Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
2 2π 2 4π
Par conséquent, P = (X − 1) X − 2 cos 5 X + 1 X − 2 cos 5 X + 1 .
4. Par conséquent, Q = (X 2 − 2αX + 1) (X 2 − 2βX + 1)
5. En développant, on obtient Q = X 4 − 2(α + β)X 3 + 2(1 + 2αβ)X 2 − 2(α + β)X + 1.Par identification
des coefficients : α + β = − 21 et αβ = − 41 .
6. Donc α et β sont solutions de l’équation
√
(E) : x2√+ 12 x− 14 = 0. Cette équation admet √pour discriminant
∆ = 45 et donc ses solutions sont −1+4 5 et −1−4 5 . Le réel α étant positif, α = −1+4 5 .
Analyse :
On suppose que l’équation (E) admet une solution non nulle que l’on note P .
d
ak X k où (ak )k∈J0,dK ∈ Rd+1 avec ad 6= 0.
X
1. On note d le degré de P et P =
k=0
Le coefficient dominant de (X − 1)P 0 est dad et celui de nP est nad .
Or (X − 1)P 0 = nP , donc dad = nad . De plus ad 6= 0 donc d = n i.e. deg(P ) = n.
2. (a) En évaluant en 1 l’égalité (X − 1)P 0 = nP , on trouve P (1) = 0. Donc 1 est une racine de P .
(b) Montrons par récurrence que pour tout k ∈ N, (X − 1)P (k+1) = (n − k)P (k) .
Comme P vérifie (X − 1)P 0 = nP , la propriété est vraie pour k = 0.
Soit k ∈ N, supposons que (X − 1)P (k+1) = (n − k)P (k) . En dérivant, on trouve :
(X − 1)P (k+2) + P (k+1) = (n − k)P (k+1) i.e. (X − 1)P (k+2) = (n − (k + 1))P (k+1)
La récurrence est établie. Conclusion : ∀k ∈ N, (X − 1)P (k+1) = (n − k)P (k) .
(c) D’après la question précédente, pour tout k ∈ N, (n − k)P (k) (1) = 0.
Donc, pour tout k ∈ J0, n − 1K, P (k) (1) = 0. De plus, P (n) (1) = n!an 6= 0.
Conclusion : 1 est racine de P de multiplicité n.
3. P est un polynôme de degré n et on a trouvé n racines comptées avec multiplicité, d’où P est scindé.
Plus précisément, il existe λ ∈ R∗ tel que P = λ(X − 1)n .
Synthèse et conclusion :
4. Pour P = λ(X − 1)n avec λ ∈ R∗ , on a (X − 1)P 0 = nλ(X − 1)n = nP .
Conclusion l’ensemble des solutions du problème est {λ(X − 1)n , λ ∈ R}.
g 0 (x) = −x sin(x) 6 0 .
1
|un+1 − c| 6 |un − c|
2
1
(c) D’où, pour tout n ∈ N, |un − c| 6 |u0 − c|, et donc lim |un − c| = 0.
2n n→+∞
On a montré que (un ) converge vers c.
c 1 1
(d) Pour tout n ∈ N, |un − c| 6 n 6 n . On choisit donc n tel que n 6 10−3 i.e. n > log2 (103 ).
2 2 2
(e) La fonction f est décroissante sur [0, 1] donc f ◦ f est croissante sur [0, 1]. On en déduit que
(u2n )n∈N et (u2n+1 )n∈N sont monotones et de sens de monotonie inverse. Or u2 > u0 = 0, donc
(u2n )n∈N est croissante et (u2n+1 )n∈N est décroissante. La suite (un ) converge vers c, donc les
sous-suites (u2n ) et (u2n+1 ) converge également vers c. On en déduit alors que les suites (u2n )n∈N
et (u2n+1 )n∈N sont adjacentes. Donc, pour tout n ∈ N,
u0 6 u2n 6 c 6 u2n+1 6 u1 .
def erreur ( e ) :
u=0
v=f ( 0 )
w h i l e abs ( u−v)>e :
u=v
v=f ( v )
return u