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Ceux qui comme le 7094 étaient orienté vers des tâches de calculs intensifs
Ceux à vocation plus commerciale dont l’unité de donnée (IBM1401) qui étaient utilisés par
de gros organismes tels que les banques et les compagnies d’assurances pour la gestion de
bandes magnétiques et l’impression de données.
4ème génération (1980 – à présent) : Systèmes d’exploitations
Les circuits LSI (large scale integration) circuit contenant des miliers de transistors/mm2 à conduit à la
fabrication de ce qu’on appelait les micro-ordinateurs. Ils n’étaient pas très différents des PDP-11 sauf
pour le prix c’est-à-dire un individu peut posséder son propre ordinateur.
Chapitre 1 : Les composants de l’ordinateur
Pour son fonctionnement ; l’ordinateur a besoin d’éléments (côté hard ou hardware) et de
logiciel (côté soft ou software). Tous les ordinateurs ont les mêmes composants de base.
Le côté matériel de l’ordinateur (le hardware) :
1 – L’unité centrale :
L’unité centrale est le boitiers contenant tout le matériel électronique permettant à
l’ordinateur de fonctionner, est à laquelle sont reliés les différents périphériques qu’ils
soient d’entrée ou de sortie. Elle contient la carte mère, le processeur ou le micro-
processeur, la carte graphique et le disque dur.
a- La carte mère :
La carte mère porte bien son nom. C’est le composant principal de votre ordinateur, Elle est
essentiellement composée de circuits imprimés et de ports de connexion qui assurent la
liaison de tous les composants et périphériques propres à un micro-ordinateur afin qu'ils
puissent être reconnus et configurés par le microprocesseur grâce au programme contenu
dans le BIOS (basic input output system) devant effectuer la configuration et le démarrage
correct de tous les équipements.
b- Le processeur :
RAM (Random Access Memory): c’est une mémoire utilisée par le processeur qui y
place les données le temps de leur traitement. L’un des avantages de la mémoire
équipant les ordinateurs est justement sa rapidité d’accès. Cette mémoire est
temporaire, une fois l’opération terminée, les données ne sont pas conservées et
sont de toute façon définitivement perdues une fois l’ordinateur éteint.
Plusieurs types de mémoire RAM existes. En « barettes » allant de 256 Mo à 2 ou 4
Go par unité ( les plus courantes actuellement), elles sont à choisir en fonction du
processeur et de la carte mère.
ROM (Read Only Memory) : c’est une mémoire dont le contenu est accessible en
lecture et non en écriture. Elle conserve les données en l’absence de courant
électrique. Elle contient essentiellement les informations nécessaires au démarrage
d’un ordinateur (BIOS, instructions de démarrage…)
d- Disque dur :
C’est sur le disque dur que les données à conserver sont enregistrées. C’est-à-dire à peu près
tous : les fichiers du système d’exploitation, les logiciels et surtout vos données (photos,
vidéo, musique, emails etc…).
Il est relié à la carte mère grâce à une nappe (cable plat) de type IDE ou grâce aux interfaces
SATA (Serial ATA) ou SCSI. Un cavalier à positionner à l’arrière du boîtiers permet de le
désigner comme disque « Maitre », le disque dur principal (Master) ou comme « Esclave »,
un disque auxiliaire (Slave).
Les disques durs aujourd’hui, peuvent contenir des centaines de Giga-octets de données
voire plusieurs Téraoctets de données.
e- Carte graphique :
La carte graphique, bien que très importante pour certains usages, est placée en dernière
position de cette liste car elle peut être remplacée par un chipset intégré (jeu de circuit)
directement à la carte mère. Toutefois, pour certaines applications et notamment les jeux,
elle est indisponsable. En prenant à sa charge la gestion de l’affichage, elle libère le
processeur de cette fonction, traite elle-même les informations et utilise sa propre mémoire
(voir accélération matérielle).
La carte graphique s’insère dans un connecteur de la carte mère : le port AGP ou le port PCI
Express pour les plus récentes. Une fois connectée, les entrées et sorties de la carte sont
accessibles par l’arrière du boîtiers afin de fournir une image à l’écran et/ou à une télévision
si elle est équipée de la sortie adéquate.
2- Les périphériques :
a- Périphériques d’entrée :
Ces composants permettent à l’utilisateurs d’entrer des données, des commandes et des
programmes qui seront gérés par l’unité de traitement. Ces données, quelle que soit leur
forme, sont traduits en configurations identifiables par l’ordinateur.
Parmi les périphériques d’entrée les plus utilisés on peut citer :
Le clavier : est un périphérique permettant d’écrire du texte et communiquer avec
l’ordinateur. Les claviers possèdent des dizaines de touches dont les lettres de l’alphabet, les
chiffres, les accents et des touches spéciales pour intéragir avec le système. Il existe
plusieurs types de claviers : avec ou sans fil, avec ou sans le pavé numérique, avec des
fonctions supplémentaires spécialisées…
La souris : c’est un dispositif de pointage qui se relie à l’ordinateur. Concrètement, la souris
permet de déplacer le curseur (la flèche) à l’écran. Tenue dans la paume de la main, elle
permet de pointer des éléments affichés à l’écran et de les sélectionner en cliquant. La
souris est un élément essentiel pour faire l’interface entre l’utilisateur et son ordinateur. Elle
est remplacée dans les PC par un pavé tactile.
Il existe d’autres périphériques d’entrée tels que le scanner, la carte magnétique, le crayon
optique, l’écran tactile et mémoires auxiliaires permettent également d’entrer
l’information.
Sur certains systèmes, l’écran peu aussi servir de périphérique d’entrée : l’utilisateur peut
choisir une action en touchant la partie correspondante de l’écran, si le système le prévoit ;
on parle alors d’écran tactile.
L’imprimante : est une machine permettant d’obtenir un document sur papier à partir d’un
modèle informatique du document. Par exemple, un texte écrit via un logiciel de traitement
de texte sur ordinateur pourra être imprimé pour en obtenir une version papier (c’est un
changement du support d’information).
Ils existe d’autres périphériques de sortie à l’instar des hauts parleurs, vidéo projecteur,
table traçante et des modems.
Linux : linux est le système d’exploitation libre basé sur le noyau Linux créé en 1991.
Il peut être utilisé sur un ordinateur personnel mais demande un minimum de connaissance
et d’expériences. Même si cela s’est beaucoup simplifié avec les années : il est maintenant
possible d’installer une version de Linux grand public, clé en main. Et sans avoir forcément
besoin d’ouvrir une console ! Linux est également très présent et utilisé pour les serveurs.
Androïd : système d’exploitation pour smartphones et tablettes tactiles. C’est le système
d’exploitation open source basé sur le noyau Linux et racheté par Google qui équipe en 2015
plus de 80% des smartphones. Il est également présent sur des tablettes tactiles, télévision,
ordinateurs et montres connectées. Chaque version d’Androïd apporte son lot
d’améliorations et de corrections.