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EKPINDI ARMAND
Le logiciel est un ensemble de programmes qui vont être exécutés par la machine
pour réaliser une activité.
Nous pouvons les classer en deux types : les logiciels de base et les logiciels
applicatifs.
I.4- Système Informatique
II.1.1- Microprocesseur
Un microprocesseur désigne un processeur qui possède des composants
électroniques suffisamment miniaturisés pour pouvoir tenir dans un seul circuit
intégré. C'est le système qui permet l'exécution des instructions d'un ordinateur.
Il est le cerveau de l'ordinateur, c'est lui qui organise les échanges de données
entre les différents composants (disque dur, mémoire RAM, carte graphique). Sa
puissance est exprimée en Hz. Aujourd'hui, un processeur atteint les 3Ghz (Giga,
milliards) et certains ordinateurs sont équipés de plusieurs processeurs.
II.1.2- Mémoire centrale
La mémoire centrale est un composant de base de l'ordinateur, sans lequel tout
fonctionnement devient impossible. Son rôle est de stocker les données avant et
pendant leur traitement par le processeur. Plusieurs types de mémoires sont
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utilisés, différentiables par leur technologie (DRAM, SRAM, ...), leur forme
(SIMM, DIMM, ...) ou encore leur fonctionnement (RAM, ROM,).
II.1.3- Bus
En informatique, on appelle BUS l'ensemble des liaisons physiques (câbles, pistes
de circuits imprimés, etc.) permettant la transmission de signaux entre les
différents composants de l'ordinateur. Les BUS ont donc pour but de réduire le
nombre de voies nécessaires à la communication entre les différents composants
de l'ordinateur.
En réalité chaque bus est généralement constitué de 50 à 100 lignes physiques
distinctes, classées en trois sous-ensembles fonctionnels :
b- Le bus d'extension
Parfois appelé bus d'entrée/sortie. Permet aux divers composants de la carte-mère
(USB, série, parallèle, cartes branchées sur les connecteurs PCI, disques durs,
lecteurs et graveurs de CD-ROM, etc.) de communiquer entre eux mais il permet
surtout l'ajout de nouveaux périphériques grâce aux connecteurs d'extension
(appelés slots) connectés sur le bus d'entrées-sorties.
Quelques Bus d’entrées / sorties :
BUS internes
Ils servent à connecter entre-eux les différents composants internes de l'unité
centrale. Au sein même de cette catégorie la distinction peut être faite entre les
bus "systèmes" qui interconnectent la mémoire centrale et les contrôleurs des
périphériques au microprocesseur, et les bus qui connectent les différents
périphériques à leurs contrôleurs. Les BUS internes les plus connus et d’autres en
voie de disparition sont présentés comme suit :
- Le Bus ATA ou IDE
Le port IDE (pour Integrated Drive Electronics) est une connexion pour tous les
stockages dits « de masse » (Disque dur, Lecteur CD, DVD) son nom officiel est
ATA (Advanced Technology Attachement) IDE en étant simplement une version.
Ils relient par une nappe dite IDE le périphérique à la Carte Mère
- SATA
Le standard Serial ATA (S-ATA ou SATA) est un BUS permettant la connexion
de périphériques de stockage haut débit sur les ordinateurs de type PC. Dans les
PC actuels, le SATA a remplacé la norme ATA parce que les nappes de type ATA
n'étaient pas faites pour supporter de trop hautes fréquences, ce qui en limitait les
performances.
- Le bus ISA
(Industry Standard Architecture) a été inventée en 1981 par IBM pour son IBM
8088. Cette première version était de 8 bits et basée sur une fréquence de
4,77Mhz. Elle est composée d'un seul connecteur de couleur noir. Ce slot permet
l'accès à 8 lignes de données et à 20 lignes d'adresses.
- Le bus EISA (Extended Industry Standard Architecture) est présentée comme
une suite au bus ISA. Il est aussi basé sur une fréquence de 8 Mhz (8.33 pour être
précis), mais utilise un bus 32 bits.
- Le bus VLB
(Vesa Local Bus) est une évolution du bus ISA. Il permet des débits nettement
améliorés en utilisant la même fréquence que la carte mère. De plus, il est 32 bits.
Ces fonctionnalités lui permettent ainsi d'obtenir des débits théoriques de l'ordre
de 120 à 148 Mo/s, en fonction de la fréquence utilisée.
- Le Bus AGP
Le Advanced/Accelerated Graphics Port, ou Port Graphique Avancé/Accéléré, est
un port interne destiné uniquement aux cartes graphiques. Bien plus rapide et
performant que le PCI.
- Le Bus PCI
Le Peripheral Component Interconnect (PCI) est un standard de BUS interne
permettant de connecter des cartes d'extension sur la carte mère d'un ordinateur.
BUS externes
Le BUS externe, aussi appelé BUS d'extension, relie le microprocesseur aux
périphériques d'entrée et de sortie, tels que l'écran, le clavier, la souris, etc.
- Le Bus USB l'Universal Serial BUS, autrement dit l'USB, est un BUS
informatique dit « à transmission série », servant à connecter des périphériques
informatiques à un ordinateur. Le BUS USB permet de connecter des
périphériques à chaud, et en bénéficiant du Plug and Play (brancher et allumer, en
français).
- Le Bus FireWire le FireWire a été mis au point (à la fin de l'année 1995) pour
fournir un système d'interconnexion à haute vitesse, et nommé ainsi par Apple. Il
s'agit d'un port permettant de connecter des périphériques tels que des caméras ou
des disques durs externes à très haut débit.
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- Le port e-SATA correspond à l'extension, par le biais d'un port, du bus SATA
interne. Il permet une connexion de combinaison pour les périphériques de
stockage externes.
Ils servent à fournir des informations (ou données) au système informatique. Ils
permettent à l'utilisateur de transmettre des données à l'ordinateur. Exemple de
périphériques d'entrée :
- le clavier ;
- la souris ;
- le scanner ;
- le lecteur de codes à barres ;
- le lecteur de carte ;
- le joypad (manche de jeu) ;
- le lecteur de disque optique;
- le microphone ;
II.2.2- Les Périphériques de sortie
Chaque ordre reçu par un périphérique d’entrée est traité par le processeur qui
envoie une réponse au périphérique de sortie par l’intermédiaire du bus vers le
connecteur sur lequel le périphérique est connecté. Celui-ci restitue l’ordre du
b- Le lecteur de disquettes
Le lecteur de disquettes permet d'enregistrer et de lire les informations sur une
disquette. Nous avons les lecteurs 5 ¼ pouces et 3 ½ pouces.
c- Le lecteur CD-ROM | Le lecteur DVD | Le disque Blu-ray
IV.2- Mini-ordinateur
Le mini-ordinateur est un ordinateur de taille et de puissance moyenne avec une
fraction du prix d’un ordinateur central. Cela est possible grâce à l'usage de
circuits intégrés et à une architecture logique bien conçue.
C’est une catégorie d'ordinateurs de milieu de gamme, intermédiaires entre les
ordinateurs conventionnels et les microordinateurs. A cette époque, ils n’avaient
pas les caractéristiques nécessaires aux applications de traitement de texte et tout
ce qui touche aux problèmes de manipulation de chaines de caractères. En effet,
les mini-ordinateurs ont au début servi à des applications scientifiques dans des
laboratoires. Les mini-ordinateurs n’avaient au début qu’un cycle de base lent,
leur taille-mémoire était limité, ainsi que la possibilité de l’agrandir ; ils
manquaient de périphériques et d’interfaces avec ceux-ci ; leurs possibilités de
maintenance n’étaient pas satisfaisantes, leurs jeux d’instructions étaient conçus
pour des applications numériques.
IV.3- Super-ordinateur
Un superordinateur, est un ordinateur très puissant conçu pour atteindre les plus
hautes performances possibles. La science des superordinateurs est appelée
« calcul haute performance ». Les superordinateurs sont utilisés pour toutes les
tâches qui nécessitent une très forte puissance de calcul, comme l’étude du climat,
la modélisation d'objets chimiques (calcul de structures et de
propriétés, modélisation moléculaire, etc.), les simulations physiques (simulation
d'explosion d'arme nucléaire, étude de la fusion nucléaire, etc.).
de mémoire étant très cher, Intel l’a abandonné rapidement au profit de la DDR-
SDRAM.
e- Mémoire Vidéo VRAM
C’est une mémoire DRAM spécifiquement conçue pour être utilisée sur les cartes
graphiques. Elle est plus rapide que la mémoire DRAM classique. Contrairement
à la DRAM, elle permet la lecture et l’écriture simultanées. Sa fréquence atteint
80 Mhz et son temps d’accès est de 20 à 25ns. Située sur la carte graphique, elle
sert à gérer des applications 3D Tel que des Jeux Vidéos, des logiciels servent à
créer des images de synthèses etc.
f- Mémoire WRAM (Windows RAM) :
C’est une mémoire DRAM spécifiquement conçue pour être utilisée sur les cartes
graphiques. C’est une amélioration de la VRAM réalisé par Samsung. La bande
passante est améliorée de 25%. Les transferts en mémoire sont plus rapides. Elle
permet évidemment la lecture et l’écriture simultanées.
g- SGRAM (Synchronous Graphic RAM)
C’est une mémoire SDRAM spécifiquement conçue pour être utilisée sur les
cartes graphiques. Elle ne permet pas la lecture et l’écriture simultanées. En
revanche, elle permet la récupération et modification de données par blocs entiers
(mode ‘‘ rafales ’’).
I.1.3- Les différents formats de mémoires
Les barrettes mémoires de format SIMM (Single In-line Memory Module)
: Ce type de mémoire était utilisé avec les anciens systèmes : les barrettes
SIMM à 30 connecteurs (8 bits) équipaient les PC 286 et 386, et les
barrettes SIMM à 72 connecteurs (32 bits) équipaient les PC 386DX, 486
et les premiers Pentium.
Les barrettes mémoires de format DIMM (Dual In-line Memory Module):
Ce type de mémoire est actuellement utilisé dans nos PC. Il s’agit de
mémoires 64 bits. Leur dimension est de 130x25mm. Contrairement aux
II.2.1- ROM
Mémoire programmée de manière hardware en usine. Elle ne peut en aucun cas
être reprogrammée. Elle est souvent utilisée pour stocker des informations
statiques (Bios clavier, chipset, ...).
II.2.2- PROM (Programmable ROM)
La PROM pour "Programmable ROM" est une ROM qui peut être programmée à
l'aide d'un graveur de PROM. Une fois écrite, il est impossible d'en modifier le
contenu.
II.2.3- EPROM (Erasable Programmable ROM)
Mémoire pouvant être reprogrammée autant de fois que nécessaire à l'aide d'un
équipement spécifique. Les chips de ce type comportent une ouverture vitrée sur
la face supérieure. En effet, ils sont effaçables à l'aide de rayons Ultraviolets. Afin
d'éviter toute altération involontaire des données, cette face est recouverte d'un
autocollant métallisé, ne laissant passer aucun UV.
II.2.4- EEPROM (Electrically Erasable PROM)
Mémoire réinscriptible à volonté. Contrairement à l'EPROM, aucun rayon UV
n'est requis pour l'effacer. En effet, cette opération peut se faire électriquement.
Ce type de ROM est utilisé pour les Bios pouvant être mis à jour par l'utilisateur
(Bios Flash).
Lorsque les premiers PC sont apparus, il n'était pas question de disques durs. Le
seul support permettant d'enregistrer les données était la disquette. (En fait, les
tout premiers PC étaient même dépourvus de lecteur de disquettes et ne
possédaient qu'une interface pour un magnétophone à cassettes !)
Les premières disquettes des PC mesuraient 5,25 pouces (13,3 cm) et étaient une
version miniature des disquettes 8 pouces utilisées jusqu'alors dans
l'informatique. La capacité de ces disquettes de 1,2 Mo.
Le disque dur dans l’ordinateur, dans les baladeurs numériques, dans les
caméscopes ou dans les consoles de jeux vidéo, etc sert de mémoire de masse par
excellence. Il contient le Système d’Exploitation, vos programmes installés ainsi
Cette adresse permet de désigner d'une façon unique un secteur de données d'un
disque dur. Il s'agit de la plus petite unité de données transférée par ce dernier en
lecture ou en écriture. La taille de ce secteur est le plus souvent de 512 octets.
Cependant les disques modernes utilisent le standard Advanced Format (en) avec
une taille de secteur de 4096 octets.
Une clé USB (en anglais USB key) est un périphérique de stockage amovible de
petit format pouvant être branché sur le port USB d'un ordinateur ou, plus
récemment, de certaines chaînes Hi-Fi, platines DVD de salon, autoradios,
radiocassettes, etc. La capacité d'une clé USB est définie en Go (Giga Octets =
milliards d'octets).
h- CD-ROM
Le CD-ROM est support de masse amovible qui enregistre des données de types
numériques. Il est utilisé pour l’enregistrement audio, pour les fichiers ou pour
livraison des logiciels informatiques. Il a une de 700 mégaoctets.
i- DVD
Le DVD est l'équivalent pour les images. L'acronyme DVD correspondait au
départ à Digital Video Disc, puis à Digital Versatile Disc. Le mot Anglais
"versatil" veut dire que la chose a beaucoup d'utilités diverses ou que la personne
a des talents variés. Un DVD peut contenir 133 minutes de film en plus de
l’enregistrement sonore. Il a capacité de 4.7 Go ou 17 Go en double couche.
j- Le disque Blu-ray
Le disque Blu-ray (abréviation officielle BD) est un format de disque numérique
breveté et commercialisé par l’industriel japonais Sony. Le terme Blu-ray désigne
le laser bleu utilisé pour ce nouveau format Haute Définition par opposition au
laser rouge utilisé pour le DVD ou le CD.
Cette nouvelle technologie laser permet, entre autres, une grande précision de
lecture, sur des supports comportant un très grand nombre de données, ce qui est
nécessaire pour que soient restitués une image et un son en Haute Définition. Le
Blu-Ray a une capacité de 25 Go en simple couche, 50 Go en double couche et
128 Go en quadruple couche. Les BD (c’est l’abréviation des Blu-ray Disc)
inscriptibles sont nommés BD-R et les réinscriptibles sont nommés BD-RE.
NB : Mémoire Virtuelle : La mémoire virtuelle est une partie de la mémoire de
masse que l’on utilise comme de la RAM, en général on alloue comme mémoire
virtuelle le double de la mémoire vive. Ce qui permet d’utiliser plus
convenablement des applications gourmandes en mémoire RAM tel que des jeux
vidéo récents.
I. GENERALITES
Un système de numération est un système de comptage et de représentation des
nombres. Il est généralement pondéré. La définition d’un système de numération
pondéré repose sur trois notions :
La base : C’est un entier naturel supérieur ou égal à 2 désignant le type de
système de numération.
Les digits : Ce sont les symboles tous différents d’une base B donnée. Dans
une base B, on dénombre au total B digits.
Le poids : il est déterminé en fonction de la position de chaque digit
lorsqu’on écrit un nombre dans une base B donnée.
Compte tenu du fait que certains digits appartiennent à plusieurs bases, il est
indispensable lorsqu’on travaille de préciser la base. Les différentes notations :
- En Binaire : (1100)2
- En Octal : (1100)8
- En Décimal : (1100)10
- En Hexadécimal : (1100)16
On peut donc écrire (N)10 = (E0, E-1, E-2, E-3, E-4)B si l’on admet comme précision,
4 digits après la virgule.
Exemples :
Soit le nombre (0,625)10 à coder vers la base 2 Soit le nombre (0,417)10 à coder vers la base 16
Cette opération est appelé décodage. Pour effectuer un décodage, on multiplie les
différents digits formant le nombre dans la base B donnée par leur poids respectif,
puis on additionne les différents produits obtenus.
Exemples :
Soit à décoder le nombre (11001,101)2
On a donc : (11001,101)2 = 1*24 + 1*23 + 0*22 + 0*21 + 1*20 +1*2-1 0*2-2 + 1*2-3
= 16 + 8 + 1 + 0,5 + 0,125
= 25,625
D’où (11001,101)2 = (25,625)10
Soit à effectuer le transcodage du nombre (5AF)16 en Décimal :
(5AF)16 = 5 × 162 + A × 161 + F × 160
En remplaçant A et F par leur équivalent en base 10, on obtient :
(5AF)16 = 5 × 162 + 10 × 161 + 15 × 160
(5AF)16 = 5 × 256 + 10 × 16 + 15 × 1
donc = (5AF)16 = (1455)10
B1 et B2 sont deux bases toutes différentes de la base 10. Pour effectuer cette
opération plusieurs méthodes sont possibles.
III.3.1 Première méthode (méthode Universelle)
C’est une méthode applicable quelles que soit les bases B1 et B2. Elle comporte
deux étapes :
- Première étape : On effectue un décodage (c’est-à-dire la conversion du
nombre de la base B1 vers la base Décimale).
- Deuxième étape : On effectue un codage (c’est-à-dire la conversion du
nombre de la base Décimale vers la base B2).
Exemple : Convertir un (567)8 en base 16.
Cette méthode n’est possible que si la base B1 est une puissance de nième de la base
B2 ou vice versa. Dans cette méthode, il s’agira de faire la correspondance des
digits des différentes bases en se servant du Tableau de comptage.
IV.1- Addition
Règle de calcul :
0+0=0 ; 0+1=1 ; 1+0=1 ; 1+1=10 ; 1+1+1=11.
Dans l'exemple ci-dessous, on va calculer 1010 + 0011:
Addition
1010
+ 0011
1101
Comme dans toutes les additions, il faut penser à utiliser des retenus. En effet,
lorsque l'on a 1+1 (dont le résultat est égal à 10), il faut indiquer que le résultat
est 0, et qu'il y a une retenus de 1.
Règle de calcul :
0-0=0 ; 1-0=1 ; 10-1=1.
Pour faire une soustraction dans le système binaire, c'est plus difficile. Il faut
encore une fois poser l'équation, voici un exemple :
Soustraction
0110
- 0011
0011
1010
× 101010
––––––––––
0000
+ 10100
+ 000000
+ 1010000
+ 00000000
+101000000
––––––––––
=110100100
En 1001 combien de fois y a-t-il 101, il y va 1 fois (parce que ça ne peut être que
0 ou 1), je pose 1 dans la case quotient et je mets 101 sous le dividende et je fais
la soustraction.
Et je descends 0 depuis le dividende, mais comme il y a la virgule, je place la
virgule dans le quotient et je me demande en 1000 combien de fois 101 etc.
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V- CODES BINAIRES
EXERCICES
Exercices de transcodages
Exo 1
Convertir en binaire, octal et hexadécimal les nombres décimaux suivants :
43 ; 154 ; 25740
Exo 2
Convertir en décimal les nombres suivants :
(1101110)2 ; (75) 8 ; (577)8
Exercice 3
Convertir en binaire le nombre décimal suivant : 24537
Exo 4 :
Effectuer les décodages des nombres suivants :
Exo 5 :
Effectuer les transcodages de :
(1001000)2 en Décimal
(65536)10 en binaire
(7510)8 en Hexadécimal
(1001000)2 en Décimal
(CEA3)16 en Octal
(111100)2 en Hexadécimal
(111100)2 en Octal
(1010111)2 en Octal
Exo 6 :
Convertir en Binaire les nombres suivants : (5AF)16 ; (47)8 ; (D20E)16 ; (645)8 ;
(CA0G)16
Exo 7 :
1- Convertir les chiffres binaires en Décimal : (011011111101)2 ;
(100001110101)2
2- Convertir les chiffres binaires en Octal et en Hexadécimal :
(1001101010001)2 ; (0111110101110)2
Exo 8 :
1- Que vaut le nombre (65530)10 en Hexadécimal ? En Octal ?
2- Faire un tableau de comptage de (65530)10 à (65537)10 dont les colonnes
sont les évolutions en Décimal, Hexadécimal et Octal. On indiquera le
poids des différentes positions des digits dans chaque colonne.
Exo 1 :
(11000)2 + (01100)2 ;
(10110)2 + (01111)2 ;
(100000)2 - (001011)2 ;
(11101)2 - (01010)2
Exo 2 :
Calculez en binaire les nombres suivants :
1001 + 10100
1111 + 1
1111 - 0101=
1100 - 0011=
1011 + 0110
10101+ 1101
10101010 - 00110011=
11001101 - 01100011=
110111 + 111011
1010111 + 10010
Exo 1
a- Convertir les données suivantes dans l’unité demandée :
50 octets en bit
14 Ko en octet
1580 Mo en Go
4500 Ko en G bit
1,45 To en Mo
b- Convertir en kilo-octets :
7682040 bits
479 caractères
Exo 2
Convertir les débits suivant dans l’unité demandée
24 Kbit en bits
100 Mbit en bits
Exo 3
Armos possède un lecteur MP3 d’une capacité de 2Go. Un morceau de musique
fait en moyenne 7 Mo. Combien de morceaux de musique Armos pourra-il
enregistrer sur son lecteur MP3 ?
Exo 4
M. YAO voudrait graver des données de 500 Mo sur un CD-ROM. Est- ce
possible ? Justifier votre réponse.
Exo 5
Le CHU de COCODY veut informatiser la gestion des malades qui arrivent aux
urgences. Il est à noter que l’urgence reçoit en moyenne 75 malades par jours. Le
service informatique désire évaluer ses besoins annuels.