Livre Complet 1

UNIQ PREFAC Juillet 2017
CONNAISSANCES GENERALES
Géographie d’Haïti
L’ile d’Haïti est située dans les grandes Antilles Le massif de la Selle a 2 versants : le versant Nord
entre Cuba (111 000 km2) au Nord-Ouest, la et le versant Sud. Le versant Nord comprend : le
Jamaïque (11 425 km2) au Sud-Est et Porto-Rico morne La Selle qui culmine à 2680m, le morne
à l’Est. L’ile d’Haïti a une superficie de 76 150 des enfants perdus, la montagne noire et le morne
km2. Elle est séparée en deux : la République l’Hôpital. Le versant Sud comprend : le morne
d’Haïti à l’ouest avec une superficie 27 750 km2 des commissaires, le morne Bois-Pins, le morne
et la République Dominicaine à l’Est avec une l’Enfer, le Coq chante et les montagnes de
superficie de 48 000 km2. Jacmel.
La République d’Haïti est bornée au Nord par Le massif de la Hotte comprend : Le Macaya
l’océan Atlantique, au sud par la mer des (2405m), le Bonnet carre, le morne Tête-Bœuf.
Caraïbes, à l’est par la République Dominicaine
et à l’ouest par le Golfe de la Gonâve. Elle est Iles adjacentes d’Haïti :
subdivisée en 10 départements, 42 1. Ile de la Gonâve (Ouest) avec 743 km2
arrondissements, 140 communes et 570 sections 2. Ile de la Tortue (Nord-Ouest) avec 190
communales.
km2
Le relief d’Haïti est constitué de 2 grands 3. Les iles Cayemites (Grand-Anse) avec
systèmes de montagne : Le système du Nord et le 55 km2
système du Sud. Ces deux systèmes sont séparés 4. La Navase avec 53 km2
par la plaine du Cul de Sac. 5. L’ile à Vache(Sud) avec 49 km2
6. La grosse Caye(Sud)
Le système montagneux du sud comporte 2
grands massifs : le massif de la Selle et le massif
de la Hotte.
Sites touristiques d’Haïti
+Sites touristiques Regions Department
Forts Jacques et Alexandre Kenscoff
Trou Diable, Les Grottes de

La Gonâve
Simbi, trou Chapel, Ti moyen
Ouest
Station terrienne Sabourin Cabaret
Grotte Etna, Fort Drouet Arcahaie
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Sources puantes Croix des Bouquets
Citadelle Laferriere, Palais sans-

Milot
souci
Bassin Waka Port-Margot

Nord
Grotte Marie-Antoine, la voute-
Dondon
a-Minguet
La grotte et la chute de Yacuba Plaisance
Grotte trou BonDieu Port-de-Paix

Nord-Ouest
Grotte Baladay ,Fort des Trois-
Chansolme
Pavillon
Saut Mathurine, plage Gelee, La
Les Cayes
Forteresse des Platons
Grotte des Counoubois Camp-Perrin
Grotte Marie-Jeanne Port-a-Piment

Sud
Grotte Table au diable Roche a Bateau
Fort les anglais, Fort Ilet, Pic

Les Anglais
Macaya, le Musee du Paysan
Lieu de naissance de Boironds
Torbeck
Tonnerre
Grotte Pyramidale de Thomonde Thomonde
Les Roches Tempees Indiennes,

Cerca-Carvajal Centre
Bassin Zim
Fort Anglais Mirebalais
Grand-Anse
Fort Marfranc Jeremie
Paradis des Indiens Abricots
Lieu de naissance du général

Habitation Latiboliere
Alexandre Dumas
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Fort Jean Jacques Accau, Grotte

Anse-à-Veau
du deboire, le Saut du baril
Nippes
Fort Kalafet Petit-trou de Nippes
Fort de la Crête-a-Pierrot, Palais

Petite riviere de l’Artibonite
aux 365 portes
Artibonite
Voute jean Zinga Marchand Dessalines
Fort Oge, Le Manoir Alexandre Jacmel

Sud-Est
Les Trois grottes Indiennes Grand-Gosier
Fort Saint Joseph ou fort

Fort-Liberté
Dauphin
Nord-Est
Chute d’eau de Dimicalain Perches
 Autres informations utiles :

- Les 2 plus hauts sommets de la République d’Haïti sont le morne La Selle 2680m et le pic
Macaya 2400m.
- Le plus haut sommet de l’ile d’Haïti est le Pico Duarte avec 3175m.
- Le canal du vent sépare Haïti de Cuba.
- Le canal de la Mona sépare Haïti de la Porto-Rico.
- La grotte Marie-Jeanne est la plus grande grotte des caraïbes et se situe à Port-a-Piment (Sud,
Haïti).
- Les nouvelles communes d’Haïti sont :
a. Liancourt(Artibonite) à partir du décret du 22 juillet 2015
b. Marfranc (Grand-Anse)
c. La pointe (Nord-Ouest)
- L’aéroport François Duvalier (aujourd’hui Aéroport National Toussaint Louverture ou Mais-
gâté) est inauguré le 22 janvier 1964.
- L’ancienne cathédrale de Port-au-Prince a été inaugurée le 20 décembre 1914.
- La TNH a été inaugurée le 23 décembre 1983.
- Les archives nationales ont été inaugurées le 20 aout 1860 sous Fabre GEFFRARD.
- L’ONA a été inaugurée le 28 aout 1967.
- La Bibliothèque Nationale a été inauguré en 1940.
- L’INAGHEI a été fondé en 1958.
- La BRH a été créée le 17 aout 1979.
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 Routes Nationales d’Haïti
Route Nationale #1 : Elle relie Port-au-Prince au Cap-Haitien en passant par croix des Missions, Bon
repos, Montrouis, Saint-Marc, Pont-sonde, Petite Rivière de l’Artibonite, Gonaïves, Ennery, Plaisance,
Limbe
Route Nationale#2 : Elle relie Port-au-Prince au Cayes en passant par carrefour, Gressier, Léogâne, Petit-
Goâve, Grand-Goâve, Aquin, Saint Louis du Sud, cavaillon
Route Nationale #3 : Elle relie Port-au-Prince au Cap-Haitien en passant par Mirebalais, Thomonde,
Hinche, Saint-Raphaël, Dondon, Pignon.
Actualités
 Qui est Mohammed ou Mohamed Ali ? R- 24 pays. Le Portugal de Christian l’a

R- C’est un boxeur américain né Cassius remporté grâce à un but d’Eder après
Marcellus Clay Jr., le 17 janvier 1942 à prolongation
Louisville dans le Kentucky. Il est  Quel club a remporté la ligue des
considéré comme le meilleur boxeur de Champions de 2016-2017 ? Qui a été le
tous les temps. Il est mort le 3 juin 2016 meilleur buteur ?
à Scott tale en Arizona.
 Pourquoi la Copa America de 2016 était R- Le Real Madrid pour la 12e fois. Le
surnomme Copa America Centenario ? meilleur buteur est Christian Ronaldo
R- Parce que la Copa America a été avec 12 réalisations
organisée pour la première fois en 1916  C’est quoi le Brexit ?
et 2016 représentait sa 100e anniversaire R- Le Brexit est une abréviation de
 Quel pays organisait la Copa America « British Exit » qui évoque une
centenaire ? éventuelle sortie du Royaume-Uni de
R- Les Etats-Unis l’Union Européenne. Le referendum
 Combien de Pays ont participé à la Copa pour la Brait a eu lieu le 23 juin 2016
America Centenario ? Quel pays l’a  Combien de pays contient l’union
remporté ? Européenne ?
R- 16 équipes. C’est le Chili qui l’a R- 28 pays
remporté face à l’Argentine.  Quand a eu lieu les attentats de France
 Ou a été organisée la coupe d’Europe de faisant environ 120 morts ?
2016 ? R- le 13 novembre 2015 à Paris
R- La France  Quand a eu les attentats de Bruxelles ?
 Combien de Pays ont participé à la R- Le 22 mars 2016 dans un aéroport et
Coupe d’Europe de 2016 ? Quel pays l’a une station Metro faisant 31 morts et 270
remporté ? blesses.
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 Quand a eu lieu les attentats de R- Samoura Fatma (Sénégalaise)

Manchester ?  Qui est l’actuel président de
R- le 22 mai 2017 causant 23 morts et l’Argentine ?
116 blesses Mauricio Macri
 Qui a été l’invite d’Honneur de Livres en  Qui est l’actuel de la République
Folie 2016 ? Dominicaine ?
R- Marie Vieux Chauvet Danilo Medina
 Quelles est la date de décès du célèbre  Ou se déroule la coupe des
footballeur Johann Ruff ? confédérations 2017 ? Combien
R- Le 24 mars 2016 d’équipes y participent ?
 Quand et par qui Jocelerme Privert devint En Russie, 8 équipes y participent.
président provisoire d’Haïti ? Quand est mort René Préval ?
R- le 14 mai 2016 par le parlement R- 3 mars 2017
Haïtien Quand est mort Turneb Delpe ?
R- 27 mai 2017
 Qui était nommé premier ministre sous le Quand est mort Fidel Castro ?
règne de Priver ? R- 25 novembre 2016
R- Enem Jean Charles
 Comment s’appelle l’actuel président de
la FIFA ?
R-Gianni Infanto (Italien)
 Quelle est la première femme à être
secrétaire Générale de la FIFA ?
 Liste de Quelques guerres

 Guerre de cent ans, entre la France et l’Angleterre (1337- 1453)
 Guerre de trente ans, entre protestant et Catholiques (1618- 1648). Cette guerre a pris fin
par le traite de Westphalie
 Guerre de Vendée (1793- 1801)
 Guerre de Crimée : entre la Russie et la Grande-Bretagne entre 1845 et 1855 conclut par le
traite de Paris en 1856.
 Guerre fraiche : entre USA et URSS (1975- 1985)
 Guerre froide : guerre idéologique et politique de 1947 à 1967 entre USA et URSS.
 Grande guerre : 1e guerre mondiale
 Guerre Eclair : 2e guerre mondiale
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Lieux importants
 Tibet : plus haut plateau du monde se situant sur les plus hautes montagnes du monde dans
l’Himalaya
 Jérusalem : ville sainte des chrétiens
 La Mecque : ville sainte des musulmans en Arabie Saoudite
 La Basilique Saint-Pierre : en Vatican
 La statue de Zeus : en Grèce
 Place de la révolution : à Cuba
 Punta Cana : Repu. Dominicaine
 Statue de la Liberté et Manhattan : New York
Ce qu’il faut bien savoir pour bien aborder le concours :
1. Prix Oscar 2016 : Leonardo di Caprio 14. Mars est surnomme la planète rouge
pour son film « Le revenant » 15. La planète la plus proche du soleil est
2. La charte de l’ONU est signée le 26 juin Mercure et la plus éloignée est Pluton
1945 à San Francisco 16. Le plus gros animal de la planète est : La
3. L’Abeille Haïtienne est la première baleine bleue
revue littéraire haïtienne 17. La première puissance économique
4. La Russie est le premier pays à avoir mondiale est la Chine.
reconnu l’indépendance d’Haïti 18. Le premier pays producteur de pétrole
5. Mgr. Remy Augustin est le premier est la Russie
évêque haïtien. Il a été nommé par 19. Le premier pays producteur de l’étain
Magloire est l’Australie
6. Jean Pierre Boyer fut surnomme le 20. Le premier pays producteur de l’acier
Pacificateur de la Grand-Anse est la Hollande
7. La Belgique est le pays qui a la même 21. Le centre de la NASA se trouve à
devise qu’Haïti Houston, Texas
8. La plus petite république du monde est 22. Le 44e président des Etats-Unis est
Nora Barack Obama ne le 4 aout 1961 à
9. Le nouvelliste a été fonde le 1er mai Honolulu en Hawaii. Il a reçu le prix
1898 Nobel de la paix en 2009.
10. Les deux filles de Barack Obama sont : 23. La capitale du cinéma est Hollywood
Sasha et Malia (Los Angeles)
11. Le pétrole est une roche liquide 24. La capitale du casino est Las Vegas
autrefois surnommée « l’or noir »
12. Les premiers noirs sont arrivés en Haïti 25. La ville du coca cola est Atlanta en
en 1503 Géorgie
13. Faustin Soulouque fut surnomme le 26. La ville de naissance du Jazz est
« Bonhomme coachi » Nouvelle-Orléans
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27. La devise des Etats-Unis est « In God we 43. Le père de la sociologie : Auguste
trust » Comte
28. L’hymne national des Etats-Unis est 44. Le père de la paléontologie : Georges
« Star-spangled banner » Cuvier
29. Les premiers esclaves noirs sont arrivés 45. Le père de l’Histoire : Hérodote
aux Etats-Unis dans l’état de Virginie 46. Le fondateur du bureau d’Ethnologie :
30. Les sièges officiels de la TPI et la CIJ se Jean Price Mars
trouvent à La Haye au Pays-Bas. 47. Le fondateur de l’ethnologie : Frantz
31. Le siège officiel de la FMI se trouve à Boas
Washington D.C. 48. Le premier président des Etats-Unis à
32. Le premier noir à siéger à l’académie visiter Haïti est : Franklin Delanoë
française est le poète, écrivain et premier Roosevelt
président sénégalais Léopold Sedar 49. Le premier chef d’état de la république
Senghor populaire de Chine est Mao Tse Toung
33. Le prix Nobel de la paix de 1984 a été 50. Le pays à avoir fait 2 grandes révolutions
décerné à Desmond Tutu. Kofi Annan dans une même année est la Russie en
l’a reçu en 2001 et Martin Luther King 1917
l’a reçu en 1964 51. Les 2 pays qui s’affrontaient pendant la
34. Le premier noir à recevoir l’oscar du guerre des Malouines sont l’Argentine
meilleur acteur est Sydney Poitier et l’Angleterre
35. Aimé Césaire est de nationalité 52. Le canal de suez fait communiquer deux
Martiniquaise et est mort le 13 avril mers : La Méditerranée et la mer
2008 Rouge
36. Les habitants de Rio de Janeiro sont 53. La date de début de la première guerre
appelés les Cariocas mondiale : le 28 juillet 1914.
37. Les habitants de Manchester sont appelés 54. La date de début de la seconde guerre
les mancuniens ; les habitants de mondiale : le 1er septembre 1939.
Chypre, les Chypriotes ; les habitants de 55. La cause principale de la 1ere guerre
Madagascar, les malgaches et ceux de mondiale : Assassinat de François
Monaco, les monégasques. Ferdinand, héritier du trône d’Autriche-
38. Le premier athlète noir américain Hongrie.
considère comme le premier sportif noir 56. Lors de la 1e guerre mondiale : La triple
de renommée internationale : James entente était composée d’Angleterre,
Cleveland Owens appelé aussi Jesse France et Russie tandis que la triple
Owens. alliance ou triplice était composée de
39. Le premier pays d’Afrique noir à l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie et
accéder à l’indépendance est le Ghana l’Italie.
en 1927
57. Lors de la 2e guerre mondiale : les pays
40. Le père de la psychanalyse : Sigmund de l’Axe sont : Allemagne, Italie,
Freud Roumanie, Japon et Bulgarie et les
41. Le père de l’existentialisme : Jean Paul pays allies : France, Angleterre, URSS
Sartre et les USA
42. Le père de la médecine : Hypocrite
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58. Le plus grand producteur mondial de 78. Les alpes se trouvent en Europe et le plus
l’Argent : est le Mexique haut sommet de cette chaine de montagne
59. Les 2 pays enclaves de l’Amérique du est le mont Blanc
Sud sont : La Bolivie et le Paraguay 79. La langue officielle de l’Egypte est
60. Le mur de Berlin a été écroule le 9 l’Arabe
novembre 1989 80. Les habitants de Hambourg sont les
61. Le père-fondateur de la Croix-Rouge est hambourgeois(es)
Henri Dunant, un Suisse 81. La maison Blanche se trouve aux Etats-
62. Le plus vaste et le plus riche des pays Unis
scandinaves est la Suède 82. La tour Eiffel se trouve en France
63. Le père fondateur de l’URSS est 83. Le palais des 365 portes se trouve en
Vladimir Ilitch Oulianov dit Lénine Haïti
64. Le pays qui porte le nom de « pays du 84. La tour de Pise se trouve en Italie
soleil levant » est Japon 85. La statue de la liberté se trouve aux
65. Les 2 pays de la vallée du Nil sont le Etats-Unis
Soudan et l’Egypte 86. La basilique Saint-pierre se trouve en
66. L’arbre le plus haut au monde est le Italie
Sequoia 87. Le Sphinx se trouve en Egypte
67. La plus grande Etoile est Beltegeuse 88. Le Louvre se trouve en France
68. Le nom complet d’Alexandre Pétion est 89. Le Canada est le 2e plus grand pays au
Alexandre Sabes Pétion. monde après la Russie avant la Chine et
69. Les 2 pays africains qui n’ont jamais été les Etats-Unis
colonises sont l’Ethiopie et la Libye 90. Le pays du Soleil couchant est « La
70. Le plus grand foret du monde est la forêt Norvège »
Amazonienne 91. Quelle feuille d’arbre est figurée sur le
71. L’indépendance des Etats-Unis fut drapeau canadien ? R- La feuille
proclamée le 4 juillet 1776 par Thomas d’érable
Jefferson 92. Quel est le plus grand des océans ? R-
72. L’Hymne national des Etats-Unis a été l’océan pacifique
écrit par Francis Scott Key en 93. Quelle ligne imaginaire sépare le monde
septembre 1813. en deux hémisphères ? R-
73. Le plus grand canal au monde est le L’équateur
Canal de Panama 94. Quel animal est l’emblème du Canada ?
74. Le plus vaste des 5 continents est l’Asie R- le castor
75. Garry Victor est le bénéficiaire des 95. Quelle est la devise du Canada ? R- D’un
livres récipiendaires de la bourse océan à l’autre
Barbancourt 2015 d’un roman titre : « le 96. Quelle est la capitale du Canada ? R-
sang et la mer » Ottawa
76. Le plus grand pays en termes de
superficie est la Russie 97. Quelle est la particularité de la tour de
77. Le plus haut sommet du monde est le Pise ? R- Elle est penchée
mont Everest au Népal 98. Quel est le plus grand désert du monde ?
r- le Sahara
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99. Dans quel pays coule le fleuve « la 118. Qui a découvert l’Amérique en 1492 ? R-
Tamise » ? R- Angleterre Christophe Colomb
100. Dans quel état américain se trouve la ville 119. Quel est le plus long fleuve de
de Miami ? R- Floride l’Amérique du Nord ? R- Le Mississipi
101. Comment s’appelle les indiens 120. Quelle est la principale culture agricole
d’Amérique ? R- les Amérindiens de la Chine ? R- le riz
102. Quel pays est réputé au monde pour la 121. Quelle est la plus petite province du
qualité de ses montres ? R- La Suisse Canada ? R- L’Ile-du-Prince-Edouard
103. De quel empire Jules César était-il 122. Où est situé l’océan Arctique ? R- Au
empereur ? R- de l’empire Romain pôle Nord
104. Ou se trouvent les 3 plus grandes 123. Comment s’appelle l’actuel et plus jeune
pyramides du monde ? R- En Egypte premier ministre du Canada ? R- Justin
105. Qui a découvert le Canada ? R- Jacques Trudeau
Cartier. 124. Dans quel pays se trouve le grand
106. Quel pays était autrefois gouverne par les Canyon ? R- Aux Etats-Unis
tsars ? R-La Russie 125. Quelle ville fut surnommée la ville
107. Qui fut le premier président des USA ? Lumière ? R- Paris
R- Georges Washington 126. Quel océan sépare l’Europe de
108. Quel est le plus grand pays de l’Amérique du Nord ? R- l’océan Atlantique
l’Amérique du Sud ? R- le Brésil 127. Quel est le pays le plus peuple du
109. A quelle date fête-t-on la fête du monde ? R- La Chine
Canada ? R- Le 1er Juillet 128. Quel évènement se déroule chaque année
110. Quelle chaine de montagnes retrouve-t- à Rio ? R- Le carnaval de Rio de Janeiro
on dans l’Ouest du Canada ? R- Les Rocheuses 129. Dans quel océan se trouve l’Ile de
111. Quel pays s’appelait autrefois le Siam ? Madagascar ? R- L’océan Indien
R- la Thaïlande 130. Quel pays s’appelait autrefois la Perse ?
112. Dans quelle région du Québec trouve t’on R- L’Iran
le fameux rocher perce ? R- En Gaspésie 131. Quel pays vendit la Louisiane aux Etats-
113. Quel était le nom de la femme du prince Unis ? R- La France
Charles ? R-Lady Diana 132. Comment s’appellent les habitants de
114. Dans quelle ville se trouve la tour CN ? Trois-Rivières ? R- Trifluviens
R- Toronto 133. A combien de degrés, l’eau bout-elle ? R-
115. Qui fonda la ville de Québec ? R-Samuel 100 degrés Celsius
de Champlain 134. Quelle est la température de la glace ? R-
116. Quel est le pays au monde réputé pour ses 0 degré Celsius
kangourous ? R- Australie 135. Ou se trouve le Big Ben ? R- En
117. Sur quel état le pape règne-t-il ? R- Le Angleterre
Vatican
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BON A SAVOIR
 Le plus vaste pays au monde : Russie 

Le plus grand lac des Caraïbes : le lac

La plus grande ile du Monde : Australie Enriquillo

7, 686,884 km2 Le plus haut sommet de la république

Le lac le plus profond : Le lac Baïkal d’Haïti : Le pic La Selle
1620 Km 
Le plus grand département d’Haïti :

Le plus grand fleuve du monde : L’Artibonite
l’Amazone 
La plus grande ile d’Haïti : La Gonâve
 
Le plus haut sommet du monde : le Le plus grand producteur de viande :
Mont Everest Argentine
 
Le plus long fleuve du monde : Le Nil Le plus grand producteur de vin :

Le plus grand désert du monde : Le France
Sahara 5000 Km2 
Le plus grand producteur d’or : La

Le plus long tunnel du monde : Seikan Chine

La plus grande péninsule du monde : La 
Le plus grand producteur d’argent :
péninsule Arabique 3, 250,000km2 Mexique
 
Le plus grand port du monde : Le plus grand producteur de cacao :
Rotterdam Cote d’Ivoire

La mer la plus salée du monde : La mer 
Le plus ancien état de l’Europe : Saint-
morte Marin
 
Le plus gros des mammifères : La La plus ancienne capitale : Damas
baleine bleue 
La plus grande ville d’Asie : Tokyo

Le plus gros des oiseaux : Autruche 
La plus grande ville d’Amérique du

Le plus haut sommet du monde : Le Nord : Mexico
mont Everest 
La plus grande ville d’Amérique du

Le plus grand foret du monde : Sud : Sao Paulo
l’Amazonie  La plus grande ville d’Afrique : Le
Caire
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Grands personnages ayant marqué l’Histoire
Louis XIV Fidel Castro

Roi de France surnomme le roi Soleil. Fidel Castro Ruz Alejandro, né le 13 aout
Son règne dure 72 ans. Il agrandit le 1926, révolutionnaire cubain, président à
territoire de la France et sa puissance en Cuba de 1976 à 2008. En 2008, il délègue
Europe. Il a concentré tous les pouvoirs le pouvoir a son frère Raul Castro
entre ses mains et il se fait construire le
château de Versailles. Augusto Pinochet
Augusto Pinochet Ramon Ugarte. Il était
Mozart général de l’armée chilienne de 1973 à
Compositeur autrichien. Il est considéré 1990. Il a renversé le dictateur Salvador
comme l’un des plus grands Allende
compositeurs de la musique classique et
est considéré comme le père de la Albert Einstein
symphonie Il est né le 14 mars 1879 et est mort le 18
avril 1955. Physicien, lauréat du prix
Gandhi Nobel de la physique en 1921. Auteur des
De son nom complet, Mohandas Karam théories de la relativité Restreinte en
chand Gandhi appelé le Mahatma qui 1905 et de la relativité générale en 1916
signifie grande âme, Gandhi est né le 2
octobre 1869. Il était un religieux, chef de Martin Luther King Jr.
file du mouvement de l’indépendance de Né à Atlanta le 15 janvier 1929. Le 14
l’Inde en 1947. Il est assassiné à New le octobre 1969, il a reçu le prix Nobel de la
30 octobre 1948 par Nathuram Godse. paix. En 1964, il a été désigné l’homme
de l’année. Il fut assassiné le 4 avril 1968
Che Guevara à Memphis.
De son vrai nom Ernesto Guevara, le Che
est né le 14 juin 1938 en argentine et est
mort le 9 octobre 1967 en Bolivie après 2 Pablo Picasso
ans de Guérilla en compagnie de Fidel Peintre, dessinateur et sculpteur
Castro à Cuba comme commandant, il espagnol. Il fut l’un des plus célèbres
renversa le dictateur Fulgencio Baptista artistes du 20e siècle. Il créa le cubisme.
en 1959. Ses œuvres les plus connues sont : Les
demoiselles d’Avignon, Guernica,
Nelson Mandela Autoportrait.
Son nom complet est Nelson Rolihlala
MANDELA. Il est né à Transkei le 8 Leonard de Vinci
juillet 1918 et est mort le 5 décembre Scientifique, Inventeur, peintre,
2013 sculpteur et savant. Il est l’une des
personnages mythiques de la
Renaissance. Il fait des croquis de sous-
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marin, d’hélicoptère. Son tableau le plus Molière

célèbre est : La Joconde Aime Césaire De son vrai nom Jean baptiste Poquelin.
Homme politique Martiniquaise et Il était un auteur, metteur en scène et
écrivain. Son vrai nom est Aime Fernand acteur de théâtre français.
David Césaire.
Youri Alekseivitch Gagarine : Premier Homme à voyager dans l’espace, le 12 avril 1961
Neil Armstrong : Premier Homme à marcher sur la lune le 20 juillet 1969
Valentina Terechkova : Première femme à voyager dans l’espace, le 16 juin 1963
Alexeï Leonov : Premier Homme à marcher dans l’espace
Mohamet : Prophète et fondateur de l’Islam
Joseph Smith : Fondateur de la secte des Mormons
Charles Taze Russel : Fondateur des témoins de Jéhovah.
Sigles à connaitre
APENA : Agence Pénitencier National UDMO : Unité Départementale pour le

Maintien de l’Ordre
BIM : Brigade d’intervention Motorise
UNPOL : Police des Nations Unies
BOID : Brigade d’Opération et
d’Intervention Départementale FBI : Federal Bureau of Investigation
BRI : Brigade de Recherche et SDPJ : Service Départemental de la Police

d’Intervention Judiciaire
CSPN : Cour Supérieure de la Police AEC : Association des Etats de la Caraïbe

Nationale
ALENA : Accord de Libre Échange Nord-
CIMO : Corps d’Intervention et du Américain
Maintien de l’ordre
BID : Banque Interaméricaine de
DCPJ : Direction Centrale de la Police Développement
Judiciaire
CEPAL : Commission Economique pour
DCPR : Direction Centrale de la Police l’Amérique Latine
Routière
CNUCED : Conférence des Nations-Unies
INTERPOL: International Criminal Police pour le Commerce et le Développement
Organisation
CPA : Cour Permanente d’Arbitrage
SWATT: Special Weapon and Tactics
FAO : Fonds des Nations-Unies pour
USGPN : Unité de Sécurité de la Garde du l’Agriculture et l’Alimentation
Palais National
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OCDE : Organisation de Coopération et de OMS : Organisation Mondiale de la Sante

Développement Economique
OMT : Organisation Mondiale du Tourisme
OEA : Organisation des Etats Américains
ONUDI : Organisation des Nations-Unies
UNESCO : Organisation des Nations-Unies pour le Développement Industriel
pour l’Education, la Science et la Culture
OTAN : Organisation du Traite Atlantique
UNICEF : Fonds des Nations-Unies pour
l’Enfance PNUD : Programme des Nations-Unies pour
le Développement
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Littérature Haïtienne
Les périodes de la littérature haïtienne :
1- La période pionnière (1804-1836)

Antoine Dupré, Juste Chanlatte, Jules Solimes Milscent, Baron de Vastey.
2- L’école ou Cénacle des frères Nau ou le début du romantisme haïtien (1836-1860)

Emile Nau, Ignace Nau, Eugene Nau, Beaubrun Ardouin, Coriolan Ardouin, Celigny Ardouin,
Liauthaud Etheard, Pierre Faubert.
3- L’école patriotique ou épanouissement du romantisme haïtien (1860-1898)

Antenor Firmin, Demesvar Delorme, Louis Joseph Janvier, Emeric Bergeau, Oswald Durand,
Massillon Coicou, Tertulien Guilbaud, Alcibiade Fleury Batier, Isnadin Vieux, Solon Menos, Paul
Lochard, Hannibal Price.
4- Génération de la Ronde (1898-1915)

Justin Lhérisson, Georges Sylvain, Etzer Vilaire, Charles Moravia, Fernand Hibbert, Antoine
Innocent, Edmond Laforest.
5- L’école indigéniste haïtien (1915-1957)

François Duvalier, Jacques Roumain, Jacques Stephen Alexis, Jean Price Mars, Roussan Camille,
Carl Brouard, René Depestre, Emile Roumer.
6- L’époque contemporaine (1957- à nos jours)
Les auteurs et œuvres littéraires dans la Littérature Haïtienne
Anatole France Les dieux ont soif
Antoine Innocent Mimola ou l’histoire d’une cassette
Antoine Dupré L’hymne à la liberté

Antenor Firmin De l’égalité des races humaines
Bernard Diedrich Papa doc et les tontons macoutes, Trujillo
Bob Néré Duvalier, le pouvoir de père en fils
Damoclès Vieux Les dernières floraisons, l’aile captive

Dany Laferrière Comment faire l’amour a un nègre sans se fatiguer ?
Cette grenade dans la main du jeune nègre est-elle un
fruit ou une arme ? le gout des jeunes filles
Demesvar Delorme Francesca Et Le Damne, Les Théoriciens Au Pouvoir,

Souvenir
Dominique Hyppolite Derniers vœux
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Page 14
Edriss Saint Armand Bondye ri
Edmond Laforest Berceuse, sonnet et médaillon
Elie Lescot Avant l’oubli

Emeric Bergeaud Stella
Emile Roumer Poème d’Haïti et de France, Marabout de mon cœur, fok
se li
Emmanuel Lamothe Le Vieux Port-Au-Prince
Ernst Bernadin L’espace rural haïtien

Etzer Vilaire 10 hommes noirs, les années tendres
Eugene A. Nida Coutumes et Cultures
Franck Etienne Pelen tèt, anthologie secrète, dezafi, Bobo masouri, mur
à crever, Fleurs d’insomnies, Chevaux de l’avant jour,
Erochimeres
Fernand Hibbert Sena, les simulacres, Masques et visages, Romulus, Le

manuscrit de mon ami, Thazar
Fréderic Marcelin La vengeance de Mama, Themistocle Epaminondas
Labasterre, Marilisse
Felix Morisseau Leroy Dyakou, Récolte
Fritz Deshommes La vie chère

Georges Corvington Port-au-Prince au cours des ans
Gary Victor Le diable dans un thé de Citronelle, A l’angle des rues

parallèles, Soro, Histoires entendues ou vécues dans un
tap-tap
Georges Anglade L’espace haïtien
Georges Castera Blengendeng bleng, Ratures d’un miroir, A wod pote,

ala rive lezanfan, Konbelann, sodo
Gustave Flaubert L’éducation sentimentale
Jacques Roumain Le gouverneur de la rosée, Montagne ensorcelée, les
fantoches
Jacques Stephen Alexis Compère général soleil, espace d’un cillement,
Romancero aux Etoiles
Jean Bertrand Aristide Tout homme est un homme, les yeux du cœur, shalom
2004, Investir dans l’humain, Dignité
Jean Fouchard Les marrons de la liberté, Les
Marrons du syllabaire
Jean Price Mars Vocation de l’élite, Ainsi parla l’oncle, de Saint-
Domingue à Haïti
Jules Solimes Milscent Le serpent et l’homme, le rossignol et l’hirondelle
Juste Chanlatte Ode à l’indépendance, cri de la nature
Laennec Hurbon Dieu dans le vodou haïtien, les mystères du vaudou
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Page 15
Léon Laleau Le choc, le tremplin, une cause sans effet
Lyonel Trouillot Yanvalou pour Charlie, les fous de Saint-Antoine,

Bicentenaire
Louis Joseph Janvier L’Egalite des races
Maurice Sixto Léa cocoye
Massillon Coicou Vertieres, passion

Michel Soukar L’homme au nom de sept poussieres,16 ans de lutte
pour un pays
Patrick Chamoiseau Texaco
Prosper Avril Vérités et révélations, Haïti, le noir de l’insécurité
Himler Rebu L’art de rester en forme, les assassins de l’espoir
Paul Moral Le paysan haïtien, système et crise
Osner H. Fevry Le manifeste d’un mandarin
Oswald Durand Choucoune, Rires et pleurs
Pradel Pompilus Les seins nus qu’on arrache au soleil étaient venus avec
la pluie
Raoul Altidor Koule midi
René Depestre Gerbes de sang, Alléluia pour une femme jardin,

Adriana dans tous mes rêves, étincelles, mât de cocagne
Roger Dorsainvil Gens de Dakar, l’Afrique des rois
Rassoul Labuchin Anita, 3 kolye maldyok
Roussan Camille Assaut a la nuit

René Philoctete Caraïbes, peuple des terres mêlées
Robert Malval L’année de toutes les duperies

Roger Gaillard Les blancs débarquent, la république exterminatrice
Syto Cave Kavalye polka, bra koupe, point final
Tertulien Guilbaud Feuille au vent, le condor

Theodore Banville Mes souvenirs
Theodore Beaubrun Rasin libete, c’est moi qu’elle aime
Eddy Arnold Jean Les idées politiques haïtiennes
Venus Darius Kalifouchon

Youri Latortue Police nationale et démocratie
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SUITES
Définition 1
• Une suite est une application u : N→R.
• Pour n ∈ ℕ, on note u(n) par un et on l’appelle n-ième terme ou terme général de la suite.
La suite est notée u, ou plus souvent (un) n ∈ ℕ ou simplement (un). Il arrive fréquemment que l’on considère
des suites définies à partir d’un certain entier naturel n0 plus grand que 0, on note alors (un) n > n0.
Suite Majorée, Minorée, Bornée.
Définition 2
Soit (un) n ∈ ℕ une suite.
• (un) n ∈ ℕ est majorée si ∃ M ∈ R, Vn ∈ N un ≤ M.
• (un) n ∈ ℕ est minorée si ∃ m ∈ R, Vn ∈ N un > m.
• (un) n ∈ ℕ est bornée si elle est majorée et minorée, ce qui revient à dire :
∃ M ∈ R Ṿn ∈ ℕ | un ≤ M.
Suite Croissante, Décroissante
Définition 3.
• (un)n ∈ ℕ est croissante si Vn , n ∈ ℕ un+1 > un
• (un) n ∈ ℕ est strictement croissante si n ∈ ℕ un+1 > un
• (un) n Є N est décroissante si Vn ∈ ℕ un+1 V un.
• (un) n ∈ ℕ est strictement décroissante si Vn ∈ ℕ un+1 < un
• (un) n ∈ ℕ est monotone si elle est croissante ou décroissante.
• (un) n ∈ ℕ est strictement monotone si elle est strictement croissante ou strictement décroissante
Limites
Limite finie, limite infinie
Définition 4.
La suite (un) n ∈ ℕ, a pour limite 2 R si : pour tout E > 0, il existe un entier naturel N tel que :
Si n > N alors |un → L | ≤ ∑
Ṿ∑ > 0 ∃ N ∈ ℕ, Ṿn ∈ N (n > N =) |un →L | ≤ ∑)
On dit aussi que la suite (un) n ≤ N tend vers `. Autrement dit : un est proche d’aussi près que l’on veut de L
à partir d’un certain rang.
Suite Convergente
Une suite est convergente si sa limite est finie i.e. si Lim x→∞ Un = L (l ∈ R)
Suite Divergente
Une suite est divergente si sa limite est infinie i.e. si Lim x→∞ Un = ∞
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Suite Arithmétique
Une suite ou progression arithmétique, toute suite de nombres réels ou chacun d’eux à l’exception du
premier est égal à son précédent augmente d’une constante appelé raison de la suite.
Formule générale
Pour dire qu’une suite est arithmétique si et seulement si :
Un = Un-1 + r, n ∈ ℕ* ou Un+1= Un + r, n ∈ ℕ
Forme d’une suite arithmétique

Un = U0 + nr, si n ∈ ℕ ou Un = U1 + (n-1) r, si n ∈ ℕ*
Trois nombres a, b, c sont en progression arithmétique ssi b= a+c/2

Nombres de terme d’une PA ssi n= (b-a /r) +1
Nombre de moyen arithmétique ssi m= (b-a /r) -1
Somme des termes
Sn = (n+1) (U0 +Un) / 2 n ∈ ℕ
Sn =n (U1 +Un) / 2 n ∈ ℕ*
Suite Géométrique
Une suite ou progression géométrique, toute suite de nombres réels ou chacun d’eux a l’exception du
premier est égal à son précédent multipliée d’une constante appelé raison de la suite.
Formule générale
Pour dire qu’une suite est géométrique ssi
Un = Un-1 x q, n ∈ N* ou Un+1= Un x q, n ∈ ℕ
Forme d’une suite géométrique

Un = U0 x qn si n ∈ N ou Un = U1 x qn-1 si n ∈ ℕ*
Trois nombres a, b, c sont en progression géométrique ssi b2= a x c

Nombres de terme d’une PG ssi n= (Ln|b/a| / Lnq) +1
Nombre de moyen géométrique ssi m= (Ln|b/a| / Lnq) -1
Somme des termes

Sn = (n+1) (U0 -Un+1) / (1-q), n ∈ ℕ
Sn = (U1 -Un+1) / (1-q), n ∈ ℕ*
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Exercices
1- On considère la suite (Vn) définie par (Vn)= 3n-7,𝑛 ∈ 𝑁

2- Montrer que Vn est une suite arithmétique dont on précisera la raison.
3- soit la suite Un définie par Un= 2n-5, 𝑛 ∈ 𝑁.
4- Montrer qu’Un est une suite arithmétique dont on précisera la raison.
5𝑛+4
5- Soit la suite Un définie par Un = 2 montrer que Un est une suite arithmétique dont on précisera la
raison et le 1er terme, n∈ N et dire si la suite est majorée ou minorée par 7.
2−𝑛
6- On considère la suite (Un), application de n dans N définie par Un= 2
a) Montrer que, Un est une suite arithmétique dont on précisera la raison.
b) Calculer ∑11
𝑖=0 𝑈𝑖
7- Soit la suite (Un) définie par Un = 7 - 3n

 Calculer U0, U1 et U2
 Démontrer que (Un) est une suite arithmétique et déterminer la raison de la suite ?
 Quelle est la valeur du 51eme terme ?
a) Calculer la somme des 51 premiers termes ?
b) Etudier la convergence de cette suite ainsi que la monotonie ?
𝑈1 = 2
Exo- on donne : { 2𝑈𝑛 = 𝑈𝑛−1 + 5
𝑉𝑛 = 𝑈𝑛 − 5
a) Montrer que Vn est une suite géométrique dont on déterminera la raison et le premier terme.
b) Exprimer Vn et Un en fonction de n et dire si la suite est convergente ?
c) Exprimer la somme de Vn en fonction de n.
𝑈0 = 6
Exo- on donne {𝑈𝑛+1 = 1/2𝑈𝑛 + 5 , 𝑛 ∈ 𝑁
𝑉𝑛 = 𝑈𝑛 + 𝑎, 𝑛 ∈ 𝑁
a) Calculer U1, U2 et U3
b) Déterminer le réel a pour que Vn soit une suite géométrique.
3-on considère la suite (Un) définie par : U0=1

Un+1=1/3Un +2, n ∈N
On définit une suite (Vn) par Vn = aUn-6, 𝑎 ≠ 0
a) Déterminer a pour que (Vn) soit une suite Géométrique on précisera la raison et le premier
terme.
b) Exprimer Vn et Un en fonction de n
c) calculer 𝑆𝑛 = 𝑉0 + 𝑉1 + ⋯ + 𝑉𝑛 , 𝑛 ∈ 𝑁
4- On donne : U0=3 ; Un=192 et Sn=381. Calculer la raison et le nombre de termes.
5- La population actuelle augmente de 1% par an. En 2010, elle était de 6,9 milliards. On note U n la
population mondiale l’année 2010+n.
Expliquer pourquoi la suite Un est géométrique. Préciser son premier terme Un et sa raison.
Exprimer Un en fonction de n.
En supposant que le taux d’accroissement se maintienne, estimer la population mondiale en 2025.
A l’aide de la calculatrice, estimer en quelle année les 9 milliards d’habitants seront atteints.
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TRIGONOMETRIE
 Correspondance entre degrés et radian 𝜋 𝑟𝑑 = 1800
1800 = 𝜋 𝑟𝑑
𝜋
10 = 𝑟𝑑
180
𝑥. 𝜋
𝑋0 = 𝑟𝑑
180
Les fonctions trigonométriques
Fonctions sinus et cosinus
Propriétés
Quelque soit 𝑥 ∈ 𝑅, −1 ≤ 𝑠𝑖𝑛𝑥 ≤ 1 𝑒𝑡 − 1 ≤ 𝑐𝑜𝑠𝑥 ≤ 1

𝜋
𝑠𝑖𝑛𝑥 = 0 ↔ 𝑥 = 𝑘𝜋 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑠𝑥 = 0 ↔ 𝑥 = 2 + 𝑘𝜋, K∈ 𝑍
Valeurs remarquables
X(rd) 0 𝜋 𝜋 𝜋 𝜋
6 4 3 2
sinx 0 1 √2 √3 1
2 2 2
cosx 1 √3 √2 1 0
2 2 2
Fonction tangente et Fonction cotangente

𝑠𝑖𝑛𝑥 𝑐𝑜𝑠𝑥
𝑡𝑎𝑛𝑥 = 𝑐𝑜𝑠𝑥 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑡𝑎𝑛𝑥 = 𝑠𝑖𝑛𝑥
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Formules fondamentales et ses transformées
Quelque soit x, on a : 𝑐𝑜𝑠𝑥 2 + 𝑠𝑖𝑛𝑥 2 = 1
Quelque soit x, on a :sin(−𝑥) = −𝑠𝑖𝑛𝑥 𝑒𝑡 cos(−𝑥) = 𝑐𝑜𝑠𝑥
sin(𝜋 − 𝑥) = 𝑠𝑖𝑛𝑥 𝑒𝑡 cos(𝜋 − 𝑥) = −𝑐𝑜𝑠𝑥
tan(𝜋 − 𝑥) = −𝑡𝑎𝑛𝑥
𝑐𝑜𝑡𝑎𝑛(𝜋 − 𝑥) = −𝑐𝑜𝑡𝑎𝑛𝑥
sin(𝜋 + 𝑥) = −𝑠𝑖𝑛𝑥
cos(𝜋 + 𝑥) = −𝑐𝑜𝑠𝑥
tan(𝜋 + 𝑥) = 𝑡𝑎𝑛𝑥
𝑐𝑜𝑡𝑎𝑛(𝜋 + 𝑥) = 𝑐𝑜𝑡𝑎𝑛𝑥
Formules d’addition
sin(𝑥 + 𝑦) = 𝑠𝑖𝑛𝑥. 𝑐𝑜𝑠𝑦 + 𝑐𝑜𝑠𝑥. 𝑠𝑖𝑛𝑦
cos(𝑥 + 𝑦) = 𝑐𝑜𝑠𝑥. 𝑐𝑜𝑠𝑦 − 𝑠𝑖𝑛𝑥. 𝑠𝑖𝑛𝑦
sin(𝑥 − 𝑦) = 𝑠𝑖𝑛𝑥. 𝑐𝑜𝑠𝑦 − 𝑐𝑜𝑠𝑥. 𝑠𝑖𝑛𝑦
cos(𝑥 − 𝑦) = 𝑐𝑜𝑠𝑥. 𝑐𝑜𝑠𝑦 + 𝑠𝑖𝑛𝑥. 𝑠𝑖𝑛𝑦

𝑡𝑎𝑛𝑥 + 𝑡𝑎𝑛𝑦
tan(𝑥 + 𝑦) =
1 − 𝑡𝑎𝑛𝑥. 𝑡𝑎𝑛𝑦
𝑡𝑎𝑛𝑥 − 𝑡𝑎𝑛𝑦
tan(𝑥 − 𝑦) =
1 + 𝑡𝑎𝑛𝑥. 𝑡𝑎𝑛𝑦
Formule de duplication
𝑠𝑖𝑛2𝑥 = 2𝑠𝑖𝑛𝑥. 𝑐𝑜𝑠𝑥
𝑐𝑜𝑠2𝑥 = 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥 − 𝑠𝑖𝑛2 𝑥

2𝑡𝑎𝑛𝑥
𝑡𝑎𝑛2𝑥 =
1 − 𝑡𝑎𝑛2 𝑥
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Exercices
Résoudre les équations suivantes
a) 2𝑠𝑖𝑛2 𝑥 − 𝑠𝑖𝑛𝑥 − 1 = 0
b) 2𝑠𝑖𝑛𝑥 − √3=0
c) 𝑠𝑖𝑛2𝑥 + 2𝑐𝑜𝑠𝑥 = 0
𝜋
d) sin (2𝑥 + ) = sin(3𝑥)
6
𝜋 𝜋
e) cos (2𝑥 − ) = cos(𝑥 + )
4 2
Résoudre les inéquations suivantes
√2
a) 𝑐𝑜𝑠3𝑥 ≤
2
b) 𝑡𝑎𝑛𝑥 ≤ √3
c) Formule de factorisation
𝑝+𝑞 𝑝−𝑞
𝑠𝑖𝑛𝑝 + 𝑠𝑖𝑛𝑞 = 2. 𝑠𝑖𝑛 . 𝑐𝑜𝑠
2 2
𝑠𝑖𝑛𝑝 − 𝑠𝑖𝑛𝑞 = 2. 𝑐𝑜𝑠 . 𝑠𝑖𝑛
2 2
𝑐𝑜𝑠𝑝 + 𝑐𝑜𝑠𝑞 = 2. 𝑐𝑜𝑠 . 𝑐𝑜𝑠
2 2
𝑐𝑜𝑠𝑝 − 𝑐𝑜𝑠𝑞 = −2. 𝑠𝑖𝑛 . 𝑠𝑖𝑛
2 2
sin(𝑝 − 𝑞)
𝑡𝑎𝑛𝑝 − 𝑡𝑎𝑛𝑞 =
𝑐𝑜𝑠𝑝. 𝑐𝑜𝑠𝑞
sin(𝑝 + 𝑞)
𝑡𝑎𝑛𝑝 + 𝑡𝑎𝑛𝑞 =
𝑐𝑜𝑠𝑝. 𝑐𝑜𝑠𝑞
Équations trigonométriques
𝑠𝑖𝑛𝑥 = 𝑠𝑖𝑛𝑦 ↔ 𝑥 = 𝑦 + 2𝑘𝜋 𝑜𝑢

𝑥 = 𝜋 − 𝑦 + 2𝑘𝜋
𝑐𝑜𝑠𝑥 = 𝑐𝑜𝑠𝑦 ↔ 𝑥 = ±𝑦 + 2𝑘𝜋
𝑡𝑎𝑛𝑥 = 𝑡𝑎𝑛𝑦 ↔ 𝑥 = 𝑦 + 𝑘𝜋
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Formules de linéarisation
1
𝑠𝑖𝑛𝑥. 𝑐𝑜𝑠𝑦 = ⌈sin(𝑥 + 𝑦) + sin(𝑥 − 𝑦)⌉
2
1
𝑐𝑜𝑠𝑥. 𝑐𝑜𝑠𝑦 = ⌈cos(𝑥 + 𝑦) + cos(𝑥 − 𝑦)⌉
2
1
𝑠𝑖𝑛𝑥. 𝑠𝑖𝑛𝑦 = ⌈cos(𝑥 − 𝑦) − cos(𝑥 + 𝑦)⌉
2
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Le Langage Propositionnel
Dans le langage courant il y a des phrases déclaratives, des phrases interrogatives et des phrases
exclamatives.
Exemples :
Le soleil brille. (Déclaration affirmative)
L’étudiant sérieux ne flâne pas. (Déclaration négative)
Qui répara ce pont ? (Interrogation)
Quelle étonnante histoire vous m’avez racontée ! (Exclamation)
Pour exprimer les lois, les propriétés des nombres et des opérations, etc., on utilise uniquement des
déclarations.
Exemples :
Zéro est un entier.
Le nombre 5 est plus grand que le nombre 3.
Dans le langage courant, on distingue deux types de déclarations :
1- Les déclarations qui ont une valeur de vérité : elles sont vraies ou bien fausses.
2- Les déclarations qui ne peuvent pas avoir de valeur de vérité.
En mathématiques, une proposition est une déclaration qui a une valeur de vérité, une forme
propositionnelle est une déclaration qui n’a pas de valeur de vérité en elle-même.
Il existe certains mots appelés connectifs, ils servent à construire des propositions composées à partir de
propositions plus simples ou encore à changer une affirmation en une négation.
Une proposition est dite simple si elle ne contient aucun connectif, elle est composée si elle contient au
moins un connectif.
Jean est un avocat. (Proposition simple)
Jean est un avocat et Pierre est un notaire. (Proposition composée)
Proposition Composée
a) Proposition négative
A l’aide du mot non, on formule la négation de toute proposition. (Symbole : ℸ)
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Exemple :
4 désigne un entier positif donne la proposition négative suivante : 4 ne désigne pas un entier positif.
b) Proposition conjonctive
Deux propositions reliées par et donnent une proposition conjonctive que nous appelons conjonction des
deux propositions. (Symbole : ∧ )
Exemple :
La proposition 2 est un entier positif et la proposition 2 est inférieur à 5 donnent la conjonction : 2 est un
entier positif et 2 est inférieur à 5.
c) Proposition disjonctive
Deux propositions reliées par ou donnent une proposition disjonctive que nous appelons disjonction des
deux propositions. (Symbole : ∨ )
Exemple :
La proposition 2 est un entier positif ou la proposition 2 est inférieur à 5 donnent la disjonction : 2 est un
entier positif ou 2 est inférieur à 5.
d) Proposition conditionnelle
Si nous combinons deux propositions au moyen de si…alors…. Nous obtenons une proposition
conditionnelle que nous appelons une conditionnelle. La proposition accompagnant si est l’antécédent (ou
l’hypothèse) ; l’autre est le conséquent (ou la conclusion). (Symbole : ⟶)
Exemple :
Si deux est un entier, alors deux est supérieur à un, est la conditionnelle dont l’antécédent est : deux est un
entier et le conséquent est : deux est plus grand que un.
e) Proposition biconditionnelle
Le connectif si et seulement si permet de former une proposition biconditionnelle appelée la
biconditionnelle de deux propositions données. (Symbole : ⟷)
Exemple :
3+2 ≤ 7 si et seulement si 2≤4 est la biconditionnelle formée par les propositions simples 3+2 ≤ 7 et 2 ≤
4.
À noter qu’une proposition simple est symbolisée par une des lettres P, p, Q, q, R, r, S, s, T, t, on les appelle
les variables du langage propositionnel.
Remarques
Le connectif ou possède, dans le langage courant, au moins deux significations différentes :
i) Ou (inclusif)
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Dans ce sens, ou exprime qu’au moins l’une des propositions de la disjonction est vraie, sans déterminer si
la seconde est vraie ou fausse.
ii) Ou (exclusif)
Dans le langage courant, le ou exprime parfois non seulement la disjonction des propositions qui
l’accompagnent, mais aussi l’impossibilité que ces deux propositions soient vraies simultanément.
Table de vérité des propositions
 Pour une seule proposition simple, P, deux situations sont possibles :

P symbolise une déclaration vraie.
P symbolise une déclaration fausse.
Nous schématisons ces situations par le tableau suivant appelé table de vérité :
 Pour deux propositions simples P et Q on a quatre situations possibles :
P Q
V V
V F
F V
F F
 Pour trois propositions simples, P, Q, et R il y a huit situations possibles (2 fois plus qu’avant).
P Q R
V V V
V V F
V F V
V F F
F V V
F V F
F F V
F F F
NB : On remarque qu’à chaque fois qu’on ajoute une proposition le nombre de cas possibles devient le
double du nombre qu’on avait avant. Ainsi donc, on a la fonction 2n traduisant le nombre de cas possibles
pour la table de vérité.
N : nombres de propositions simples.
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Valeur de vérité et connectifs
 Valeur de vérité de la proposition négative.
P ˥P
V F
F V
 Valeur de vérité de la conjonction.
P Q P˄Q
V V V
V F F
F V F
F F F
 Valeur de vérité de la disjonction inclusive.
Q P˅Q
V V V
V F V
F V V
F F F
 Valeur de vérité de la disjonction exclusive.
P Q P˅Q
V V F
V F V
F V V
F F F
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 Valeur de vérité de la conditionnelle.
P Q P→Q
V V V
V F F
F V V
F F V
 Valeur de vérité de la biconditionnelle.
P Q P↔Q
V V V
V F F
F V F
F F V
NB :
Une tautologie est une formule qui dans chaque interprétation, est une proposition vraie.
P ˥P P˅(˥ P)
V F V
F V V
Une contradiction est une formule qui dans toute interprétation, est une proposition fausse.
P ˥P P˄(˥ P)
V F F
F V F
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4 Fonction valeur absolue
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BIOLOGIE
La Cellule
Morphologie et physiologie des différents constituants
Historique
Antoine van L., en 1665 grâce à un microscope qu'il a créé, le physicien Robert Hooke a découvert la cellule
dans un fragment de liège. Cellule = petit chambre.
En 1838, Mathias Schleiden, botaniste, a observé des cellules chez les végétaux
En 1839, Théodor Schwann, Biologiste, fait cette même constatation chez les animaux
En 1858, Rudolf Virchow déclara, "Toute cellule provient d'une cellule préexistante"
Dont, ces trois derniers sont à la base de la Théorie cellulaire, qui stipule, Tout être vivant est constitué de
cellule.
Cellule Quid ?
Cellule est l'unité structurale, fondamentale, fonctionnelle de tout être vivant, dont la science qui s'en
occupe, la cytologie.
On distingue deux types : Cellules eucaryotes et Cellules procaryotes
1)) Ȼ eucaryotes : possèdent un noyau bien défini, limite par une ou deux membranes, contenant des
organites.
2)) Ȼ procaryotes : ayant un noyau mal défini
Taille : elles sont généralement microscopiques, mais il existe certaines cellules macroscopiques telle que
: Œuf de l'Autriche plus grande Ȼ.
Forme : elle n'a pas de forme déterminée, c'est suivant la fonction à accomplir. Ex : Sickle cell
Nombre : un individu est estimé à environ 100 trillions.
Schéma :
Cellule
Unicellulaire Pluricellulaire
Protozoaire Protophyte Métazoaire Métaphyte
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N.B: L'étude de la cellule se fait, soit in vivo = étude dans son environnement propre ; soit in vitro = étude
au laboratoire.
Constituant de la cellule
La cellule se compose essentiellement de (3) parties : membrane plasmique, cytoplasme et noyau
1)) M. plasmique : délimite la cellule, constituée d'une bicouche lipidique et de protéines essentielles
(complexes de protéines) et du sucre qui la mettent en contact avec le milieu extérieur.
Les composants clés de la M. p sont les phospholipides, qu'ont une tète portant vers l’extérieur et une
queue hydrophobe vers l'intérieur.
Principaux constituants de la M. plasmique
-Protéines (protéines intégrées, protéines périphériques, Glycoprotéines)
-Lipides (Cholestérol, Phospholipides, Glycolipides)
-Glucides.
Principaux Rôles de la M. plasmique
- Transport - Barrière -Protection - Reconnaissance
Mots Clés à retenir
Apoptose : cellule morte
Osmose : diffusion de l'eau à travers une membrane sélective.
Exocytose : ouverture permettant le rejet des déchets chez la cellule.
Pinocytose : Accumulation de gouttelette de liquide ou de petites particules solides par la cellule.
Phagocytose : processus par lequel certaines cellules englobent des particules, par leurs pseudopodes, les
absorbent et les ingèrent.
Pression osmotique : pression exerce par l'eau pendant l'osmose.
2)) Le Cytoplasme : correspond au milieu intérieur de la cellule, contient 85% de liquide appelé :
Hyaloplasme ou Cytosol, des structures spécialisées appelé Organites. Siège de toutes les réactions
biochimiques de la cellule.
Hyaloplasme, liquide visqueux de lequel on trouve des enclaves, on en distingue 2 types : vivantes et
inertes.
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Enclaves Vivantes
Les Lysosomes : organites contenant des enzymes digestives, Hydrolases.
Rôle : Responsable de la digestion cellulaire, destruction des cellules vieillies et des particules étrangères.
Corps de Golgi : les unités fondamentales, Dictyosomes.
Rôle : Stockage de produits secrétés, Transport des produits de sécrétion hors de la cellule.
Le Réticulum endoplasmique : Réseau de sac aplatis, relié à la M. nucléaire et bord externe de la M.

plasmique.
Rôle : Transport et stockage des matériaux à l'intérieur de la cellule.
On a 2 aspects du Réticulum : Ret. End. Lisse et Ret. End. Granuleux (Rugueux ou ergastoplasme)
1) R. E lisse : privé de ribosome et assure la synthèse ses lipides.

2) R. E rugueux : pourvu de ribosomes à la surface externe de sa membrane et assure la synthèse des
protéines.
Les Ribosomes : constitués de protéines et ARN (synthèse de Protéines en décrochant l’information

contenu)
L'ensemble des ribosomes est appelé : Polyribosome.
Rôle : Fabrication des protéines.
Mitochondrie : comporte 2 membranes, l'une externe, lisse, détermine le contour de cette dernière, l'autre
interne forme des replis appelés les crêtes mitochondriales. L'intérieur de la mitochondrie est occupé par
une substance d'aspect homogène : la Matrice.
Rôle : Siège de la respiration cellulaire.
L'ensemble des mitochondries s’appellent : Chondriome.
Centrosome : organites situés près du noyau, contenant 2 centrioles formes de neufs triplets de
microtubules.
Rôle : centre cinétique de la cellulaire.
Enclaves inertes
Vacuoles : cavités situées dans le cytosol.
L'ensemble de vacuoles s’appelle : Vacuome et limites par une membrane qu'on appelle : Tonoplaste.
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Rôle : Gestion des déchets.
Réserves : ce sont des éléments déposés au fond du cytoplasme de nature glucidique ou protidique.
L'ensemble des Réserves forme le Paraplasme.
Cytosquelette : Réseau de filament protéique qui s'étend dans tout le cytoplasme.
Rôle : permet à la cellule de se mouvoir et lui confère sa forme caractéristique et aussi assure le déplacement
des enclaves cellulaire et coordonne la fonction biologique fondamentale tel que : la division cellulaire.
Il est formé de 3 sortes de filaments protéiques : Microtubules, micro filaments et filaments intermédiaires.
Microtubules : plus gros filaments du cytosquelette (Tubuline)
Micro filaments : minces filaments (Actine)
F. intermédiaires : Fibres résistantes (complexe de protéines)
3) Noyau : représente le siège de la synthèse de l’ADN et referme le matériel génétique de l'être vivant,
délimité par une double membrane formant l'enveloppe nucléaire.
Centre vital de la cellule, découvert par Robert Brown en 1881.
Rôle : coordonne tout l'activité cellulaire, important dans la division cellulaire, et dans le maintien des
caractères héréditaires.
N.B: le noyau est présent dans la cellule en interphase et disparait au cours de la division cellulaire.
Constitution du Noyau
Contient une membrane, M. nucléaire, ayant une bicouche lipidique qui délimite un espace "per nucléaire".
Des ouvertures circulaires, Pores Nucléaires, un revêtement protéique, Lamina nucléaire (Forme et rigidité
de la membrane), Nucléoplasme et Chromatine.
Pores Nucléaires : régule le Traffic des molécules entre Cyto-Noyau.
Nucléo plastes : substance fluide, incolore contenant les nucléoles.
Chromatine : Matière facilement colorable, support de chromosomes.
Les Chromosomes : sont des structures protéiques, possédant deux bras, Chromatide et les bras se
réunissent par un point commun, Centromère.
N.B : Locus ; Gène, Génome ; Génotype, phénotype, Caryotype...
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Reproduction asexuée
Mode de reproduction qui se fait en absence des phénomènes sexuels ou en présence d'un seul gamète.
Amitose, mitose, Scissiparité etc...
Amitose : mode de division par étranglement du cytoplasme et du noyau, on les rencontre chez les êtres
monocellulaires comme bactéries...
Cytodiérèse : division de la cellule entière.
Plasmodiérèse : division du cytoplasme.
Caryocinèse : division du noyau.
Mitose : mode de division cellulaire à l'aide de filaments, ayant 4 phases :
Prophase : - Disparition du noyau et des nucléoles
- Apparition des chromosomes
- Formation des asters et du fuseau
Métaphase : - Formation de la plaque équatoriale
- Arrangement des chromosomes dans le plan méridien.
Anaphase : - Dissociation des chromosomes
- Mobilisation de ces derniers vers les pôles de la cellule.
Télophase : - Reconstitution du noyau et des nucléoles.
- Formation de deux cellules filles.
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Hérédité
L'hérédité ou l'ensemble des caractères transmis des ascendants aux descendent, dont la science qui s'en
occupe, la Génétique.
- Homozygote : possède 2 allèles identiques
- Hétérozygote : possède 2 allèles différents
- Allèles : formes différentes d’un même
N.B: toute Hybride est hétérozygote, mais toute hétérozygote n'est pas hybride.
monohybridisme
Hybride
polyhybridisme dihybridisme
-Délétion : perte de bras de chromosome
*Le père de la génétique : Gregor J. Mendel
- Enjambement : échange de segments de chromatide.
- Allosomes ou gonosomes : chromosomes sexuelles.
- Autosomes : chromosomes non-sexuelles.
- Diploïde : cellule à 2n chromosome ou 46.
- Haploïde : cellule à n chromosome ou 23.
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+ le tuteur doit parler de : Drépanocytose, Albinisme, Hémophilie, daltonisme, mongolisme...
- Linkage : alignement des gènes ou variété d'un même gène.
- Vaccin : substance contenant un agent pathogène tué ou atténué.
- Antigène : substance étrangère qui pénètre dans un organisme.
- Anticorps : produits sécrétés en réponses à la pénétration d'un corps étranger dans l'organisme.
+ le tuteur doit par des théories de l'évolution.
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Fonctionnement de L’organisme (lutte de l’organisme contre les agresseurs naturels)
Mimétisme : faculté qu'ont les animaux de modifier leur aspect ou d'imiter le milieu ambiant dans le but
d'échapper à l'action d'autres animaux prédateurs.
Présente sous différents aspects : Homochromie, Homotypie et Camouflage.
- Homochromie : consiste en un changement de couleur.
- Homotypie : consiste en un changement de forme.
- Camouflage : fait de déguiser afin d'affoler l'agresseur.
N.B: en dépit des prédateurs, ils font face à un facteur naturel : Température.
- Homéothermes : animaux à température constante.
- Poïkilothermes : animaux dépourvus d'appareil d'autorégulation thermique.
- Hibernants : animaux homéothermes qui refugient dans des souterrains en hiver.
N.B : un animal qui laisse son milieu pour partir à un autre, Hivernant.
Virus
Ceux sont des agents infectieux de taille microscopique, dépourvus de métabolisme, incapable de se
multiplier.
Structure d'un virus
1- Acide nucléique, jamais deux à la fois.

2- Capside, qui est une enveloppe protéique qui entoure le core.
N.B : enveloppe d'un bactérie, capsule.
À retenir
- Core : l'ensemble des matériels nucléaires d'un virus.

- Capsomères : ensemble d’unités de protéines qui forment la capside.
- Nucléocapside : ensemble forme par le matériel et la capside.
- Manteau : membrane qui entoure les capsides.
- Virion : structure forme parle manteau et la nucléocapside.
Moyens de défense de l 'organisme contre l'infection virale
1- Phagocytose : cellules de défenses (leucocytes), qui entourent les virus et les détruisent.
2- Production des anticorps : permettent la désactivation des virus avant la pénétration.
3- Production d’Interféron : protéine produite par les Ȼ infectées qui rend cette Ȼ résistante.
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Méthode de destruction des virus
1- Chaleur
2- Chlore
3- Influence des sels
4- Influences des radiations
5- Influence de pH.
Bactéries
Ce sont toutes des microbes, mais tous les microbes ne sont pas des bactéries, dont la science qui s'en occupe
des micro-organismes, Microbiologie.
On les classe selon leur mode de nutrition et leur mode de respiration.
1. Nutrition : source d'énergie, on distingue : Bact. Autotrophes et Bact. Hétérotrophes.

2. Respiration : on distingue 3 types :
-Bact. Aérobies : en présence de l'air.
-Bact. Anaérobies : en absence de l'air.
-Bact. Facultatives : Tantôt en présence, tantôt en absence de l'air.
N.B: Bactériophages
Structure : Cytoplasme, Membrane, Noyau, Nucléole.
Formes des bactéries
*Bact. Arrondies ou coccies (coques)
*Bact. Allongées ou bacilles (koch)
*Bact. Spiralées ou spirochètes
*Bact. Incurvées ou vibrions
*Bact. Coccobacilles.
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Reproduction
L'ensemble des phénomènes pour perpétuer les espèces. On distingue 2 types : reproduction asexuée ou
agamie et reproduction sexuée ou progamie.
R. Asexuée : très répandue dans la nature telles que :
- Amitose
- Scissiparité : fait par lequel la Ȼ unique se scinde en 2 individus indépendants qui vont se diviser à leur
tour (paramécies, amibes...)
- Régénération : fait par lequel un individu régénère les organes manquants (vers polychètes)
Régénération naturelle et régénération accidentelle
- Bourgeonnement : manifeste par l'apparition sur le corps de l'animal mère des boursouflures et forme
des individus à part entière qui se détachent de la mère.
R. sexuée : production d'un être nouveau par l'union de 2 cellules, gamètes ou Ȼ sexuelles.
À retenir
Fécondation : phénomène de rencontre des gamètes.

Ovulation : période de formation des ovules par les ovaires.
Nidation : implantation du zygote dans l'utérus.
Ontogenèse : processus de formation de l'être.
Amphimixie : union des noyaux des Ȼ reproductrices.
Gonade : glande sexuelle.
Gamétogenèse : formation des gamètes ; males (spermatogenèse) et femelles (ovogenèse)
Les différentes phases de la gamétogenèse
a. Multiplication : Ȼ germinales se multiplient en 2,4,8,16 après "N" division, spermato génies.

b. Croissance : cessation de la multiplication et augmentation de volume, spermatocytes I.
c. Maturation : spermatocytes I subissent 2 divisions successives de la méiose.
-Réductionnelle, transforme les spermatocytes I diploïdes "2N" en spermatocyte II, haploïdes "N"
-Equationnelle, transforme les spermatocytes II en Spermatides.
d. Différenciation : sans se diviser les spermatides deviennent des spermatozoïdes.

Parthénogenèse : développement d'un ovule non-fécondé.
+le tuteur doit parler des différentes catégories de parthénogenèse (Naturelle, Arrhénotique etc.…)
Hermaphrodisme : présence des gonades mâles et femelles chez un même individu.
N.B: - glandes sexuelles : testicules et ovaires.
- cellules sexuelles : spermatozoïdes et ovules.
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Les hormones : substances produites par des glandes endocrines.
- Hormone de la grossesse : BHCG

- Hormone de l’accouchement : Ocytocines/ Titocine
- Hormone du lait : Prolactine
- Hormone du stress : Adrénaline
- Hormone de la croissance : Somatotrope
- Hormone de la menstruation : Follicule stimulante
- Hormone du sommeil : Dopamine (Sérotonine)
- Hormone de l’urine : Vasopressine.
Glandes Endocrines
- Thyroïde : secrète la thyroxine
- Parathyroïdes : secrètent la parathyrine
- Epithélium intestinal : secrète la sécrétine
- Pancréas : secrète l'insuline
N.B: *Insuline => diminue la glycémie
*Glucagon => augmente la glycémie
- Surrénale : secrètent = cortine et adrénaline
- Hypophyse : Secrètent = Hormones "croissance, hyperglycémiante, antidiurétique"
- Glandes sexuelles : secrètent = testostérone et folliculine
N.B: Hypophyse : c'est la glande maitresse de l'organisme.
Typologie d'œufs
- Œufs alécithes : dépourvu de vitellus
N.B: *vitellus : partie nutritif de l'œuf
*vitelline : coque protectrice de l'ovule
- Œufs oligolécithes : pauvre en vitellus
- Œufs hétérolécithes : avec vitellus assez abondant
- Œufs mérolécithes : riches en vitellus
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Phases de développement de l'œuf
1. Morula : l'œuf se divise par mitose en 2,4,8,16 cellules appelées Blastomères.

2. Blastula : les cellules intérieures disparaissent et se déplacent de façon à créer en son centre une
cavité appelé cavité de segmentation ou Blastocœle, occupe par un liquide.
3. Gastrula : les cellules s'invaginent pour former 3 feuillets embryonnaires.
- Ectoderme : feuillet embryonnaire externe (engendre l'épiderme)
- Mésoderme : feuillet embryonnaire intermédiaire (engendre la musculature, le squelette)
- Endoderme : feuillet embryonnaire interne (engendre les poumons, App. Digestive)
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BOTANIQUE
Définition : Branche de la biologie ayant pour l’objet l’étude des plantes dans leur diversité.
 Donnez une catégorie de plantes ne possédant ni racine, tige, feuille et de la chlorophylle :
R - Les fougères.
 Dans quel embranchement sont classes les manguiers :
R - Phanérogames.
 Par quoi sont représentés les organes males de la fleur :
R - Le Pollen.
 Citez une plante gymnosperme :
R - Le sapin.
 Citer quelques plantes dicotylédones :
R - Haricot, Caféier, Avocatier.
 Citez quelques méthodes de reproduction asexuée :
R - Bouturage, Marcottage, Greffage.
 Quel est le nom de l’association a bénéfique réciproque chez deux plantes :
R - Symbiose.
 Que comprennent les ptéridophytes ?
R - Les Fougères, Les Prêles, Les Lycopodes.
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 D’où proviennent les champignons ?
R - Parasites, Saprophytes ou Symbiotique.
 Comment se nomme les gamètes mâles et femelles chez les plantes ?
R - Pollen (male) et Ovule (Femelle).
 Comment s’appelle la partie de la biologie qui étudie les champignons ?
R - Mycologie.
 Quel est le nom donne-t-on à l’être vivant qui abrite un parasite ?
R - Hôte.
 Comment s’appelle les organismes qui utilisent la nourriture par d’autres ?
R - Hétérophytes.
 Comment s’appelle les plantes qui ne produisent pas de graines ?
R - Acotylédons.
 Comment s’appelle les plantes ayant des racines, des tiges, des vaisseaux, et de la chlorophylle ?
R - Ptéridophytes.
 Quelle est la caractéristique principale des Thallophytes :
R - Présence de Thalle.
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 Présenter les structures retrouver au niveau des organes femelles de la fleur :
R - Ovaire, Stigmate, Style, Ovule, Carpelle.
 Citer les différentes sortes de racines :
R - Pivotantes, Fasciculés, Tubéreuse, Adventice.
 Quand est-ce que les racines se disent pivotantes ?
R - Quand la racine principale est plus grosse que les radicelles.
 Quand est ce que les racines sont dites tubéreuses ?
R - quand elles présentent des parties renflées, ex : Manioc, Patate.
 Quand est ce que les racines se disent Adventives ?
R - Quand elles naissent sur les tiges des plantes. Ex : Giraumont.
 Citer deux fonctionnements de la racine :
R - a) Elle fixe la plante au sol.
b) Elle puise dans le sol la nourriture de la plante.
 Comment s’appelle la partie de la plante qui porte les feuilles, les fleurs et les fruits ?
R - La tige.
 Comment s’appelle l’endroit ou une feuille est fixée à la tige :
R - Nœud.
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 Comment appelle-t-on la partie verte et plate de la feuille parcourue par les nervures ?
R - Limbe.
 Comment appelle t’on la partie de la feuille qui rattache la feuille a la tige ?
R - Pétiole.
 Quand peut-on parler de feuilles simples ?
R - Quand le Limbe est forme d’une seule pièce. Ex : Arbre.
 Quand peut-on parler de feuilles composées ?
R - Quand le limbe est divisé en plusieurs parties. Ex : Arbre.
 Nommer trois fonctions exercées par la feuille :
R - Transpiration-Respiration-Assimilation chlorophyllienne.
 Comment s’appelle les petites ouvertures placées sous le limbe :
R - Stomates.
 Quand la feuille rejette-t-elle du CO2 et absorbe de l’O2 :
R - La Nuit.
 Quel nom donne t’on a la matière verte des Feuilles ?
R - Chlorophylle.
 Comment la plante purifie t’elle l’air ?
R - En absorbant le CO2.
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 Quelle sont les parties d’une fleur complète ?
R - Le Calice- La Corolle-Les Etamines et le pistil.
 Qu’arrive-t-il si le pollen n’arrive pas sur le pistil ?
R - Pas de Fécondation.
 Par quoi le fruit est -il produit ?
R - Par le développement de l’Ovaire.
 Combien de catégories de Fruit distingue-t-on ?
R - Fruit a Noyau-Fruits à Pépins- Baies.
 Que comprend une Graine ?
R - Une enveloppe externe ou tégument, un ou deux cotylédons, une plantule ou germe.
 Deux fruits à Noyaux :
R - Avocat, Abricot.
 Deux fruits à Pépins :
R - Orange, Chadèque.
 Deux fruits à Baie :
R - Raisin, Tomate.
 Que distingue-t-on parmi les fruits secs :
R - Les gousses, Les siliques et les Capsules.
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 Citer deux modes de reproduction des végétaux :
R - Sexuées et Asexuées.
 La plus sure des méthodes de multiplication végétative expérimentale est :
R - Le Marcottage.
 Ou se fait la multiplication chez les phanérogames ?
R - Dans les parties Aériennes et Souterraines.
 Mode de reproduction des plantes sans fleurs Ex : Champignons, mousses :
R - Spores.
 Mode de reproduction des poissons, reptiles, oiseaux :
R - Œuf (Ovipare).
 La nourriture des plantes se compose :
R - CO2, H2O, et Sels minéraux.
 Les plantes à fleurs, Ex : Manguier, Tomate :
R - Des grains.
 La différence entre un animal et une plante :
R - La Mobilité.
 Les trois grands cycles de la vie de l’homme :
R - Naissance-Croissance-Puberté.
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 Le champignon n’a ni racine, ni tige, ni feuille :
R - Elle est une plante parasite elle se nourrit au dépend des autres.
 La matière verte des Feuilles se nomme :
R - Chlorophylle.
 Les plantes se reproduisent par :
R - Bouturage, Marcottage, Greffage.
 Les champignons sont colorés mais ne possèdent pas :
R - De Chlorophylle.
 La plante se nourrit par :
R - Ses racines et ses feuilles.
 Semis : Grains en terre. Ex : Riz, Haricot, Mais
 Greffage : Souder un rameau muni d’un ou plusieurs bourgeons sur une plante
 Bouturage : Couper un rameau et le mettre en terre, Ex : Canne à sucre
 Cycle de vie d’un être vivant :
R - Naissance-Croissance-Reproduction-Mort.
 Chez les plantes le sang est remplacé par :
R - La Sève.
 Contrairement à l’homme la plante :
R - Absorbe le Co2 et rejette l’O2 de l’air.
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ANALYSE
Quelques règles de calculs

Soient (a, b et c) trois nombres réels. On pourra écrire 𝑎, 𝑏, 𝑐 ∈ 𝑅 3 . On notera l’addition + net la
multiplication ×. On a alors les règles de calcul suivantes :
1. Commutativité : quels que soient les nombres réels 𝑎 et 𝑏, 𝑎 + 𝑏 = 𝑏 + 𝑎 𝑒𝑡 𝑎𝑏 = 𝑏𝑎,
2. Associativité : quels que soient les nombres réels 𝑎, 𝑏 et 𝑐,
(𝑎 + 𝑏) + 𝑐 = 𝑎 + (𝑏 + 𝑐) 𝑒𝑡 𝑎 (𝑏𝑐) = (𝑎𝑏) 𝑐,
3. Distributivité : quels que soient les nombres réels 𝑎, 𝑏 𝑒𝑡 𝑐, (𝑎 + 𝑏)𝑐 = 𝑎𝑐 + 𝑏𝑐,
4. Eléments neutres pour + et pour × : quel que soit le nombre réel 𝒂 , 𝒂 + 𝟎 = 𝒂 𝒆𝒕 𝒂 ∗ 𝟏 = 𝒂.
Propriété 2 (règle de comparaison)
1. Réflexivité : quels que soit les nombres réels 𝑎, 𝑎 ≤ 𝑎,
2. Antisymétrie : quels que soient les nombres réels 𝑎 𝑒𝑡 𝑏, 𝑠𝑖 𝑎 ≤ 𝑏 𝑒𝑡 𝑏 ≤ 𝑎 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑎 = 𝑏,
3. Transitivité : quels que soient les nombres réels 𝑎, 𝑏 𝑒𝑡 𝑐𝑠𝑖 𝑎 ≤ 𝑏 𝑒𝑡 𝑏 ≤ 𝑐 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠𝑎 = 𝑐,
4. quels que soient les nombres réels 𝑎 𝑒𝑡 𝑏, 𝑜𝑛 𝑎 𝑎 ≤ 𝑏 𝑜𝑢 𝑏 ≤ 𝑎.
Propriété 3 (règle de compatibilité)
Soient (a, b et c) 2 R. On a alors les règles de compatibilité suivantes :
1. 𝑠𝑖 𝑎 ≤ 𝑏 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑎 + 𝑐 ≤ 𝑏 + 𝑐,
2. 𝑠𝑖 𝑎 ≤ 𝑏 𝑒𝑡 0 ≤ 𝑐 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑎𝑐 ≤ 𝑏𝑐.
Définition 1 (opposé et inverse)
1. Deux nombres réels 𝑎 𝑒𝑡 𝑏 sont opposés si 𝑎 + 𝑏 = 0.
2. Deux nombres réels 𝑎 𝑒𝑡 𝑏 non nuls sont dits inverses l’un de l’autre si 𝑎𝑏 = 1.
On notera les intervalles particuliers suivants :
𝑅+ = [0; +1[, 𝑅+ ∗ =]0; + ∞[, 𝑅− =] − ∞; 0], 𝑒𝑡 𝑅− ∗ =] − ∞; 0[.
La notation 𝑅 ∗ désignant l’ensemble R privé de 0.
Majorant, Minorant
Soit E une partie non vide de R. On dit que :
E est majorée s’il existe un nombre réel M (pas forcément dans E) tel que pour tout 𝑥 ∈ 𝐸, 𝑥 ∈ 𝑀. Un tel
nombre (qui n’est pas nécessairement unique), est appelé majorant de E.
E est minorée s’il existe un nombre réel m (pas forcément dans E) tel que pour tout
x ∈E, x ≤m. Un tel nombre (qui n’est pas nécessairement unique), est appelé minorant de E.
E est bornée si E est majorée et minorée.
Fonction Partie Entière

Soit a un nombre réel. Le plus grand entier inférieur ou égal à a s’appelle la partie entière de a. Nous le
noterons 𝐸(𝑎).
Exemples :
E (𝜋) = 3
E (-𝜋) = −4
Fonctions usuelles
Notation : f:𝐼→𝐽
𝑥 → 𝑓(𝑥)
Domaine de définition des fonctions
Fonctions Polynômes (𝑓(𝑥) = 𝑎𝑥 𝑛 + 𝑏𝑥 + 𝑐, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑛 > 1)
Toutes les fonctions polynômes sont définies sur R ou ]−∞; +∞[
𝑄(𝑥)
Fonctions Rationnelles (𝑓(𝑥) = 𝑃(𝑥))
Les fonctions rationnelles sont définies sur l’ensemble des valeurs pour lesquelles𝑃(𝑥) ≠ 0. On
écrit : 𝐷𝑜𝑚 𝑜𝑢 𝐷𝑓 = 𝑅 − {𝑃(𝑥) = 0}
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Fonctions Irrationnelles (√𝑄(𝑥))

Les fonctions irrationnelles sont définies sur l’ensemble des valeurs pour lesquelles 𝑄(𝑥) ≥ 0. On
écrit : 𝐷𝑜𝑚 𝑜𝑢 𝐷𝑓 = 𝑅 − {𝑄(𝑥) ≥ 0}
Exercice
Trouver le domaine de définition des fonctions suivantes
1) 𝑓(𝑥) = 𝑥 4 − 3𝑥
𝑥 3 −4
2) 𝑔(𝑥) = 𝑥 2 +2𝑥
3) 𝑓(𝑥) = √𝑥 2 − 4
√𝑥−5
4) 𝑔(𝑥) = 4𝑥
𝑥
5) 𝑓(𝑥) =
√𝑥−7
Opération sur les fonctions

Si 𝑓 et 𝑔 sont deux fonctions définies sur le même intervalle𝑅, on a alors les résultats suivants:
1. Somme : la fonction somme f + g est définie pour tout réel 𝑥 de l’intervalle 𝐼 par :(𝑓 + 𝑔)(𝑥) =
𝑓(𝑥) + 𝑔(𝑥)
2. Produit : la fonction produit fg est définie pour tout réel 𝑥 de l’intervalle 𝐼 par : (𝑓𝑔)(𝑥) =
𝑔(𝑥). 𝑓(𝑥)
3. Quotient : lorsque la fonction g ne s’annule pas sur l’intervalle I, la fonction
𝑓 𝑓 𝑓(𝑥)
Quotient est définie pour tout réel 𝑥 de I par :( ) (𝑥) =
𝑔 𝑔 𝑔(𝑥)
Fonctions composées
Soit 𝑓 une fonction définie d’un intervalle 𝐼 de 𝑅 à valeurs dans un intervalle 𝐽 de 𝑅.
Soit g une fonction définie de l’intervalle 𝐽 de 𝑅 vers un intervalle 𝐾 de 𝑅. La fonction composée des
fonctions 𝑓 et g est la nouvelle fonction que l’on écrit gof (et que l’on lit 𝑔 rond 𝑓) définie pour tout 𝑥 dans
l’intervalle 𝐼 par : 𝑔𝑜𝑓(𝑥) = 𝑔(𝑓(𝑥))
Monotonie
Croissante
Soit f une application définie sur un intervalle 𝐼 de 𝑅. L’application f est dite décroissante sur 𝐼 si pour tous
𝑥1 𝑒𝑡 𝑥2 de l’intervalle I on a :
si 𝑥1 ≤ 𝑥2 alors 𝑓(𝑥1 ) ≤ 𝑓(𝑥2 )
Décroissante
Soit f une application définie sur un intervalle I de R. L’application f est dite décroissante sur I si pour tous
𝑥1 𝑒𝑡 𝑥2 de l’intervalle I on a :
si 𝑥1 ≤ 𝑥2 alors 𝑓(𝑥1 ) ≥ 𝑓(𝑥2 )
Parité
Fonction paire
Soit f une application définie sur son domaine I dans R (l’intervalle I doit être symétriquement réparti autour
de 0).
L’application est dite paire si pour tout réel x de I nous avons : 𝑓(−𝑥) = 𝑓(𝑥)
Fonction Impaire
Soit f une application définie sur son domaine I dans R (l’intervalle I doit être symétriquement réparti autour
de 0). L’application est dite impaire si pour tout réel x de I nous avons : 𝑓 (−𝑥) = −𝑓(𝑥).
Axe de symétrie
Le graphe Cf. d’une fonction f admet commet la droite d’équation x = a pour axe de symétrie si et seulement
si pour tout réel x : 𝑓 (𝑎 + 𝑥) = 𝑓(𝑎 − 𝑥).
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Centre de symétrie
Le graphe Cf. d’une fonction f admet le point A de coordonnées (a; b) pour centre de symétrie si et seulement
si pour tout réel x de I ssi : 𝑓 (𝑎 + 𝑥) + 𝑓(𝑎 − 𝑥) = 2𝑏.
Fonction périodique
La fonction f est dite T-périodique si pour tout réel x de I : 𝑓(𝑥 + 𝑇) = 𝑓(𝑥).
T est alors appelé la période de f.
Fonction injective
On dit qu’une fonction f : 𝐼 → 𝐽est injective si et seulement si tout élément y de l’ensemble d’arrivée J admet
au plus un antécédent dans l’ensemble I de départ.
Autrement dit, il en possède soit un, soit aucun mais pas plus de un. En mathématiques cela s’écrit : pour
tous x1 et x2 de I :
si 𝑓(𝑥1) = 𝑓(𝑥2) alors𝑥1 = 𝑥2.
Fonction surjective
On dit qu’une fonction f : 𝐼 → 𝐽est surjective si et seulement si tout élément y de l’ensemble d’arrivée J
admet au moins un antécédent dans l’ensemble I de départ.
Autrement dit, il en possède soit un, soit plus, mais il est obligé d’en posséder un. En mathématiques cela
s’écrit : pour tout y de J il existe (au moins un) x de I tel que
𝑓(𝑥) = 𝑦.
Fonction bijective
On dit qu’une fonction f : 𝐼 → 𝐽est bijective si et seulement elle est à la fois injective et surjective.
Limite d’une fonction

Soit f une application définie sur son domaine I dans R. Soient a et 𝑙deux réels finis (c’est à dire que a et 𝑙
sont différents de +∞ et −∞).
On dit que f admet une limite finie 𝑙 en a, si pour tout réel ∈ >0, il existe un réel 𝜗 >0
tel que pour tout x ∈ I si |𝑥 − 𝑎| < 𝜗 alors |𝑓(𝑥) − 𝑙| < 𝜀
On écrit alors comme précédemment : lim 𝑓(𝑥) = 𝑙
𝑥→𝑎
∞ 0
Les formes indéterminées sont : ∞ − ∞, ∞ , 0 , 00 , 0 ∗ ∞, ∞0 , 1∞
Exercice
On donne la fonction :𝑓(𝑥) = 𝑥𝑙𝑛𝑥. On demande de calculer la limite de f en 0+
Règle de l’Hospital
Soit f une fonction rationnelle ou irrationnelle, si la lim 𝑓(𝑥) donne une forme indéterminée. On procède la
𝑥→𝑎
dérivée du numérateur par rapport à la dérivée du dénominateur. Ceci est indéfiniment possible jusqu’à ce
qu’on enlève l’indétermination de la fonction.
Exercice :
𝑥 2 −4
Calculer : a- lim
𝑥→2 𝑒 𝑥−2 −1
𝑒 3𝑥 −𝑒 −𝑥
b- lim
𝑥→0 𝑠𝑖𝑛5𝑥
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Limite d’une fonction polynôme en ±∞

La limite d’une fonction polynomiale en ±∞ est la limite de la variable ayant le plus grand exposant.
Limite d’une fonction rationnelle en ±∞
La limite d’une fonction rationnelle en ±∞ est la limite du rapport des variables ayant le plus grand
exposant.
Limite d’une fonction irrationnelle en ±∞
La limite d’une fonction irrationnelle n’est pas toujours la limite de la variable ayant le plus grand exposant.
Asymptotes
Asymptote verticale
L’asymptote verticale est la valeur du domaine de définition de la fonction.
Asymptote horizontale
L’asymptote verticale est la valeur de la limite de la fonction en±∞.
L’asymptote oblique
Quand on calcule la limite d’une fonction en ±∞, si cette limite est infinie. Il y a éventualité d’une asymptote
𝑓(𝑥)
oblique, de la forme : 𝑦 = 𝑎𝑥 + 𝑏, avec 𝑎 = lim , 𝑏 = lim 𝑓(𝑥) − 𝑎𝑥
𝑥→±∞ 𝑥 𝑥→±∞
Continuité en un point
On dit qu’une fonction f est continue en un réel 𝑎 appartenant a son ensemble de definition lors que la
limite de f en 𝑎 existe et vaut 𝑓(𝑎). Autrement dit : 𝑓 est continu en 𝑎 si, et seulement si, lim 𝑓(𝑥) = 𝑓(𝑎) ;
𝑥→𝑎
si, et seulement si,
lim 𝑓(𝑎 + ℎ) = 𝑓(𝑎)
ℎ→0
Continuité sur un intervalle

On dit qu’une fonction 𝑓 est continue sur un intervalle I inclus dans son ensemble de définition lorsque f
est continue en tout réel 𝑎 appartenant à I.
Théorème des valeurs intermédiaires

Soit 𝑓 une fonction definie et continue sur un intervalle 𝐼, et 𝑎 et 𝑏 deux réels de 𝐼. Pour tout réels 𝑘 compris
entre 𝑓(𝑎) et 𝑓(𝑏), il existe un reel 𝑐 compris entre 𝑎 et 𝑏 tel que : 𝑓(𝑐) = 𝑘.
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Dérivées des fonctions usuelles

Lien entre dérivée et sens de variation
Soit 𝑓 une fonction derivable sur un intervalle𝐼. Si, pour tout 𝑥 de 𝐼. 𝑓 ′ (𝑥) = 0, Alors 𝑓 est constante.
Si, pour tout 𝑥 de𝐼, 𝑓 ′ (𝑥) ≥ 0. Alors 𝑓 est croissante sur 𝐼.
Si, pour tout 𝑥 de𝐼, 𝑓 ′ (𝑥) ≤ 0. Alors 𝑓 est décroissante sur 𝐼.
Extremum
Soit 𝑓 une fonction dérivable sur un intervalle 𝐼 et 𝑎 un réel différent de ses extrémités. Si 𝑓′ s’annule et
change de signe en 𝑎, alors 𝑓 admet un extremum local en 𝑎. Cet extremum est égal a 𝑓(𝑎).
Fonction Logarithmique
La fonction logarithmique népérienne. Notée ln, est la primitive sur]0; +∞[, qui s’annule en 1, de la
1
fonction 𝑥 → . On en déduit immédiatement : ln est définie, continue et dérivable sur ]0; +∞[ et, pour
𝑥
1
tout 𝑥 > 0 : 𝑙𝑛′ (𝑥) =
𝑥
Propriétés algébriques
Pour tous réels 𝑎 et 𝑏, strictement positif, on a :
ln(𝑎𝑏) = 𝑙𝑛𝑎 + 𝑙𝑛𝑏
1
𝑙𝑛 = −𝑙𝑛𝑏
𝑏
Ensemble de définition 𝑓(𝑥) 𝑓 ′ (𝑥)
ℝ 𝑘 0
ℝ 𝑥 1
ℝ 𝑢𝑛 (𝑛 ∈ 𝑁 ∗ ) 𝑛𝑢′𝑢𝑛−1
ℝ* 1 −1
𝑢 𝑢2
ℝ* 1 _𝑛𝑢′
𝑢𝑛
(𝑛 ∈ 𝑁 ∗ )
𝑢𝑛+1
[0; +∞[ √𝑢 𝑢′
2√𝑢
ℝ cos(𝑢) −𝑢′𝑠𝑖𝑛𝑢
ℝ sin(𝑢) 𝑢′𝑐𝑜𝑠𝑢
𝑎
𝑙𝑛 = 𝑙𝑛𝑎 − 𝑙𝑛𝑏
𝑏
ln(𝑎𝑛 ) = 𝑛𝑙𝑛𝑎 (𝑛 ∈ 𝑍)
1
𝑙𝑛√𝑎 = 2 𝑙𝑛𝑎
Etude de la fonction ln
Limites de la fonction ln aux bornes de son ensemble de définition
lim 𝑙𝑛𝑥 = +∞
𝑥→+∞
lim 𝑙𝑛𝑥 = −∞
𝑥→0
𝑥>0
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Sens de variation la fonction ln est strictement croissante sur l’intervalle]0; +∞[,

On appelle ‘’e’’ l’unique solution de l’équation𝑙𝑛𝑥 = 1, 𝑙𝑛𝑒 = 1, 𝑒 = 2,718
Dérivée de 𝐥𝐧(𝒖)
𝑢 Etant une fonction numerique, la fonction ln(𝑢) est definie sur tout intervalle I sur lequel𝑢 > 0. Si de plus
𝑢 est dérivable sur I, alors la fonction ln(𝑢) est dérivable sur I
𝑢′
(ln(𝑢))′ =
𝑢
Fonctions exponentielles
On appelle fonction exponentielle l’unique fonction f définie et dérivable sur R telle que : pour tout x de R.
𝑓 ′ (𝑥) = 𝑓(𝑥) 𝑒𝑡 𝑓(0) = 1
La fonction exponentielle est définie et dérivable sur R. On la note : expo ou 𝑒 𝑥
Rappels :
𝑒0 = 1
lim 𝑙𝑛𝑥 = +∞
𝑥→+∞
lim 𝑙𝑛𝑥 = −∞
𝑥→0
𝑥>0
𝑒 +∞
𝑒 −∞
𝑒 𝑎+𝑏 = 𝑒 𝑎 . 𝑒 𝑏
1
𝑒 −𝑎 =
𝑒𝑎
𝑎−𝑏
𝑒𝑎
𝑒 = 𝑏
𝑒
𝑒 𝑛𝑎 = (𝑒 𝑎 )𝑛 (𝑛 ∈ 𝑍)
𝑎
√𝑒 𝑎 = 𝑒 2
Sens de variation
La fonction expo est strictement croissante sur R.
Pour tout nombre réel 𝑥, pour tout nombre reel 𝑦 strictement positif :
𝑦 = 𝑒 𝑥 ↔ 𝑥 = 𝑙𝑛𝑦
On en déduit : pour tout réel 𝑥: ln(𝑒 𝑥 ) = 𝑥
𝑒 𝑙𝑛𝑥 = 𝑥
Méthodes à suivre pour tracer les courbes
1) Domaine de définition
2) Limites aux bornes
3) Continuité
4) Sens de variation
5) Points d’inflexion (pas nécessaire)
6) Centre de symétrie
7) Graphe
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Exercice1
𝑥+1
Soit la fonction f définie par : 𝑓(𝑥) = 𝑥−1
1) Trouver les équations asymptotiques à la courbe
2) Montrer que la fonction f admet le point I (1,1) comme son centre de symétrie
3) Etudier les variations de f
4) Représenter graphiquement cette fonction dans un repère orthonormé.
Exercice 2
𝑥 2 −2𝑥+1
Soit la fonction f définie par : 𝑓(𝑥) = 𝑥+1
1) Déterminer les équations asymptotiques à la courbe
2) Trouver le point du centre de symétrie des deux équations asymptotiques.
3) On nomme le point du centre de symétrie de la fonction I. Montrer que ce point est effectivement
le centre symétrie de f.
4) Etudier et représenter graphiquement la fonction f.
Exercice 3
𝑥+2
Soit la fonction g définie par : 𝑔(𝑥) = 𝑥 2 −4
Etudier et représenter graphiquement la fonction g dans un repère orthonormé.
Exercice 4
Soit la fonction g définie par : 𝑔(𝑥) = 𝑥𝑙𝑛𝑥
Etudier et représenter graphiquement cette fonction dans un repère.
Exercice 5
𝑥−4
Soit la fonction f définie par : 𝑓(𝑥) = ln( )
𝑥+4
1) Déterminer les équations asymptotiques à la courbe.
2) Etudier les variations de cette fonction.
3) Représenter graphiquement f.
Exercice 6
Soit la fonction g définie par : 𝑔(𝑥) = 𝑥𝑒 2𝑥 + 𝑒 𝑥
Etudier et représenter graphiquement la fonction g dans un repère.
Exercice 7
𝑒 𝑥 +2
Soit la fonction g définie par : 𝑔(𝑥) = 𝑒 𝑥 −2
1) Trouver les équations asymptotiques à la courbe.
2) Etudier et représenter graphiquement cette fonction.
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Page 62
ANGLAIS
had been cleaned before they arrived.

The house
Futur
The house will be cleaned next week.
Futur progressif
The house will be being cleaned tomorrow.
Présent conditionnel
The house would be cleaned if they had visitors.
Passé conditionnel
The house would have cleaned if it had been dirty.

been
Inifinitif
The house must be cleaned before we arrive.
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Page 63
Le futur Phrases Phrases négatives Phrases

Sujet +shall ou will + base affirmatives interrogatives
verbale
Il nécessite l'emploi d'un I will work. I will not (won't) work. Will I work?
modal He will work. He will not (won't) work. Will he work?
Il est utilisé pour :
-des faits prévus dans le I will sing. I will not (won't) sing. Will I sing?
futur He will sing. He will not (won't) sing. Will he sing?
-des actions futures
LES TEMPS DU PASSÉ
Le prétérit Phrases Phrases

Phrases interrogatives
Sujet+ verbe au prétérit affirmatives négatives
Did I
Il est utilisé pour : I worked. I didn't work.
work?
-des faits, des actions ou des He worked He didn't work.
Did he work?
habitudes
passées et terminées, donc, I sang. I didn't sing.
Did I sing?
sans rapport avec le présent. He sang He didn't sing.
Did he sing?
Le prétérit en be+-ing Phrases Phrases négatives Phrases

Sujet+ BE au prétérit affirmatives interrogatives
+Ving
Il est utilisé pour : I was working. I wasn't working. Was I working?
-des actions qui étaient They were working. They weren't working. Were they working?
en train de se dérouler
dans I was singing. I wasn't singing. Was I singing?
le passé (et qui, souvent, They were singing. They weren't singing. Were they singing?
ont été interrompues)
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Le present perfect Phrases Phrases négatives Phrases

Sujet+ HAVE au présent +V au affirmatives interrogatives
participe passé
Il est utilisé pour : I have worked. I haven't worked. Have I worked?
-des faits, des actions terminées He has worked. He hasn't worked. Has he worked?
avec un résultat
dans le présent. I have sung. I haven't sung. Have I sung?
He has sung He hasn't sung. Has he sung?
Le present perfect en be + - Phrases affirmatives Phrases négatives Phrases

ing interrogatives
Sujet + HAVE au présent
+ BEEN + Ving
Il est utilisé pour : I have been working. I haven't been working. Have I been working?
-des faits, des actions He has been working. He hasn't been working. Has he been working?
commencées dans le passé,
qui continuent dans le I have been singing. I haven't been singing. Have I been singing?
présent He has been singing. I hasn't been singing. Has he been singing?
ou viennent juste de
s'achever.
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Le plus-que-parfait / pluperfect Phrases Phrases négatives Phrases

(past perfect simple) affirmatives interrogatives
Sujet+ HAVE au prétérit +V au
participe passé
Il est utilisé pour : I had worked. I hadn't worked. Had I worked?
-des faits, des actions antérieures He had worked. He hadn't worked. Had he worked?
à un moment du passé.
I had sung. I hadn't sung. Had I sung?
He had sung He hadn't sung. Had he sung?
Le plus-que-parfait en Phrases affirmatives Phrases négatives Phrases

BE+-ing interrogatives
Sujet+ HAVE au
prétérit
+ BEEN +Ving
Il est utilisé pour : I had been working. I hadn't been working. Had I been working?
-des faits, des actions He had been working. He hadn't been working. Had he been working?
commencées dans le
passé, I had been singing. I hadn't been singing. Had I been singing?
qui continuaient ou He had been singing. I hadn't been singing. Had he been singing?
venaient de
s'achever.
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LA VOIX PASSIVE DE L'INFINITIF

La voix passive de l'infinitif est utilisée après les verbes modaux et d'autres verbes normalement suivis
d'un infinitif.
EXEMPLES
 You have to be tested on your English grammar.

 John might be promoted next year.
 She wants to be invited to the party.
 I expect to be surprised on my birthday.
 You may be disappointed.
LA VOIX PASSIVE DU GÉRONDIF

La voix passive du gérondif est utilisée après les prépositions et les verbes normalement suivis d'un
gérondif.
EXEMPLES
 I remember being taught to drive.

 The children are excited about being taken to the zoo.
 The children are excited to be taken to the zoo.
 Most film stars hate being interviewed.
 Most film stars hate to be interviewed.
 Poodles like to be pampered.
 Poodles like being pampered.
UTILISER "TO BE BORN"

"To be born" est une forme passive et s'utilise plus fréquemment au passé. Toutefois, le présent et le futur
sont nécessaires dans certains cas.
EXEMPLES
 I was born in 1976.

 Where were you born?
 Around 100 babies are born in this hospital every week.
 We don't know on exactly which day the baby will be born.
Parfois, on forme une phrase au sens passif en utilisant le verbe to get ou to have dans une formulation
active à la place du verbe to be. Un page dédiée traite ces autres façons de parler du passif.
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Page 67
Passive Voice
INFINITIF
infinitif actif to clean (nettoyer)
infinitif passif to be cleaned (être nettoyé)
passé de l'infinitif to have cleaned (avoir nettoyé)
passé de l'infinitif passif to have been cleaned (avoir été nettoyé)
Simple Continu
présent is cleaned is being cleaned
prétérit was cleaned was being cleaned
will
futur will be cleaned
be being cleaned
Present Perfect has been cleaned

Ne s'emploie pas
Past Perfect had been cleaned
EXEMPLES
Actif Passif
A sees B B is seen by A
A is seeing B B is being seen by A
A saw B B was seen by A
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EXEMPLES
Actif Passif
A was seeing B B was being seen by A
A has seen B B has been seen by A
A will see B B will be seen by A
Notes
 A la forme simple (present simple, past simple, etc.) la forme est 'to be' conjugué + participe passé
(c'est-à-dire V-ed), Ex. The car was cleaned yesterday (La voiture a été nettoyée hier).
 A la forme continue (present continuous, past continuous, etc.) la forme est 'to be' conjugué + being
+ participe passé (c'est-à-dire V-ed), Ex. At 9 o'clock this morning, my car was being cleaned (A
9h00 ce matin, on était en train de nettoyer ma voiture).
 Avant d'ajouter -ing ou -ed, il faut doubler la consonne finale si les deux conditions suivantes sont
remplies :
o Le verbe se termine par une seule voyelle suivie d'une seule consonne,
o La dernière syllabe est accentuée, ou il n'y a qu'une syllabe — pour savoir si la dernière
syllabe est accentuée ou non, il faut consulter un dictionnaire.
 Le complément à la voix active devient sujet à la voix passive — actif : Peter cleaned my car
; passif : My car was cleaned by Peter.
 A la voix passive, le sujet subit l'action du verbe ; si on mentionne l'agent (= sujet à la voix active),
il faut l'introduire après le verbe par la préposition by.
Emploi
Le passif en général
En général, on emploie la forme passive lorsqu'on ne s'intéresse pas à, ou ne connaît pas, l’agent :
 On ne connaît pas l'agent, Ex. My car has been stolen. On a volé ma voiture ; je ne sais pas qui l'a
fait. J'aurais pu dire 'Somebody has stolen my car' (voix active).
 On ne s'intéresse pas tellement à l'agent mais plutôt à l'action ou au résultat de l'action, Ex. A new
office block is being built in the city centre. Tout ce qui m'intéresse est qu'un nouvel immeuble est
en train d'être construit ; je ne m'intéresse pas à quelle société effectue les travaux.
 On s'intéresse plutôt à l'action (ou au résultat de l'action) qu'à l'agent, Ex. A new cancer treatment
has been discovered by scientists in Sweden. Ce qui est intéressant est la découverte d'un nouveau
traitement pour le cancer ; le fait que cela ait été fait en Suède est moins important pour celui qui
en parle.
 L'agent est trop évident pour qu'on se donne la peine de le mentionner, Ex. The suspect was
questioned before being released. Il est évident que c'est la police qui a interrogé le suspect avant
de le relâcher ; tout le monde comprend sans qu'on le dise.
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 Le passif est employé pour traduire des phrases du français qui :

o Sont à la voix passive aussi ;
o Ont un verbe pronominal, Ex. Cela ne se fait pas — That just isn't done ;
o Sont du genre "on...", Ex. On m'a invité à une fête — I've been invited to a party.
Exemples
Voici quelques exemples:
 Présent simple : Ex. Football is played in most countries — le football est joué dans la plupart des
pays.
 Présent continu : Ex. My car is being repaired — ma voiture est en train d'être réparée.
 Prétérit simple : Ex. The eclipse was seen only in the northern hemisphere — l'éclipse a été vue
seulement dans l'hémisphère nord.
 Prétérit continu : Ex. My hair was being cut when the accident happened — j'étais en train de me
faire couper les cheveux lorsque l'accident s'est produit.
 Present Perfect simple : Ex. The fugitive has been arrested — on a arrêté le fugitif.
 Futur : Ex. A new version of Linux will be released soon — une nouvelle version de Linux sera
bientôt commercialisée.
 Infinitif : Ex. Computer discs should be defragmented regularly — les disques durs devraient être
défragmentés régulièrement.
 Passé de l’infinitif : Ex. My car must have been stolen; it's no longer where I left it — ma voiture
a dû être volée; elle n'est plus là où je l'ai laissée.
 Gérondif : Ex. Most people like receiving presents — la plupart des gens aiment recevoir des
cadeaux.
 Gérondif passé : Ex. We were angry at having been deceived — nous étions en colère parce qu'on
nous avait trompés.
DISCOURS DIRECT ET INDIRECT
Cours d'Anglais sur le Discours direct et indirect / Direct and indirect speech
COURS D'ANGLAIS SUR LE DISCOURS DIRECT ET INDIRECT / DIRECT AND INDIRECT
SPEECH
Catégorie : Cours d'Anglais

Formation
On emploie le discours indirect lorsqu'on rapporte les paroles ou les pensées de quelqu'un sans les citer
directement. Après un verbe au prétérit comme "said", "told", "thought", "knew", les temps se
transforment généralement de la même manière en anglais et en français.
Discours Direct Discours Indirect
1. "I am happy." He said (that) he was happy.
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Discours Direct Discours Indirect
2. "We often play football." He said (that) they often played football.
3. "I have three dogs." She said (that) she had three dogs.
4. "I'm waiting." She said (that) she was waiting.
5. "I forgot". He said (that) he had forgotten.
6. "I have seen you before". I thought (that) I had seen him before.
8. "They will help us". I said (that) they would help us.
9. "I can swim". I told her (that) I could swim.
I told her (that) I could swim. He thought (that) it might rain.
Remarque :
- Les verbes gardent la même forme (simple ou progressive).
- On dit: "He told me that"... plutôt que "He said to me that"...
- La conjonction "that" (= que) est souvent sous-entendue dans un style familier.
- "Can" et "May" se transforment en "Could" et "Might", les autres modaux ne changent pas, dans la
plupart des cas.
Après un verbe au présent, les temps ne changent pas :
"She is happy." (discours direct)
Elle est heureuse.
"He says she is happy." (discours indirect)
Il dit qu'elle est heureuse.
Lorsqu'on passe du discours direct au discours indirect, il faut penser à modifier les expressions de temps
telles que :
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Page 71
yesterday ---> the day before (la veille)

ago ---> before (avant/ auparavant)
last week ---> the week before (la semaine précédente)
tomorrow ---> the following day (le jour suivant)
next month ---> the following month (le mois prochain)
De plus, on garde le prétérit au discours indirect lorsqu'il exprime une habitude dans le passé :
"I used to go to the swimming-pool", she said. ---> She said that she used to go to the swimming-pool.
"I often went there", he said. ---> He said that he often went there.
Quant à l’impératif, il devient au discours indirect une phrase infinitive (TO + Verbe):
"Stop the car", he told me. ---> He told me to stop the car.
Attention à l'ordre des mots et à la forme du verbe dans les interrogations indirectes. Le sujet précède
toujours le verbe. Il n'y a pas de do/did.
She asked me who the others were. (et non ... who were the others.)
Elle m'a demandé qui étaient les autres.
Could you tell me what time it is? (et non .... what time is it?)
Pouvez-vous me dire l'heure (qu'il est) ?
Notez qu'il n'y a pas de point d'interrogation dans les interrogations indirectes sauf si le verbe principal est
lui-même interrogatif, comme dans le dernier exemple ci-dessus.
En anglais, comme en français, les pronoms, les déterminants et les adverbes du discours indirect sont
souvent différents de ceux du discours direct :
"I like this car" (discours direct)
J'aime cette voiture.
She said she liked the car. (discours indirect)
Elle a dit qu'elle aimait la voiture.
"You're right Jim" (discours direct)

Tu as raison Jim.
He told Jim he was right. (discours indirect)
Il a dit à Jim qu'il avait raison.
Exercices Pratiques
Question 1 de 10 Points pour la réponse correcte 1
"Mum has forgotten to call". (I supposed that ----)
I supposed that Mum had forgotten to call.
I supposed that Mum forgot to call.
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I supposed that Mum has forgotten to call.
"It will rain". (The radio says ----)
The radio says that it will rain.
The radio says that it rains.
The radio says that it would

rain.
She said she _____.
will wait
is waiting
was waiting
He said that he ____ happy.
is
was
will
be
UNIQ PREFAC
Page 73
We realised that she _____ the train.
has missed
had missed
missed
He says he ____ come.
will
would
has
She thinks you ____ her.
have forgotten
forget
had forgotten
"John has forgotten to phone". (I think that ----)
I think that John forgets to phone.
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Page 74
I think that John has forgotten to phone.
I think that John forgot to phone.
"It will snow". (The radio said ----)
The radio said that it snows.
The radio said that it will snow.
The radio said that it would snow.
"Wait for me". (I told her ----)
I told her waited for me.
I told her to wait for me.
I told her you wait for me.
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Le comparatif anglais et le superlatif anglais

Sommaire :
1. Le comparatif
2. Le superlatif
Le comparatif et le superlatif en anglais sont utilisés pour faire des comparaisons. Nous allons voir
comment les utiliser dans cette leçon.
Commençons par voir comment utiliser le comparatif. Ensuite, nous verrons le superlatif.
Pour chaque partie de la leçon, vous avez le cours soit en vidéo soit en version écrite juste en dessous.
Résumé de la leçon en trois lignes
☞ Adjectifs longs : more / the most (sauf ceux qui se terminent par Y)
☞ Adjectifs courts : –er / the –est
☞ Egalité : as + adjectif + as
Le comparatif anglais
Tout d’abord, qu’est-ce qu’une comparaison ? C’est tout simple, par exemple, si je dis Tom est plus grand
que Kathy, ou encore cette voiture est plus rouge que celle-ci, je fais une comparaison.
1) Comparatif de supériorité en anglais :
On l’utilise lorsqu’on veut dire « plus que… «
Avec les adjectifs longs, on va utiliser les mots MORE…THAN

C’est tout simple. Voyons cela avec des exemples :
He is more intelligent than me. Il est plus intelligent que moi.

The black dress is more elegant than the red one. La robe noire est plus élégante que la rouge.
On utilise MORE … THAN pour les adjectifs qui ont deux syllabes ou plus (les adjectifs longs), sauf
ceux qui se terminent par y. (voir ci-dessous.)
Avec les adjectifs courts, ceux qui ne font qu’une seule syllabe, nous allons simplement ajouter –er à la
fin de l’adjectif, puis THAN. Avec les adjectifs qui se terminent par Y, nous allons simplement remplacer
le y par –ier, puis THAN.
Regardons quelques exemples pour que cela soit plus clair :
He is smarter than me.

She’s happier now. (Remarquez que le y de happy se transformer en ier).
This exercise is easier than the other one.
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Page 76
2) le comparatif d’égalité en anglais
Nous employons le comparatif d’égalité lorsque nous voulons dire « autant que… »
Par exemple, en français :
Il est autant gentil que toi ou il est aussi gentil que toi.
En anglais, on utilise
as + adjectif + as
Cela donne :
He is as nice as you.
She is as smart as him.
The movie is as good as the book. (Le film est aussi bien que le livre).
3) comparatif d’infériorité en anglais
On l’emploie pour dire « moins…que« .

Pour cela, on utilise les mots LESS … THAN.
Voyons quelques exemples :

Georges is less happy than Jack.
He is less young than you.
Le superlatif anglais
Le superlatif anglais sert à comparer un élément avec tout un groupe. Cela signifie qu’on l’emploie pour
dire « le plus…de ».
Par exemple :
Le plus fort du monde.
Le plus rapide de l’ouest.
La plus belle invention du monde.
etc.
1) Le superlatif de supériorité en anglais
Avec les adjectifs de plus de deux syllabes, nous utiliserons les mots THE MOST…
Prenons quelques exemples :
She is the most beautiful girl I have ever seen.
Marc is the most gifted musician in the city.
The President is the most powerful man in the United States.
etc.
Pour les adjectifs courts, nous utiliserons la terminaison en -EST.

Par exemple :
Brian is the oldest man in the room.
This is the fastest car in the world.
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Enfin, pour les adjectifs qui se terminent par –Y, nous utiliserons la terminaison –IEST, et le Y disparaît.
Par exemple :
She the happiest girl I’ve seen.
This is the grumpiest cat of the world.
Comme vous le voyez, on ajoute dans la phrase un élément, un groupe ou une catégorie de comparaison :
« In the world » ou « in the room », « in the city », « that I have seen » etc.
2) Le superlatif d’infériorité en anglais
On l’utilise lorsqu’on veut dire « le moins…de »

Par exemple :
Le moins cher du marché.
etc.
Pour cela, on va employer les mots THE LEAST + adjectif

Exemple :
She is the least focused person I know. Elle est la personne la moins concentrée que je connaisse.
This is the least expensive car that I have ever seen. C’est la voiture la moins chère que je n’ai jamais
vue.
Les comparatifs et superlatifs irréguliers en anglais
Good –> better (mieux, meilleur) –> the best (le meilleur).
Bad –> worse (pire) –> the worst (le pire).
Far –> farther/further –> the farthest/the furthest.
Exemple :
He is a better player than me. (Il est un meilleur joueur que moi).
He is the best player in the team. (Il est le meilleur joueur de l’équipe).
Pour finir, quelques remarques
En anglais, les gens utilisent assez peu les comparatifs et superlatifs d’infériorité. Ils préfèrent plutôt
employer les comparatifs et superlatifs de supériorité. Par exemple, au lieu de dire : « Jack is less tall
than Marc », ils diront plutôt « Marc is taller than Jack ». Les deux sont justes, mais on emploie le deuxième
plus souvent. De même, au lieu de dire « this is the least nice painting I have seen », ils diront plutôt « this
is the most ugly painting I have seen ».
Résumé de la leçon en trois lignes
☞ Adjectifs longs : more / the most (sauf ceux qui se terminent par Y)
☞ Adjectifs courts : –er / the –est
☞ Egalité : as + adjectif + as
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PHYSIQUE
Force
• Lois de Newton = fondements de la mécanique (classique). Lois d’application dans la vie de tous les jours.
Etude des forces
– Actions des forces sur le mouvement
• Qu’est-ce qu’une force ?
– Non directement observable
– On ne perçoit que les effets
• Définition ?
– Agent de changement (déformation par ex.)
– Dynamique : agent qui modifie l’état de mouvement
2 types de force
– Contact : interaction entre 2 objets (ex. contraction musculaire – os, forces de frottement)
– Non contact (force d’attraction de la terre, champ magnétique, champ électrostatique).
Force : caractérisée par une grandeur, une direction (ligne d’action), un sens et un point d’application
Force = vecteur Notations : F
• Force résultante (force totale) sur un objet = somme vectorielle des forces agissant sur cet objet. Unité :
Newton (N)
• Mesurer une force – Dynamomètre
Première loi de Newton
Tout objet conserve son état de repos ou de mouvement rectiligne uniforme en absence de force résultante
agissant sur lui est appliqué.
Interprétation :
Si la résultante des forces agissant sur un objet est nulle :
1. Un objet au repos reste au repos
2. Un objet en mouvement continue à se mouvoir à vitesse constante
Conséquence de la première loi de Newton :
– objet en équilibre ΣFi = 0
– condition nécessaire mais non suffisante
Deuxième loi de Newton

• Quand une force résultante s’exerce sur un objet, celui-ci est soumis à une accélération qui a même
direction que la force :
F=ma
• m = masse d’inertie de l’objet
• Propriété intrinsèque : mesure la quantité de matière (même valeur sur terre et lune)
• Unité: [N] = [kg m s-2]
Deuxième loi de Newton (suite)

• Remarque : La même force appliquée a des objets différents (ex. action-réaction) produira une accélération
différente : F = m a → a = F / m
• m = masse d’inertie _ mesure l’inertie au mouvement
• Exemple : Personne ne qui saute d’une falaise : subit la force gravitationnelle a = - g = F/m
En réaction : la terre est attirée vers la personne mais a = F/M terre
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Quelques exemples de forces

Poids et masse
• Le poids (vecteur) : P≡ la force gravitationnelle s’exerçant sur un objet (vecteur, [N])
• La masse gravitationnelle (scalaire) : Par définition : m ≡ P/g (scalaire, [kg]) = unité de base
– g : accélération gravitationnelle
Troisième loi de Newton

• Mise en situation
• Newton : si une personne exerce une force sur un objet, l’objet, en réaction exerce une force sur la
personne, force qui est égale en grandeur mais de direction opposée.
• = Forces d’action et réaction
– Forces d’action : jambes sur bord, pied sur sol
– Forces de réaction : bord sur corps, sol sur corps
Troisième loi de Newton

Si un objet exerce une force F sur un second objet, le second exerce sur le premier une force égale en
grandeur, de même direction mais de sens oppose, -F
Principe d’action-réaction
Les forces d’action et de réaction s’exercent sur des objets différents. Leurs effets ne s’annulent pas. Le
mouvement résulte uniquement des forces agissant sur l’objet
Le frottement
• Force de frottement : Force qui agit toujours pour s’opposer au mouvement d’un objet qui glisse sur un
autre
• Force de traction T et bloc au repos : Selon la verticale : N = - m*g
Selon l’horizontale : f = fs = - T, mais
• il existe une valeur maximale de fs : fs(max) = μs N scalaires
• μs est appelé le coefficient de frottement statique, il dépend de la nature des deux surfaces en contact
Les frottements statique et cinétique : propriétés

• Les forces de frottement sont toujours proportionnelles à la force normale N (liée au poids)
• fc < fs => mc < ms
Fc = μc N
Problème
• Un bloc de masse m1 de 20 kg est libre de se mouvoir le long d’une surface horizontale.
Une corde qui passe par la gorge d’une poulie le relie à un second bloc
de masse m2 de 10 kg. Ce bloc est en suspension verticale. Supposons que la corde et la poulie ont des
masses négligeables et qu’il n’y a pas de frottement.
Déterminer :
1. Les forces qui s’exercent sur les blocs ;
2. Leurs accélérations
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Cinématique
Un corps est en mouvement si sa position par rapport à un point de référence fixe change avec le temps. La
cinématique étudie ce mouvement lui-même, sans s’occuper des forces qui le produisent.
Mouvement Rectiligne
Position d’un vecteur
On indique la position d’un vecteur par la coordonnée de l’extrémité de son vecteur-position.
Déplacement
Le déplacement d’un mobile pour un intervalle de temps donné indique le changement global qui s’est
produit dans la position de ce mobile durant cet intervalle, sans tenir compte des positions intermédiaires.
On définit le déplacement, notée 𝐝⃗
𝐝⃗ = 𝐗 ⃗⃗i = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗f - 𝐗 ∆𝐗
Vitesse Moyenne
On définit la vitesse moyenne d’un mobile de la façon suivante :

deplacement
Vitesse =
Intervalle de temps écoulé
⃗⃗
∆𝑋
⃗⃗ =
𝑉
∆𝑡
Vitesse scalaire moyenne
𝑑 𝑑𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒
𝑉= 𝑡
= 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠
Vitesse instantanée
∆𝑥⃗
⃗⃗ = lim
𝑉
∆𝑡→0 ∆𝑡
Accélération Moyenne
L’accélération d’une particule en mouvement rectiligne indique à quel rythme sa vitesse varie :
⃗⃗
∆𝑉
𝑎⃗ = ∆𝑡
Lorsque l’accélération est constante, on a la valeur de la vitesse moyenne avec la formule :
⃗⃗ = 𝑉+𝑉0
𝑉 2
Les cinq équations de la cinématique à accélération constante sont :
𝑣 = 𝑣𝑜 + 𝑎𝑡
𝑉 2 = 𝑉0 2 + 2𝑎(𝑥 − 𝑥0 )
𝑣𝑜 + 𝑣
𝑥 = 𝑥𝑜 + ( )𝑡
2
1
𝑥 = 𝑥0 + 𝑣0 𝑡 + 𝑎𝑡 2
2
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Problème
Un mobile atteint un point A à la vitesse de 24 m ⁄s et 16 s plus tard. On observe qu’il revient au point A à
la vitesse de – 24 m ⁄s. L’accélération est constante. a) Quelle distance le mobile a-t-il parcourue avant de
rebrousser chemin pour revenir au point A ? b) Supposons qu’au temps t = 0, le mobile est en A et que ce
point coïncide avec l’origine. Quelle l’équation du mouvement du mobile ? c) Ou est le mobile après 0 s, 8
s, 16 s et 20 s ?
Mouvement d’un corps en chute libre
Galilée a montré que des corps différents qui tombent en chute libre à partir d’une même hauteur ont la
même accélération et que cette accélération est constante. Cette accélération est notée g (avec g = 9.81 m/s2).
Les équations d’un corps en chute libre sont les suivantes :
𝑉 = 𝑉0 − 𝑔𝑡
𝑉 2 = 𝑉0 2 − 2𝑔(𝑌 − 𝑌0 )
1
𝑌 = 𝑌0 + 𝑉0 𝑡 − 2 𝑔𝑡 2
Problème
On lance une balle verticalement vers le haut à partir d’un point O, au niveau du sol et elle monte jusqu'à
une distance de 12 m au-dessus du sommet d’un édifice dont la hauteur est de 20 m. a) Quelle est la vitesse
initiale de la balle au point O ? b) Quelle est la vitesse de la balle au moment où elle revient au niveau du
toit de l’édifice en retomba
Dynamique des Fluides

𝑚
La masse volumique d'une substance est sa masse par unité de volume est égale a: 𝜌 =
𝑣
La densité d'une substance est le rapport de sa masse volumique à celle de l'eau pure, qui est 𝜌(𝑒𝑎𝑢) =
1000𝑘𝑔/𝑚3 = 1𝑔/𝑐𝑚3
La pression
Quand une force agit perpendiculairement à une surface, la pression exercée est le rapport de l'intensité de
𝐹
la force à la surface: P=𝑆
1 atm = 1,013*105 N/𝑚2
Pression dans un fluide.

Une pression extérieure exercée sur un fluide est transmise uniformément dans le fluide. Elle est formulée
par: P= 𝜌𝑔h
𝜌: la masse volumique
𝑔: L’accélération de la pesanteur (9,81m/s2)
h : la profondeur
La pression totale à cette profondeur est: P= Pexterne+ 𝜌𝑔h
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Principe d'Archimède
Tout corps plongé dans un fluide au repos subit une poussée verticale dirigée de bas en haut égale au poids
du volume du fluide déplacé.
Problème.
1. La densité de l'or est de 20. Quel est le poids de 20 m3 d’or ?

2. Une femme pesant 650 N se tient en équilibre sur le talon de sa chaussure droite qui fait 2 cm de
rayon. Quelle pression exerce-t-elle sur le sol ?
3. Quelle est la pression régnant sur le fond d'une piscine de 5m de profondeur remplie d'eau douce ?
Chaleur
La chaleur est une forme d'énergie qui, lorsqu'elle est ajoutée à une parcelle de matière augmente son énergie
interne et fait ainsi monter sa température.
La quantité de chaleur a pour expression: Q= mc∆𝑇
La quantité de chaleur devant être ajoutée à une unité d'une substance à son point d'ébullition pour la faire
passer de l'état liquide à l'état gazeux est appelée'' chaleur latente de fusion (LV). La même quantité de
chaleur doit être enlevée à une unité de cette substance à l'état gazeux, à son point d'ébullition, pour la faire
passer à l'état liquide est : La chaleur latente de fusion de l'eau est Lf = 80 Kcal/kg et sa chaleur d'évaporation
est Lv = 540 kcal/kg.
Problème
50 kcal sont enlevées à un bloc de glace de 25 kg initialement à la température de -50C. Quelle est sa
température ? (Cglace= 0,5 kcal/kg.0C)
Dilatation des solides, liquides et gaz
Loi de Mariotte-Boyle
P1*V1= P2*V2 (T= constante)
Echelle de Température : TK=TC+273
Loi de Charles
𝑉1 𝑉
𝑇1
= 𝑇2 (P= constante)
2
Loi des gaz parfaits :
𝑃1 𝑉2 𝑃2 𝑉2
=
𝑇1 𝑇2
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Problème
Une masse dioxygène occupe 0,0200 m3 à la pression atmosphérique, 101 kpa, et 50C. Déterminer son
volume si on augmente la pression à 108 kpa alors que sa température est changée à 300C.
Electricité
La charge électrique, comme la masse, est l’une des propriétés fondamentales de certaines des particules
élémentaires dont toute la matière est composée. On en distingue deux types : la charge positive et la charge
négative. L’unité de charge est le coulomb.
Loi de coulomb : la force électrique qu’une charge exerce sur une autre est donnée par :
𝑞1𝑞2
F= K 𝑟2
, q1, q2 sont les grandeurs des charges, r est la distance entre les charges.
1 𝐶2
Avec 𝑘 = 4𝜋𝜀 ; 𝜀𝑜 = 8,85 ∗ 10−12 𝑁−𝑚2 (ou 𝑘 =9,0*109N-m2⁄C2)
0
Champ Electrique
Le champ électrique est caractérisé par une région de l’espace dans laquelle une charge est soumise à une
𝐹
force électrique. E = 𝑞 , F est la force, q est la charge
Différence de potentiel
La différence de potentiel V entre deux points ou règne un champ électrique est la quantité de travail qu’il
𝑊
faut pour amener une charge de 1 C d’un des points à l’autre. V= 𝑞 , W est le travail en joule et q la charge
en coulomb.
Problème
Quel doit être l’intensité d’un champ électrique pour qu’il exerce sur un proton une force égale à son poids
au niveau de la mer ?
Courant Electrique
Un écoulement de charges d’un endroit à un autre constitue un courant électrique.
Si une quantité de charge q passe d’un point donné pendant un intervalle de temps t, le courant du conducteur
𝑞
est : I = 𝑡 , l unite du courant I est l’Ampère.
Loi d’Ohm
Pour qu’il y ait un courant dans un conducteur, il doit y avoir une différence de potentiel entre ses extrémités.
Cette relation est connue sous le nom de loi d’Ohm et s’exprime ainsi : V= R*I
Résistivité
𝐿
La résistivité d’un conducteur suivant loi d Ohm est donnée par : R = 𝜌 𝑆, L la longueur du conducteur, S la
section droite, 𝜌 la résistivité du matériau.
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Puissance Electrique
La vitesse à laquelle le travail est effectué pour maintenir le courant électrique est donnée par le produit de
l’intensité du courant I par la différence de potentiel V : P= V*I.
𝑉2
Avec des démonstrations, on peut trouver que : P = 𝑅
, P = R∗ 𝐼 2
Problème
Un appareil de chauffage électrique de 120 V consomme un courant de 25 A. Quelle est sa résistance ?
Circuits à courant continu
Résistance en série
Si les résistances sont montées en série c est-à-dire l’une à la suite de l’autre, la résistance équivalente à leur
ensemble est la somme de chacune des résistances.
R=𝑅1 + 𝑅2 + 𝑅3 + ⋯.
Schéma
Résistance en Parallèle.
Dans un ensemble de résistance en parallèle, les bornes correspondantes des résistances sont branchées
1
ensemble. L’inverse 𝑅 de la résistance équivalente à l’ensemble est la somme des inverses de chacune des
résistances :
1 1 1 1
= + + +⋯
𝑅 𝑅1 𝑅2 𝑅3
Schéma
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𝑅1 𝑅2
S’il s’agit de deux résistances montées en parallèle on a : R =
𝑅1 +𝑅2
Exo : Trouvez la résistance équivalente du circuit représenté sur la figure
Force Electromotrice et Résistance interne
Le travail effectue par coulomb sur la charge traversant une pile, un générateur ou une autre source de
charges électriques est appelé force électromotrice, ou f.é.m. de la source. La f.é.m. est égale à la différence
𝜖
de potentiel aux bornes de la source quand aucun courant ne la traverse : I=𝑅+𝑟
Loi de Kirchhoff
Le courant circulant dans chaque branche d’un circuit complexe peut être trouvé en appliquant les lois de
Kirchhoff au circuit. La première loi s’applique aux nœuds de trois fils ou plus et est une conséquence de la
conservation de la charge. La deuxième s’applique aux mailles qui sont des chemins conducteurs fermes du
circuit et est une conséquence de la conservation de l’énergie. Les lois sont :
1- La somme des courants circulant vers un nœud est égale à la somme des courants circulant hors du
nœud.
2- La somme des f.é.m. le long d’une maille est égale à la somme des chutes ohmiques de potentiels
IR le long de la maille.
Schéma.
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Méthodologie : Un sens est choisi arbitrairement pour le courant traversant chacune des résistances comme
sur la figure. Si le choix est correct, le courant est positif, sinon le courant est négatif. Ensuite, en faisant le
tour de la maille (le tour peut être fait dans le sens des aiguilles d’une montre ou l’inverse) une f.é.m. est
comptée positivement si la borne – de sa source est rencontrée en premier, négativement si c’est la borne +
qui est rencontrée en premier. Pour terminer, une chute ohmique de potentiel IR est comptée positivement
si le courant de la résistance R est de même sens que le chemin suivi, négativement si le sens est contraire
de celui du chemin.
Dans le cas du circuit représenté sur la figure, la première loi de Kirchhoff appliquée soit au nœud a soit au
nœud b est : 𝐼1 =𝐼2 + 𝐼.
La deuxième loi appliquée à la maille 1, représenté sur la figure, en procédant dans le sens contraire des
aiguilles d’une montre donne : 𝜖1 = 𝐼1 𝑅1 + 𝐼2 𝑅2 .
Condensateurs
Le condensateur est un système qui emmagasine de l’énergie sous forme d’un champ électrique.
La capacité d’un condensateur est le rapport de la charge par la différence de potentiel entre les plaques : C
𝑄
= 𝑉 , La capacité s’exprime en Farad(F).
1 micro farad =1𝜇𝐹=10−6 F
1 Pico farad = 1pF=10−12 𝐹
Condensateur à Plaques Parallèles
Un condensateur constitué par deux plaques parallèles, chacune de surface A, distantes de d, a une capacité
𝐴
de : C = k𝜖0 𝑑
La constante ϵ0 est la permittivité du vide : 8,85*1012 F/m
K est la constante diélectrique du matériau : k= 1 pour l’air, k=1,0006 une valeur type, k=6 pour le verre et
k= 80 pour l’eau.
Condensateur en série
La capacité équivalente d’un ensemble de condensateurs montés en série est :

1 1 1 1
𝐶
=𝐶 +𝐶 +𝐶 +⋯
1 2 3
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𝐶1 𝐶2
S’il n’y a que deux condensateurs : C =
𝐶1 +𝐶2
Schéma
Condensateur en Parallèle
Dans un ensemble de condensateurs montés en parallèle, la capacité équivalente est la somme des capacités
constituantes : C=𝐶1 + 𝐶2 + 𝐶3 + ⋯
Energie d’un condensateur chargé
1 1 1 𝑄2
W = 2 𝑄𝑉 = 2 𝐶𝑉 2 = 2 𝐶
Problème
Un condensateur de 2𝜇F et un condensateur de 3𝜇F sont montés en série. Quelle est la capacité équivalente
? Une différence de potentiel de 500 V est appliquée à l’ensemble. Trouver la charge de chacun des
condensateurs et la différence de potentiel aux bornes de chacun d’entre eux ?
Courant Alternatif
La fréquence d’un courant alternatif est le nombre de cycles complets dans les deux sens par lequel il passe
chaque seconde. L’unité de la fréquence est l’Hertz, 1Hz=1 cycle⁄ seconde.
La fréquence angulaire est : 𝑤 = 2𝜋𝑓 exprimée en radian.
De même : 𝐼 = 𝐼𝑚𝑎𝑥 𝑠𝑖𝑛2𝜋𝑓𝑡 = 𝐼𝑚𝑎𝑥 𝑠𝑖𝑛𝑤𝑡

𝐼𝑚𝑎𝑥
Valeurs efficaces : 𝐼𝑒𝑓𝑓 =
√2
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Réactance
La réactance d’une bobine est une mesure de son efficacité à s’opposer à la circulation d’un courant alternatif
du fait de sa force contre électromotrice auto-induite. Elle a pour symbole ZL et pour l’unité henry. XL=
2𝜋𝑓𝐿
1
Réactance Capacitive notée XC = 2𝜋𝑓𝐶
Quand une différence de potentiel de fréquence f est appliquée aux bornes d’un condensateur ou d’une
bobine, on a les relations suivantes : I = 𝑉⁄𝑋 = 𝑉 ⁄ 𝑋𝐿
𝐶
Impédance
L’impédance d’un circuit en courant alternatif contenant une résistance, inductance et une capacité est
équivalente à la résistance d’un circuit en courant continu. L’impédance, notée Z a pour expression :
Z=√𝑅 2 + (𝑋𝐿 − 𝑋𝐶 ) .
𝑉
L’unité de Z est l’Om, I = 𝑍
La différence de potentiel est : 𝑉 = √𝑅 2 + (𝑉𝐿 − 𝑉𝐶 )2 avec 𝑉𝑅 = 𝐼𝑅,
𝑉𝐿 = 𝐼𝑋𝐿 , 𝑉𝐶 = 𝐼𝑋𝐶
1
Résonance : 𝑓0 = 2𝜋 , ceci est possible quand les éléments passifs sont montés en série et l’impédance
√𝐿𝐶
est minimum.
𝑋𝐿 −𝑋𝐶
Le déphasage : tan𝜑 = 𝑅
Si 𝑋𝐿 ˃𝑋𝐶 l’angle de déphasage 𝜑 est positif et la tension est en avance sur le courant de𝜑.
Si𝑋𝐶 ˃𝑋𝐿 , l’angle de déphasage 𝜑 est négatif et la tension est en retard de 𝜑.
𝑅
A la résonance 𝑋𝐿 = 𝑋𝐶 et 𝜑=0. Une formule donnant l’angle de déphasage est : 𝐶𝑜𝑠𝜑 =
𝑍
𝑅 𝑅
Facteur de puissance : cos 𝜑 = =
𝑍 √𝑅2 +(𝑋𝐿 −𝑋𝐶 )2
Puissance dissipée : P = IV cos 𝜑 , a la résonance 𝜑 = 0, 𝑐𝑜𝑠𝜑 = 1
Problème
Un condensateur de 50𝜇𝐹, a une bobine de 0,3 H et une resistance de 80 Ὥ sont montés en série avec une
source de 120 V, 50 Hz. Quelle est l’impédance du circuit ? Quel est le courant qui le parcourt ? Quel est le
facteur de puissance ? Quelle est la puissance dissipée dans le circuit ?
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Optique
La vitesse de la lumière est : C = 3,00*108m⁄s.

Le flux lumineux est : F = 4𝜋𝐼, I : l’intensité lumineuse.
Réflexion de la Lumière
𝐶
Indice de réfraction de la lumière : n =𝑉, l’indice de refraction dans l’air est 1.
𝑠𝑖𝑛 𝑖 𝑛
Loi de Descartes : sin 𝑟 = 𝑛2
1
Problème
Un faisceau lumineux frappe une vitre sous un angle de 500. Si l’angle de réfraction est égal à 300, trouver
l’indice de réfraction du verre.
Les miroirs sphériques
Distance Focale
1 1 1
Équation du miroir : 𝑃
+ = , p : distance de l’objet, q : distance de l’image,
𝑞 𝑓
f : distance focale
Lentilles
1 1 1
Distance focale : 𝑓 = (𝑛 − 1)(𝑅 + 𝑅 ), Lentilles convergentes
1 2
Problème
Une lentille convergente a une distance focale égale à 10 cm. A quelle distance d’un objet doit-on la tenir
pour obtenir une image droite, virtuelle grossie trois fois ? Quelle est la distance de l’image ?
Magnétisme
𝜇𝐼 𝑁𝑒𝑤𝑡𝑜𝑛
Induction magnétique : 𝐵 = 2𝜋𝑆, Unité Tesla, 1 Tesla = 1 𝐴𝑚𝑝𝑒𝑟𝑒−𝑚𝑒𝑡𝑟𝑒
1 gauss = 10-4 Tesla
𝜇: La perméabilité du milieu. La perméabilité du vide est :
𝜇0 = 4𝜋 ∗ 10−7 𝑇 − 𝑚 ⁄ 𝐴
𝜇𝐼
Induction magnétique d’une spire : 𝐵 = 2 𝑟 (spire)
𝑁
Induction magnétique d’un solénoïde : 𝐵 = 𝜇 𝐿 𝐼 (solénoïde)
Force magnétique appliquée à une charge en mouvement : 𝐹 = 𝑄𝑣𝐵(𝑣 ⊥ 𝐵)
Force magnétique appliquée à un courant : 𝐹 = 𝐼𝐿𝐵 (I ⊥ B)
𝐹 𝜇 𝐼 𝐼
Force s’exerçant entre deux courants : 𝐿 = 2𝜋0 1𝑆 2 (courants parallèles)
𝐵
Champ magnétique : 𝐻 = 𝜇, (𝐴 ⁄m)
Problème
Un câble situé à 5 m, au-dessus du sol transporte un courant de 100 A d’est en ouest. Trouver la direction
et l’intensité de l’induction magnétique sur le sol directement sous le câble. On négligera le champ
magnétique terrestre.
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NOMBRES COMPLEXES
Définition
 Soit 𝑧 un nombre compexe

𝑧 = 𝑎 + 𝑏𝑖 𝑜𝑢 𝑧 = (𝑎, 𝑏) , (avec, a : partie réelle et b : partie imaginaire)
 Complexes imaginaires pures : 𝑧 = 𝑏𝑖
 Complexe nul: 𝑧 = (0,0)
 Conjugue de 𝑧: 𝑧̅ = 𝑎 − 𝑏𝑖
 Module de 𝑧: |𝑧| = √𝑎2 + 𝑏 2
Operations entre les complexes
Soient deux complexes 𝑧 = 𝑎 + 𝑏𝑖 𝑒𝑡 𝑧 ′ = 𝑎′ + 𝑏′𝑖
 Egalité de deux complexes

𝑧 = 𝑧 ′ ⇔ 𝑎 = 𝑎′ 𝑒𝑡 𝑏 = 𝑏′
 Addition de deux complexes
𝑧 + 𝑧 ′ = (𝑎 + 𝑎′ ) + (𝑏 + 𝑏 ′ )𝑖
 Multiplication de deux complexes
𝑧 ∗ 𝑧′ = (𝑎𝑎′ − 𝑏𝑏 ′ ) + (𝑎𝑏 ′ + 𝑏𝑎′)𝑖
 Inverse d’un complexe
1 𝑎 − 𝑏𝑖 𝑧̅
= 2 2
= 2
𝑧 𝑎 +𝑏 |𝑧|
 Division
𝑧 𝑧 ∗ 𝑧′ ̅
=
𝑧′ |𝑧′|2
 Racine carrée d’un complexe
Les racines carrées d’un complexe 𝛼 donne sont les solutions dans ℂ de l’equation:
𝑧2 = 𝛼
Remarque :
- la notation √𝑧 avec z ∈ C, n’existe pas
- ∀n ∈ N : 𝑖 4𝑛 = 1, 𝑖 4𝑛+1 = i , 𝑖 4𝑛+2 = −1, 𝑖 4𝑛+3 = −i .
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Exemple 1: (−2, 3) + (1, −5) = (−1, −2)
Exemple 2: (−2, 3). (1, −4) = ((−2).1 – 3. (−4), (−2). (−4) + 3.1) = (10, 11)
(−2 + 3i)2 = 4 − 12i + 9i2 = −5 − 12i

−2 − 3𝑖
Exemple 3: l’inverse de (−2 + 3i) est 13
Exemple 4 : le quotient de −2 + 3i par 1 − 5i est le complexe
(−2 + 3𝑖)(1 + 5𝑖) (−17 − 7𝑖)

𝑧= =
26 26
Exemple 5: Trouver les racines carrées de −3 + 4i
Résolution de l’équation du second dégrée dans C
Dans C, toute équation du second degré admet deux solutions.

Considérons l’équation: az2 + bz + c = 0, avec a, b, c ∈ C et a ≠ 0
Calculons ∆ = b2 − 4ac.
Déterminons alors un complexe zo tel que ∆ = zo2.
Des lors, les solutions de l’équation sont données par
(−𝑏 + 𝑧𝑜) (−𝑏 − 𝑧𝑜)

𝑧′ = 𝑒𝑡 𝑧 ′′ =
2𝑎 2𝑎
.
Remarque : si a, b, c ∈ R et si ∆ < 0 alors 𝑧o = 𝑖√−∆
Exemple 6 : Résoudre iz2 + 3z − 2i = 0

3𝑖 + 𝑖 3𝑖 − 𝑖
Sol: 𝑧 ′ = 2
= 2𝑖 𝑒𝑡 𝑧 ′′ = 2
=𝑖
Forme trigonométrique des complexes
La forme trigonométrique du complexe z = a + ib (a, b ∈ R)

est z = |𝑧| (cos(𝜃) + i sin(𝜃)) avec θ ∈ R.
θ est l’argument de z, mesure en radians et défini à 2kπ près, k ∈ Z
Vu l’´égalité des complexes, on a:
𝑎 = |𝑧|cos(𝜃)
{
𝑏 = |𝑧|sin(𝜃)
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Remarque : Si z = |𝑧| (cos(𝜃) + i sin(𝜃)) alors 𝑧̅ = |𝑧| (cos(−𝜃) + i sin(−𝜃))
Exemple
Déterminer la forme trigonométrique de 1 − i.
𝜋 𝜋
Sol: 1 − 𝑖 = √2(cos(− 4 ) + 𝑖 sin(− 4 ))
Operations sur les complexes écrits sous forme trigonométrique

Soient z1 = |z1|(cos(θ1) + i sin(θ1)) et z2 = |z2|(cos(θ2) + i sin(θ2)) deux nombres complexes sous forme
trigonométrique.
 Egalité
∀z1, z2 ∈ C : z1 = z2 ⇔ |z1|= |z2| et
 Multiplication
∀z1, z2 ∈ C : z1 . z2 = |z1|* |z2| (cos (θ1 + θ2) + i sin (θ1 + θ2))
 Inverse d’un complexe non nul
1 1
∀z ∈ C : 𝑧 = |𝑧|*(cos(−θ) + i sin(−θ))
 Division
∀z1, z2 ∈ C avec z2 ≠ 0 :
𝑧1 |𝑧1 |
= *[(cos(θ1 – θ2) + i sin(θ1 – θ2))]
𝑧2 |𝑧2 |
 Puissance
∀n ∈ Z, ∀z ∈ C : z n = |z|n (cos(nθ) + i sin(nθ))
 Formule de Moivre
∀n ∈ Zo : (cos θ + i sin θ)n = cos(nθ) + i sin(nθ)
 Racines nième d’un complexe non nul
𝑛 𝜃 2𝜋 𝜃 2𝜋
𝑧 = √|𝑧| × (cos ( + 𝑘 ) + 𝑖 sin ( + 𝑘 ))
𝑛 𝑛 𝑛 𝑛
Exercices
1. Si z = 1 − 2i, déterminer les parties réelles et imaginaire du complexe
𝑧2 + 𝑧 + 1
𝛼=
𝑧3 − 1
2. Résoudre dans C les équations suivantes

a- 𝑧 2 + 9 = 0
b- 2𝑧 2 + iz + 3 = 0
c- 𝑧 4 + 3𝑧 2 + 2 = 0
3. Effectuer en utilisant la forme trigonométrique des nombres complexes

√3−𝑖
a- 𝑧 = 1−𝑖
(1−𝑖)3
b- 𝑧 = 4(1+𝑖)4
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GEOMETRIE ANALYTIQUE
Elle est une approche de la géométrie dans laquelle les objets sont représenté par des équations ou des
inéquations. Elle est fondamentale pour la physique et l’infographie. En géométrie analytique, le choix d’un
repère est indispensable.
1- Repère du plan
Définition : Une base du plan constitué par deux vecteurs 𝑖⃗⃗ et 𝑗⃑ lineairement independant (c’est-à-
dire non parallèle et non nuls) et un point O forment un repère du plan . Le point O est l’origine du
repère. Les droites passant par l’origine et dont des vecteurs sont les vecteurs de base sont appelées axes
du repère.
Dessin 1
2- Composantes d’un vecteur et coordonnes d’un point.

Dans le repère choisi tout vecteur K est une combinaison linéaire des vecteurs 𝑖⃑ et 𝑗⃑
⃗⃑ = a𝑖⃗⃑+ b𝑗⃑ a et b des réels.

𝐾
Le couple (a, b) représente les composantes. Dans le repère ( O,𝑖⃑,𝑗⃑ ) , (a,b) sont les
coordonnées d’un point K quelconque du plan si
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃑
𝑂𝐾 = a𝑖⃗⃑+ b𝑗⃑.
Un repère est orthonormé si les vecteurs de bases sont perpendiculaires et norme unitaire.
3- Produit scalaire dans un repère orthonormé. Dans le plan muni d’un repère orthonormé, le
⃗⃗⃑ et 𝑽
produit scalaire des vecteurs 𝑼 ⃗⃑.
⃗⃑ de composante (a,b) dans un repère orthonormé vaut

La norme de vecteurs 𝑈
⃗⃑‖= √𝑎2 + 𝑏 2
‖𝑈
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4- Droite dans le plan

Définition vectorielle d’une droite
⃗⃑ un vecteur non nul.
Soit A un point et 𝑈
⃗⃑ . d est l’ensemble des
Soit d’une droite qui passe par le point A et de vecteur directeur 𝑈
points P/ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃑
𝐴𝑃 = r𝑈 ⃗⃑.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃑,𝑈
Soit M (x,y) un point quelconque de d , det(𝐴𝑀 ⃗⃑)=0 .
5- Equation cartésienne d’une droite

ax + by + c=0 avec (a, b) couple non nul
L’équation nous donne certaines informations sur la droite.
Vecteur normal : N (a, b)
Vecteur directeur : U (-b, a)
N et U sont perpendiculaires (NU=0).
6- Angles entre deux droites

⃗⃑ et 𝑉
Soient d et d’ deux droites sécantes , de vecteurs directeurs 𝑈 ⃗⃑ respectivement.
⃗⃑𝑉
𝑈 ⃗⃑ = ‖𝑈‖‖𝑉‖cos(α) avec α l’angle entre les deux droites.
7- Equation d’une droite

Soit d’une droite / y= mx + p
m : coefficient angulaire ou pente de la droite.
(x, y) un point de la droite.
Tout point B (a, b) de la droite vérifie l’équation de la droite.
N.B : Deux droite parallèles ont même coefficient angulaire.
8- Droites parallèles
Soient d et d’ deux droites / d : 𝑎𝑥 + 𝑏𝑦 + 𝑐 = 0 𝑒𝑡 𝑑’: 𝑎’𝑥 + 𝑏’𝑦 + 𝑐’ = 0.
Elles sont parallèles si et seulement si a/a’=b/b’.
Deux droites parallèles ont même vecteurs directeurs.
Elles sont confondues si et seulement si a/a’=b/b’=c/c’
9- Droites perpendiculaires
Deux droites sont perpendiculaires si et seulement si le vecteur normal de l’un est le vecteur
directeur de l’autre.
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10- Distance dans le plan

Distance entre deux points.
Soient A(𝑋𝐴 ,𝑌𝐴 ) et B (𝑋𝐵 ,𝑌𝐵 ) deux points .
|𝐴𝐵|=√( 𝑋𝐵 − 𝑋𝐴 )2 + ( 𝑌𝐵 − 𝑌𝐴 )2
Cercle
Soit 𝑃0 un point du plan et r un réel positif.
Dessin 2
Po
𝑃0 de coordonnée (𝑥0 ,𝑦0 ), P (x,y) un point du cercle.
(𝑥 − 𝑥0 )2 +(𝑦 − 𝑦0 )2 =𝑟 2
Centre du cercle : 𝑃0
Rayon du cercle : r
Plan
Un plan est engendré par deux vecteurs directeurs.

Soit P un plan.
⃗⃑ et 𝑉
Soient A un point fixe, 𝑈 ⃗⃑ deux vecteurs non colinéaire du plan P.
⃗⃑,𝑉
Soit M (x,y) un point quelconque du plan P, det(AM,𝑈 ⃗⃑ ) = 0
Exo
Soient d et d’ deux droites / d :2x+y-1=0 d’ : x = y.

Soit P le point d’intersection des deux droites.
a) Déterminer l’équation paramétrique de α. Cette droite passe par l’origine et de vecteur normal N
(2,1)
b) Déterminer l’équation cartésienne de la droite a, a est perpendiculaire à d et elle passe par P.
c) Déterminer l’équation de la droite g, droite qui est parallèle à d et qui passe par B (1,4).
d) Détermine l’équation cartésienne de la droite s qui passe par G (1,4) et P.
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FRANÇAIS
La notion de phrase
Définition : On entend par phrase, un mot ou un groupe de mots qui traduit une idée.
Ex : Bonjour !
Humm !
Le chapeau noir de mon père.
Comment tu vas
Types de phrases
Il existe quatre grands types de phrases :
Phrase déclarative : Type de phrase par lequel on constate un fait, on transmet une information ou on
exprime une opinion, un jugement.
Ex : Mon père s’appelle Jean Pierre CHARLES
Phrase interrogative : type de phrase par lequel on demande une information en posant une question.
Ex : Quel est ton nom ? ; Qu’est –ce - que la philosophie ?
Phrase exclamative : Type de phrase par lequel on exprime une émotion ou un sentiment vif (surprise,
étonnement, plaisir, colère, indignation).
Ex : Quelle chaleur ! ; C’est la vie ! ; Chut !
Phrase injonctive : Type de phrase par lequel on cherche à faire agir, on défend ou on ordonne de faire
quelque chose.
Ex : Conseille – moi. ; Dis – moi ce que je dois faire. ; Va chercher de l’eau à la rivière.
 Formes de Phrases
Toute phrase française de type déclaratif, interrogatif, exclamatif ou injonctif peut se présenter sous
l’une ou plusieurs formes suivantes : affirmative ou négative ; active ou passive ; neutre ou
emphatique, selon le cas :
Phrase affirmative : forme de phrase qui affirme une réalité, qui exprime ce qui est.
Ex : Je suis un garçon.
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Phrase négative : forme de phrase qui nie une action, un fait. On exprime ce qui n’est pas. Ex : Je ne suis
pas un postulant à ce concours.
 Elle est le plus souvent le résultat de la transformation d’une phrase négative à l’aide d’un adverbe
composé de négation (ne…pas, ne…plus ; ne…guère ; ne………jamais, etc.…).
Phrase active : forme de phrase où le sujet fait l’action exprimée par le verbe.
Ex : Je mange trois mangues.
Phrase passive : forme de phrase où le sujet subit l’action exprime par le verbe.
Ex : Une voiture est achetée par Pierre.
Phrase emphatique : forme de phrase dans laquelle on insiste sur un de ses composants, généralement le
sujet ou verbe.
Ex : Marie, Marie est sage. ; Va, va au marché maintenant.
Phrase neutre : forme de phrase dont l’ordre des mots est : Sujet/ Verbe / complément.
Ex : il neige en France. ; Les élèves sont sur la cour.
 Phrase verbale et non verbale
1) Phrase verbale : Phrase qui contient un verbe conjugué.
Ex : Je parle à mon père.
2) Phrase non verbale : phrase qui ne contient pas de verbe conjugué.
Ex : Quel bonheur ! ; Inauguration de notre université. ; Un enfant à l’école.
 Phrase simple et Phase complexe

1) Phrase simple : Phrase constitue d’une seule proposition.
Ex : Je me lève tôt ce matin pour venir à la fac.
2) Phrase complexe : phrase formée de plusieurs propositions.
Ex : Je parle au téléphone, puis je regarde la télé.
NB : les phrases peuvent être complexe par :
a) Juxtaposition : les propositions sont séparées entre elles par des virgules.
Ex : va, court, vole !
b) Coordination : les propositions sont reliées entre elles par des conjonctions de coordination
(mais, ou, et, cependant, ainsi, or, ni, car, pourtant, etc.…).
Ex : Jean en avait de violent maux de tête, et il lui arrivait de se réveiller au milieu de la
nuit.
c) Subordination : les propositions sont subordonnées entre elles par des conjonctions de
subordination (que, quand, lorsque, depuis que, comme, alors que, étant donné que, parce
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que, pour que, etc.) ou des pronoms relatifs simples et composes. Ex : Il n’y a plus de moyen
de dormir tranquillement, depuis que ces deux gamines lui ont donné des idées de grandeur ;
Delphine et Marinette, qui voulaient faire plaisir à leurs parents, décidèrent de garder le
secret (…)
Exercices
A.- Dites si les phrases suivantes sont simples C.- Dans les phrases suivantes, quel est
ou complexes. l’antécédent du pronom relatif
1. Dis- moi où tu vas ? 1. Nous allons déménager dans le quartier où tu
2. Je suis fiévreuse, j’ai des courbatures partout. es né.
3. Les journalistes se sont rendus sur les lieux de 2. Je suis retourne au magasin où j’avais acheté
l’accident juste âpres l’arrivée des secours. les disquettes.
4. Le boucher du quartier ne vend que de la 3. Le village charmant dont tu m’avais parlé se
viande de première qualité. trouve à trois kilomètres d’ici.
5. La victoire inattendue du PSG a réjoui tous les
supporteurs qui avaient fait le déplacement.
4. Il a inventé une voiture non polluante qui se
B.- Dites si les phrases complexes suivantes carbure à l’eau de mer.
sont construites par juxtaposition, 5. On m’a raconté une histoire qui m’a beaucoup
coordination ou subordination. faire rire.
1. Sortez tranquillement et prenez l’ascenseur.
2. Il est entre dans la bibliothèque, il a tout de D. Dans les phrases suivantes, quel est le mode
suite vu le cadavre. du verbe de la subordonnée ?
3. Le suspect dont je te parle à un alibi sérieux. 1. Je voudrais un appartement qui ait vu sur Best-
4. Sais – tu qui le commissaire interrogera le Western.
premier ? 2. Elle a utilisé la recette que j’ai lui avais donnée.
5. Il refusa de s’occuper de cette affaire car il 3. Il nous a dit que quelqu’un viendrait le
avait quitté la PJ. chercher.
4. Mes parents aimeraient que je finisse mon
travail à temps.
5. Je ne pense pas que vous arriverez à l’heure.
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E. Construisez : 4. Cinq phrases complexes.
1. Trois phrases nominales ; 5. Six phrases dans chacun des types de phrases ;
2. Trois phrases verbales ;
3. Cinq phrases simples ; 6. Trois phrases dans chacune des formes de

phrases.
Les signes de ponctuations
Un texte est constitué de pauses, de silences et d’intonations identifiés par la ponctuation.
On distingue la ponctuation forte, qui exige un arrêt long et appelle une majuscule à sa suite, et la
ponctuation faible qui correspond à un arrêt plus court, à l’intérieur de la phrase, et ne demande pas de
majuscule.
 La ponctuation forte
1. Le point (.) : Il clôt la phrase déclarative ;
2. Les points de suspension (…) : Ils montrent que la pensée a été interrompue ou que l’idée reste
« reste suspendue », « en l’air » pour laisser le lecteur réfléchir ou rêver.
3. Le point d’exclamation (!) : Il marque la fin d’une phrase exclamative souvent pleine d’émotion.
4. Le point d’interrogation (?) : Il se place à la fin d’une phrase interrogative et traduit une question.
 La ponctuation faible
1. La virgule (,) : C’est une pause courte qui sépare des éléments énumérés, apposés ou les
compléments circonstanciels.
2. Le point-virgule (;) : Il correspond à une pause intermédiaire entre le point et la virgule. Il relie
des propositions proches par le sens.
3. Les deux points (:) : Ils introduisent des paroles rapportées directement ; une énumération ; une
citation ; une explication (car) ou une conséquence (donc).
4. Les points de suspension (…) : situes dans la phrase, ils expriment l’hésitation, le silence.
5. Le tiret (-) : Il indique le changement de locuteur dans un dialogue.
6. Les guillemets (« ») : Ils encadrent un long dialogue ou une citation.
7. Les parenthèses () : Elles ajoutent une indication de moindre importance.
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Exercices
1--Recopiez ce texte, puis replacez les points et guère à regarder ce spectacle extraordinaire. En
les majuscules qui ont été retirés. son for intérieur il se demanda lequel des deux il
aiderait et décida de se porter au secours du lion
Alors le lion se mit en route, d’une démarche
car on ne peut que chercher à nuire à un être
d’abord lente, puis de plus en plus vite stupéfait,
venimeux et perfide.
Bastien observait qu’à chaque nouvelle colline de
sable le pelage et la crinière du lion changeaient 3--Recopiez ce texte en prenant soin de lui
de teinte, toujours en liaison avec la couleur de la rendre tous ses signes de ponctuation et ses
dune bientôt, Graograman se mit à sauter d’un majuscules.
sommet à l’autre en faisant des bonds
On me porta jusqu'à l’estrade et je restai suspendu
impressionnants ; il progressait maintenant à une
en l’air soutenu par les sorcières la grandissime
vitesse folle et ses puissantes griffes touchaient à
m’adressa un affreux sourire tout en tenant le
peine le sol le changement de couleur de son
petit flacon bleu de potion elle déclara un peu de
pelage se faisait de plus en plus vite, au point que
potion maintenant bouchez-lui le nez pour qu’il
Bastien commença à ressentir des éblouissements
ouvre la bouche
et à voir toutes les couleurs en même temps ,
Des doigts vigoureux me pincèrent le nez […]
comme si l’animal gigantesque n’était qu’une
j’ouvris la bouche pour expulser une bouffée
unique opale irisée il dut fermer les yeux.
d’air la grandissime sorcière en profita pour
2--Toutes les virgules ont été supprimées glisser le contenu entier du flacon dans ma gorge.
(douze) : remplacez –les. Quelle horreur j’avais l’impression d’avoir avalé
de l’eau bouillante ma gorge était en feu […]
Monseigneur Yvain cheminait absorbe dans ses
Ensuite je sentis ma peau rétrécir comment dire
pensées dans une forêt profonde lorsqu’il entendit
du sommet de mon crane jusqu’au bout de mes
au cœur du bois un cri de douleur perçant. Il se
orteils je rétrécissais […]
dirigea alors vers l’endroit d’où venait le cri et
Après quoi je sentis une douloureuse sensation de
quand il y fut parvenu il vit dans une clairière un
picotement sur ma peau ou plutôt sur ce qu’il en
lion aux prises avec un serpent qui le tenait par la
restait c’était comme si de minuscules aiguilles
queue et qui lui brulait les flancs comme une
sortaient de mon épiderme maintenant je me
flamme ardente. Monseigneur Yvain ne s’attarde
rends compte que des poils de souris poussaient.
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Organisation des paragraphes

La mise en page
Vous devez toujours commencer une phrase par une lettre majuscule et la terminer par un signe de
ponctuation forte. En juxtaposant vos phrases, vous formerez des paragraphes.
N’oubliez pas d’aller à la ligne et de commencer à écrire à deux carreaux de la marge sur votre copie. Cet
espace blanc se nomme un alinéa.
Changez de paragraphe dès que vous changez d’idée : N’oubliez pas qu’un paragraphe peut être composé
d’une seule phrase !
Enchainez les phrases dans un paragraphe : thème et propos

Chaque phrase est formée d’un thème (sujet aborde) et d’un propos (ce que l’on en dit).
 Les équipages rivalisaient de vitesse pour gagner la plage.
Thème propos
Dans un paragraphe, vous pouvez enchainer les phrases de trois façons :

1) Vous reprendrez le même thème pour chaque phrase :
Joseph Pierre veut visiter l’ile. Ce garçon est courageux. Il monte dans le canot. Dans ce cas, on parle de
progression à thème constant.
2) Le propos d’une phrase devient le thème de la suivante :
Joseph arrive sur l’ile. Cette terre est couverte d’une végétation luxuriante. Dans ce, on parte de
progression linéaire.
3) Vous déclinez des parties d’un thème de départ dans les phrases suivantes :
Joseph Pierre est grand et fort. Sa figure est grosse comme un jambon. Sa jambe gauche est à couper à
la hanche. On parle de progression éclatée.
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Les mots de liaison
Lorsque vous passez d’une idée à l’autre, n’oubliez pas d’utiliser :
 Des connecteurs temporels qui indiquent quand les faits sont arrivés et les situent les uns par
rapport autres : auparavant, en même temps, puis, hier, souvent, soudain…
 Des connecteurs spatiaux qui donnent des repères dans l’espace et te servent à organiser votre
texte : ici, là, à gauche, de ce côté, en haut, devant…
 Des connecteurs logiques qui structurent un texte explicatif ou argumentatif :
 Relation de cause : car, en effet, parce que, comme, à cause de, en raison de ….
 De conséquence : donc, par conséquent, c’est pourquoi, alors, ainsi, de sorte que
 D’addition : et, ni, puis, enfin, de plus, en outre, également, aussi….
 D’alternance : ou, soit…soit, d’une part…, d’autre part…
 D’opposition : mais, or, au contraire, pourtant, cependant, malgré, alors tandis
que.
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Exercices
A--Recopiez le texte suivant en rétablissant les gigantesque a une vitesse telle que le tourbillon
paragraphes. des minuscules animales phosphorescentes
l’enveloppa d’un manteau d’étincelles.
« C’est un mauvais temps pour les dindons, fit
observer Delphine, et pour les autres bêtes aussi. C--Ce petit texte a été écrit par un postulant
Heureusement, ça ne dure jamais longtemps. qui n’a pas compris l’avantage d’enchainer
Mais s’il pleuvait pendant quarante jours et correctement les phrases les unes avec les
quarante nuits ? – Il n’y a pas de raison, dit autres. Repérez et expliquez ses erreurs, puis
Marinette. Pourquoi veux-tu qu’il pleuve pendant corrigez-en.
quarante jours et quarante nuits ? – Bien sûr.
Le moineau s’est perché dans le cerisier. Il a
Mais, je pensais qu’au lieu de jouer au loto, on
chanté un air plein d’entrain. Il était chargé de
pourrait peut-être jouer à l’arche de Noé. »
belles cerises bien rouges. Un corbeau s’est posé
Marinette trouva l’idée très bonne et pensa que la
à côté de lui. Il a poussé un cri car il picorait un
cuisine ferait un excellent bateau. Quant aux
fruit juteux. Alors j’ai chassé l’oiseau et j’ai
bêtes, les petites ne furent pas embarrées pour les
magné des cerises avec lui. Le soleil brillait. Il
trouver. Elles allèrent à l’écurie et à la bassecour
était joyeux.
et décidèrent facilement le bœuf, la vache, le
cheval, le mouton, le coq, la poule, à les suivre Rétablissez le lien logique qui s’impose en
dans la cuisine. utilisant les connecteurs logiques qui
conviennent.
B--Dans chacune des propositions comportant
1. La voiture ……le feu passe à l’orange.
un verbe conjugue, souligne le thème en rouge
2. Le ciel se couvre……je n’irai pas à la
et le propos en vert.
plage.
La femme continuait de nager vers le large. Elle 3. J’aime les fraises…….les
s’arrêtait de temps à autre pour vérifier sa framboises……..les je ne supporte
position en se repérant sur les lumières de la …….les murs ……..les groseilles.
maison. Il n’y avait pas de jusant, de sorte qu’elle 4. Prends une décision : tu continues
ne dérivait pas rapport à la plage. Mais elle se ……..tu arrêtes.
fatiguait. Elle se reposa un moment en battant 5. J’ai cassé mes lunettes ………je n’y vois
l’eau de ses mains, puis fit demi-tour. plus rien.
6. Il a mauvais caractère……il a bon cœur
A présent, les vibrations étaient plus intenses et le
………nous l’aimons beaucoup.
poisson reconnut une proie. Ses battements de
queue s’accélèrent, propulsant en avant son corps
UNIQ PREFAC
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Le pluriel des noms
1. En général, on forme le pluriel d’un nom en ajoutant S au singulier.

2. Les noms termines par – EU, -AU et EAU s’écrivent – AUX au pluriel.
Ex : un tuyau, des tuyaux ; un noyau, des noyaux ; un fléau, des fléaux.
Exceptions : un landau, des landaus ; un pneu, des pneus, un bleu, des bleus.
3. les noms et les adjectifs termines par – Al s’écrivent –AUX au pluriel.
Ex : un cheval, des chevaux ; un végétal, des végétaux, un rival, des rivaux ; vertical, verticaux ; spécial,
spatiaux.
Exceptions : les noms suivants : bal, chacal, carnaval ; festival, récital, régal prennent un S au
pluriel ; les adjectifs suivants : bancal, fatal, final, natal, natal, prennent un S aussi au pluriel.
4. Les noms terminés par – AIL s’écrivent – AILS au pluriel (des gouvernails, des portails).
Exceptions : un bail, des baux- du corail, des coraux – de l’email, des émaux – un soupirail, des
soupiraux – un travail, des travaux- un ventail, des ventaux – un vitrail, des viraux.
5. Les noms terminés par – OU prennent un S au pluriel (des verrous, des écrous).
Exceptions : bijou, caillou, chou, genou, hibou, joujou, poux ; ils prennent un X au pluriel.
6. Certains noms ne s’emploient qu’au pluriel :
Noms masculins : agissements, agrès, aguets, alentours, arrérages, confins, décombres, dépens, fastes,
gravats, honoraires, pénates, pourparlers, etc.
Noms féminins : affres, ambages, annales, archives, armoiries, arrhes, condoléances, entrailles,
fiançailles, hardes, mœurs, obsèques, représailles, semailles, ténèbres, etc.
7. Certains noms ne s’emploient pas au pluriel : le nord, le sud, le boire et le manger, le beau, etc.
8. Certains noms ont un sens différent au singulier et au pluriel : les ciseaux, le ciseau du sculpteur ; la
lunette de l’astronome et les lunettes.
9. Certains noms ont plusieurs pluriels : - Ail : des ails ou des aulx ; ŒIL : des yeux ou des œils (dans
certaines expressions) ; CIELS : les cieux (les nues) et les ciels (de lit) ou en poésie et en peinture ;
AIEULS : des aïeuls (grands - parents) ou des aïeux (ancêtres).
10. Les mots substantives, les lettres, les chiffres (sauf zéro) et les notes de musique sont toujours
invariables : les pourquoi, les pour et les contre, deux, quatre, des mi, des gens bien, des disques super,
des lunettes extra.
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11. Les noms propres peuvent ou non prendre la marque du pluriel.

- Les noms de personnes s’accordent s’ils sont pris comme modèles, s’ils sont des noms de vieilles
familles royales ou princières. Ils restent invariables s’ils désignent une famille ordinaire, s’ils ont un
article singulier, s’ils désignent les nombres d’une même famille, si ce sont des noms d’artistes qui
désignent des œuvres.
- Les noms géographiques, des peuples, de pays s’accordent s’ils désignent des ensembles distincts
et restent invariables s’il s’agit de la même ville, du même pays : Les deux Amériques, les Italiens, il y a
plusieurs Angleterre.
12. Les mots d’origine étrangère prennent un S au pluriel s’ils sont francisés ; d’autres gardent le pluriel
de la langue d’origine et les autres restent invariables : des agendas, des albums, des déficits, des muséums,
mais des duplicatas, des extras, des soprani, des ladies, des gentlemen des errata.
Le pluriel des noms composés

1. Noms composés d’un NOM et d’un ADJECTIF : ils prennent tous deux la marque du pluriel si le sens
le permet : des beaux-frères, des cerfs-volants.
2. Noms Composés de DEUX NOMS unis par une proposition : généralement seul le premier s’accorde :
des chefs-œuvre, des traits d’unions.
3. Noms composés de DEUX NOMS dont le premier se termine par – O : ce nom reste invariable : des
Anglos – Saxons, des broncho-pneumonies.
4. Noms féminins formés de DEUX NOMS dont le premier est GRAND : généralement, GRAND reste
invariable : Les grand-mères, les grand - routes.
5. Noms composés de DEUX NOMS dont le premier est GARDE : le nom GARDE ne s’accorde que s’il
désigne une personne : des gardes-chasses, des garde-boues.
6. Nom composé d’un VERBE et d’un NOM : le verbe est toujours invariable et le nom s’accorde si le
sens le permet : des abat – jours, des monte- charges, des passe- montagnes.
7. Noms composés qui portent la marque du pluriel au singulier, parce que le sens l’impose : un mille –
pattes, un vide- ordures, un porte – clefs, un essuie – mains, etc.
8. Noms composés qui restent invariables au pluriel parce que le sens l’impose : des faire-part, des réveille-
matin, des grille-pain, des tête-à-tête, etc.
9. Quelques noms composés au pluriel :
Des avant- projets des porte- parole des sauve- qui – peut des contre-ordres
Des serre – tête des fac –simulés des sous- mains des tragi – comédies.
Des passe- partout des sous-sols des volte – face des haut – parleurs.
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10. Quelques noms composés au singulier :

Un brise- lame un mille –pattes un presse – papiers un casse – noisettes.
Un serre – livres un chasse – mouche un porte – bagages un porte – clefs.
Accord des noms précédés d’une préposition et sans article
1. en général, un nom sans article et précédé de l’une des propositions à, de, en, sans, avec, peut s’écrire
au singulier au pluriel selon le sens : elle est arrivée en larmes, c’est le dernier verre à pied du service ; un
sac de billes ; une brosse à dents ; un sac de ciment ; un kilo de farine ; un mur en pierre ; des bottes de
cuir.
2. Cas où le nom s’écrit plutôt au SINGULIER :
- le nom désigne une matière, une espèce : une veste de cuir ; un vase de cristal ; un quart de chocolat,
etc.
- le nom désigne une réalité unique : un tabouret de piano, un bateau à moteur, un sac voyage, etc.
- le nom désigne un sentiment unique, une réalité abstraite : il est plein de haine ; elle pleure de rage.
3. Cas où le nom s’écrit plutôt au PLURIEL.
- le nom désigne plusieurs êtres ou objets : un toit d’ardoises ; une boite de bonbons ; un ciel sans
nuages ; une bouche sans dents ; un bouquet de fleurs ; une invasion de tourterelles, etc.
- le nom de ESPECE ou SORTE et précédé un nom au pluriel : j’ai acheté toutes sortes de gravures,
de voitures de toutes sortes.
Le féminin des adjectifs
1. Le féminin des adjectifs se forme généralement en ajoutant E à l’adjectif masculin (vrai, vrai).
2. Les adjectifs terminés par – GU : au féminin, le E est surmonté d’un tréma (ambigu, ambiguë ; aigu,
aiguë).
3. Des adjectifs particuliers (favori, favorite ; coi, coite ; beau, belle, nouveau, nouvelle ; fou, folle.
4. Les adjectifs terminés par – ER-IER prennent un accent grave sur le E de la dernière syllabe (léger,
légère ; ouvrier, ouvrière).
5. Les adjectifs terminés par –El, -EIL, -UL, EN, - On double la consonne finale (officiel, officielle ;
vermeil, vermeille ; nul, nulle ; indien, indienne ; breton, bretonne).
6. Les adjectifs terminés par –AN ne double pas le N (sultan, sultane ; persan, persane ; anglican,
anglicane).
Exception : paysan, paysanne.
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7. Les adjectifs terminés par –Al s’écrivent –ALE (amical, amicale ; frugal, frugale).
Exception : pâle, mâle, sale, avale ; ils se terminent déjà par un –E au masculin.
Il en est de même pour fidèle, parallèle, grêle, frêle.
8. Les adjectifs terminés par –ET doublent généralement le T (fluet, fluette ; muet, muette, violet, violette).
Exception : secret, secrète ; discret, discrète ; complet, complète ; inquiet, inquiète.
9. Les adjectifs terminés par –F s’écrivent –VE (neuf, neuve ; vif, vive ; veuf, veuve).
10. Les adjectifs terminés par –S doublent le S (gras, grasse ; épais, épaisse ; bas, basse ; épais, épaisse).
Exception : tiers, tierce ; gris, grise ; frais, fraiche ; ras, rase ; niais ; niaise.
11. Les adjectifs terminés par –OT doublent le T (palot, pâlotte ; vieillot, vieillotte).
Exception : manchot, manchote ; dévot, dévote ; idiot, idiote.
12. Pour certains adjectifs, il faut modifier la consonne finale (blanc, blanche ; turc, turque ; grec, grecque ;
bénin, bénigne ; malin, maligne ; long, longue ; rieur, rieuse ; créateur, créatrice, vengeur, vengeresse.
13. Les adjectifs terminés par –X s’écrivent – SE (précieux, précieuse).
Exception : roux, rousse ; faux, fausse ; doux, douce.
14. L’adjectif FEU ne s’accorde que s’il n’est pas séparé du nom auquel il se rapporte (Feu ma mère, ma
feue mère).
15. DEMI et NU ne s’accordent que s’ils sont placés après le nom. Sinon, ils restent invariables (un demi-
lieu, deux lieues et demie ; nu-jambes, jambes nues).
16. CHIC, SNOB et KAKI restent invariables (une kaki, une femme snob, une tenue chic).
L’accord des Adjectifs
1. L’adjectif qualificatif s’accorde en genre et nombre avec le nom avec le nom qu’il qualifie : une jolie
robe.
Cas particuliers
- Si un seul adjectif qualifie deux noms de genres différents, il s’écrit au masculin et on place le masculin
près de l’adjectif : les filles et les garçons sont absents ;
- Si plusieurs adjectifs qualifient un nom au pluriel, l’accord se fait au singulier ou au pluriel, selon le
contexte : les capitales française et italienne, les supporters parisiens et italiens ;
- Si l’adjectif est attribut de ON, l’accord est au masculin singulier si ON a une valeur neutre, et selon le
sens dans les autres cas : on n’est jamais satisfait de ses résultats ; ma sœur et moi, on est inséparables.
2. Les adjectifs MI, SEMI, DEMI, NU restent invariables s’ils sont placés devant un nom et rattachés à lui
par un trait d’union. Ils sont considérés comme des préfixes invariables (à mi-jambe, des semi-remorques,
des nu-pieds, des demi-heures).
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*Quand NU est placé après le nom, il s’accorde en genre et en nombre (les bras nus, les jambes
nues).
*Quand DEMI est placé après le nom, il s’accorde en genre seulement (deux pains et demi, trois
heures et demie.
Remarque : l’expression « à nu » reste invariable (une gorge à nu).
3. Au pluriel, les adjectifs composés s’accordent quand ils sont formés de deux adjectifs (aigres-douces).
* Si l’un des éléments est un mot invariable, une abréviation, un adjectif adverbialisé, un mot terminé par
–O ou –A, cet élément reste invariable : (infra-rouge ; ultra-violets).
4. Les adjectifs numéraux sont invariables.
Exceptions : vingt et cent s’accordent quand ils sont multipliés par et non suivis d’un autre nombre
(vingt francs ; quatre-vingts pages ; cent livres ; deux cents navires ; cent vingt ans ; quatre-vingt-trois
mots) ; on met un trait d’union entre les dizaines et les unités si les éléments ne sont pas unis par et (vingt-
deux, vingt et un).
MILLE est toujours invariable : (quatre mille dollars).
* Dans les dates, les pages et les numérotations de rues, on ne fait pas d’accord (l’an mille deux cent ;
j’habite au cent quatre-vingt de la rue Neuve).
5. Les adjectifs de couleurs s’accordent en genre en nombre quand ils ne comportent qu’un seul mot (des
filles blondes, des vélos jaunes). Les adjectifs de couleurs qui sont des mots dérivés s’accordent
normalement (des lèvres purpurines, des reflets mordorés, des teints basanés).
Remarque : les adjectifs exprimant une couleur par un symbole sont invariables (des chaussures
marronnes, des pulls orange, des cravates olive, des rideaux crème).
Exceptions : châtain, écarlate, fauve, mauve, pourpre, rose, vermeil (des tissus roses, des soies
mauves).
*Les adjectifs de couleurs formés de plusieurs mots restent invariables (des fleurs rouge sang, des lilas
mauve clair, des pulls bleu marine).
6. Certains adjectifs peuvent être employés adverbialement ; dans ce cas, ils restent invariables (elles se
tiennent ferme à la barre ; les fruits coutent cher).
7. AUCUN, adjectif indéfini, ne s’emploie qu’au singulier, sauf devant un nom qui n’a pas de singulier (je
ne fais aucun projet ; je n’engage aucuns frais).
8. CHAQUE est toujours au singulier et toujours suivi d’un nom au singulier (chaque homme, chaque
enfant). CHACUN est toujours au singulier (chacun a pris un livre ; ils ont pris un livre chacun).
9. TEL QUE (TELLE QUELLE) est une locution adjective indéfinie qui s’accorde avec le nom auquel
elle se rapporte (je la prendrai telle quelle, il est arrivé tel quel).
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Difficultés particulières : tout, même, quelque...

1. TOUT s’accorde quand il est adjectif qualificatif, adjectif indéfini ou pronom indéfini (toutes les filles,
tous les jours, toute la classe, toutes ont réussi).
* Tout reste invariable quand il est adverbe et signifie : « tout à fait, entièrement » (ils sont tout seuls ; elle
est tout en fleurs).
Remarque :
Tout, adverbe, s’accorde par euphonie quand il est placé devant un adjectif qui commence par une
consonne ou un H aspiré (on ne fait pas la liaison quand un mot commence par un H aspiré) : elle est toute
seule, elles sont toutes hérissées.
Tout, placé devant autre, est un adjectif ; il s’accorde quand il signifie n’importe quel : il préfère cette
musique à toute autre. Il est adverbe et reste invariable quand il a le sens de tout à fait : elles sont devenues
de tout autres comme commerçantes.
2. MEME s’accorde quand il est adjectif indéfini ou pronom : les mêmes défauts, il a regardé les mêmes.
*MEME reste invariable quand il est un adverbe et signifie aussi. (Les garçons même seront punis).
3. QUELQUE s’accorde s’il est adjectif indéfini : il a quelques ennuis.
* QUELQUE reste invariable quand il est adverbe et signifie environ ou si (Il a reçu quelque mille dollars.
Quelque habiles qu’elles soient…).
On écrit QUEL(S) QUE (QUELLE (S) QUE) devant un verbe au subjonctif : Quels que soient leurs
projets, quelles que soient ses envies…
Remarque : ENSEMBLE, DEBOUT ET PELE – MELE sont des adverbes et restent invariables : Ne
restez pas debout ; ils sont partis ensemble ; ces papiers sont pêle-mêle sur le sol.
La formation des adverbes
L’adverbe formé à partir d’un adjectif masculin terminé par – ENT s’écrit – EMMENT (fréquent,
fréquemment).
L’adverbe formé à partir d’un adjectif terminé par –ANT s’écrit – AMMENT (constant, constamment).
Certains adverbes en –UMENT prennent un accent circonflexe, d’autres non : assidûment, continûment,
dûment, sûrement ; absolument, éperdument, résolûmes, etc.
Participe présent et adjectif verbal
Il est très important de distinguer le participe présent de l’adjectif verbal pour deux raison :
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- l’adjectif verbal s’accorde alors que le participe présent reste invariable ;
- ils ne s’écrivent pas toujours de la même façon.
Exemples :
Ils défilaient dans la rue, hurlant des slogans incompréhensibles. (Participe présent).
Les sirènes hurlantes des usines marquaient la fin de la journée. (Adjectif verbal).
Excellant dans ce sport, elle a choisi d’en faire son métier (participe présent).
Ces gâteaux sont excellant. (Adjectif verbal).
1. Le participe présent exprime une action en train de s’accomplir, se termine toujours par –ANT et reste
invariable. Quand il est précédé d’EN, on l’appelle le gérondif.
Exemples : Pleurant et gémissant, ils sortirent de l’incendie. Ils sortirent en pleurant et en gémissant.
2. L’adjectif verbal exprime une qualité permanente et s’accorde avec le nom auquel il se rapporte, comme
n’importe quel adjectif.
Exemples :
a) Cette soirée au théâtre est tentante. b) Ce n’est pas une raison suffisante pour partir.
b) Les murs luisants d’humidité l’avaient repoussé.
Remarque : il faut retenir l’orthographe des expressions suivantes : des ayants droit, des ayants cause,
toutes affaires cassantes, séance tenante, tambours battant, etc.
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*Cas particuliers :
Participe présent Adjectif verbal Participe présent Adjectif verbal
Adhérant Adhérent Intriguant Intrigant
Coïncidant Coïncident Naviguant Navigant
Détergeant Détergent Négligeant Négligeant
Convergeant Convergent Précédant Précédent
Convaincant Provoquant Provocant

Convainquant
Fatigant Suffoquant Suffocant
Fatiguant
NE PAS CONFONDRE
Ces règles sont très importantes car les confusions portent sur des homonymes grammaticaux, c’est-à-dire
des mots qui se prononcent de la même façon mais qui s’écrivent différemment. Il faut donc être très attentif
au cours d’une dictée et ne pas laisser place à l’étourderie.
1. Il ne faut pas confondre LEUR, adjectif possessif qui s’accorde avec le nom qu’il accompagne, avec
LEUR, pronom personnel pluriel de lui et qui est placé près du verbe : Il leur (lui) donne un bonbon ; les
chats lèchent leurs pattes – le chat lèche ses pattes.
2. CES et SES
Ces est l’adjectif démonstratif, pluriel de ce, cet, cette : ramasse ces livres !
Ses est l’adjectif possessif, pluriel de son, sa : il range ses affaires (on peut dire les siennes).
3. CE et SE
CE est un adjectif ou un pronom démonstratif : donne-moi ce journal ! Ce que tu me dis m’étonne.
SE est un pronom personnel réfléchi de la conjugaison pronominale : elle se lave ; je me lave.
Si on ne peut pas SE par me ou par TE, il faut l’écrire CE.
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4. C’EST et S’EST
C’est le pronom démonstratif CE élidé devant une voyelle, on peut le remplacer par ceci, cela : c’est un
peu difficile ; ceci est un peu difficile.
S’est le pronom personnel élidé devant une voyelle dans la conjugaison pronominale : elle s’est blessée, je
me suis blessé, tu t’es blessé.
La règle est la même si l’auxiliaire est à l’imparfait (C’était l’hiver. Elle s’était blessée.)
5. SI et S’Y
Dans une dictée, il ne faut pas confondre SI et S’Y dont les prononciations sont les mêmes. Pour ne pas se
tromper, il faut faire des remplacements.
Exemples : Ces fleurs sont si belles ! (On peut dire : ces fleurs sont tellement belles.)
Elle s’y intéresse beaucoup (on peut dire : je m’y intéresse, elle s’intéresse à cela.)
6. NI et N’Y
Pour ne pas confondre NI et N’Y, il faut faire des remplacements.
Exemples : Elle ne craint ni le froid ni la pluie. (On peut dire : il ne craint pas le froid, pas la pluie.) Elle
s’y intéresse beaucoup (on peut dire : il ne comprend jamais rien à cela.)
7. SANS, S’EN et C’EN
Pour ne pas confondre SANS, S’EN et C’EN, il faut procéder à des remplacements.
Exemples : Il est parti sans se retourner : sans ne se remplace pas ;
Il s’en tient à ce qu’il dit. On peut dire : je m’en tiens, tu t’en tiens ;
C’en est fait de mon repos ! On peut dire : Cela en est fait.
8. DANS et D’EN
Pour ne pas confondre DANS et D’EN, il faut faire des remplacements quand c’est possible.
Exemples : Il est parti dans la nuit. Dans introduit un complément de temps, de lieu ou de manière.
Il a envie d’en acheter. On peut dire : il a envie acheter de cela.
9. ÇÀ et ÇA
CÀ est une interjection ou un adverbe de lieu employé avec là ; il prend toujours un accent grave. (Ah ! çà
m’écouteras-tu enfin ? çà et là des papiers jonchaient le sol.)
ÇA est un pronom démonstratif mis pour cela. (Ça m’étonne ! On peut dire : Cela m’étonne.)
10. LÀ, LA et L’A
LÀ est un adverbe de lieu, il s’écrit toujours avec un accent grave et signifie (Viens là !).
LA peut-être un article défini ou un pronom personnel complément généralement placé devant un verbe
(ou après, a l’impératif). (Je la vois, attends-la.)
L’A est formé du pronom personnel LE ou LA élidé devant une voyelle et du verbe avoir. On peut
remplacer L’A par L’AVAIT. (Il l’a attendue deux heures : il l’avait attendue.)
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11. OU et OÙ
OU sans accent est une conjonction de coordination, on peut la remplacer par ou bien, (Tu joues ou tu
travailles ?)
OÙ avec accent est un adverbe ou un pronom relatif (dans ce cas, il a un antécédent). Il indique le lieu ou
le temps. (Voici la où je suis née. Tu iras où tu voudras.)
12. PRÈS ou PRÊT
PRÈS est une proposition qui signifie à côté. (Il habite près de l’église ; il habite à côté de l’église.)
PRÊT est un adjectif qualificatif qui peut se mettre au féminin. (Il est prêt à partir ; elle est prête à partir.)
13. PLUS TÔT et PLUTÔT
PLUS TÔT, en deux mots, est le contraire de plus tard. (Il est arrivé plus tôt que d’habitude ; il est arrivé
plus tard.)
Dans les autres cas, il faut écrire PLUTÔT en un seul mot. (Je viendrai plutôt lundi que mardi !)
14. PEU, PEUT, PEUX
PEU est soit un adverbe de quantité (Il a peu dormi), soit un déterminant indéfini (Il a reçu peu de lettres),
soit un nom : Il a utilisé son peu d’énergie.
PEUX et PEUT sont des formes conjuguées du verbe pouvoir (Je peux chanter, il peut conduire.)
15. QUAND, QUAND À et QU’EN
QUAND exprime le plus souvent le temps et, quand il est une conjonction de subordination, on peut le
remplacer par lorsque. (Quand viendrez- vous ? Nous viendrons quand (lorsque) nous pourrons.)
QUAND À (au, aux) peut se remplacer par en ce qui concerne… (Je pars, quant à toi, tu fais ce que tu
veux.)
QU’EN est composé de la conjonction QU’et de EN. On peut le remplacer par que…de cela, de lui, d’elle.
(Je ne sais qu’en faire ! on peut dire : je ne sais que faire de cela.)
16. QUOIQUE ET QUOI QUE
QUOIQUE est une conjonction de subordination qui signifie bien que, encore que. (Je n’irai pas quoique
j’aie envie ! On peut dire : je n’irai pas bien que j’en aie envie.)
QUOI QUE s’écrit en deux mots quand on peut le remplacer par quelle que soit la chose que. (Je n’irai
pas quoi que tu racontes ! On peut dire : je n’irai pas quelle que la chose que tu racontes.)
17. QUEL et QU’ELLE
Il ne faut pas confondre QUEL, adjectif qui s’accorde en genre et nombre, avec QU’ELLE qui s’écrit en
deux mots et que l’on peut remplacer par qu’il. (Quel beau pays ! Qu’elle entre ! Le fruit qu’elle mange
est juteux. Quelles jolies fleurs !)
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18. ON Il ne faut pas oublier la négation N’devant un verbe à la forme négative dont le sujet est ON et qui
commence par une voyelle. (ON n’entend jamais ce bébé. On n’arrivera jamais à l’heure. On n’éprouve
aucune sensation.)
L’accord des verbes
1. Le verbe s’accorde en nombre et en personne avec son sujet : les oiseaux chantent ; tu joues, il croit.
Parfois, il est difficile de trouver le sujet. Il faut poser les questions : Qui est-ce qui ? Qu’est-ce qui ?
Difficultés particulières
2. En cas d’inversion du sujet, il faut se poser la question : qui est-ce qui ? : Voici la cour où jouent les
enfants (qui joue ? les enfants.)
3. Plusieurs sujets au singuliers valent un pluriel : sa mère et son père sont arrivés.
4. Les verbes impersonnels ne se conjuguent qu’a la troisième personne du singulier, avec le sujet IL, du
genre neutre. Il s’exhale de capiteux parfums. Il tombe des grêlons. Il vente.
5. Règle de priorité des personnes : il faut savoir que la 1ere personne l’emporte sur la 2e et la 3e et que 2e
personne l’emporte sur la 3e personne : Ma mère et moi partirons demain (3e et 1ere personnes : accord avec
la 1ere personne du pluriel).
Mon frère et toi irez au cinéma ensemble ((3e et 2e personnes : accord avec la 2e personne du pluriel).
Toi et moi resterons ici (2e et 1ere personne : accord du verbe avec la 1ere personne du pluriel).
Particularité : en cas d’inversion des sujets, le verbe s’accorde avec le sujet le plus proche, c’est ce qu’on
appelle un accord de proximité (Comme le pensaient mes amis et moi ; mais on aurait écrit : mes amis et
moi le pensions).
6. Si le sujet est ON, pronom indéfini, le verbe s’écrit à la 3e personne du singulier : on frappe à la porte.
Parfois, ON désigne plusieurs personne (à la place de nous) ; dans ce cas, le verbe s’écrit au singulier, mais
l’adjectif ou le participe passe qui suit s’accorde au pluriel : On était complètement malades à la fin du
repas.
7. Le sujet et le pronom relatif QUI : il est indispensable de chercher son antécédent pour accorder
correctement le verbe : C’est moi qui jouerai la première (accord avec moi) ; ce sont les chiens qui aboient
(accord avec les chien).
8. Quand un verbe a plusieurs sujets mais tous par un seul mot, le verbe s’accorde avec ce mot : Le football,
la course, le vélo, tout me fatigue.
9. Quand un verbe a deux sujets unis par OU ou par NI, il s’écrit au pluriel sauf si le sens l’interdit : C’est
lui ou son frère qui arrivera le premier ; son père ou son père viendront à la réunion ; ni sa sœur ni son
frère ne l’ont vu.
10. Quand les sujets forment une gradation, le verbe s’écrit au singulier : le calme, la sérénité, la paix de
cet endroit me remplit de joie.
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11. Quand le sujet est un adverbe de quantité comme BEAUCOUP, PEU, COMBIEN, le verbe s’écrit au
pluriel : Peu m’ont prévenue mais beaucoup viendront.
12. Si le sujet comprend la locution LE PEU DE, le verbe s’écrit au singulier ou au pluriel, selon
l’importance donnée à « peu de » : Elle a donné le peu de biens qui lui restaient ; le peu mètres la séparent
de la rive.
13. L’expression PLUS D’UN est suivie d’un verbe au singulier tandis que l’expression MOINS DE DEUX
entraine un pluriel ! : Plus d’un m’a raconté cette histoire ; moins de deux mètres la séparent de la rive.
Remarques : voici deux règles utiles pour les dictées, dans le cas où la terminaison d’un verbe est le son
[é].
14. Après une proposition, le verbe s’écrit toujours à l’infinitif : il est entre sans frapper ; il vient de manger ;
il commence à marcher.
15. Quand deux verbes se suivent, le deuxième s’écrit toujours à l’infinitif : Il vient regarder la TV, je
l’entends tousser, il veut manger.
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L’ACCORD DU PARTICIPE PASSÉ
1. Accord du participe passé employé avec ÊTRE.

Le participe passé employé avec l’auxiliaire être s’accorde en genre et nombre avec le sujet du verbe : Elle
est tombée ; vous étiez fatigués.
2. Accord du participe passé employé avec AVOIR : règle générale.
Le participe passé employé avec l’auxiliaire AVOIR ne s’accorde jamais avec le sujet du verbe : Elles ont
mangé ici ; nous avons nos devoirs.
3. Accord du participe passé employé avec AVOIR.
Le participe passé employé avec l’auxiliaire AVOIR s’accorde avec le complément d’Object direct quand
celui-ci est place avant le participe (les fleurs que j’ai cueillies ; le vase qu’elles ont cassé ; quel problème
ont-ils rencontré ? Quels livres as-tu achetés ? Et cette voiture, il l’a achetée ?)
4. Le participe passé employé avec l’auxiliaire AVOIR et précédé de EN est invariable si EN est
complément d’objet du verbe : Des fleurs ? J’en ai acheté ce matin.
5. Le participe des verbes impersonnels ou employés à la forme impersonnelle est invariable : Les grands
froids qu’il y a eu…La chaleur qu’il fait cet été…
6. Accord du participe passé suivi d’un infinitif.
Le participe passé employé avec avoir et suivi d’un infinitif s’accorde si le complément d’objet direct placé
avant le participe fait l’action du verbe à l’infinitif : la voiture que j’ai vue rouler à 300km/h (c’est la voiture
qui roule). La voiture que j’ai vu réparer par le carrossier (ce n’est pas la voiture qui répare).
Remarque :
-FAIT suivi d’un infinitif est toujours invariable (la tarte que j’ai fait cuire).
-LAISSÉ suivi d’un infinitif suit la même règle ou reste invariable : (les enfants qu’il a laissés (s) jouer…)
-CRU, DIT, PENSÉ, PU, SU, VOULU sont invariables si l’infinitif est sous-entendu (il a acheté tous les
livres qu’il a pu, voulu, sous-entendu : acheter).
7. Le participe passé de certains verbes (COÛTER, COURIR, VALOIR, DORMIR, PESER, REGNER,
VIVRE) employé avec AVOIR ne s’accorde pas quand le pronom relatif est complément circonstanciel de
poids, de valeur, de durée et non complément d’objet direct : Pendant les vingt ans qu’il a régné …Les
deux heures qu’il a attendu l’ont énervé.
8. Accord du participe passé des verbes pronominaux.
Le participe passé des verbes qui ne s’emploient qu’a la forme pronominale (comme ‘ÉVANOUIR,
S’ABSTENIR) s’accorde avec le sujet du verbe : elle s’est évanouie, ils se sont absentes.
Le participe passé des verbes employés pronominalement (comme SE JETTER, SE PERDRE) s’accorde
avec le complément d’objet direct placé avant lui : Elles se sont lavées : elles ont lavé quoi ? SE : donc le
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participe passé s’accorde. Elles se sont lavé les dents : Elles ont lavé quoi ? LES DENTS ; donc le participe
passé ne s’accorde pas.
Remarques
Certains verbes employés pronominalement (come se rassembler, se plaire, se rire, se parler, se succéder)
n’ont jamais de complément d’objet direct ; leur participe passé reste invariable : Ils ne sont jamais autant
rassemblés, elles se sont plus à la montagne, ils se sont ri de ces difficultés.
Particularité : le verbe pronominal S’ARROGER a toujours un complément d’objet direct, avec lequel il
s’accorde donc quand il est placé avant le participé : Elles se sont arrogé des droits ; les droits qu’elles se
sont arrogé.
Exercices
Question à choix multiple (QCM) c) des sportmen
1. Quel est le pluriel de « porte-bonheur » ? d) des agendas
a) des porte-bonheurs
b) des portes-bonheur 5. Quel est le pluriel inexact ?
c) des porte –bonheur a) des essieux
d) des portes-bonheurs b) des moyeux
c) des pneux
2. laquelle des propositions est mal d) des yeux
orthographiée
a) Ces enfants sont fatigants 6. Parmi ces expressions, quelle est celle qui
b) Elle portait un chapeau extravagant comporte une erreur ?
c) Il peut avoir des appuis influents a) des personnes bien – pesantes
c) leurs avis sont divergents b) des enfants sourds-muets
c) des villas hautes perchées
3. Identifier l’adverbe mal orthographié d) des dieux tout-puissants
a) nonchalament
b) évidemment 7. Parmi les adverbes suivantes un seul est
c) prudemment mal orthographié, lequel ?
d) amèrement a) abondamment
b) éminemment
4. Quel est le pluriel incorrect ? c) suffisamment
a) des bungalows d) eloquamment
b) des touages
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8. Parmi ces expressions, une seule est bien 13. Dans laquelle de ces phrases doit-on
orthographiée, laquelle ? remplacer les pointillés par QUOIQUE ?
a) un banc publique a) …...disent ses parents, il n’en fait qu’à sa tête.
b) une loi caduque b) ……il arrive, je n’irai pas.
c) un cheval favorit c) ……tu fasses, ce sera insuffisant.
d) un jeu subtile d) ………la pluie arrive, il sortira.
9. Quel est le pluriel correct 14. Dans laquelle de ces phrases doit-on
a) des carnavals remplacer les pointilles par TOUTES
b) des chacaux a) Elle était …….émerveillée.
c) des bails b) Elle est déjà ……..halée.
d) des préaus. c) Elle est devenue une ……..autre fille.
d) Cette veste est ……..humide.
10. Quel adjectif est bien orthographié ?

15. Voici quatre phrases. Parmi les quatre
a) Ses cheveux sont bruns clairs
propositions ci-dessous, quelle est celle qui
b) Des Cheveux fauves
complète correctement ces phrases ?
c) Les tournesols sont jaunes d’or
a) Cette lettre, il doit ……..peser.
d) Des yeux noisettes
b) Il …….trouvé dans un livre.
c) Mon frère n’est pas ………
11. Parmi les propositions suivantes, une
d) Il ……..déjà oubliée.
seule est mal orthographié, laquelle ?
1. l’a – l’a – là – l’a ;
a) nu-tête
2. la – la – la – l’a ;
b) trois heures et demie
3. la – l’a – la – l’a ;
c) deux pains et demi
4. la – l’a – là – l’a.
d) une demie ration d’eau
12. Parmi ces expressions suivantes, une 16. Quelle est l’expression soulignée est mal
phrase comporte une erreur, laquelle ? orthographié ?
a) On doit se ternir nue-tête dans ce lieu.
a) Il a le front ceint d’un bandeau
b) Des signes avant-coureurs.
b) Un blanc –sein
c) Ces remèdes sont contre –indiqués
c) Un seing privé.
d) Des injonctions sous-cutanées.
d) Il a un esprit sain.
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17. Parmi les participes passés soulignés, un b) Il a pris …….livres dans la bibliothèque.
seul est mal orthographié, lequel ? c) ………..soit son avis, je le partage pas.
a) On les a toujours retrouvés là. d) ………….elle soit, je ne la choisirai pas.
b) On nous a conseillé d’attendre.
22. Quel est le pluriel inexact ?
c) Ses déboires l’ont rendue circonspecte.
a) des émeus
d) Je ne l’ai pas jugée si méchante.
b) des bleus
c) pneus
18. Quel est le pluriel incorrect ?
d) des essieus
a) des régals
b) des récitals
23. Parmi les mots suivants, un seul est mal
c) des carnavals
orthographié
d) bocals
a) un lycee
19) Quel adjectif mal orthographié ?
b) trophée
a) une corvée quotidienne ;
c) camée
b) une robe paysane ;
d) Alizée
c) une galette bretonne ;
c) une tente indienne.
24. Parmi les participes passés soulignes, un
seul est mal orthographié, lequel ?
20. Parmi les expressions suivantes, une
a) Il l’a traitée de méchante.
phrase comporte une erreur, laquelle ?
b) Ces livres, il les a rendus tout abimés
a) Deux cent quatre – vingt personnes ont été
c) Ils se sont posés la même question
invitées.
d) Ils se sont lancé un défi.
b) J’habite au cent quatre –vingts de la rue
Monge.
25. Quel nom ne s’emploie qu’au pluriel ?
c) Il est né en mille quarante –sept.
a) des frusques
d) J’en suis à la page trois cent.
b) des vêtements
c) des doublures
21. Dans laquelle de ces phrases doit-on
d) des chausses.
remplacer les pointilles par QUELQUE ?
a) Il est arrivée il y …….six mois.
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Voix active et voix passive
1. La voix active.
La voix active présente le sujet comme agent de l’action, c’est - à – dire le sujet fait l’action exprimé par
le verbe.
Ex : Nos amis construisent une maison. Qui construit une maison ? Nos amis.
2. La voix passive
La voix passive présente le sujet comme agent subissant l’action, c’est-à-dire subit l’action exprimée par
le verbe.
Ex : Une maison est construite par nos amis.
 La transformation passive n’est pas possible qu’avec les verbes qui acceptent un complément d’objet
direct (verbes transitifs). On ne pourra pas l’utiliser à la voix passive lorsque :
- Le verbe de la phrase n’admet pas de complément d’objet ;
- C’est un verbe intransitif (tomber, courir, rire, nager…)
- Le verbe de la phrase se construit obligatoirement avec un complément d’objet indirect (parler
de, penser à, croire en…)
Ex : Pierre pensait à son inscription à la faculté d’Ethnologie.
 La conjugaison passive se compose de deux parties :

1. L’auxiliaire être, qui se conjugue selon le mode, le temps, la personne et le nombre ;
2. Le participe passé du verbe, qui indique l’action.
Discours direct et discours indirect
Dans un récit, oral ou écrit, on est souvent amené à relater les paroles ou les pensées de quelqu’un, c’est
qu’on appelle le discours. On peut rapporter le discours, soit directement indirectement ou indirectement
libre.
1. Discours direct
Le discours direct permet de rapporter les paroles telles qu’elles ont été dites dans situation d’énonciation
des personnages. Il crée d’une conversation réelle.
Ex : Les deux enfants se disputaient. Luc cria, indigné : « Hier, je t’ai prêté mon arc ! »
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2. Discours indirect
Le discours direct consiste à rapporter les paroles de quelqu’un de façon indirecte. Il intègre les déclarations
des personnages au texte, au moyen des verbes de paroles et de propositions subordonnées. Il permet de
condenser les propos, de n’en retenir que l’essentiel.
Ex : Indigné, Luc cria que la veille, il lui avait prêté son arc.
3. Discours indirect libre
Le discours ou style indirect libre consiste à employer toutes les marques du style indirect, sauf la
transformation en complétive, et à conserver l’interrogation en style direct.
Ex : Luc, indigné, se mit à crier. La veille, il lui avait prêté son arc !
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Exercices
1. Réécrivez ces phrases au passif, en sont descendus par cinquante mètres de fond. -5.
conservant, à la voix passive, le temps des Nous sommes repassées par le centre. -6. Les
verbes. chemises seront repassées par la blanchisseuses.
1. Un léger tremblement agitait ses mains. - 2. Le 4. Transposes au discours indirects phrases du

mistral a poussé le matelas pneumatique vers le discours direct. Attention à la transposition
large. - 3. On classera le dossier. - 4. La sonnerie des possessifs et des pronoms.
vous réveillerait. – 5. Jacques peignit cette toile
1. Il lui dit : « Tes envois ne me sont pas parvenus
en 1632. L’éclair du flash les a aveugles. 7.- Un
et j’attends ton prochain courrier. » - 2. « Je suis
tremblement de terre a fissure le.
beaucoup plus résistante que toi, lui affirme – t-
2. Réécrivez ces phrases à l’actif, en elle, tu as encore attrapé un rhume et moi je n’ai
conservant, à la voix active, le temps des rien. » - 3. Ils me disent : « Notre réfrigérateur ne
verbes. fonctionne plus, nous devrons appeler le service
après- vente. » - 4. « Ma famille arrive par le
1. Le tournoi a été remporté par un joueur non
train », répète –t- il. – 5. Elles leur confirment
classé. – 2. La mer était creusée par des fortes
n’avons pas assez de lits chez nous pour vous
vagues. - 3. La presqu’il a été formée par une
longer. » - 6. « Ils n’arriveront jamais au rocher,
gigantesque coulée de lave. – 4. Ces peintures
la mer monte », crie quelqu’un.
rupestres furent découvertes par un petit berger. –
5. Tu seras reconduit au village. - 6. La poêle doit 5. Transposez ces phrases au discours direct.
être graissée avant la première utilisation. -7. J’ai
1. L’enfant pleurnichait qu’il n’aimait pas les
été piqué par une quête.
épinards et qu’il n’avait pas faim ce jour – la. – 2.
3. Dites si ces phrases sont à la voix active ou à T’ai-je dit que je ne l’avais pas revu depuis cette
la passive. Précisez à quel temps chaque verbe fameuse sortie ? – 3. L’employé affirma que mon
est conjugué passeport me serait rendu le lendemain. – 4. Elle
répondra que nous sommes absents. -5. Joseph a
1. Son manteau est resté par terre. – 2. La blessure
dit qu’il sera un Ingénieur. – 6. La femme affirme
a été infectée par la terre. - 3. Le piano a été
qu’elle est seule, elle n’a pas quelqu’un dans sa
descendu par les déménageurs. - 4. Les plongeurs
vie.
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Texte argumentatif/ éléments essentiels
Un texte argumentatif a pour but de présenter un point de vue, une prise de position sur un sujet, souvent
de nature controversée.
Les thèmes abordés dans ce genre de texte portent sur des questions d’actualités, des sujets d’intérêts
généraux ou des problématiques sociales (peine de mort, divorce, éducation, media, loi, etc.)
On écrit un texte argumentatif dans le but de convaincre, de faire réagir. L’auteur d’un texte argumentatif
se consente principalement à démontrer sa thèse (opinion personnelle) à laquelle il faut adhérer.
I. L’organisation du discours argumentatif
 Le thème : C’est le sujet dont parle le texte en général.

 La thèse : C’est le noyau du texte argumentatif, l’idée qui sera défendue par l’auteur tout au long
de son texte. L’argumentateur expose sa thèse (prise de position) sur le thème et cherche à
convaincre le destinataire ou le lecteur de partager son opinion.
II. L’argument : Ce sont les idées (souvent abstraites) qui prouvent la validité de la thèse soutenue et qui
doivent convaincre le destinataire.
L’argumenteur doit fournir des arguments pour appuyer sa prise de position. Il peut aussi recourir aux
contre –arguments (des idées opposées aux siennes) pour contrecarrer toute opposition a son point de vue.
On appelle cela « réfutation ».
III. Les procédés argumentatifs
Afin de donner de la force aux arguments présentés, on introduit dans son argumentaire les procédés
suivant :
- La définition : elle consiste à décrire une chose, une idée, un concept. Cela permet à l’auteur du
texte de mieux informer le lecteur et de donner la crédibilité ses propos.
- L’appelle à l’autorité : il donne une grande crédibilité aux propos tenus par l’auteur puisque ce
procédé argumentatif présenté les dires, les actions ou les réalisations d’une personne reconnu pour
son implication politique, sociale, scientifique, etc. On peut citer la personne ou rapporte ce qu’elle
a fait.
- L’exemple : il permet d’appuyer des propos de façon concrète. L’exemple démontre que le propos
est réaliste, proche des réalités de la vie pratique. L’auteur a recours à l’exemple, entre autre,
lorsqu’il fait référence à une situation normale ou exceptionnelle qui est déjà arrivée ou qui pourrait
arriver.
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Résumé de texte
I. Qu’est- ce que le résumé de texte ?
1. Le résumé de texte, c’est la recomposition d’un texte en un texte plus court mais de sens
équivalent. Une telle opération met en œuvre, en particulier, trois démarches de la pensée auxquelles il
est utile de nous exercer systématiquement :
- Le résumé doit pouvoir tenir lieu du texte original pour un lecteur pressé : tout l’essentiel doit donc s’y
retrouver.
- Les détails et les idées accessoires doivent être éliminés
- La longueur du résumé vous est souvent précisée par les consignes. Sinon, ne dépassez pas le tiers ou
la moitié du texte original.
2. C’est une image « fidèle » du texte :
- Ne modifiez rien, n’ajoutez rien : ni jugement personnel, ni discussion.
- Rédigez comme si vous étiez l’auteur lui-même : éliminez donc toutes les phrases du type « l’auteur
déclare dans ce texte… » ou « ce texte présente … » Dites « JE » si l’auteur dit « Je ».
- Exposez les idées et les informations dans l’ordre où le texte les présente.
3. C’est un développement bien construit et parfaitement rédigé.

- Ne donnez donc pas un simple plan schématisé ni une succession de notes de lecture.
- Rédigez rigoureusement, sans titre ni sous-titres, en recherchant la clarté et la logique.
4. C’est une traduction du texte dans votre propre langage.

- Ne prenez donc pas de phrases ou des membres de phrases du texte. Ne citez pas le texte, traduisez-
le.
- Toutefois, plutôt que de rechercher des périphrases, vous pouvez reprendre quelques rares mots du
texte qui vous semblent indispensable.
II. Comment élaborer le résumé d’un texte ?
Le résumé est le point d’aboutissement d’un travail en trois étapes :
 1ere étape : comprendre.

Il s’agit d’éclairer toutes les significations du texte en ne laissant aucun point dans l’obscurité.
 2e étape : analyser.
Il s’agit de dégager les idées successives et d’aboutir à une sorte de plan qui constitue déjà une
sorte de résumé schématisé du texte.
 3e étape : rédiger.
Il suffit presque de « mettre en phrase » d’une façon claire, logique et soignée le plan schématisé
que vous venez de dresser.
Exercices
I. Lisez ce texte, puis répondez aux questions ci-dessous.

Nous sommes les enfants des livres. Nous les aimons, ils nous ont faits, nous en faisons. Chaque
année, depuis déjà un bon bout de temps, on nous annonce la mort du roman. Voilà qu’on fait mieux :
c’est tous les livre qui vont disparaitre. Et le comble, c’est que c’est vrai.
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Les livres ne sont pas vieux. Sous la forme manuscrite, quelque deux mille ou mille ans. Sous la
forme imprimée, cinq cents ans presque tout ronds. Il est très douteux qu’ils durent encore trois mille
ans. Il n’est pas impossible que, sous la pression de tous les supports nouveaux qui se bousculent à la
porte, ils n’existent plus dans cinq cents ans. Nous sommes derniers, ou les avant-derniers des Mohi-
can.
C’est triste. Mais pas trop. Les livres auront joué un rôle inouï dans l’histoire des hommes dans la
Bible au Discours de la méthode, du Coran au Capital et a tous romans, épiques, comique, policier ou
anglais, qui nous ont tant enchantes, ils auront changé la vie. Pour ma part, je leur reste fidèle et je me
battrai pour leur survie. Et pour celle de la lecture, école de la vie, bonheur sans pareil, source de tout
vrai savoir.
Mais ce qui compte dans les livres, c’est moins les pages, le papier, les caractères et les signes, les
ligatures et les pirouettes – je les aime à la folie – que les histoires qu’ils racontent et les mots qu’ils
charrient. Ces histoires et ces mots ne périront pas avec les livres. Ils survivront sous d’autres formes,
des disques, dans des casettes, dans des machine électroniques ou archives, encore inconnues.
La vraie épreuve sera dans la lutte entre les images et les mots. Une civilisation de l’image risque d’être
à la fois plus émotive et plus brutale qu’une civilisation du mot. Il faudra défendre la parole et le saint
l’engage, honneur des hommes.
Jean D’ORMESSON
QUESTIONS
1. Quel est le principal sujet ou thème- de ce texte ?
2. Relevez dans le premier paragraphe l’expression qui rapporte l’opinion générale sur ce sujet.
3. L’auteur partage –t-il cette opinion générale ou non ? Relevez dans le premier paragraphe
l’expression qui le montre.
4. A quel paragraphe pourriez –vous donner les titres suivants : l’importance des livres, l’histoire
des livres, la valeur des livres ?
5. Dans quelle phrase l’auteur appuie-t-il son argument par des exemples précis ?
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CHIMIE
Programme de Chimie
 Chimie Générale & Inorganique

 Les mélanges, Les composées, les éléments
 Les comportements de la matière
 La classification périodique des éléments
 Les solides et les liens chimiques
 La réaction chimique Oxydo-réduction
 Les acides et les bases en solution aqueuse
 Notion et cinétique chimique et de catalyse
 Chimie Organique
 Formule brute et développées
 L’atome de carbone, notion de stéréochimie avec modèles moléculaires
 Les hydrocarbures, hydrocarbures saturés, insaturés, aromatiques
 Les alcools ; nomenclature, quelques propriétés chimiques
 Les aldéhydes et cétones : caractère réducteur, oxydation en acides, réaction avec la
liqueur de Fehling
 Les acides carboxyliques et leurs dérivés
 Réaction d’estérification et d’hydrolyse, saponification, passage aux dérivés d’acides,
passage aux amides
 L’étude de quelques macromolécules
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Chimie Définition
C’est la science qui s’occupe de l’étude de la matière et les transformations dont elle est le siège.
o La matière Définition : La matière c’est tout ce qui a de l’inertie c’est-a-dire qui a une masse
qui occupe un certain volume dans l’espace.
o La masse : C’est la quantité de matière que possède un corps.
o Poids : C’est l’attraction que la terre exerce sur un corps.
o Volume : C’est l’espace occupé par un corps
Différence entre la masse et le poids
1. La masse s’exprime en kilogramme (kg), alors que le poids s’exprime en newton (N) dans le S.I
ou MKSA
2. La masse est invariable, tandis que le poids est variable
3. Lamasse se mesure à l’aide d’une balance, tandis que le pois se mesure à l’aide d’un
dynamomètre
Les états de la matière
La matière se présente sous trois (3) formes ou états ; Solide, Liquide et Gazeux.
Corps Solide : Un corps à l’état solide possède un volume propre et une forme propre. Les
molécules sont très rapprochées. C’est très ordonné et condensé. Il peut résister à une force qui
tend à le déformer.
Liquide : Un corps à l’état liquide n’a pas de forme propre ni de volume propre. Les molécules
sont plus ou moins éloignées et c’est un état désordonné.
Gaz : Les gaz n’ont pas un volume propre ni une forme propre. Les molécules sont très
éloignées et dispersés. C’est un état très désordonné. Les gaz sont compressibles, expansible et
élastique.
NB : L’espace entre deux (2) molécules s’appellent « espace intermoléculaire »
Phénomène définition : Tout changement ou modification que subit un corps. Les phénomènes
sont de trois (3) types. Physique, Chimique et Nucléaire.
Mélange : Un mélange est une réunion (association) de deux ou plusieurs substances pures.
Types de mélanges : On distingue deux grands types de mélanges :
 Les mélanges homogènes, qui ne comportent qu'une seule phase visible à l'œil nu.
Exemples : Eau salé, l’air, Jus etc.
 Les mélanges hétérogènes, qui comportent plus d'une phase visible à l'œil nu.
Exemple : Eau et huile
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On désigne la plupart du temps les solutions comme étant des mélanges homogènes
Solvant, Soluté et Solution
Solvant : C’est une espèce chimique le plus souvent liquide qui va accueillir en elle une autre espèce
chimique (ce sera le soluté) pour former un mélange homogène. De plus l’espèce chimique qui compose
le solvant reste majoritaire devant l’espèce chimique introduite.
Soluté : C’est une espèce chimique qui est mélangée à une autre (le solvant). Le soluté est dissout dans
le solvant. Le soluté peut être un liquide mais aussi un solide ou encore un gaz !
Solution : Le soluté peut être à l’état solide, liquide ou gazeux et il se dissout dans le solvant. La solution
obtenue (mélange homogène du soluté et du solvant) peut être solide ou liquide (en pratique, on ne parle
pas de solution pour un mélange homogène de gaz).
Des exemples :
 Un verre de grenadine : Soluté = sirop (liquide) et Solvant = eau (liquide)

 Un verre de soda : Soluté = dioxyde de carbone CO2 (gaz) et Solvant = eau (liquide)
 Un verre d’eau sucrée (ou salée) : Soluté = sucre en poudre (solide) et Solvant = eau (liquide)
Dissolution : La dissolution est le processus physico-chimique par lequel un soluté est dissous dans un
solvant pour former un mélange homogène appelé solution. Formellement, la dissolution est définie
comme le mélange de deux phases avec formation d’une nouvelle phase homogène.
Mélange = Soluté + Solvant
Atome : Toutes les substances sont composées de la matière.

L'Atome est l'unité fondamentale de la matière. L'atome est la plus petite particule d'un élément.
L'atome est constitué d'un noyau central contenant les protons (chargés positivement) et
les neutrons (sans aucune charge).
Les électrons (chargés négativement de masse négligeable) tournent autour du noyau dans les chemins
différents imaginaires appelés des orbites ou des coquilles.
Elément : Un élément est une substance composée d'atomes d'un seul type.
Il y a environ 82 éléments naturels et d'environ 31 éléments faits artificiellement qui sont énumérés dans
le Tableau Périodique.
Numéro Atomique et un Poids Atomique
 Numéro Atomique d'un élément est le nombre de protons dans le noyau d'un atome. Comme
les atomes sont électriquement neutres, le nombre de protons égal au nombre d'électrons dans
un atome.
 Poids Atomique (ou Masse Atomique relatif) d'un élément est le nombre de fois où un atome
de cet élément est plus lourd que l'un atome d'hydrogène. Le poids atomique de l'hydrogène est
considéré comme l'unité [1].
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 Numéro de Masse d'un élément est la somme du nombre de protons et de neutrons dans le
noyau d'un atome.
Les éléments sont arrangés en ordre croissant de numéros atomiques (avec leur masse atomique) dans
un tableau appelé le Tableau Périodique.
Qu'est-ce qu'un Molécule ?
Une molécule se forme lorsque des atomes de la même ou différents éléments se combinent.
Une molécule est la plus petite particule d'une substance qui peut normalement exister indépendamment.
Exemples:
 Deux atomes d'oxygène se combinent pour former une molécule d'oxygène [O2].
 Un seul atome de carbone se combine avec deux atomes d'oxygène pour former une molécule
de dioxyde de carbone [CO2]
Qu'est-ce qu'un Composé ?
Un composé est formé lorsque des atomes ou des molécules des éléments différents se combinent.
Dans un composé, les éléments sont chimiquement combinés en une proportion fixe.
Exemples:
 L'hydrogène et l'oxygène sont combinés dans une proportion fixe de 2 : 1 pour former le
composé d'eau [H2O].
 Le carbone et l'oxygène sont combinés dans une proportion fixe de 1 : 2 pour former le composé
de dioxyde de carbone [CO2].
Réactions d’oxydo-réduction
Définition
Les réactions d’oxydo-réduction sont des réactions pendant lesquelles les entourages électroniques des
atomes (donc les structures des ions et molécules) changent fondamentalement.
Notions de base
Exemples : Aluminium et (di) brome
On ajoute des morceaux d’aluminium métallique Al(s) au (di) brome pure, Br2 (l)
Une réaction violente se produit :
2Al + 3Br2 −→ 2AlBr3 (s)
On constate la formation d’un solide ionique blanc, le bromure d’aluminium : Al3+(Br−) 3
Interprétation :
Al − 3e−→ Al3+ . (1)
Br2+ 2e−→ 2Br− . (2)
(1) Chaque atome d’aluminium métallique Al neutre perd des électrons (trois électrons) de sa dernière
couche pour se transformer en cation aluminium Al3+. On dit qu’il est oxydé.
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(2) Chaque molécule de (di) brome Br2 neutre gagne des électrons (deux électrons) pour compléter les
dernières couches de ses deux atomes qui deviennent des anions bromure. On dit qu’elle est réduite.
(1) et (2) sont appelés systèmes partiels d’oxydo-réduction.

Equilibrage
Les électrons accaparés par le (di) brome sont arrachés à l’aluminium. Pour que ces électrons soient en
nombre égal, il faut que 3 molécules de di brome réagissent avec 2 atomes d’aluminium :
Al − 3e−→ Al3+ |·2
− −
Br2+ 2e → 2Br |·3
2Al + 3Br2 −→ 2Al3+(Br−) 3 (3)
(3) est donc l’équation qui décrit l’oxydation de l’aluminium simultanément à la réduction du (di) brome.
C’est la réaction d’oxydo-réduction. Les ions Al3+
et Br − s’attirent dans le rapport 2 :3 pour former le solide ionique bromure d’aluminium Al3+(Br−) 3
NB :
– Une espèce chimique qui perd des électrons est oxydée. (Ici : Al)
– Une espèce chimique qui gagne des électrons est réduite. (Ici : Br2)
– Une espèce chimique qui cède des électrons est un réducteur. (Ici : Al)
– Une espèce chimique qui capte des électrons est un oxydant. (Ici : Br2)
– Une espèce chimique qui donne des électrons à une autre espèce réduit cette espèce. (Ici : Al réduit
Br2)
– Une espèce chimique qui prend des électrons d’une autre espèce oxyde cette espèce. (Ici : Br 2 Oxyde
Al)
Exemple : Oxydation du magnésium par le di brome

Mg − 2e−→ Mg2+ |·2 (1)
− 2−
O2+ 4e → 2O (2)
____________________________
2Mg + O2 −→ 2Mg2+O2− (3)
– (1) est une réaction d’oxydation. Le magnésium est oxydé par le (di) oxygène. C’est un réducteur qui
réduit le (di) oxygène.
– (2) est une réaction de réduction. Le (di) oxygène est réduit par le magnésium. C’est un oxydant qui
oxyde le magnésium.
– (3) est une réaction d’oxydo-réduction. Le produit est le solide ionique blanc oxyde de magnésium
Mg2+O2−
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Nombre d’oxydation
Exemple : L’élément fer
On trouve l’élément fer sous trois états :

Le fer métal, symbole : Fe, L’ion fer(II), symbole : F e2+, L’ion fer(III), symbole : F e3+
Dans le fer(III), l’élément fer est plus oxydé (a perdu plus d’électrons) que dans le fer(II) où il est plus
oxydé que dans le fer métal.
On caractérise le degré d’oxydation par un nombre appelé le nombre d’oxydation :
no. (F e3+) = 3 no. (F 2+) = 2 no. (F e) = 0
Nombre d’oxydation des atomes isolés, ions et molécules :
On définit :
Nombre d’oxydation d’un atome neutre est égale à zéro
Nombre d’oxydation d’un ion monoatomique est égale à sa charge
no. (Cl−) = -1 no. (S2−) = -2 no. (Al3+) = 3
no. (Mg) = 0
Exercices.
Cette définition est élargie aux ions composés et aux molécules :

Nombre d’oxydation d’une molécule (neutre) : = 0
Nombre d’oxydation d’un ion poly atomique = sa charge
no. (Cl2) = 0 n.o. (SO2−4) = -2 n.o.(NH+4) = 1

no. (H2O2) = 0
Nombre d’oxydation des atomes à l’intérieur des ions composés et des molécules :
– Pour chaque liaison, on attribue (grossièrement !) tous les électrons de cette liaison à l’atome le plus
électronégatif
– Si les atomes ont même électronégativité, on attribue à chaque atome un électron de la liaison
Exemples :
(1) On attribue les 2 électrons de la liaison au chlore qui possède ainsi 8 électrons dans sa dernière
couche (1 de plus que la structure de Lewis de l’atome neutre) ; il restera à l’atome d’hydrogène
0 électrons dans sa dernière couche (1 de moins que la structure de Lewis de l’atome neutre) :
no. (H dans HCl = 1) no. (Cl dans HCl = -1)
(2) On attribue les 4 électrons des deux liaisons à l’oxygène qui possède ainsi 8 électrons dans sa
dernière couche (2 de plus que la structure de Lewis de l’atome neutre) ; il restera à chaque
atome d’hydrogène 0 électrons dans sa dernière couche (1 de moins que la structure de Lewis
de l’atome neutre) :
no. (H dans H2O = 1) no. (O dans H2O = -2)
(3) On attribue un électron de la liaison à chaque atome de chlore qui possède ainsi 7 électrons dans
sa dernière couche (autant que la structure de Lewis de l’atome neutre) no. (Cl dans Cl2= 0)
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Règles pratiques :
Des exemples précédents se dégagent les règles pratiques suivantes :
No. d’un atome dans un corps simple = 0
No. de H dans une espèce (ion ou molécule) composée = 1
No. de O dans une espèce (ion ou molécule) composée = -2
no. de F, Cl, Br, I, dans une espèce (ion ou molécule) composée = -1
La deuxième règle s’applique évidemment seulement, si H est le moins électronégatif, la 3e et 4e si O,

F, Cl, Br, I sont les plus électronégatifs dans les liaisons qu’ils forment. Exemples :
no. (H) dans C2H6=1
no. (H) dans H2=0
n.o.(Cl) dans ClBr=-1
n.o.(Br) dans ClBr=1
On remarque encore :
Somme des n.o. des atomes dans une molécule = 0
Somme des n.o. dans un ion composé = sa charge
no. (H2O) = 0 = 2·no. (H dans H2O) + no. (O dans H2O)
n.o. (OH−) = -1 = n.o. (O dans OH−)+n.o.(H dans OH−)
Toutes ces règles pratiques permettent la détermination des n.o. par simple calcul algébrique :
Calculs :
Calculer le no. (S dans SO2) = x
x + 2(−2) = 0
x=4
En effet : Le no. (O) dans le corps composé est -2 et la somme des n.o. de la molécule vaut 0
Calculer le no. (N dans NO−3) = x
x + 3(−2) = −1
x=5
En effet : Le no. (O) dans le corps composé est -2 et la somme des n.o. de l’ion NO−3 vaut -1
La série des tensions

Définition :
La série des tensions est le tableau d’oxydo-réduction formé par les métaux (réducteurs) et leurs cations
usuels (oxydants) y inclus le couple (H+/H2)
Au3+ + 3e−→ Au
Hg2+ + 2e−→ Hg
Ag+ + e−→ Ag
Cu2+ + 2e−→ Cu
2H+ + 2e−→ H2
Pb2+ + 2e−→ P b
Sn2+ + 2e−→ Sn
Fe2+ + 2e−→ F e
Zn2+ + 2e− → Zn
Al3+ + 3e−→ Al
Mg2+ + 2e−→ Mg
Na+ + e− → Na
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Ca2+ + 2e−→ Ca
K + + e− → K
Li+ + e−→ Li
Chaque oxydant (à gauche) peut réagir en principe avec chaque réducteur (à droite) situé en dessous de
lui
Les Acides et les Bases en solution aqueuse
Définition D’Arrhenius
1- Un acide est une substance qui en solution aqueuse, libère un ou plusieurs protons (H+).
HCl H+ (aq) + Cl- (aq)
H2SO4 2 H+ (aq) + SO42- (aq)
H3PO4 3 H+ (aq) + PO43- (aq)
2- Une base est une substance qui en solution aqueuse libère un ou plusieurs ions
OH-
NaOH Na+ (aq) + OH- (aq)
Ca(OH)2 Ca2+ (aq) + 2 OH- (aq)
3- La réaction Acide-base est une réaction où il y a formation d'eau (H2O) et de sel.
Une mole de Ba(OH)2 libère 2 moles de OH- en solution aqueuse. Une mole de HNO3 libère
une mole de H+.
Pour neutraliser les 2 moles de OH- libérées par Ba(OH)2, il faut deux moles de H+. Par
conséquent, il faut 2 moles de HNO3. Lors de la réaction, il se formera deux moles d'eau et une
mole de sel.
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Acides forts et bases fortes
Un acide fort est une espèce chimique qui s'ionise totalement dans l'eau pour donner l'ion
hydronium (H3O+).
Exemples : HNO3 et HCL
Une base forte est une espèce chimique qui s'ionise totalement dans l'eau pour donner l'ion
hydroxyde (OH-).
Exemples : NaOH et KOH
Exemples de réactions de dissolution des acides forts et des bases fortes
L’acide nitrique (HNO3) est un acide fort :
HNO3 (liq) + H2O → H3O+ aq + NO3- aq
L’acide chlorhydrique est un acide fort :
HCl (liq) + H2O → H3O+aq + Cl- aq
L’hydroxyde de sodium (Soude) est une base forte :
NaOH (s) → Na+ aq + OH- aq
L’hydroxyde de potassium (Potasse) est une base forte :
KOH (s) → K+ aq + OH- aq
Autoprotolyse de l'eau :
L'eau déminéralisée contient des ions. Voici l'équation de la réaction acido-basique de l'eau :
Les couples acides-bases sont : H2O / OH- et H3O+ / H2O.
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Définition du pH :
La concentration molaire en ions hydronium d'une solution aqueuse détermine, son caractère acide,
basique ou neutre. Le pH d'une solution est égal à la relation :
Où log est la fonction logarithmique en base 10 et [H3O+] est la concentration en ions H3O+.
Par conséquent, connaissant le pH, l'on peut retrouver la concentration en ions [H 3O+] par la relation
suivante :
Exemple :
1. Si une solution a une concentration en H3O+ égale à 10-8 mol/L. Quel est son pH ?
2. Si une solution a une concentration en [H3O+] = 10-5 mol/L ; déterminer son pH.
3. La mesure du pH du coca-cola donne 2,7, calculer la concentration en ions H3O+.
4. Quels sont le pH et le caractère d'une solution si [OH-] = 0,00002 mol. -1 ?
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Échelle de pH
Sur l'échelle des pH, l'acidité ne varie donc que de 0 à 14.
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14
Solution acide Solution neutre Solution basique
Notons que lorsque le pH augmente, la concentration en H3O+ diminue.
Domaine de pH des solutions aqueuses : La concentration en ions H3O+ et OH- caractérise une
solution :
- une solution est acide si ..................... donc [H3O+ ] [ OH- ]
- une solution est basique si ................. donc [ H3O+ ] [ OH- ]
- une solution est neutre si ................... donc [ H3O+ ] [ OH- ]
La notion de concentration d’une solution
1- Définition et composition d’une solution

Une solution est un mélange homogène dont on ne peut pas distinguer les constituants. Il y a 2
constituants dans une solution :
- le soluté : corps dissous (présent en faible quantité) qui peut être
- solide (ex : NaCl)

- liquide (ex : CH3COOH)
- gazeux (ex : HCl)
- le solvant : constituant le plus abondant dans lequel le soluté est dissous
Ex : l’eau est un solvant souvent utilisé : on parle alors de « solution aqueuse »
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2- Caractéristiques d’une solution

A/ Concentration d’une solution :
C’est la proportion de soluté contenue dans la solution.

Il existe plusieurs manières d’exprimer la concentration d’une solution :
1°/ Molarité ou Concentration molaire C
Nombre de moles de soluté dissous dans 1L de solution.

𝑛
𝐶=𝑉 Où n = nombre de moles de soluté
V = Volume total de la solution
Elle s’exprime en mol L-1 ou mol/L
2°/ Concentration massique (C massique ou ρ)
Masse de soluté dissous dans 1L de solution.

𝑉
𝐶 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑖𝑞𝑢𝑒 = 𝑚
Où m = masse de soluté
V = volume total de la solution.
Elle s’exprime en g L -1 ou g/L ou encore en kg L-1 ou kg/L
3°/ Molalité (Cm ou m)
Nombre des moles de soluté par kg de solvant

𝑛
𝑚 = 𝑘𝑔 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑣𝑎𝑛𝑡
Avantage de cette unité : elle est indépendante de la température
4°/ Pourcentage massique (% m/m) :
Nombre de grammes de soluté dissous dans 100 g de solution.
Ex : une solution de H2SO4 à 96 % en masse contient 96 g de H2SO4 pur pour 100 g de solution.
5°/ Fraction molaire (X i)
Rapport entre le nombre de moles de soluté et le nombre total de moles en solution.

𝑛
𝑋𝑖 = ∑
𝑛
Densité d’une solution (d)
Elle correspond à la masse d’un litre de solution par rapport à la masse d’un litre d’eau à la même
température. Cette grandeur ne possède pas d’unité : c’est un nombre pur.
𝑚 (1𝐿 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛)
𝑑=
𝑚𝑜 (1𝐿 𝑑′ 𝑒𝑎𝑢)
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C/ Masse volumique
Masse d’un litre de solution. ρ = V/ m

Elle s’exprime en kg L -1 ou g L-1 ou g/cm3
II. La notion de dilution
1/ Définitions
C’est l’opération qui consiste à ajouter
a) soit une certaine quantité de solvant (souvent de l’eau) à une solution concentrée.
b) soit à ajouter une certaine quantité de solution (contenant des ions communs ou non) à une solution
initiale
2- Variation du nombre de moles de soluté et de la concentration en soluté
a) Lors de l’ajout de solvant Le nombre de moles de soluté dissous ne varie pas.
Donc, n soluté (avant dilution) = n soluté (après dilution)
Comme le nombre de moles de soluté peut se calculer à partir de la concentration et du volume de la

solution, on peut écrire la relation suivante :
C conc × V conc = C dil × V dil
N.B : Le volume après dilution se calcule par : 𝑉𝑑𝑖𝑙 = 𝑉𝑐𝑜𝑛𝑐 + 𝑉𝑒𝑎𝑢
b) Lors de l’ajout d’une solution à ions communs
Le nombre de moles de soluté dissous varie de la manière suivante :
n soluté (sln diluée) = n soluté (sln concentrée) + n soluté (sln ajoutée)
Comme le nombre de moles de soluté peut se calculer à partir de la concentration et du volume de la

solution, on peut écrire la relation suivante :
𝐶 𝑑𝑖𝑙 × 𝑉 𝑑𝑖𝑙 = 𝐶 𝑐𝑜𝑛𝑐 × 𝑉 𝑐𝑜𝑛𝑐 + 𝐶 𝑠𝑙𝑛 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡𝑒𝑒 × 𝑉 𝑠𝑙𝑛 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡𝑒𝑒
3/ Facteur de dilution
On appelle facteur de dilution :
- soit le rapport de la concentration avant dilution par la concentration après dilution c’est-à-dire
C conc / C dil
- soit le rapport du volume de solution après dilution par le volume de solution avant dilution c’est-à-
dire V dil / V conc
La molarité M et la normalité N d’une solution aqueuse
N = M pour un monoacide
N = 2 M pour un diacide
N = 3 M pour un triacide
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 Une solution normale acide est une solution susceptible de fournir une mole d'ions H+ par litre
de solution.
 Une solution normale basique est une solution capable de capter une mole d'ions H+ par litre de
solution.
 La normalité d'une solution est égale à la concentration analytique et est déterminée par
analyse. Elle se réfère au nombre de moles d'ions H+.
 En plus d'être caractérisée par leur normalité, chaque solution l'est aussi par sa molarité qui,
elle, se réfère à la quantité de matière acide ou basique dans la solution.
 Lorsque on a une monobase ou un monoacide on a normalité égale à la molarité ; tandis que
lorsqu'on a affaire à une diabase ou un diacide on a : molarité = normalité x 2.
Quelques exemples :
 Une solution d'acide sulfurique à une mole par litre est 1M

H2SO4 = 2H+ + SO42-
avec un litre, on peut donc échanger deux protons pour une mole d'acide sulfurique. la
solution est donc 2N

Pour l'acide chlorhydrique 1M donne 1N
Pour la soude 1M donne 1N
Dans ces deux cas, il n'y a qu'un proton libéré ou captable

Une solution de permanganate de potassium à une mole par litre est 1M
MnO4- + 8H+ +5e- = Mn2+ + 4H2O
avec un litre, on peut donc échanger cinq électrons, la solution est 5N
Oui mais ... si on considère le couple avec MnO2, on a l'équation suivante :
MnO4- + 4H+ +3e- = MnO2 + 2H2O
avec un litre, on peut donc échanger trois électrons, la solution est 3N
Sur ce dernier exemple, on voit qu'une même solution 1M peut être 3N ou 5N selon l'emploi
qu'on en fait
La catalyse
I. Définitions générales
1. Catalyse
La catalyse est l'action d'un catalyseur sur une transformation chimique.
2. Catalyseur
Un catalyseur est une espace qui augmente la vitesse d'une transformation, sans figurer dans
l'équation de la réaction et sans modifier la composition du système a l'état final.
II. Différents types de catalyse
1. Catalyse homogène
1. Définition
On dit d'une catalyse qu'elle est homogène si le catalyseur et les réactifs ne forment qu'une seule phase.
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2. Exemple
La réaction de décomposition (dis mutation) de l'eau oxygène (ou peroxyde d’hydrogène : H2O2) peut
être catalysée par les ions fer (III) en solution aqueuse. Il n’y a qu'une seule phase, la phase aqueuse.
2. Catalyse hétérogène
1. Définition
On dit d'une catalyse qu'elle est hétérogène si le catalyseur et les réactifs forment plusieurs phases.
2. Exemple
La réaction de synthèse de l'eau à partir du dihydrogène et du dioxygène peut être catalysée par le
platine solide (mousse de platine). Les réactifs sont en phase gazeuse et le catalyseur est en phase
solide.
3. Catalyse enzymatique
Le catalyseur est une enzyme, c'est-à-dire une protéine élaborée par un organisme vivant. Cette
catalyse s'apparente à la fois à une catalyse homogène (le catalyseur et les réactifs du milieu
biologique ne forment qu'une seule phase aqueuse) et a une catalyse hétérogène (par le mode d'action
(présence de site actif)).
III. Propriétés de la catalyse
1. Rôle purement cinétique du catalyseur
Un catalyseur a un rôle purement cinétique. Cela signifie qu'il ne peut accélérer qu'une réaction qui
peut avoir lieu sans lui.
Il ne modifie ni le sens d'évolution d'une transformation ni la composition du système ni l'état final.
Tout catalyseur d'une réaction dans le sens direct catalyse aussi la réaction en sens inverse
(H3O+ catalyse aussi bien l'estérification que l'hydrolyse de l'ester).
2. Sélectivité d'un catalyseur
1. Définition
Un catalyseur est sélectif si son action est spécifique.
Cela signifie qu'un système peut évoluer différemment selon le catalyseur utilisé, ou encore, qu'un
catalyseur peut orienter une transformation chimique.
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2. Exemple
L'évolution de l'éthanol lors de son chauffage dépend du catalyseur utilisé.
En présence de cuivre (catalyseur), l'éthanol subit une déshydrogénation pour donner de l'éthanal.
En présence d'alumine (oxyde d'aluminium Al2O3) il subit une déshydratation pour donner de
l'éthylène.
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TCHALAS
UNIVERSITE QUISQUEYA(UNIQ)
Examen d'admission Année académique 2015-2016

ANGLAIS
A- Choose the best answer among the possibilities below
1- Would you mind ------------my wallet please?

a) bringing me b) bring me c) brought me d) have brought me
2- Don't forget to give it to her when you ------------her.

a) will see b) shall see c) see d) would see
3-Somebody stole his wallet so he ------------money from friend.

a) Lent b) earned c) lended d) borrowed
4- What was he amazed----------------?

a) for b) of c) at d) with
5- I am going to get rid of my old books, ------------are novels.

a) Most of which b) most of whom c) most of whose d) most of that
6)----------------Hungry?
a) you are b) are you c) have you d) you where
7- Where is the hospital-----------------?

a) located b) situate c) like d) taken
8- Paul has --------------------new shirts

a) lots b) a lot of c) very much d) very some
9-Mr Pierre wants -------------------------to this office

a) you to come b) that you com c) you to come d) you came
10- you -----------------------------do it right now because we are running out time.
a) could b) will c) might d) have to
11- The day before yesterday we-----------------------------television all day

a) had been watching b) were watching c) are watching d) watched
12- He wouldn't do it even if he could--------------------------------------.

a) neither I would b) neither would I c) so would I d) Either would I
13- She came to the party without -------------------------------------------

a) been invited b) being invited c) she is invited d) having invited
14- The president of the company will --------------------------at the end fiscal year
a) resign b) being invited c) hit d) be have
15- Doctor rivers has a ---------------------knowledge of cardiovascular diseases.

a) wonderful b) former c) trough d) noisy
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UNIVERSITE QUISQUEYA
Test d'admission Aout 2015
CULTURE GENERALE
1- De quel événement important de l'Histoire d’Haïti, l'année 2015 ramené-t-il le centenaire ?
R________________________________________________________________________________
2- En quelle année la peine de mort a-t-elle été abolie en Haïti ?
R_________________________________________________________________________________
3- Quel est le prénom de Che Guevara ?
R_________________________________________________________________________________
4- OTAN signifie :
R_________________________________________________________________________________
5- Staline a gouverné quel pays ?
R_________________________________________________________________________________
6- Quel est le département le plus peuplé après le département de l’Ouest ?
R_________________________________________________________________________________
7- Quel est le pays de l'Union Européenne traverse actuellement une grande crise financière qui
met en danger l'existence de l’Euro ?
R_________________________________________________________________________________
8- Quelle américaine est considérée comme la plus grande joueuse de tennis de tous le temps ?
R________________________________________________________________________________
9- La communauté de Noailles à Croix-des-bouquets est spécialisée dans les œuvres d'art en :
R_________________________________________________________________________________
10- Haïti est l'Hôte d'un grand festival caribéen du 21 au 30 aout 2015, lequel ?
R-
__________________________________________________________________________________
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Examen D'admission-Janvier 2016
MATH A
Partie A
𝑺𝒐𝒊𝒕 𝒍𝒂 𝒇𝒐𝒏𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒇 𝒅é𝒇𝒊𝒏𝒊𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝑹 𝒑𝒂𝒓 ∶ (𝒙𝟐 + 𝒙 + 𝟏)𝒆−𝒙 − 𝟏
𝑂𝑛 𝑎𝑑𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑎 𝑞𝑢𝑒 2,7 < 𝑒 < 7,3 < 𝑒 2 < 7,4
a) lim 𝑓(𝑥) = +∞ 𝑏) lim 𝑓(𝑥) = −1 𝑐) lim 𝑓(𝑥) = 0

𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥→+∞
𝑑) lim 𝑓(𝑥) = −∞ 𝑒) 𝐴𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑟é𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒𝑠

𝑥→+∞
𝑎)𝑓′(𝑥) = (2𝑥 + 1)𝑒 −𝑥 𝑏) 𝑓′(𝑥) = −(2𝑥 + 1)𝑒 −𝑥 𝑐) 𝑓′(𝑥) = (𝑥 − 𝑥)𝑒 −𝑥
𝑑) 𝑓′(𝑥) = (𝑥 2 + 3𝑥 + 2)𝑒 −𝑥 𝑒) 𝐴𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑟é𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒𝑠
𝑎) 𝑓 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑅
𝑏) 𝑓 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟 ]−∞; −0,5] 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟 [−0,5; +∞[
𝑐)𝑓 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟 ]−∞; −2] 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑟 [−1; +∞[ 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟 [−2; −1]
𝑑)𝑓 𝑒𝑠𝑡 𝑑é𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟 ]−∞; 0] 𝑒𝑡 𝑠𝑢𝑟 [1; +∞[ 𝑒𝑡 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑠𝑢𝑟[0; 1]
𝑒) 𝐴𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑟é𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒𝑠
𝑎) 𝐿′𝑒𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑓(𝑥) + 1 = 0 𝑛′𝑎𝑑𝑚𝑒𝑡 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑅
𝑏) 𝐿′𝑒𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑓(𝑥) + 1 = 0 𝑎𝑑𝑚𝑒𝑡 1 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑅
𝑐) 𝐿′𝑒𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑓(𝑥) + 1 = 0 𝑛′𝑎𝑑𝑚𝑒𝑡 2 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑅
𝑑) 𝐿′𝑒𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑓(𝑥) + 1 = 0 𝑎𝑑𝑚𝑒𝑡 𝑎𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑒 3 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑅
𝑒) 𝐴𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑟é𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑠é𝑒𝑠 𝑛′𝑒𝑠𝑡 𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒
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Partie B
Nous avons les relations suivantes trigonométriques, pour tout x réel :

𝑥 𝑥
a) 1 − 𝑠𝑖𝑛𝑥 = 2𝑠𝑖𝑛2 2
b) 1 + 𝑐𝑜𝑠𝑥 = 2𝑐𝑜𝑠 2 2
𝜋 𝑥
c) 1 + 𝑐𝑜𝑠𝑥 = 2𝑐𝑜𝑠 2 ( 4 − 2)
𝜋 𝑥
d) 1 − 𝑐𝑜𝑠𝑥 = 2𝑠𝑖𝑛2 ( 4 − 2) e)Aucune de ces réponses
Il est possible d'exprimer (1 − 𝑠𝑖𝑛𝑥)2 + 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥 sous la forme:

𝜋 𝑥 𝑥 𝜋
a) 2(1 + 𝑐𝑜𝑠𝑥) b) 2(1 + 𝑠𝑖𝑛𝑥) c) 4𝑠𝑖𝑛2 ( 4 − 2) d) 4𝑐𝑜𝑠 2 (2 − 4 )
e) Aucune de ces réponses
𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑖𝑑𝑒𝑟𝑜𝑛𝑠, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙′𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒𝑥𝑒𝑠 𝐶, 𝑙′𝑒𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛:
2𝑧 3 − (1 + 2𝑖)𝑧 2 + (25𝑖 − 1)𝑧 + 13𝑖 = 0
𝑳′𝒆𝒒𝒖𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 (𝑬) 𝒑𝒆𝒖𝒕 𝒆𝒕𝒓𝒆 𝒆𝒄𝒓𝒊𝒕 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒍𝒂 𝒇𝒐𝒓𝒎𝒆: 𝟐(𝒛 − 𝒂)(𝒛𝟐 + 𝒂𝒛 + 𝒃) = 𝟎
𝒍𝒂 𝒗𝒂𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒆 𝒂 𝒆𝒔𝒕 ∶
1 1
𝑎) 1 𝑏) 𝑐) − 𝑑) 0 𝑒) 𝐴𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑟é𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒𝑠
2 2
𝑳𝒂 𝒗𝒂𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒆 𝒃 𝒆𝒔𝒕:
𝑎) 10𝑖 𝑏) − 4𝑖 𝑐) 13 𝑑) 13𝑖 𝑒) 𝐴𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑟é𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒𝑠
𝐿𝑒 𝑑𝑖𝑠𝑐𝑟𝑖𝑚𝑖𝑛𝑎𝑛𝑡 ∆= 𝑎2 − 4𝑎𝑏 𝑑𝑒 𝑙 ′ 𝑒𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑔𝑟é:
𝑧 2 + 𝑎𝑧 + 𝑏 = 0(𝐸)
𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑟𝑟é 𝑑𝑢 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒𝑥𝑒
𝑎) 5 + 5𝑖 𝑏) − 5 + 5𝑖 𝑐) 5 − 5𝑖 𝑑) 5𝑖 𝑒) 𝐴𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑟é𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒𝑠
𝑳𝒆𝒔 𝒔𝒐𝒍𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒅𝒆 𝒍′ 𝒆𝒒𝒖𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏
1
𝑐𝑜𝑠𝑥 = − 𝑑𝑎𝑛𝑠 [−𝜋, 𝜋] 𝑠𝑜𝑛𝑡 − − − − − − − − − − −
2
𝑅𝑒𝑠𝑜𝑢𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝐼𝑅 𝑙′𝑒𝑞𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑢𝑖𝑣𝑎𝑛𝑡𝑒: |2𝑥 + 1| − |𝑥 − 3| < 5
𝐿′𝑒𝑛𝑠𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑔𝑎𝑙𝑒 à: − − − − − − − − − − − − − − − − −
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Examen d'admission-Janvier 2014
MATH B
1. Suzanne a été promue et son ancien salaire, de 40 000 gourdes (par mois), est augmenté de
12,5%. Quel est son nouveau salaire mensuel ?
a) 44800 gourdes
b) 45000 gourdes
c) 45250 gourdes
d) 47700 gourdes
e) 46000 gourdes
f) Autre
2. Si (𝒙 + 𝒚)𝟐 = 𝟕𝟎 𝒆𝒕 (𝒙 − 𝒚)𝟐 = 𝟑𝟎, 𝒒𝒖𝒆 𝒗𝒂𝒖𝒕 𝒙𝒚?
a) 5
b) 10
c) 15
d) 20
e) 30
f) Autre
√𝒙−𝟒
3. Soit la fonction 𝒇(𝒙) = 𝟐𝒙+𝟐. Etudier la limite de f quand x tend vers moins l'infini.
Réponse : _______________________________________________________________
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4. Un marchand acheté 2 stylos et 4 crayons pour 30 gourdes. Le suivant acheté 10 stylos et 5

crayons pour 81 gourdes après avoir bénéficié d'une remise de 10%. Quel est le prix d'un stylo ?
a) 4 gourdes
b) 5 gourdes
c) 6 gourdes
d) 7 gourdes
e) 8 gourdes
f) Autre
5. On a: 𝒂 + 𝒃 = 𝟗 𝒆𝒕 𝒂𝟐 − 𝒃𝟐 = 𝟗. 𝑸𝒖𝒆 𝒗𝒂𝒖𝒕 𝒂 − 𝒃 − 𝟕
a) -3
b) -6
c) 0
d) 2
e) -7
f) Autre
6. On a 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 = 𝟏 𝒆𝒕 𝒂𝟐 − 𝒃𝟐 = 𝟗. 𝑸𝒖𝒆 𝒗𝒂𝒖𝒕 𝒂𝟒 + (𝒂𝒃 + 𝒄)𝟐 + (𝒂𝒃 − 𝒄)𝟐 ?
a) 1
b) 2
c) 22𝑎2 + 𝑏 2 + 𝑐 2
d) 𝑎4 + 𝑎𝑏𝑐
e) Autre
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7. Dans une entreprise, le salaire moyen des femmes est inférieur de 20 % à celui des hommes.
Alors le salaire moyen des hommes est supérieur à celui des femmes est de :
a) 80%
b) 24%
c) 20%
d) 25%
e) 120%
f) Autre
𝒙 𝒚
8. La pente de la droite d'équation: 𝟓 + 𝟕 = 𝟏 𝒆𝒔𝒕 𝒆𝒈𝒂𝒍𝒆 à ∶
a) 7/5
b) 5/7
c) -7/5
d) 12
e) 35
f) Autre
9. X et Y sont deux nombres de trois chiffres. Les chiffres de X sont 1,2 et 3 et les chiffres de Y
sont 4,5 et 6. On sait que X+Y est pair et que le deuxième chiffre de X est 2. Quel est le chiffre des
unités du produit XY ?
a) 2
b) 6
c) 5
d) 4
e) On ne peut pas dire avec certitude
f) Autre
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10. Le nombre 𝒂 ⋄ 𝒃 designe le plus grand des nombres 𝟐𝒂 𝒐𝒖 𝒂 + 𝒃. Quel est le nombre(2⋄ 𝟑) ⋄
(𝟑 ⋄ 𝟐)
a) 9
b) 10
c) 11
d) 12
e) 13
f) Autre
11. On dit que 𝒇 est continue en un point 𝒂 si :
a) la limite de 𝑓 quand x tend vers 𝑎 vaut 𝑓(𝑎)
b) la limite de 𝑓 quand x tend vers +∞ vaut 𝑓(𝑎)
c) la limite de 𝑓 quand x tend vers −∞ vaut 𝑓(𝑎)
d) la limite de 𝑓 quand x tend vers 𝑎 vaut 𝑎
12. Si la dérivée d'une fonction est positive :
a) la fonction est croissante
b) la fonction est décroissante
c) la fonction est constante
d) on ne peut rien dire sur le sens de variation de la fonction
13. Laquelle de ces propositions est bonne ?
a) Toute suite croissante et majorée diverge
b) Toute suite décroissante et majorée converge
c) Toute suite croissante et majorée converge
d) Toute décroissante et minorée diverge
e) Aucune de ces réponses
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14. Laquelle de ces propositions est vraie ?
a) La dérivée de la fonction exponentielle est la fonction logarithmique
b) La dérivée de la fonction logarithmique est la fonction exponentielle
c) La dérivée de la fonction logarithmique est la fonction logarithmique
d) La dérivée de la fonction exponentielle est la fonction exponentielle
15. Trois étudiants amis achètent des cahiers et des stylos. Les cahiers sont tous de mêmes prix.
Le premier prend 3 cahiers et 2 stylos. Le second, 2 cahiers et 4 stylos. Le troisième, 4 cahiers et 1
stylo. Le premier a dépensé 46 gourdes, le second 44 gourdes. Combien a dépensé le troisième ?
Réponse
__________________________________________________________________________________
__________________________________________________________________________________
__________________________________________________________________________________
__________________________________________________________________________________
__________________________________________________________________________________
__________________________________________________________________________________
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UNIVERSITE QUISQUEYA(UNIQ)
Questionnaire d'évaluation sommative d'appropriation de la langue française
Année académique 2014-2015
ANALYSE DE TEXTE
I. Répondez aux questions après avoir lu le texte
ENSEIGNEMENT FEMININ
La législation scolaire d'Haïti prévoit des écoles séparées pour les filles et les garçons à partir de l’âge
de 7 ans. Les programmes de l'enseignement primaire ne font entre les élevés aucune différence, sauf
en ce qui concerne, sauf en ce qui concerne les travaux manuels. Il n'en est pas de même pour
l'enseignement secondaire. L'article 4 de l'arrêté du 26 juillet 1893 déterminant" les matières et les plans
d'études au programme de l'enseignement primaire et secondaire>> s'exprime ainsi :
"L'enseignement secondaire est donné : 10 dans les écoles secondaires spéciales de garçons, 20
dans les lycées et les collèges." L'article 6 ajoute: «l’enseignement dans les écoles secondaires de jeunes
filles reparti en 3 cours, comprend: la langue et la littérature française, les langues anglaises et espagnole,
l'arithmétique appliquée, les éléments de la géométrie expérimentale, les règles de la comptabilité
usuelle et de la tenue des livres, les notions de physique, de chimie, d'histoire naturelle, d'hygiène et de
cosmographie, les principales époques de l'histoire générale et l'histoire particulière d'Haïti, la
géographie générale et la géographie d'Haïti, les éléments d'économie domestique, les principes de la
diction, le dessin d'ornement , la musique vocale et le piano, le travail manuel( les travaux à l'aiguille ,la
coupe et l'assemblage).
Il a été institué comme sanction de ces études un certificat d'études secondaires spéciales "pour ceux ou
celles qui auront parcouru toutes les matières enseignées dans les écoles secondaires spéciales de
garçons ou de jeunes filles". Les jeunes filles jeunes-filles ou peut-être leurs familles- ne montrèrent pas
beaucoup d'enthousiasme pour ce certificat d'études secondaires auquel elles préfèrent le brevet simple
et surtout le brevet supérieur à cause sans doute du mot "supérieur".
La législation scolaire d'Haïti donne formellement l'entrée de l'école de médecine et de l'école de droit
aux candidats des deux sexes ; mais en fait, les femmes en sont éliminées puisqu'elles sont exclues des
lycées et collèges dont l'enseignement conduit au certificat d'études secondaires classiques pour
l'admission à ces écoles supérieures.
Quelques jeunes filles ayant suivi des cours particuliers ont pu se faire admettre à l'école de droit et de
médecine.
Une campagne est menée depuis quelque temps pour faire disparaitre la distinction ainsi établie
entre les deux sexes au sujet de l'enseignement secondaire. Le ministère de l'éducation publique semble
ne pas y rester indiffèrent. Dans son exposé de 1933, il dit en propres termes : le département envisage
la création d'un lycée de jeunes filles. La nécessité d'un pareil établissement se fait sentir. Depuis ces
derniers temps, notre jeunesse féminine a pris un essor dont on ne peut pas tenir compte. Il serait
vraiment regrettable qu'elle fut arrêtée en si beau chemin d'une institution qui lui permettrait de prendre
la place qu'elle ambitionne et à laquelle elle a droit dans notre jeune démocratie>>.
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Pour obtenir que suite soit donnée à cette promesse, la Ligue Féminine d'Action Sociale a
adressé au ministre de l'instruction publique, sous la signature de sa présidente et de sa secrétaire
générale Meme Madelaine Sylvain et Meme Fernande Bellegarde, une pétition du 7 mars 1936 qui mérite
d'être reproduite :
"Le droit pour la femme d'accéder à la plus haute culture n'est plus sérieusement contestée nulle
part. Partout elle a donné la preuve que son intelligence pouvait dans tous les domaines de la pensée,
s'exercer avec succès. Dans toutes les sociétés avancées où son activité a pu se déployer sans entrave,
elle a contribué de la façon la plus utile et la plus efficace aux œuvres de progrès social et à
l'amélioration des conditions matérielles et morales de la vie."
“Ayant le droit et le devoir d'accéder à la haute culture, la femme doit trouver dans la société
dont elle fait partie les moyens d'acquérir cette culture. C'est une obligation pour l'Etat de les créer en
sa faveur pour rendre apte à remplir son devoir social.
“ Tel n'est point le cas en Haïti. Un préjugé séculaire qui ne tient aucun compte, des réalités
psychologiques, a compartimenté les deux sexes en les séparant, au point de vue de l'éducation, comme
par les cloisons étanches. Aux hommes est réservé l'enseignement des connaissances qui mènent au plus
grand développement intellectuel possible ou qui conduisent aux positions sociales les plus élevées. Cet
enseignement est distribué dans les lycées et collèges dont l'accès set défendu aux femmes, à qui l'on
parait faire suffisantes mesures par un enseignement primaire supérieur, d'ailleurs parcimonieusement
dispensé.
“ Une pareille injustice ne peut plus longtemps durer. Nous sommes certaines que le président
de la République qui nous a déjà donné tant de témoignages de sa bienveillance, et vous-mêmes
Monsieur le ministre qui avez une connaissance particulière des besoins et des aspirations de toute la
jeunesse haïtienne, nous aiderez effectivement à gravir l'échelon secondaire qui mené à l'enseignement
supérieur, en créant dans le pays un ou des lycées pour jeunes filles. Les études secondaires sont sans
doute, avant tout, un enseignement de culture, c'est-à-dire qu'elles visent au perfectionnement
individuel. Mais elles constituent une étape vers la connaissance supérieure et surtout -pour beaucoup-
une préparation aux hautes écoles d'application professionnelle : médecine, droit, génie, professorat,
etc. Peu nombreuses jusqu'ici sont les femmes haïtiennes qui ont pu accéder à ces écoles supérieures.
Encore ont-elles dû, pour y réussir consacrer à cette préparation de longs efforts qui, s'ils avaient été
mieux dirigés, les auraient conduites moins péniblement et plus rapidement au succès.
Nous savons bien que la situation du trésor public ne permet pas au gouvernement de constituer
de toutes pièces cet enseignement secondaire féminin et d'établir-comme nos besoins le requièrent- un
lycée de jeune fille dans chacune des villes ou existe un lycée de garçons. Cela serait pourtant de stricte
équité. Mais nous reconnaissons que les conditions financières du pays ne sont pas actuellement
favorables à l'accomplissement intégral d'un pareil progrès. Aussi convient-il, pour commencer de
chercher les moyens pratiques de fonder à Port-au-Prince un établissement secondaire féminin donnant
un enseignement égal à celui des lycées et collèges de la capitale. Nous nous permettrons donc de vous
faire les suggestions suivantes :
"1. Le congrès des anciennes élevés de l'Ecole Normale d'Institutrices reconnaissant la

nécessité de ces études secondaires, a formulé, l'année dernière, une requête demandant qu'il soit créé,
à l'Ecole Normale une section classique séparée de la section de préparation pédagogique. N'y aurait-
il pas lieu de retenir cette intéressante suggestion ? La <<section classique>> pourrait devenir le noyau
d'un collège secondaire et peut-être pourrait-on y occuper un certain nombre de professeurs du lycée
Pétion ou y nommer quelques nouveaux maitres.
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"2. Une subvention pourrait être accordée à un établissement privé, suffisante pour lui
permettre de payer son loyer et les honoraires de ses professeurs, l'Etat exerçant par ses inspecteurs un
contrôle sur les études et la marche de l'école. Nous prenons la liberté de penser qu'un arrangement de
ce genre serait possible par exemple, avec le centre d'études universitaires dirigé par Mme. Etienne
Bourand.
"3. La situation la meilleure serait naturellement que l'Etat créât lui-même un lycée et lui donnât
sa destination spéciale, en construisant pour cet établissement une maison appropriée et en y nommant
un personnel bien préparé. Nous croyons que le gouvernement peut réaliser ce projet dans des
conditions économiques. Ce dont nous sommes bien sûres, c'est que M. Le président Vincent serait
heureux d'attacher son nom à cette œuvre de libération féminine et que vous y aiderez vous-mêmes de
toute la force de votre sympathie pour la jeunesse haïtienne sans distinction de sexe".
Nous n'avons personnellement jamais douté de l'habitude de nos filles à aborder les études supérieures
et, par suite, les carrières auxquelles ces études conduisent. Si les femmes haïtiennes sont capables
d'étudier les sciences, la médecine, le droit, le génie, il nous paraîtrait injuste qu'on les en écartât. A
égalité d'aptitude, Egalite de moyens d’éducation, -nous voulons dire par là que chaque individu doit
trouver dans la société les conditions nécessaires pour le développement de sa personnalité sans que la
loi, les conventions de classe ou les préjugés de race, de sexe ou de localité puissent opposer à ce
développement naturel des obstacles artificiels. Hommes de toutes les régions ou pays doivent un milieu
intellectuel où baigne le peuple tout entier, de façon qu'aucune intelligence n'échappe à son action
bienfaisante et qu'aucune ne se perde faute d'avoir rencontré l'étincelle nécessaire. Cela implique un
système d'éducation répondant à tous les besoins de la société haïtienne et fasse à la femme une place
égale à celle de l'homme à tous les degrés de l'enseignement.
Place égale, mais pas forcément pareille dans tous les cas. Ce serait en effet une grave erreur de
vouloir que l'égalité des moyens d'éducation pour tous conduise à l'uniformité de l'enseignement et à
une sorte de standardisation des esprits. Entre les hommes il existe des différences naturelles dont la
science pédagogique ne saurait ne pas tenir compte. Entre les hommes et les femmes il existe les
différences psychologiques qui ont leurs conséquences dans la vie individuelle, familiale et sociale. Bien
pauvre pédagogie serait celle qui prétendrait les ignorer !
Beaucoup d'hommes en Haïti s'opposent à ce mouvement légitime des femmes haïtiennes parce
qu'ils croient que le féminisme consiste exclusivement dans l'aspiration des femmes à exercer une action
personnelle et directe dans le gouvernement de leur pays; parce que les fonctions physiologiques de la
maternité vouent plus particulièrement la femme au soin de l'enfant et de la maison familiale, ils
voudraient la condamner éternellement aux travaux domestiques comme si son esprit était incapable aux
hautes conception de l'art, de la littérature et de la science, comme si sa volonté était irrémédiablement
trop faible pour lui permettre de prendre la société un rôle de direction de commandement. Tout au
moins admettent-ils qu'elles reçoivent une instruction qui fasse d'elle un être frivole destiné à orner de
grâce légère l'existence maussade de l'homme faisant de l'art de se séparer de son étude suprême, n'ayant
d'autre idéal que d'être objet de luxe, le bibelot rare que les amateurs recherchent par vanité ou par
snobisme.
S'il y a des femmes fortes, de volonté énergétique, d'intelligence claire capable d'actions
bienfaisantes, pourquoi les entraves légales devraient gêner leur activité ? Sans doute ne sont-elles pas
très nombreuses ? Mais combien y a-t-il d'hommes de cette trempe ? Or, tandis que les hommes mêmes
immoraux, faibles et incompétents trouvent ouvertes devant eux toutes les portes, les femmes mêmes
capables se voient fermées toutes les issues. Là est injustice. N'est-il pas absurde que la mère de la
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famille la plus honorable, la commerçante la plus avisée, la licenciée au droit la plus brillante, la
pharmacienne la plus experte, l'institutrice la plus compétente soit jugée incapable de voter, quand le
palefrenier le plus obtus-parce qu'il a 21 ans accomplis-a le droit de déposer un bulletin dans l'urne et
de décider par la voie du plébiscite sur les hautes questions constitutionnelles et économiques ?
Il ne s'agit pas d'augmenter le nombre des candidats aux fonctions publiques ni d'accroître
l'effectif des prolétaires intellectuels mais de préparer la femme haïtienne à comprendre la valeur de sa
vie, sa grandeur parfois tragique, ses misères et ses beautés. Il lui faut donc une éducation qui, en
cultivant ses qualités intellectuelles, la rende propre à remplir avec conscience son rôle dans la famille
et dans la nation. Les femmes ainsi préparées feront merveille dans la politique, nous voulons dire dans
la politique sociale telle qu'on l'entend et la pratique ailleurs, celle qui tend avant tout à l'élévation morale
et au bien-être matériel du peuple.
Dantès Bellegarde (Extrait de" La Nation haïtienne", Port-au-Prince 1938)
QUESTIONS
N.B. Pour les quatre premières questions, cochez les lettres correspondant à la bonne réponse.
1. Ce texte montre principalement que :
a) Les femmes préparées font merveille dans la politique en Haïti
b) Les femmes préparées avaient fait merveille dans la politique en Haïti
c) Les femmes préparées feront merveille dans la politique en Haïti
d) Les femmes préparées n'ont pas fait merveille dans la politique en Haïti
e) Toutes les réponses sont bonnes
f) Aucune de ces réponses
2- La pétition du 7 mars 1936, adressée à la ligue féminine d'Action Sociale au ministre de

l'instruction publique, lui sollicitant un établissement d'enseignement secondaire féminin, a fait
l'état de :
a) La mise en œuvre, à l'école normale existante, d'une section classique dispensant un enseignement
secondaire
b) La subvention par l'Etat, d'un établissement privé

c) La construction à proprement parlé d'un lycée
d) L'attachement par le président Vincent, de son nom à une belle œuvre de libération féminine.
e) Toutes les réponses sont bonnes
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3- D'après le texte, les femmes étaient exclues des lycées et collèges dont l'enseignement conduit
au certificat d'études secondaires classiques exigé pour l'admission aux écoles supérieures parce
que/qu’:
a) La législation scolaire d'Haïti prévoit des écoles séparées pour les filles et les garçons à partir de l'âge
de 7 ans
b) l'enseignement secondaire était donné seulement dans écoles secondaires spéciales
c) La législation scolaire d'Haïti défendait formellement l'entrée de l'école de médecine et de l'école de

droit aux candidats des deux sexes.
d) Il n'y avait de lycées et/ou de collèges de jeunes filles
e) Quelques jeunes filles ayant suivi des cours particuliers ont pu se faire admettre à l'Ecole de droit et
à l'Ecole de médecine.
F) Aucune de ces réponses
4- D'après ce qui est dit dans ce texte daté de 1938, la majorité civile et électorale était fixée à :
a) 18 ans
b) 19 ans
c) 36 ans
d) 21 ans
e) 17 ans
5- Résumez le texte en 5 lignes
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__________________________________________________________________________________
__________________________________________________________________________________
__________________________________________________________________________________
_______
INTERPRETATION
Expliquez ces deux pensées tirées du texte en six (6) lignes chacune
1. Entre les hommes il existe des différences naturelles dont la science pédagogique ne saurait ne pas
tenir compte.
2. A égalité d'aptitude, égalité de moyens d'éducation.
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INTERPRETATION 1 (Entre les hommes il existe des différences naturelles dont la science
pédagogique ne saurait ne pas tenir compte.
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__________________________________________________________________________________
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Test d'évaluation sommative en communication française
FRANCAIS DE BASE
PREMIERE PARTIE
I. Cochez, la lettre correspondant à la bonne réponse
1.----------------------------les directives qui vous conduiront tout droit au mausolée de l'Université
a) Ci-joint b) Ci-jointe c) Ci-joints d) Ci-jointes
2. Il y a beaucoup de manifestants connus pour leur engagement politique aux abords du Palais National
mercredi dernier---------------------Anne Chancy, Marie Laurence J. Lassegue, Myriame Merlin.
a) Tel b) Telle c) Tels d) Telles
3. Allez-vous au plateau central ? Oui, Nous------------------allons.
a) en b) y c) i d) avons
4. ---------------------------gens sont très rancuniers.
a) Certain b) Certaine c) Centaine d) Certains e) Certaines f) Centaines
5- Les filles de vos cousines et vous-mêmes -------------------------vraiment insupportables à la réunion

de la semaine dernière.
a) étiez b) étaient c) étions d) avons été
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6.--------------------------preuves que vous avanciez, ce qui est fait est fait, le vin est tiré, il faut le boire.
a) Quelles que b) Quelle que c) Quelque d) Quelques e) Quel f) Quels
7.-------------------Patrick est très apprécié pour son humanisme
a) Mr. b) Mrs. c) Ms. d) M. e) Mme f) Miss
8. J'ai acheté trois chemises -----------------------------------
a) rouge-vifs b) rouge vif c) rouges vifs d) rouges vif e) rouge-vif f) rouges-vifs
9. Je n'ai pas suffisamment d'argent pour acheter ces------------------------------
a) couvres-lits b) couvres-lit c) couvre lits d) couvre-lit e) couvre-lits f) couvres lits
10. Je vous prie de recevoir ce chèque de ---------------------------------------gourdes
a) vingt-millions cent vingt-trois mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf
b) vingt-millions cent-vingt-trois- mille neuf-cent-quatre-vingt-dix neuf
c) vingt-millions cent vingt-trois mille neuf cent quatre-vingt-dix neuf
d) vingt-millions cent vingt-trois mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf
e) vingt-millions cent vingt-trois mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf
f) vingt-millions cent vingt-trois mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf
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EXAMEN D’ADMISSION JANVIER 2012
EPREUVE DE PHYSIQUE
Question à choix multiples. Encerclez la bonne réponse
1- Deux masses mA et mB sont suspendues à droite de l’axe de rotation d’une balance comme
illustré Figue 1. Calculez la distance xc qu’on doit placer une masse mC pour obtenir un équilibre
de rotation si mA = mB = 10 kg et mC = 20 kg pour XA = 1 m et XB = 2 m.
XC = 2,5 m XC = 2 m XC = 1,5 m XC = 3,33m Autre
2- Calculer le travail pour élever un corps de 100 m de hauteur dans un champ de gravite uniforme
si la masse est égale à 1 kg.
W= 500 J W= 300 J W= 980 J W=100 J Autre
3- Un objet est lancé à 1 m d’un miroir sphérique concave et donne une image réelle à 1m. Quel
est le rayon R de courbure du miroir ?
R= 1m R= 0,5m R=2 m R= 4 m Autre
4- Un objet est placé à 1 m d’une lentille mince dont la distance focale est 0,5 m. Calculer la
position q de l’image.
q= 2m q=1m q= 3m q= 0,5 m Autre
5- Quelle quantité de chaleur Q faut-il apporter à 100 kg de plomb à 200 C pour le faire fondre ?
La chaleur massique du plomb est de 0,03kcal/kg*0C, le plomb fond à 3300 C et sa chaleur
latente de fusion est de 5,3kcal/kg.
Q=1460 cal Q= 60 kcal Q= 1460000 cal Q= 100 kcal Autre
6- A quelle température doit-on amener un échantillon de gaz initialement à 00 C et à la pression

atmosphérique pour que son volume double tandis que sa pression reste constante ?
T= 2730K T= 2730F T= 2730C T= 00 K Autre
7- Combien de temps prend un Vélo avec une accélération de 0,8 m/s2 pour aller de 4 à 12 m/s ?
15 s 10 s 26 s Autre
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8- À 25 cm devant un miroir plan, vous observez un visage. Quelle est la distance d1séparant votre
visage à l’image ?
15 cm 75 cm 100 cm 50 cm Autre
9- La résistance équivalente de 2 résistances identiques en parallèle est de 10Ω. La résistance

équivalente de ces mêmes résistances en série serait de :
20Ω 40 Ω 100 Ω Autre
10- Un transformateur possède 300 spires dans l’enroulement primaire et 75 spires dans son
enroulement secondaire. Quand le courant dans le circuit.
25 A 80 A 6,4 A Autre
11- Un fil a une résistance R et un diamètre d1. Un autre fil de même nature et de même longueur a
un diamètre d2 deux fois plus grand (d2=2 d1). La résistance de ce fil est :
1/2R 2R R Autre
12- Un homme pousse un mur avec une force de 10 N pendant 6 minutes. Le travail qu’il fait est
égal à :
60 Cal 6J 10 J Autre
13- La capacité équivalente de deux condensateurs montés en série est :
30µF 10µF 40µF Autre
14- Un fil long et rectiligne porte un courant de 1,2 A. La valeur de l’induction magnétique à une
distance du fil est :
3*10-5T 3,6*10-5T 1,9*10-4T Autre
15- Une ampoule de 120 V qui tire un courant de 20 A à une puissance de :
P= 0,12 KW P= 2,4 KW P= 4,3 KW Autre
EXAMEN D’ADMISSION- JANVIER 2014
Epreuve de Physique (durée : 2 heures)

Encerclez la bonne réponse
1- Un Cylindre de poids P=100 N repose sur la base horizontale de surface S= 100cm2. Si l’on
admet que la force pressante exercée par le cylindre est uniformément repartie, calculer la
pression subie par le support.
100 Pa 100 000 Pa 1000 Pa 1 Pa Autre
2- Un train de masse 750 000kg est lancé à la vitesse de 108km/h. Quelle est son énergie
cinétique ?
675 MJ 81 MJ 4374 MJ 337,5 MJ Autre
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3- Une bouteille d’oxygène utilisée dans un hôpital contient du dioxygène O2. Le volume de cette
bouteille d’acier est 0,025m3 et la pression du gaz qu’elle contient, lue sur son manomètre, vaut
125 atm ; la température à 200C. Quelle serait l’indication du manomètre si la bouteille était
placée en plein soleil lors d’une chaude journée d’été, sa température prenant la valeur de 600C ?
110 Pa 110 atm 142 atm 142 Pa Autre
4- Une force résultante de 20 N, appliquée sur un corps de masse m, donne une accélération de 8
m/s2. Cette même force, appliquée sur un corps de masse m’, donne une accélération de 24 m/
s2. Si on attache les deux cordes m et m’, trouver l’accélération de l’ensemble causée par cette
force résultante.
16m/s2 24m/s2 6m/s2 8m/s2 Autre
5- On lance une balle de baseball verticalement vers le haut à une vitesse de 30m/s. Jusqu’à qu’elle
hauteur est-elle montée ?
294m 1,5m 0m 45,9m Autre
B. Questions conceptuelles
Question B1 : Pourquoi est-il possible pour un oiseau de rester sur une ligne haute tension sans être
électrocuté. Expliquer
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Question B2 : Vous avez cinq (5) ampoules électriques. Vous construisez un premier circuit (circuit-1)
avec une batterie et deux (2) ampoules en série. Ensuite, vous construisez un deuxième circuit (circuit-
2) avec une batterie (identique à la celle du circuit-1) et trois. (3) ampoules en série. Dans quel circuit
les ampoules vont-elles briller le plus ? Circuit avec deux ampoules ou circuit avec trois ampoules ?
Expliquer.
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C. Problèmes (Faire les calculs au bouillon et écrire la réponse finale dans la case appropriée
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Exercice C1
Considérons la figure 2 où l’on a deux vecteurs de déplacement représentés par 𝐴→ et 𝐵→ . Placer

graphiquement sur la figure 2 le vecteur résultant 𝐴→ + 𝐵→ . Calculer la grandeur du vecteur résultant.
3m
3m A
O 𝛼 = 300 X
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Exercice C2
Calculer la résistance équivalente entre les bornes a et b du circuit
Exercice C3
Une chandelle de 12,5 cm de hauteur est placée à 50 cm en avant d’un miroir concave dont la distance
focale est égale à 37,5cm. Trouver la position, la grandeur et la nature de l’image.
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EXAMEN D’ADMISSION JANVIER 2016
Epreuve de Physique (durée : 2 heures)
A-Questions à choix multiples. Encerclez la bonne réponse
1- La densité relative du mercure est égale à 13,6. Quel est le volume occupé par 300 g de
mercure ? la masse volumique de l’eau est égale à 1000kg/m3
0.022 m3 2,2*10-5m3 22*10-4 m3 22 m3 Autre
2- Un corps pèse 380 N dans l’air et 320 N quand il est immergé dans l’eau. Trouver son volume.
La masse volumique de l’eau est égale à 1000 kg/m3.
6,1m3 0,0387m3 0,0326m3 6,1*10-3m3 Autre
3- Quelle est la pression exercée sur le fond d’un récipient de 76 cm de hauteur quand il est
rempli d’eau. ?
7,45*103 Pa 7,45 Pa 7,45*10-3 Pa 7,45*106 Pa Autre
4- Une bonbonne en acier contient du gaz carbonique à 00 C sous une pression de 1,2*106 Pa.
Trouver la pression exercée par le gaz quand on chauffe la bonbonne à 1000 C.
1,2*106 Pa 0 Pa 1,2*106 1,64*106 Autre
5-La capacité équivalente de 2 condensateurs de 40𝜇𝐹 montés en parelle est :
20𝜇𝐹 40𝜇𝐹 160𝜇𝐹 10𝜇𝐹 Autre
6-Une voiture de masse 1000 kg atteint une vitesse de 10 à 20 m/s en 10 secondes. Calculer la
force qui agit sur la voiture.
2KN 1KN 2N 5000 N Autre
7-Un objet est lancé verticalement vers le haut, retombe sous l’effet de la pesanteur. Au sommet
de sa trajectoire :
a =0 m/s2 v= 0 m/s a>0 v>0 Autre
8-Le temps de chute d’une cerise qui s’est détachée d’un arbre avec une vitesse nulle et d’une
hauteur 4,9 m vaut :
9,8 s 19,6 s 2s 1,41 s Autre
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B. Faire les calculs au bouillon et placer les réponses dans les cases appropriées. Répondre directement
sur la feuille de texte.
Soit un circuit en courant alternatif où une résistance, une bobine idéale et un condensateur sont montés
en série (circuit RLC série). La résistance R est 20𝛺, l’inductance de la bobine est égale à 26,52 mH et
la capacité du condensateur est 106,1𝜇𝐹. Le circuit RLC est alimenté par une source de tension de valeur
efficace 110 V et de fréquence 60 Hz.
a) Calculer l’impédance Z du circuit RLC

b) Déterminer le courant total du circuit
c) Quelle est la puissance dissipée dans le circuit
d) Trouver le facteur de puissance du circuit.
Réponse
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Exercice no 2 Un corps se trouvant au point O est soumis à l’action de quatre (4) forces comme indiqué
à la figure 1. Calculer la résultante des forces.
110 N 100 N
300 450 80 N
200
160 N
Réponse
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Exercice no. 3
Calculer la résistance équivalente entre les bornes a et b du circuit de la figure 2.
Réponse
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Exercice no. 4
Un rayon lumineux frappe la surface d’un verre crown avec une incidence de 50 degrés. Trouver la
direction du rayon réfléchi et du rayon réfracté. Faire le schéma. L’indice de réfraction du verre crown
est 1,5.
Réponse
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Exercice no.5
Enoncer la loi d’Archimède pour un corps immergé dans un fluide.
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Réponse.
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Exercice no.6
Une bobine ayant une d’inductance de 0,14H et une résistance de 12 𝛺 est reliée aux bornes d’une source
alternative de valeur efficace 110 V et de fréquence 60 Hz. Calculer :
a) Le courant dans la bobine

b) Le déphasage entre le courant et la tension d’alimentation
c) Le facteur de puissance du circuit
d) La puissance consommée par la bobine.
Réponse
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Exercice no 6
Considérer les vecteurs de la figure 2. Calculer vecteur (A+B) (la résultante des vecteurs A et B).
Déterminer aussi le vecteur (A-B) la résultante des vecteurs A Et –B.
3m A
3m
300 X
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Exercice no 7
A quelle distance d’un miroir sphérique concave de 180 cm de rayon de courbure faut-il placer un objet
pour en obtenir une image réelle égale à la moitié de la dimension de l’objet ?
Réponse
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Exercice no. 8
a) Calculer la résistance équivalente entre les bornes a et b du circuit de la figure 3 si la résistance

R vaut 35 𝛺.
b) Quelle valeur faut-il donner à R si l’on veut avoir entre les bornes a et b une résistance
équivalente de 75 𝛺 ?
Schéma
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Réponse
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Exercice no. 9
Considérer les deux arrangements de la figure ci-contre. Les deux lampes et les batteries sont identiques
dans les deux cas. a) dans le cas 1, avec les deux lampes en série, comparer la luminosité et le courant
dans chaque lampe. b) dans le cas 2, avec les deux lampes en parallèle, comparer la luminosité et le
courant dans chaque lampe. c) Les quelles des lampes sont plus lumineuses, celles dans le cas 1 ou celles
dans le cas 2 ? Justifier.
c) Dans chaque cas, si une lampe grille, l’autre lampe restera-t-elle allumée ? Justifier
Schéma
Réponse
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CHIMIE
Partie I : Souligner la réponse qui convient le mieux (2 points/ réponse)
1- Une mole de glucose C6H12O6 contient 6,023*1023 molécules. La masse d’une molécule est :
a) 180 g b) 298,85 * 10-24 g
c) 2,9885 * 1023 g d) aucune de ces réponses
2- La densité d’un gaz par rapport à l’air est 1,517. La masse molaire moléculaire de ce gaz est :
a) 44 g/mol b) 22,5 g/mol

c) 29g/mol d) aucune de ces réponses
3- Parmi les composés : H2O, HCL, NH3, CH4 celui qui est le plus riche en hydrogène est :
a) H2O b) CH4 c) NH3 d) HCL

b)
4- La combustion complète de propane dans l’air libère :
a) Du dioxygène b) du dioxyde de soufre

c) du dioxyde de carbone d) aucune de ces réponses
5- L’acide sulfurique est un biacide (H2SO4), la masse d’acide que contient une molécule de proton H+
est :
a) 49 g b) 98 g c) 9,8g d) aucune de ces réponses
6- Le volume molaire des gaz dans les conditions normales est 22,4 litres par mole. Le volume occupé
par 0,462 mole de méthane de CH4 dans ces conditions est :
a) 11,2 litres b) 2,24 litres c) 10,34 litres d) aucune de ces réponses
7- La masse molaire du saccharose C12H22O11 est 342 g/mol. La masse de carbone contenue dans 140 g
de saccharose est :
a) 12 g b) 144 g c) 58,94 g d) aucune de ces réponses
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8- Parmi les composés Na2CO3, Na2SO4, NaNO3, NaCl, celui qui est une base est :
a) NaNO3 b) Na2CO3 c) Na2SO4 d) aucune de ces réponses
9- Dans la réaction : 𝐻2𝑆𝑂4 + 𝑍𝑛 → 𝑍𝑛𝑆𝑂4 + 𝐻2. La masse d’acide nécessaire pour oxyder un
gramme de zinc est :
a) 65,4 g b) 98 g c) 15 g d) aucune de ces réponses
10- La réaction d’estérification implique l’action d’un alcool sur :
a) Une matière grasse b) un acide carboxylique

c) une base forte d) aucun de ces corps
11- Du chlorure de sodium NaCl se dissout complètement dans l’eau. Le mélange obtenu s’appelle :
a) Solvant b) soluté c) solution d) aucune de ces réponses
12- Parmi les corps suivants, Hg, Pb, Cu, Al, celui qui est essentiel à un amalgame est :
a) Pb b) Hg c) Cu d) Al
e) aucune de ces réponses
13- Un mélange obtenu à partir des quantités égales de deux inverses optiques possède :
a) des pouvoirs rotatoires positifs b) des pouvoirs rotatoires négatifs

c) des pouvoirs rotatoires nuls d) aucune de ces propriétés
14- Parmi les corps : Na2CO3, C3H8, H2O, CO2, lequel est un combustible ?
a) H2O b) C3H8 c) Na2CO3 d) CO2
15- La synthèse de l’eau se traduit par l’équation : 2H2 (g) + O2 (g) → 2H2O (l)
Si on utilise 32 g de O2 et 10 g de H2, le corps utilisé en excès est :
a) O2 b) H2 c) H2O d) aucun n’est en excès
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=𝑂
16- Un aldéhyde 𝑅 − 𝐶−𝐻 peut-être hydrogéné en présence d’un catalyseur. Le produit obtenu est :
a) Un acide carboxylique b) un alcool secondaire c) un alcool primaire

c) Une cétone e) aucune de ces réponses
17- Le diode I2 peut passer facilement de l’état solide à l’état gazeux. Cette transformation s’appelle :
a) condensation b) liquéfaction
b) sublimation d) aucune de ces réponses
18- La réaction naturelle suivant laquelle les sucres d’un jus se transforme en alcool s’appelle :
a) saponification b) combustion c) fermentation d) aucune de ces réponses
19- Dans les conditions normales, la masse volumique du dioxygène O2 est :
a) 1,42 g/l b) 2,24 g/l c) 22,4 g/l d) aucune de ces réponses
Partie II : Ecrire les équations des réactions suivantes (3 points / réponses)
1- Acide nitrique + Carbonate de calcium →
2- Soude + chlorure d’ammonium →
3- Acide chlorhydrique + propène →
4- Combustion complète du glucose dans le dioxygène →
5- Oxydation de l’aluminium par l’acide chlorhydrique →
6- Soude + acide acétique →
7- Eau + éthylène →
8- Acide sulfurique + chlorure de baryum →
9- Nitrate d’argent + acide chlorhydrique →
10- Benzène + éthylène →
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Partie III : Compléter les énoncés suivants (3 points / réponse)
1- L’opération qui consiste à décomposer une substance organique en vase clos (en absence de
l’air) s’appelle
2- Les différents types d’atomes d’un même élément s’appellent isotopes. Ils possèdent des
propriétés chimiques ______________________________________________________
3- Le PVC (polychlorure de vinyle) est un produit très utilisé qui résulte d’une réaction industrielle
appelée _______________________________________________________
4- Dans le composé CCl4 le nombre d’oxydation du carbone est

________________________________________________________________________
5- La formule chimique du formaldéhyde est

________________________________________________________________________
6- Dans la réaction 2Fe (s) + 3Cl2 (g) → 2FeCl3, le nombre de mole de Cl2 nécessaire à l’oxydation
de 4 moles est
_____________________________________________________________________
7- La formule chimique du permanganate de potassium est

_____________________________________________________________________
8- La masse volumique d’une solution est de 1,12 g/ml. Le volume occupé par 200 g de cette
solution est
________________________________________________________________________
9- Un liquide ayant une grande tendance à se transformer en vapeur est un liquide

_______________________________________________________________________
10- La liaison covalente responsable de l’insaturation des composés organiques s’appelle

_______________________________________________________________________
Données : Masse molaire en gramme par mole
C: 12; O: 16; H: 1; Cl: 35,5; N: 14; S: 32; Zn: 65,4; Fe: 56
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Première partie : Compléter les énoncés suivants (40 points : 20 réponses à 2 points)
1- Les formules chimiques développées de la propanone et du propanal sont respectivement :
𝐻 𝑂 𝐻 𝐻 𝐻 𝑂
| || | | | ||
𝐻−𝐶−𝐶−𝐶−𝐻 𝑒𝑡 𝐻−𝐶−𝐶−𝐶 −𝐻
| | | |
𝐻 𝐻 𝐻 𝐻
Ces deux composées possèdent la même __________________________________________ mais

des fonctions chimiques différentes, ce sont donc des ____________________________
2- Pour former une mole d’eau (H2O), il faut 2 grammes d’hydrogène et ___________ grammes
d’oxygène.
3- La masse molaire de l’acide sulfurique est 98 g. La masse de 1.52 moles de cet acide est
_________________________
4- Dans les conditions normales de température et de pression le volume occupé par 60 grammes
de dioxyde de carbone (CO2) est _____________________________________
5- La combustion du propane libère beaucoup de chaleur. Cette réaction est dite
______________________________________________________________________
6- On réalise un mélange équimolaire de 2 inverses optiques. Cette opération
s’appelle____________________________________________________________
7- Dans les conditions normales de température et de pression, la masse volumique d’un gaz est
2,85 g/l. Sa masse molaire est alors_________________________________________
8- La masse de carbone contenue dans 180 g de glucose C6H12O6
est___________________________________________________________
9- On verse de l’acide chlorhydrique sur du calcaire, on dit qu’il y a effervescence. La formule
chimique du gaz dégagé est__________________________________________
10- Dans un atome, les particules qui portent des charges négatives
s’appellent________________________________________________________
11- Parmi les réactions suivantes : BaCl2, AgNO3, Cu(NO3)2, Na2SO4, celui qui peut former un
précipité avec l’acide chlorhydrique est________________________________
12- On appelle ____________________________________ les diverses types d’atomes d’un
même élément chimique.
13- L’hydrocarbure le plus léger a pour masse molaire_______________________________
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14- On prépare 500 ml de solution en dissolvant 60 grammes de soude dans l’eau. La molarité de la
solution obtenue est____________________________________________
15- Une liqueur est titrée de 10o. Le volume d’éthanol pur contenu dans 10 ml de cette liqueur est
______________________________________________________________
16- Un composé moléculaire qui est constitué de liaisons covalentes sigma uniquement est un
composé ____________________________________________________________
17- L’opération thermique qui consiste à transformer les grosses molécules d’hydrocarbure en
molécules plus léger s’appelle_____________________________________________
18- Parmi les gaz suivants N2, CO2, O2, NH3, celui qui est indispensable à la combustion
est_____________________________________________________________________
19- Le produit organique obtenu par action d’un acide carboxylique sur un alcool
s’appelle________________________________________________________________
Deuxième partie : Encercler la bonne réponse (20 points : 10 réponses à 2 points)
1- La formule chimique du saccharose est C12H22O11. La masse de saccharose contenu dans 12

grammes de carbone est :
a) 342 g b) 144 g c) 28,5 g d) 50,7 g d) aucune de ces réponses
2- Dans la réaction : 𝐶𝑒 4+ + 𝐹𝑒 2+ → 𝐶𝑒 3+ + 𝐹𝑒 3+ l’espèce oxydée est :

a) Ce4+ b) Fe2+ c) Fe3+ d) Ce3+
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Page 174
Auteurs
Complexes : Quinsley Lord Joseph / Tel : 509 48458803

email : jlordq@hotmail.com
Géométrie analytique : Alexandre Juan Pablo / Tel : 509 33799263

email : juan2402pablo@gmail.com
Biologie : Holissontes Jean / Tel : 38196541

email : jeanholissontes@gmail.com
Biologie : Paul marie Sounile Gabrielle / Tel : 509 38912516

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Culture Générale : Gédéon Paris / Tel : 44525627

email : geparis@uhelp.net
Algèbre : Abraham Luguens Joseph / Tel : 48458459

email : abrahamlujo9@gmail.com
Théorie des Ensembles : Abraham Luguens Joseph / Tel : 48458459

Math Logique : Abraham Luguens Joseph / Tel : 48458459

Chimie : Jean-Widny Lordeus / Tel : 50948541954

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Suites : Dagrin Samson / Tel : 509 46947421

email : samsondagrin@yahoo.fr
Anglais : Watson Drouillard / Tel : 48541693

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Trigonométrie : Jean Julien Andresson / Tel : 509 47147722

email : a.jeanjulien@yahoo.fr
Physique : Jean Julien Andresson / Tel : 509 47147722

Analyse : Jean Julien Andresson / Tel : 509 47147722

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