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'Г' Г> ГЛГ-íS vï^C"^ ".Т .'"
G,E N Е RAL
bfcias;èn dwinftru-
.r;ь - íiientos .
. CON PRIVILEGIO.
En Madrid , <Por 'Pedro Madrigal.
- M.D.LXXXVI, l:
VIsto yexaminado estelibro íst-
titulado,Declaracionde.dosÌR-?
strumentosvniuersales para todaslas"
sciencias,por oráfn de los senores dcl
Consejo Real deTu Magestád", com-
puesto por el Licenciado: Pedro de
Gueuara, capellan de contaduria ma-
yor de su Magestâd , hallo ser vn libro
muy curioso y proueclïoso,y que trata ^
deeosas muy dignas desersabidas, y
pornueuoestilo: y notiene ninguna
cofa que contradiga a nuestra santa Fè
Catholica. Y en fè desto,di efta íìrmav^*
dademinombre,en 29. de Deziem-
bre, Anode 1 ?8j. „;
F.Bartholomc
deHinojosa.
TASSA.
»Л£ГЯ
О M IG V E t
, de Ondarça çaualai,
У fecrefагю del cofcjo
I de fti Mageftad, do/
fc,cj los feñores del dicho confefo;
de pedímiento y fuplicacion del
JLicenciadoPcdrode Gueuar3,taf-
faron vn libro intitulado Declara
ción de dos iníhumentos vniuer-
falcs para todas las fciencias, que
con licencia de fu Mageíhd imprt
rnio,aquatromaraucdis cada plic
go en papel. Y a cfte precio, y no.
mas, mandaron quefe vendary q
primeroq fe venda ningún libro
feimprimaefh taifa en la primera
hofa decada volumen, Yparaque
Jlo confie de pedimiento deí
dicho
dicho Pedro de Gueuara, y man
damiento delos dichosTenores di
la prefente firmada de mi nóbre¿
en la villa de Madrid, a doze dias
del mes de Abril,de milyquinie-
fos y ochenta y quatro años, r. . .*
Miguel de Ondarça
J : * • caualct.;. : :. T
* , . . . i-, ' . • • ' *• ' 'i
li';ff.i!'! :.•
SVM A DE LOS
Priuilegios.
L A MagestadRealdelReyDonPhe-
lipenuestrosenorj, concedio priuíle-
giopordiezanos, alLicenciado Pe
dro de Gueuara , para poder imprimir el li-
bro intitulado: Arte genenal para rodas las
íciencias , en dos instrumentes recopilada.
-JFecho en Vaciamadrid a 9 . dias del mes
deHenero, de 15-84. aííos . Ante Antonio
de Eraííb Secretario.
О N Phelipc por la
gracia de Dios,Rey de
Cartilla, de Leon , de
Argon.de las dos Seci-
lias de Ierufalc-, dePor
tugal , de Nauarra , de
Granada , de Toledo,
de Valencia, deGali-
cia,de Mallorcas , de Seuilla , de Cerdeña,
de Cordoua , de Corcega , de Murcia, de
Iaen, de los Algarues , de Algecira , de Gi
braltar^ las Iftas de Canaria, de las Indias
Orientales,y Occidentales,Iflas,e tierra fir
me del mar Oceano , Archiduque de Auf-
tria. Duque de Borgoña, de Brauante, de
Milan Conde de Afpurg, deFlandesy de
Tirol , ¿kc. Por quanto por parte de vos el
Licenciado Pedro de Gucuara , nos ha fido
fecha relacion, diziendo, que vos auiades
compuefto vnlibro,m titulado, Arte gene
ral , y breue para todas las feiencias , y por
los del nueftro Confejo , fe os auia dado li
cencia para lo poder imprimir:y agora para
mayor declaració.leauiades añadido ciertos
efcolios.fuplicandonos,hos dieíTemos licen
cia, y facultad para lo poder imprimir, o
que fobre ello proueyeíTemos , como la
nue
«cencía:
nuestra mereedfueíle . Lo qual visto por
losdel nuestrOìComejo v por quanto en el
dicho libro- se hizoladiligencia,que la prag
marica por nosincjcha dispone, sue acordan
do, que deuiamos mandar dareftanuestra
carta para vos en ladacha razomyjios toui-
moflo por bien s y por la presentemos da-
moslieenciayXacultad, para que-por esta
Vez podaysiiazerímprimir el dicho libro,
que de sufó fè'hazeTnincion en estos nues
tros Reynoáj AniporxlLo caer , . ni incurrir
en pena alguna, por el original que en el
nuestro Consejo se vio, que van rubricadas
las planas , y . sirmadaïal sin del de Miguel
de.Qndarça-Cauaia. nuestro escriuarto de
Camara, de los que en el nuestro Gonstio
residen . Conque antes que se venda , lo
traygays ante los del nuestro Consejo, jun
tamente con el original , para que se vea,
si la dicha impression esta consorme a el:
y traygays seeen publica fcrma,en como
porcorretor nombrado pcr nuestro man
dado, se vio, e corrigio la dicha impression
por el dicho original, y se imprimio con
forme a el , y que quedan anst mismo im-
preslas las erratas por el apuntadas para ca
da vn libro de losqueansi sueren impres-
j|%scos taffc el precio per que ouieredes
de fie , sueron mai de tres.mil íibroipttrd
todas las .fciencias . Hajoymtftfea»ie.ndo
V. M, en fus felicijiimçs dias hecho ")/ntt
merced un fenalada. en ejlablecer en ejla
Cortey "\nn ^ícademid doniefeíeatodàstis
Mathematicas y Philófophia , poniedo para
cllo maejíros tan eminentes: ,j de teinta, eruì-
dicion y experiencia. Pttselo en nuejìra lek
gua Cafiellana por fer la "Voluntad de V.
que enl/uejlra ^icademta se lean todas las
fciencias enejìra lengua , para que tanto
bien feade todos mas facilmente apren~
• - . dido con el fauor de Dios y
*•';/,' ' .. dcVïM.' . • . i"-
v. ..o •. A t'iivr . ¡y
'. toliKV •V.KOOfcfV • "i '- ♦,."jì.
"M tx. \sr¡ ' .v,«U.ïKo\v.-vr:.t:-.." ." Vt
'».».•.. •-'.».;: :. • ... .:r.t- kua fit - r t:
íэ!
Я
GENERAL PARA
todas las fcicncias.
Proemio.
A%^A Queconmasfacíli
j dadfe tenga en la memoria
efia arte -, diuido efie ItbrQ
en feys tratados. t .
Enel Фг'тего fe-declaran Us nue-
lie letras della por тем Capítulos.
Folio, i.
EnelSegudofe declaran enpartU
calarlas nueue reglasjFol. 19.
i Enel Tercerofepone algunas aduer
tencias para el Jfo deßa arte Fol. 3 r .
EnelQuartofe contienen los quin
"Ze "bfosdeüa. Fol^ y.
EnelQuintofepone !¡>nafumaria de
linea"
limación dehsdie^y-feys arbores
âgl4fiber. Fot.64. . ,f
Enet Sextofe pone algunos exem
ples para mas claridad dkl^fo.forpg.
Finalmentefe añade enefiafegtida
imprefsion Ъпа fumaria declaracion
defia arte diuidida en nueue capitu-
losyaue efla alfin defia artery çomîçi
ça. Folio, i.
TRATADO PRÎ
mero de la declaración de las
' nueue letras generales.
B
A. B. signisica la Bondad, Diffe
rencia, y Si es? Dios, Iusticia, y
Auaricia.
' La Bondad es,por cuya causa el B
bueno obra bien,y todas las cossas , que tie
nen ser,son buenas.Y assi bueno es tener bó
dad: y malo no la tener . Esta bo.ndad es
criada, o increada: essenciaLo accidental:na
rural, moral, o artisicial. A esta bondad se
le opone la malicia : y por tanto bueno es
ser:y malo no ser. La bondad moral fe cau
sa de muchos actos, que proceden de la vo-
lútad:por ser consormes a la razon re£ta:co
mose dira adelante en el nono subiectode
lainstrumentalidad. Yaquelobiecto tie
ne su ser de la bondad natural (de donde se
regula) aquien se le opone el mal. Y esta
bondad es vn abstracto y vn principio gene
ARTE
ral, que esta en todo lo que se entiende ín-
ftrinsica y sormalmente:/ assi es primitiva',
verdadera, yneceffaria: con la qual todas
las cossas son verdaderamente buenas, y sin.,
ella todas son malas. Su concreto es lo bue
no y a ella rebocamos lo que es honesto,per
teneciente,decente,licito,acomodado,hon-
rado, acceptable, saludable,adornado, san-
ctoconueniente, agradablcbenemerito,pu
ro, digno,justo,debido,comodo,tranquilo,
benigno, Frutisero,y persecto: y sus contra
rios destos: De los qùales se da Regla, que
siempre se concluya afsirmando por la ma
yoridad del sin dela persection : y con los
contrarios negando por la minoridad del
sindepriuacion. Exemplo de lo primero,
todo lo persecto es mejor y mas noble que
lo impersecto: todo sin de persection es me
jer, y mas noble que lo que le ordena para
el sin:porq lopersecto dize mas de entidad,
que lo impersecto : y el sin y bueno se con-
uicrten: la causa es: porque el sin es por si,y
lo que se ordena es para el sin. Porque nin
guna cossa ordenada es mejer , q aquellopa
ra que se ordena. Y por esta Regla se suelta
insinitas dudas, como si Dios es mas noble,
y mas persecto que las criaturas ? Respon
dese, que si: cojuoparesce por la maxima
«- - dicha:
GENERAL. ì
dicha: porque todo lo que es buenopor si y
por su naturaleza es mejor y rnas noble que
lo que es tal por otro:Dios es assi:luego,&c¿
y lo mesmo se dize del hombre respecto de
las demas criaturas;, del todo y sus partes: y»
estomismo es enlo moral. Como obrar ju
stamente es mas noble que la justicia: y la
causa es: porque el habito es por el acto, y
se hade elegir lo mas consorme ala bondad:
Eueslo bueno se ha de dessear y lo malo se
a de deísechar: y reduzese lo impltcito a lo
esplicito destos principios essencialesjVerda
derosjprimitiuos,y necessarios (por los qua
les principios los de todas las sciécias se pue
de prouar.por ser estos vniuersales y fraseen
dentes.) Reducese pues a esta bôdad (como
dize Lupeto)todaslas obras dejusticia,mise
iicordia,honestidad,los articulos dela se los
precetos dela ley, los sicramé'tosjlos dones
del Spiritu santo,y las bienauéturaças: y tra
tádo vna cossa por la bondad se hallara todo
lo necessario para discurirse en la mezcla de ,
llaco los otros principios,por la cubicacion.
El principio relato desta letra.B. es la dif
serencia, por quien la bondad , grandeza y
las demas colas sons claras y no consusas;
y esta differencia ay entre vn sensual y
otro: como entre las cossas elementadas
? J ; A i vege-
' A R T E
Vegetales , sen suales :i magi nales,hum3nalesT
ycelestiales, que scn sensibles . Y entre vn
intelectual y otro: como entre Dios , ange-
lesy las almas,que son intelectuales. Y en
tre íensual, y intelectual: cotno entre cl
cucrpoyel amma. Esta differencia tiene
suscrnatos, oemanationes, que son, alie-
d.ad,discrecion,pluralidad, multiplicaríonj
diuersidad , diuision, desemejança, despro-
porcion, desygualdad , variedad, aparta-
miento, y separacion . De los quales se da
per Regla , que siempre seconcluya afsir-
mandoconlamayoridad delfìn de la per-
secion: y al contrario negando por la mî-
noridad del sin de piiuadon . Porque to<-
da differencia arguye pluralidad, y toda
pluralidad differencia: y níngun índístín-
to arguye pluralidad : pcrque lo que es
indistinto es singular y absoluto y vno .
Reducense a esta differencia todos los nom
bres proprios ,spbrenombre, titulos , pro-
nombres, primkiuos , deriuatiuos , demo-
stratiuos : y todas las proposition es singu*
lares, è indifsinitas. V se arguye assi. To
da differencia es mejor , mas firme susfîcîé-
te yde mas potencia enla pluralidad,que en
lasingtilaridad: Y toda differencia espeot
y mas ír'agil enla singularidad que enla phi-
- " ralídads
GENERAL. j
ralidad: porque la razon de la differencia
esta en la pluralidad, y no en la singulari
dad. Luego toda distincióobiectiua es ma
yor mejor y mas estable cj lasubiectiua: y la
subiectiua que la generica:y la generica que
la essencial : y la essencial que la numeral:
y la numeral que la real: y la real que la ser
mal: y lasormal que la natural: y la ratural
2ue la de la razon . Y por esta escala de
as nueue dístinúones se saben millones
de riquezas.
La Regla de sta letra. B. es vtrum, o si es ?
Y tiene tres especies Duda, Afsirmacion, y
Negacion. Escogiendo lo que fuere mas
consorme con los diez y ocho principios ab
solutos,y relatos . Demanèra quesivno as-
sirma todos afsirman , y si vno niega todos
negaran ;v Y si consideramos a cada vnojle
no delos demas: porque son transeenden-
tes,en cada vno se encierran los demas. Co
mo si es bueno que aya Dios ? La Bondad
dize que si,y la Grandeza , Duracion , Po
testad , Sabiduria , Voluntad , Virtud^
Verdad , y,Gloria . Y que Dios sea justo,
todos dizen que si: y que sea abariento to
dos dizen que no. Y aunque parezcan al
gunas vezes que contrarian alguno^ no es
afsi: porque si mezclamos los vnos con los
ARTE
'otros, demanera que la conclusion no cótra
diga amistura alguna de la arte, hallaremos
que nos descubren la verdad.
B El subiecto desta letra es Dios nuestro, su
mo bien, todo poderoso, immenso, eterno,
sapientissimo,amorosissimo,vktuosissimo,
de eterna bondad, y gloria.
B La virtud desta letra es la Justicia , con ¿j
se da a cada vno lo que es suyo.
B El vicio desta letra. B. es la Auaricia, q es "* ^
vn habito vicioso con q el auariento habitua
do es cfcaso,y huye de dar a cada vno lo q es
fuyo.Y por ser esta auaricia , Rayz de todos
les males, se ha de huyr della muy de veras.
E.
F. ¡
LA,F.signifìcalaSabíduria,Mecuo,Quí
to es?Imaginatiua,Fee,y Accidia.
La Sabiduriaes aquellapropriedad,
\ por quien el Sabio entiende. En Dios,se lla
masabiduria:y en elAngelinteligencia: y
en el Hombre se llama entendimiento:mas
en todas las demas cosas se dize instincto. Y
es verdadera,primera,y necessaria:y sin ella
ninguna cossa se podria entender: y todo sc-n
riaignorancia . Sus emanaciones son conse
)o, orden ,ley , regla razon , sciencia, arte,indu»
striajprudencia,y conocLmúento. Su etymo.
logia es sabrossa íciencia,o sabida sciencia , o
capacidád dssccrctos. Ds la quai se da por
'* regla.
GENERAL: to
regla , que sicmpre se concluya affirmando
por la mayoridad del sin de lapersecion : y
al contrario negando por la minoridad del
sin de la priuació. Como toda razon es me
jor,mayor, mas durable, y poderosa,que la
estimatiua:y la estimatiua es mas que el sen
tido: y el sentido mas que el instinto. Y la
causa es, porque la estimatiua es para el en.-
tendimiento: el sentido comun para la esti
matiua : y el instinto para el sentido . Y a
esta sabiduria se reduzen todas las cossas ra
cionales , y del entendimiento : con las qua
les se conocen Dios , el Angel, el Hombre ,
el sentido , todas las artes liberales, y me-
chanicas y todos sus obiectos exterioriores ,
è interiores: todas las que dizen doctrina., f
disciplina : y todos los grados de las scien-
cias, como Bachiller, Licenciado , Doctor,
y Maestro.
El principio Relato desta letra , eS el F
Medio , el qual es vn subiecto , pcr
?uien el Fin influye en el Principio , y el
rincipio refluye enel Fin :particip ante de
la naturaleza de ambos . De donde con
sta , que el medio es aquella semejança
de la influencia, y refluencia delos dos e-
stremos , de que se viste, y constituye la
substanciade entrambos.: y dize la vniort
-; B» dej
•ARTE 1
del ¿juntamiento de la sorma y materia: y
es principio distinto de los estremos,de que
es el compuesto . En este medio vniuersal
estan todos los medios particulares. LaEty
Tnologia del medio es en latin ametisdiui-
duum, (que quiere dezir ) apartable de sus
cstremos. Sus emanaciones son, mitad, ca-
mino,paso,mediania, instrumento:y a este
"medio se reducen rodas las cintas;como zo-
na,correa,cenogil: y todos los instrumentos
naturales y artisiciales , como compas , sier
ra, martillo : y las moroles ,'como virtudes,
y vicios,y las artes y todos íos habitos positi
uos,y priuatiuos: y todos los miembros cor
porales,con los quales obramos , como lai
manos,ojos,pies:y todos los actos y opera^
ciones, con los quales hazemos algo : todas
las medidas con que medimos, como linea,
sigura: todos los numeros: y todos.los Sacra
mentos, y obras de Misericordia : todos los
Mandamientos de Dios, y de la sancta ma
dre iglesia. Enoes inconueniente ,quevna
cosa fe aplique en diuersas partes,por diuer-
sos respectos:porque todo lo dicho se aplica
á la bondad, y la bondad a todo lo dicho en
quanto es bueno : y a la grandeza en quáto
es persecto: y al medio , en quanto median
entre elprincipio y el sin. lleducense tam-
Ci E N E l A L. n
tien al medio las prepositiones que dízer*
mouimientoycomo in, per:y los verbos que
señalan mouimiento.medio,otrásito devng
cosa a otra,como vado,pergo,curro: y todaj
lascomposicione's ert qùanto delias se hazc
el todo.Del qual medio se da por regla, que
siempre se concluya-affirmaduamente per
la mayoridad.delíìn de persection: y nega-
tiuamente por elfìndepriuacion y por su
minoridad. Gomo todo medio persecto ar
guye principio persecto,y sin persecto.
. La Regla desta letra es , Quanto? con dos E
especies: quanto continuo? y quanto discre
Eo ? De la Bondad continua es, como , Que
tan grande es su habito bueno en el subiecto
donde esta?y de la discreta,como: Quantos
ion sus corelatiuos esenciales » »
El subiecto desta letra , F. es la Imagina-s F
tiua,que es vna potenciaron la qual se ima
gina todolo imaginable. ...i
La virtud desta letra , F. es la Fee , que es F
yna virtud , en la qual habituado elcreyea
te , cree todo lo que de Dios , y de su sancta
ley le es mandado, por la sancta Iglesia Ro
mana: aunque no lo entienda. .'.~
: El vicio desta letra, F. es, Accidia o Tibie F
0» de see , coala qual el tibio haze todas las
«osas delseruiciodeDios con grá floxedad
a rte;
ypcreza. El quai vicio es vna lima forda,c|
roe la conciencia humana, halla ponerla cu
los abifmos infernales.
'Cap. щ.Щ*ЬпаЖу4<£
% /ту* Significaciones , Етапасмь* иЛ
-r ;•.-. nesyyvfrgumentos.
S EGVN^Q XR al
tado de las Reglas porfi. ,
Orq las reglas son los modos de
aplicar íos atributos a los sujetos^
resta tratar delias muy de propoíî
co:las quales dara grádissïma luz
alas cosas q setratar?,y escriuieré(como fe
Vera en su declaracio) Y son las q se siguéjSì
es?Que es?De q es?de quiées?porq es?pârá
q es?c[ tá grade es?Ç>ue tantos son? Qual es)
âdóde? Qùando'eri que modo'y con que? y
jpondranse por el orden de las nucue letras.
G ,1
ï
A Regla.C. es de la quídidad^q essub
jeto y íuéte de todas las diffinicionesi
' Tiene quatro cfpeciës. La primerâj
que es la cofa ensi'la segunda , qiie tïene en
frila tercerá,que es en otro?y la quarta, que
tiene en otrO? Como elaentendimiento que
es en si'R.quees lu essehcia aquien propria-
ïnente compete el erïtënder : y a que tiene
en íì'R.que los corelaíiuos cflènciales , que
son intelectiuo, inteligíble-, y ènrënder. Y
en cada vno destos ay quatro conjugádos de
la actió.quèson intelectiùidad.intelectiuo,
intele£tiuamente y entendedor : y quatro
áe la passion,que son inteligîbilidad,inteli*
gïbleientóridído inteligîblementeìyquatro
del acte,qùe son intelecion,entender/entert
diendo intelectualmentë'. Y â que es el en-*
tendtmiento eno.rof R. que eh la bondad
buenoten la gfartdèza grande , y afsi èn to*
dos kjsdemas-principios . Y a que tiene el
cntendimienco-cnotio?R^que ës aquekpoe
cwJJi^ui 3 quicn
GENERA L. ,a>
íjurervla^ndaíl grandeza y Jos äemas.iorl
entendidos. Y.dela manera que diximcs de
ei entendi miento , per efta llegla:a{si dire*
hips deilavdemas cofas, (.a difihnicídn fient
pre es igual a lo que fe diffine y es Vna riiif-
ma cofa con el. Ay dos vic ios en el diffinirí
ó excederJtó Faltar en algo : y conuiertffeel
diffinído ydiffinicion, predicandofe el vno
delotroj oííguiendofedel vnoel otro: y «i
comun ladimnicion quereprefenta el fer,
de cada cofa , o explicando la fubftancia ; ó
los accidentes:y la fubftancial es,opor cau*
fas , o por potencia y afto: o por genertí 3^
djfFercnciaieftatoca al Logico : la por actOj
y potencia al Metaphifico:y la por foriruf
ínateria al Frfiiqci.
..- :.. .". - y:n:• . . .• :i..':)./i:f У..'-'Л
[¿Materialidad, ... . . .• .
Capitulo
": Çaf*ùf^l)eU Regla. Cf. que
:» ~:trœPà de la Qmalidad. ; '
-i.»t ?K'n i • TTrfsr.b.ior! :;I '. ,
i:::T) ¡-!'"sr,!ii'-!, • , j !j.iytr)ínris! ,
-•-r» •! r.>i.,-.i • .' G'/!::f Yì» •/
Capitulo
GENERAL. 27
LAOctauaRegla. I. es Adonde ? y
trata del lugar, que tiene otras quinze
especies, como la p alfada, del tiempo
sacadas delas mismas tres letras. C . D. K.
Por la primera especie de la.C. se duda que
es el entendimiento en su estencia, o scrnat
tural ? que es el hombre en su humanidad,
yen su ser? y el entendimiéto en si mismo?
Por la segunda especie,que son sus partes eit
su todo? como el bonisicatiuo, y el bonisir
cable , y el bonisicar en la bondad . Por la
tercera esspecie,Si el entendimiento esta ert
el alma, o en el hombre? Por la quartaesspe»-
cíe, Sí el entendimiento esta en aquella tár*
tud, en que tiene su habito de ser y enten-
der?y esta en aquel subjeto, en el qual tiene
habito practico de entender? Y por esta re
gla se pregunta , en dóde estan las cosasíCo
rao el humano entendimiento donde esta»
ilesp.que esta en lugar , segun la tercera si*
D 3 gura,
. ' A hi e; о
gura y quarta, у no efta en lugarfegú la pri
rtieray fegundà:por ferente efpiritual , y
fin línea í ni fuperficies : mas por fer cofa
criada efta en el vniuerfcdiffinitiufcmente,
como finito . Pi eguntafe , Que es el lugar?
Refpondefe , que eliugar es vn ente aquien
prepriamente compete el fer lccalmente
en fu tiuó , bile , y are : y que es vn habito
ccllocadó en fu fubjeto , como el càlor en el
fuego, y la accion en el agente. Afsi mifmo
el lugar fe conoce por la primera efpecie
de la.D : porque como el entendimiento es
primitiuo : por no tener cofa de donde de
penda y fe deriue materialmente :.afsi
tambien el lugar es primitiuo en quanto
fes geheràl deli mifmo : elqual noesfenfi-
ble,ni imaginable, fino folo inteligible.Pcr
•loíegündaefpeciedela.D. Su figura es vi*
fiblc.y imagir;abk:mas no fegüla eflencia.
Por la tercera eípecie de la. D, El lugar es
del que lopefiee , como el calor es del que
pollee el calor. Per eftas tr.e&«fpecies fe al-
cança la eíTencia del lug,"r,con lelo el enten
«limiento. Ynotefe, que el lugarpatticu-
.lar y proprio efta fubjetado en el fubjetà
particular: y el lugar vniuerfal en el fubjeto
iiníuerfabque es el chaos : el quai lugar vni-
ucríalcolccd tedas las cofas., quefen color
i» • г cables:
GENERAL. ti
cables : afsi como las cofas calidas fe hazen
tales con el calido vniueríal . YporlaR'è*
. gía de la mpdalidad.podemos ccnocer tam
bien el lugar:pcrque ia parte eíta en.Japavr.
te,como el fuego creel ayre:y laformaenlçi
ftiateria, y todas laspa.es eflan en el todo:?
y como el todo fuera efe li faca fulemejan^
ça, cfigura : afs¿ tambien vn lugar efta en
otro: los lugarèïpaiiicularesenlosviiiuer-*
fales , y la figura del lugar fe parece en еД
que contiene, y lo contenido. Afsi mifmo
el lugar fe conoce per la fegunda Regla de
la.K : porque el lugares inltrumento de la
fubftancia.ccn el qual coloca la parte en la
parte,como el habituado efta en el habito',
y el bueno en la bondad y el grande en lji
grandeza. У la figura: ddfteiníTrumenCo le"
balla conelfentido.yimaginatiuaicomo^n?
(I q coloca la agua en el harina. У declaralo
: jnas eíla Regla por las diffiniciones do. ;ft
.r}. líos principios,yporlascop-diáa- ч
i; -tieft .«te laSidemasi: . : > ;? ;l¡i
t h Rtegla^ . , • •, ,v;-ni.:b\ ti
ARTE !
K
L '', - • • '
ESta Regla se diuide en dos generos. El
primero es , del modo que se ha de te
ner en todas las cossas : y tiene quatro
especies. La primera es , De que manera la
cossa es en si?como el entendimiento de que
manera es en si?la segunda especie , De que
manera el entendimiento es en otro? Resp.
que el entendimiento tiene modo de ser en
la voluntad, y la volundad en el mismo , en
quanto con el y la memoria el anima racio»
nal es constituyda.Por la tercera especie.P.
De que manera el entendimiento esta en
íùSpartes,ysus partas en el ? Resp. que del
modo que el que entiende . y el inteligible,
y enten-
GENERAL." *,
y entender estan en el entendimiento, y el
entendimiento en ellas . Por la quarta es
pecie. P. De que manera el entendimien
to comunica su semejáça suera de si?R. por
el habito {cientisico , entendiendo las cosas
inteligibles, que haze en su proprio inte
ligible. Y como la differencia es causa de
las distinciones , y es modal para distri-
buyr las cossas : afsi la concordancia es mor
dal , para concordar muchas cossas en vno.
La parte esta en laparte, y el todo en sus
partes , como en el dinero , en quien el oro
esta en la plata , conseruando cada vno
íuestencia. Y esta modalidad es general,
y della salen todas las modalidades parti
culares: como el modo de la sigura, que es
semejança del modo de la substancia , y
de la color: y el modo moral, que es scme-
jança del modo natural . Y de la modali
dad se descubre quanto ay por las cfíffi"
• »' naciones de los principios,y por. .
las especies de las de*
mas Reglas.
é)
D j Del
A R T-B- :
k . ..
ET I LO G O. -
fT E E 2^.0
Hjratado 3 de algunas aduer-
tenciaspara el 'ufo de
efla oArte.
QVJRTO TRAtfÀ-
do, de los quinzJe evsós de'" \
,,: .•.JaÀrt^^i;/-'--ï y ;
QVinze vsos tiene ests infini rnfto,^
son. El.udelimplicito, y ex'psicito,
+ El.'i.del <!oncreto,y abítractp. El
j. de la primera sigura. El . 4. de la segunda
sigura.ELi.de la tercera.El.6. dejá quarta fi,
gura.EL7.de laï difíìniciones.Éí.iS,cie las rc
glas.EI.9. de la tablá general. ÉLio.ìde la e-
uacuacion de la.j. sigura. El .û. de Ja mulci*
plicacion de lâ. 4. sigura. El. ii. de la mix
tion de los principîós. El.ij. deTos.ç.subje-
tos.El.14.de Usciênfprmas. Y el.ií,vso de
las questipnes.Losquales.ij. vsos sc irande
daxando pôt otros tantos paragrafòt'. .' ' 4 *
. . ..tARTE .n
$ primero. Dcía aplicación del
- implicìto3y explícito.
T , fi. aplicado se haze al termino explîcl
. I "'• ' to.tomádo los de ía questió, como en
esta: ¡fj ay Dios?el si ay se aplicara a la
.B.donde ay explícitos.*, principios, q son
la l>ondad,y differécia : y Dios se aplicara a
la mifmaletra,comosujeto:y por que Dios
quiere dezir jvna íumma y. eterna bondad»
seie aplicaran la grandeza, ccncordancia,y
<Juracicn,de la. C. D. y porq si ay Dios es
por su insinita grandeza y eternidad : 'sino
ay insinita grandeza y etermdad,Sigucse c|
no ay Dios,X discurriendo por todo lo que
estas tres titiras' signisican , le puede tomar
cada tejrñjíjno pcr si , o niezcladp con los o-
tros : guardando fus condiciones y concçr-
dando l«i con'clusio conellas.ysi en el lugar,
deícubicrtq'rio se hallare lo/que se buíca,
passarernos a,las demas.'setras'.. Y si en vna
letra câyer?.2.terminos como cnesta qstió,
Si es Dios eterno? acudirase a la siguiéte de.
la vltima letra descubierta', q en esta es la
E. que signisica 'la potestad, y cïpríncipìo;
y se concluyra , que si es eterno puede ser
principio de potestad cierna,, tato en fu ser,
,"W» , q " '"como •
tibN'tRAL. 3<f
<omo en sii obrany si puede serlo,çj eterno:
porquccn laeternidad son lo rrïistno elpp-
oer, y el ser: y assi en tcxlo lo eterno proua-
áp la poíVIbilidad esprouadc elscr. V r. ose
se que la regìa de la pokibilic'ad è$ de grau
primer,paf} preuar muchas cosas , de q no
íabciiios las diiiertcias vltimas.Ysi huiiicre,
tr«s terminpstcxpliútos de ditìscrétesletras;
cn la question como si csbien,quc Dios sea
tan infini topor fa grandc>'a , xpnmpci sij
cternidad ? ip.aplicaran.j.dissereiites-letras;
fa. G.por la^raiideza,)' la.B. par la fcodad»
y la.D. por$adurnrion:entas quales.j.letras
j)osoloscíií«scfnrapqr ellos , mas por los
'demas terminos, apìicando todas las clas
ses a la question propuesta : ycamo sç
dio excrnplo en laclaíle. b.c.d. se podra dar
de todas las demas:cpmc siDios es raas aílo
pc* su entéderjí] por sueternidad:se aplicar
ra elmas a lamaycridad,y el menos (q esta
«ncubierto enel q)a la iuínoridad.Ysi se pre
gûta,si es ta poderosc por su petestad cpnip
por su volútad'se acudira a laigualdad:coar
tádo los terminos transcédentes de los vnos
có los otros en el sujcto,y especie de la regla
tn q se sorma la question. Mas la aplicacion.
lïel implicite» se haze por los synonomos'de
los terminos explicicos de la question. . .
A R T E
Ç.ij.Dtlconcreto3y abjlrato.
§ . iij.. D e la aplicación de la
^frmerafiima,^;
n' » «' . » :...) i. "ï r~«'"s i.:
À Yquatro figuras en là arte natural: y
' M llamanseprimera,segunda.tercera,y"
* quarta. Da primera es circular (de
quien se trata eh cite paraso^para los prin
cipios absolutos en quien se procede con-
uirtiendo el subjeto en predicado, y el pre
dicado en subjecto,como la.B.es.C. y la.C.
es.B. Lâ bondad es grande , y lagranBez*
«s buena : y afsi en todaí las letras w cioti-
. . r.r, ¿ . E y uierte
«ï AA K i jj: o
tuerte la rna letra en otra , y la çtra- en îa
ctra: y tratando con esta figura de. Dios
se conuierten los abstractos , rnas en ,las
criaturas no. La segunda sigura es trian
gular para los principios Relatos , y tiene
nueue angulos , y en cada angulo su prin
cipio Relato. Él primer triangulo es de dif
ferencia, concordancia , contrariedad: y el
segundotriangulo.es de principio „. .medio,
y sin: el. tercer triangulo ¡es,qela mayori
dad, igualdad, y njinqrida&.Y, estas dos si
guras son parales principios simples* „j v
La tercera figura es compuesta de las
dos , y haze treynta y seys casitas qua-
dradas , y en cada vna pone dos .letras,
diziendotf B €. . B D ;.&Tst*ia.K:y ¿sii
C D.hastal.a K. y assi en codas, como esta
declarado* en laàrte de R^ymiipdo .
La quarta sigura es de tres circuios,
vno metido enpt.ro, que. hagan .'B ÛJD.
C D É r hasta la K . y. mudaiidq'vna
letra con el circulo menor dira. , lì, JD B.
hasta la... K , y-assi dira de todas las de este
circulo hasta J.a . K. donde se haran .mi-
Jlones de Jylogisinos por ,la variedad y sigr
nisieaciones de las tre s letças^, , n , ^
, jifíauiendo tratado sumariamente de toé
da^ U$ Aguisas , resta tratar. del v4 ^e 1?
t-.:-¡j î .1 v primera
G E N .E .R^A L: b*
•primera figura que csckcular por h quai
se contíce-, que es insiflka elsubjeto don?
de se <onujerten lp$ abstractoj , y sinito
dond,<: no se conuierten : y assi decimes»
Íue laj!bcndad de Djos es la grandeza de
)ip$j, :)s la grandeza de Dio$ es la bendad
deD-jos,, V assi dc.tqdo el circtilo: masila
bpndad^dgl Angel.no es la grandeza dfi
Augel : y assi er) las demás «osas suera dtt
Dios.- Yen estasigura se entiende lo que
siene-ísf, porque si es ha de ser bueno,gra?i-
de durable, poderoso,,i,nteligible, amablei
virtupso, verdadero, y clotíQsQr.y faltando
qaalquiera destqs neceïïariamente faltan
todos,,y si vno dellos ( qualquiera que sea)
aíîíîrma.todos afsirnian,y si Vnp niega rodes
nïegan. En esta- primera sigura se halla, la
naturalvnionjo medid demonstratiuo poj
la disposició y proporcion , q denélosprin
cipioscon elpredicado.de Jaquesìion, y el
predicado con et-subjetp. Y assi la bondad
cel aíûmal,respfctq de. U bppdad del hotn-
bre,se ha como gene.rp,y lo-mismo dela grá
deza y los demas del anitrçahqse halla en di
uersas especíes,çomo enel lep enel hóbre, y
€ràq$dtm»s. ElABgel csbuenOjgráde,&c.
y la auaricia no es uiiena , hi durable, fino
jwala f y danosa. JEìe estd figura se conoœrc
lasprimeras proprias pafsiones,y las apir»3!'
priadas, como en el Angel que c$ bueno,
grande, &c. y las aproprjadas, como en eb
Angel malo , que tiene malicia , ignotácia,,
«ngaño,priuaeion del fin moralmenceimay
no naturalmente:el fuego, que tiene buer*
calor y grande fuyo proprio , y buena, y
grande fequedad apropriada : porque no es¡
«lya.fino de la tierra.Cóuiene adiïcrtîr mit
cho a-cfte paíTo, procurando fiempre coar-¿
tat el principio general a los terminos de?
la queftion . Como el hombre tiene buena?
y grande jufticia , y mucha malicia y falfe-
dad.,y eftopOría. moralidad , y no natural-*
mente : porque naturalmente es bueno,-'
grande.&c. y moralmente falfoy malo : y.
como fe fepa vfar deíta figura fe hazën conf
tila grandes rharauiliasy fe entienden gran
dès proíundidades y fecretos.El vfo es la. B-
es. С. y la.G. es . В . La bondad es grande,
y la grandeza es bueria: y a'nfi en todas vnal
con todas,y todas con vna:tomo labondad
es grande, durable, poderíjfa , inteligible,'
amable,virtuofa , Verdadera, y gloriola : là?
grandeza,duracion, poteftàd ,. y las demas?
fori buenas per libondad.&c. Y cúrmientf
exereitarla>adùirriendo generalmente, qué
entonces es la Cpncluíion-buíena,y verdade^
{ raquando
GENERAL. ì9
ra guando no es contra alguna mistion , de
¿[tos principios absolutos entre si, tratan
do del ente en quanto vno. . . i v
S- Sexto de la aplicacion de la
quarta figura.
$. Séptimo . De la aplicación
de la diffinicion,
' B. D. . , -,
' " '. 1 t i. . -'. r '' . - ' ' •
$. Bondad, duración.
S. Bondad,j PoTeßad.
;v B F.
GENERAL. 4З.
.h..hi ; В. F* .: .»
- в g. '.Vi'
r•;i»A .r(. .., *.} >.» i , m V • .•• .'j
B H.
§. Bondad, y Virtud.
„ B I.
§. Bondad ,y Gradead-
B K.
§ . Bondad, Gloria.
LA Bondad de la distincion suple a
la grandeza dela gloria. * En el ser de
la gloria bueno es que concuerden
la bodad y la gloria. 4 Ningun bien contra
dize ala bodad cíela gloria. 4 Pcrq la bon
dad y la gloria son principios,se aleja la bon
dad de la malicia, y la gloria de la pena. J
Gz La
Гa gloria es deííeable mediante la bondatf.
y la bondad es deíTeable mediante la glo
ria. 6 Afsi es deííeable la gloria en el fin de
la bondad , como la bondad en el fin dela
gloria. 7 Si es impofsible hallar mayoridad
entre la bondad y la gloria : es poísible fin
bondad hallar gloria. 8 Impofsible es hallar
pena en la igualdad de la bondad y de la
gloria . 9 La bondad mas deííeable es en
la mayoridad, que en la minoridad.
BTB. : '.
§ . Bondad, Différencia.
sа д
S. Bondad, Cocordœnriaï' \
N la conuerfion de la bondad y de la
concordancia , impofsible es hallar?
E
contrariedad . г Ningun bien puede,
fer principio fin concordancia . j Aquel
medio fe dize bueno,en el qual el principio
y el fin concuerdan . 4. "La bondad por to
dos fus bienes concuerda . J Mayor es la
bondad en la concordancia , que no en la
contrariedad . 6 Mayor es la bondad en la
concordancia de la igualdad , que de la
ínayoridad,y minoridad. 7 Porq el bueno
y elfer/econuicrten, cftan en la
mayoridad y minoridad .•,-, - .
. delabondad. : . .. . .
:'.¿k G г В TD.
!- • ' A R TE-1 ;J
b e. z;¡".".y
§ .Bondad,y Principio.
t \ ••; •»: • ' —- /• - \. ¿
L A bondad con el medio, que es del se»
de la bondad, mide igual mete el prin
cipio, y el sin de la bondad.i Porque
elsines de la eíleneia, dela bondad, y del
jnedio^el bué principio es deíleable. j Porq
;i ^ es bueno
G ENTER AL.' VY
es bueno , q el principiado lea principiado,
el principie es mas defleableen la mayori
dad , q en la minoridad. 4 Deífeabie es la
igualdad en el prmcipiante y principiado!
y Ningun bien es cumpli do «1 el principio
conb minoridad. . . у.,;л ; ¡ :
.' ');'[• и 1 :.' ' *. . .1". ;.: .'..•
В F.
Л
, S.BondadyAfedh.
' ., "Л", V '. "*
Ningun bien ay en el medio fin fin. a
La minoridad es el medio que con-
tradize a la mayoridad del fin de la
bondad, 3 Aquella bondad no es defecbio-
fa , que iguala el bonificado con el bonifica»
blcen el medio. 4 Para que la mayo» .
ridad fea imagen del fin es bueno,
q la mayqjídaid fea ima
gen del medio.
• \ .» i - .X
JSC.
G 4 Porque
A R T E
POrquela bondad y el sin son mayores
por causa de lasubstácia -, que del ac
cidente , es la substancia sin del acci
dente, i La bondad y el sin, mas contra-
dizen a la minoridad con la igualdad , que
con la mayoridad. 3 Aquella bondad esta
en la minoridad del sin,que es ociosa.
B H.
§. Bondadg mayoridad.
... .. t:UI ..
$. Bondad Igualdad.
в к.
§. ^Bondad Minoridad.
:- •.: .. 1" "v . • . - ; .a
EN el fer de la minoridad, impofsibfe
es que la bondad efte perfefta. 4 -
De la manera que fe paflo la В. ^
por todas las letras fe dira de la С•, сoд las
demas hafta la К . Y. ЬaАarл auer pueftd
exemplo en vna para que fe entienda la
grande harmonia, y abundancia que lkua
efta mixtiój quié* mas a la larga lo quifiere»
vealo en. el arte inuentiua de la verdad en
la fegunda diftincion ; y bien fe vee , que
todas eftas propoíkiones que falen de eftft
mezcla/on dignidades^ypEíncipioSiOine- r,
dios por fi conocidos: y ajos que faben efta
arte fon tan euidentes , que J5n duda'algu.-
na affirma lo que .concuerida. con ellosi, y .l
niega lo que no eoneuesda.:Es. vtilifsim*^
efta mezclai para el bajar de lo. . j :. . i
general a lo parti- , , . , vb íь!
. : ARTE I
§. хЩ. De lo 5tfukjetospor
, /fits diffimciones. .
cìenformas,
7-»"; o.. .-
La
G E H E R'A L. y?
3 La vnîdad es vna sorma, a qufen pro-
priamenrc le conuiene el ser vno.
4 La pluralidad es vna sorma agregada
de muchas,que disieré" en numero,
y La naturaleza es vna sorma a quien pro
priamente le conuiene elnaturar, o
" Tel acto de naturaleza. ' ::i 11
6 El genero es vn ente consuso: el qual se
predica de muchos entes que disiere
«n especie.
7 La especie es vn ente que se predica de
muchos, que disieren en numero.
8 El indiuiduo es vn ente en quié reposan
el genero y especic,como en suvlti-
mo termino.
9 Lapropriedades vnasorma conla quai
se nazeespecisicamente.
10 La simplicidad es la sorma mas aparta
da de la composicion, que todo otro
ente* :.
K La composicion es vna sorma congre
gada de muchas essencias.
I* la forma es vna essencia con la qual se
obra en la materia actiuamente.
?3 la materia es vna essécia simple passiua.
1 4 la substácia es vn ente que por si es,y tie
ne ser. ;; •. '
ly El accidente es vna sorma que no esta
ni
J ARTE
ni clenc ser por fl., sino por la sub st a -
' cia.
16 La cantidad es vna sorma, cuyo sujeto
. . . eselquanto. ;r.;! ~,'u
»7 la calidad es vn ente, cuyos principio»
senquales.
i3 la relacion es vnasorma,qne tiene respe
to a diuersos entes, sin las quales np
puede tener ser.
19 la action es vna sorma, queesta en lo q
padece.
io la passion es vna sorma,que susténtala
accion. .. ,
ti. El habito es vna fcrma,de quien se viste
el sujeto.
iz Ei sitio esvna possession delas partes bic
y Testamente ordenadas; -'ï
13 El tiempo es vn ente,enel qual los entes -
criados son començadpsy mouidos:
o el tiempo es la nouedad de las co
sas constituydas de muchos, agoras,
según antes y despues.
24 El lugar es vn accidente por el qual
los entes estan colocados, y asienta-
. dos: o el lugar es vna supersicie que
rodea y contiene en si immediata.. .
mente las partes intraneas delcuer-
P°- * » r.
ay El
GENERAL." yí
*f El mouimiento es vn instrumertto , con
el qual el mouedor mueue lo que cs
: . - mouido. ;
xC laimmobilidadesvn ente, que no tiene
apetitcaningun mouimiento.
3.7 El instinto es vna sigura o semejaça del
entendimiento.
s.8 El apetito es vna sigura o semejança de
lavoluntad,
19 la atracion es vna sorma con la qual se
— ; ' atrahe.
30 la reception es vna sorma con la qual se
recibe.
|i La santasma es vna semejança abstrays
da de las cosas por la imagina
tion.
31 la plenitud o enchimiéto es vna sorma,'
porquien se aparta del vacio o va-
cuidad,qualquier entc.
33 El derramarniento.o difusion es vna fer
macon laqualsederrama.
34 la digeflion es vna sorma con la qual se
digiere,ocueze locrado.
3) la expulsion es vna sorma con la quai
lanaturaleza expele lo superflue, y
reparte lo digerido competentemé-
te.
3 6 La signisication, es vna rcuelacion.
"3>? ARTE
• de algun secreto con alguna señal 4c
ï monstratiua.
37 la hermossura,es vna forma o señal rece
i • . - bida dela vi sta, o oydo , o imagina.
cion,o delectacion.
38 lanouedad es vna sorma por cuya cau
sa el sujeto se habitua de nueuo ha-
" biro.
39 la idea en Dios es Dios, y en las criatu
ras es criatura.
40 la metasisica es vna sorma, con la quai
:•. el entendimiento humano desnuda
el sujeto de los accidentes.
41 El ente que esta en la potencia es vna
• • " sorma,que se sujeta sin moui miento
de cantidad,y calidad.
4z El puto es vna eflencia del termino na-
tural,que esta en la menor parte del
cuerpo.
43 la linea es vna largura , constituyda de
muchos puntos continuos, cuyas es-
tremidadesson dos.
44 El triangulo es vna sigura, q tiene tres
angulos,contenidos de tres lineas.
4î Elquadranguloes vna sorma, que tie
ne quatro angulos rectos.
46 El circulo es vna sigura, que se contie
ne de vna linea redonda. . - ' -
.47 El
G E N E- R A L.
47 El cuerpo es vn a subitancia Hen a de pu
ipâJiqeas,yangulos. -,
48 la sigura ès vn accidente constituydo de
, sitip y hafctftp,; ;~ , ; i' ; -,
49 las rectitudinesgenerales son feys arri-
ba,abaxo,adeIáte,atras, a la diestra.,
a lasinieftra. " , -;
$0 la monstruosidad es vn apartamiento
del mouimiento natural.
51 laderiuacion esvnsujetogeneraLporel
qual el pattkular.deciéde de} general.
$l la fóbraes vn habitoprmatiuo dela luz.
Î3 El espejo es yn çuerpo diasanp djspuesto
para recebirtqdas las siguras,que en
el sueren represcntadas. 7, .. ; v ,
Js4-El color es vn habico cótenido p.oriasi.
gura. • n !.'r . ¡
la proporcip.esvnaformaj a quíenpro-
priamëte le cÔuieneproporçionar.
%6 ladisposic-jon,ísvijaforma,aquienpro
priatnente çonuiene disponer.
f7 lacreacion en laTrinidad es idea, yen
•; ' v . eltiempoes creatura. , ..p ,. .,
f8 la predeíKnacio enlasabiduriade Dîci
» . . '• es ídea,y en la creacion escriatura.
y9 la miseck ordja, en Dios es ídea , y en la
, creackm es creatura.
60 lariecess^fad es vna sorma sorçpsa, qui
A R T E
denota, que no puede fer ottól
€i La fcrtuna es vna forma pegada con e|
subjeto.
Ci El orden es vnaforma, aquien propria«
mente le compete dl ordenar.
6\ El consejo es vna proposicion dubita*
ble,cuyo reposo es lo consuitado.
64 La gracia es vna sorma primera,puesta
en el que la recibio graciosamente,/
sin merecimientosuyo.
íj La persecion es vnasorma, aquien pro-
priamente pertenece el pcrsicionâr.
66 Ladeclaracióesvnafcrma, enlaqlrer
posa el enrédimiento distinguiédo.
6y La trásubstáciació es vn acto dela nata
raleza en Iotrâsubstâciado,mud3do
la sorma antigua en sorma nueua.
58 La alteracion e: vna forma intrinseca
en lo alterado.
09 La insin'dad es vnaforma , que tiene
vn habito insinito muy apartado de
lo siriito.
70 Elengano es vn habitopofitiuo, y ha
bito priuatiuo del enganado.
81 La hôra es vn habito actiuo enei q hon-
ra;y passiuo enel q es hontado.
71 La capacidad es vna íbrm3,con la quai
. el capaz puede contener tanto,qu.í-
G E N E R A L; s»
tose le puede recrecer.- :
La existencia es vna sorma, con la qual
el ente es aquello que es. ,
74 la operacion es vna sorma, que mucue
al que haze al termino adóde haze.
7J la coprehensió es vna semejáca dela infi
nidad, y determinacio dela£nidad.
76 la ínuencion es vna forma , con la quat
se halla lo que se busca.
77 la semejâça es vna sorma, có la ql se se
meja lo q es parecido, o semejado.
78 El antecedente es vnaserma, que caula
el consiguiente. - ;
79 El consiguiente es vn subjero,en donde
repesa el antecedente.
80 El acto es vna atadura de la potencia, y,
del objecto.
71 la generacio en la criatura es vna sorma,'
con la quai elq haze causa nueuas
sormas. .... .
81 la corrupcion es vna sorma,có la ql el q
corrope , priua las antiguas sormas.
83 la priuacion es vna Forma, q esta en me
dio de la generacion , y corrupcion.
84 lathcologia essciéciaq habla de Dios.
8j la philosophia es vn íubjeto , por elqual
el entendimiento se aplica a tratar
• de todas las sciencias. .
H » 8 * Ut
л ла/тсТ'Е:? о
86 La geometria es vn-arte inuentada parat
I. i.! tnedir lineas,angulos y figuras.
87 laaftronomia es vn arceícon q.el aftro-
•iûîïifrf logo conoce lasvirtudes.y moui mie
.-—^t\ -kos q el cielo tiene e&tftíuamente
ûn.i : :-: en los cuerpos inferiores.; r "
.88 la arkhmctica es vrr arte;inuétada para
han г.. conta* muchas vnídades. - .
89 la mufica.es vn arte inuentada para can-
'П '" rar muchas vozes concordantes en
. H 4 . C
- T
—. C D
— -* »
'. ARTE'
CTC D.' Que cesa es la gran concordan
cía y contrariedad? D T B C. la difieren-
'cia de la cqncórdácia de la eternidad de que
ès ? D T B D. la diffèrencia de la eterni
dad de que es ? D T C D. la concordancia
de la contrariedad de que es? T B C D. la
differencia y concordancia de la contrarie
dad de que es ? Y lo mismo que se hizo en
las ¿o. quèstiones de B C D. mezcladas.se
fiara èn cada vna de las 84. columnas. Yen
estepaiso se vee muy bien la grandissima
genaralidaddël árte: y para mas certidum
bre , fe dara respuesta a las questiones pro
puestas por las diffinicíones'y signisicacio
nes de jas letras en el modo siguiente.
A laprimera B C T D , si es en tanto lat
bondad grande, que sea eterna?Ressp.que si:
porque la bondad es aquella por cuya causa
Iagrâhdeza, ylas demas son buenas, y la
grandeza le da su cumplimiento para boni
. siçár.y'la duracion le hazc durar.
... ". B C T B. Si la bondad puede ser gande
sin diftíhcion? Digo que no;,porque no hu
biera natural obra buena , pues en todoo-
Êrarconûiene que aya distintos terminosí
yaque es la gran distincion dela bondad?
. Í^ÍP; Hue es aquella, que es de susproprios
corelatiucs, en los guales es sustentada , y
con
G E K E R A L. et
con ellos tiene naturaleza y eilencia per?
• fèctà.; ...r. ' .'. - • ' .''
* BCTG. Si la bondad puede ser graçde
sin la concordancia ? Digo que no: porque
como la 'cohtrariedad responde al no ser,
Jrfs'r la concordancia al fer : y para que es la
grande grandeza dela bondad? Resp.que
para que ella misma tenga sus corelatiuos
naturales. - -¡•'' i
" BC TD. Y a,siel Angelas mayprque
el Cielo? Resp. quesi:porque el Angel tic-»
ne corelatiuos con que objeta a Dios , y
Cielo no : y a que es la grande-contrariedad
del Cielo? Res, que es la immobilidad que
tìene^uestojque el no se mueua: afsi como
el suego ternia gran contrari edad , si por su
Huiandad no se pudiesse mouer aísi mifmoi
ya de que es el grá mouimiemo del Cielo»
Resp.que de sus mismos corelatiuos, sin los
quales no podrta tenes fu cumplimiento:
como se prueua por la' segunda especie
de la C.
BDT B. Y a,si en la eternidad ay diffe
rencia? Resp.que si:porque ellapuede tener
fiis corelatiuo'S^sin los quales no pudiera-te
ner su naturaleza ni bbndad insinita i -ya li
bondad del mouimicnto del Cielo dtque
' es? Responde.se, de si mi smaicomo parece
H 5 por
ARTE.
per sus eorelatiuos. : •»
B D T C. P . si la diuina bondad , y sis
grandeza concuerdan? Resp.quesi: porque
fin la concordancia , la diuina bondad no
tendria su insinita grandeza , ni. bonisica
cion . P . que es la grande concordancia de
la bondad eterna; Refp > que la eflenciade
sus eorelatiuos, que son, bonisicatiuo, bo-
nisicable, y bonisicar, lleno el tiuo delos
tiuos, y el bile de los biles , y el are de los a-
res:los quales tres concuerdan en la ellcn-
cia de cada principio,
B D T B. P. si ay contrariedad entre la
diuina bondad y eternidad ; Resp. que si.
supuesto,que la eternidad impida ala bon
dad su acto: y al contrario la bondad a la c-
ternidaddo qual es impossible. Y supuesto,
que entre la diuina bondad , y eternidad ay
contrariedad : aquella contrariedad de que
es? Responese , que de los priuatiuos eore
latiuos , que estan opuestos a los eorelati
uos posi tiuos de la bondad y eternidad : lo
quai es impossible , y contradicion ma
nisiesta.
B T B Cpreg. si en la eslencia si mple de
la bondad puede hauer differeccia y con
cordancia? R. que si t con tal que la bondad
tengaíuscorclatiuos,porlascgun<íaespecie
••. i r deU
GENERAL.
de la C. signisicados : los quales por la dif
férencia son tres , y por la concordancia son
de vna eíïència: Preg . que cosa sea la dif
ferencia y concordancia en la eflencia de la
bendad? Resp.por la tercera especie de la
C. que son ambas buenas.
B TB D . Supuesto que el mundo sea
eterno, preg. si en su bonc'ad pueda estar la
difTèreneia y contrariedad en vno ? Resp.
que no , porque ninguna buena differencia
pedra estar en presencia de la contrarie
dad eterna. Preg.de que es esta buena dif
ferencia? Resp. que de sus corelatiuos signi
ficados por la segunda especie de la D.
B T C D . Supuesto j que el mundo sea
«terno . Preg. si podra estar la concordan
cia y contrariedad en vno ? Reíp . que no:
porque de otra manera la concordancia
ternia buen acto de concordar y contrariar
de vn eterno en otro eterno, lo qual es im
possible . Preg . que sera la gran contrarie
dad de la bordad ; Resp . que si la bondad
esta en vn subjeto natural,que este habitua-
do de malicia,comoenel hombre pecador.
C D T B; P. de q es la gran òisserecia de
la eternidád?R.pcrla.i.especie de la D. q cs
de si misma:porquc a la eternidad ninguna
cofa le puede ícranteccdente^ : . . . -v i
CDTC.
A rt m o
- CDTC. P, que es la grande concor"
dancia del Cielo? Resp. que sus corelatiuos
' con que es , y se mueue pôr si mismo. P. de
- que es la grande concordancia del Cielo?
Resp. que de sus corelatiuos,Con los quales
tiene moui miento interno , y natural: y
mueue, y naturaliza todos los cuerpos in
seriores. ' •.' uttL.'.v »
• CDTD. P . que cossa es la gran con
trariedad de la prudencia y Iuxuria? R. que
la contrariedad moral .P . de que dura la
contrariedad moral ?. Ressp . que de los ha
bitos positiuos y priuatioos ► resistiendo al
contrarioen el subjeto donde no pueden e-
star juntamente. . .
- CTI3C ,.P. si la justicia . y prudencia
tienen gran concordancia i Resp ; que si:
por tener y cauCar grandes actos, con los
quales- se adquiere y alcahean grandes me
ritos. P. Que es la gran concordancia de la
j¡ustic-ia, y prudencia? Ressp.quc los grandes
corelatiuos con los quales difsieren , y
eoncuerdan. : »''! -jj-»í .: w
• C D T D . E . ii en. la eslencia grands
puede estarcía differencia,y contrariedad?
Respt quesi,puesto que la essenciaseacom
puesta;, como; la-estencia del hombre , y de
los elementos: -pero «i ia;est«icia simple
1 U-J enmn-
GENERAL. ffj
en ninguna manera. -, •.• -, .
CT C D. Puesto, que en la grandeza
simple aya cancordancia y contrariedadi
P. que sera aquella essencia de la grandeza?
Resp. que sera vnaestencia impossible . P*.
la gran concordancia y contrariedad de que
son? Resp. por la primera especie de la D,
que de si mismas:porque sobre la grandaza
ningun ente es preí atente.
D T B C . P . si en la eternidad ay diffe
rencia y concordancia? Res. que si: porque
de otra manera la bondad en la eternidad
no seria causa de que lo bueno produxeste
otro bueno:y la eternidad sin concordancia
no ternia algo con que distaste de la contra» '
riedad, y cciosidad:lo quales impossibles.
Preg. la diserencia y concordancia que esta
en la eternidad de que son ? Resp . que son
desus proprios corelatiuos por la segunda
especiè de la C, y [a segunda de la D.'Preg»
que son en la eternidad la differencia,y con
cordancia ? Resp . que ellas mismas sonría 'v
misma etermdad. i'acjili
D T B D . Preg . si en la eternidad pócr ',
den estar juntas la differencia y contrarie
dad?. Resp¿quc;no : porque íi sueste kr con»-
trario, la eternidad seria compuesta de rjiiu-
chas eífencias contrarias , y corruptibles:.
. Y como
A K T fc
como parece en lo elementado . Puesto,"
que el Cielo suelle de muchas cstencias con
trarias. P. su duracion de que seria' Relp.
qu* seria de muchos habitos positiuos , ^
priiiatiuos.lo quai es impossible.
DTCD. Puesto que enlaessenciadel
A ngel huiiiesse concordancia y contrarie*
dad. Pregun . de que seria la duracion An«
gelica.R. que seria de sus corelatiuos con-
trarios:lo qual seria impof.ible. Preg. que
cossa sea la durreion Angelica ? Respondese,
que es la concordancia sin contrariedad. .
T B C D . Preguntase , si la différencia
podria ser subjeto de la concordaneia , 4y
contrariedad ¡? Respondese, que no, porque
ln concordancia tiene respecto al ser , y la
contrariedad al no ser en el subjeto donde
estan. Preg. que cosa es la differencia en
]a concordancia y contrariedad ? R. que la
différencia en la concordancia es principio
jsoíïtiuo , y en la contrariedad principio
priuatiuo.
Esto es lo que toca a esta columna gene*
Tïlpâra todas las ochenta y qaatro colum
nas generales : y del modo que en esta se
dioexemplo, se dara en cada vna de todas
en particular.
Yen
GENERAL. 64
Y enel libro que Raymundo hizo de A-
nima se podran verisicar y practicar todas
las reglas y principios. Y entendiendole
bien veran los hombres como han de viuir»
^lylaestimacionpreciosissima en quedeuen
tener sus almas. Y con esto auemos dicho
y/ .quanto toca al primer
_ instrumento de la
i luna.
&
W Q^v 1 n ra
tratadoi devna sumaria re-
o[ loción del segundo instrumen
to del Sol.
Del.v.ArbolHumanal.
Este
general; 67
EST В Arbol humanal nos da cono
cimiento de todas las cofas humanas:
y la razon donde Talen fuspritícipids
verdaderos^ tiene fus fíete partes como fos
paflados . Las rayzes fon los diez y ocho
Erincipios cinco vezes doblados, comoU
ôndad ele mental, vegetal, fenfual, iniagi-;
hal,y humanal: y afsi los demas . La bon
dad es en el hombre efpmtual , у corporah
La efpirituaT esla dela alma , que fediuide
en tres bondadeá: vna de la memoria t otra
del entendinYiento,y otra de la Voluntad: y
la corporal en elemental,vegetal, fenmal.y
ímaginal:y todas ellas,afsi la efpi ritual, co
mo la corporal fe hazen vna ene! hombre éj
fe dize humanal.El troco es el hombre.Los
braços, el cuerpo , y el alma. Los rarrios la*
partes dela alma.y las delcuerpo:las del al
ma fon los tiuos,biles,y ares de la memoria,
entendimiento,y Voluntad: las del cuerpo*
los tiuos,biles,y ares de lo elemental, vege-
tal,fenfual, y imaginal.Las hojas fon los. 9.
acidentes de todas las cinco naturalezas dir
chasXas flores fon los effecT:os,OÍnfl:rumen
tosproximos:afsi corporales, como efpiri-
tuales. £1 frailo es el humanado , o homi-
ficado.
I 3 Del
A R T Ei.J :;,
Del.vj. oArbol Moral'\J
[T Ste Arbol Mowl,n«P da ,coRcci«ricjf-
todelfructodelas virtudes, yyiciys;
. . tierve sus 7.partes. Las rayées son las se
m cj a n te s de laspastadas realess bendad, y
grandeza,&c.Y mas tjenp .^^yzes rualasi
^ sonJmalieia>ignoir.ar}cia)^ij.fedad, y priaa-
cion delsin. El troncoeslâcpstumbie con-
íussa. Losbraçosson las ^.:virtodes cardina
les,justicia,prudencia,teu>plança, y sortalo:
za : y las tres theologales, ree; esoerança, y
charidad . Los ramos son las semejanças de
los demas arboles .Las hojas son los 9.acci:
dentes destas virtudes , conio la quantidad,
«jualidadj&c.de la }usticia,y fclas demas vit
tudes y vicios . Las flores riquifimas.,los este
ctos destas virtudes : y lasperuersas flores,
son los efTectos de los vicios . La fruta deítc
fffbol es el castigo,o galardon. ;\ .
' y .[::':. f. í
iyel.vij.<±ArbolImpèrf,a{:
ESte Arbol Imperial nos declara la po-
tejÇladydominio â los Principes yRe
;Ws. Las rayzes, son las pasladas, bódad
frandeza , &c. El tronco es el Empera,doj5f
,os braçoslosCondeSjDuques. yMarque-
; í ses,
GEN E R, A L: 68
fcs.y los demas oííiciales. Los ramos las vir
tildes del Emperador y fus miniaros, y ofíx
ciales. La? hojas los •j.accidétes ä todas tilas
virtudes, y los vicios.Quefcra medir laqná
dad delabódad çqn las debías dignidades y
virtudes del Principe: c] la qualidad y los de
mas co el aberrecimiéto de la quantidàd de
la maliçia.y ignoramia, y íalfedad,y piiua-
cion de fin? Las llores los effeítos clrí Princi
pe eneftasvirtudes^yen fas dignidades y juy
zios.El fruto e la paz,y cocordia de fu Rcy-
no.Yporeíle arbçl imperial fepodraj:edu-
zir a ciencia, y demoflracícn todas las co
fas legales.
Del. vm. Arbol oApoßolit:al.
ENefte arbol apoftolic..lfcnps da" a en
téí' er la vicaria del Apo.S,Pedro,y fus
fuceíTores:y la virtud grande q-han de
tener los ¿jen eftä.filla de Chrifto fe. absien
tan. Las rayzes fon no foja'inéte la bondad,
gradüza>&c.P,ejrbbs virtudes., afsi cardina
les.co ni o theologales. El troco es elSuni.Po
tificc:c| qu3ndo,eftofeefcriuees. Sixto. V.
Los bracos fgrnlos Cardenales, Obifpos,
Arçobifpos, y los demasPixlados:¡os qua-
les deuen fer adornados ,de las njiímas ray
zes, que fu pafter. '
I 4 Los
Los ramos fon los diez mandamientos
ée la sancta ley de Dios.Las hojas son los
siete sacramentos, y los canones,y decretos
de los summos Pontisices .Las' flores son
los catorze articulos de sa Ffce. El frusto es
la saluacion de las gentes, Ay ^qui en esto
harto quedezir , y los Theologos teman
las manos llenas : y si mpiessen ios que go-
uiernan ordenar eítos dos arboles , el mun
do estaria en muy differente estado del que
csta:y sobre todo estriba, en dos cossas: en la
vnion delosjuezesEcclesiasticos, y segla-
rees : y la separacion d estos es grande mak
como se dira adelante en su lugar.
'Del.x.ArboloAngeUçaL Ц
Delxvj. ArbolExemplar.
ESte arbol exemplarpone exéplos por
parabolasysemejanças por todas las
sieteparresde cada vno de'los catorze
arboles past ados:dóde los predicadores ha-
Ilaran grandissima abundancia de exéplos,
|>arabolas,scmejáças,y prouerbios,para per
luadir y disuadir,y encarecer, y declarar sus
conceptos. ... .. -
Ydetodosestos dezíseys -arboles se ha-
Ilara cumplidissima declaracion en Ray-
mundo.
G ETNìE R À L. 7}
; %.ij É^èlEntendimiento]
Ë L Entendimiento es constituydo de
bondad,grandeza,&c . y de todos los
, principios: y discursiuo por las reglas:
como enla arteparua y magna se declara.
Tambien le podemos aplicar a las cien sor-
pias:y de JU aplicacio de cada sorma se puer
de sacar vn discurso , y assi se aplica a la enr
tidad,essencia^nidad ¿y pluralidad. Porla.
entidad yniucrsal , sera, el entendimiento
ente , y sor la «{sencia eísencial ,, y pos
j J£ » la vnidad
A RTE
lavnidàd fera vno, y por la pluralidad mtl*
chorcomopor la bondad es bueno, y por
la grandeza, grande-, y por la duracion du
rable , y aFsi en los demas . Y tiene en fi
pluralidad , como*el inteleftiüo , inteligi
ble , y entender , qtftfon el entendimien
to agente, entendimiento palîble, y el afto,
o conexion de entrambos . Y en quanto os
Vno , puede confiderar el vno como vno , y
los muchos como los muchos . Yes parre
fimpfede la fubftancia:porqueesdefufim-
ple bondad, grandeza , y duracion , en nu
mero fímple, y indiuiduo : por razon de la
qual fimplicidad alcançà losantes fimpies;
y por quanto es de muhos principios corrir
puefto,es apto para conocer qualquiercora
puefto de partes íímpicstporfer tompttefto
de inteligible grandeza,conoce al hombre>
queèscompueftódecüerpoyalma j y que
fio es;'alm.a,ni es cuerpo . Por la forma déla
bondad.y grandeza , tiene el entendimien-
To.íu Forma cfpirituâl , que cs: el'intelefüuo
compuefto del bonifícariuo, y-magnificá-
t'ruol Y érí quanto es de la bondad material
mente es bonificablc.mâgnificablç , y tiene
los derriasbiles el entendí miento paíible,y
propria inteligibilidad.Y del agente, y del
pafibïe reíuka Уйo por el acТю întrinfeco.
GENERAL. 7y
ejne es el entender : y esta compuesto del
bonisicar, magnisicar, y de los demas ares.
El entendimiento,es de la bondad general
de que es la memoria , y voluntad : por lo
qual puede cosiderár entes generales : y poç
que su bonda es propria , y distinta de la
bondad de la memoria , tiene naturaleza
para bajar a las especies sinitas particu
lares: y aísi considera el logico los generos
y especies de los entes naturales . i de la
misma manera se puede aplicar el entenr
dimiento alasdemas sormas : y ver loque
le conuiene segun los principios del arte:
con tal, que no se contrarie a alguna difsini
cion,ni a alguna mixtion dela arte.Y sobre
todo se lude tener quenta.para vsar bien
de esta arte , con la tercera y quarta sigura:
porque en la tercera esta toda la prat'ca en
general, como en el arte magna seuera : y
en la quarta esta la pratica , mas en parti
cular . Y assi para tratar con arte la quer
ftion propuesta , despues de reuocada to
da la question al arte , se sacaran doze pro
posiciones, comQ se dixo en la aplicacion
de la tercera sigura : y veynte y quatro
questiones : y doze medios de las doze
proposiciones : como para prouar esta pro
posición , U bondad es grande , se pone
C- : _ K i por
jpörmecüo:lo q es engrandecidoporla grî*
deza es grande: yfedira, la bondad es en
grandecida de la grandeza:lucgcla bondad
es grande.La mayor es por fi notoria^por el
lugar de los conjugados: là menor es verda
dera por la difmicion de la grandeza,comu
conftara fi fe paila por las reglas la grande
za : porque por la primera efpecie de la re
gla C. lagrandeza es aquella aquienteca
engrandecer: y fino engrandeciere a la bon
dac^no feria tranfcendente,ni feria grande,
pues no alcançaria efta manera de engríde
cer . Y por la fegunda efpecie de la mifma
regla C. la bondades grânde: pues tiene en
fi fer,poder.,y obrar,por fus corelatiuos . Y
porque lo mas dificultolo defto eftriua en
los cordatos , ( los -qualcfife hallan en quai-
qmer íer perfeclo) por tanto Reymundo
trata dellos en la fegunda eípecie de la regla
С. y en la fegunda de la D, y en la prime
ra dela G', y enlafegundadela K. Y por
que cafitoda efta arte eftriba en la inteligen
cia deftos tres corelatos, hizo vn libro Rej'-
mundo , que intitulo tratado de los corela-
tiuos:enel qual prueua , q en todas las cofas
perfeftas neceflariamente ha de äuer tie's
corelatiuos intrmfccos.para tener íér,podet
Y-obrarperfecto : los quäflSftoÄ clveftfgio
,yÍ- í ^ _ dela
G 'ENTE-HAAL." t*
tk la fancbfcima' Trinidad . Eftetitolo.de
cordatos es drficuitoío a muchos de la ef-
cuela:donde fiempre huuodiuerfas opinion
»e*fobrellos : q^vfe llaman relaciones in-
trmfecasvy extuunfceas.oaduenticias : rriasí
los que figuen a Efcoto,defpues de.los. bullt
ílas,han tratado mucho dellos , i fundados,,
en que de orea, manera qualquiera cofa c*~
cociera de naturaleza,)' fin. Y aísidixoAw.
ftoteles,q;elf¿rde.c..vd3.cofa espcrjfu obrar,
i %: La
G E Sf "E R -A L. 78
I ta lumbre es vn ente durable por fuha»
-rural duracion propria , con la qual ha-
* áíe durarla lumbre del ayre : efto'-eon-
- íla por fu bondad; grandeza, poteftad,
;- : lnftínto,y apetito \ en tanto que fino le
faltafle la materiàifiempre, fin dirainu
don de fu qua«tidad,durana:de lâ'ma-
; '. ñera que duraría la candela, fino l&'fal-
tfeífeelpauiio, y la cera haria que du-
;,; raíTefuerrefíodlumbrando.
PO R L A Primera Regla B .
con sus tres especies se pregunta „
si la lumbre de la candela , pro-
duzga la lumbre dela lampara, en
gendrandola de si misma, sin corru
pcion? Respodesse que si : porque si
no engédrasse a si misma de si mis-
mamo se produciria asi misma artisi
cialmente: y la lumbre de la lápara ,
no conuernia en el mismo genero:
lo cjual es mpossible.yque lalumbre
de la candela produzga la lumbre
de la lampara sm corrslpcion de si
misma:esta claro al sentido, pcrque
es permaneciente en su cantidad sin
diminucion. .
Pues como la lumtre de la candela en
gendre lalumbre dsla lamparaella , y
G EWE R'A L. 8j
ella no tinga tan gran poder como
. . . - el Angel . Preguntase, si vn Angel
pueda engendrar a otro Angel ? R.
. q no tiene materia multipífcatiua:
pero la lumbre de la candela si,por
•e • la materia primera: porque" la ma
teria segunda tiene transito con la
•- - . materia primera en la lumbre dejla.
lampara por Via de generacion,
j Preguntase , si la lumbre de la candela se
- muèueasi misma? Respondese, que
. • si: porqueenelpauiloy laçcracon-
'' - siste'la lumbre inuisible en- poten-
f:' cia: y dize la misma lumbre en acto
engendrado en su eípecie , y anihi-
landose a si misma por modo super
riory transmutandose en especie de
humo , como parece por el sentido.
4 Preguntase, si la lumbre de la candela
•'• ' con su eíïèncía alumbra el ayre? Res.
que si:porque el alumbrante', quees
- • . la especie del suego en su proprio
Üuminable alumbra el âyre:porque
« :. la illuminacion no es própria del
ayre, sino calidad del fuego, y-apro-
piadaal ayre por el illuminante, y
. . seria propría calidad suya la illumi-
- nacion , sinola tomafle prestada de
*. L } la pro*
.•ARTE
¡de la propria calidad del fuego.
J Preguntasen la lubre de la candela tras
muta la diasanidad del ayre pcrma-
nente?R.que sitafsi como la imagina
tiua multiplica las especies delos en
tes sensibles , producidas , y perma
nentes en si misma,.
6 Preguntases la luz de la lumbre es con
junta con la potencia visiua en el ver
. locolorado'Resp.'queno: y la causa
.,. : es , porque la lumbre de la candela,
ylalumbre de la lampara, son tan
solamente cuerpos elementados : en
^ . los quales no puede estar sustentada
la vegetacion.
7 Preguntases en la lumbre de la candela
- » . . estan los elementos en acto ? Rcsp.
que si, para que dellos mismos sea el
cuerpo lleno de longitud, latitud , y
prosundidad:y para que en ellos mis
. mos sean sustentados sus accidentes:
, - y el mismo cuerpo , se constituya de
forma,y materia.
8 Preguntase, si lalumbrc delalampara
iluminada por la lumbre de la can-
dela,espornecessidad,o por contin
gencia? Reppondese, distinguiendo,
que en quanto la lumbre de. la can-
general: 84.
dela alumbra a la lumbre dela lara"
, para,quc entonces es natural, y cau"
sada de la necessidad:pero es contin-
gente:porque el artisice alumbra ar
tisicialmente , y no naturalmente,
la lampara con la lumbre de la can
dela. Dicho se ha por la primera
question dela B. siguiendo sus con
diciones de negar , affirmar , dudar:
con las quales el alma tiene grande
entender,amar,y acordar.. S¿
Preguntase , que cola sea la lumbre en sií
Respondese , que es vn ente , que
alumbra: como la lumbre de la can
dela > que alumbra la lumbre de la
lampara, y al ayrc : como eldoctor»
que enseña que se alumbra a si , y a
los que enseña. . - a: »
M A R I A
; Declaración de la
- Arte general.
Ü\Qyeuamente compuestapor
i. i el mismo ¿tutor.
f
CON PRIVILEGIO.
ïuanBâptista
Lauaña .
- ' ГР R О E mi o:
Orque cl modo
defaber,mascon
forme al modo
del fer de las co-
fas,es mas perfe
cto : comcnçare
con la naturaleza defdelo fimple,
primitiuoèimperfe<£lo:yprofigui
re por lo dcriuatiuo , coponîendo
haíh llegar a I o perfecto, y dando
matices con el orden de doftrina
en cada cofa de que fe tratare. Ypa
raque breue y fácilmente configa
mos el fin y propofito con que to
me la pluma en la mano :Diuido
cfte tratado en nueuc capítulos , y
el orden fera, q fe podran primero
losveynteyíictcprincipios:ylue-
a a go
go algunas máximas dcllos:y def-
pucs algunas aduertencias para la
Arte: y finalmente otras para faber
difinir, diüidir,y argumentar.Y en
cada principio fe pondra fu fignifi
cacion, y algunos fynonomos , y
contrarios: y vna díuifion triágu-
lar para folo encaminar a los inge-
•niofos:yparala memoria yrangra
düados por las nueue letras de la
Arte general que fon , В. C. D. E
F.G.H.IX .
В R
.
X
д . ; :;. Folr."
BR E VE, YSVM ARIA
declaración de la Arte
general.
A Bondad criada es
vna femejança dela
diuina bondad, por-
ejuien todas las cria
turas tienen fer,y po-
der, y obrar bien: y
'nonomos ion,
T-^^J honeftidad', libcrali-
dad,difufion, comunicacion : y fus contra-
rios,malicia,incomunicabilidad,deíhonef-
tidad yauaricia.La qual bondad, oes im-
jnediata,o mediata,o mixta. Y a ella fe re- .
duzen todos los nombres , verbos, y parti
culas de las bondades naturales , morales,
y artificiales.
La grandeza es vna excelencia que pufo
Dios en fus hechuras , coque fon perfeftas,
y abracan todas las extremidades defufer,
a j ypoder.
DECLARA CION
y poder,y obrar, segun la mayor capacidad
de cada vna:y sus synonomos sen, perseció,
integridad,totalidad,y plenitud:y sus cótra
rios son,imperseció,y vacuidad: y todos los
nombres , verbos, y particulas,q dizen gri
deza,o espirituado corporal, o mixta.
) La duracion es vna semejança de la eter
nidad de Dios, q pusso en las criaturas , para
que dure su ser,y poder,y obrar.-y sus syno-
romos son constancia,.sirmeza, y períeue-
rácia:y suscotrarios son,incóstancia,muer-
te,y corrupcion: y son tábien desta ciasse to
«los los nombres, verboí,y particulas q sig
nisican la duracion sin principio ni sin ,q es
la eterna:y la con principio y sin , que es la
temporafy la con principio y sin sin,que es
laeuiternâV' 7
; La potesttid es vn principio positiuo,por
el qual puedéser,y hazer las criaturas:y sus
synóivomossonjposibiüdad,licfcia y poté- .
ciaty sia contrarios son,ìmposibilidad,yim :
potencia:y a esta ciaste toca todas lus potes
tades absolutas, y limitadas,y mixtas. '
La sabiduria es vn principio real, cj puso
Dios en las criaturas,para q pueda cada vna .
ser,y poder,y obrar,cosorme a su instinto,y
sagacídad:y sus synonomos fcnjConocimié-
to,solercia,instinto: y sus cótrarios,igcoranx
da , necedad , rudeza : y a esta clase tecá to-
D E L A R T E. - *
ào$ los conocimientos intelectualei, y fen-
•íuales,y mixtos. ,] . " • .,¡
Lâ volútad es vna persecion . q crio DîoS, Q
para q cada criatura apetezcasu ícr.y poder
y obrar : y sussynonomos son, inclination,
•apetito,y deseo:y sus cótrarios,odio,aborrc "
ciiwto.violécia : y a esta clase se reduzé los
nombres,verbos,y particulas, que denotan
cl apetitoesporaneo, ûneceíWio o mixto.
Lavirrud esvna proprkdad primitiua, j
perquiése mueué vnascosas có orras: .y sus
synonemos soji,VËlcrjincériuo: y sus cotrâ-
rios son imbecilidad.y staqueza: y desta cla
se son todas ias virtudes naturales.,morales,
y artisiciales. ^ :i
Lauerdadesvnasormalidad, q crioDios
en cada criatura.pnra q sea, y pueda,y obre
Verdaderaméte : y sussynonomos son reali-
dad,eíïencia,entidad:y sus cótrarios sonsi-
cion,salacia,métira : y desta claie son todas
las verdades sujetiuas.y objetiuas.y mixtas.
La gloria es vn atributo real, q crio Dicte k
para deícansode laessencia,potencia,y ope
ració de cada criaturary sus synoriomos son
sosiego.,cótento,reposo:y sus contrarios son
Î>cna dessasosiegOjdeícótento : y desta claie
òn todoslos nombres ,Verbos , yparricu- "
cu las, que signisican fosiego,ygozosubstsn
cialjo accidentai, o mixto.
a á. Cap
. DEC L A R A-C I O N
*$ &>gurido.Oel nada...
$, Tercero. De lasùbs-
tancia.
' '-• ' ' ' - ' í ' " 't
T ,; A SVBSTANCIA Esvnea-
"I . te, que naturalmÊte se sustenta, por
, si misma y en ella el accidente, z Por
que la substancia consta de sorma y ma
teria, se puede sustentar por si, y estar «i
ÍUS pistes substanciales , que son los prin
cipios absolutos y relatos. $ Porque là
Tâtstáncia es fin del accidente ;, no puede;
estar sin ella, o sin dezir orden a ella.4To-
flo el mundo 'es vna substancia general,
constiíuyda de la bondad general , y ¿t
la> demas principios generales . y Dela
substancia general , salen muchas substan
cias especiales . 6 La substancias corpo*
raWson de las partes gruesas : y las espiri
tuales , de laj pattes subtiles . 7 Las subs
tancias1 especiales , de tal manera estan
]èn la general , como los peces en el agua.
8 La planta es vna substancia especiafe
y biue de la general , como el hombre del
ayre, y el pez del agua. 9 Las substan
cias , que tienen mas subtiles especies,
fon mas suptiles . 10 Toda substancia
corporal
'D EL A l T ET? S
corporal , esta en la substancia general,
ii Dios , y los Angeles , y almas son subÊ
tancia sin cuerpo . 1 1 La substancia del
Angel y su especie inuisible , se conuier-
ten ' i y Ningun sentido toca a la subs
tancia / sinió a sus accidentes . 14 Sol»
la substancia ', es{ subjeto de sus poten
cias. 1 y Niuguna substancia , tiene su
acto suera de si . 16 La vestidura natural
de la substancia, y sus instrumentos , son
•ios accidentes . 17 Ninguna substancia
crece en fuTraroero , sino por el augmen
to de sus partes . 18 En el crecimiento
de sus partes , crecen sus accidentes . 19
í^ualtjuier substancia Phisica , es corpò-
- ral , o espiritual. 10 No ay maye*
' ? contrario de la substancia,
•,¡, que el nada.
. i . '; •'(*") ' ",;n '•'
i- , • : — tíl '>
$. Qu^rto. Del Accidente."
* - §.Quinto.
D E V A R T E. 8
.. .V.:. I. •» .'"» s.J.3.' . -• . » :. f.
f. Quinto. De la Bondad.
LA BONDADES Aque
lla , por la quel lo bueno obra bien:
bien es que lo bueno sea , y lo malo
que no sea . x Afsi es lo bueno por la
bondad , como lo que es coloreado por
la color . 3 Porque la bondad es causa del
bien, es el ser bueno. 4 Por ser la bon
dad y malicia contrarias, la priuacion del
bien es mala . y El ser del mal es malo,
y el ser del bien es bueno .6 Si el bien
suetTe del mal, la priuacion del bien seria
buena . 7 Si el mal suesse del bien , la
priuacion del bien seria buena . 8 Si de
la bondad , y de la malicia se hiziesse al
guna cossa , su ser seria malo y bueno, y fu
priuacion tambien. 9 Todo aquello, que
es bueno , es bueno por la bondad.io Nin
guna cofa tiene ser enfí, debajo de especie
de bondad, sino es buena. 11 Enquanto
la bondad, es sor ma de todo bien, es prin
cipio de todo bien. n. Si ninguna bon
dad huuiesse substancial, seria lasubstan
cia mejor por otra cossa, que por la bondad,
.;'ïw..;;-' b j La
DECLARACÍON
¿abundad de la grandeza es accidental,
ij. La bódad de la justicia es accidétal me-
ral. 1 6 Si la bondad suefle sin accion , nin
gun bien pudiera ser delia. 17 Ningü acto
de la bondad es malo. 18 Todo aquello,con
quien la bondad participa , conuiene sea
bueno. 19 Porque la bondad es mayor enla
grandeza,que en la pequenez: la grandeza
y pequenez son buenas en la bondad. Y de
esta manera se podran yr poniendo veynte
maximas en cada principio , y sorma : co
mo las pone Raymundo en el libro de los
seys mil prouerbios.
A Y tresterminos,clvnose llamaíma
/A gen, el otro seraejança, el otro vesti-
*« f- gio: porc] cri ando el altissimo,quan-
do sue Tu sancta voluntad,repartio entre las
Criaturas lassemejanças de sus diui nas per
fecciones. Y porque entre las criaturas ay
gra'dosde capacidad mayory menor, repre
-sentan mas y menos las excelencias de fu
hazedor , segun su mayor o menor modo
raturaby assi las espirituales ( queconstan
de libre albedrio) hizo Dios a su imagen: y
las corporales substancias a susemejança: y
los accidentes de las vnas y de las otras, son
solo como vestigios.Imagen es,cómo vn re
trato sacado de la cosa retratada. Semejan
za es la que ay entre vn rostro y otro differé'
tes. Vestigio es solo vn indicio,o señal .o ra
stro
stropor donde sepuede cójccturar alguna
cosa. La imagen y vestigio tiene el angels
la semejança y vestigio los cielos, y elemen
tatiua,y vegetatiua,y sensi tiua,y imaginât!
ua: y el vestigio solo la instrumentatiua : y
la imagen , y se mejança , y vestigio tiene el
liombre . Todas las quales criaturas estan
echas cósorme a la idea del diuino entend!
. miento. Y assiVnos buscaron la verdadpoc
los accidétes o vestigios : y otros en las sub>
stancias sensibles por la semejança : y otros
en las intelligibles por la imagen. Mas pofr
que Christo en quanto Dios es la idca , y
en quanto hcmi br« i inagen y semejança y
yestigio: pudosoloel manisestarnos ladcs-
nuda ypura vjetdadryassi sinel nopode-
mos Iiazer nada , con Ari stoteles, ni Plató,
ni con los demas sabios del mundo.
? !í"'î '.noq iùa v .
prìmero. De lospreceptoscomu-
nes a todas las difEniciones.
LA - JVlethaforicadifinicion , fe haze
trafplantando los atributos de vnas
cofas en otras para mayor adorno,
y amplificacion. Tabien fuple las faltas cj
ay de vocablos. 3 Täbien finie para ocultar
Id q no conuiene decirfe en léguaje del vu!
go. 4 Co alegorias fe diíSne methaforica-
ШСШСк
*s DEC LARA CION,
íhente. j Con enîgmas se diffine rhetha-
foricamente . 6 Con hieroglisicas se diffi
ne methasoricamente . 7 Con parabolas
fedifìne methasoricamente. 8 Con seme-
jançasse diffine methasoricamente.9 Con
creemplos se diffinc methasoricamente.
ro Cò comparaciones sc diffine mèthafo*
ricamente.11 Con siguras mathematîcasfe
diffine methasoricamente. iz Con fabu
las,^ ethopeyasse diffine methasoricamen
te. 13 Ha de córresponder igualméte la me
thaforay la cosa por ella representada. 14
No ha de ser menor la methasora, que la
cosa signifîcada por ella , 1 y No ha de ser
contraria'la'methásora . 16 No ha de ser
asectada. 17 No hâ de ser tibia, 18. No ha
ìleser aspera. 19 No ha' de ser sea, 20 No
ha de ser odiosa.io ni ha de ser obscura,
ra los' medios.,
$xîj.Delas aduertencias,para el i
.... , » medio methaforico.
r r ' Odo medio improprio , es metha-
'I sorico.
x Todo medio frasplântado de vn
"subjeto en otro es methasorico.
3 Todo enigma es medio methasorico. '
4 Toda parabola es medio methasorico;.'
J Todoexemplo es medio methasorico.
6 Todasemejança es medio methasorico.
c 3 7 Toda
DECLARACION
7 Toda comparacion esmediometKâsor.
S Toda paliada signisicacion es medio me
thasorico.
$ Toda fabula es medio methasorico*- ;
jo Todo resran es medio methasorico.
ai Toda alegoria es medio methasorico.
tí Toda sigura es medio methasorico.
ajTodahicroglisica es trfcdio methasorico.
J4 Todo negatiuo es medio methasorico.
iy Todo contrario es medio methasorico..
j<í Todo impossible , absurdo , y inconue*
nientees medio methasorico. ; T >
O S Cótrariososon proposiciones,
d terminos( cómo nombres, verbos
J y parriculasjosost coítfc las proposi*
ciones o son contradictoríâSj o contrarias^
subcontrarias, o nibalternâs : losterminos
y cosascontrariosj oson relatiuos, o priua^-
tiuos , o áduersatiuos, o contradizentes ; 9
para queestos seaîíïáles han de tener quar
tro condiciones. La primera, queseahtaìes
ïespecto dealgun subjeto proporcioriado:
lasegunda,reípect:o de vn miimo subjètoì
la tercera , en vn mismû modo y considera
tion: la quarta , aun mismo tiempo. Y este
lugar es el quellaman.de repugnântes,o ad
uersatiuos , y procedese en el desde la affir-
macion del vno, a la negacion del otro: co»
mo este papel es blanco,luego no es negrot
Miguel es hiimilde;luego no es soberuio. Y
desde la negacion del viïo a laaffirmacion
del
U ü 1, A K T E. 37
del otro: como tres,no son pares,luego son
nones: entre los quales contrarios , vnos ay
inmediatos, como pares y nones : malo y
bueno , humilde y iobcruio , sano y enser
mo: entre los quales vale la argumentacio
susodicha : mas ay otros mediatos , como
blanco y negro, callente, y frio: y todos los
actos humanos que tien? sus extremos mo
disicables con actos indifférentes. Entre los
quales no ha lugar la regla susodicha , porq
no se sigue desde la negatiua del vno a la af-
sirmatiua del otro , sino suere negando con
sufsiciente enumeracion los demas, y affir
mando solo el vno: como no se sigue , no es
blanco el carmesi, luego es negro : ni se si
gue de la negatiua del vno, la del otro , co-
moho es blanco , luego no es negro : mas
bien se sigue es colorado,luego no es negro
ni blanco . Aunque no se ponga mas de vn
termino negatiuo en la conclusion , mas si
se huuicre de poner enella el affirmatiuo es
necessario , que en las premissas negatiua-
mente se ayan puesto todos los contrarios
de la conclusion, como esta color no es blá
ca¿ ni negra, ni azul , ni parda, ni amarilla,
ni colorada,&c. luego es verde.
El segundo lugar es, de los opuestos reía,
tiuamente donde se procede desde la afsir-
. ,;({ ' mació
DE CLARAC I UN
macion del vrio a la negacion del otro en
este lugar , como nuestra Señora es hija de
fancta Anna , luego no es madre de fancta.
Anna.
El tercero lugar es de los priuatiuos y pro
cedese en el desde la afirmacio del vno a la
negacion del otro, como Pedro es ciego lue
go no vee, Pedro es anciano , luego no es
moço.
El quarto lugar es de los opuestos cótracfi
ctcriaméte,y procedesc en el desde la afsir*
macion del vno a la negacion del otro:por-
que de las contradictorias' vna es sorçoíá-
mente verdadera y otra falsa, como si todo
hombrees mortal, falso es que alguno sea
inmortal.
El quinto lugar es , de la impoíibilidad ,
la qual es vna sorma q pone entre el predi
cado y el subjeto de la conclusion vna incô-
cordable contrariedad: comodtn possible es
volarlas aues sin mouimiento,como callé-
tar el suego sin calor.
El sexto lugar es, de la manisiesta falsedad,
la qual es vna sensible contradicion einne
eable,como el sumo Pontisice es vicario de
lesu Christo , luego no tiene llaues para a-
brir y cerrar el cielo mediate los merecí mié
tos y potestad de Iessu Christo: Christo es
D E L A RT E. '58
Dios luego no puede resufcitar los muer
tos . laqual es manisiesta falsedad.
El septimo lugar es delinconuiníente , q
esvna obscura conscquencia contraria ala
rectitud y orden , como íí no ay resurreció
vniuersal, nunca abra premio ni pena pa
rt el hombre que con sus obras lo merecio :
pues la alm asola no es hombre , ni el cuer
po que ya se acabo y perecio.
El octauo lugares del absurdo, q esvna
contradicion sea y abominable , como si
noay paga para los buenos, ni pena para
los malos : seguyr se ya que Dios suera in
justo.
Y por este lugar se arguye c5trariado en
tre las criaturas intelectuales e intelectua
les: intelectuales y sensuales : y sensuales y
sensuales .
Y puede se enesta clase poner tábien por
nono lugar el de los incompatibles , el qual
situe para medios jocosos , como tan possi
ble es traer vn cribo de agua, como vn ger
gon de azeyte.
A los quales lugares deste triágulo verde
de differencia, concordancia, y cótrariedad,
se puede añidir otros muchos lugares por la
combinatoria de todos los demas princi
pios, pofttiuos > y priuatiuos , mas estos
veyn
DEC LAR AC1UN
Veynte y sute bastaran por exemplo . Y
cite triangulo es proprio de la accion.
F I N.
En Madrid.
M. D. lxxxvi:
.