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UFS Science et Techniques

L3 Physique-Chimie Parcours Chimie

Étude des sols et des eaux


Sur le site de l'université de Toulon.

Etudiantes : Enseignants :
Rania BOUDRAF Benjamin Oursel
Kawthar RACHID Patricia Merdy
Sarah AOUIMEUR
Meriem HAMITOUCHE
Sommaire :
I. Introduction :………………………..

II. PARTIE I :
● Analyse sur le sol :
- Échantillonnage:.................................................................................
..
- Mesure de taux d'humidité : ……………………………………………

- pH h2o / pH kcl :...............................................................................

- Analyse de complexe d'échange au chlorure de


cobaltihexamine: ……………………………………….
- Teneur en carbone et azote dans les sols :...................................

III. PARTIE II :
● Analyse sur l’eau :
- Echantillonnage : …………………………………………….

- Paramètre physicochimique :..........................................


T/ pH/ %O / la conductivité

- mesure du matière en suspension :.................................

- mesure de la dureté: …………………………………………


- oxydabilité :........................................................................
- mesure du quantités des métaux :...................................

- COD:...................................................................................

- CID:....................................................................................

- TN:.....................................................................................
IV. Conclusion
I. Introduction :
L'évaluation de la pollution revêt une grande importance dans le développement
sain de la vie contemporaine, qu'elle soit liée à l'environnement aquatique, terrestre
ou microbiologique. Des contrôles qualitatifs sont essentiels pour comprendre et
lutter contre les effets des polluants sur la nature. L'eau, en tant que principal support
de la vie, est la cible privilégiée de la recherche de pollution, sa qualité étant le
premier indicateur d'un environnement pollué ou non. Les prélèvements effectués en
surface et en profondeur, suivis d'analyses, fournissent les informations nécessaires
pour caractériser les zones étudiées.

Lorsque l'analyse de l'eau ne fournit pas de données concluantes, l'attention se porte


sur l'analyse des sols afin de déterminer les éventuels polluants présents. Les
informations ainsi recueillies complètent celles obtenues à partir de l'eau, permettant
ainsi d'établir un bilan pour identifier les sources de pollution et rechercher des
solutions.

En tant qu'étudiants, nous avons l'opportunité de nous familiariser avec les


techniques d'analyse et d'apprendre à explorer l'environnement qui nous entoure, à
l'image de l'Université de Toulon. Par conséquent, ce rapport vise à évaluer la qualité
des eaux de surface et des sols en surface sur le campus de l'université. Nous
aborderons diverses méthodes d'analyse pour déterminer la composition des
principaux éléments dans nos échantillons, ainsi que la présence d'indicateurs de
pollution dans l'eau et les sols.

Tout au long de cette étude, nous accorderons une attention particulière aux
concentrations de certains polluants et constituants, dans le but d'évaluer la qualité de
l'eau et des sols conformément aux normes européennes et aux directives de l'OMS.
PARTIE I : Analyse sur le sol
1-Échantillonnage du sol :
BUT :
L'analyse du sol joue un rôle essentiel dans la production végétale et la gestion des éléments
nutritifs. Elle représente la méthode la plus efficace pour planifier correctement l'application
d'engrais dans les exploitations agricoles qui dépendent principalement d'engrais commerciaux pour
leurs besoins nutritionnels. De plus, il est particulièrement crucial, notamment pour les fermes
d'élevage, de disposer d'informations sur la composition initiale en éléments nutritifs du sol. Ces
données serviront de base pour élaborer un plan de gestion des éléments nutritifs, permettant ainsi
une gestion adéquate à la fois
des éléments. nutritifs produits sur la ferme et de ceux reçus sous forme de biosolides et d'engrais
commerciaux

Zone d’échantillonnage :
Le lieu de prélèvement des échantillons de sol a un impact significatif sur la précision de l'analyse.
Pour de petites parcelles, il est facile de prendre un échantillon dans chaque champ. Cependant, pour
les champs de grande envergure, il est nécessaire de diviser en zones plus petites pour les
échantillons.
L'objectif est de garantir que chaque zone d'échantillonnage soit homogène et distincte des autres pour
des résultats fiables.

Profondeur d'échantillonnage
Dans le cas des analyses visant la gestion des éléments nutritifs, on prélève normalement les
échantillons à une profondeur d'environ 15 cm , étant donné que la majorité des racines se
développent jusqu'à cette profondeur et que le travail du sol assure le mélange des
éléments nutritifs jusqu'à environ 15 cm.

Prélèvements :
A noter que : 1- L’outil de prélèvement doit être choisi en fonction de son utilisation.
2- L’outil de prélèvement ne doit pas polluer l’échantillon.
Matériel utilisé :
- Les tarières de type « hélicoïdale » (type Edelman) pénètrent dans le sol par rotation.
- Tarière très polyvalente qui permet de prélever en conditions sèches, humides,
ou caillouteuses.

- Utilisation simple, outil robuste.


- Un sachet pour la conservation de l’échantillon.

-
Date : 4 /10 /2023
On a réalisé 5 prélèvements a différentes endroits sur la campus del’universités de Toulon – La garde.

Sol 1

Sol 2

Sol 3 Sol 4 Sol 5


- On prend garde a bien numéroter les sachets en fonction du lieu de prélèvement.

● Sechage :
But : Une fois les échantillons collectés, on procède à leur dessiccation pour pouvoir déterminer leur teneur
en humidité.

Matériel utilisé
- Barquette
- Balance
- Spatule
- Lampes IR a environ 60 C

Une lampe IR (infrarouge) pour le séchage est une source de chaleur qui émet des rayons
infrarouges, une partie du spectre électromagnétique. Ces rayons infrarouges ont la capacité de
chauffer les matériaux qu'ils touchent en pénétrant la surface. Dans le contexte du séchage, les
lampes infrarouges sont utilisées pour chauffer et dessécher des échantillons, des revêtements,
ou d'autres matériaux en évaporant l'humidité à l'intérieur.

mode opératoire
Après une semaine dans le four, les échantillons sont dits « séchés ».
2-Teneur en eau des sols (Humidité)
Définition :
La teneur en eau du sol se définit par le pourcentage d'eau contenue dans un sol rapporté au
poids du sol sec ou au volume. La mesure de teneur en eau permet de déterminer quel est le
pourcentage massique (H%) d’eau dans un sol étudié, c'est-à-dire quelle est la masse d’eau
présente par rapport à 100 grammes de sol sec.
Teneur en eau (H%) = (mi − mf) / mf x100
mh : masse humide de l’échantillon (mi) avant sa mise en condition dans l’étuve
ms : masse sèche de l’échantillon

NB La teneur en eau est fonction de la porosité et de la perméabilité du sol. Le volume


maximal d'eau qu'un sol peut retenir est la "capacité au champ" ou capacité de rétention du
sol qui dépend essentiellement de la granulométrie du sol

But de notre expérience :


la mesure de la quantité d’eau contenue dans différents échantillons de sols prélevés au
niveau du campus de l’université de Toulon.

Séchage de nos échantillons :


Mode opératoire
- Peser 25 g de de terre dans 2 coupelles en Aluminium
- Étiqueter les coupelles (nom, date et expérience
- Peser les masses exactes des coupelles avant séchage
-on introduit les coupelles de terre dans un four (étuve) chauffé à
60°C.
D)- Résultats
Les résultats obtenus sont regroupés dans le tableau suivant :

Masse initial sol (g) Masse finale sol (g) H%


Sachet 1 81,7917 77,3078 5.8
Sachet 2 63,15 60,9593 3.59
Sachet 3 23,0691 18,6243 23
Sachet 4 61,879 59,8144 3.45
Sachet 5 31,7067 27,5793 14.96
Le pourcentage d’humidité des sols varie en fonction de différents paramètres. Ces
paramètres peuvent varier en fonction de la région géographique, du type de sol et des
conditions météorologiques. Voici les principaux paramètres qui influent sur le taux
d'humidité d'un sol :
 -Précipitations : Les précipitations, qu'elles soient sous forme de pluie ou de neige de
sont l'une des principales sources d'humidité pour le sol. Des précipitations
abondantes augmentent le taux d'humidité du sol, tandis qu'une sécheresse prolongée
a tendance à le réduire.
 -Évapotranspiration : L'évapotranspiration est le processus par lequel l'eau est
évaporée du sol et libérée dans l'atmosphère par les plantes (transpiration) et par
l'évaporation directe depuis la surface du sol. Ce processus peut réduire le taux
d'humidité du sol, en particulier par temps chaud et sec.
 Type de sol : Le type de sol a une influence majeure sur sa capacité à retenir
l'humidité. Les sols argileux ont une meilleure capacité à retenir l'eau que les sols
sableux, car les particules d'argile ont une plus grande surface spécifique et retiennent
l'eau plus longtemps.
 Pente du sol : La pente du sol peut influencer la répartition de l'humidité. Les sols en
pente ont tendance à perdre de l'eau plus rapidement que les sols plats, car l'eau a
tendance à s'écouler vers le bas.
 Drainage du sol : La capacité de drainage du sol dépend de sa texture, de sa structure
et de la présence de couches imperméables. Les sols bien drainés évacuent l'excès
d'eau plus rapidement, tandis que les sols mal drainés peuvent retenir l'eau plus
longtemps.
 Température : La température ambiante influence la vitesse d'évaporation de l'eau du
sol. Les sols s'assèchent plus rapidement par temps chaud et sec, et ils retiennent
mieux l'eau par temps frais.
 Couverture végétale : La présence de végétation, telle que des arbres, des arbustes
ou des cultures, peut influencer le taux d'humidité du sol en régulant l'ombrage,
l'évapotranspiration et la rétention d'eau par les racines.
 Utilisation humaine : L'utilisation humaine du sol, comme l'irrigation, l'urbanisation,
ou l'exploitation agricole, peut modifier considérablement le taux d'humidité du sol.
 Niveau de la nappe phréatique : La profondeur de la nappe phréatique sous le sol a
une influence majeure sur le taux d'humidité du sol. Un niveau de nappe élevé peut
saturer le sol en eau, tandis qu'un niveau de nappe bas peut entraîner un sol.

Comprendre ces paramètres est essentiel pour gérer efficacement l'humidité des sols, que ce
soit dans le cadre de l'agriculture, de la gestion de l'eau ou de la construction. Les mesures du
taux d'humidité du sol sont également importantes pour optimiser la croissance des plantes et
éviter des problèmes tels que la sécheresse ou l'excès d'eau.
.

1/Mesure du pH des sols :

Dans cette partie du TP, nous souhaitons mesurer le pH H2O et le ph KCL de nos différents sols
La mesure du pH d’un sol est une analyse importante. En effet, selon son pH, un sol peut-être plutôt acide ou
basique ou neutre. Et en conséquence peut réagir différemment en fonction de son pH.
Le pH du sol varie d’une zone à une autre, et il est influencé par divers facteurs. (matière organique, la
précipitation, la végétation, l’activité microbienne, les angrais,..)

-Le ph de l’eau correspond à la concentration en hydrogène de la solution du sol.


-Le ph kcl correspond à la concentration en hydrogène du sol obtenue après l’ajout de kcl. Le kcl a pour effet de
chasser les h qui se trouve dans le complexe argilo-humique, ce qui permet de déterminer l’acidité totale ou
acidité de réserve du sol.
-Ph kcl est toujours inférieur au ph eau, l’écart entre les deux varie de 0 à 1.

Pour réaliser les mesures des différents pH on se propose d’utiliser un pH-mètre : le pH-mètre Cyberscan 510Ph.
Tout d’abord, nous allons réaliser l’étalonnage de l’appareil afin de veiller à son bon fonctionnement.
➔ Mode opératoire de l’étalonnage du pH-mètre
- Mettre en marche l’appareil et sortir délicatement la sonde de sa protection.
- Insérer la sonde dans une solution tampon au pH = 4.
- Calibrer le pH-mètre sur cette valeur.
- Répéter ces étapes pour les solutions tampons aux pH 7 et 10, en rinçant la sonde avec de l’eau mQ entre chaque
tampon.
- Remettre la sonde dans sa protection après utilisation.

1- PhH2o
On se propose alors dans un premier temps, de préparer nos échantillons de sols afin de pouvoir mesurer leur
pHH2O.
➔ Mode opératoire de la préparation des solutions pour le pHH2O
- Prélever 10g d’un échantillon de terre préalablement tamisé et broyé.
- Verser cette quantité dans un bécher de 200 ml puis ajouter 100 ml d’eau mQ.
- Laisser sous agitation magnétique pendant 1h.
- Répéter ces actions pour tous les échantillons
On précise que laisser agiter 1h n’était pas nécessaire ici, car nous n’avons pas réalisé nos expériences sous un flux de N2.
Enfin, on se propose de faire sédimenter nos solutions a l’aide d’une centrifugeuse, pour pouvoir réaliser les mesures de pH
dans des conditions optimales.

➔ Mode opératoire centrifugeuse


- Introduire la même masse du mélange (terre + eau mQ) dans 2 tubes en
verre. (une centrifugeuse se remplit toujours 2 tubes par 2 tubes pour éviter un
déséquilibre)
- Insérer les tubes dans la centrifugeuse. - Répéter ces actions pour tous les
mélanges.
- Lancer un programme de 5min à 2800 tr/min.

➔ Mode opératoire mesure du PhH2O


- Prélever à l’aide d’une pipette pasteur une quantité du mélange (terre + eau mQ) sédimenté (attention à ne pas remettre les
particules en suspension).
- Verser cette quantité dans un bécher.
- Introduire la sonde pH dans celui-ci et mesurer le pH du mélange.
On obtient les valeurs suivantes :

Sol Masse pH H2O


1 77.3078 8,03
2 60.9593 8,72
3 18.6243 8,33
4 59.8144 8,56
5 27.5793 8,71

On remarque le ph dans les 5 échantillons est supérieur à 7 donc les sols des 5 échantillons sont alcalins.et ça due
au faite qu’on a fait notre TP dans la période où y’a pas de pluie, et aussi on fait des prélèvements des terre dans des
zones noue ou y’a pas des plantes qui vont libérer des acides organique dans le sol.

2-PH KCl :
PH du sol est souvent mesuré dans une solution d'KCl à une concentration de 1 M pour déterminer le pH du sol.
Cette mesure est appelée "pH en KCl" et est utilisée pour évaluer le pH du sol, car elle élimine certains des effets
tampons de la matière organique du sol, ce qui permet d'obtenir une mesure plus cohérente et significative du pH du
sol pour des fins d'analyse et de gestion agricole.

Pour réaliser les mesures du pH KCl on prépare les mêmes solutions que précédemment en remplaçant l’eau par du
KCl à 1 M. On réalise les mêmes manipulations et on obtient les résultats suivants :

Sol masse Ph kcl


1 77.3078 8,12
2 60.9593 8,18
3 18.6243 7,89
4 59.8144 8,19
5 27.5793 7,78

La différence entre le ph (h2o)-ph (kcl) :


Ph h2o est tjrs supérieur a ph de kcl, et l’écart entre les deu
sol Ph h2o Ph kcl Ph h2o-ph kcl
1 8,03 8,12 -0.09 (y’a une erreur)
2 8,72 8,18 0.54
3 8,33 7,89 0.44
4 8,56 8,19 0.37
5 8,71 7,78 0.93

Analyse du complexe d'échange par la méthode au chlorure de cobaltihexamine :


But: Détermination de la capacité d’échange cationique du sol .
Explication :
La fertilité d’un sol est une notion importante dans les domaines de l'agriculture et de l'agronomie, désignant
l'aptitude d'un sol à produire dans les conditions de culture.
Cette dernière repose sur la capacité du sol à retenir des cations (molécules chargées positivement) sur son complexe
adsorbant, une fixation réversible à la surface solide/liquide, à un pH spécifique. Nous nous référons à un pH
constant car la forme des ions (qu'ils soient cations ou anions) varie en fonction de ce paramètre.
La fertilité d'un sol est donc équivalente à sa capacité d'échange cationique (CEC), qui indique la quantité de cations
échangeables (tels que K+, Ca2+, Mg2+, Na2+, etc.) qu'il peut contenir.
La variabilité du pH du sol dépend de:

 La nature des roches ( ph sol sableux ⟩ph sol calcaire )


 La saison ( en hiver ⟩ ⟩ ⟩ )
 les activités biologiques.

Pour conserver le pH du sol nous allons utiliser le pouvoir tampon du complexe argilo-humique porteur de la charge
négative donc un lieu d’échange avec les cations ( H , Na , Ca ,Mg ).
+ + 2+ 2+

Plus le sol est riche en argile et en MO ( humus ) , plus sa CEC est grande .
Nous entreprendrons une analyse du complexe d'échange cationique en utilisant la méthode du chlorure de
cobaltihexamine ([Co(NH3)6Cl3]). Il est important de noter que ce solvant n'affecte en aucune manière le pH de nos
échantillons.
Le principe de cette méthode consiste à mettre en contact le complexe cobaltihexamine en excès avec un échantillon
de sol. Les cations échangeables présents dans le sol seront alors remplacés par les ions Co3+. La quantité de Co3+
adsorbée par le sol permet de déterminer sa capacité d'échange cationique (CEC). Pour l'obtenir, nous mesurerons la
quantité de Co3+ présente en solution à l'aide de la spectrométrie UV (à 473 nm), puis nous allons soustraire cette
quantité de la quantité initiale de cobaltihexamine.

Mode d'opératoire :

A noter que :
 Avant de commencer notre expérience, nous prenons les mesures de sécurité indispensables, notamment
en portant des gants et en revêtant des blouses correctement fermées, étant donné que le
cobaltihexamine est une substance potentiellement nuisible pour la santé.
 L’agitation du mélange permet une meilleure homogénéisation de la réaction.
 Nos solutions contiennent des particules en suspension. Pour pouvoir effectuer le dosage par
spectrométrie, il est essentiel d'obtenir un mélange uniforme. Pour ce faire, nous utiliserons une
centrifugeuse qui permettra la sédimentation de nos mélanges.
A propos de spectrométrie UV
La spectrométrie UV est une technique d'analyse qui utilise la mesure de l'absorption de la lumière ultraviolette
pour obtenir des informations sur la composition chimique d'un échantillon. En essence, cette
méthode exploite la capacité des composés chimiques à absorber la lumière UV à des longueurs
d'onde spécifiques. En mesurant l'intensité de cette absorption, on peut identifier et quantifier les
composants présents dans un échantillon.
Etalonnage du spectromètre :
Nous avons préparé 5 solutions filles de cobaltihexamine à concentration différentes :
[Cob]*10 M : 0.5 , 2 , 6 , 10, 15 .
-3

A partir d’une solution mère de concentration 15 *10 M .


-3

C *V = C *V
mere fille

Mode opératoire de la dilution du cobaltihexamine


- Verser du cobaltihexamine dans un bécher sous une hotte aspirante.
- Prélever v ml de cobaltihexamine à l’aide d’une micropipette mécanique, puis l’insérer dans une fiole jaugée .
- Remplir la fiole jaugée jusqu’au 0.75 du volume avec de l’eau distillée et agiter.
- Compléter la fiole jaugée jusqu’au trait de jauge avec l’eau distillée , bouchée la fiole puis agiter pour
homogénéiser la solution .
Analyse par spectromètre :
Préparation du blanc :
Remplir une cuve en plastique par l’eau distillée
Pourquoi passer un blanc avant commencer l’analyse ?
L’appareil mesure l’absorption sans se préoccuper s’il s’agit de celle de l’air , de la cuve , du solvant ou du soluté
Mode d’analyse :
- Remplir une cuve plastique avec la solution .
- Insérer la cuve dans le spectromètre et appuyer sur la touche « ECH ».
- Relever la valeur de l’absorbance qui s’affiche.
- Répéter ces actions pour les autres solutions.

Résultats:
[Cob]*10 -3
A (473 nm) Echantillons A (473nm)
0.5 0.030 1
0.737
2 0.118 2
0.715
6 0.338 3
0.671
10 0.560 4
0.836
15 0.845 5
0.727
La pente a = yb-yaxb-xa=56
Y=ax+b A = 56C +0.003
A partir de cette équation on peut calculer les concentrations de cobalthexamine de nos solutions
Pour la solution 1 :
On a A = 0.737 nm
C1 = 0.737-0.00356= 13.1 mM
De même pour les autres solutions
Solution Concentration (mM)
1 13.1
2 12.7
3 11.9
4 14.8
5 12.9

Pour calculer le CEC : C(ini de Co )- C ( restant) * charge du Co


3+

CEC 1 = (15 – 13.1)*3=5.7meq


Echantillons CEC (meq)
1 5.7
2 6.9
3 9.3
4 0.6
5 6.3

Par comparaison avec les valeurs de références :


CEC Sol 3> sol 2 > sol 5 > sol 1 > sol 4
A noter que sol 3 est celui prélevé à côté du Béal où il y a bien des plantations.
Mais On a CEC < 9
Ça veut dire que les échantillons du sol :
- Contient majoritairement du sable.
- Faible teneur en matière organique.
. Teneur en carbone et azote dans les sols :

Dans cette partie du TP, on se propose de déterminer le rapport C/N (%carbone / % azote) de nos différents
échantillons de sol.
Le rapport C/N est un indicateur qui permet de juger du degré d'évolution de la matière organique, c'est-à-dire de
son aptitude à se décomposer plus ou moins rapidement dans le sol. Il est couramment admis que, plus le rapport
C/N d'un produit est élevé, plus elle se décompose lentement dans le sol et au plus l'humus obtenu est stable. Afin
d’analyser la teneur en carbone et azote dans nos sols, nous allons utiliser un analyseur élémentaire : le Thermo
Scientific ™ FLASH ™ 2000

Tout d’abord, on se propose de préparer les échantillons de sols à analyser.

➔ Mode opératoire de la préparation des échantillons

- Introduire environ 20 mg de sol dans 2 nacelles en étain.


- Plier la nacelle en petite boules à l’aide de pince à épiler (afin
d’empêcher l’oxydation du sol)
- Introduire la nacelle pliée dans des petits flacons en
plastique.
- Répéter ces actions pour tous les sols.
On précise qu’on prépare aussi une nacelle vide qui servira
de blanc, ainsi que 4 nacelles de standards : 2 d’acide
aspartique (C4H7NO4) et 2 de sol certifié

Pour finir, on introduit les échantillons et les standards dans l’analyseur, et après avoir programmé celui-ci on lance
les analyses. Après quelques jours d’analyse, on obtient les résultats suivant :
On calcule le rapport C/N :

Si le C/N est supérieur à 25 (il y a trop de carbone par rapport à l'azote), les micro-organismes acteur de la
décomposition (des végétaux par exemple) puisent de l’azote dans les réserves du sol. C'est le phénomène de faim
d'azote.
A l'inverse, si le C/N est inférieur à 25, les micro-organismes vont libérer l'azote en excès dans les sols, à disposition
des plantes.
Echantillon Rapport C/N
1 22.867
2 20.138
3 14.011
4 18.323
5 23.525

D’après ces résultats, on déduire que les sols du campus de l’Université de Toulon
Comporte de l’azote en excès.
III. PARTIE II : Analyse sur l’eau :

1-Echantillonnage :
Nous avons collecté nos échantillons d'eau en utilisant un seau attaché à unecorde, que
nous avons soigneusement abaissé pour éviter tout brassage, afin de ne pas altérer
l'analyse des particules en suspension. Le seau a été rincé à plusieurs reprises avec de
l'eaude la rivière. Nous avons ensuite effectué une analyse des échantillons sur place à
l'aide d'équipements portables .

Les emplacements de prélèvement des échantillons d’eaux sont


répertoriés ci-dessous:

Eau n°1 (43.1353598, 6.0191510)

Eau n°2 (43.1360089, 6.0190557)


Eau n°3 (43.1367909, 6.0187104)

Eau n°4 (43.1370145, 6.0198051)

Eau n° 5 (43.1370888, 6.0200934)


1/Mesure des paramètres physicochimique (température ; PH ; conductivité; pourcentage
d’oxygène) :

La mesure des paramètres physicochimique est une étape qui est très importante dans notre TP, ces paramètres
vont nous donner plusieurs informations, qui vont nous aider de déterminer la composition composition de
l’eau.

On va les mesurer par une sonde multiparamètre :


Une sonde multiparamètre est un instrument de mesure utilisé dans
divers domaines, notamment la gestion de l'eau. Une sonde
multiparamètre est conçue pour mesurer plusieurs paramètres de l'eau
simultanément, offrant ainsi une analyse plus complète et précise de la
qualité de l'eau. Elle est équipée de capteurs spécifiques pour chaque
paramètre, et les données sont t affichées en temps réel sur un écran
intégré.
Mode opératoire :

La sonde multiparamètre est facile a utilisé, il suffit juste de mettre les


captures dans l’eau qu’on va analyser et d’attendre jusqu’à que les
valeurs seront équilibré.
Puisque notre sonde elle a que deux captures, donc des que on termine
avec les deux captures, on remplace l’un des deux par un autre.

Ph de l’eau :
La mesure de pH de l'eau : c’est la mesure de l'acidité ou de l'alcalinité de l’eau, et autrement dit la mesure de la
concentration des H+,dans l’eau :
PHH20 = -log10 [H+]
Nos données sont alors répertoriées dans le tableau ci-dessous :
Echantillons Zone Température ph
1 Pont 1 23,4 8,75
2 Pont 2 24,6 9 ,25
3 Pont3 23,8 8,21
4 Beal 1 21,2 7,49
5 Beal(sortiedefontaine) 20,1 7,06
6 robinet 24,4 7,66

Exploitation des résultats :


Tout d’abord on précise que l’eau qui passe par le campus c’est l’eau de ruisseau pierrascas, elle vient de la
colline pierrascas, c’est une pente qui contient des roches détritique, Les roches détritiques sont un type de
roches sédimentaires qui se forment à partir de fragments de roches, de minéraux et de matières organiques qui
ont été érodés, transportés et déposés par des agents externes tels que l'eau, le vent, la glace ou la gravité. Ces
fragments, appelés sédiments, s'accumulent au fil du temps et subissent un processus de consolidation pour
former des roches détritiques.
Le ruisseau pierrascas passe par plusieurs villes : Farlède, la garde, le Pradet, la Valette de Var.

Les valeurs de ph des 5 échantillons sont différentes et on justifie ça par divers facteurs :
-premièrement : on remarque que y’a une grande différence entre les valeurs de ph des échantillons qu’on a
prélevé dans les ponts et les valeurs de ph des échantillons qu’on a prélevé en face de Beal ,et qui est normal
parce que ils ne sont pas de la même source.
L’eau des échantillons 1, 2,3 :c’est l’eau qu’on a prélevé dans les ponts, leurs valeurs sont proches parce que ils
sont de la même source qui est l’eau de ruisseau pierrascas.
Les échantillons 4 et 5 : c’est l’eau qu’on prélever en face de béal, il vient de la même source qui est la nappe
souterrain, c’est juste que échantillon 5 on l’a prélevé directement de la sortie de la nappe et l’autre dans le
bassin.
Deuxièmement : on remarque que l’eau des ponts est basique par contre l’autre qui est en face de Beal est
proche de neutre et ça c’est normal parce que l’eau de la nappe est sous l’abri et elle est protégé des plusieurs
facteurs qui font augmenter le ph comme les minéraux qui se trouve dans les roches, et la température (si la
température augmente, le dégazage de co2 augmente et donc la concentration de l’acide carbonique diminue).
Mais par contre l’eau qu’on a prélevé dans les ponts, c’est l’eau de ruisseau pierrascas, et c’est une source qui
contient des roches détritique et des minéraux qui font augmenter le ph.
Troisièmement : même si les échantillons 1,2 et 3 sont de la même source mais comme même y’a une petite
différence, et ça revient à la température : si T augmente, y’aura un dégazage, le pourcentage de CO2 diminue
et donc l’acide carbonique diminue, l’eau devenue plus basique.
Et pour les deux échantillons 4 et 5: l’échantillon 5 :c’est l’eau qu’on a prélevé directement dans la sortie il a
un ph=7,06 neutre parce que il était protéger de toute infection. Mais par contre le ph de l’échantillon 4 ph=7,49
il a augmenté un peu et ça à cause des algues qui sont dans le bassin, les algues font la photosynthèse donc
vont absorber de CO2, la concentration de CO2 va diminuer, et donc la concentration de l’acide carbonique
diminue, l’eau devenue plus basique, le ph augmente.

La conductivité :
La conductivité de l'eau est une mesure de sa capacité à conduire le courant électrique. Elle dépend de la
concentration d'ions dissous dans l'eau, en particulier des ions chargés tels que les ions sodium (Na+), les ions
chlorure (Cl-), les ions calcium (Ca2+), les ions sulfate (SO42-), et d'autres électrolytes. Plus il y a d'ions
dissous, plus l'eau sera conductrice.

Cependant, il est important de noter que la conductivité seule ne donne pas d'informations sur la composition
chimique spécifique des ions dissous. Une analyse chimique plus détaillée est nécessaire pour déterminer quels
ions sont présents dans l'eau.
Les résultats qu’on a obtenus :
Echantillon Zone Conductivité (µs/cm)
1 Pont1 796
2 Pont2 950
3 Pont3 1068
4 Beal1 811
5 Beal2 819
6 robinet 442

-On remarque que la conductivité des échantillons qu’on a prélevé est plus grande que la conductivité de l’eau
de robinet, et ça c’est normal parce que l’eau e robinet est traité, et il est passé par plusieurs stations de
traitement, alors que les autres échantillons ils sont exposé à plusieurs facteurs qui vont leurs augmenter la
conductivité.
-La conductivité de l’eau des ponts est grande parce que elle est riche des sels minéraux qui se trouvent dans
les roches.
-La conductivité de la fontaine est grande à cause des microorganismes.

L’oxygène dissout :
L'oxygène peut se dissoudre dans l'eau, et ce processus est essentiel à la survie de nombreuses formes de vie
aquatiques, y compris les poissons. La solubilité de l'oxygène dans l'eau dépend de plusieurs facteurs,
notamment la température de l'eau, la pression atmosphérique et la salinité de l'eau.
Voici quelques points clés à retenir sur la dissolution de l'oxygène dans l'eau :
1. Température : En général, la solubilité de l'oxygène diminue lorsque la température de l'eau augmente.
Cela signifie que l'eau froide peut contenir plus d'oxygène dissous que de l'eau chaude.
2. Pression atmosphérique : La pression atmosphérique affecte également la solubilité de l'oxygène. À des
altitudes plus élevées, où la pression atmosphérique est plus faible, l'oxygène a tendance à se dissoudre moins
facilement dans l'eau.
3. Agitation : L'agitation de l'eau, comme les vagues dans un océan ou le brassage mécanique dans un
aquarium, favorise la dissolution de l'oxygène en permettant un contact plus intime entre l'air et l'eau.
4. Salinité : La salinité, c'est-à-dire la concentration en sels dissous, peut également influencer la solubilité
de l'oxygène. En général, l'eau douce peut contenir plus d'oxygène dissous que l'eau salée.

échantillon Zone température Oxygène dissout


mg/l
1 Pont1 23.4 12.27
2 Pont2 24.6 17.58
3 Pont3 23.8 9.74
4 Beal1 21.2 7.47
5 Beal2 20.1 2.2
6 robinet 24.4 8.1
Exploitation des résultats :
-parmi les échantillons qui a une faible concentration de l’oxygène c’est l’échantillon 5 parce qu’il est été sous
l’abri, il n’été pas au contact direct avec l’air.
- les échantillons 1,2 et 3 ont un pourcentage élevé parce que l’eau est exposée à l’air, et l’eau passe par les
roches de la colline pierrascas qui est riche en minéraux ; et donc les minéraux dissous vont augmenter
l’oxygène dissout
-On remarque que le pourcentage d’oxygène de l’échantillon 4 et moins que celui des échantillons 1,2et 3 alors
que sont tous exposé à l’air, et ça a cause des minéraux qui sont élevé dans l’eau et aussi à cause des poissons
qui vive dans l’eau de Beal, automatiquement les poissons respire d’oxygène ce qui fait diminuer le
pourcentage d’oxygène dans l’eau
-Un niveau d'oxygène dissous de 7 mg/l est généralement suffisant pour la plupart des poissons et autres
organismes aquatiques.
-Un niveau d'oxygène dissous de 12 mg/l est un signe de bonne qualité de l'eau et est favorable à la santé des
écosystèmes aquatiques.

Mesure des matières en suspension (MES)


Dans l’objectif de Calculer les concentrations en matières suspendues dansnos 6
échantillons, nous avons procédé à la filtration de chacun des échantillons, ainsi à la
pesée du filtre utilisée avant et après la filtration.

On obtient les résultats suivantes : MES = (m1-m2)*1000/vfiltree

Donnée Volume d’eau Masse initiale Masse du Concentration


des filtres filtrée (mL) du filtre (mg) filtre après matière en
séchage (en suspension en
mg) (mg/L)
EAU 1 730,97 114,7 116,6 2,599

EAU 2 845,85 100 138,5 45,52

EAU 3 1221,26 120 121.1 0.9

EAU 4 896,8 116,5 125,2 9,7

EAU 5 1175,35 114,3 120,8 5,53

EAU 6 NA
comparaison : MES 2> MES 4 > MES 5 > MES 1 > MES 3

class bleu vert jaune orange rouge


d’aptitude
indice
d’aptitude 80 60 40 20

qualite du tres bonne moy mauvais tres


cours bonne mauvais
d’eau
MES 25 50 100 150 150<
(mg/L)

par comparaison avec ces indices de référence tous les échantillons possède
MES entre 0 et 50 (mg/L) ce qui signifie que l’eau dans ces régions sont de
bonne qualités, et il n ya pas bcp des matière en suspension qui en général
affecté la vie aquatique par son effet sur la pénétration du lumière solaire et les
cycle de l'oxygène et de carbone .

Dureté :
La concentration en ions calcium et magnésium ([Ca2+] et [Mg2+])
permet de déterminer la dureté de l'eau, ce qui revêt une importance particulière
lors de son chauffage, car des niveaux élevés de ces ions peuvent provoquer la
précipitation de calcaire (CaCO3 et MgCO3).
La mesure de la dureté de l'eau se fait en degrés hygrométriques,
équivalant à 4 mg de calcium et 2,4 mg de magnésium par litre, avec une
échelle de 0 à 50. Une eau à 0° est considérée comme douce, tandis qu'à partir
de 30°, elle est qualifiée de dure.

Afin de déterminer ° TH, on a réalisé l’expérience suivante :

Le dosage se déroule à un pH de 10 afin de favoriser la forme prédominante de


l'EDTA, qui permet la complexation des ions calcium et magnésium. Bien que le
NET puisse former un complexe avec Mg2+ (decouleur rouge sang), ce
complexe est moins stable que le complexe EDTA/Mg2+. Ainsi, à
l'équivalence, le NET redevient libre et prend une couleur bleue.

CaNet-(rouge) + Y4- +H2 O ➡ CaY2- (incolore) +HNet2- (Blue) + OH -

On obtient les résultats suivants :


N = C edta * v edta / v0 TH = 10*N
Echantillo Véq Concentrati N ° TH Dureté
n EDTA on (mmol/
en en ions L)
mL calcium et
magnésium
en
mol/L

EAU 1 5.5 0.00275 2.75 27.5 Moyennement


dure
EAU 2 6.0 0.003 3 30 Moyennement
dure
EAU 3 8.3 0.00415 4.15 41.5 Très dure
EAU 4 6.0 0.003 3 30 Moyennement
dure
EAU 5 7.5 0.00375 3.75 37.5 Dure
EAU 6 5.5 0.00275 2.75 27.5 Moyennement
(robinet) dure

Globalement :
dureté 3 > dureté 5 > dureté 4 = dureté 2 > dureté 1
d'après le reference l’eau de campus est moy dure à dure et ces résultat
sont proches de celui marqué sur le carte de dureté d’eauen france : ( carte
du chap 1 chimie aquatique partie dureté )
nous avons obtener que l’eau et dure a moy dure tandis que la carte
montre que celui de la garde est très dure , ce diff de résultatrevient a la
methode utilise pour faire le calcul ( la méthode de calorimétrie n’est pas
bcp précis )

Oxydabilité :

Nos eaux subissent une contamination par des substances organiques provenant
de diverses sources, qu'elles soient d'origine animale, végétale, bactérienne ou
industrielle. C'est pourquoi il est essentiel d'évaluer la teneur en matière
organique de nos eaux pour les comparerà la norme de 5 mg/L d'oxygène
dissous, applicable aux eaux destinéesà la consommation humaine. L'indice de
permanganate d'une eau représente la quantité d'oxygène consommée par les
composés organiques oxydables contenus dans 1 litre de cette eau.
L’oxydabilité au KMnO4 permet alors l'estimation de la pollutionorganique
totale de l'eau.
Nos équations rédox des couples MnO4-/ Mn2+ pour le Permanganatede
potassium et CO2/ C2O42- pour l’oxalate :

MnO4- + 5 e- + 8 H+ ➡ Mn2+ + 4 H2O

2 CO2 + 2 e- ➡ C2O42-
On obtient en finalité notre équation bilan concernant la réaction entre l’oxalate et le

Permanganate de potassium en milieu acide :

2 4 ➡ 10 CO +2 2 Mn
2 MnO4- + 16 H+ + 5 C O 2- 2+
+ 8 H O2

mode d'opération du témoin :


mode d'opération d’essai :
même que celui du témoin , la prise d’essai étant l’eau à analyser .
mode d'opération du contrôle :
même procédure que pour le témoin, la prise d’essai étant une solutionde
resorcinol de concentration connue .
Etalonnage de la solution de permanganate :
-Ajouter 5 +/- 0,05 ml d’Oxalate de Sodium 5 mM dans l’erlen de dosagedu
Témoin.
- Réchauffer 2 à 3 min à 80°C.
- Titrer avec le Permanganate de Potassium jusqu’à apparition d’uneteinte
rose pâle.

Nous avons calculé l’indice permanganate grâce à la formule :


IP = f (V1-V0)/V2 f = 16
Avec :

f =16 dans les conditions de la norme

V0 = Volume de KMnO4 versé pour le témoin

V1 = Volume de KMnO4 versé pour le contrôle ou l’échantillonV2 =

Volume de KMnO4 pour l’étalonnage

De meme, on a vérifier que L’IP obtenu correspond bien aix concentration en carbone déterminées par UV Ainsi, on a

regroupé nos résultats ci-dessous :

V ( mL) IP (mg/L)
témoin 0.3
contrôle 3.5
etalonnage 4.74
EAU 1 2 5.73
EAU 2 1.48 3.98
EAU 3 1.2 3.03
EAU 4 0.45 0.50
EAU 5 0.8 1.68
EAU 6 (robinet) 0.40 0.33

IP1 > IP9>IP3>IP5>IP4>IP6


On constate que :

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