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Au fur et à mesure que le chapitre avance, la tension et l'inquiétude dans la voix et les lignes de Mateos
progressent.
La découverte de la montre provoque la colère et la querelle de Mateo. Il est bouleversé après coup et
crie avec force à ses camarades de le suivre
Dans ce chapitre, Guiseppa est assez innocente et se montre souvent gentille. Elle a posé plusieurs gestes
qui amplifient ces actions, comme prier devant la Vierge et se porter garante de l'enfant. Son vocabulaire
et son ton sont également souvent décrits comme frugaux
Fortunato est souvent vu en train de pleurer et est dépeint comme très émotif dans ce chapitre. Il se
montre également très obéissant.
Oh, mon Père, pardonnez-moi ! Je ne recommencerai pas ! Je prierai si fort mon cousin le caporal pour
que Gianetto soit gracié ! Il parlait encore ; Mateo avait armé son fusil et le pointait sur lui en disant :
"Que Dieu te pardonne !". L'enfant fit un effort désespéré pour se lever et embrasser le genou de son
père, mais il n'en eut pas le temps
;
La religion a été mentionnée à plusieurs reprises dans ce chapitre et dans le livre. Il existe de nombreux
exemples de références à la religion. Mateo a mentionné "remercier Dieu plusieurs fois". Dans ce
chapitre, Guiseppa a prié devant la Vierge Marie. Enfin, avant la mort de Fortunato, Mateo lui a
demandé de parler à Dieu et de dire ses prières.
Lorsque Mateo dit cela, il souhaite que Dieu pardonne à Fortunato les péchés qu'il a commis. L'Italie
d'alors, et d'aujourd'hui, est un pays très catholique, et chaque famille croit en Dieu, tout comme moi.
Dans la deuxième séquence et la première moitié du livre en général, Fortunato était une personne
complètement différente. Il était noble et loyal envers Mateo et était une personne globalement
sympathique. Maintenant, nous pouvons clairement voir que Fortunato a changé en une personne
différente qui a trahi Mateo et qui a changé en général