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1. Introduction................................................................................................................2
2. Définitions..................................................................................................................3
4. Types de secheresse...................................................................................................4
5. Conséquences de la sécheresse..................................................................................5
6. Conclusion................................................................................................................11
7. Bibliographie............................................................................................................12
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1. Introduction
Les sécheresses sont des phénomènes ponctuels, qui nécessite une météo particulière
pour qu'elles apparaissent. Ainsi, presque tous les pays peuvent être touchés par la
sécheresse s'ils subissent un manque de pluie pendant une certaine durée, accompagnés
aussi par des températures chaudes. Seules les zones polaires et subpolaires ne peuvent
connaître de sécheresse car elles sont entièrement recouverte de glace.
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2. Définitions
La sécheresse peut détruire les récoltes (partiellement ou totalement) et tuer les animaux
d'élevage, et parfois sauvages. Elle devient alors un facteur de famine régionale et
d'exode, souvent accompagnée de troubles sociaux voire de conflits armés en particulier
dans les régions de peu de ressources économiques.
La sécheresse n'est donc pas qu'un phénomène physique ou climatique objectif. C'est
aussi une notion relative qui reflète l'écart entre la disponibilité de l'eau et la demande
en eau de l'homme (savoir les
applications agricoles – agriculture, abreuvage du bétail – industrielles, domestiques de
l'eau – hygiène, alimentation, lavage – dont certains usages d'une nécessité secondaire
– piscine, arrosage des gazons, lavage de voiture – , etc.). Ceci rend toute définition de
la sécheresse relative au contexte géopolitique et sociologique ; l'état « normal » de
disponibilité de l'eau change selon les zones biogéographiques et les besoins réels ou
ressentis des individus et des sociétés.
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Les sécheresses météorologiques se produisent généralement
lorsqu'un anticyclone s'installe durablement au-dessus d'une région à cause d'une
situation de blocage. Les hautes pressions persistantes empêchent donc toute intrusion
d'une perturbation atmosphériqueet peuvent alors mener la région surplombée par
celles-ci à une longue période de beau temps et donc avec un peu voire sans
précipitations.
Pour être dans des configurations de sécheresse, il faut donc qu'un certain type de temps
persiste. Les dépressions sont des phénomènes climatiques (des masses d'air froides et
humides ascendantes) qui engendrent des précipitations. Les anticyclones (masses d'air
descendantes) vont favoriser l'apport d'air chaud et sec, donc pas de précipitations.
Ainsi, pour être dans un état de sécheresse, il faut qu'un anticyclone soit présent pendant
une certaine période de temps. Le manque d'eau et les températures élevées sont des
causes naturelles de la sécheresse.
Les activités humaines vont accentuer la sécheresse. En effet, le manque d'eau va créer
un déficit dans les réserves et si ces dernières sont mal gérées, alors la sécheresse sera
d'autant plus marquée. L'agriculture, les usines, et les habitations nécessitent un apport
en eau important. Seulement, tout n'est pas "nécessaire" à l'Homme et parfois, les
consommations sont excessives. Ainsi, des restrictions d'eau doivent être mises en place
pour ne pas abaisser encore plus le niveau des nappes phréatiques et les cours d'eau qui
étaient déjà déficitaires.
4. Types de secheresse
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Le premier type, la sécheresse météorologique, survient lorsqu'il existe une
période prolongée d'un taux de précipitations en dessous de la moyenne.
Le deuxième est la sécheresse agricole, lorsqu'il n'existe pas assez d'humidité pour
les cultures. Cette condition peut avoir lieu même si les précipitations sont normales
à cause des conditions du sol et des techniques agricoles, ou de choix de plantes
inadaptées (comme le maïs ou le riz, très consommatrices d'eau).
Le troisième, la sécheresse hydrologique, survient lorsque le niveau des réserves
d'eau disponibles dans les nappes aquifères, lacs et réservoirs descend sous la
moyenne. Ce seuil peut être atteint avec des précipitations normales ou au-dessus de
la moyenne lorsque l'eau est détournée vers une autre région ou lorsqu'elle a
été surexploitée, lorsqu'une consommation élevée d'eau dépasse les capacités de la
nappe ou des réservoirs à se renouveler, ou encore, lorsque les conditions
d'alimentation des nappes ne sont plus réunies (Cf. loi de Darcy sur de la
perméabilité du sol).
Le quatrième, la sėcheresse caniculaire, survient tout simplement lorsqu'il a
une canicule.
5. Conséquences de la sécheresse
"Bien que prévisible, la sécheresse est la catastrophe naturelle la plus coûteuse et la plus
meurtrière de notre époque. La décision d'en atténuer les effets relève en dernier ressort
du pouvoir politique. Il appartient aux gouvernements de tous les pays exposés à ce
fléau d'élaborer et de mettre en œuvre, en les adaptant au contexte national, des
politiques de lutte contre la sécheresse axées sur les alertes précoces, la prévention et la
gestion des risques", a fait valoir le Secrétaire exécutif de la CNULCD, Luc Gnacadja.
"Le coût des interventions a posteriori est bien plus élevé que celui de la gestion des
risques et des mesures d'anticipation. Aussi faut-il agir sans attendre les prochaines
sécheresses et leur cortège de famines et de décès." a-t-il ajouté.
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Sur la population : la santé des enfants et des personnes âgées est très fragile et
sensibles aux fortes chaleurs car ils n'ont pas le réflexe, ni l'envie de boire pour
lutter contre leur déshydratation qui peut tuer ;
sur la faune : de même que pour la population, un manque d'eau affecte les
poissons vivant dans l'eau, mais aussi les animaux qui s'abreuvent aux points
d'eau ;
sur les forêts : la sécheresse va rendre les arbres plus secs et déshydratés ce qui
peut causer leur mort. De plus, une végétation très sèche sera propice
aux départs de feux ;
sur l'agriculture : l'irrigation des cultures (tel que le blé en France) est affectée
par la sécheresse car les réserves d'eau sont faibles ;
sur les sols : en automne, les sols asséchés, qui ont pourtant besoin de se
recharger en eau, ne vont plus pouvoir absorber les précipitations, créant des
inondations et glissement de terrain ;
sur les réserves d'eau potable : l'alimentation et l'évacuation des eaux
ménagères ne se font pas correctement, car le niveau des rivières, des fleuves et
des nappes est très bas. Dans certaines zones rurales, l'eau est rationnée ou
coupée ;
sur la production d'électricité : l'eau est utilisée pour refroidir certaines
centrales nucléaires, elles sont donc coupées pendant les sécheresses et périodes
de canicule alors que la demande en électricité augmente : climatisation,
ventilateur, réfrigérateur qui nécessitent beaucoup d'électricité.
Le climat est depuis toujours une préoccupation humaine. L’impact du climat et des
événements météorologiques excessifs dans l’histoire des civilisations et des sociétés est
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de plus en plus étudié par les historiens, les archéologues,
les paléoclimatologues et paléoenvironnementalistes.
La sécheresse économique est définie comme se rapportant aux effets des précipitations
anormalement basses, en dehors des paramètres normaux prévus dont une économie est
équipée. En tant que telle, son impact dépend de l'interaction d'un événement ou d'une
anomalie météorologique avec la structure dynamique changeante et la santé d’une
économie. Certains observateurs ont distingué trois situations de pays en ce qui
concerne l'impact de la sécheresse : des économies simples, intermédiaires et dualistes.
Dans les économies intermédiaires, les effets de la sécheresse sont très largement
répandus dans l'économie, reflétant une plus grande intégration d’ensemble et des
relations intersectorielles plus solides entre les secteurs agricoles et les secteurs
manufacturiers naissants. Il est probable que les biens intermédiaires constituent une
plus grande partie des importations, impliquant qu'une compression des importations
due à la sécheresse aura des implications multiplicatrices additionnelles sur la
production domestique. Dans l'intervalle, la reprise de l’activité après la sécheresse peut
être très retardée dans la mesure où le secteur manufacturier continue de faire face au
manque d'intrants et à la lenteur de la relance de la demande. Les implications sur les
finances publiques peuvent également être très graves, étant donné que le gouvernement
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est susceptible de faire face lui-même à une plus grande partie des coûts des efforts de
reprise, plutôt que de compter presque entièrement sur l’assistance internationale.
Enfin, dans des économies dualistes, qui disposent de grands secteurs d’extraction
minière, à moins que le secteur d’extraction soit à grande intensité en eau, l'impact
économique de la sécheresse est limité à la variabilité du secteur agricole avec un petit
effet multiplicateur. Ainsi donc, l'impact macro-économique de la sécheresse apparaît
encore faible, bien qu'il puisse avoir des effets profonds dans le secteur agricole dont
dépend la majorité de la population.
Les chocs dus à la sécheresse ont des effets importants mais hautement différenciés sur
l’ensemble de l’économie. La fréquence, l'échelle et la nature probable de ces effets
dépendent de l'interaction de la structure économique et des dotations en ressources,
aussi bien que des facteurs économiques à court terme. Contrairement à l’intuition,
certaines des économies relativement plus développées ou « plus complexes » de
l’Afrique subsaharienne, telles que celles du Sénégal, de la Zambie et du Zimbabwe,
sont plus vulnérables aux chocs de la sécheresse que celles des pays moins développés
et plus arides, telles que celles du Burkina Faso, ou des pays qui connaissent des conflits
comme la Somalie. Par conséquent, un pays moins développé tel que l'Éthiopie pourrait
devenir dans un premier temps plus sensible à la sécheresse pendant que son économie
se développe. Alors, comme les économies deviennent plus complexes et diversifiées,
elles deviennent par la suite moins vulnérables à la sécheresse.
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Par ailleurs, les sécheresses favorisent les incendies qui, s'ils sont fréquents, dégradent
fortement les sols et les possibilités de régénération et de stockage de l'eau, notamment
dans les zones sub-désertiques et sur les pentes où l'érosion est exacerbée.
Lorsque les arbres sont dans leur optimum stationnel, ils disposent de stratégies
d’évitement du stress hydrique face aux sécheresses non exceptionnelles. Les pins, par
exemple, obturent précocement leurs stomates et, si la sécheresse perdure, ils émettent
des hormones qui attirent des insectes défoliateurs, puis des scolytes qui tueront les
arbres les plus vieux (qui évapotranspirent le plus) si la sécheresse perdure plus de deux
ans. De la même façon, certains feuillus des zones tropicales sèches diminuent leur
transpiration ou perdent leurs feuilles en saison sèche. Ceux des zones tempérées
semblent moins capables de réguler seuls leur évapotranspiration ; certains perdent une
partie de leurs feuilles, d'autres semblent capables d'attirer des défoliateurs en cas de
stress aigu.
Par ailleurs, une forêt naturelle riche en biodiversité associe généralement des essences
qui ont des zones de prospection racinaire variées, exploitant mieux les différentes
nappes tant en période de haute eau que de sécheresse. Inversement, les monocultures,
surtout équiennes, exploitent l'eau du sol à la même profondeur en exacerbant les effets
des sécheresses, qui y sont beaucoup plus brutaux. C'est ainsi que les racines des arbres
deviennent de plus en plus sèches et les arbres meurent à la suite d'une sécheresse.
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6. Conclusion
Enfin, la sécheresse assèche les sols et altère le bon développement de la faune et de la
flore. Ainsi, les incendies sont souvent nombreux en période de sécheresse, et vont
émettre des gaz nocifs qui vont polluer l'atmosphère et accentuer l'effet de serre. Avec
le changement climatique planétaire, les phénomènes de sécheresse sont de plus en plus
récurrents, il est donc important de savoir comment gérer les réserves dans ce cas et
surtout, comment s'adapter à un climat qui change extrêmement vite.
A Primeira Revolução Industrial teve início no fim do século XVIII início do século XIX, a partir
desse período muita coisa mudou, as tecnologias, as relações de trabalho, o modo de produzir,
entre outros.
despretensiosa, pois todas as medidas e decisões são tomadas a partir de uma profunda
determinado espaço.
Diante desse contexto são observados diversos fatores para a criação e implantação de uma
• Capitais: não é possível instalar e colocar em funcionamento uma indústria sem recursos
financeiros, pois são esses que dão subsídio para a construção da edificação, para obter a
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oferecida, uma vez que essa tem que ter um número abundante, pois o custo de instalação é
muito elevado e não pode haver falta de tal recurso no processo produtivo.
• Mão-de-obra: além dos itens citados, outro elemento que é de extrema importância nesse
processo é a mão-de-obra, pessoas que vendem sua força de trabalho em troca de um salário
que deve garantir a manutenção do trabalhador e de sua família, devido a essa dependência
aglomeram um grande contingente populacional, isso se torna favorável, pois quanto maior a
oferta de proletários menores são os salários pagos (lei da oferta e da procura), pois temendo
perder os empregos muitos se submetem a receber baixas remunerações. Outro motivo que
existência de trabalhadores com qualificação profissional, pois nas cidades maiores estão os
principais centros de difusão de informação e tecnologia como as emissoras de tv, rádio, além
• Matéria-prima: esse item ocupa um lugar de destaque no processo produtivo, pois é a partir
o lucro da produção. Diante da importância, essa deve permanecer o mais próximo possível,
pois quanto mais perto ela se encontra menores serão os custos com o transporte entre a
fonte fornecedora e a processadora, esse fato diminui o custo final e garante o aumento da
capitalista.
modo evitam grandes gastos com transporte, além de dinamizar o seu fluxo até os centros de
distribuição.
distribuição industrial, nesse caso é preciso que haja uma boa infra-estrutura que possibilite
uma logística dinâmica e que atenda a demanda de fluxo de matéria-prima até às indústrias e
mercadorias e serviços.
Notas Conclusivas
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Baseando-se no trabalho feito por nos, chegamos a tomar notas
conclusivas de que: Os grandes factores da localização industrial são
geralmente os meios de comunicação como: os transportes, as vias
de comunicação como a Internet, telefonias etc. e elas são
originários de grandes acontecimentos como: a localização dos
recursos minerais, recursos piscatórios e muito mais. Já os recursos
piscatórios são todas actividades praticada nos mares ou rios com
objectivo fundamental de extrair os seus recursos, como o peixe na
maior parte das vezes.
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Agradecimento
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Referencias bibliográfica
www.google.com
http://estudamalandro.forumeiros.com/t137-factores-de-localizacao-industrial
http://www.infoescola.com/historia/industrializacao/
INTRODUÇÃO Assim como nos demais setores, a indústria desempenha um papel fundamental
no desenvolvimento sócio-econômico de uma região por criar emprego e massa salarial,
porém tais efeitos não são sentidos em todas as localidades visto que as indústrias tendem a
se localizar em regiões específicas de um determinado Estado. Visto a falta de estudos de
caráter regional, procura-se neste trabalho compreender melhor a distribuição regional da
indústria goiana, destacando principalmente a compreensão dos fatores que motivam a
decisão de localização no Estado de Goiás. Neste sentido, o objetivo geral desde trabalho é
encontrar os pontos de concentração industrial no Estado e fazer uma análise dos possíveis
fatores que determinam tal localização.
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7. Bibliographie
Amat J.-P., Dorize L., 2002 - Éléments de géographie physique. Paris, Ed. Bréal,
coll. Grand Amphi
Beltrando G., 2004 - Les climats : processus, variabilité et risques. Paris, Ed.
Armand Colin
Beltrando G., Chémery L., 1995 - Dictionnaire du climat. Paris, Ed.
Larousse (ISBN 2-03-720233-4)
Boqueho V., 2012 - Les civilisations à l'épreuve du climat. Paris, Ed. Dunod, 192 p.
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