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FACULTE DES LETTRES, ARTS ET SCIENCES HUMAINES (FLASH)
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DEPARTEMENT DES ETUDES ANGLOPHONES, GERMANIQUES,
HISPANIQUES ET DES LETTRES MODERNES
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FILIERE : LETTRES MODERNES
OPTION : DIDACTIQUE ET ENSEIGNEMENT DU FRANÇAIS
SUJET
ii
DEDICACE
A
ma mère,
mon père,
iii
REMERCIEMENTS
Nous ne saurions entamer notre rédaction sans exprimer au préalable nos
gratitudes aux personnes ayant œuvrées pour notre encadrement et suivi pendant
notre cursus universitaire. En effet, nos pensées vont premièrement à l’endroit de
:
Notre maître de mémoire Dr Clément BABALOLA, pour sa disponibilité,
ses conseils, ses encouragements et surtout sa rigueur scientifique en
particulier ;
Tous les enseignants de la Faculté des Lettres, Arts et Sciences Humaines en
général et du Département des Lettres Modernes de l’Université de Parakou,
pour la qualité de la formation qu’ils nous ont donnée ;
Tout le personnel de la Direction Départementale de l’Enseignement
Secondaire et de la Formation Professionnelle de l’Atacora et du CEG de
Tanguiéta pour leur accueil, leur contribution et leur disponibilité accordée
pendant notre séjour d’enquête ;
À mon grand frère, ma grande sœur et à mes parents pour leurs
encouragements et leur soutien de toute sorte ;
À tous mes camarades étudiants de l’amphithéâtre et à tous mes frères
étudiants et étudiantes de la commune de Tanguiéta et à tous les élèves des
classes de 3ème du CEG de Tanguiéta.
iv
SIGLES
CEG : Collège d’Enseignement Général
APC : Approches Par Compétence
CP : Conseiller Pédagogique
AE : Animateur d’Etablissement
MC : Moderne Court
ML : Moderne Long
TICs : Technologies de l’Information et de la Communication
CHD : Centre Hospitalier de la Donga
v
LISTE DES TABLEAUX ET FIGURES
Tableau1: L’évaluation des copies des apprenants. ............................................ 30
Tableau 2: Année d’ancienneté des enseignants de français de Tanguiéta ........ 31
Graphique 1 : ancienneté des enseignants ........................................................... 32
Tableau 3 : types de difficultés rencontrées par les élèves ................................. 33
Graphique 2 : Difficultés des élèves ................................................................... 33
Tableau4: Rapport entre expérience et résultat ................................................... 34
Graphique 3 : Expérience et résultat ................................................................... 34
Tableau 5 : Séances d’élargissements ou de rattrapages..................................... 35
Graphique 4 : Séances d’élargissements ............................................................. 35
Graphique 5 : Achèvement des programmes ...................................................... 36
Tableau 7 : passez vous à l’oral avant l’écrit ...................................................... 38
Graphique 6 : Oral avant l’écrit........................................................................... 38
Tableau 8 : Performance des élèves .................................................................... 39
Graphique 7 : Performance des élèves ................................................................ 39
Tableau 9 : Séance la plus difficile pour les élèves ............................................ 40
Graphique 8 : Séance la plus difficile ................................................................. 40
Tableau 10 : Méthodes de travail ........................................................................ 41
Graphique 9 : Stratégie de travail………………………………………………41
vi
RESUME
L’expression écrite est une activité qui dispose d’un intérêt particulier dans le
domaine de la didactique du FLE. Elle préoccupe les enseignants et les chercheurs
au point où elle devient une problématique, de nombreux travaux de recherche y
ont été consacrés. L’intérêt de cette recherche est d’analyser et d’interpréter les
erreurs commises par les apprenants. L’apprenant commet beaucoup d’erreur lors
de l’apprentissage du français langue étrangère, il se trouve face à un grand
problème au niveau de la production écrite. Le manque de maitrise des règles de
la langue pourrait être l’une de ces erreurs. Pour clarifier ce phénomène, nous
avons mené notre recherche auprès d’apprenants issus de la quatrième année
moyenne. Ce travail vise à répertorier les différents types d’erreurs commises par
ces apprenants lors de l’activité de production écrite. Notre recherche est basée
sur un test préparé auquel sont soumis nos apprenants et au bout duquel ils doivent
produire un texte argumentatif qu’on analysera par la suite. Une partie de notre
recherche est consacrée à une expérimentation menée sur le terrain au moyen d’un
questionnaire destiné à l’intention des enseignants du cycle moyen.
Abstract
Written expression is an activity of particular interest in the field of FLE didactics.
It concerns teachers and researchers at a point where it becomes a problem; a lot
of research has been devoted. The interest of this research is to analyze and
interpret the mistakes made by learners. The learner makes a lot of mistakes when
learning French as a foreign language; he faces a big problem in terms of written
production. The lack of mastery of the rules of the language could be one of these
errors. To make the situation understood, we conducted research with learners in
the 4th year average. This work aims to identify the different types of mistakes
made by learners during the written production activity. Our research is based on
a test prepared for learners through which they must produce an argumentative
text, after one analyzed. And we devoted part of our research to field
experimentation using a questionnaire for middle-cycle teachers
vii
INTRODUCTION
L’enseignement du français constitue un objectif pertinent dans le système
éducatif béninois. Cela consiste à installer certaines compétences chez l’apprenant
pour pouvoir communiquer au moyen de cette langue dans ses pratiques
quotidiennes. Dans cette optique, selon la nouvelle réforme du système éducatif,
l’apprentissage consiste à faire partager les taches entre l’enseignant et ses
apprenants. De nombreuses compétences et activités sont proposées pour un
meilleur avancement du programme scolaire soulignées par la tutelle. A travers
cette perspective, l’enseignement du français vise à acquérir aux apprenants les
quatre compétences ; à l’oral (compréhension et expression), à l’écrit
(compréhension et expression). Cela veut dire que l’apprenant sera capable de lire
et écrire dans les quatre habilités d’une langue étrangère.
De plus, apprendre une langue est un processus comme tout autre activité humaine.
Lorsque nous voulons apprendre une langue, nous commettons toujours des
erreurs soit à l’oral soit à l’écrit ; si la maîtrise de l’oral s’enseigne déjà
difficilement parce qu’elle excède les limites du cours de français, c’est encore
plus vrai pour celle de l’écrit. On peut constater que l’expression écrite est l’un
des chainons de l’apprentissage des langues. Elle constitue le fruit d’un ensemble
d’activités (de production, de conjugaison, de grammaire…etc.). Par ailleurs,
1
nous savons que la production écrite pose beaucoup de problème aussi bien pour
l’apprenant que pour l’enseignant. Quand les apprenants acquièrent une langue
seconde, ils ont souvent tendance à transférer les règles de leur langue maternelle
à la langue qu’ils sont en train d’apprendre ; c’est l’influence de la langue
maternelle sur la compétence linguistique de la langue étrangère. Pour cela, nous
nous attachons à étudier l’évolution de l’erreur en production écrite et son rôle
dans l’apprentissage du français comme langue étrangère pour les apprenants de
quatrième année moyenne.
Est-ce que l’apprenant est apte à produire une production écrite en langue
française exempte d’erreurs ?
-Nous supposons que les apprenants font référence, et très souvent, à leur langue
maternelle pour s’exprimer.
2
thèmes très variés au vu de l’expression écrite en comparaison aux classes
inférieures, ajouté à cela le constat que nous avons pu faire quant à l’insuccès de
plusieurs apprenants de cette classe issus de notre entourage immédiat dans la
rédaction d’un quelconque écrit alors même que cette activité figure au
programme.
L’objectif de notre recherche, est de débusquer d’abord la source des erreurs les
plus fréquentes chez les apprenants cibles puis de tenter de les expliquer en ayant
recours à une grille d’évaluation préétablie sur les méthodes et méthodologies de
l’enseignement pour enfin tenter d’y remédier en nous référant aux différentes
possibilités que nous offre le domaine de la didactique des langues étrangères.
Notre méthodologie est basée sur l’analyse descriptive des erreurs.
3
CHAPITRE I : CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE DE
L’ETUDE
L’école est l’espace où l’on fait ses premiers pas en lecture et en écriture.la
réussite scolaire, dépend de la maitrise de l’écrit qui constitue un enjeu majeur ;
les connaissances et les acquis de l’apprenant évoluent à travers l’écrit. La
réalisation des différentes tâches dont l’écrit à l’école est devenu un moyen
incontestable dans leur réalisation. Pour apprendre à l’élève à bien écrire, à bien
acquérir et exercer sa pensée, l’école serait l’endroit idéal.
On a assisté depuis quelques décennies à un énorme bouillonnement
d’idées et de concepts dans le domaine éducatif et scolaire, qui a engendré de
volumineux analyses, commentaires et propositions présentés par des spécialistes
de l’enseignement et de la langue.
Depuis une décennie, les recherches en didactique de l’écriture se
multiplient, des travaux théoriques d’une foultitude de psycholinguistes et de
sociologues qui s’interrogent sur le rôle de l’écriture principal véhicule de tous
les enseignements-apprentissages dans la structuration de la pensée, la
conceptualisation, l’appropriation de la connaissance et l’intégration de l’élève
trouvent leurs origines dans ce repositionnement et ce renouvellement de pensée.
Ce chapitre donne quelques explications des concepts clé de notre thème
de recherche, et expose le cadre théorique de notre analyse (problématique,
hypothèses, objectifs, etc.)
4
souvent la dissection de quelque chose en parties plus petites afin d'en étudier les
relations et les interactions.
1-1-3: Erreurs syntaxiques : Les erreurs syntaxiques font référence aux erreurs
commises dans la structure et l'organisation des mots et des phrases dans un
langage donné. Cela concerne principalement la grammaire, la ponctuation et
l'ordre des mots dans une phrase.
5
courirs dans le jardin". Ici, le verbe "courirs" ne correspond pas au sujet "les chats",
ce qui crée une erreur syntaxique.
L'ordre des mots est également essentiel dans la syntaxe d'une phrase. Dans
certaines langues, comme le français, l'ordre des mots peut être plus souple.
Cependant, des erreurs de syntaxe peuvent survenir lorsque l'ordre est incorrect,
ce qui peut altérer le sens de la phrase. Par exemple, dans la phrase "Le chat joue
avec la souris", si l'on inverse l'ordre des mots pour dire "La souris joue avec le
chat", le sens de la phrase est complètement modifié.
6
nombre de critères, respecter le thème, ses idées doivent être cohérentes et
enchainées, leur formulation est faite en faisant appel aux consignes d’écriture et
éviter toute sorte d’ambigüité.
Produire un texte ne relève pas de la magie mais d’une activité complexe qui
nécessite beaucoup de temps et d’habilité d’ordres variés. Pour permettre à
l’apprenant d’acquérir une certaine autonomie en production écrite, à prendre en
compte les règles apprises pour une bonne maitrise de l’écrit et de faire face aux
contraintes des différents textes qu’il peut être amené à écrire durant cette activité
de grande importance. Le terme production vient du bas latin « productus », mot
issu du classique producere qui signifie à la fois « faire avancer »et « faire pousser
», développer. En didactique des langues, la production désigne ; soit le processus
de confection d’un message oral ou écrit par l’utilisation des signes sonores ou
constituée par les énoncés et les discours. Les termes de production et
d’expression sont sémantiquement voisin et en conséquence employés comme
synonymes. C’est ainsi qu’on parle aussi bien de production orale ou écrite, mais
l’usage cependant privilégie à l’oral comme à l’écrit l’appellation « exercice de
production. Enfin, il faut souligner que le mot « expression » renvoie davantage à
un champ marqué par la subjectivité à l’idée que l’on sort de soi quelque chose à
dire ou à écrire. Aujourd’hui, sous l’influence des grammaires textuelles, ce terme
qui a dominé dans les années 1970 à tendance à être remplacé par celui de
production écrite.
Dans un deuxième sens, l’écrit peut être défini comme : « écrire, c’est donc
produire une communication au moyen d’un texte et c’est aussi écrire un texte
dans une langue étrangère. » Si on se réfère aux travaux de J.P.Cuq, on peut
considérer les productions verbales et écrites de l’émetteur comme étant
contrôlées par le récepteur sur le plan discursif, linguistique et pragmatique de
sorte que tout échange suscite une évaluation. L’enseignement de la production
7
écrite vise à améliorer la compétence communicative chez l’apprenant. Les
apprenants écrivent leur production pour être lu.
1-2 Problématique
8
lors d’une production écrite. Cela donne lieu à la présence de plusieurs types
d’erreurs. C’est un constat d’échec auquel nous nous trouvons ce travail de
recherche tente de répondre à la question suivante :
Pourquoi les élèves commettent sans cesse plusieurs types d’erreurs à l’écrit ?
Quelles sont les causes de ces erreurs rencontrées chez les apprenants à l’écrit ?
Pour ces questions, les réponses acquises nous permettront de dégager les
approches de solutions pour une meilleure application de la méthodologie de
l'enseignement, de l’apprentissage et de l’évaluation d’un article de journal en
classe de 3ème.
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Évaluer l'impact des erreurs syntaxiques sur la compréhension et la
communication des élèves.
Proposer des stratégies et des activités pédagogiques pour remédier aux
erreurs syntaxiques chez les élèves.
1-2-3 Hypothèses
Nos hypothèses sont classées comme suit:
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En plus des apprenants, nous nous sommes intéressés aux trois (03)
professeurs qui interviennent dans les classes-cibles. La méthode de la collecte
des données utilisée dans le cadre du présent travail a été faite au moyen de deux
méthodes suivantes : analyse de contenu et l’enquête.
L'ANALYSE DE CONTENU
L'ENQUETE
Pour cette recherche, nous avons utilisé le questionnaire pour avoir une idée
sur les difficultés des apprenants qui les empêchent à rédiger un article de journal.
En fait, il est divisé en dix questions ouvertes et fermés.
QUESTIONNAIRE
11
ouvertes, choix multiples, binaire. L'option ‘autre'' laisse le champ libre aux
enseignants de donner leurs avis personnels.
Description du questionnaire :
- La 1ére, 3éme et 4éme questions, sont posées aux enseignants sur leur
fonction et leur formation pédagogiques.
12
1-3-2: Cadre physique de l’étude et population
CADRE PHYSIQUE
POPULATION
Pour collecter des données sur le type d’erreurs des collégiens, nous avons visité
le collège d’Enseignement Général de Tanguiéta, après l’autorisation de
l’administration. Nous avons choisi l’ensemble des classes de troisième qui
comprennent une cinquantaine d’apprenants. Nous avons assisté à l’un des cours
de français et distribué des feuilles où on les demande de rédiger une production
écrite.
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CHAPITRE II: PRESENTATION, ANALYSE ET DISCUSSION DES
RESULTATS.
Après avoir présenté dans la partie théorique les notions et concepts qui ont
trait à notre étude, dans cette deuxième partie, nous aborderons l’aspect pratique
de notre recherche. Cela, nous permettra de déterminer les difficultés rencontrées
par les apprenants dans la production d’un article de journal ainsi que les obstacles
d’apprentissage qui entravent la mise en place et le développement de cette
habileté. Pour se faire, nous tenterons d’élucider les conceptions (représentations)
erronées des enseignants et des apprenants en ce qui concerne la production d’un
article de journal et son enseignement /apprentissage d’une part, et les attitudes
des apprenants vis-à-vis de cette compétence et à son apprentissage d’autre part.
Après la présentation des dispositifs expérimentaux, nous procéderons,
dans un premier temps, à la lecture et l’analyse des résultats obtenus à travers les
réponses fournies par les enseignants au questionnaire qui leur était remis.
Questionnaire dans lequel ils avaient à répondre à plusieurs questions relatives à
notre recherche. Ces questions concernent les notions et concepts de base de notre
mémoire : elles s’intéressent aux éléments suivants :
nt
-écriture
-faire
14
production d’un article de journal en Français à savoir: les difficultés
linguistiques, les difficultés socioculturelles et les difficultés cognitives.
Dans la dernière partie nous nous intéresserons aux processus et stratégies
de la production écrite en général et d’un article de journal en particulier.
15
2-1-2 ANALYSE DES ERREURS :
16
d’acquisition chez l’apprenant de la bonne compréhension de l’expression écrite
à titre particulier exigeant de lui la réussite du transfert de toutes ces connaissances
linguistiques de sa propre langue maternelle dans la langue française (langue
seconde) en fonction de ses compétences et ses performances du point de vue
syntaxique et lexicales appartenant à la deuxième langue citée (la langue
française).
A cet effet, nous nous focalisons sur un processus systématique s’inscrivant dans
le cadre de notre analyse des erreurs syntaxiques commises par l’élève, ce
processus est constitué des quatre normes expressives en se posant
systématiquement les questions usuels suivantes :
Quoi ? Quel est le thème que je dois traiter ?
Qui ? Qui est mon récepteur qui doit me comprendre
(mon enseignant) ?
Comment ? Comment je dois exprimer mes idées en respectant
bien les règles grammaticales en langue française ?
Combien et Quand ? A quel moment et combien je dois donner des
exemples pour convaincre mon récepteur ?
Toutes ces questions systématiques permettent à l’apprenant de se libérer
psychologiquement et intellectuellement de ce qu’on appelle « le syndrome de la
page blanche »1.
Le transfert en question des connaissances de la langue maternelle doit inciter
l’apprenant d’organiser sa propre stratégie de comprendre et faire comprendre
l’expression de ses idées à son enseignant, dans le cadre de la langue française.
Ici, vient le rôle de celui-ci d’observer et d’analyser toute les erreurs pouvant être
commises dans ce sens.
2-2. Commentaires des erreurs :
1
Odille Dot, « La communication écrite efficace », Edition : Marabout, Paris, 1999, P.P. 5/6 17
Les copies servant du corpus de notre chapitre pratique nous ont attribué
l’opportunité de détecter les erreurs commises dans leur pourcentage par la
majorité des apprenants de la classe de troisième, en les classant dans leur
catégorie au niveau syntaxique, linguistique et sémantique, selon leur nature.
Pour ce faire, nous avons sélectionné les erreurs qui se font le plus fréquemment
dans les commentaires suivant :
Commentaire de la copie N° 01 :
Cette copie met en évidence deux aspects, les plus graves commis dans leur
contexte purement syntaxique. L’élève a tendance à confondre les deux aspects
phonétiques : « é » relatif à l’adjectif et « er » de l’infinitif englobés tout les deux
dans la phrase : « Vous avez être obliger d’acheter » Ajoutons à cela, la confusion
repérée dans son cadre morphosyntaxique, générant l’interférence entre le verbe
« être » conjugué au présent de l’indicatif à la 3ème personne du singulier et la
préposition « et » non conjonction de coordination.
Commentaire de la copie N° 02 :
Dans cette copie, nous rencontrons le problème d’accord entre le nom et l’adjectif
dans l’exemple suivant : « la drogue est nocife » l’apprenant ne fait pas la
différence entre les genres des noms. Autrement dit, il ne distingue pas le féminin
du masculin à travers la mauvaise structure de l’adjectif qualificatif « nocife ».
Bref, la féminisation de l’adjectif « nocive » n’est pas respectée. Il y a un autre
type d’erreur commis au niveau adverbial et pronominale, à savoir : la confusion
suivi d’un sujet indéfini « on » et entre l’adverbe du temps « quand » suivi d’un
pronom relatif dont la voyelle muette est éludée « qu » dans l’exemple : « la
première fois qu’on essai on peut la contrôler »
Commentaire de la copie N° 03 :
La phrase « que elle tu la personne » manifeste deux types d’erreurs :
a) L’ignorance totale des règles phonétiques, la méconnaissance de l’élusion
dans l’énoncé : « que elle » en occurrence, confusion syntaxique et phonétique
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du pronom personnel « tu » et l’usage du verbe « tuer » dans l’énoncé : « tu la
personne ».
b) L’aspect d’interférence est commis dans l’énoncé : « elle donne des métiers
dangereux », où il s’agit d’attribution confondue entre le concret, objet touchable
et l’abstrait : « le métier ». Ce genre d’erreur se fait fréquemment quand l’élève
essaye dans la même langue « le français » d’expliquer son idée, il tombe dans le
piège de la mauvaise synonymie sans en connaitre les règles grammaticales qui
l’aident à bien structurer les phrases, exemple : elle donne des métiers dangereux
et tueuse ». Dans cette phrase l’erreur est centrée au niveau du syntagme verbal «
donne », car ici l’élève se montre incapable de déduire les résultats dus au trafic
de la drogue au niveau morale, ce qui manifeste l’usage approprié du syntagme
verbal : « cause » au lieu de « donne ».
Le mauvais usage du pronom démonstratif nuisant au sens dans l’énoncé : « cet
fléau social » au niveau sémantique et grammatical. Du même énoncé on peut
comprendre qu’il s’agit de :
Au niveau auditif, il est question d’une démonstration d’ordre numérique, par
interprétation de « cet » par « sept ». Par ailleurs, l’apprenant ne respecte pas les
règles grammaticales en cas d’usage de conjonction de subordination, exigeant la
mise en usage du verbe autant voulu. Autrement dit, après chaque conjonction de
coordination les verbes sont nécessairement conjugués en cas où ils sont
coordonnées par une conjonction de coordination « et » et nullement laissé à
l’infinitif comme dans le cas de l’énoncé suivant :« Parce que les gens voulent
pour fumé ».D’autre part, l’impact phonétique met l’apprenant dans une situation
expressive énoncée jusqu’à confondre phonétiquement le « é » et l’infinitif « er »
en cas de rapport de but ayant tous les deux le même aspect phonétique [e] comme
le montre l’exemple : « Les gens voulent pour fumé »
Commentaire de la copie N° 04 :
L’énoncé suivant : « La drogue et très dangereuse pour notre vie humaine car c’est
la mort direct, parce que vous achetez la mort avec votre propre argent » montre
19
le non respect des règles grammaticales, en cas d’usage d’une conjonction de
subordination nécessitant la liaison entre deux propositions du même événement,
d’objet ou de personne en cas d’expression de but. Ici, l’apprenant ne respecte pas
cette règle, car en exprimant la cause par la conjonction de subordination « parce
que » entre deux personnes différentes : « nous » et « notre vie » et « vous » «
vous achetez la mort ».
Commentaire de la copie N° 05 :
Dans cette copie, deux types d’erreurs se font repérer : La mauvaise maîtrise du
temps entre le présent et le passé composé au lieu d’utiliser le présent comme
l’exige le sujet de la « drogue », l’apprenant utilise le passé composé d’une
manière incorrecte pour deux raisons :L’absence de l’auxiliaire « être » dans la
forme pronominale « s’est » dans l’exemple : « par le temps il abitué »
L’inadéquation d’usage de temps : « passé composé » dans le même sujet à traiter
« la drogue » s’ajoute à cela, la maladresse d’usage pronominal du pronom relatif
« qui » donnant lieux à la mauvaise structuration et expression de la proposition
subordonnée relative, comme le cas « la drogue est une poisone qu’elle est
dangereuse pour l’homme » Par ailleurs, l’absence totale de la ponctuation cause
totalement la désorganisation expressive et logique des idées à défaut de la
division en paragraphe de la production écrite dans son cadre textuelle. Le reste
d’erreurs est purement d’ordre vocabulaire.
Commentaire de la copie N° 06 :
Dans cette copie, l’apprenant ne distingue pas le nombre des noms, en accord avec
les adjectifs, le genre, exemple : « la drogue, c’est un fléau sociaux » le problème
de répétition s’ajoute à son tour dans son cadre erroné, appelé « pléonasme » dans
« l’être humains il va avoir des problèmes ». D’autre part, l’apprenant tombe dans
la confusion entre l’infinitif et le participe passé. Cette erreur est dû
principalement à l’aspect homonymique dans l’exemple : « l’être humain ne peut
pas l’évité ». Le mauvais usage de la conjonction de coordination donne lieu à
répéter l’erreur de coordination et d’énumération. Dans la phrase « elle drogue le
20
cerveau et dangereuse ». L’apprenant ignore la règle fonctionnelle de « et » car il
coordonne le verbe « drogue » à l’adjectif « dangereuse », par ce genre de
conjonction de coordination.
Commentaire de la copie N° 07 : La première erreur à repérer dans cette copie
est la même que celle de la copie n°06, la confusion entre le participe passé et
l’infinitif, dans « il faut évité ». L’usage de la forme impersonnelle manifeste deux
types d’erreurs : « il faut fait le sport et écoute le coran ». Le mauvais usage de la
conjonction de coordination du point de vue fonctionnelle, nécessitant le respect
de l’ordre des structures grammaticales de même nature ou de mêmes fonctions,
exemple : « du sport » « nom », « et » « conjonction de coordination », « écoute
» « verbe ». Le mauvais usage syntaxique des mots précédés par le verbe
impersonnel nécessitant à son tour l’emploi de l’infinitif dans l’exemple :« il faut
fait»
L’usage du pronom relatif « qui » fait montrer les maladresses commises dans la
structure complexe de la phrase, exemple : « je donne des conseils aux jeunes qui
dépendre de la drogue », ici la proposition subordonnée relative contient une
erreur grave concernant l’infinitif « dépendre » venant après le pronom relatif «
qui », qui exige un verbe conjugué. Cette mauvaise structure est répétée à la fin
du même paragraphe contenant l’erreur commise dans la formation complexe de
la phrase, comme le montre l’exemple suivant : « …. au jeunes qui dépendre de
la drogue ». La maladresse du verbe « être » à la place du verbe « avoir » dans : «
C’est un fléau social et il est de négatives choses ». Ici, l’apprenant ignore
totalement le sens profond du verbe « avoir » « la possession » et le verbe « être
» « exister ». Voilà pourquoi il tombe dans la maladresse de l’emploi du verbe
être dans la phrase déjà mentionnée.
Commentaire de la copie N° 08 :
Dans cette copie, l’apprenant commet un autre type d’erreur, causant l’impact
sémantique dû à l’interférence d’homonymes, exemple : « alors je lui est expliquer
ces dangers », cette phrase contient deux types d’erreurs de confusion
21
d’homonymes. Confusion verbale entre le verbe « être » « est » et l’auxiliaire
avoir « ai » du participe passé « expliquer » utilisé en erreur à sa fin, « er » au lieu
de « é ». Confusion d’ordre déterminative entre déterminant exprimant la
possession « ses » relatif aux dangers de la drogue et le déterminant exprimant la
démonstration par indication « ces » s’ajoute à cela l’usage des niveaux de langues
familières dans : « … pour ça », au lieu du soutenu « ...pour cela »
Commentaire de la copie N° 09 :
L’enchainement sémantique n’est pas répété chez l’apprenant à cause de la
mauvaise maitrise des règles syntaxiques, exemple : « Ceux qui achète la drogue
il vont acheter la mort ». Cela donne lieu à repérer deux types d’erreurs :
La répétition pronominale et l’usage temporel erroné dans l’exemple : « il vont
acheter la mort ». L’aspect répétitif erroné se manifeste dans l’usage du pronom
personnel « il » sans « s », utilisé par l’apprenant comme reprise du premier
pronom « ceux ». Par conséquent, toute répétition du sujet dans cette phrase est
entièrement erronée.
Dans : « il vont acheter la mort », l’usage du futur proche est une erreur à éviter
car le présent s’avère plus signifiant sous l’angle déductif. En d’autre terme,
l’usage proche nuit à la concordance du temps exprimant la cause et son résultat,
entre le fait d’acheter « la drogue » et le fait d’acheter « la mort », par déduction
dans les pensées de l’apprenant. De ce fait, l’apprenant devrait structurer sa phrase
dans la forme suivante : « ceux qui achètent la drogue achètent la mort ».
Commentaire de la copie N° 10:
L’aspect total d’erreurs commises dans cette copie est d’ordre homophonique au
niveau du temps. Il apparait, clairement, que l’apprenant ne maitrise pas l’usage
du temps dans « je l’aurai dit de dangers de la drogue », dans cette phrase, l’usage
du futur antérieur nuit à la concordance du temps. Ici, l’apprenant n’a pas su
exprimer le discours rapporté dans ses pensées, en reprenant l’usage du verbe «
dit » exprimé au futur antérieur pour attirer l’attention sur les dangers de la drogue.
22
A cet effet, l’apprenant devrait avoir recours au passé composé dans : « comme
je l’ai dis », au lieu de : « je l’aurai dit ». D’autre part, le problème d’interférence
d’homophone s’impose dans : « je lui estdis », « ces pour ça ». Dans la première
phrase, l’apprenant confond phonétiquement l’auxiliaire « avoir » au présent « ai
» et le verbe « être », dont le facteur commun est l’expression de l’idée au passé
composé.
Dans la deuxième phrase : « ces pour ça », le type d’erreur est d’ordre
homophonique à caractère pronominal. Dans ce sens, l’apprenant ne distingue pas
la démonstration pronominale dans « c » accordé au verbe « être » au présent «
est » et l’expression possessive dans « ces ». Par conséquent, l’enseignement oral
de la langue s’avère d’une importance capitale dans l’assimilation de l’idée par
conjonction complémentaire, entre l’écrit et l’oral, donnant l’opportunité à
l’apprenant de s’exprimer correctement dans toutes les situations.
Commentaire de la copie N° 11 :
Les erreurs commises dans cette copie sont dues à plusieurs types, dont le premier
est : la confusion des homonymes engendrant la maladresse orthographique,
comme le montre la phrase suivante : « la drogue et une poison pour l’homme ».
L’apprenant confond l’auxiliaire « être » employé à la 3ème personne du singulier
« est » avec la conjonction de coordination « et », pour lui, il n’y a pas une
différence entre l’oral et l’écrit. En deuxième lieu, le problème de vocabulaire,
exemple : « car la personne fait des bêtises et poison la vie et le corps », dans ce
cas, l’apprenant utilise mal la structure verbale « empoisonner » dont l’impact
sémantique s’impose.
Un autre type d’erreur du point de vue grammaticale, exemple : « il faut partage
», l’apprenant ignore les règles grammaticales liées à l’usage du mode « infinitif
» « partager » au lieu de « partage ».
Commentaire de la copie N° 12 :
Dans cette copie, les erreurs sont multiples, à titre d’illustration : « les enfants qui
teminer ces études », l’erreur qui soulève à travers cet exemple est celle de la
23
conjugaison d’une part car l’apprenant ne sait pas employer correctement le temps
des verbes, en l’occurrence la terminaison : dans « terminer » « ent » au lieu de «
er ». D’une autre part, un autre type d’erreur, celui de substitut grammatical « ces
» à la place de « leur », exemple : « les enfants qui teminer ces études »,
l’apprenant confond l’adjectif possessif « ses » relatif aux études avec l’adjectif
démonstratif « ces ». Au niveau de l’orthographe l’apprenant ne fait pas la
différence entre le masculin et le féminin, exemple : « cette fléau ».
Les erreurs fréquentes celle de l’interférence, exemple « mon grand dieu ». Le
type d’interférence est appelé interlinguale, c'est-à-dire la confusion avec la
langue maternelle.
Commentaire de la copie N°13 :
Dans cette copie, les erreurs sont en premier lieu au niveau des homonymes,
exemple : « la drogue et un problème de société ». L’apprenant ne distingue pas
l’auxiliaire être » employé à la 3 ème personne du singulier « est » et la préposition
« et ». En deuxième lieu, le problème des temps composés dans : « la drogue est
devenu un fléau social » « donc provoqué beaucoup des accidents ». Les deux
exemples montrent que l’apprenant ne maitrise pas les temps composés
notamment au niveau de l’auxiliaire « être » et du participe passé du verbe «
devenir » : « c’est devenue » au lieu de « est devenu ».
Concernant l’auxiliaire « avoir », l’apprenant devrait l’utilisé à la 3ème personne
du singulier mettant en évidence la présence du pronom personnel « elle » relatif
à la drogue « donc elle a provoqué… » au lieu de « donc provoqué… ».
Commentaire de la copie N°14 :
On remarque que les erreurs sont communes dans les copies, exemple : « Le fléau
social c’est le problème qui à fait… » L’erreur se manifeste à travers l’emploi de
l’auxiliaire « avoir ». L’apprenant confond l’auxiliaire « avoir » employé à la
3ème personne du singulier « a » relatif au « fléau social » avec la préposition « à
». Aussi le problème de l’interférence, exemple : « c’est le problème qui a fait a
24
les pour être drogué », ce type d’interférence est appelé bilinguale, c’est-à-dire
entre l’arabe et le français, ayant conduit à la mal structuration de la phrase.
Parmi d’autres erreurs, le mauvais usage du mode « infinitif », exemple : « pour
volé », dans ce sens l’apprenant utilise mal le mode infinitif exprimant le rapport
de but. La mauvaise structure de la négation exemple : « Et chose de ne pas bien
», dans cette phrase la négation est mal structuré « n’est » au lieu de « ne ».Nous
avons un autre exemple sur la répétition, exemple « et cet événement il … »,
l’apprenant a commis une répétition du sujet en introduisant le pronom personnel
« il ».
Commentaire de la copie N°15 :
Dans cette copie, nous remarquons aussi l’erreur de la répétition, exemple : « la
drogue est un fléau sociale est dangereux pour la santé… »
Ce genre d’erreur donne lieu à la mauvaise attribution adjectivale dans « est
dangereux », par conséquent, ces répétitions nuisibles demeurant inadéquates au
sens des idées. De son côté le mode « infinitif » est mal utilisé, exemple : « il faut
s’éloigné de la drogue ». L’apprenant ignore certaines règles grammaticales
exigeant l’infinitif, après les verbes impersonnels comme le verbe « falloir ».
Commentaire de la copie N°16 :
Il est à noter que le problème au niveau des homonymes touchant essentiellement
le côté syntaxique est omniprésent à titre d’illustration : « La drogue et dangereuse
» « et un fléau social ». L’apprenant confond l’auxiliaire « être » employé à la
3ème personne du singulier relatif à « la drogue » et la préposition « et », un autre
cas d’erreurs, exemple : « le personne prendre », l’apprenant confond le féminin
avec le masculin, à cause de l’ignorance des règles grammaticales.
Par ailleurs, il ne respecte pas les temps verbaux, exemple : « prend » au lieu de
« prendre », mettant en évidence l’absence du pronom relatif « qui ». Le langage
oral et écrit demeure très important, c’est un problème qui se manifeste clairement
chez l’apprenant, exemple : « et ça le conduire », l’apprenant ne respecte pas le
code de l’écrit à cause de son ignorance des structures syntaxiques.
25
Commentaire de la copie N°17 :
Les erreurs sont toujours les mêmes : confusion de l’auxiliaire « être » employé à
la 3ème personne du singulier « est » et la préposition « et », exemple : « la drogue
et un des fléaux…. », l’apprenant ignore le sens différentiel entre les deux
homonymes.
Maladresse du genre et du nombre des noms, exemple : « la drogue et un des fléau
sociale », cela montre la non distinction entre le singulier « fléau social » et le
pluriel « fléaux sociaux » de la part de l’apprenant. Confusion « homme » avec «
gens », dans l’exemple suivant : « Car elle détruire la vie des hommes »,
sémantiquement cette confusion mène l’apprenant a limiter la consommation de
la drogue aux hommes en dissociant les femmes, alors qu’au début la présentation
du phénomène de la drogue englobe la société en général. Autrement dit, elle
génère les deux sexes, homme et femme.
Commentaire de la copie N°18 :
A travers cette copie, l’erreur se manifeste au niveau de la conjugaison, exemple :
« Quand les gens utilisela drogue » « mais quand ils fait cela à chaque fois »,
l’apprenant ne respecte pas les règles de la conjugaison dans « utilisé » et « fait »,
en l’occurrence la terminaison « ent » et « ont » pour certains verbes au présent,
donc « utilisent » au lieu de « utilise » et « font » au lieu de « fait ».
Ainsi se manifeste le mauvais usage de la structure du (C.O.D) dans l’exemple «
et ils ne peuvent arrêter le ».
Commentaire de la copie N°19 :
Dans cette copie, l’aspect d’interférence se pose pertinemment dans ce qui suit :
« la drogue est l’une des plus importante… », Cette phrase montre que l’apprenant
est victime d’interférence interlinguale entre l’arabe et le français, par référence à
l’importance du problème de la drogue à traiter. Dans la langue maternelle
l’aspect sémantique « plus importante » est admis en cas du traitement de thème
d’importance capitale au niveau social.
26
Contrairement à la langue française l’aspect d’importance est utile ou bénéfique
par la qualification des choses, en général. « Et la plus dangereuses » cette phrase
confirme d’avantage la situation d’interférence en question au point où
l’apprenant se contredit en qualifiant la drogue sous deux angles contradictoires,
l’importance de la drogue et son danger, comme aspect du fléau social Par
conséquent, la coordination : « la drogue est l’une des plus importante » et « la
plus dangereuse des problèmes sociaux » s’avère inadéquate sémantiquement
entre ces deux phrases.
Au niveau de la conjugaison, on soulève l’exemple suivant: « c’est pour cela que
je conseil de na jamais approcher de la drogue », le problème qui s’impose est lié
au temps dans « conseil » dont la terminaison correcte est « lle » relatif au pronom
personnel « je » s’ajoute à cela le problème de la forme pronominale dans « de ne
jamais approcher de la drogue », alors que la forme correcte de cette expression
est : « de ne jamais s’approcher de la drogue ».
Evaluation des copies des élèves
Classe : 3ème MC1 Nombre des apprenants : 52
Activité : production écrite
Rappel de sujet : « Explique à ton voisin les dangers de la drogue ».
1 2 3 2 0 7
2 2 5 3 0 10
3 2 5 3 0 10
4 2 7 3 2 14
27
5 1 4 2 0 7
6 2 4 3 0 9
7 1 4 2 0 7
8 2 5 3 0 10
9 2 7 3 1 13
10 1 4 2 0 7
11 2 4 2 0 8
12 1 3 2 0 6
13 2 7 3 1 13
14 2 8 3 1 14
15 2 4 2 0 8
16 2 4 3 0 9
17 2 6 3 0 11
18 2 4 2 0 8
19 1 3 2 0 6
20 2 5 2 0 9
21 1 4 2 0 7
22 2 3 3 0 7
28
23 3 7 3 1 14
24 3 5 3 0 11
25 2 3 1 0 6
26 1 3 1 0 5
27 2 5 2 0 9
28 2 4 3 0 9
29 3 6 3 1 13
30 2 5 3 0 10
31 1 3 2 0 6
32 2 3 2 0 7
33 2 4 2 0 8
34 2 6 3 0 11
35 1 2 2 0 5
36 1 4 2 0 7
37 1 4 2 0 7
38 3 4 2 0 9
39 2 4 2 0 8
40 2 4 2 0 8
29
41 2 3 2 0 7
42 1 3 2 0 6
43 2 4 2 0 8
44 3 6 3 1 13
45 1 2 2 0 5
46 3 5 3 0 11
47 2 4 2 0 8
48 3 5 2 0 10
49 1 2 1 0 4
50 2 4 1 0 7
51 3 6 2 0 11
52 3 6 2 0 11
52 35 copies 17 copies
Pour avoir plus d’idées sur les types d’erreurs syntaxiques commises par les
apprenants au niveau de leurs productions écrites, nous avons utilisé un
30
questionnaire pour des enseignants de Français qui sont au total 11 dans la
commune de Tanguiéta les résultats sont-elles montré dans le tableau suivant:
Q1 : Depuis quand exercez-vous ce métier ?
Nombres Fréquence
des en%
enseignants
4 36,36%
De 5 à 10ans
3 27,27%
De 10 à 15ans
Total 11 100%
31
ANCIENNETE
40,00%
35,00% 36,36%
30,00%
25,00% 27,27%
20,00%
10,00%
5,00%
0,00%
Moins de 5 ans De 5 à 10ans De 10 à 15ans Plus de 15ans
Fréquence en % 18,18% 36,36% 27,27% 18,18%
Fréquence en %
32
Tableau 3 : types de difficultés rencontrées par les élèves
2
82%
18%
AU NIVEAU DE L'EXPRESSION ÉCRITE AU NIVEAU DU PROGRAMME
pendant l’année scolaire sont au niveau de l’expression écrite, car l’apprenant peut
non 08 73%
oui 03 27%
33
Tableau4: Rapport entre expérience et résultat
Titre du graphique
Résultats Pourcentage
9
8
8
7
6
5
4
3
3
2
73%
1 27%
0
Non Oui
Résultats 8 3
Pourcentage 73% 27%
Parfois 02 18%
non 00 00%
34
Si les résultats de
l’évaluation sont
01 09%
médiocres
SÉANCE D'ÉLARGISSEMENTS
Résultats Pourcentage
6
1
55%
18%
9%
9%
9%
0%
0
55% d’enseignants répondent par l’affirmatif, car ils trouvent que les séances
d’élargissement sont très utiles, voire même obligatoire ; elles font rappeler
l’apprenant des leçons lui ayant été déjà données. De ce fait, la réalisation de ces
séances peut s’effectuer aussi en fonction d’application (des séances d’exercices).
On constate par cela que l’apprenant peut avoir une bonne acquisition, si ces
séances s’avèrent réalisées. Une minorité d’enseignants (09%) utilisent rarement
ces séances d’élargissement, pour eux cette tâche ne se réalise que si les résultats
de l’évaluation ne sont pas bons, ou si la leçon du jour nécessite cette tâche. Ils
trouvent que le temps n’est pas suffisant à cause de la densité du programme.
35
Q5 : Dans ce cas-là, avez-vous le temps de terminer le programme avec
l’acquisition de toutes les connaissances ?
Non 02 18%
oui 06 55%
parfois 03 27%
Tableau 6 : Les enseignants arrivent ils à finir le programme ?
TITRE DU GRAPHIQUE
Résultats Pourcentage
6
3
2
55%
27%
18%
36
qu’il ne suffit pas de terminer tout le programme, notamment avec toutes les
acquisitions, car celles-ci est accompagnée souvent par des exercices de répétition.
D’autres enseignants 55% confirment qu’ils peuvent terminer le programme avec
toutes les acquisitions, car certaines leçons peuvent être étudiées antérieurement.
De ce fait, on constate que la connaissance de certaines activités de la part de
l’apprenant aide l’enseignant de finir, le programme mettant en tête le facteur
d’acquisition. Quand à d’autres enseignants (27%) disent que l’achèvement du
programme ne se réalise pas souvent, car cela dépend des facteurs de
performances nécessitant l’inéquation d’ordre d’importance des différentes
leçons.
37
Tableau 7 : passez vous à l’oral avant l’écrit
6
5
5
3
3
2
2
1
1
46%
18% 27%
9%
0
Oui pour éveil d'intérêt Non oui Non parfois
Résultats Pourcentage
Par conséquent les difficultés des apprenants diffèrent d’un niveau à un autre.
38
6.- Comment jugez-vous
les performances de vos
Les résultats Le pourcentage
élèves à l’écrit ?
Faibles 03 27%
5
5
3 3
3
1
46%
27% 27%
0
Faibles Très faibles Dans la moyennr
Résultats Pourcentage
39
Nombres Fréquence
des enseignants en %
3 27,27%
L’oral
La lecture 00 00%
La production 8 72,72%
écrite
40
Q9 : Quelles sont les méthodes utilisées pour faire travailler vos apprenants en
production écrite ?
Nombres
Fréquence
des
en%
enseignants
Collectivement 06 54,54%
Individuellement 05 45,45%
1 54,54% 45,45%
0
Collectivement Individuellement
Nombres d'enseignants 6 5
Pourcentage 54,54% 45,45%
41
préfèrent le faire individuellement, à cause de la charge des classes, le bruit des
apprenants et le facteur temps qui ne facilitent pas ce procédé pour les enseignants.
Q10 : Selon vous, que faut-il faire pour améliorer le niveau des élèves à l’écrit ?
Selon les réponses des enseignants l’inaptitude orale et écrite revient à beaucoup
de facteurs. Le programme scolaire représente l’un de ces facteurs, par sa longueur
et sa densité, et à cause duquel les acquisitions de l’apprenant sont encore loin
d’être réalisées.
43
Enfin, certains mettent l’accent sur l’intensification des séances de correction
collectives des erreurs commises par les apprenants en vue de procéder à la mise
en connaissance de toutes les erreurs commises dans ce sens.
44
D’autre part, dans l’analyse des copies nous avons trouvé aussi deux
d’autres types d’erreurs. Premièrement, les erreurs sémantiques qui sont dues à la
traduction littérale de la langue maternelle vers le français. Deuxièmement, les
erreurs lexicales qui ont été faites à cause du mauvais choix des mots .Enfin, les
apprenants ont commis des erreurs d’orthographes car ils ne maitrisent pas leurs
règles. D’un autre coté on a dégagé les erreurs d’interférences linguistiques, et
l’explication de ce phénomène est que l’apprenant est toujours en face d’une
langue étrangère.
En conclusion, après l’analyse et l’interprétation des copies, les résultats
ont prouvé nos hypothèses, les apprenants ont commis des erreurs à cause de non
maitrise des règles et aussi de l’influence de la langue maternelle.
45
CHAPITRE III: SUGGESTIONS ET RECOMMANDATIONS
3-1 Suggestions et Recommandations
2
Odile DOT, « La communication écrite et efficace », op-cit, P.169. 46
l’horizon d’attente de son apprenant soit bien attendue, en prenant principalement
en compte l’interaction communicative entre les deux, à savoir : des questions et
leur réponses, servant de complément important dans l’organisation du processus
pédagogique.
Cela exige d’autre part de l’élève de consacrer une partie de son temps en
dehors de la classe à l’apprentissage en effectuant une série d’exercices de
recherche, de leçons à apprendre et à réviser, avec l’aide de quelques individus
ayant accès au savoir, dont l’élève s’en bénéficier en construisant de manière
active ses proches connaissances.
Dans ce sens, l’enseignant doit faire part de son aide vis-à-vis de son
apprenant en vue de développer ses compétences d’apprentissage en
pragmatiquement la mise en application des règles en classe.
47
conséquent, le facteur de la correction permet de lutter contre la « fossilisation »
des erreurs mettant en évidence les prés-requis de l’apprenant.
De plus, tous les acteurs du système éducatif tels que les apprenants, les
enseignants, le corps du contrôle et les autorités administratives en charge de
l’éducation doivent appliquer certaines démarches pour l'amélioration du système
éducatif en générale. Conscient qu’il est absolument difficile de fournir des
suggestions et des solutions applicables et utiles à tout problème. Dans ce cas,
nous souhaitons fournir des suggestions permettant de réduire les erreurs dans les
productions écrites. En effets, les résultats ont montré que les erreurs commises
sont très fréquentes chez les apprenants de la promotion 3èmeque nous avons eu la
chance de suivre durant nos recherches. Cependant, en prenant les résultats
comme référence, nous avons les solutions pédagogiques suivantes :
Pour les enseignants :
s
commises par leurs apprenants,
48
–le en
groupe pour apprendre les erreurs de l’autre,
Ils doivent toujours s’approprier des notions sur la production écrite lors
de la préparation de la fiche pédagogique pour leur exécution parfaite en
situation de classe,
Lire plus de livres, car la lecture est bonne pour améliorer le vocabulaire et
le style,
Au corps d'encadrement
Ces deux responsables, sont des acteurs aux contrôles de la bonne marche
du système. Cependant, l'État doit multiplier les centres de documentation. Et aux
responsables des établissements de veiller pour leur exploitation tout en trouvant
une méthode adéquate pour faire participer tous les apprenants.
Ces responsables doivent avoir une bonne camaraderie entre eux avec le
corps enseignant pour de bon encadrement des élèves.
3-2 Exemplaire de fiche pédagogique sur la production écrite
Dans cette dernière section, nous avons tenté de présenter les fiches pédagogiques
utilisées en troisième en Situation d’Apprentissage No2, unité 2 (lire un article de
journal) et l’unité3 (écrire un article de journal)
Classe : 3e
Durée : 8 heures
ÉLEMENTS DE PLANIFICATION
COMPÉTENCES
Compétence disciplinaire
Compétences transversales
50
-Exploiter l’information disponible N°1
Compétences transdisciplinaires
Connaissances et techniques
- Documentation
Stratégies d’enseignement/apprentissage/évaluation
Stratégies d’enseignement/apprentissage
Stratégies d’évaluation
51
- stratégies formatives informelles, interactives entre les élèves(les apprenants
cherchent ensemble les faiblesses de leur production, ils discutent entre eux pour
l’améliorer en remédiant aux faiblesses. Ici l’enseignant n’intervient pas.)
Matériel
- dictionnaire
- un journal (PM)
DEROULEMENT
Situation de départ
INTRODUCTION
Consigne :
52
2- Identifie la tâche à accomplir.
REALISATION
Consigne
Retrait de
Excès de permis par la
vitesse. Police
A partir des informations suivantes,
Pour cela:
RETOUR ET PROJECTION
Consigne
53
3- Énumère les difficultés que tu as rencontrées et dis comment tu les as
surmontées.
4- Cite les domaines possibles ou occasions où tu pourras te servir de ce que
tu as appris.
Résultats attendus : PM
54
CONCLUSION
La production écrite en Français constitue une habileté qui implique plus
que l’appropriation d’un nouveau code graphique et/ou un ensemble de règles
grammaticales.
Produire un texte en Français ne peut être réduit à une simple expression
d’idées, de sentiments et/ou d’opinions à l’aide de mots et de phrases
graphiquement et grammaticalement correctes.
La production d’un texte est une activité complexe qui requiert de la part
du scripteur en outre de la maîtrise des règles du système linguistique proprement
dit , une maîtrise des règles du fonctionnement social de ce système, une maîtrise
des règles qui régissent la cohérence/cohésion du texte et enfin une maîtrise des
connaissances procédurales qui concerne les processus et les stratégie
rédactionnels.
Démuni, face à cette complexité, l’apprenant dédaigne, le plus souvent,
d’entamer la tâche rédactionnelle, et, même s’il commence il est généralement
soit dans l’incapacité d’aller jusqu’au bout soit il va produire un texte décousu et
incompréhensible. Ceci s’explique par le fait que malgré la similarité des
processus en Français, l’apprenant malhabile rencontre des difficultés
supplémentaires qui ont trait à deux types de connaissances : les connaissances
déclaratives (linguistiques, socioculturelles et référentielles) et les connaissances
procédurales. L’analyse des copies d’apprenants a mis à la lumière des résultats
négatifs. Effectivement, à l’aide de cette analyse qui visait la détermination des
différents types de difficultés rencontrées par les apprenants dans la production
écrite, nous avons constaté que ces dernières affectent l’ensemble des
compétences rédactionnelles (La composante linguistique, socioculturelle et
cognitive). Par ailleurs, dans la mesure où enseigner une langue nécessite de la
part de l’enseignant la maîtrise de savoirs et savoir-faire et des représentations qui
portent sur l’objet d’enseignement et sur les modalités et les démarches de son
enseignement, l’objectif de notre étude a été de déterminer les représentations
55
erronées des apprenants quant à l’écriture. Ces représentations constituent des
obstacles qui empêchent la mise en place et le développement de la compétence
rédactionnelle chez les apprenants.
L’analyse du questionnaire administré aux enseignants, nous a permis,
également, de mettre à la lumière des résultats négatifs.
Effectivement, à l’aide de ce questionnaire nous avons constaté que pour la
majorité des enseignants :
• L’écriture est un outil qui sert à l’expression des idées, des sentiments et des
opinions.
• Ecrire c’est respecter les règles de la grammaire
• Enseigner l’écriture c’est enseigner les règles de la grammaire.
Enfin, Nous pensons que le travail que nous avons effectué répond à notre
problématique de départ qui était l’exploration des représentations des
enseignants afin de savoir si ces dernières ont un impact sur l’apprentissage de la
production écrite. Autrement dit, si ces représentations sont à l’origine des
difficultés des apprenants. Les résultats auxquels nous ont abouti confirment les
hypothèses émises dans le chapitre précédent.
Effectivement, les résultats de l’analyse des productions écrites montrent que les
difficultés des apprenants ont trait non seulement à la compétence linguistique
(vocabulaire, grammaire, conjugaison, etc.) mais que ces difficultés concernent
aussi les compétences stratégiques et socioculturelles.
Concernant les facteurs qui peuvent empêcher la mise en place et le
développement de la compétence de la production écrite chez les apprenants, les
résultats du dépouillement du questionnaire confirment qu’à l’origine des
difficultés des apprenants , il y a d’une part, les connaissances et les
représentations erronées que possèdent les enseignants sur l’écriture et sur son
enseignement/apprentissage, et d’autre part, les pratiques mise en œuvre dans les
activités d’apprentissage (pratique transmissive et focalisation sur les aspects
linguistiques, etc.).
56
Cet objectif s’est positivement concrétisé grâce aux apports de la linguistique
appliquée. Cette discipline scientifique a fini par générer une autre branche
scientifique, traitant théoriquement les différentes méthodes de l’enseignement
d’une langue étrangère et /ou maternelle, sous le nom de la didactique des langues,
qui a générée, à son tour, la pédagogie des langues.
57
de la compétence en syntaxe est un processus continu qui nécessite du temps et
de la pratique.
58
BIBLIOGRAPHIE
Ouvrages
Nathan université
réussite scolaire : réflexion et pratique, édition Saint Martin, Montréal, 1992, p.72.
µ
59
10- TAGLIANTE, Christine, La classe de langue, Paris, Clé International, 2001,
P153155
Dictionnaires
Hachette
Revues
française, 2000
2. Loi n 08-04 du 23 janvier 2008 D’orientation sur l’éducation national chapitre I,
art2.
3. Loi n08-04 du 23 janvier 2008 d’orientation sur l’éducation national, chapitre II,
Art 4
– 2011, p4
60
5. Commission Nationale des Programmes ; Direction de l’enseignement
Mémoire
Sitographie
1. Http //: www. Unifer .ch. /model. Hayes. Flower html. Flower. Hayes. Jr (1980).
4. www.alsace.iufm.fr-web-anglais-capesanglaisprodecrite2010. consulté le 07
61
ANNEXE
LE QUESTIONNAIRE PROPOSE POUR LES BESOINS DE L’ENQUETE
…………………………………………………………………………………
Faibles
Très faibles
62
Dans la moyenne
7/ Pouvez-vous citer quelques erreurs que vous relevées dans les productions
écrites de vos élèves.
……………………………………………………………………………………
…………… ………………………………………………………………………
8/ Selon vous, que faut-il faire pour améliorer le niveau des élèves à l’écrit ?
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
9/ Comment s’effectue cette correction ?
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
10/ Selon vous, que faut-il faire pour améliorer le niveau des élèves à l’écrit ?
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
11/ Quel prolongement didactique envisagez-vous à la suite de la correction des
copies ?
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
63
SUJET PROPOSE AUX APPRENANTS
64
ECHANTILLON DES COPIES CORRIGEES
65
66
67
TABLE DE MATIERES
SOMMAIRE ......................................................................................................... ii
DEDICACE .......................................................................................................... iii
REMERCIEMENTS ............................................................................................ iv
SIGLES.................................................................................................................. v
LISTE DES TABLEAUX ET FIGURES ............................................................ vi
RESUME ............................................................................................................. vii
INTRODUCTION ................................................................................................. 1
CHAPITRE I : CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE DE L’ETUDE
............................................................................................................................... 4
1-1 Cadre conceptuel.......................................................................................... 4
1-2 Problématique .............................................................................................. 8
1-2-1 Composantes de la problématique ............................................................... 8
1-2-2 Objectifs de recherche ................................................................................. 9
1-2-3 Hypothèses ................................................................................................. 10
1-3 Approches méthodologiques...................................................................... 10
1-3-1 but de la recherche ..................................................................................... 10
1-3-2: Cadre physique de l’étude et population .................................................. 13
1-3-3 Difficultés rencontrées ............................................................................... 13
CHAPITRE II: PRESENTATION, ANALYSE ET DISCUSSION DES
RESULTATS. ..................................................................................................... 14
2-1 : Présentation des résultats de l’enquête ....................................................... 15
2-1.1 PRESENTATION DU CORPUS : ........................................................ 15
2-1-2 ANALYSE DES ERREURS : ............................................................... 16
2-2. Commentaires des erreurs :...................................................................... 17
2-3 Analyse de questionnaire .......................................................................... 30
CHAPITRE III: SUGGESTIONS ET RECOMMANDATIONS....................... 46
3-1 Suggestions et Recommandations ............................................................ 46
3-2 Exemplaire de fiche pédagogique sur la production écrite....................... 50
CONCLUSION ................................................................................................... 55
68
BIBLIOGRAPHIE .............................................................................................. 59
ANNEXE............................................................................................................. 62
TABLE DE MATIERES ..................................................................................... 67
69