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NUTRITION

MB2102022

CHARCUTERIE
 DEFINITION DU PRODUIT

On distingue trois grands types de produits :

⁃ les Salaisons (sans cuisson, jambon, saucisson, chorizo,

⁃ Les produits cuits (jambon cuits, pâtés, rillettes, boudins, andouille)

⁃ Le reste des produits comme saucisses à cuire

 DESCRIPTION DU PRODUIT

Le terme charcuterie désigne couramment de nombreuses préparations alimentaires, à base de


viande et d’abats, crues ou cuites.

Elles proviennent majoritairement, mais pas exclusivement du porc dont presque toutes les parties
peuvent être utilisées, et ont souvent le sel, comme agent de conservation

 PROCEDE DE FABRIACATION

La découpe et le parage des viandes : lors de cette étape, notre pareur désosse la viande, ôte les
nerfs et les amas de graisse de la chair,

2. Le salage des viandes : les viandes destinées à la fabrication de la charcuterie sont ensuite salées. Il
en existe plusieurs méthodes de salage :

3. Le salage à sec : la viande est frottée avec du sel puis entreposée plusieurs jours en chambre
froide,

4. La mise en saumure : consiste à l’immersion de la viande dans l’eau salée,

5. L’injection : nécessite l’utilisation d’une machine afin d’injecter le sel au cœur de la viande.

6. Le hachage ou le cutterage des viandes : il s’agit de la transformation des morceaux de la viande


en pâte fine tout en les assaisonnant,

7. L’embossage ou mise en moules : c’est l’action de remplir des boyaux avec une préparation de
viande hachée réalisée souvent avec le poussoir. À ce stade de la fabrication, il ne reste plus qu’à les
cuire, les fumer ou les sécher en fonction des produits.

8. La cuisson : les saucissons, boudins… sont suspendus sur de grands chariots, puis enfournés ou mis
en séchoir :

9. L’étuvage : le saucisson deviendra ferme grâce à une bonne maîtrise de la température de la


pièce 25°. Cette étape dure de 1 à 3 jours.

10. Le séchage : durant 6 à 10 semaines, le saucisson va sécher dans une pièce à une température
entre 12°C et 14°C afin de faciliter la vitesse de séchage.
 AVANTAGES DE LA CHARCUTERIE :

La charcuterie peut fournir des avantages nutritionnels, mais elle doit être consommée avec
modération, car elle peut être riche en matières grasses saturées, en sel et en additifs. Cependant,
certains avantages incluent :

1. Apport en protéines : La charcuterie est une source de protéines, essentielles pour la croissance et
la réparation des tissus.

2. Apport en vitamines et minéraux : Certaines variétés de charcuterie, comme le jambon, peuvent


contenir des vitamines B, telles que la niacine et la vitamine B12, ainsi que des minéraux comme le
zinc et le fer.

 FINALITE DE LA CHARCUTERIE

1. Goût et saveur : La charcuterie offre une variété de saveurs délicieuses et un large éventail de
textures, ce qui en fait un choix populaire pour les amateurs de viande.

2. Conservation à long terme : En raison de son processus de salaison, de séchage ou de fumage, la


charcuterie peut se conserver pendant de longues périodes sans réfrigération, ce qui la rend pratique
pour les voyages ou les situations où la réfrigération est limitée.

3. Polyvalence : La charcuterie peut être utilisée de nombreuses manières, que ce soit comme
ingrédient dans des plats cuisinés, en apéritif, dans des sandwichs ou des plateaux de fromages,
offrant ainsi de nombreuses options culinaires.

4. Tradition culinaire : La charcuterie fait partie de nombreuses traditions culinaires à travers le


monde, apportant une dimension culturelle et historique à la cuisine.

 INCONVENIENTS DE LA CHARCUTERIE

1. Teneur en gras saturés : La plupart des charcuteries sont riches en gras saturés, qui sont associés à
une augmentation du risque de maladies cardiovasculaires.

2. Teneur élevée en sel : La charcuterie est souvent très salée pour la conservation, ce qui peut
contribuer à l’hypertension artérielle, un facteur de risque majeur pour les maladies cardiaques.

3. Additifs et conservateurs : De nombreux produits de charcuterie contiennent des additifs


chimiques, tels que des nitrites, qui sont utilisés comme agents de conservation « Nitrite qui favorise
le cancer colorectal ».

4. Processus de transformation : La charcuterie subit généralement des processus de transformation,


tels que la fumaison, qui peuvent créer des composés potentiellement nocifs, comme les
hydrocarbures aromatiques polycycliques.

5. Risque de cancer : Certaines études ont associé la consommation de charcuterie, en particulier de


charcuterie transformée comme le bacon et les saucisses, à un risque accru de cancer colorectal.

6. Qualité de la viande : La qualité de la viande utilisée dans la charcuterie peut varier, et dans
certains cas, elle peut contenir des résidus de médicaments vétérinaires ou d’autres substances
indésirables.

EX : dans les knackis il y a du glutamate qui favorise le sur poids, l’obésité, diabète et
Certaines maladies auto-immunes et voir même des pathologies neurodégénératives.

 ADDITIF :

Les additifs utilisés dans la charcuterie sont principalement des substances telles que les nitrites, les
nitrates, les antioxydants, les émulsifiants, les stabilisateurs, les arômes et les colorants. Ils sont
utilisés pour améliorer la conservation, la saveur, la texture et l’apparence des produits de
charcuterie. Cependant, l’utilisation excessive de certains additifs, en particulier des nitrites et des
nitrates, peut soulever des préoccupations en matière de santé, car ils sont associés à la formation de
nitrosamines, des composés potentiellement cancérigènes.

LES PATES

 DEFINITION DU PRODUIT :

Les pâtes alimentaires sont des aliments fabriqués généralement à partir d'un mélange pétri de farine
de blé, d'eau et éventuellement d'œuf et de sel.

On pourrait penser que l’Italie est le berceau de la pasta, cependant bien que les Italiens en soient les
plus gros consommateurs avec au moins 23 Kg par personne de pates consommées par ans, ils n’en
sont pas les inventeurs. Des traces de cette aliment datant de plus de 4000 ans ont été découvert en
Chine par exemple. En Mésopotamie vers 8000 avant J-C. On y consommait déjà un genre de pâtes.

Quant à leurs conservations, là encore, ce n’est pas nouveau car ce sont les populations nomades de
la péninsule arabique et d’Afrique du Nord qui furent sans doute à l'origine de la dessiccation des
pâtes, à des fins de conservation.

DESCRIPTION :

Deux types de pâtes alimentaires sont ici à différencier :

1. La pâte sèche est une pâte qui a été séchée. Ainsi, tout naturellement, elle offre une
conservation plus longue. Un atout non négligeable puisque cela va vous assurer d'avoir
toujours des pâtes dans vos placards.
2. Les pâtes fraîches quant à elles ne sont considérées comme fraîches qu'à partir du moment
où elles contiennent des œufs frais, de l'eau et de la semoule ou de la farine de blé tendre.
Indubitablement les pâtes fraiches dite cru se conserverons quelques jours uniquement au
réfrigérateur, la durée variera en fonction de si elles contiennent des œufs ou non.

La cuisson des pâtes sèches et fraîches n'est de ce fait, pas tout à fait la même. En effet les pâtes
fraîches prendront considérablement moins de temps à cuire que les pates sèche qui elle due à leurs
états demanderons une cuisson naturellement plus longue. A noter que dans les deux cas, l’on peut
congeler les pates une fois cuite.

 LISTE DES PROCEDES DE FABRICATION AGROALIMENTAIRE :

1. Mélange des différents composant


o Farine, Semoule, eau
o (Pour les pâtes fraiche) œuf, la mixture est ensuite pasteurisée afin d’aider à la
conservation
Méthodes différentes :
2 Cuisson-Extrusion et refroidissement
Différentes machines qui vont donner la forme aux pates puis un pré-séchage

3 Séchage
o Les pâtes sont ensuite séchées afin de retirer l’eau contenue dans ces dernières
o Elles sont ensuite pesées puis mis en sachets.

o FINALITE DU PRODUIT

Les pates ont une finalité assez simple, elles viennent tout simplement d’un besoin de survie bien que
bien moins consommé aujourd’hui pour cette raison. C’était un aliment de premier choix pour les
populations d’Afrique du Nord qui vivaient dans le désert avec très peu d’eau. Nous l’avons déjà
mentionné plus haut, mais le fait de pouvoir les conservés pendant une durée plus ou moins
conséquente a été un avantage non négligeable qui permet d’expliquer la présence de ce produit
dans tous les placard et garde-manger d’aujourd’hui.

 LES AVANTAGES ET INCONVENIENTS

Ecologique :

- Avantages
o Moins de consommation d’eau pour la production de 1kg de pâtes contre 1kg de riz
- Inconvénients
o Demande beaucoup de céréale et donc beaucoup d’hectare agricole pour 1 produit

Nutrition :

- Avantages :
o Riches en fibres
o Index glycémique bas
o Faible de matière grasse
o Manger sainement sans se fatiguer
o Apport d’énergie que l’organisme assimile lentement.
o Source de magnésium,
o Vitamine B
o Excellent apport de protéines et de fibres, surtout dans leur version complète,
lorsqu’elles ne sont pas cuites trop longtemps.
o Stimulent le transit intestinal.
- Inconvénients :
o Si les pâtes sont produites par cuisson-extrusion
 Index glycémique très haut
o La cuisson trop longue des pâtes libère cet amidon qui les transformes en sucres
rapides.

Impacte sur la santé :

- Avantages :
o Facile a digéré
o Equilibre de taux de sucre dans le sang
o Préviens les risques de cancer
o Aide a géré le poids

- Inconvénients :

o Les pâtes sont riches en glucides, ce qui peut être mauvais pour la santé lorsqu'elles
sont consommées en grande quantité.
o Elles contiennent également du gluten, une protéine qui peut poser problème aux
personnes intolérantes.
o En trop grande quantité elles peuvent causer des maladies comme :
o Maladie cœliaque
o Syndrome métabolique
o Le diabète etc…

BOITE DE CONSERVE

 DEFINITION DU PRODUIT :

Une boîte de conserve est un contenant métallique hermétique permettant la mise en conserve des
aliments et leur maintien à température ambiante. Traditionnellement, elle s’ouvre à l’aide d’un
ouvre-boîte qui découpe le couvercle, à moins qu’elle ne soit dotée, comme c’est de plus en plus
fréquemment le cas au XXIe siècle, d’un dispositif d’ouverture facilitée.

 PROCEDE DE FABRICATION

Le principe mis en place par Appert (chef français) est simple : la nourriture est placée dans un
récipient hermétique (initialement des pots en verre condamnés avec de la cire), puis les bactéries
sont tuées avec de la chaleur. Enfermés dans un espace clos, les microbes perdent alors leurs
capacités à se régénérer, on appelle cela l’appertisation. Ce processus de conservation a
considérablement évolué ces dernières années, ce qui permet une meilleure préservation de la
texture et de la teneur en nutriments des aliments.

Les emballages peuvent être en métal, en verre, en matière plastique, en complexe carton, etc. Les
boîtes métal sont placées dans un stérilisateur ou un autoclave pour un traitement thermique à
température supérieure à 100°C

La conservation par la chaleur (on dit aussi « traitement thermique ») regroupe trois grandes
méthodes :
- La pasteurisation
Elle se fait souvent à une température autour de 80°C. Cela préserve mieux le goût et les nutriments
des aliments que les températures plus élevées.

Elle tue les microorganismes « vivants » qui empêcheraient une bonne conservation des aliments.
Mais elle ne détruit pas les spores des microorganismes.

Le bocal doit donc être conservé à basse température pour que ces spores ne germent pas dans la
conserve.

C’est une technique facile à réaliser à la maison avec une simple casserole d’eau ou un « stérilisateur
» à thermostat.

- La stérilisation
Elle se fait entre 116 et plus de 140°C.

Elle détruit tous les microorganismes, ainsi que leurs spores. Il ne subsiste donc, après stérilisation,
rien qui puisse se développer dans la conserve (ni bactéries vivantes, ni spores qui pourraient « éclore
»).

Elle permet de garder les conserves à température ambiante.

Il n’est pas possible d’atteindre ces températures avec une marmite d’eau chaude. L’eau bout à 100°C
et ne monte pas plus haut. Pour aller au-delà de 100°C, il faut utiliser un appareil sous pression,
généralement un autoclave (difficile à trouver en Europe à un prix raisonnable). [9] La stérilisation est
beaucoup plus répandue en Amérique du Nord qu’en Europe.

- La pasteurisation stérilisante (ou « stérilisation à 100°C »)


Elle se situe à mi-chemin des deux méthodes précédentes. On pasteurise des aliments acides (fruits,
tomates…) à l’eau bouillante (100°C).

La chaleur détruit les microorganismes vivants mais pas leurs spores. Cependant, l’acidité des
aliments est suffisante pour empêcher le développement des spores dans la conserve. On arrive donc
au même genre de conservation qu’avec la véritable stérilisation. Au sens strict, cette technique ne
serait donc pas adaptée aux légumes, non acides. Mais ça se discute !

Les bocaux peuvent être stockés à température ambiante. Si l’on utilise cette méthode pour des
aliments non acides, on garde plutôt les bocaux en-dessous de 14°C.

On peut utiliser une casserole d’eau bouillante ou un stérilisateur, au choix.

Les fabricants ont l’obligation de respecter les process permettant une conservation des produits
garantissant sa stabilité jusqu’à la DLUO (date limite d’utilisation optimale). Ils doivent maîtriser les
barèmes de stérilisation (couple temps/température de l’enceinte validé pour un type de produit,
conditionné dans un récipient donné, selon un poids défini et pour des caractéristiques d’autoclave
déterminées). Ils doivent aussi s’assurer de la traçabilité de l’application de ces barèmes, de manière
à pouvoir attester du respect des process de fabrication permettant une mise sur le marché de
produits sains et sûrs.

 FABRICATION DE LA BOITE
1. Quel que soit l’emballage métallique à fabriquer, tout commence par de grandes bobines
d’acier ou d’aluminium livrées à l’usine de fabrication.
2. Ces bobines sont ensuite découpées en feuilles, puis vernies, et dans certains cas, imprimées.
Dans le cas des canettes, l’impression se fait sur le corps de boîte embouti et non pas sur les
feuilles de métal à plat. Le vernis permet de protéger de la corrosion et d’une éventuelle
interaction entre le contenu et le métal. La plupart des emballages métalliques sont
imprimés, mais peuvent être aussi étiquetés, comme certaines boîtes de conserve. Chaque
emballage est contrôlé à chaque étape de sa fabrication.
3. Les feuilles de métal ainsi préparées et correctement dimensionnées sont ensuite
transformées en Boîtes 3 pièces (deux fonds, un corps) telles que les boîtes de conserves, les
aérosols, les pots de peinture ou les coffrets métalliques. Les feuilles de métal sont
découpées en bandes et en flancs Puis transformées en cylindre et soudées ou agrafées ;
Parfois le cylindre est mouluré ; En enfin un fond est serti à une extrémité. Boîtes 2 pièces (un
fond, un corps) telles que les canettes, certaines boîtes de conserves et certains aérosols. Les
feuilles de métal sont embouties dans des presses afin de former des coupelles ; L’outillage
emboutit et aplanit les parois des coupelles pour les transformer en corps de boîte ; Dans le
cas des canettes, le corps de boîte est étiré. Couvercles, capsules, fonds classiques ou
ouvertures faciles.
4. Les boîtes et les couvercles sont ensuite envoyés chez le client final pour le remplissage et la
fermeture de l’emballage par sertissage ou capsulage.

 AVANTAGES

L’ajout de conservateurs artificiels est donc, la plupart du temps, non nécessaire. Le sucre, le sel ou le
vinaigre ne sont pas tant utilisés pour aider à la conservation que pour donner du goût. De plus, avec
l’évolution des méthodes scientifiques, chaque aliment est traité différemment, selon son acidité ou
sa propension à présenter des moisissures par exemple.

De plus, l’un des plus grands avantages de la mise en conserve des aliments, est que celle-ci se fait en
général juste après la récolte, pour les végétaux. Alors que les fruits et les légumes perdent une partie
de leur valeur nutritionnelle avec le temps qui suit leur cueillette, placer ces aliments dans un endroit
hermétique permet d’en garder tout le potentiel nutritif.

C’est pour cela que certains produits en boîte sont en réalité meilleurs pour la santé que ceux qui
sont restés à l’air libre. Cependant, ce n’est évidemment pas le cas pour la totalité des aliments : la
chaleur qui permet de tuer les microbes détruit également certains nutriments, comme la vitamine C
et certaines vitamines B.

 IMPACT SUR LA NUTRITION ET LA SANTE

La plupart des aliments en conserve perdent une partie de leur goût car il semblerait que le
traitement thermique dénature certaines molécules.

Dans certains cas, des additifs sont ajoutés dans les conserves. Ils aideraient à augmenter la valeur
nutritionnelle des aliments tout en préservant leur fraîcheur et leur goût.
Dans la plupart des cas, le processus de mise en conserve fait perdre un grand nombre de
nutriments. Il s’écoule moins de cinq heures entre le moment ou l’aliment est récolté et celui où il est
conditionné. Les perditions varient selon les aliments et les nutriments.

Pour les antioxydants, leur conservation est variable d’un aliment à l’autre, mais il semblerait que le
blanchiment soit responsable d’une partie de leur destruction2 (les betteraves en perdent environ 64
%, les petits pois 46 %, les épinards 32 %, les blettes et les fèves 29 %, les asperges 25 %, les haricots
verts 13 %). Mais les lipides et les fibres restent stables, si bien que la teneur de ces nutriments est
comparable à celle des produits frais.

 IMPACT ENVIRONNEMENTAL

Mais au-delà de sa praticité reconnue, la star de nos placards se révèle être une très bonne élève sur
le plan environnemental : un choix pleinement responsable et adapté à notre époque.

1 - SANS CONSERVATEURS

On se méfie parfois de la composition des conserves, la jugeant trop industrielle… Pourtant, depuis
l’invention du processus de mise en conserve en 1795 par Nicolas Appert, il n’y a pas d’ajout de
conservateur, d’additif chimique ou de colorant ! Une conserverie, petite ou grande, reproduit
simplement ce procédé : chauffer à plus de 100 °C des aliments dans un contenant hermétiquement
fermé.

2 - RESPECT DES SAISONS

Les fruits et les légumes en conserve sont cultivés en plein champ et cueillis à maturité. Un bon point
pour la planète : la conserve permet de manger des fruits et des légumes en toute saison hors saison,
rappelant ainsi l’été dans la cuisine au cœur de l’hiver. La conserve porte une culture alimentaire qui
permet de mettre en valeur les territoires : cassoulet et foie gras du Sud-Ouest, sardines de Bretagne,
fruits du sud de la France…

3 - RECYCLABLE À L’INFINI

Toutes les conserves se jettent après consommation dans le bac de tri sélectif (bac jaune). Elles sont
ensuite conditionnées en balles ou en paquets avant d’être envoyées dans les usines de production
d’acier ou d’aluminium, en France. Elles seront alors refondues, utilisées pour la production d’un
nouveau métal, avant d’être de nouveau transformées en pièces d’automobiles, d’électroménager
ou… en boîtes de conserve. Un cercle vertueux
4 - ÉCONOMIE D’ÉNERGIE

La conservation des boîtes à température ambiante permet de réaliser des économies d’énergie. De
plus, les usines de fabrication des boîtes de conserve et les conserveries sont en général implantées à
proximité des champs, vergers ou ports de pêche, ce qui permet de réduire les coûts de transport et
donc de diminuer l’empreinte écologique des boîtes.

5- ANTI-GASPI

La diversité des formats de boîtes contribue à réduire le gaspillage alimentaire : il suffit de choisir la
taille des boîtes en fonction des quantités nécessaires à la préparation des repas.

 INCONVENIENTS

Les Clostridium botulinum sont des bactéries pathogènes pour l’homme. Elles ne se développent
qu’en l’absence d’oxygène, les aliments sous vide et en conserve sont donc les plus fréquemment
contaminés (très souvent les conserves familiales, végétales, jambons artisanaux, saucisses, poissons
séchés ou fumés...)

Le botulisme est une maladie très rare, avec 0,5 cas par million d’habitants par an en France, mais
elle peut entraîner la mort si elle n’est pas soignée à temps.

Au moindre doute, si le produit présente une couleur différente ou une odeur anormale, surtout si la
boîte de conserve est gonflée, si la conserve ou le bocal n’émet pas de bruit à l’ouverture, il vaut
mieux jeter le produit. Il ne Faut pas en consommer.

En causant des dommages sur la muqueuse gastrique, il favoriserait la transformation cancéreuse des
cellules. De plus, la conservation des aliments par salage (poisson, viandes, etc.…) entraîne la
formation de substances appelées nitrosamines, qui ont un rôle cancérigène.

En règle générale, il faut éviter les températures favorables à la prolifération des bactéries et les
contaminations croisées des aliments contaminés aux aliments sains.

CEREALES DU PETIT DEJEUNER


 DEFINITION DU PRODUIT

Les céréales du petit déjeuner, sont des produits alimentaires généralement consommés au petit
déjeuner. Elles se présentent sous forme de grains ou de flocons et sont principalement composées
de céréales telles que le blé, le maïs, l'avoine, le riz, etc.
L'idée de préparer les céréales pour les consommer au petit déjeuner date de la fin du XIXe siècle aux
Etats-Unis.

Les céréales le plus consomme au monde c’est l’avoine, muesli et aussi comme les céréales sucre
comme corn flakes Cocoa pops foot loups de Kellogg

 DESCRIPTION DU PRODUIT

Ces céréales sont souvent mélangées avec du sucre, des fruits secs, des noix ou d'autres ingrédients
pour ajouter de la saveur et de la texture. Elles offrent une option de petit déjeuner rapide et
pratique, mais il est important de noter que leur teneur en sucre et en nutriments peut varier
considérablement en fonction de la marque et du type de céréales.

 PROCEDE DE FABRICATION

Les procédés de fabrication et de transformation des céréales de petit déjeuner peuvent varier en
fonction du type de céréales utilisées et du produit final souhaité.

 Réception et stockage des matières premières : Les céréales brutes, telles que le blé,
l'avoine, le riz ou le maïs, sont réceptionnées et stockées dans des silos ou des entrepôts.
 Nettoyage : Les céréales sont nettoyées pour éliminer les impuretés telles que les pierres, les
débris végétaux ou les grains endommagés.
 Cuisson extrusion qui dénature la matrice de l’aliment, qui change en effet ses apports dans
l’organisme. Cela implique donc que deux aliments de composition identiques mais avec des
structures différentes n’ont pas les mêmes effets sur la santé. Ce processus implique enfin la
dégradation Our la modification artificielle de leur matrice, ce procédé regroupe en fait 2
étapes :
 Broyage : Les céréales sont broyées pour obtenir des particules de taille uniforme. Cette
étape permet d'améliorer l'efficacité du processus de cuisson ultérieur.
 Cuisson : Les céréales broyées sont mélangées avec de l'eau ou d'autres ingrédients, puis
cuites à haute température. Cela permet de rendre les céréales digestes et leur donne la
texture désirée.
 Formage : Après la cuisson, les céréales sont formées en différentes formes, telles que des
flocons, des pétales ou des boules, en utilisant des machines spéciales.
 Séchage : Les céréales formées sont séchées pour éliminer l'excès d'humidité et prolonger
leur durée de conservation.
 Enrobage et aromatisation : Certaines céréales de petit déjeuner sont enrobées de sucre, de
miel ou d'autres ingrédients pour améliorer leur goût. Des arômes, des colorants ou des
additifs peuvent également être ajoutés à cette étape.
 Conditionnement : Les céréales sont ensuite emballées dans des boîtes, des sachets ou
d'autres contenants appropriés, prêtes pour la vente et la consommation.

La réception et le stockage des matières premières peuvent avoir un impact significatif sur la qualité
et le produit final des céréales pour petit-déjeuner fabriquées à partir de différents grains.

Des pratiques de réception et de stockage appropriées garantissent que les matières premières, telles
que les céréales, sont manipulées de manière à minimiser la contamination et à préserver leur
fraîcheur. Cela permet de préserver la valeur nutritionnelle et la qualité globale des céréales.

 AVANTAGES ET INCONVENIENTS
1- Sur le plan nutritionnel

Inconvénient :

 Consommer une portion de muesli ou de céréales enrobées de caramel n’a bien

Évidemment pas le même impact d’un point de vue nutritionnel. Certaines céréales se rapprochent
plus d’une friandise que d’un aliment équilibré, tant elles sont grasses et sucrées.

 Les différentes familles se distinguent notamment par leur teneur en lipides, en sucres et en
fibres.
 Les céréales fourrées sont les plus grasses et les plus sucrées.

 Avantages
 Il contient principalement les vitamines B1, B2, B3, B9, B6, B12 et le fer.

2- Sur le plan santé

 Inconvénients
 Une étude menée par l’association Générations révèle que les céréales non bios contiennent
en moyenne 9,4 résidus de pesticides (5,4 d’entre eux étant des perturbateurs endocriniens
possibles).
 Avantages
 Les flocons d’avoine étant plus bénéfique pour notre santé avec ses sucres lents et ses
protéines très rassasiantes et les céréales lions pleines de sucre (fort indice glycémique)
pouvant engendrer de l’obésité des maladies cardio-vasculaire, des maladies coronariennes
qui peuvent impacter le microbiote intestinal.

3- Sur le plan environnemental

 Inconvénients :

La monoculture et la surconsommation d’eau sont nécessaires pour la production des céréales et très
néfastes pour l’environnement.

LES COLORANTS

 Aromes artificiels : pour améliorer la saveur pour donner le gout de chocolat, miel
 Conservateurs : pour prolonger la durée de conservation
 Emulsifiants : sont ajoutés pour maintenir la stabilité de l’émulsion dans les céréales riches
en matière grasse
 BHT BUTYLHYDROXYANISOLE : c’est un antioxydant qui aide à maintenir la fraicheur des
graisses et des huiles

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