del trastfocaf maliciosamete vnas
palabras en otras,o vnas dictiones en otras,
o vnas sylabas en otras , o vnas letras en o-
tfas, o vnas oraciones en otras , o vnas cossas
en otras:y dos falacias q se causan de la igno
rancia que hazc.19.de las quales las seys pri
meras alio Aristoteles,y la septima otro es
tudioso: y las siete primeras reales alio ta m
bien Aristoteles, y la octauaRaymundo, y
las dos de la ignoracia enlos puntos(q el Ha
ma)transcendientes:mas las dos vltimas de
lasfalacias reales aílo tabien el mismo estu
dioso. Y no solo estas mas en algunas de las
demas qallo Aristoteles añidio algunas ef-
• —' . . pecics
DELA R T E. 47
pecíes el mismo estudioso , que hizo la re-
ducion de los Topicos a los nueue princi
pios relatos de la arce general : de todo lo
qual saldra algun dia copiosa declaracion:
y assi bastara poner aqui vn exemplo en
cada vna de las diez y nueue salacias entre
tanto que sale a luz el tratado entero de la
Filosofìa defleada.
Laprimera salacia, se llama deignoran
cia de parte de la potencia superior , por
causa de la inserior : como el sentido de
la vista conoce en muchos elementados la
quadrangularidad.por quien son largos, y
anchos:y la triangularidad , por quien son
largos,anchos,y prossundes : mas el enten
dimiento atado al sentido de la vista reco
nociendo solo lo que la vista le da conside
ra aquella sigura exterior no proceder de
interior situacion cubica, ni de la persecta,
y caracteriRica penetracion intrinseca : lo
qual es salso , y engaño en que haze caer al
entendimiento el sentido dela vista: mas
sobrepujando , y leuantandosse el entendi
miento sobre el sentido, halla que esta si
gura exterior nace de la interior, y se fun
da en la interior mixtion circular, triangu
lar^ quadrangular,delos elementos en los
elementados. T _
T DECLARACION
La segundasalaci.T.sellamade ignoran-
cía de la realidad del subjeto : por causa del
excelle que tiene el raedo de íer , al modo
de entendenla tjual ignorancia se ha de ven
cer per las condiciones, o persecticnes que
en cada subjeto dela arre pone Raymundo:
¡mas esta salacia escomo el entendimiento
en virtud de su modo de entender no pue
de aleançar,como vnasola cossa es muchas,
y muchas vna: atento que el no conoce al
vno,sino como vno:y a los muchos , como
muchos: de donde le nace , que niega vno
ser muchos, y muchos ser vno : lo qual es
falso en razon del modo de ser, segun el
qual.vno se consideraronlo muchos:y mu
chos como vno.
La ter-era salacia se llama de equiuoca-
cion : como el que se leuanto esta en pie: el
que esta sentadoXe leuatoduego el que esta
sentado esta en pie:lo qual es falso, porque
»se consunden , y equiuocan dos actos en
vno. '
La quarta falacia , se llama de anflbolo-
gia:como, loque vee Antonio vee: veela
pared: luego la pared vee: lo qual es falso,
porque la pared no tiene potencia para
ver.
g • La quinta falacia , se llama de compoíi
cion,
DEL ART E. 48
cíon,que procede desde el sentido diuidido
rerdadero,al sentido compuesto falso : co
mo, posible es que el sentado este en pie:
luego estando sentado , posible es que este
en pie:io qual es salso en sentido compues-
to:porque no puede alguno estando senta»
do estar en pie : mas en sentido diuidido es
Verdadero: porque el que agora esta sentar
do bien podra estar despues en pie. ;
La sexta salacia, se llama de diuision,
que procede desde el sentido compuesto
Verdaderos sentido diuididosalso : como
el que esta enpíe,imposible es que este sen-
tadoduego imposible es que el sentado este
en pie:lo qual es salso en sentido diuidido,
y en compuesto es verdadero.
La septima salariale llama de acento, o
prolaciomcomo el cerro aspero, y desabri
do : luego es cerro aspero, y desabrido:lo
qual es falso, porque en la antecedente qs
lavltima breue,de la voz, cerro:y enlacen'
clusion es larga. •» '
La octaua, se llama de la sigura de la à\-
cion,que es vna salacia que procede de con
fundir, y trocar la signincacion por la seme
jança de la terminacion:como este nombre
hembra es seminino : porque se acaba en.
A: luego poeta es semenino , porque íe
DECLARACION
acaba en. A : lo qual es salso , porque se co
lige la signisicacion dela terminacion sal
samente: porque no se ha de colegir lo mas
principal de lo menos principal.
La nona se llama gerigonça, o trastroca
miento de letras,o vozes,opalabras.
La decima,se llama de accidente : como
el hombre es animal, el animal es neutro:
luego el hombre es neutro.
La vndecima , se llama del dicho limpie
alrespectiuo: como este es hombre muer-
to:luego es hombre.
La duodecima , fcllama de ignorancia
del elencho: como esta mesa es doblado
mayor en ancho , que aquella , y no es do
blado mayorenlargo,queella:luegoes , y
no es doblado mayor q aquella: lo qual es .
falso , porque eshazersalra al elencho , o
contradicion,porque no es según lo mismo
la conclusion que sus premistas.
La decimarercia falacia, se llama de pe
ticion del principio, que es quando se pone
en la conclusion el medio con que se p rue-
ua : como en este fylogifmo : Antonio
es padre de Augustin, y Antonio engendro
a Augustin : luego Augustin es hijo de
Antonio. ' ' ; ' o. . .i ..
La decimaquarta-salacia , se llama de
con-
DEL ARTE. 4?
consiguiéte: como todo hombre es animal,
luego todo animal es hombre : loqual es
falío,porque donde no puede auer ccnuer-
sion es engaño el ponella.
La decimaquinta falacia, se llama de no
causa por causa:como todo cuerpo es natu
ral, todo lo blanco es natural : luego todo
cuerpo es blanco.
La decimasexta falacia,se llama vna pre
gunta de muchas cossas contrarias : como
por ventura la justicia y injusticia son bue
nas: porque sise responde sin distinction,
que ssconcluyra el aduersario,que algú vi
cio es bueno- y si se responde que no , con-
cluyra el aduersarip : luego alguna virtud
no es buena.
La decimafcptima salacia, se llama de
contradicion, que parece que concluye con
tradicion no la concluyendo: como todo
leon es quartanario,cierto leon no es quar-
tanario : luego cierto leon es, y no es quar-
tanario : lo qual es salso , porque se han de
distinguirlos respectos diuersos , para que
cesse esta contradicion.
La decimaoctaua salacia , se llama de
peruerfa interpretacion, o trastrocamiento
del verdadero sentido.
La dacimanona, y vltimasalacia,se lla-
g 3 tnadel
DECLARACION
»adclmalvfo,O abufo traíhocado: como
ay muchos malos juezes,y facerdotes, que
vían mal de fu authoridad : luego malo es
ferjuez, o facerdote : lo qual es falfo , por
que del abufo , mas fe ha de conduyr la
malicia de los que vfan mal de las cofas,
que no malicia en ellas mifmas.
Yfinalmente, de la combinatoria, y
mezcla deftas falacias'entre fi fe defcubri-
ran otras innumerables deque vfan los fal
ios fofiftas para efcurecer la verdad,
que es la que fe ha de amar fobre
todo^porque fola libra,yfola
fana,yfolalaua.

F I N.
En Madrid.

cafa de Pedro (¿Madrigal:

M. D. lxxxvi:
.

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