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PARACHA CHEMOT - ‫שמות‬

Chaque personne doit faire rentrer Chabat avec les horaires de la communauté qu’il fréquente
JERUSALEM Entrée : 16h09• Sortie :17h30 PARIS-IDF:16h50•18h03 Tel-Aviv 16h30 •17h31
Marseille 18h58•18h06 Miami 17h25•18h22 Alameda(USA) 16h46•17h48 Palerme 16h42•17h45

Résumé des points principaux de notre Paracha:


Les enfants d’Israël se multiplient en Égypte. Se sentant menacé par cette croissance
démographique, Pharaon les réduit à l’esclavage. Il ordonne aux sages femmes d’Israël, Chifrah et
Poua, de tuer tous les nouveau-nés mâles à la naissance, mais ces dernières refusent de les jeter
dans le Nil. Yokhéved, fille de Lévi, donne naissance à un garçon, le place dans un panier qu’elle
dépose dans le Nil, alors que la sœur du bébé, Myriam, le surveille de loin. La fille du Pharaon
découvre ce nourrisson, l’adopte et le prénomme « Moché » (« Tiré» des eaux). Elle l’élève
comme son fils. Devenu un jeune homme, Moché quitte le Palais et découvre la souffrance de ses
frères. Il tue un égyptien qui était en train de frapper un hébreu. Le lendemain, il voit 2 juifs se
disputer et réprimande celui qui portait la main sur l’autre. Les 2 hommes dénoncent alors
l’homicide de la veille au Pharaon, ce qui oblige Moché à fuir l’Égypte pour le pays de Midiane.
Là-bas, il sauve les filles d’Yitro d’une agression de bergers locaux. Il épouse l’une d’elles, Tsipora,
et devient le berger des troupeaux de son beau-père. Un jour, D-ieu se révèle à lui dans un
buisson en flamme au pied du mont Sinaï. Il lui demande de se rendre chez Pharaon et de lui
exiger en Son Nom : « Libère Mon peuple de sorte qu’il Me serve ». Aharon, son frère aîné, est
désigné comme son porte-parole. Les deux frères se retrouvent au Har Sinaï, et retournent
ensemble en Égypte. Ils rassemblent les anciens d’Israël et leur annoncent que le temps de la
délivrance est arrivé. Le peuple a foi en Moché, mais Pharaon refuse de les libérer. Au contraire, il
endurcit encore les conditions de l’esclavage. Moché revient alors vers D-ieu et proteste : «
Pourquoi as-Tu fait du mal à ce peuple ? Pourquoi m’as-Tu donc envoyé ? » Mais D-ieu promet
que la rédemption est toute proche.

« Si nous prenions conscience du fait que nous ne vivons pas sur notre compte,
mais sur le crédit que D-ieu nous a accordé, nous ne ferions pas preuve de tant
de suffisance lorsque nous prions.
Nous prendrions conscience que nous sommes en situation de crise ... Si nous
comprenions cela, nous prierions comme des mendiants venus quémander à la
porte. »
(Le rav Mattitiahou Salomon)

« Elle ouvrit, elle le vit, l'enfant, et voici un garçon pleurant, elle eut pitié de lui,
elle dit : Celui-ci (est un) des enfants des Hébreux. » (Chémot 2,6)
Rachi commente en partie ‘’ Elle ouvrit, elle le vit’’ : « Selon le midrach, elle a vu la cheh’ina
auprès de lui (Chemoth raba ; Sota 12b). »

Lorsque la fille de Pharaon descendit au fleuve pour s'y tremper, elle y trouva un berceau qui
flottait sur l'eau, l’ouvrit, et y découvrit un enfant pleurant. Pourquoi le verset rapporte-t-il qu’à la
suite de ça elle s’exclama ”Celui-ci est un enfant des Hébreux”, semblant suggérer un lien entre les
pleurs du garçon et le fait qu'elle reconnut qu'il était Hébreu ?
Rabbi Mordé'hai 'Haïm de Slonim explique qu'il existe une grande différence et une énorme
distance entre les pleurs d'un goy et celui d'un juif : un goy pleure par découragement, par
tristesse sur ce qui lui manque, par désespoir sur ce qu'on lui a pris et qui ne reviendra jamais,
alors qu'un juif pleure en ayant l'espoir que son Père céleste ne l'abandonnera pas.
Ce fut ce que la fille de Pharaon perçut dans les pleurs de l'enfant : l'espérance et non le désespoir,
d’où le fait qu’elle s’exclama : "Celui-ci est un enfant des Hébreux."
Rav Chalom Noa’h Berezovsky, le Rabbi de Slonimer, enseigne (Netivot Chalom) « Un juif ne
pleure jamais de désespoir mais toujours d'espérance. »
(Source adaptation Aux Délices de la Torah)
« Hachem possède de nombreux coffres dans les cieux, tous remplis d'amples
provisions de bénédictions.
Le plus important de ces trésors est appelé : "réserve des dons gratuits" (otsér
matnat 'hinam), et contient une provision illimitée de bonté et de charité.
Mais on ne peut y puiser que si on ressent sincèrement que D-ieu ne nous doit
absolument rien.
Lorsqu'un homme reconnaît son peu de mérite et prie pour un don gratuit,
alors une bonté infinie lui est accordée, sans aucune proportion avec ses
mérites réels, et sans puiser dans son salaire du monde futur. »
(le 'Hidouché haRim - Téhilim 6,5)

« Le peuple crut, ils entendirent que Hachem s’était souvenu auprès des fils
d’Israël… » (Chémot 5,31)
D’après Rabbi Yossef ‘Haïm de Bagdad (« Ben Ich ‘Haï »), le Saint béni soit-Il a vu que les bnei
Israël étaient dénués de toute mitsva et de tout mérite. La Torah ne leur avait pas encore été
donnée, ils n’avaient pas encore reçu l’ordre des sacrifices, et ils ne pouvaient pas se montrer
généreux, parce qu’ils étaient pauvres et asservis. Mais ils avaient une mitsva, celle de la confiance
en Hachem. Leur cœur était pur et croyait en Hachem et en son prophète Moché, et pour cette
mitsva il n’y a besoin ni de sagesse, ni de force ni d’argent.
Par le mérite de cette mitsva précieuse et importante, le Saint béni soit-Il est venu les délivrer,
leur a fait mériter les deux mitsvot du sang de la circoncision et du sang de Pessa’h, et les a fait
sortir d’Egypte.
Le Ramban (Emouna ouBita'hon 3) enseigne : « Même si une personne ne mérite pas d'être aidée,
Hachem l'aidera en récompense de sa confiance. Ainsi, on ne doit jamais craindre de ne pas être
(assez) méritant. »
Rabbi Na'hman de Breslev de dire : « Au plus bas de ma dépression, je me suis souvenu des mots :
"Si je me couche dans les abimes profonds, Te voici encore !" (Téhilim 139,8). Je savais que je
n'étais pas seul, car Hachem était avec moi, et j'avais tellement besoin de ce réconfort ! Le pire de
tous les sentiments est de se sentir abandonné, délaissé. »
Le Likoutei Si’hot, tome 2, page 569 commente sur le verset de Tehilim (2,7) “ Je veux proclamer
ce qui est une loi immuable : « L’Eternel m'a dit : Tu es mon fils, c'est moi qui, aujourd'hui, t'ai
engendré !” : « Ce verset fait référence au jour du couronnement de David (Rachi), mais ses
termes s’appliquent aussi à chaque Juif, au nom duquel David composa les Psaumes. Parce qu’un
Juif est le fils venant de naître de D-ieu, il peut Lui demander tout ce dont il a besoin et avoir la
certitude d’être exaucé. »
Notre bita'hon nous amène dans les appartements privés du Roi, indépendamment de qui nous
sommes. Là-bas, aucun ange Accusateur, aucun ayin ara, ... ne peut venir s'interposer, et nous
nous plaçons sous la protection directe de notre père Hachem.
Nous ne devons pas aborder notre relation avec Hachem en termes de ”assez méritant ou pas”,
mais plutôt comme la relation d'un père multimilliardaire avec son fils. Nous espérons de Lui des
cadeaux gratuits (matnot 'hinam), indépendamment de tout mérite, uniquement comme fruit
d'un amour infini d'un Père pour son enfant, qui veut l'aider, et qui a des ressources illimitées
pour le faire.
C’est une loi immuable quoique nous fassions de notre vie : tant que nous sommes persuadés que
Hachem est notre Père, que nous mettons en Lui toute notre confiance et nos demandes d'aide,
alors IL nous aidera forcément.
(Source Adaptation ‘'La voie à suivre '' N°501, Rabbi David Hanania Pinto & Aux Délices de la Torah)

CHABAT MÉVARÉH'IM :
‫ בעז״ה‬Ce Chabat nous Bénirons le mois de CHEVAT
ROCH HODECH CHEVAT : Mercredi soir 10 et Jeudi 11 Janvier 2024
« Si une personne ne croit pas que même lorsqu'elle s'enfonce et se vautre
profondément dans la boue, Hachem est là présent à ses côtés, alors elle n'a
pas de bita'hon. »
(Rabbi Avraham Dov d'Avritch)

« Hachem dit à Mochè en Midyan : Va, retourne en Egypte, car sont morts tous
les hommes qui réclament ton âme. » (Chémot 4,19)
Rachi commente ”car sont morts tous les hommes” : « Qui sont-ils ? Dathan et Aviram. En fait,
ils étaient toujours en vie, mais ils avaient perdu leurs richesses. Or, le pauvre est considéré
comme mort (Nedarim 64b). »
Trop dépourvu pour se payer la diligence, Rabbi David de Lelov parti à pied voir son Rabbi.
Marchant sur la grand-route, il fut dépassé par le carrosse d’un riche h’assid négociant de
Varsovie qui ralentit, et lorsque Rabbi David apprit que son propriétaire se rendait également
chez Rabbi Eliméle’h de Lisensk, il lui demanda la permission de voyager avec lui. Le magnat,
prenant Rabbi David pour un clochard, ne cessa de se moquer de lui durant tout le voyage, le
raillant et l’injuriant, mais Rabbi David ne dit mot. Une fois arrivé à Lisensk, le riche se présenta
directement chez Rabbi Eliméle’h tandis que Rabbi David se recueillit quelques instants avant
l'entrevue avec son Rabbi. Et quand le moment fut venu, il se manifesta à Rabbi Eliméle’h avec
qui il passa plus de deux heures à discuter. En sortant, il s'approcha de l'homme riche et lui dit : «
Vous feriez aussi bien de reprendre la route car je dois rester ici quelque temps. De plus, en
chemin, quand vous entendrez un cri, dirigez-vous vers cette voix ; vous saurez alors ce que vous
aurez à faire. »
Ayant mesuré la durée de la conversation entre le Rabbi et Rabbi David, le riche h’assid comprit
que son passager n'était pas n’importe qui, aussi il prit bonne note de ses paroles.
Sur la route du retour, il entendit quelqu'un crier en polonais dans la forêt. Les mots de Rabbi
David lui vinrent aussitôt à l’esprit. Il sortit de la grande route et s'engagea dans la forêt où il
aperçut un noble à bord d'un carrosse qui s'enfonçait avec les chevaux affolés dans une excavation
bourbeuse. A l'aide d'une grosse corde, il relia son attelage au carrosse de l'infortuné, et dégagea
rapidement le véhicule embourbé.
Le noble étant couvert de boue et tremblant de tous ses membres, le h’assid le couvrit d'un
manteau et lui donna à boire et à manger. Apprenant que l'aristocrate se rendait également à
Varsovie, il lui proposa de faire une halte chez lui pour lui donner des vêtements de rechange, ce
qu’il fit après lui avoir préparer un bon repas et lui avoir laisser se reposer pour récupérer de son
épreuve passée. Une fois requinqué, le noble remercia son bienfaiteur et partit gaiement.
Quelques jours plus tard, il fit chercher le riche h’assid dans sa demeure et lui demanda comment
pouvait-il faire pour le remercier ?
- « Si tu ne m'avais pas secouru, je me serais noyé dans ce marécage ou je serai mort
d'épuisement ! » lui dit-il.
Mais comme le h’assid lui dit estimer que d’avoir pu sauver une vie était en soit sa récompense, le
noble exigea de connaitre au moins son nom afin de se rappeler toujours l'identité de son
bienfaiteur. Et il consigna cette information dans son journal.
Les années passèrent et la roue de la fortune tourna pour le riche h’assid qui fut ruiné. Lui qui
possédait un commerce, une maison luxueuse, des meubles de valeur et des fastueux vêtements, il
avait dû tout vendre et était contraint d'aller frapper aux portes pour demander l’aumône. Il erra
ainsi de ville en ville et de village en village pendant dix années entières et en vint même à oublier
qu'il avait été riche. N’éprouvant désormais plus de honte de sa déchéance, il mendiait même
dans sa ville natale, Varsovie, quémandant aux portes ou arrêtant les passants dans la rue.
Un jour, il s'approcha de la somptueuse calèche d’un dignitaire, souleva son chapeau, inclina la
tête et tendit la main pour demander l'aumône. Le dignitaire n'était autre que le gouverneur de la
province de Varsovie ; il le regarda fixement et dit : « Juif, viens par ici s'il te plaît. »
Le miséreux prit peur et s'enfuit aussi vite que ses faibles jambes le lui permettaient, mais le
gouverneur lança son laquais à sa poursuite et quand le juif fut devant lui, le gouverneur lui dit :
- « N'aie crainte, je ne te veux aucun mal. Je veux seulement connaitre ton nom. »
Terrorisé, l'homme le lui donna.
- « Me reconnais-tu ? demanda le gouverneur.
-Non, dit le pauvre.
- Te souviens-tu qu'il y a des années, tu as sauvé la vie d'un noble dans une forêt des environs de
Varsovie ?
-Oui, je m'en souviens, dit l’homme.
-Eh bien, vois-tu, je suis ce noble. Je suis l'homme que tu as sauvé…. Mais dis-moi, comment se
fait-il que tu sois aussi misérable ? »
Le mendiant raconta son revirement de situation, et le gouverneur eut tôt fait de lui signer un
chèque de deux mille roubles.
L'ancien négociant ouvrit immédiatement un commerce et la Providence lui sourit. Rapidement il
retrouva la prospérité qui était sienne dans ses meilleures périodes. Toutefois, durant ces années
Rabbi Eliméle’h avait quitté ce monde, et Rabbi David de Lelov avait pour sa part acquis une
grande notoriété. Le marchand décida un jour de se rendre chez Rabbi David sans se douter qu'il
s'agissait du voyageur démuni qu'il avait raillé des années plus tôt. Rabbi David l'identifia aussitôt
et après lui avoir dit qui il était, il le pria de raconter ce qu'il avait vécu depuis tant d'années.
Le marchand lui raconta ses tribulations, après quoi Rabbi David dit : « Tu dois savoir que le jour
où tu m'as insulté, le Tribunal céleste t'a condamné à mort. Connaissant le verdict, j'ai consulté
Rabbi Eliméle’h pour tenter d'annuler la sentence. Deux heures durant nous avons essayé d’y
parvenir jusqu’à trouver un compromis : ta ruine, car un pauvre est considéré comme mort, et tu
expierais ainsi ton péché. Toutefois, m'ayant fait une grande faveur en m'emmenant à Lisensk
dans ta calèche, tu recevrais une faveur en retour : tes malheurs prendraient fin au bout de dix
ans et tu regagnerais ton ancien statut. »

« Lorsque nous pensons que nous méritons que nos prières soient forcément
exaucées, alors elles sont en réalité un véhicule de notre orgueil, et cela suffit à
les rendre insignifiantes. »
(Rabbi Shimon Maryles, le Yaruslaver rebbe - Torat Shimon)

Le Mois de CHEVAT
Chevat est le 11ème mois du calendrier juif à compter de Nissan et le 5ème à compter de Tichri.
Le signe du mois de Chevat est le Verseau, le porteur d’eau. Chevat est lié à la saison des pluies, ce
qui dans la tradition juive connote la bénédiction.
C’est en ce mois qu’a lieu le nouvel an des arbres ”TouBiChevat”.
C’est également en ce mois que Mochè Rabeinou se prépara à sa disparition le mois suivant, le 7
Adar : il y adressa sa réprimande aux enfants d’Israël (cf Devarim) et selon le Midrach c’est aussi
pendant ce mois qu’il traduit la Torah en 70 langues.
Dans la h’assidout H’abad, ce mois est celui de la disparition du Rabbi précèdent Rabbi Yossef
Its’hak Schneersohn (le 10 Chevat) en 1950 et de l’intronisation du Rabbi, son gendre, le 10
Chevat 1 an plus tard. C’est également le mois de la disparition de l’épouse du Rabbi, la Rabbanit
‘Haya Mouchka Schneerson, le 22 Chevat en 1988.
Les lettres du mot Chevat composent les initiales des mots Chenishma Bessorot Tovot : ‘’Que l’on
entende de bonnes nouvelles.’’
Puisse-t-il en être ainsi en ce mois qui célèbre les bénédictions de l’abondance : Amen.

« Un moyen de développer l'amour et l'affection pour ses enfants ou ses élèves


est de prier constamment pour leur réussite.
Ce faisant, la personne s'imprègne d'un amour si profond pour eux que même
s'ils se comportent mal par la suite, elle sera capable de continuer à leur
témoigner de l'attention et de l'affection. »
(Rav Chlomo Wolbe - Alé Shour - vol. 2 - p.222)
Halah’a 'Time' : Questions/ Réponses

Q : Est-il permis de tenir quelque chose dans les mains pendant la ‘Amida ?

R : D’après le Choul’han ‘Arou’h (chap.96-1) il est interdit pendant la ‘Amida de tenir dans les
mains des objets auxquels on attache une importance particulière au cas où ils tomberaient.
Il est permis de tenir le Sidour (livre de prières) pendant la ‘Amida, car cela fait partie des besoins
de la prière. (MARAN dans le Choul’han ‘Arou’h chap.96-2)

Q : Est-il permis de tenir un téléphone mobile dans les mains pendant la ‘Amida ?

R : Concernant un téléphone mobile, hormis le fait qu’on y attache une importance particulière
au cas où il tomberait et ne se détériore, le fait même de le tenir dans les mains engendre un
interdit supplémentaire, car il cause en plus une déconcentration, en particulier lorsqu’il est
allumé, puisque celui qui prie est susceptible de recevoir des appels ou des SMS etc.. pendant la
‘Amida, ce qui entraînera obligatoirement une perturbation de la Kavana (concentration). Ceci
représente même un comportement de mépris envers la prière.
Par conséquent, il est interdit de tenir un téléphone mobile dans les mains pendant la ‘Amida, il
faudra donc l’éteindre et le ranger dans la poche ou ailleurs.
S’il est possible de le mettre en veille de sorte qu’il ne reçoive ni appels ni messages (mode avion),
alors dans de telles conditions et s’il n’y a pas d’autres possibilités, on peut autoriser à prier
depuis le téléphone (nous parlons bien entendu d’un téléphone protégé des nuisances d’Internet).

Q : Comment agir lorsque que l’on s’est trompé de direction pour prier la ‘Amida ?

R : Lorsqu’on se tient pour prier la ‘Amida, il faut se diriger vers Erets Israël.
Si l’on se trouve en Erets Israël, il faut se tourner vers Jérusalem.
Et si l’on se trouve à Jérusalem, on doit se tourner vers le Temple.
Celui qui devait par exemple prier vers l’Est, et qui s’est tourner par erreur vers le Sud ou le Nord,
tournera seulement le visage vers l’Est et poursuivra la ‘Amida.
Concernant celui qui devant prier par exemple vers l’Est et qui trompé et a entamé la ‘Amida en se
tournant vers l’Ouest, c'est-à-dire vers la direction totalement opposée à celle de la prière, cela
dépendra s’il prie seul ou en Mynian :
Celui qui prie seul (Ya’hid) poursuivra la ‘Amida sans se tourner vers l’Est ni bouger ses pieds.
Mais celui qui prie en présence du Minyan à la synagogue, devra bouger les pieds et prier dans la
direction vers laquelle l’assemblée se tourne pour prier.
(Source adaptation halachayomit.co.il)

« "l'épouse d'un érudit en Torah est comme un érudit en Torah" (Chevouot 30b ;
Avoda Zara 39a)
Cela signifie qu'une telle épouse doit recevoir le même honneur que l'érudit lui-
même. »
(Rav Moché Feinstein)
Fait pour servir !
Rav Yo’hanan Gordon était un des administrateurs du 770, la synagogue du Rabbi, et il avait à
charge la direction du Gma’h, la caisse de prêt et de bienfaisance. Chaque année, Rav Gordon
présentait le compte-rendu financier des entrées et des dépenses de cette caisse.
Durant l’hiver de l’année 1950, quelques semaines après la disparition de Rabbi Yossef Yits’hak,
Rav Gordon présenta pour la première fois le bilan au Rabbi Menah’em Mendel. Le Rabbi jeta un
œil sur les comptes et lui dit : « Comment peut-on considérer cela comme un Gma’h qui se
prépare à faire face aux besoins des nécessiteux de la ville de New York ? ! »
Rav Gordon dit alors aux ‘Hassidim : « Nous avons un Rabbi qui voit large ; il sera exigeant. »
En effet, le Rabbi demandait, constamment, des dirigeants du Gma’h que des efforts soient faits.
Une fois le Rabbi s’étonna : « Pouvez-vous m’expliquer comment est-ce possible qu’un Gma’h,
dont l’objet et la mission sont de prêter de l’argent à ceux qui sont dans le besoin, ait tellement
d’argent en réserve ? ! »
(Source adaptation histoire issue de judaismenord.com Rav Eliahou DAHAN)

CHABBAT CHALOM À VOUS AINSI QU’À TOUTE VOTRE


FAMILLE !

DÉDIÉ À LA GUÉRISON TOTALE DE :


("C'est Chabat, on ne peut pas crier; la guérison est proche", ‫)שבת היא מלזעוק ורפואה קרובה לבא‬
Moché ben Ida Rah’el, inon Chalom ben Sarah, David itshak ben Valérie Naomie, Yoram H’aîm ben
Claire Clara, Aviad ben Noa, Avichaî ben Edna, Noam ben Adi, le bébé Ron Yossef ben hava, Daniel
Yischaya Menaché ben Feigel, H’anina ben Tsofit, Patrick Fredj Ben Sarah, Acher Messaoud ben
Myriam Marie, Yona ben Simh’a, Réphaël Eliahou ben Myriam, Ofék ben H’ani, Avi’haî ben Meirav,
Ohad ben H’ava, Yossef ben Marie-France, Itamar ben Méital, Rafeal Matane ben Rah’el, Michaël
H’aim ben Betty Lucienne H’aya, Chlomo ben Kamouna Victoria, Gavriel ben Koh’ava, Benjamin ben
Gad Mamou, Franck Hayim Shimon ben Khemaissa, Rotem ben Mazal, Nadav H’aîm ben Irit H’aya, le
bébé Ari Chlomo ben Kim Éden, Rafael ben Tifra, Eliyahou Hananel ben Sim'ha, Rabbi Moché ben
Soulika, Avraham Noah ben Yeoudith, Chmouel ben Simh’a, Rav Ovadia ben Esther Malka, Rav Tsion
Corcos ben Felby, Rav Gabriel Ben Mercedes Sarah, l’enfant Inone ben Odaya, Rabbi Mordeh’aî ben
Esther, Yirmiyahou Ma'hlouf ben Dvora, Chimon Tsion ben Myriam, Avraham ben Guézéla, H’aîm
David ben Esther, Amir ben Zaava, Acher ben Louna, Baroukh Haim ben Thérèse, Yoan Yohanan
Haim ben Perla, Benyamin ben Nathalie, Noam ben Koh’ava, Eliahou Ben Maguy, Rav David Chalom
ben Victoria, L’enfant ilaî ben Chani, Victor Houani H'aîm ben Julie, l'enfant Yossef Mordehaï Ben
Tehila Simha, Chimone ben Yeoudit, Rah’amime ben Aycha, Yonathan ben Ziva, David Chlomo ben
Myriam, Chmouel ben Ora, Haim ben Madeleine, Shimon ben Simha, Rabbi Aharon Yehuda Ben Tova,
Patrick Fredj Bar Sarah, Chlomo ben Rah’el, Israel Tsion Ben Haya Myriam, Romy Rahel Hanna bat
liat Stéphanie, Moché ben Simh’a, Yoel Shimon H’aî ben Mazal Fortunée,Yossef ben Ra’hel, Tinok ben
Yaël Sarah, Daniel Chalom ben Pnina, Albert Bernard Avraham ben Julie Kamouna, Mih'ael ben Rina,
Ouriel Ben Yaffa, l’enfant Chlomo ben Achira Péssia, Rabbi Efraîm ben Louna, Samy Azar ben Éma
Laîla, Eli ben Rivka, Itsrak ben H’aya, Benjamin ben H’abiba véChlomo, Eric Tsion Israël ben
Rah’el, Jean-Pierre Yetro Ben Esther, Ouriel David ben Léa, Yaniv Moché ben Evelyne Naîna H’ava,
Chalom ben Esther, Théo Shimon Ben Shoshana, Yonathan Ouriel ben Léa Marlène Ricka, Maurice
Moché ben Esther, Jean-Pierre Refael ben Esther, Mordehay ben Djamila Azogui, Maurice Moss ben
H’anna, Mordeh’aî ben Messouka, Mordeh’ai Ben Messody, Tomer Aaron ben Dalya, Daniel Ben
Baya, Aaron ben Béh’ouria, le petit Noa’h Moché Mi’hael Gérard Ben Laetitia Rivka, Chlomo ben
Elihaou, Didier Yedidia Mordehaï ben Myriam, Ariel ben David, H’lifa ben Pia, Nathan ben Myriam,
Chmouel ben Sarah, Oren Dov Aaron Ben Yona Lili Léa, Rami ben Sakot, Moché ben Koh’ava, Ouzi
ben Rah'el, Chmouel ben Valérie, Yermiyahou Ma'hlouf ben Dvora, Tinoket bat H’anna, Ita Frimet bat
Braana, Tinoket Emma Anne bat Moria, Messaouda Bat Miriam, Myriam bat Clara, Marie France bat
Janine Sarah, Maayane bat Tova, le nourrisson Sapir haya batia bat Levana Léa, Ketsia Annaelle bat
Véronique Ruth, Eden bat Eyfrat, Sarah bat Mazal, Shoshana Hadassah Bat Ronit, Hadassa Baya bat
Nicole Aziza, Carla Rivka bat Ra'hel, Léa bat Tsipora, Laurence Messaouda Esther bat Rivka, Alegria
Fréh'a bat Alice, Rivka bat Djoar, Laurence Déborah bat Rina, Sandrine Simh’a Jeanne bat Nicole,
H’édva bat Agness, Yéoudit bat Myriam, Koral Refael bat Sarit, Avigaîl bat Batchéva Néh’ama
Chochana, Doris bat Aaron, Sarah bat Esther, Rivka bat Esther, Esther Sarah bat Djamila, Rivka bat
Yéhoudite Mazal, Josiane Léa bat Fortunée Messaouda, Johanna Rebecca Rivka bat Nathalie
Clémence Rah’mona, Yael Berti bat Gina Zara, Laurence Dvora bat Rina, Clara, Sarah Simh'a bat Léa
Severine, Andrée Esther Tita bat Emma, Hadassa bat Esther, H’aya Mouchka bat Esther Valerie,
Narkis bat Dalya, Fleurette H’aya Simh’a bat Fortuné Méssaouda, Chantal Fortunée Mazal bat
Allegrine Meikha, Stella Yildiz bat Linda, Linor Léa bat Daniela, Gislaine Andréa Ruth bat Sarah,
Rivka bat Aviva, Maguy Maîssa bat Chochana, Varda bat Léa, Aziza Bat Djoara, Nathalie Ruth Éma
Yéoudith bat Mieille Rah’el, Odaya bat Anit H’anna, H’én Rah’el bat Méital, Lara Dalya Margot
Messaouda bat Gina Zara Diane, Sarah bat Zoara, Koh’ava bat Fanny, Myriam bat Ruth, Chir bat
Rah’el et de tous les malades et blessés parmi le Âm Israël et les h'assidés oumot aÔlam : ‫!אמן‬

Pour la libération des prisonniers, la protection du Âm Israël et la venue de Machia'h


dans la miséricorde aujourd'hui et de nos jours : ‫!אמן‬

Léavdil, dédié à l'élévation de l'âme de: Yédidia Imini ben Sarah (26 tevet 5783), Rafael ben
Eliaou (6 chevat 5783), Hillel Menahem Yaniv (5 Adar 5783), Ygal Yaakov Yaniv (5 Adar 5783), Elan
Ganeles ( 6 Adar 5783), Natanel Peretz (7 Adar 5783), H'aîm Topol (16 Adar 5783), Or ben Nathalie
(28 Adar 5783), Maya Esther Dee (16 Nissan 5783), Rina Myriam Dee (16 Nissan 5783), Leah Lucy
Dee ( 18 Nissan 5783), Roger Pinto (19 Nissan 5783), Rav Ephraïm Mol (30 Nissan 5783), Georges
ben Alter véBrandla (18 Yiar 5783), Benjamin Haddad (19 Yiar 5783), Aviel Haddad (19 Yiar 5783),
Rav Gershon Edelstein (10 Sivan 5783), Meir Tamri (10 Sivan 5783), Lia Ben-Nun (14 Sivan 5783),
Ohad Dahan (14 Sivan 5783), Uri Yitzhak Iloz (14 Sivan 5783), Marc Nissim ben H’ouatou (27 Sivane
5783), Elisha Anteman (1er Tamouz 5783), Harel Masood (1er Tamouz 5783), Ofer Fairman (1er
Tamouz 5783), Nachman Shmuel Mordoff (1er Tamouz 5783), Claude bat Raymond (1er Tamouz
5783), David Yehuda Izhak ben Mochè véAmona (15 Tamouz 5783), Shilo Yossef Amir (17 Tamouz
5783), Alexandre ben Emeric ( 29 Tamouz 5783), Chen Amir (19 Av 5783), Sultana bat Rahel (29 Av
5783), Shay Nigreker ( 2 Eloul 5783), Aviad Nigreker ( 2 Eloul 5783), Batsheva Nagari (4 Elloul
5783), Aarone Henry Paul ben Sultana (6 Eloul 5783), Itsrak ben Ori (12 Eloul 5783), Tsipora
Elissiane bat Chmoel (3 Tichri 5784), l’enfant Neoraï Refaël ben Naomie (15 Tichri 5784), Haïm Jean-
Pierre ben Charles (18 Tichri 5784), Nathaniel Young (22 Tichri 5784), Nissim Levy (22 Tichri 5784),
Ravid Katz (22 Tichri 5784), Tomer Yaakov Ahimas (22 Tichri 5784), Kiril Brodski (22 Tichri
5784), Shaked Dahan (22 Tichri 5784), Shani Gabbay (22 Tichri 5784), Céline Ben David Nagar (22
Tichri 5784), Matanya Alster (26 Tichri 5784), Omer Balva ( 6 Hechvan 5784), Yinon Fleishman (14
Hechvan 5784), Roei Wolf (16 Hechvan 5784), Lavi Lipshitz (16 Hechvan 5784), Eli-Emil Samolov (17
Hechvan 5784), Yair Nifousy (18 Hechvan 5784), Elhanan Klein (18 Hechvan 5784), Rav Eran
Ash’har (21 Hechvan 5784), Meir Moyal (21 Hechvan 5784), Shahar Cohen Mivtach (22 Hechvan
5784), Ross Elisheva Rose Ida Lubin (22 Hechvan 5784), Roni Eshel (22 Hechvan 5784), Oren
Goldin (22 Hechvan 5784), Gilad Rozenblit (22 Hechvan 5784), David (Dudi) Digmi (23
Hechvan 5784), Shlomo Gurtovnik (23 Hechvan 5784), Eden Provisor (23 Hechvan 5784), Shachar
Fridman (23 Hechvan 5784), Paul Kessler (23 Hechvan 5784), Noam Yossef Abou (24 Hechvan
5784), Yonatan Hazor ( 24 Hechvan 5784), Yaacov Ozeri (24 Hechvan 5784), Moshe Yedidia Leiter
(27 Hechvan 5784), Matan Meir (27 Hechvan 5784), Yossef Yossi Haim (27 Hechvan 5784), Sergey
Shmerkin (27 Hechvan 5784), Nathaniel Nati Harosh (27 Hechvan 5784), Noa Marciano ( 27 Hechvan
5784), Roei Marom (1 Kislev 5784), Raz Abulafia (1 Kislev 5784), Omri Yosef David (2 Tichri 5784),
Yedidiya Asher Lev (2 Tichri 57844), Asaf Master (3 Tichri 5784), Kfir Itzhak Franco (3 Tichri 5784),
Avraham Patna (3Tichri 5784), Roy Biber ( 5Tichri 5784), Binyamin Meir Erli ( 5Tichri 5784), Yakir
Bitton ( 5tichri 5784), Hen Yahalom ( 5tichri 5784) et Rani Tahan ( 5 tichri 5784), Eytan Dishon (7
Kislev 5784), Arnon Moshe Avraham Benvenisti Vaspi (8 Kislev 5784), Ilya Senkin (8 Kislev 5784),
Liron Snir (9 Kislev 5784), Eitan Dov Rosenzweig (9 Kislev 5784), Aschalwu Sama(20 Kislev
5784), Or Brandes (20 Kislev 5784), Guy Rafael ben Chlomo (28 Tevet 5784), Amichai Yisrael
Yehoshua ben Marcy Spiegel ( 20 tevet 5784) et tous les disparus parmi le Âm Israël et les h'assidés
oumot aÔlam: ‫!אמן‬

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