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Le cardinal Feltin

» La tentation peut être grande pour un prêtre, « La soumission des catholiques au magistère n'a
écrivait 'ie cardinal Suhard en 1949, de prendre à rien à voir avec cette démission du sens critique el
son compte des fonctions qui ne sont pas les sien- cette absence d'initiative. Elle confère de la gran-
nes et pour lesquelles les laïcs seuls ont grâce d'é-

et les prêtres-ouvriers
deur à celui qui en fait preuve. Son éminente digni-
tat. Il saura résister, même si «l'efficacité » immé- té lui vient de ce qu 'elle conforme notre volonté
diate s'en trouve diminuée. Car son rôle spécifique d'hommes, sujette à l'erreur , à la volonté de Dieu,
n'est, en aucune manière, de gérer ie temporel. notre Souverain Bien. »
Là expire sa compétence. »
Cette obéissance doit être surnaturelle, humbie
« A aucun moment , écrit Mgr Feltin, le cardinal ef patiente. « Ainsi, l'acquiescement qui nous est de-
Son Em. le cardinal Feitin , a publié dans la « Se- « La réaii-té, poursuit I archevêque de -Paris , élait
n'accepta que l' on attendît un changement des str uc-
maine religieuse de Paris », du 27 février , une im- plus humble. Ces prêtres ne s'attendaient pas à des mandé ne doit pas être seulement une soumission
tures économiques ou sociales pour annoncer l'E- extérieure , mais un assentiment intime. Cesser de
portante Lettre Pastorale qui a pour titre : « Sur un effets immédiats ; cependant leurs prières el leurs
vangile. » blâmer , par la plume ou par la parole, c 'est déjà
problème actuel d'apostolat missionnaire ». Ce docu- sacrificesobtinrent des résultats indéniables. Des
ment d'une remarquable précision, d' une grande beaucoup. Mais notre foi nous invite à dépasser une
conversions , d'abord ; de nombreuses lettres éma- Ce que nous devons faire
nant de bien des milieux sociaux l'attestent d'une rési gnation passive, plus apparente que réeile, en
clarté , caractérisé par un appel a l'obéissance et à ia
Dans la seconde partie de sa Lettre, le cardinal nous persuadant que Dieu agit dans son Eglise. »
patience , apaisera bien des esprits el cont ribuera à manière parfois bouleversante. Mais, surtout, en par-
Feiti n . trace aux catholiques la conduite à tenir. Elle
résoudre le problème des prêtres-ouvriers. tageant ie sort de leurs frères ouvriers, ils ont four- L'E g lise tout entière doit se mettre en éta t de
tient en deux mots : union confiante à l'Eglise et ac-
Constatant que 'les catholiques de France « tra- ni un témoignage qui a porté infiniment plus loin mission. Le cardinal Feltin insiste sur la nécessité de
tion concertée.
versent actuellement une crise grave », que le ma- que leurs ateliers ; il a traversé les barrières des poursuivre l'apostolat. « Non seulement il n'est pas
« Certains pensent trouver une explication ef une
laise « a atteint l 'opinion publique », l'archevêque classes sociales et ies frontières de la France ; il a question d' un retour en arrière, mais 11 'faut conti-
solution aux événements réticents danis une préten-
de Paris écrit : commencé à faire tomber île préjugé itenace d'après nuer la recherche dans !e domaine apostolique, fai-
due divergence entre les évêques de France et le
« Mais ce qui est plus sérieux , c'est le désarroi lequel l'Eglise du Christ ne serait pas l'E g lise des re œuvre d'imagination, d'invention.
Saint-Père. Ils se trompent. Notre attachement au
des consciences. A côté de ceux qui exploite nt et pauvres, imais l'alliée de l'argent.
Siège Apostolique est entier et inconditionnel. Com-
qui triomphent, il y a les âmes qui souffrent , les vo- » Pourquoi alors!, s 'indigne l'opinion, pourquoi
me celui des prêtres et des fidèies de notre pays,
Ce que doit être notre obéissance
lontés qui s'interrog ent. Chez certains, il s 'agit d'une supprimer les prêtres-ouvriers ? Revenons au com-
il rie se fonde pas sur une crainte servile , mais sur » Cette union dans l'effort missionnaire doit se
véritable crise de loi. Leur confiance en l'E g.ise esl muniqué. L'Eglise, affirmons-le fortement, désire le
un principe de notre foi , dont l'histoire nous révèle manifester d'abord chez les prêtres . Il n'y a qu 'un
ébranlée. A la suite des décisions récentes prises maintien «d' un aposto lat sacerdotal en plein milieu
du reste, l'incomparable efficacité. Ce principe , c'esl seul sacerdoce. Mais il faut que ces prêtres, ainsi
par la Hiérarchie, on attribue , en effet/ è l'Eglise, les ouvrier ». Il n'est question ni d' une condamnation,
l' union à l'Eglise et l'obéissance au -Pape. accordés entre eux , et avec la Hiéra rchie , le soient
intentions ries plus malveillantesè regard de la ni d' une suppression, mais d' un aménagement. Amé-
» C'est dans cette vision de foi qu'il faut juger et tout autant avec le laïcat, sans leqyel rien ne se
classe ouvrière et , À l'égard de la pensée et du nagement profond, il esf vrai , car lies conditions
accepter les décisions du Saint-Siège. Chef suprê- fera. »
monde modernes. énoncées obligent « à repenser » les modalités de
me de l'Eglise, le Pape exerce une .autorité qui esl De façon émouvante , le cardina l achève sa Lettre
¦ l'apostolat de ra Mission ouvrière.
» Cette crise de foi se retrouve 'fatalement au aussi celle d'un père. Le Pape est ie gardien de la par un appel à la prière « pour que 'rien ne vienne
plan de l'action. Prêtres et laïcs, engagés dans l'a- » Pourquoi I rEglise demande-t-elle ces modifica- foi et de la tradition de l'Eglise , avec laquelle il compromettre l'effort de rapprochement par les prê-
postoiat ou dans lia recherche intellectuelle, croient tions ? En premier Jieu parce que des déviations met chacun de nous en communication vivante. Mais tres-ouvriers . Il est impossible que tant de prières
que le mouvement missionnaire , qui s'était affir- étaient à redouter et se sonf de fait manifestées. il est aussi tendu vers l'avenir. Ill prépare les éta- res tent vaines.
mé sous des formes et en -des milieux divers est dé- Bile veut les éviter , soucieuse de maintenir la pu- pes futures du peupl e des baptisés en marche vers
finitivement compromis. Ils se demandent ce qu'ils reté de sa doctrine parmi ies fluctuations des théo- « Aussi, au terme de ce message que m 'ont dicté à
le Royaume définitif.
ont désormais le droit rde penser , d'écrire ou d'en- la fois mon angoiss e et la vôtre , je veux vous dire
ries diverses. DWifre part, lie milieu qu 'allaient » Aussi lout esprit de bonne foi peut et doit être
treprendre pour rester fidèles à l'Eglise sans trahir ma confiance... Gardez donc foi ef courage, à l'heu-
aborder ces prêtres eut exigé d'eux outre la géné- convaincu de la ferme volonté du Saint-Siège de
leurs Itères incroyants. Mais ils sont également meur- re où se joue dans les consciences un drame donl
rosité dont ils ont fait preuve, des connaissances ex- préparer les adaptations apostoliques 'nécessaires à
tris. je sens ef partage le déchirement. Ne prenez pas
ceptionnelles dans l'ordre ifhéologique , spiritu el, f'évaingélisation d'un monde coupé du Obrist et d'un
» En présence ' de cette douieur et de cette cri- économique et sociai qui eussent réclamé d'eux une cette invitation au calme, à l'obéissance et à l'es-
milieu où l'Eglise -est absente. »
se, l'heure me semble venue de parler el de faire longue préparation que les circonstances de guerre pérance comme l'ignorance d'une évolution qui s 'ac-
Ayant remarqué que rie seul mol d obéissance
une mise au point que je vous dois en toufe loyau- ef d'après-guerre rendaient impossibles ». complit ou comme une insulte à une détresse qui ,
«soulèv e actuellement dans tous les milieux un mou-
té. » elle, n'attend pas. »
L 'archevêque de Paris aborde alors le problème vement d'ind ignation », le cardinal Feitin montre
Pourquoi Rome a parlé de l'engagement temporel. En raison même de la qu'il n'est pas juste, parce qu 'on confond l'obéissan- « Interpréfez-ie au contraire comme un appel à
confiance que ces prêtres inspiraient à leurs compa- des vocations missionnaires. ».
Tout d'abord le cardinal Feltin parle du commu- ce authentique avec ses contrefaçons qui sont la lâ-
gnons de travail , iis «se virent attribuer un rôle de
niqué relatif à « l' expérience des prêtres-ouvriers » cheté, la -rési gnation passive, l'inaction.
conseiller, d'arbitre , puis de militant ou de responsa-
paru dans la press e ,e 14 novembre dernier. Cette
ble syndicaliste. 'Refuser cette part du risque ou du
note , signée des cardinaux Liénart, Geriier et Fel-
combat, ne serait-ce pas manquer à la solidarité ou-
tin, avait été rédigé è l'issue d' une audience du OE JOUR EN JOUE
vrière ? Certa ins le pensèrent et donnèrent ainsi peu
Pape et en plein accord avec lui.

Après Berlin, Caracas !


à peu, le pas à l'action temporelle sur les préoccu-
Cette déclaration, poursuit Mgr Feltin, qui dès son
pations spirituelles ».
origine ne concernait que les prêtres sécutie's, à
Le Pape et les évêques, tout en comprenant les
l' exciusion des religieux , lesquels relèvent de leurs
raisons profondément émouvantes qui pourraient
Supérieurs, n'a été infirmée officiellement depuis
inspirer à ces cœurs de prêtres le souci d'épouser
par aucun document romain. Des commentaires in- par Me M.-W. Sues
vraisemblables en onl éfé fait. La plupart l'inter- en tout la condition ouvrièr e, avaient Ile devoir de
préciser jusqu'où peut aller ia solidarité, sans tomber
prètent comme une suppression pure et simple de
dans l'erreur ou la confusion et aussi d'établir la dis- Tandis que Naguib revient, que Scelba semblées ordinaires ou extraordinaires, les
cetfe forme d'apostolat. II paraît indispensable, pour
tinction entre la vocation et la fonction du laïcaf. s'installe, que Daniel dure, M. Foster Dulles, à vingt et iune Républiques de l'hémisphère oc-
dissiper tout malentendu, de commenter ce texte
Le cardinal Feltin insiste aiors sur cette distinc- peine rentré à'Washington, reprend l'avion et cidenta l se réunirent pour discuter des af-
en tenant compte et de l'entretien qu'il résumait e!
tion des lâches, affirmant de nouveau que l'E g lise se dirige franchement vers le sud. Il est arri- faires qui leur sont propres. Plus elles sont
dés réunions d'évêques français qui l'ont précédé el
reconnaît la dignité du travail manuel. « Mais, pour- vé hier au Venezuela, car dans sa capitale, petites ou plus elles sont éloignées des Etats-
SUIVI.
suit l'archevêque, si le travail manuel n'est pas in- s'ouvre une Conférence pan-américaine. Unis, plus elles sont jalouses de leur indé-
Le cardinalFeltin commente alors cette phrase
compatible avec le caractère sacerdota l, le labeur Faut-il rappeler qu'il y a quinze jours, au pendance et n 'entendent subir aucune , pres-
du communiqué : « ...Après dix ans d'existence , l'ex-
des moines et de quantité d'autres prêtres en fait moment où M. Molotov, pour faire diver- sion de la part du gouvernement de Was-
périence des prêtres-ouvriers , telle qu'elle a évo-
foi , se serait un sophisme que de vouloir établir sion, et briser l'alliance atlantique, présenta hington. En revanche, celui-ci, qui est tou-
lué jusqu'à ce jour ne peut être maintenue dans sa
une identité enlre le sacerdoce et la condition ou- son plan d'organisation pour l'Europe occiden- jours imbu de la notion de la « sœur aînée »
form e actuelle. »
vrière. Même s 'il accomplit un travail identique et tale, M. Foster Dulles répliqua sans hésiter : et qui peut se permettre de tenir le rôle de
« Qu 'est-c e à dire ? Impossible de l' exp liquer sans
d'une durée égale à celui de ses compagnons laïcs, « C'est la doctrine de Monroë que vous vou-
remonter au célèbre jugement de Pie XI : le grand bailleur de fonds envers ses amis, cherche
le prêtre reste toujours différent d'eux. Dans ie lex appliquer au « vieux-monde ! » James non pas à dominer ou s'imposer, mais à im-
scandale du XIXe siècle , c 'est que PEglise a perdu
même moment où il est profondément engagé dans Monroë, cinquième Président des Etats-Unis, primer au continent une ligne directive cohé-
la classe ouvrière ». Et l'archevêque de Paris, rap-
la condition humaine , et vraiment l'homme das hom- élu en mars 1817, réél u en 1821, présenta au rente et correspondant le mieux possible aux
pelle tout co que depuis ving t-cinq ans , l'Action ca-
mes, le prêtre est et demeurera toujours un séparé ,
tholique a entrepris, par ses mouvements spécialisés, Congrès, le 2 décembre 1823, un Message intérêts vitaux d'une partie du monde qui
un consacré , un médiateur , l'homme de Dieu ».
en faveur des « transformations sociales que récla- historique auquel son nom demeura attaché. s'affirme de plus en plus importante .
ment la justice et l'amour. » Puis , des enquêtes ayant L'archevêque de Paris démontre ensuite que l'E- Il avertissait les nations européennes qui in- Cette fois-ci , deux questions sont principale-
révélé l'importance du lossé qui sépare l'Eg lise el glise n'est pas intervenue pour des raisons politi- triguaient en Amérique du Sud, que le Nord ment à l'ordre du jour : la pénétration com-
le monde ouvrier , ie cardinal Suhard, « soucieux de ques , mais bien pour des raisons doctrinales et pas- ne saurait rester indifférent à une interven- muniste et la pénétration capita liste ! La pre-
pousser plus loin cette action missionnaire, conviait il torales. Les mesures ont été prises « par amour de tion de leur part, n employa pour la premiè- mière a été inscrite à la demande du gou-
y a dix ans, des prêtres jeunes et généreux , à se con- ces prêtres pour sauvegarder en eux la primauté du re fois le fameux slogan : «t L'Amérique aux vernement des Etats-Unis. On sait quel étran-
sacrer particulièrement au monde ouvrier dans le- spirituel. Mais cette sollicitude s'adress e tout autant Américains ! » Cependant, ce n'est que sur ge complexe font actuellement les Yankees
quel tant de souffrances sont accumulées ». à ' a classe ouvriè'e. une initiative du Président Harrison , que se devant ce problème, dans leur propre pays.
h les invitait à en partager la vie , les espoirs et » C'est peur lui garantir un Evang ile pur de tout réunit, le 2 octobre 1889, à Washington, la Les phobies et les exagérations de Me Car-
les peines. II leur demandait surtout d'y porter un alliage , c 'est pour lui garder des apôtres et des té- premmière Conférence pan-américaine. Elle thy ont communiqué la fièvre à trop de gens.
témoignage vivant de la richesse réconfortante du moins sans défaillances, que ces règles ont été t ra- avait pour objectif officiel, proclamé par le Tous ceux qui n'ont pas perdu la tête protes-
catholicisme et d' y être les ministres de la grâce du cées. Elles onf pour but et il faut qu ' elles aient pour Secrétaire d'Etat James Blaine, de susciter des tent par le tru chement des associations les
Christ. Ces prêtres s ' engag eaient dans le monde du effet de maintenir la mission dans sa ligne primi- relations plus étroites et plus amicales entre plus diverses. Mais, jusqu 'à présent, le Prési-
bavai!, avec toute leur foi , leur ardeur et routes .eurs tive. » les nations hispano-américaines d' une part, et dent n'a pas voulu prendre nettement posi-
valeurs sacerdotales . Ef le cardinal Feitin apporte une importante pré- les Etats-Unis de l'autre, considérés comme la tion contre le bouillant sénateur. Ainsi l'in-
cision : « Certains osent revendiquer , à l'appui de * soeur aînée » de la * famille > continenta- quisition se poursuit jusqu 'au sein de l'armée,
Vrai et faux visage de la mission tous leurs engagements temporels, voire de leurs le. Toutes les nations de l'Amérique latine, à dont les chefs ne savent comment répondre
Le cardinal Feltin déplore qu ' une « pressa avide opinions politi ques personnelles, le patronage du la seule exception de Saint-Dominue, répon- aux sommations de la Commission d'enquête.
de nouvelles sensationnelles » se soit emparée de cardinal Suhard, qu'ils voudraient s 'annexer dans dirent à l'appel. Mais, contrairement à l'espoir Or, cette «chasse aux sorcières» n 'aurait pas
ces prêtres travailleurs et les ait mis , bien malgré leur attitude présente. de Blaine, le plan qu 'il avait élaboré, fut re- sa pleine signification si elle n 'était pas me-
eux , au premie' plan de l' actualité. « Cela a défor- » Je dois à la vérité historique, en même temps jeté, ainsi qu'un projet d'arbitrage obligatoire. née sur tous les fronts à la fois. Le Secré-
mé dans l 'opinion les buis de cette mission d'E- qu 'à la mémoire de mon prédécesseur, de rétablir Cependant la Conférence ne fut pas inutile, taire d'Etat a donc été chargé de l'évoquer
glise. La politique s 'en mêla. On les présenta soit les faits. En fondant les prêtres-ouvriers, le cardinal car elle fonda l'Union pan-américaine qui a devant la Conférence pan-américaine. Les ten-
comme les agents déguisés du monde capitaliste , avait pour but d'évangéliser !a oasse ouvrière et de survécu à deux conflits mondiaux, durant les- dances de gauche de différents gouvernements
dont on accusait l'Eg lise d'être le soutien, soit au lui rendre présent l'Eglise du Christ par des prêtres quels les intérêts de ces républiques furent hispano-américains sont connues. Il s'agit de
contraire comme des ferments de désordre et d'a- qui compléteraient l'action du laïcaf grâce au rayon- souvent très divergents. ne point donner l'impression qu 'ils sont visés.
narchie sociale. nement spirituel de leur sacerdoce. Depuis lors, à intervalles irréguliers, en as- D'ailleurs, on passe sans transition, dans ces
qui coïncidera avec le dimanche des malades fixé

Le communiqué de la conférence
Républiquesdu « pronunciamento » militaire
à la dictature des syndicats. Il est même en Suisse à cette même date ; les cérémonies reli-
des générarux — et non des moins puissants ! gieusee ei lès sermons de cet te journée s inspireront
du r appel des devoirs de tous envers l'âme et le

des Evêques suisses


—- qui s'appuient ouvertement sur la masse
dès travailleurs. Ce sont là des conceptions corps des malades. Dans cett e même perspective,, les
iirbprès à cette partie du monde, où les ter- évêques suisses fixent, pour cette Année Mariale sut
mes « république » et « démocratie » n'ont le 25 mars une Journée des prêtres et du sacerdo-
pas du, . tout la même signification que dans ce ; sur le dimanche 4 avril , une Journée des chré-
A Vissue de leur Conférence d'hiver tenue à So- qu'avec mesure, diserrétion et bienveillance ! II ne
la vieille Europe. M. Dulles n'accordera pas de Son niais tiens persécutés et sur le dimanch e 23 moi une
leure, les 22 et 23 février sous la présidence faut pas seulement voir Jes ombres du tableau ;
ce domaine constitutionnel. En revanche, il Exc. Mgr Jelmini, administrateur apostoli que du il faut d'abord en percevoir les lumières. Le cath o- Journée de prières des enfants pour la p aix.
traitera du danger de l'infiltration de l'idéo- Tessin, N N . SS. les évê ques de Suisse ont publié le licism e sincère aura toujours pour l'Eglise une re-
logie marxiste dans des masses populaires sou-
Le problème religieux
communiqué suivant : connaissance et un amour profond.
vent 'primitives et incapables d'un discerne- Réuni en conférence à Soleure, l'Episcopat catho- Les prêtres et les laïcs se feront un devoi r de ren-
ment politique suffisant. Il parlera beaucoup
plus pour sâtisfàir-e ses propres compatriotes
li que suisse tient tout d'abord à exprim er son filial dre à la Sainte Vierge un culte d'amour et de con-
attachement à Sa sainteté Pie X l l cn adressant au fiance ; ils insp ireront leur dévotion à Marrie par
et la population yougoslave
et remplir son mandat que pour impressionner Chef de HEglise catholique sa gratitude pour la fa- l'enseignement de l'Ecriture Sainte et de l'Eglise.
des hommes d'Etat, très chatouilleux dans un veur accordée au monde par la promulgation de Enfin , l'Ep iscopat recommande aux fidèles de por- Le questionnaire que les citoyens yougoslaves ont
domaine où ils supportent mal la moindre re- l'Année Mariale. 11 y joint les vœux d'une comp lète ter attention aux grandes intentions de l'Apostolat reçu , en même temps que se faisait un recensement
commandation, qu'ils considèrent comme une , comprenait une question sur l'ap-
gu érison et assure l'auguste malade dee prières de de la Prière. La Protection du Tout-Puissant et ses de la populationieuse. Us avaient à déclarer s'ils se
intrusion étrangère iriadimissible. On en de- partenance relig
tout le peuple cathol ique suisse. grâces se feront abondantes pour la Suisse et ses rattachaient à l'Eglise orthodox e , catholique romai-
meurera néanmoins aux exposés oratoires. Exam inant les conditions relig ieuses de notre P ays, fidèles., si l'intercession de la Vierge Marie est sol- ne, protestante, ou autre , ou s'ils étaient sans reli-
Mais le « bomenang » viendra en retour. lés évêqu es constatent à ITheure p résente une recru- licitée par tous. - , . ., .. . 8» on - . . . . ..
Le Venezuela et l'Argentine réclament que Pourquoi , alors que beaucoup de non cath oli ques, Il n'existe pas de statistiques donnant ies chiffres
descence des attaques confessionnelles rantieatholi-
comparés des Yougoslaves, chrétiens , juifs ou autres.
cesse nn régime colonial , périme. Plusieurs pe- ques. A leur avis, le devoir des chré tiens devrait qui jugent l'Eglise du dehors, en reconnaissent la Maie la majorité de la population , qu 'on évalue à
tites ItèpùbiTiiçiiûes de i'Amérique centrale — être plutôt d'accentuer ce qui unit et de fui r ce qui grandeur , admirent eon unité, sa puissance morale 80% selon des. informations de Yougoslavie, se
,'dont {précisément lé Guatemala qui est visé divise ; de s'opposer au matérialisme théori que et et sa vital ité religieuse ; certains membres de déclare adepte d'une religion. De ceux-l à. la plupart
dans l'autre queistiori — soutiennent les deux sont orthodoxes. La proportion des croyan ts par
pratique, qui s'infiltre dans la pensée et dans la l'E glise, habitués à sa gra ndeur , ne regardent trop rapport aux non-croyants est plus forte ù la campa-
« (requérants J> . Ce sont, d'une part, les Gu- vie de lia nation ; d'emp êcher la dépravation des souvent que les dégradations faites par les hommes gne que dane les villes : 9 0 % de la population pay-
yiànes, d'autre part les îles Falkland, qui sont mœurs de s'afficher publi quement ; d'enrayer la dé- ù cet éd ifice divin ? Des vocati ons de première va- sanne s'est déclarée croyante , alors que les citadins
en jeu. Les premières appartiennent (respecti- cadence de la vie matrimoniale «t familiale. Il leur leu r ne peuven t éclore que là où règne un filial atta- ne le sont que pour le 75 %.
vement à rla France, l'Angleterre et ies Pays- Récemment , le maréchal Tito , parlant des rela-
semble qu'il serait plutôt indi qué que l'union de chement à l'Eglise. . . . . tions' entre les Eglises et communautés religieuses et
Bas ; les secondes à la Grande-Bretagne. Cer- tous- se fasse en Suisse pour travailler ren faveur Les laïcs — nous le reconnaissons avec joie — ont l'Etat, s'est exprimé comme suit : « Dans l'ensembl e,
taine Etats hispano-américains estiment que des- préoccupations 'relig ieuses et pour lutter con- de plus en plus conscience du rôle qu'ils ont à rem - toutes les communautés religieuses , que ce soit l'E-
l'époque de là de la colonisation européenne tre l'affaiblissement de la foi ; pour maintenir l'in- plir au service de l^E gllise en collaboration avec le glise orthod oxe serbe,. l'Eglise protestante, les mu-
est révolue ©t ils réclament un changeiment de sulmans, les vieux-catholi ques , et d'autres plus- pe-
fluence chrétienne à l'école et dans l'éducation ; clergé. Nous constatons avec satisfaction les progrès tites communautés, ont entretenu des relations cor-
Statut. On discutera, autour de cette épineuse pour rendre" plue fidèl e à un deg ré .élevé de morali- du tra va il conjugué des prêtres et dee laïcs, accom- rectes avec l'Etat. Mais , a-t-il ajouté , les choses ont
question, niais, comime dans l'autre cas, il est té le film, lai radio, Ja télévision, la presse et en pli dans une confiance réciproque : c'est d'une part été plus difficiles, avec l'Eglise catholique romaine » .
peu probable qu 'on arrivé à des conclusions général tous les facteurs qui influencent la pensée l'Action catholique si .bienfa isante au sein de l'Egli-
, 'pour ce qui est de . l'Eglise orthodoxe , l'Associa-
concrètes. tion des prêtres à laquell e a p p a r t i en n e n t la pin-
et la conscience de la naition. se ; c'est d'autre part l'activité des catholi ques en- part des membres du clergé (environ 16iï0 sur un
Néanmoins, la Conférence dé Caracas per- Les Evêques Suisses constatent que,- à la suite gagés dans le monde et collaboran t .avec tous ceux total approximatif de 2300), n'a pas été , comme on
mettra de prendre le pouls du monde hispa- des malencontreux débats de Zurich concernant les qui ont à cœur Ile maintien des principes évangéliqucs sait » officiellement reconnue par Jc Saint-Synode.
no-américain, de connaître son opinion actuel- Jésuites., la mise « ad acta » de la motion présentée et le/triomphe de la pensée et de la culture chré-
o
le, ses ajpiriatiioiis, À ce titre déjà , eÉe sera ¦
Après là catastrophe
au Grand Conseil, de ce canton a fait faire quelques tiennes. .
. - -- - '
extrêmement intéressante. . progrès vers une solution du problème. La raison Parmi les douloureuses constatations de notre
Me M.-W. Sues. et le sens de» responsabilités ont finalement réduit époque , ill faut noter les déviations qui entourent si
à néant une partie des accusations calomniatrices souvent le comportemen t de. la vie sexuelle, cellè~-ci
proférées à cette occasion. Les évêques expriment se concentre de plus en plue dans les seuls instincts
ferroviaire près de Luchon
le vœu et l'espoir que l'opinion publi que se rende de la nature : le côté biologique semble seul comp-
<wvœx£gm) £r/?Atvç£#£S
mËWaa+-, m mm—t. A ff"fBfc im 9à 1 .M _,_ __. _ _ . _ _i. __ __ _
M. M.
de mieux en mieux compte que les injustes articles ter, au. détriment de l'esprit et de l'âme. Cer tains
d' exception ete la Constitution fé dérale sont suran- veulent fixer les normes de la vie d'après . tes^onr-
- Bien avant le . lever du jour, une caravane compo-
sée de ^gardés ORS et de gendarmée a quitté Lu-
chon pour atteindre, en suivant la voie ferrée du
nés. C'est là une vérité qu'il faut répéter sans ces- nées statistiques et les expériences biol ogiques ; cheimin de fer à crém a illère, le lieu où s'est pro-

Grave incident à Kharloum se en publie, jusqu 'à ce que justice soit faire, grâ- alors , que l'homme , conscient de ea personnalité sp i- dui t, dima nche soir, l'accid ent qui a coûté la vie à
ce à la comprueueion du p euple suisse tout entier, rituelle et de sa responsabilité, doit régler sa vie 9 personnes, . .. ,
Depuis_JJaigiiiJlage de Miehage, où le convoi a
qui en définitive, aime la liberté. Il est demandé aux entière d'après les normes d'une morale établie, par commencé à prendre de la vitesse, jusqu 'au lieu où
20 morts 117 blessés h ommes politiques!, jeunes et anciens, d'unir leurs Dieu, qui reste notre Maître. Le Chiriet a fait du la locomotive est t ombée dans le ravin, les sauve-
efforts afin de conduire l'opinion publique à une mariage un sacrement, une des sept sources de teurs fouill ent les abords boisés de ia voie, afi n dc
Une grave collision s'est produite, lundi matin , conclusion de (justice et d'honneur. grâces qui sont appelées à sanctifier l'humanité. s'assurer s'il n 'y a pas de victimes que les recher-
dévamt la résidence du gouverneur général, entre la ches, effectuées, la veille, à la nuit tombante, n'au-
p olice ert des membres de tribus soudanaises. Une Tout en insistant sur la fidéli té religieuse doctri- C'est profaner le mariage et le ravaler ;à un instru- raient
pas. permis de découvrir. Il a été notamment
vingtaine de personnes ont été tuées et 117 bles- nale et pratiquie, lIEpiecopat Suisse confirme «res ment de satisfaction de» bas instincts que de fui signalé que deux jeurnes gens, qui ne figuraient pas
sees. frarmi les turés se trouve M. S.-C. Marc Guigan , appels p récédents, à la vraie tolérance ; eeMe que le enlever , ce que Dieu et la religion lni ont donnié dé parmi les victimes, n 'ont pas regagné leur domi-
commandant britannique de la police de Klhartouni Souverain Pontrilfe indiquie comm e nécessaire dans sacré. Les conséquences d'urne , telle conception, de cile. - ,.;.
et six poil ici ers. La plupart des manifeetauits appar- Plus de 300 personnes qui se trouvent au refuge
tiennient au parti de l'indépendance Umma, et la vie d es. nations. la vie sont là pour prouver avec évidence que la Ou au grand' Hôtel de Siuperbagnèree devront être
étaient venus à Khartoùm pour l'ouverture du par- Les. évêques- suisses ont enregistré avec satisfac- société tourte entière ne peut qu'en p âtir ! ravitaillées par des caravanes jusqu 'au rétablisse-
lement soudanais . Les manifestants criaient « à bas tion que le nombre des. candidats qui sollicitent leur Les évêques suisses ee doivent de signaler avec ment du trafic normal.
l'union » (ave c l'Egypte). Ce parti réclame l'indé- admission dans- les Séminaires', comme dans les Cou-
p laisi r lia fidélité à la foi de nombreux catholiques ,
pendante du Soudan, rejetant l'union avec l'Egypte,
C'esit dans trois' ans qu'une décision devra intervenir vente d'hommes et de femmes s'est quelque peu ac- qui, même dane 'les centres urbains, où tant de sol-
SUT ce point. , centué. Cependant, la situation n'est pas devenue lici tations les attirent vers un programme- de vie
iLe gouvernement soudanais a été convoqué .en pour autant de tout repos : le recrutement du cler: moi ns ardent, suivent courageusement le .droit che-
SAUVETAGE EN MER
séance spéciale. Le vapeur britannique « Ni garietan » a recueill i,
gé paroissial laisse encore quelques inquiétud es, Il min et demeurent a ttentifs aux commandements de
lundi mati n , dans la Méditerranée, l'équipage du

En Indochine
en ,yia de la vie spirituelle de tout le peuple. L'a: Dieu et à l'enseignement de l'Eglise. Il fiait bon navire « Captain Anton i os » en provena nce du Cos-
mélioration progressive dé ce recrutement ne sera aussi de constater que la générosité dé notre peuple ta-Rirea . Les, SOS du « .Captain Antonios » avaient été
assurée que le jour où sera enrayé le .recul des nais- ne diminue pas : c'est la source de bénédictions. captés par réagence d'information néerlandaise, à La
sances et au moment où l'éducation chrétienne;, A la veille du ; Congrès des catholiques suisses, qui Haye. On. ne -possède pas encore lee détails du nau-
frage. *' ,— ' ¦
l'amour de l'effort et l'esprit de sacrifice auront re- doit se tenir à Fribourg le 16 mai, sous le signe de
(Les' foTicesi du Vietrminh ont subi dimanche, dé
prrie la première place dans les familles. l'Année Mariale, lee évêques tiennent à renouveler
lourdes pertes au cours d'une opération franco-viet-

1È32»
namienne de 30 km. au sud d'Hanoï, Le combat a D'ailleurs, la diminution des vocations a d'autres leu r appel en faveur de cette importante manifes-
duré ^rgjs , heures. Les communistes ont perdu 92 causes enc ore. Ne proviendrait-ellle pas aussi des tation et à en espérer im très grand . succès.
tués, 100 prisonniers . criti ques exagérées et malveillantes qui .trop sou- En cette Année Mariale 1954, il est demand é au
vent se font entendre dans les famill es contre l'E- cQieitgé, secondé par les associations catholiques de
glise et ses représentants. Certes, la haut e idée que promouvoir dans chaque paroiss e l'exécution dee or-
l'on se fait de l'Eglise et du sacerdoce, comme la donnances spéciales édirctéee par le Souverain Pon-
valeur et la tenue personnelle que l'on est en droit tife et par les. évêques. C'est dans cette perspective
d'attendre des prêtres^ sont peut-être à l'ori gine de que l'Episcopat suisse ordonne pour le dimanche 7 FILTRE
Dans tous les bons établissements cee criitiquieB. Mais celles-ci ne devraient se faire mars prochain , une Journée religieuse des malades, 20 CIGARET TES 75 Cts

puissen t pae toutes... A entendre ea voix, elle était


Finsbury, J'aurais peut-être aussi .demandé ce ser- encore tout à fait éveillée. Elle a donc attendu mon
virce à Brooks, mais-, à part lui, à personne d'aurtre i MAX MORELL tél éphone jusqu 'à maintenant ! »

La porte blindée
au monde. Fait es-rmo'i ce plaisir, éclairez pour moi , Avec d écision et d'un geste précis, il composa le
la situation d'Hellen aCrpenteT. Je compte sur vo- numéro d'Hellen Carpenter. La voix d'Helen répon-
tre habileté et sur votre... silence. dit- •¦'• "
(La limousine s'était arrêfée au bord du trottoir. — Tiens ! vous êtes là ! dit-il à peine aimable.
« Jla i des- affaires à liquid er ici , dit Six Finsbury ; Pourquoi dope avez-vous coup é ? Jc vous deman-
Il faut m a i n t e n a n t que je vous abandonne. Le cbauf- dais de m 'écouter.
feur va vous conduire à votre lieu de destination et — Vous n'aviez pouta nt pas l'air d'être très con-
viendra me reprendre ensuite ici. ROMAN tent du dérangement. Votre voix ne se donnait pas
L'homme aux cheveux blancs prit congé du détec- la peine de le cacher.
tive. Il lui dit encore qu'il ©aurait toujours être li- — J'avoue avoir été un peu brusque , dit-il douce-
bre, si Clive avai t 'quel que chose à lui dire. avaien t dlétrrùit en lui quel que chose dont il n'a- tourna dans, eon lit et enfouit ea tête dans lee deux ment. Je venais de rentre r lorsque le téléphone a
Clive Stuart observa Sir Finsbury qui ouvrait une vait pas encore jusqu'à ce jour soupçonné l'existen- oreillers. Il n'y avait pas une minute qu'il avait pris sonné, je ne me suis pas attendu à autre chose qu 'à
porte pourvue d'une plaque noire où s'inscrivait en ce. Il savait, diantre part , qu'il avait été sur le cette position que le téléphone sonna. H poussa le un appel dc service. Ces derniers temps, cela m 'ar-
lettres d'or le nom de l'avocat et notaire Hen ry point de tomber amoureux d'Helen 'Carpenter. rug issement bien connu de la panthère en fureur, rive presque chaque nuit.
OTDonnel . Puis J-a voiture l'emporta. Lorsqu'il fut couché, il ne put s'endormir ; à plu- chercha à tâton l'interrupteur, et une fois la lumiè- Sa voix soudain se fit douce ; il retrouvai t le
sieurs reprises, il fuit sur le point de tendre la re faite, décrocha le récepteur. ton de franche amiti é qu 'il avait plus d'une fois su
XVIII " main vers le récepteur, et à chaque fois le peu — Ici, Stuart ! grognait-il. Qu'y a-t-il ? prendre en parlant à Helen Carpenter.
Ce eoir-lù, Olive ne rentra pas chez lui avant dix d'envie qu'il avait d'entendre sa voi et de devoir Un court silence. — Ecôutcz-rnioi , dit-il. J'aimerais vous poser une
heures. Tandis qu'il ee dévêtait, il pensai t à ce que bavarder avec elle, l'empêchait de tenir sa promesse. — Ce n'est .que moi , M. Stuart. — Helen ! La question très indiscrète. Promettez-moi de ne pas
Sir ASlan Finslbuiry lui avait dit d'Helen. Pourquoi Les yeux closi, il voyait devant lui le heau visage voix était douce et calme, mais la déception la ren- m'en vourloir.j e;f; .dc n 'en rien dire à personne.
ce dernier s'inqilétait-il tant de ia jeune fille ? Quels d'Helen, il voyait ses lèvres rouges et pleines toutes dait méconnaissable. Ne vous faites pae de soucis, . 'Un court silence suivit. Il entendait sa respiration.
liens attachaient l'aristocrate -à la petite secrétaire, proches' dee siennes : eee beaux yeux 'bleus plongeant voue dormez , je ne vais pas voue accabler davantage. Elle était étonnamment rap ide. Puis elle répondit :
tout cela intéressait assez peu le détective. 'H prit dans les eiensr, le troublaient, il voyait l'éclat de ees Excusez ce malencontreux dérangement nocturn e ! Dites , toujours. Je ne dira i rien à personne et je
dans sa poche la ca rte de visite que Mies Carpen- cheveux d'or, il croyait respirer son parfum délicat. Bonne nuit. y .ne me . ifâcMërol pas. »
ter lui vait donnée et la considéra . Il n'avait pas Olive ee redressa soudain brusquement. — Helen ! Miss Helen , voyons ! Ecoutez-moi donc — Aimez-vous MitcheM ?
la moindre envie de lui téléphoner «t de bavarder « Qu'est-ce qui te prend; vieux fou ? ee dit-il tout un instant ! ,. Elle se tut.
avec elle. Il se rendait parfaitement compte qu'il haut. Tu vas 'bien té garder de revoir jamai s cette Pas de réponse. Puis un léger déclic... A l'an*** — Allez-vous l'épouser ?
tendait
.1.- \
malheureusement
.m -. - .- --
à accorder -foi aux propos
r r Mis» Carpenter. Compris ? Et maintenant, dors 1 bout du fil , on avait raccroché. Clive soupira. .,« Dia- Silence.
de Sir Ailla n Finsbury. U sentait que ces paroles D'un geste volontaire, 11 éteignit -la lampe, ee re- ble de femme ! » grogna-t-il en baillant. Qu'elle» inc ._ i - , I . (A. ouvre ).
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che) , 1 min . 29 sec. 3 ; 3. Lucienne Schinitt-Court- yeux des étrangers, grande révélation de la journée. Un transport aérien intéressant

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tet (France), 1 min. 29 sec. 5 ; 4. Jeannette Burr Maiè soulignons aussi la belle tenue d'ensemble des
(USA), 1 min. 30 sec. 9 ; 5. M. Berthod (Suisse), Belges et le bon comportement des Espagnols ; les
1 min. 31 sec. 4, etc. ,- Italiens, par contre furent décevants :
Il y avait 40 dam es au départ. La fameuse Norvé- . Classement : 1. Dulraisse (France), les 25 km. en
gienne Niskin est 7e et l'Américaine JÇ. Rodol pb 9e $5' 06" ; 2. Jodet (France), à 44" ; 3. BIERI (Suisse),
tandis qu'Erika Marhringer n'a pu .prendre que le à 56" .; .4. Furnières (Belge), à 1' 28" ; 5. Gcederl
GRAV E ACCIDENT DE LA CIRCULATION 12e rang deva nt l'Italienne Pellissier. (Luxembourg), à 1' 32" ; 6. Barussia (Espagne), à
PRÈS DE LANGENTHAL E. U. 1'• 47" ; 7. Dederck (Belge), à 2' 07" 8. Elena (Es-
pagne), mêmet emps ; 9. Férrehians (Belge), même
On recherche des témoins HOCKEY SUB GLACE temps; 16. Meier (Suisse), à 4' 41" ; 18. Fantini ;
La Tchécoslovaquie a fait grande impression en 20 Kiefer.
L'office du juge d'instruction d'Aarwangen com-
muniqué :
écrasant la Finlande qui avait si bien résisté à la
Samedi , vers 19 h. 30, un automobiliste pilotant Suèd e, par 12 buts à 1 (3-0, 4-1, 5-0). St-Luc
une « Alfa Romeo », limousine, modèl e 1953, de CYCLISME
couleur «métal-grise, roulant en direction de Zu rich, TROPHEE DE LA BELLA-TOLA
a attei nt au passage, aux « Drrei Linden ;> , p rès de KOBLET ABANDONNE A ANVERS Le-Trophée de la Bella-Tola est devenu une ma-
Langenthal, utt cycliste voyageant dans la mêm e di- nifestation sportive digne de figurer au calendrier
rection. Il continua sa route sans s'arrêter, vers Aiix. Six-rjours d'Anvers, Von Bûreu continue mo- des grandes compétitions.
Aarwangen-Wiolfwiil, entraînant avec lui la bi cydet- mentanément seul ; son co-équipier Kobl et, victime Le vaillant Ski-Olub de St-Luc l'organise, pour la
te jusqulà cet endroit. Le pare-brise , le pare-chocs d'une crise de furonculose, s'est retiré de la course troisième (bis, dimanch e 14 mars.
ainsi que le radiateur f u r e n t endommagés . L'auto- Èîuir le conseil du méd ecin. Les malheurs suisses n 'é- Précisons qu 'il s'agit d'une splendide course de
m obiliste a pu être arrêté le soir même. taient pas terminés car Rorh-Bucher tombaient deux descente ij)our toutes catégories.
Le départ sera
Les personnes qui auraient aperçu l'automobile foisi, heu rfeusement sans gravité. • ¦• donné au pied sud de la Bella-Tola , à 2800 m. d'aï-
en question sur la route Heirzogenbuichsee-carrefour Pour j 1 instant Van VMet-Deibeukelaere conduisent tàtuidé. L'arr ivée est prévue dans le vallon du Pril-
w Berne-Zuiri'cih, Langentlhal-Aarwangeu-Wolfwiil, sont la couTse précéd ant T'erru^zi-Gillenle et 8e Godeau- let , tout près de St-Luc.
priées de communiquer les rensei gnements' éven- Senrfftlèibe'ti. Rotlh-iBulche^ occupen t . rang ; iUnre' inesse sera célébrée sur place, immédiatement
tuels à IViififiee du juge d'instruction d'Aarwangen Platlner esrt également en course et fait éqni(pe avec avant lès premiers départs.
ou au prochain poste de p oilice. l'Allemand Hoerrmann. L'organisation marche bon train. m
Le joua-mal « Berner Tagwacht » rapporte que ln Que tdiisi les skieurs, tous les amis de St-Luc,
victime, qui f u t tuée sur le coup, est M. J OSôï, père LES CHAMPIONNATS DU MONDE veuillent bien s'inscrire au plus tôt auprès du prési-
de 4 enfants, domicilié à Biietzfoeirg. L'automobiliste DE CYCLO-CROSS dent du Ski-iGl u'b de St-Luc.
est un fabricant de montres de Wolfwil. La bicy- Le Comité. Un avion de transport DC-4 est arrivé à Kloten avec
clett e fut traînée sur une distance de 5 km. Victoire française à bord un hélicop tère Bell démonté. Cet appareil
_ Q Superbe course de Bieri LUTTE LIBRE venanl de Fort Worth au Texas est destiné à con-
Altstaetten Cest à Crenna-Gallaraté (Italie) qu 'ont! eu lieu les
( Style international) tinuer son voyage sur Berne. Notre photo montre
championnats du mondé ; de cyclo-crbss. Un nom- Le 7 rmars prochain à 14 heures aura lieu à la le déchargement de la cabine de l'hélicoptère.
CHUTE MORTELLE breux public évalué à 16,000 personnes entourait Halle de.gymnastique de Viège, un cours de lutte
le circuit que devaient parcourir ies représentants
M. KarJ Haerlg, 68 ans, domicilié à Lurecrhingen, libre (style international). Ce cours sera donné par le
est tom bé d'un mur sur la tête et à été tué sur le
de toutes les nations engagées. cfiëif technique de l'Association Albert Crittin, de SOCIETE VA LAISANNE
coup. Lès- , Français taisaient ligure de grands favoris ef Leytron, et par l'arbitre Joseph Hildbrand, de Viè- DE SECOURS MUTUELS, GENEVE
craignaient, semblait-il, davantage les Italiens, cou- ge.
O
rant chez eux que les Suisses, Bieri en particulier. En Comité pour 1954 : Président : Georges Quaglia ,
Pbur la première lois, en Valais, ce genre de lut-
NCEND E A ST-GALL fait- les premiers tours onf confirmé cette opinion. 4 rue Bergalonne ; vice-président : Charles Sermier ;
te sera appliqué lors du prochain championnat de
Rondeaux et Jodar prenant un dépari foudroyant dis- secrétaire : Raymond Clavien ; vice-secrétaire : Gil-
lutte libre iper catégorie de poids.
Dans la nuif die dimanche à lundi, un incendie ar tançaient leurs adve rsaires, suivis pourtant par le ¦ bert Arlettaz ; caissier : Gaston Jo rdan ; comp table :
détruit corrçpllètemenf une maison d'habitation en champion; italien Pertusi à;. 25", Gcede'rt, Kirdhëri, Du- 'Ndus 'recommandons aux dirigeants de section Chanes Berguerand ; membres adjoints : Mme Céci-
de prendre bonne note de leur convocation et d'en-
* bois, actuellement Inhabité e, ains i que des remises fraisse , eft. La situation Se modifiai} au 3e four où, le rEschet, MM. Al p honse Claivaz , Marcel Vuadens ,
-i agricoles, à Bal gach, dans la Vallée du Rhin. Les derrière le duo de tête, on voyait apparaître Hahs voyer lés lutteurs à ce cours. Les juges de taxation Léort Albrecht, Georges Pitteloud.
sont .également tenu d'assister à ce cours.
| rbâtlmenls étaient, assurés pour 55,000 (rancs. Les
causes du sinistre son inconnues.
Bieri (Suisse) qui faisait un superbe effort et n'était
iLes frais de déplacement seront remboursés. Prière
Vérificateurs des comptes : MM. François Miche-
qu 'à 24"; ,pi;ëcédant maintenant Goédert ©f Dufrais- let, Hubert Chervaz , André Steiner avec René Mat-
se. Ce dernier effectuait un sensationnel retour et de prendre le billet du dimanche. thieu comme supp léant.
I tandis que Rondeaux tombait, Bieri se rapprochait Porte-drapeau : MM. Henri Vernaz et René Pont

Chronique sportive —— de Jodet qu.'il suivait bientôt comme son ombre. La


lutte était palpitante et bientôt Dulraisse se trou- C est tellement, pratique ! Un seul
va it seul en tête devant Jodet et Bieri , les autres
étant nettement, distancés. Poursuivant son effort; Du- tdrhei:. un seul timbre : UCOVA. ACCIDENT DE TRAVAIL
Les championnats du mondé fraiss e s 'envolait vers la victoire tandis que Jodet
résistait avec peine à l'assaut final de Bieri, aux (Inf. part.) — M. Henri Follonier , travaillant pour
de ski les Caves Provins, fit un faux mouvement et tomba
sur un fût. Après avoir reçu les soins du Dr de
so «* e
Sensationnelle victoire
rPreux , ii fut transporté à la Clinique générale. II
souffre de côtes cassées , de plaies et de contu-

WPfirt?
sions.
"WJ 'S.

suisse
Ida Schôpfer,championne du monde
>yiyyy

Madeleine Berthod 5e Monsieur Aimé-Louis RAPPAZ, ses enfanfs et pe-


tits-enfants, à St-Maurice et à Charais ; ¦ ]'¦
Après là grande déception causée par les mes- Madam e Veuve Marguerite GAY , à Marfigny-
sijçuirsi &ù slalom, an n'osait espérer une victoire Groix f •¦¦'••<
suisse dans la' course de descente-dames. Certes, Ida Madame et Monsieur Georges CLAIVAZ, leurs
Sehopifér et M'ad elèin e Berrtihod , nos seules représen- enfanfs et lleur petit-fils , à iMarti gnyyV'iHe' ;
tantes, ont de multip les qualités mais la concurren- Madame et Monsieu r Adrien COUTAZ , leurs en-
ce était si fonte que même les plus chauvins' d'en- fants et petits-enfants* à St-Maurice, Massongex et
tre nous éca rtaient la possibilité d'un succès. Et fhery ; •< '¦• - " • ' - ¦ ¦ ¦ ¦ ¦ • ¦
pourtant ! Mademoiselle Aline VOEFFRAY; à Vérossaz ;
,iSurr çietite pisit e de 2000 m. comportant 510 m. de Madame ef Monsieur Pierre DUBOIS ef leur fi île ,
à Vérossaz ; n : ' ¦'
d'êniveilaiti'on, om avait placé quelques porrt es de con- P£f2a \f' ' 'n
trrôle, moins porru freiner l'allure des concurrrentee Monsieur Aimé-Louis VOEFt=RÀY, â Vérossaz ;
que pour tracer le parcours . Il fallait avoir leë ainsi âùe.'Môs familles parentes et alliées VOEF-
jambes Solides pour tenir jusqu'au bout car les bos- FRAY, COUTAZ, BARMAN, CASSER,
ses étaient innombrables et certaines impressionnan- ont ila grande douleur de faire part du décès de
tes' et placées à la sortie des virages. Mais tenir n'é-
tait p as- suffisant : il fallait oser et risquer en pre-
Mademoiselle
nant lés virages à l'intérieur, tous les « schuss » en
serhusst, là volonté tendue sans un dixième de secon-
de de reilâ'clh'emen't. Lorsque l'Américain© Jeannette
Burrrr termina sa descent e en 1 min. 30 sec. 9 on
Céline VOEFFRAY
leur chère soeur ,, belieHsœur, tante,', grand-fante,
(pensa que la gagnante ne ferait gu ère mieux. Pen-
nièce et cousine , enlevée â leur tendre affection
sez donc »: 2 km. en 1 min. et'demie ! Quelle moyen-
après une longue et douloureuse maladie, chrétien-
ne kilométrique impressionnante ! Mais Lucienne nement supportée, munie des Sacrements de notre
Sdimiitt-iGou'tt ct devait faire mieux .avec 1 min. 29
Sainte Religion, dans sa 5Ôe année.
sec. 5. La joie était grand e dans le camjp français
car ce temps pairàissiait imbattable. Mais la joie Du haut du Ciel, prie pour nous.
dhangea der camp lorsqu'àrriva rAutridhienne Trudi L'ensevelissement aura lieu à Vérossaz , mercredi
Klercrker.: temps. 1 miri. 29 sec. 3. Déjà les Autri- 3 mars J954, à 10 heures .
çtoenties : fêtaient leur victoire, s'embrassaien t, rece- Cef avis tient lieu de faire-part.
Yaient les: compliments lorsque une boinfaè tdmba
eur le; public avec l'annonce du temps iinterrrm'édiai-
re d'Ida Schôpfer. La solid e skieuse dé Fliiheli,

f
championne éuisse, avait pris un départ foudroyant,
ip' aBSotit toutes les bosses avec un cran et une sûret é
incTOiyables ; à mi-parcours son temps n'était infé-
rieur que d'un dixième de seconde à celui-de l'Aù-
trichi enn e et les Suisses se mirent à espérer folle- r i Le Chœur Mixte Sfe-Cécile, Ardon, a le regret
ment !... Continuant sa descente avec u n e maîtrise de faire part du décès de
qui. soûlervra l'admiration , risquant le tout pour le
tout (c'est l'uni que méhodo lorsqu'il s'agit d'un ti- Monsieur Auguste RIQUEN
tre !) Ida Seliop fer passa la lign e d'arrivée à toute
allure dans le temps fameux de 1 min. 29 eèc. 2. père de son membre actif Josiane.
Bille avait battît Klècker de un dixièm e de Seconde L'ensevelissement a lieu à Ardon le mardi 2 mars
seulemehit, mais c'était suffisant pour lui donner le 1 ?54«. JL -IO heures .
titré envié de championne du monde. Madeleine ^^jai^ -^^^^^^^^^jiw» ^*^^!^^^?* .
Bèmtlhod avait déjà apporté une grande satisfaction
dans le camp helvéti que cn descendant en 1¦ min.
91 sec. 4, obtenant ainsi un rang excellen t, digne dfe
sa vrarlr&tiir;,• Ainsi nos denx dames ont vengé le Cui- r M t
f
'' ¦ ' . ' '
sant échec des messieurs : à ceux-ci à rel ever le Madame-Henri BIOLEY-de LAVALLAZ ;
'• •¦
gant loire du slalom géant et surtout en descente !... Très actif, en voici la preuve: Mademoiselle Anne BIOtEY-;
Monsieur et Madame Marc ÔIOVANOLA-BIOLEY ;
'
En dernière heure nous apprenons que Madeleine
Berthod risquerait la disqualification pour avoir Les nombreuses exp ériences faites en Mesdemoiselles Renée et Michèle BIOLEY
manqué une porte de contrôle. Le jury, réuni pour expriment leur profonde gratitude à toutes les per-
lavâiit la vâisâeile ont prouvé que sonnes qui, par leur présence et leurs témoignages
examiner les rapports des contrôleurs, demande des
preuves car l'affaire Pravda l'a rendu prudent. Rap- pendant le même laps de temps et avec de .sy mpajh.ie,.Jes .ont . enlourés .danaijeiyr.grand deuil.
pelons que l'as autrichien classé 4e du slalom «pé- unç.co^çenttatioxLégale,, le.rendement
oi arl s'est vu .d éclasser au lie rang pour avoir man-. 'à yfois supérieur eç^.
ctnixjf!S^ti. i^^a'aT^mmfySmA ^^f k ^ . ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^S ^f m ^ ^ S ^
: ^^^^^^m
que une porte. Mais les Autrichiens ont fait recours
avec preuves à l'appui ! (film et photos) . J :, . ; , .;. . êmp lçiyàntîle merveiltux.SOLÔ.
Pas rlcfrOttage, pas de rinçage^, . rsî t, ¦ . '.* « ravbia REV , a Mo Mans p r ^y ,
Classement : '(avec M. ;Be*thôd) " ¦!.>.' Ida ¦
SohppfeJ j
bas ^!essuj.aje ,l Le bacj ùet même est • îdLa famille Tobie REY , i r-Montana» prolondément
(Suisse), 1 min. 29. sec. 2 ; 2._Trud i_ Klecker (Autri-
touchée des nombreuses màrqueS-de sympathie ma-
propfe, sans cercle graisseux ! nHestée à l'occasion du décès de leur chère épou-
se et rnère, A '"j ide REY
^
BU | Madame Adélaïde REY
née TAPPAIÎEL . _ . , < r
sk Insurpassable pour làHngerikfine.pourtrem- .g
j peru—y même les-Jsâlopèttes
lei plus saler.- * i. remercie de tout coeur toutes les personnes qui de
jf pour,chaque -machine à laver. £n un rieh 'de -3 près ou de loin ont'pris part à son grand deuil ef
temps* tout' reiuil.deprop reté:vaisselle, verre- A s i .
S : BiilL B fPl:im« .*Q nrnjcinda gratitude.
¦ ¦¦¦planchers,parois,vitres
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__ ii---- g g
lnter<lit 60US ,8 4
Jik n.M ! JE _:
. I avec MICHEL SIMON - Henri Genès - Robert Lamouieux - et RÀY VENTURA
Au Loxsa : remmes de raris !
D& K A f*
M:,r<n-nr;.s Interdit eous 18 ans
certainement voulu souligner qu'en accomplissant
.s y \\\W»m leur action, ils n'ont été poussés par aucune ambi-

Eclatant succès du Carnaval y"i \. tion personnel el que maintenant que leur mission
est terminée iis se vouent uniquement à leurs tâ-
ches mil itaires.

Vraiment nous devons dire noire éfonnement el


Le nouveau chef du gouvernement
notre enthousiasme devant la réussite totale et com-
syrien
bien magnifique des organisateurs des festivités lo- DAMAS, 1er mars. (AFP). — M. Sabri Assali, nou-
cales du Carnaval. Nous n'aurions jamais pensé qu'ils veau président du Conseil, est né en 1903 à Da-
puissent obtenir un tel résultat, mais nous ignorions DE GRAVES INCIDENTS AU SOUDAN A L'ARRIVEE DU GENERAL NAGUIB mas. Licencié en droit de la FacUité de cette ville,
il s'inscrivit au barreau et fut ensuite élu député de

20.000 indigènes attaquent le palais


les aufouts dont ils disposaient et dont ils ont fail la capitale.
étalage avec éclat. II lut successivement ministre de l'intérieur , de la
justice et de l'instruction publique.
Déjà, depuis quelques jours ra décoration de la
Ancien membre du bloc nationaliste disloqué en

du gouverneur
plus grande partie des établissements publics lais- 1943, M. Sabri Assali adhéra au bloc national dont
sait bien augurer de ce qui se préparait. i! demeure le secrétaire général .
Dimanche , grâce à une édlairci e bienvenue, le Le parti national, qui réclamait à l'origine, l'union
avec l'Irak a renoncé à cette idée en 1949.
cortège put déroule r ses fastes dans les meilleures
ports apprend-on de source autorisée confirment of-

Un grave complot contre


conditions possibles. Jamais nous n'avons vu autant
fioiielleiment la mont du chef britannique de la po-
Loi sur le timbre
de monde à St-Maurice. Les spectateurs étaient ac-
courus de tous les environs et même d'assez loin lice de Kantoum, M. Hugh (et non Harold) Suirher-
land Moguigan. La situation dane la capitale du

Naguib
pour assiste r au spectacle. La place de lia gare était Soudan, ajoute-rt-on , était plue calme lundi soir, mais
noire de monde et tout le Hong du parcours du cor- tout danger d'un rebondissement des émeutes n 'était
tège s 'allongeaient deux haies denses de specta- pas écarté. Le Conseil d'Etat a fixé au dimanche 21 mars
KARTHOUIM, 1er mars. (AFP.) — Le ffénéral Na- L'ajournement au 10 mars de l'ouv erture du Par- 1954 la votation de la loi sur le timbre adoptée par
teurs.
gub, le ministre Salah Salerm , et les membres de ' la lement soudanais doit d'autre p art entraîner une le Gra nd Conseil le 14 novembre 1953.
Le défilé était ouvert par le char de Miss Carna- délégation égyptienne qui les accompagnaient ont décision du gouvernement britannique au sujet de A ce propos , il convient de relever que la toi du
val que suivait le premier corps de musique , la Bell- été victimes- d'un cormip'l ot organisée de longue main la présence de M. Selwyn Lloyd à Krbartoum . 11 mai 1875, toujours en vigueur, n'a subi que des
lerine. De Lausanne nous étaient venues deux anti- par le parti Mahdi, ami des Anglais, 'dédrarrent-on On sait que l'adjoint de M. Eden s'y trouve de- modifications de détail en 1878 et 1908. Bile ne
au Caire dans les milieux officiels. puis samedi comme délégué du gouvernement aux correspond plus aux besoins actuels du canton.
ques «poussettes » des âges héroïques de la nais-
cérémonies d'inauguration du Parlement soudanais. Conscient de cette situation, le Consei l d'Etat pré-

Graves désordres
sance de l
' a utomobile. Elles agrémentaient le cor- Il est probable estime-t-on dans les milieux auto- para, en 1949, un projet de loi sur ie timbre que le
tège de leurs « fe uf-teuf » retentissants. Venaient risée, qu'aucune décision à ce sujet ne sera prise à 'Grand Conseil adopta le 16 mai 1951, mais qui lut
ensuite ' un char amusant et consacré à un épiso- Londres avant dp connaître l'opinion de M. Lloyd rejeté par le peuple, le 30 mars 1952, par 12,255 voix
Selon les in formaitione parvenues de Khlairtourai au lui-rmâme. Le minietre d'Etat a maintenant l'occa- contre 11, 290.
de de notre petite histo ire locale, puis la Fanfare
gouvernement égyptien, .Ira situation réelle à l'arri- sion de s'entretenir personneiUeime'nt avec le géné- Une analyse minutieuse du scrutin permet de dé-
de Lavey travestie de jorie manière. «Business lo- v ral Naguib et de ee rend re compte des intentions
vée du giénéra! Naguib aurait été la enivrante : plus teler les principales causes de cet échec :
cal... » était un excellent montage et une plaisante de 20,000 Ansar, fidèlee du Malnhi , amenés durant égryprtiennee au sujet des négociations avec la Gran- a) l'insuffisance de l'inform ation ;
« charge ». Quart! au « Coup de Blanc » de la Thé- oee dermierre jours des. provinces, avaient été postée de-Bretagne sur la base du Canal de Suez. La ré- b) l'opposition de certains magistrats judiciaires
ponse prudente donnée aujourd'hui par M. Eden, provoquée par l'obligation de signaler les infrac-
résia d'Epinassey, c'était une belle réalisation. Nous autour de l'aérodrom e et sur tourte la route allant
de l'aérodrome au pralaie du gouverneur grénréral. Les aux Communes:, aux députés qui lui demandaient si tions aux prescripti ons légales qu'ils connaîtraient
ne pouvons malheureus ement., la pface nous faisant le gouvern ement entendait reprendre les négocia- dans l'exercice de leurs fonctions ;
Ansar envahirent l'aérodrom e lui-même au moment
défaut, signaler tous les Chars et les groupes. Nous où le gén érall Naguib était présenté aux personna- tions malgré les événements du Caire a confirmé c) les nouveaux taux jugés trop élevés ;
avons parlé des premiers pour que ' l on se rende lités venues le saluer. l'opinion exprimée ce m atin dans les milieux auto- d) les droits minima estimés successifs pour des
'Le désordre fut tel que le général Naguib ne put risés' selon laquelle la Grande-Bretagne attendra actes de peu d'importance.
compte de la manière do'nt était réalisé ce grand
pas passer en revue la garde d'honneur. Il dut éga- quelque temps avant de prendre une décision à ce La loi du 14 novembre 1953, entre autres amélio-
défilé. * lement renoncer à prendre l'auto qui lut était ré- sujet . rations, n'a pas cru devoir imposer aux juges le rô-
Soulignons toutefois îles deux grands chars sensa- servée. II prit place dans la voiture du gouverneur le de dénonciateur. Bille porte ie taux maximum à
tionnels de « Feu le Tonkin » et de «La lutte contre général, sir Robert Howe et gagna le palais par un
'ies hélicoptères » et les groupes amusants des « Mau-
chemin détourné. Cette mancefnvre ne passa pas ina-
La situation reste tendue 0,4 pour cent pour les créances et à 1,2 rpour cent
pour les ventes dont la valeur dépass e Fr. 100,000.—,
perçue et lee Amear du Mahdi, qui attendaient le mais, combinée avec la réduction des émoluments
Miau » et des diables rouges. KHARTiOiUM, 1er mars. (AFP.) — « Les incidents du registre foncier, (à l'étude), e'ille allège les droits
gén éral sur la route du cortège, se ruèrent vers la
L'Agaunoise éta it sur la brèche et avait fait un résidence du gouverneur général. Cette froule fu- qui se sont déroul és aujourd'hui à Khartoum relè- à acquitter pour les créances jusqu'à Fr. 100,000.—
vent d'un plan soigneusement établi », affirme une et maintient les redevances actuelles pour les ven-
très bel effort pour réaliser ies deux groupes des rieuse était animée de bâton», de lances- et d'épées.
diédlaratiou publiée par le gouvernement à l'issue tes jusqu'à Fr.10,000.—.
«Machine gun scots guards » et du « Plat local»! Le palais du gouverneur général était protégé par du Conseil des ministres soudanais. Elle exonère du timbre proportionnel lout acte
la garde spéciale du gouverneur qui ne disposait
Bien entendu les enifants costumés , tant ceux qui se que de quelques fusils et il fallut faire appel' à des Le communiqué annonce l'ouvertur e d'une enquê- dont lia valeur est inférieure à Fr. 100.— et ramène
trouvaient sur certains chars que ceux qui figuraient renforts de police et aux troupes soudanaise» et te pour déterminer les1 i nstigateurs et les responsa- les droits minim a à Fr. 0.50 et Fr. 1.— respective-
bles des sanglantes manifestations. On annonce éga- ment.
dans le dernier group e du cortège, releva ient com- égyptiennes.
lement que de sévères mesures seront prises contre On estime que les recettes ainsi produites ne dé-
Dians lee milieux officiels du Caire, on déclare
me toujours ce genre de défilé de leur fra îcheur et les coupables. passeront que de peu celles de la loi de 1875. Or
que la resp onsabilité de lia sécurité appartenait au
de leur gentil lesse. A la tombée de la nuit la ville a retrouvé un cer- ces ressources sont nécessaires à la poursuite du
gouverneur général. On attend de. nouveaux détails
Inutile d'ajouter que l 'ambiance atteignit bien vite de Kbartourm atvant de prendre position sur une
tain calme. Des troupes de soldait* de la « Sudan programme de réalisations économiques et sociales
Défense Force » somt prêts à faire feu eane somma- en cours, spécialement de la mensuration cadastrale
son point optimum et qu'elle s'y maintint non seu- situation que l'on considère comme très grave. tion , en vertu de la loi martiale, sur tout groupe et de l'introduction du registre loncier, œuvres dont
suspect.
Les répercussions politiques
lement le temps du cortège mais j usque très tard les avantages sont connus et dont la loi fédérale im-
dans la soirée et même dans la 'nuit. A aucun moment le bataillon britannique caserne pose l'exécution.
à Khrairtourm n'a été appel é à intervenir. Comme le Mous y reviendrons.
Les membres du Comités d'organisation qui se
bataillon égyprtieni, il a été gard-é en réserve en c'ae
sont dépensés sans compter pour parvenir à nous LONDRES, 1er mars. (AFP.) — Le Cabinet 'res- d-'aggrarvation possible de la situait!on.
prés enter un spectacle d'une si belle qualité méri- treint britannique réuni lundi soir aux Communes a Le gouverneur général, sir Robert Howe, nia pas
tent nos plus vives félicitations et nos remerc ie- pris connaissance des rapports de sir Robert Howe, eu non plus à faire appel au quartier général bri-
gouverneur général du Soudan, pavenue au cours de tanni que du Moyen-Orrienit pour l'envoi par avion de ASSEMBLEE PRIMAIRE
ments.
l'après-midi au Foreign Office, sur les événements renforts qui seraient partis dee aérodromes de la
o Les citoyens de la commune de Si-Maurice sonl
qui ont ensanglanté la capitale soudanaise. Ces rap- zone du Canal de Suezz.
convoqués à l' assemblée primaire extraordinaire qui
Arrestation d'un cambrioleur Aux Etais-Unis son armée, dane laquelle, les Etats-Unis voient un
aura lieu le jeudi 4 mars -1 954, à 20 h. 30, à ia
«aile de gymnastique.
(lut. spéc.) — La semaine dernière, un cambrio- bastion solide érigé à la périphérie du monde com- Ordre du jour :
leur s'était introduit dans la fabrique de chaussu-
res Lugon-Favre, à Champsec, et avait emporté 75
Un attentat terroriste muniste. ,
Les forces indiennes jusqu'à tout récemment en-
core , étai ent dotées presque exclusivement de maté-
1. Cession de diverses parcelles communales des
Perrières.
paires de souliers. Cinq députes blesses par des fanatiques riel brita nnique mais depuis 1948, diarte de l'acces- 2. Cession de l'excédent de terrain, en bordure
de la route des Cases.
La même nuit une voilure portant plaques vau- WASHINGTON , 1er mars. (AFP). — La Chambre sion de l'Inde à l'indépendan ce, la Nouvelle-Delhi
s'est de plue en plus tournée vere les Etats-Uins 3. Règlement communal pour ia lermeture des ma-
doises avait éfé aperçue à Brigue circulant à vive des représentants à Was hington a été, lundi à mi- gasins.
di, la scène d'un attentat dont les mobiles et les pour équiper eee troupes.
allure sans phare. Plus tard la même auto s'arrê- St-Maurice,le 1er mars 1954.
méthodes d'exécution rappellent la tentative d'assas- ^ Au coure des derniers mois, elle a acheté aux
tait à Naters. Ses deux occupants invitaient deux Etats-Unis une trentain e de tanks Shermann moder- Administration communale.
sinat dont tut l'objet le 2 novembre 1950 le pré-
jeunes filles à se joindre à eux ce qu'elles refu- sident Truman. nisée, 26 avions de transporte C-119 et un certain
sèrent. Les auteurs de l'attentat sont des nationalistes por- nombre d'hélicoptères. L'Inde a d'autre part acheté « FEMMES DE PARIS »
toricains fanatiques. Leur mobile : faire un geste à la France et à la Grande-B retagne un certain
Une personne releva le No des plaques et le nombre d'avione parmi lesquels des avions à réac- au Cinéma Corso-Martigny
spectaculaire qui, même s'il est sanglant, doit mili-
transmit à la sûreté qui s'informa auprès de la po- ter en faveur de l'indépe ndance de PotifoJRico. Ma- tion.
ATTENTION ! C'est mardi-gras qu'aura 'lieu au ci-
lice vaudoise du nom du propriétaire. nifestement, l'attentat est l'œuvre de terroristes qui On se refuse pour le moment dans les milieux
néma Corso, la « prem ière de gala » de « FEMMES
C'est sur ces indications de ia Sûreté vaudoise que ne préparèrent pas soigneusement leur coup. Ce fut américains autorisés à commenter la déclaration de
DE PARIS », le nouveau spec tacle de « Ray Ventu-
le cas de l'attentat contre M. Truman. M. Nehru selon laquelle les observateurs, américains
les agents de Sion réussirent à arrêter l'automobi- ra », avec Michel Simon, Brigitte Aubert, Henri Gè-
A 20 heures 36, la Chambre se préparai! à voter qui font partie de la commission des Nations Unies
liste en question qui, après un interrogatoire, avoua nes et les invités d'honneur Robert Lamoureux et
un projet de loi concernant l'admissi on . aux Etats- pour le Cachemire ne peuvent plus être considérés
Patachou. Musique de Paul Misraki.
êfre l'auteur du vol. II s'agit d'un nommé Thévoz, Unis de la main-d'œuvre agricole mexicaine lors- comme des neutres et que leur préeence au sei n de
Paris... petites temmes, disent ies étrangers .
Vaudois d'origine, colporteur en chaussures, récidi- qu 'une véritabl e fusiliade éclata d'un coin de la cette commission eet déplacée.
Paris ? Femmes émouvantes, jolies, sentimenta les
galerie du public près des loges de la presse. o et inconnues, répo -.d Michel Simon dans « Femmes
viste notoire.
Deux hommes et une femme brandissant des pisto-

En Syrie
de Paris ».
o * lets automatiques criaient : «e Notre pays -n'est pas Hier , Ray Venturr et Jean Boyer nous donnaient
(libre », «Libérer 'Porrto-Rico ». En quelques secon-
Un joli geste du Haut-Valais
« Nous irons à Paris ». Aujourd'hui Ray Ventura et
des plus de trente coups de feu étaient tirés en di- Jean Boyer nous apportent un nouveau succès :
rection de la tribune. Deux représentants, M. Bent- « FEMMES DE PARIS ».
ley, républicain du Michigan, et M. Davis, démocra- Appel au calme Horaire : du mardi au dimanche. Interdit sous 18
M. Moritz Kampfen, président de la ville de Bri- te du Tennessee, s 'effondrèrent. On sut quelques ans.
DAMAS, 1er mars. (AFP). — Le président du
gue ef conseiller national, a remis au gouvernement instants plus tard que cinq membres de la Chambre
Conseil Sabri Assali a déclaré à la presse que le
du Voralberg, au nom de la population du Haut- avaient été atteints par les balles.
gouvernement a pour mission de rétabli r la situation
Valais et d'un groupe de chasseurs, le roman « Der Aux dernières nouvelles, li y aurait deux blessés
dans un régime du peuple par le peupbe et pour le

f àwt
Weisse Hirsch » d'Eugen Wyler, ayant pour cadre la graves. Une véritable panique éciata parmi les re-
peuple. Ce gouvernement sera démocratique et
Vallée de Walzer. Le gouvernement du Vorarlberg présentants et le public. Cependant, plusieurs dépu-
constitutionnel. lI est provisoire ef déploiera ses ef-
va distribuer cet ouvrage, en signe de reconnais-
sance, à ceux qui ont participé aux travaux de sau-
tés, médecins de profession, se portère nt au secours
des blessés.
forts dans cette période de tra nsition pour rétablir
la situation et protéger les libertés publiques. Là est
RAMHE
vetage lors de la récente catastrophe provoquée te premier devoir de ce gouvernement de coalition
par les avalanches dans le Walsertal. L'INDE REFUSE L'AIDE AMERICAINE et aussi d'inviter le peuple à des élections législati-
M. Kampfen a aporfé aux bourgmestres du Wal- Mardi 2 mars
vesilbres en le consultant sur le tait de donner à la
sertal, réunis à Blons, le salut de la vieille patrie et WASHINGT ON, 1er mare. (AFP.) — Le rejet par SOTTENS. — 7 h. Radio-Lausanne vous dit bon-
Chambre des députés les attributions d'une assem-
a exprimé à la population durement éprouvée, la Shri Nehru de l'offre d'une aid e militaire que lui blée constituante pour une durée de trois mois. Dès
jour ! 7 h. 15 Informations. 7 h. 20 Premiers propos
sympathie du peuple valaisan. M. Julius Langle, ca- avait faite le président Eisenhower dans une lettre que ces élections auront eu lieu et que la Chambre
et concert matinal. 11 h. Emission commune. 12 h. 15
pitaine de district, parlant au nom du gouvernement en date du 19 février n'a causé aucune surprise aura commencé son activité, le président de la Ré-
Les documents sonores. 12 h. 30 Le quart d'heure de
du Vorarlberg, a remercié la Suisse de son aide et dans les mil jeux autorisés. l'accordéon. 12 h. 45 Heure. Informations. 12 h. 55
publi que lui présentera sa démission pour lui per-
particulièrement la courageuse équipe suisse avec Le gouvern ement indien a fait part de son refus Les variétés du mardi. 13 h. 30 Compositeurs suis-
mettre d'élire un nouveau président.
ses aviateurs, qui a sauvé de nombreuses vies grâ- dane une lettre personnelle de M. Nehru remise ses. 16 h. 30 Heure. Six intermezzi , Schumann. 16 h.
ce à sa rapide intervention. Quelque 70 grands bles- hier au Département d'Etat et transmise peu après Le président de la République 50 Mélodies . 17 h. 10 Quatuor en ré majeur , Boc-
sés onf pu êfre transportés à temps à l'hôpital au au président Eisenhawerr. cherini. 17 h. 30 Naissance de ia Rhapsodie en bleu,
moyen d'hélicoptères. Les observateurs diplomatiques avaient surtout vu
fait son entrée à Damas Gershwin.
o dans l'offre de la Maison Blanche au gouvernement DAMAS, 1er mare . (APP). — Le président de la 18 h. 10 Ginémagazine. 18 h. 40 Les champ ion-
de la Nouvelle-Delhi <t un geste destiné à apaiser République syrienne, M. Hachem Atassi, venant de nats du monde de ski. 18 h. 55 Le micro dans la
Chez nos eclaireurs * les inquiétudes indiennes devant le programme d'ai- Homs, a tait lundi après-midi son entrée solennelle vie. 19 h. 13 Heure. Le programme de la soirée.
de militaire au Pakistan et le jour même où l'ac- à Damas à la tète d' un important cortège d'automo- 19 h. 45 Disque. 19 h. 50 Le Forum de Radio-Lau-
L'Association valaisanen des eclaireurs suisses or-
ceptation d'aider militairement Karachi avait été an- biles dans lesquelles avaient prix place les membres sanne. 20 h. 10 La grille des vedettes. 20 h. 30
ganise une rencontre de chefs eclaireurs (chefs de
noncée , on déclarait dans les milieux indiens de du nouvea u gouvernement et de nombreuses per- Soirée théâtrale : La Querida, comédie radiophoni-
troupe et futurs chefs), les samedi 6 et dimanche 7
Washington que l'Ind e quant à elle s'en tiendrait à sonnalités politiques. que. 22 h. 20 Extraits de Iberia, Albeniz. 22 h. 30
mars , à Sion. Divers sujets seront traités à l'occa-
une politi que de stricte neutralité entre le monde Le président Atassi a été salué à l'entrée de 'ia Informalions. 22 h. 35 Le courrier du coeur, par Mau-
sion de cette rencontre. Nous relevons entre au- rice Ray. 22 h. 45 Le Cabaret de la Onzième Heu-
tres « Formation , rôle et mission du chef », la Route
communiste et l' occident et ferait tout pour ee tenir ville par les autorités militaires et civiles qui l'ont
en dehors de la guerre froide. Dans le* mêmes mi- accompagné ensuite au pallais de la présidence où re. 23 h. Les Championnats du monde de hockey
et le chef éclaireur.
A l'occasion de cette rencontr e, un stand de livres
lieux on donn e à entendre aujourd'hui7 que llnde un nombreux public est venu iui présenter ses féli- sur glace.
n'a nullement l'intention de se lancer dans une citations. Une foul e imposante massée tout le long BEROMUNSTER. — 17 h. Concert populaire. 17
sur le scoutisme, la pédagogie, les jeux , la techni-
que, etc., sera organisé.
course aux armements avec le Pakistan, on sait du parcours, a acclamé vivement le nouveau prési- h. 30 Causerie pour les enfants. 17 h. 45 Mélodies
qu'une mission militaire américaine doit se rendre dent Atassi. Aucun représentant des officiers qui à danser. 18 h. Carnavai rhénan. 19 h. 15 Concert
Les intéressés seront logés dans une salle de l'éco- prochainement au Pakistan
pou r établir la liste ont pris pari au mouvement insureclion nél n'était par la Musique de la Police de Cologne. 19 h. 25
le des garçons. du matéri el dont Karachi a besoin pour moderniser présent dans le cortège. Par leur absence ils ont Communiqués. 19 h. 30 Informations . Echo du temps.

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