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Mode de vie
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Bonjour à tou et merci d'avoir décidé de prendre du temps pour lire ce livre.
Pourquoi ?
Premièrement, nous nous alimentons très régulièrement et cela tous les jours.
Deuxièmement, parce que la société actuelle en a fait un business juteux. De
plus, nos comportements alimentaires actuels sont dictés en grosse partie par
les directives de l'Etat et des grands groupes financiers.
Personnellement, je serais tenté de considérer aussi que le mode de vie
actuel ne correspond pas à celui pour lequel nous sommes arrivés sur terre.
Une grande majorité d’entre nous, trouvons, dans l’alimentation, un plaisir qui
nous permet de compenser les frustrations ainsi qu’un plaisir que l’on ne
retrouve pas dans certains autres aspects de notre vie.
J'avais tellement stressé mon organisme et n'avais tellement pas pris soin de
moi que mon corps m'avait mis un stop monumental.
Pendant des milliers d’années, comme c'est encore le cas aujourd’hui, pour
toutes les autres espèces animales, il aura fallu se battre pour se nourrir.
Cependant les progrès de la révolution industrielle ont entraîné une révolution
agricole et ont permis l'amélioration ainsi que l'optimisation des techniques.
Ce qui fait qu’aujourd’hui, dans les pays occidentaux, nous trouvons de la
nourriture en abondance.
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Les industriels ont aussi modifié complètement la composition des aliments
jusqu'à créer des aliments qui n'existaient pas il y a encore une cinquantaine
d'années.
Cette opulence alimentaire conjuguée avec les effets sur la psychologie des
publicités ont complètement détraqués nos comportements. Nous faisant
accepter, comme si cela était normal, des aliments qui n'existent pas
naturellement, bourrés de produits chimiques et qui n'ont plus aucun goût.
Le Jambon en barquette, les saucisses type Knacki, les barres chocolatées et
autres merdes.
Mais la société actuelle a réussi à nous faire passer cela pour de la normalité.
Les pubs, nous font croire que boire du Coca nous rapproche de nos amis,
que manger des Frosties donne l'énergie du tigre et que les M&Ms rendent
cool.
Partout, on détraque le sens commun des choses pour nous faire accepter
une réalité non naturelle. Et ça marche!
Important pour moi dans ce livre est surtout de vous donner toutes les bases.
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Ici, je n’essayerais pas de vous éclabousser de sciences. Mais je ne suis
convaincu que vous détaille le cycle de Krebs ou l'ensemble du processus de
Beta Oxydation des graisses ne va pas vous aider à mieux vous alimenter.
Je veux que ce livre, soit comme une porte ouverte sur la connaissance. Une
forme d'Inception (pour les cinéphiles). Que les idées qui rentrent dans votre
tête à la lecture de ces lignes aboutissent à d'autres questions et à des prises
de conscience.
Vous ne trouverez pas non plus d'avis. Je n ai pas d'avis. J'ai une expérience
personnelle. C'est tout.
Je l'ai écrit avec tout ce que j'aurai aimé savoir il y a des années.
J'espère qu'il vous plaira.
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Introduction à l’alimentation
L'entraînement est une composante importante du " fitness " car il est souvent
la partie sexy de l'offre de service de la plupart des entraîneurs et des
gymnases. Lorsque le marché/industrie pense à la nourriture et aux façons de
nourrir les gens, les premiers commentaires portent habituellement sur les
macros. "Donnons-nous un pourcentage de protéines, de glucides et de
lipides." Malheureusement, ce qu'ils laissent de côté, c'est tout ce qui entoure
l'alimentation des gens. L'alimentation, tout en incluant une composante
alimentaire, est aussi tout ce qui se trouve à l'extérieur de la .
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L'alimentation consiste au :
- Sommeil
- Rythme circadien
- Digestion
- Etc.
Ces éléments nutritifs affectent la façon dont votre corps réagit à des choses
comme les macros, car ils impactent la digestion.
Pensez à vous, ou à quelqu'un que vous connaissez qui mange " bien " en
toute connaissance de cause et qui s'entraîne de façon constante, mais qui
ne voit pas les résultats auxquels vous vous attend ez. Commencez à
vous demander, quels sont les aspects de leur vie qui
pourraient les empêcher d'atteindre leurs objectifs.
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Comment décrire le mode de vie (MV)
Le mode de vie est une série d'outils qui vous permet d'avoir un impact sur
votre performance, votre santé et votre vitalité. Le MV permet de vous
réaligner sur ce que vous pouvez faire naturellement, même si vous subissez
actuellement beaucoup de stress dans votre vie. C'est aussi simple que ces
quatre choses :
Énergie
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Le tableau suivant résume les principaux effets des systèmes
sympathique et parasympathique sur différents organes.
Source unisciel.fr/physiologie
Vous devez équilibrer ces deux rythmes naturels de l'énergie afin qu'ils
montent rapidement lorsque le soleil se lève, puis tombe tout au long de la
journée, et où la mélatonine monte et atteint son maximum vers 3 heures du
matin. Mieux vous suivez ce rythme, plus vous dormirez sans interruption et
façon plus reposante.
Vous ne devriez pas avoir besoin de stimulants pour l'énergie. L'important est
qu'à mesure que le stress s'introduit dans votre système, votre corps devra
s'adapter à ce stress. Vous pouvez commencer à voir des niveaux d'énergie
plus faibles le matin parce que vous ne dormez pas aussi bien. Que se
passe-t-il alors ? Vous pouvez avoir l'impression que vous avez besoin d'un "
supplément " d'énergie qui vous amènera à prendre des stimulants (pre-
workout) avant l'entraînement et à consommer davantage de glucides
pendant que vous dépensez cette énergie. Ce cycle de stimulants et de
stress mélangé à un mauvais sommeil endommagera alors davantage votre
cycle énergétique naturel. Vous devez retrouver un cycle énergétique plus
naturel pour améliorer votre santé et votre forme physique. Page 9
Plus vous retrouverez un rythme naturel :
• Plus votre rétablissement sera bon
• Plus votre performance sera élevée
• Plus vous serez heureux avec vous-même
• Plus vous aurait de succès dans votre programme
Stress
Après avoir examiné votre énergie, nous voulons voir comment le stress
affecte votre rythme. Une des premières choses à faire est de définir ce qu'est
réellement le stress.
Le stress est tou stimulus interne ou externe qui active le système nerveux
sympathique qui fait ensuite pomper un peu de cortisol par les surrénales.
- hangements
- nxiété face au changement
- Mettre en place quelque chose de nouveau dans votre vie
- ress mental
- Stress émotionnel
Examinez les aspects de votre vie qui causent du stress. Illustrez votre propre
seau à stress et systématisez la façon dont vous pourriez progressivement
diminuer le stress dans ces différents domaines de façon linéaire. Un
exemple serait si vous suivez actuellement un régime alimentaire Français
standard. Pendant le premier mois, vous pourriez retirer les céréales
transformées, le deuxième mois, le lait, et le troisième mois, les céréales sans
gluten. Pensez à tous les domaines de stress et voyez comment vous
pourriez progresser dans chacun d'eux.
Souffle
La respiration est l'une des premières choses que nous faisons quand nous
sommes bébés, mais c'est aussi une des premières choses qu'on brise en
tant qu'adulte.
L'un ou l'autre de ces exemples est une excellente façon d'inciter le corps à
changer la façon dont il respire et e "détend" normalement.
Objectif
Nous définissons les objectifs comme étant ce qui vous permet de vivre
en harmonie avec vos objectifs ou vos priorités les plus élevé s.
Si vos actions sont mal alignées avec vos objectifs, vous allez ressentir du
stress, et lorsque le stress augmente, vous créez des comportements
compensatoires qu’il va vous falloir gérer. Le comportement
compensatoire peut ressembler à un excès ou un manque d'exercice,
de nourriture, de socialisation, etc.
RHYTHME
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ENVIRONNEMENT
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Après avoir décrit ce que caractérise le Mode de Vie,
vous mettre en action pour changer
radicalement vos habitudes?
Conna tre le fonctionnement de son cerveau, c’est éviter ou sortir des cercles
vicieux, anticiper d’avantages les évènements, doper sa confiance en soi et
améliorer les interactions sociales.
Toutes les espèces ne sont pas dotées d’un cerveau, et même celles qui en
possèdent ne l’utilisent pas de la même façon. Le cerveau, c’est pour quoi
faire ?
Il permet avant tout de recevoir les informations que recueillent nos organes des
sens afin de créer une perception de l’environnement qui nous entoure. Mais
aussi et surtout, le cerveau nous permet de bouger, de réagir, de nous
adapter à cet environnement afin de garantir notre survie.
De manière imagée, le cerveau dessine des cartes, des schémas qui vont
déterminer des modèles d’actions types à utiliser dans un environnement type
lui aussi. Ainsi, l’évènement que nous percevons n’est que la reconstruction
faite par notre cerveau, qui a sélectionné les éléments de la scène pour se créer
sa propre histoire. Ce qui explique la subjectivité de chacun. Un même
évènement vécu par dix personnes différentes, sera raconté avec dix
versions différentes. Car chacun a sa propre perception. Le cerveau
n’intègre pas l’ensemble des informations, mais uniquement celles qu’il
juge utiles pour pouvoir réagir et agir rapidement à ce qui arrive.
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Mais alors comment expliquer que certaines personnes réagissent
différemment face à un même évènement ?
Sans rentrer dans les détails trop scientifiques, le cerveau est constitué de
réseaux complexes de neurones qui communiquent entre eux grâce à des
synapses. Entre humain, nous utilisons les mots pour communiquer. Les
synapses, elles, utilisent des neurotransmetteurs. Par exemple, la dopamine et
acétylcholine pour la motivation, sérotonine pour conditionner l’humeur, la
noradrénaline pour stimuler notre vigilance et vivacité. C’est la mise en oeuvre
de ces transmetteurs qui vont engendrer l’adaptation à notre l’environnement.
Et comme chacun est différent, chacun dispose d’une concentration plus ou
moins importante de ces transmetteurs.
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Pourquoi ne disposons nous pas tous des mêmes « concentrations » ?
C’est là qu’intervient le rôle de la mémoire, de l’apprentissage. Apprendre
amène un changement physique dans le cerveau. Lorsque nous vivons un
évènement nouveau, des connexions synaptiques se multiplient pour assimiler
les différentes informations, et former ainsi une représentation de la situation.
Le cerveau ordonne alors des actions, qui auront des impacts sur
l’environnement. Selon la positivité ou négativité des résultats, notre cerveau va
s’adapter à nouveau, afin de proposer une réponse satisfaisante et graver en
mémoire les moyens d’y parvenir, pour le cas où la situation se représenterait.
C’est ce qui s’appelle l’apprentissage. C’est pourquoi, les évènement vécus
dans l’enfance restent gravés et orientent les réponses de l’adulte. C’est de
cette manière que s’installent les mauvaises habitudes, et c’est ce qui explique
qu’elles soient aussi difficiles à corriger.
En pratique, nous avons du mal à supprimer une mauvaise habitude car nous
restons focalisés dessus. Renforçant ainsi les réseaux neuronaux qui lui
correspondent. Concentrer son attention sur un problème, les difficultés qu’il
engendre, c’est dire à son cerveau de ne garder en mémoire que le problème
en lui-même. Pour sortir de ce cercle vicieux, il faut diriger son attention sur de
nouveaux stimuli. Il faut feinter le cerveau en créant de nouvelles situations,
l’obliger à créer de nouvelles représentations et donc de nouvelles actions.
Persuader les gens qu’ils doivent changer ne suffit pas à faire évoluer les
comportements dans le durable. Nous connaissons tous ces bonnes résolutions
du nouvel an, ce « je m’y mets demain ou lundi ou au premier du mois ». Cette
procrastination et cette perte de motivation, chaque individu les a rencontrées
au moins une fois. Et cela s’explique par le fait que le nouveau contexte
implique trop de contraintes pour le cerveau. Pour s’adapter à la situation,
l’individu doit être inventif et trouver des stratégies nouvelles. Mais quand les
ressources s’épuisent, le cerveau guide les actions vers ce qui est connu, à
savoir ces bonnes vieilles habitudes qui fonctionnaient très bien dans le
passé… et c’est le retour à la case départ. Page 17
Pour qu’un changement important opère, il faut accepter que cela prenne du
temps, accepter les erreurs et les échecs. C’est ce qu’il faut au cerveau pour
construire les bons réseaux neuronaux, et annuler les anciens. C’est pourquoi
le changement nécessite une régularité, et surtout une obstination, car il faut
résister et se montrer plus fort pour ne pas retomber dans le cercle des circuits
neuronaux passés. La répétition est importante, car elle permet l’apprentissage
et l’ancrage des bonnes connexions neuronales. Ainsi, nos actions seront plus
précises, plus sûres et surtout plus rapides. Tout comme en haltérophilie où
la répétition du geste permet de garder la bonne trajectoire de barre, la
répétition des bonnes actions au quotidien nous permet de devenir plus
adaptés et performants à court et long terme.
D’où proviennent ces blocages, ces retours en arrière que notre cerveau
opère alors que nous souhaitons changer ?
Un changement ? OK, je mets de nouvelles actions en place, je fais des efforts,
je suis les conseils qu’on me donne à la lettre… Super … mais pourquoi un jour
tout fonctionne parfaitement, et le lendemain, tout s’écroule, gros retour en
arrière, reprise des mauvaises habitudes…
Les émotions ont donc des fonctions précises, elles nous permettent de nous
concentrer sur ce qui est important dans une situation et nous amène à établir
des priorités. Elles peuvent prendre le contrôle des comportements en
stimulant, régulant ou inhibant les actions. Ainsi, les individus qui ressentent
plus d’émotions positives seront plus volontaires pour se lancer dans un
processus de changement, alors que les sujets plus pessimistes seront inhibés
par le doute, l’anxiété, la peur. Page 18
Concrètement, avant de décider un changement et de le mettre en place, ce qui
nous bloque c’est le doute, la mauvaise estime de soi et la peur de l’inconnu.
- Est-ce que j’en suis capable ?
- Est-ce que les changements vont améliorer véritablement mon quotidien?
- Qu’est ce que ça va me coûter?
- Je vais devoir renoncer à mon confort actuel.
- Je vais devoir me mettre en danger, rencontrer des situations nouvelles, faire
face à la frustration, aux échecs, au manque de confiance en soi…
Autant d’éléments qui font naitre des émotions négatives et qui entrainent
l’individu vers un retour en arrière, un abandon du processus de changement.
Pour qu’un changement soit positif et s’inscrive dans la durée, il faut utiliser ce
que les spécialistes en psychologie cognitive mettent en place, à avoir, la TCE
(thérapie centrée sur les émotions). Au même titre qu’à l’entra nement on
apprend à connaitre son corps pour ne pas exploser en pleine effort, il
faut apprendre à connaitre ses émotions pour ne pas les laisser nous
exploser à la figure lorsque l’on entreprend un projet important.
Il s’agit de faire un état des lieux psychiques, une sorte de prise de conscience
de son propre intérieur. Ce briefing est important, il faut accepter ce que nous
ressentons, sans essayer de jouer les « durs » en camouflant certaines
émotions liées à des blessures narcissiques. C’est le moment de percevoir et
d’accepter nos « mauvais côtés » afin d’entamer une démarche de changement
ciblée.
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Ensuite, comme dit précédemment, il ne s’agira pas de se focaliser sur es
mauvais côtés. Le fait d’en avoir pris conscience est la première étape, la
deuxième est de s’imaginer notre nouvelle vie, notre nouveau nous, ce nous 2.0
dépourvu des mauvaises habitudes. C’est un travail qui doit prendre du temps,
car il faut se créer une image « accessible » de nous-même, pour éviter de se
fixer des objectifs difficilement atteignables. Envisager les paliers à court terme
pour visualiser les résultats. Car pour qu’un processus de changement opère, il
faut de petites victoires tout au long du parcours. Tout au long du changement,
à chaque situation nouvelle, il faut être capable d’analyser le contexte, réfléchir
à nos actions, se demander pourquoi ça a fonctionné ou non, se demander
quelle émotion s’en dégage, et surtout, qu’est qui aurait pu être fait pour que
se passe autrement et mieux.
Pour résumer en quelques mots, pour éviter d’être bloqué par son cerveau il
faut :
- se fixer des objectifs atteignables, avec des paliers progressifs
- s’entourer de personnes qualifiées qui vont nous orienter correctement vers
l’atteinte des buts
- être curieux, s’ouvrir à son environnement, modifier ses actions
- observer, intégrer, apprendre
- mettre ses acquis et connaissances de côté pour s’ouvrir à de nouveaux
points de vue (fierté et égo de côté)
- accepter ce que l’on est, ce que l’on a et ce que l’on ressent
- mettre des mots sur le vécu des situations que l’on rencontre (se confier,
exprimer ses doutes)
- accepter nos émotions (la frustration, la peur, les échecs, ils font parti du
processus)
- accepter que le changement demande du temps ET des efforts !
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Qualité alimentaire
Généralement, les programmes de nutrition ont été orientés vers les macros
et faits à partir de pourcentages de vos graisses, glucides et protéines sans
tenir compte de la valeur en micronutriments des aliments qui compose vos
macros. Se concentrer un peu sur les profils de micronutriments nous aide à
réduire la charge toxique de notre corps. La toxicité provient souvent des
aliments qui sont vaporisés avec des pesticides ou des herbicides, ou des
animaux qui sont chargés d'antibiotiques et/ou d'hormones.
Déjà, la mastication !
- 20 à 30 mastications par aliments est une mastication où la mâchoire et les
dents décomposent les aliments.
- Non seulement la mastication va décomposer la nourriture en plus petits
morceaux, mais elle va aussi infuser de la salive qui va favoriser votre
digestion le long de la chaîne dans l'estomac et les intestins.
- Puis, l’environnement dans lequel vous mangez
- Sommes-nous toujours en état de stress pendant que nous mangeons ?
Nous avons le parasympathique de repos et de digestion et nous avons le
système nerveux sympathique de combat ou de fuite.
° Si vous êtes dans un état de stress accru dans un état sympathique, votre
corps réagira en voulant "se battre", ce qui signifie que votre corps se
concentrera sur le stress et non sur le processus de digestion approprié.
Lorsque vous êtes dans cette réaction sympathique accrue :
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Digestion
- Le duodénum est les premier 45cm. Le duodénum est une salle sensorielle
qui déclenche :
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- Le jéjunum est la deuxième phase qui va de 2,1m à 3,5m de long - C'est là
que nous cherchons à assimiler le plus de nourriture. Si les nutriments
passent trop vite, nous aurons moins de contact avec la surface du jéjunum
donc être dans un état calme pendant que la nourriture passe. Sinon,
1- C’est le principal endroit où les nutriments sont assimilés par la veine porte
où ils entrent dans le sang.
2- Lorsque les nutriments atteignent le sang, ils se dirigent vers le foie.
3- Le foie est l'endroit où ces nutriments, à la fois sur une base micro et
macro, peuvent être utilisés et transportés dans le reste du corps.
4- À titre d'information, les nutriments ne se déplacent qu'à un rythme
d'environ un centimètre par heure.
- L’eau restante
- Potassium
- Le sodium et tout autre gaz qui passent par le système à la suite de
la fermentation ou de la décomposition naturelle.
- À titre d'informations, les nutriments se déplacent maintenant à un
rythme d'environ cinq centimètres par heure, et nous ne faisons pour
l'instant que faire la navette avec les excréments. Nos excréments sont les
dernières fonctions que nous cherchons à traverser.
- C'est aussi la maison du microbiote intestinal
- La fermentation des hydrates de carbone a lieu ici. Lorsque vous
entendez parler de toutes les bactéries qui créent des hormones ou nous
permettent de fonctionner au niveau où nous sommes dans "l’intestin",
nous parlons surtout du gros intestin.
- Plus quelque chose reste longtemps dans le gros intestin, plus l'eau
est aspirée. Dans ce cas, la paroi cellulaire devient de plus en plus dense,
ce qui signifie que nous transportons plus de déchets. Il est important de
pouvoir aller à la selle régulièrement afin de ne pas engorger le système.
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FOCUS SUR LE MICROBIOTE
Notre tube digestif abrite pas moins de 1012 à 1014 micro-organismes, soit 2
à 10 fois plus que le nombre de cellules qui constituent notre corps. Cet
ensemble de bactéries, virus, parasites et champignons non pathogènes
constitue notre microbiote intestinal (ou flore intestinale).
Son rôle est de mieux en mieux connu et les chercheurs tentent aujourd’hui
de comprendre les liens entre les déséquilibres du microbiote et certaines
pathologies, en particulier les maladies auto-immunes et inflammatoires.
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A l'instar de l'empreinte digitale, le microbiote intestinal est propre à chaque
individu : il est unique sur le plan qualitatif et quantitatif. Parmi les 160
espèces de bactéries que comporte en moyenne le microbiote d'un individu
sain, une moitié est communément retrouvée d'un individu à l'autre. Il
existerait d'ailleurs un socle commun de 15 à 20 espèces en charge des
fonctions essentielles du microbiote. Bien que cela soit discuté, il semble que
l'on puisse distinguer des groupes homogènes de population, selon la nature
des espèces qui prédominent dans leur microbiote: on distingue trois groupes
– ou entérotypes – principaux : bacteroides, prevotella et clostridiales.
Les virus bactériens (qui infectent les bactéries) sont aussi très nombreux au
sein du microbiote. Ils peuvent modifier le patrimoine génétique des bactéries
intestinales ou son expression. Ainsi, le virome constitue sans doute une
autre pièce dans le puzzle de la physiopathologie propre à la flore intestinale,
tout comme le microbiote fongique qui regroupe levures et champignons.
Autant de sujets d’étude à explorer.
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Le microbiote travaille pour l’organisme.
Le microbiote intestinal assure son propre métabolisme en puisant dans nos
aliments (notamment parmi les fibres alimentaires). Dans le même temps, ses
micro-organismes jouent un rôle direct dans la digestion :
Des animaux élevés sans microbiote (dits axéniques) ont ainsi des besoins
énergétiques 20 à 30% fois supérieurs à ceux d'un animal normal.
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Microbiote et inflammation
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Hydratation
Nous avons plus de 60% de notre corps composé d'eau. Si nous manquons
d'eau, les processus métaboliques généraux ne se dérouleront pas
efficacement sans eau dans le système.
Eau intracellulaire
Plus la masse corporelle est maigre, plus vous aurez d'eau intracellulaire.
Pensez à essayer de garder une certaine cohérence ici. Si vous pouvez vous
mesurer sur une échelle InBody ou de bio-impédance, le fait de vous
maintenir dans cette plage devrait vous permettre de maintenir le gradient de
concentration dans votre corps au niveau approprié.
Eau extracellulaire
Quand on regarde l'eau extracellulaire, c'est environ un tiers des fluides qui
entrent dans votre corps. Cela représente la lymphe ainsi que les autres
liquides intracellulaires et interstitiels de votre corps. Le but ici est non
seulement d'aider à éliminer les déchets, mais aussi d'avoir ce fluide qui
apporte de l'oxygène et des nutriments à la cellule.
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Quand l'oxygène passe à travers la cellule, il va dans notre eau intracellulaire.
Environ 70 % de cette eau est constituée de cytosol, le liquide à l'intérieur de
la cellule qui retient les nutriments tels que le glucose ou les vitamines pour
que votre système fonctionne correctement. Nous avons besoin de cytosol
pour pouvoir retenir une certaine quantité d'eau. Pensez-y de cette façon ; si
vous diluez quelque chose dans une solution à base d'eau, moins vous avez
d'eau, moins ce mélange contient de cette substance. Il est important de
maintenir ces niveaux de liquide suffisamment élevés pour que nous
puissions apporter les vitamines et les nutriments nécessaires au
fonctionnement de ces cellules.
Géographie
• Si vous êtes dans un climat plus chaud, vous pouvez être en train de
transpirer et d'évaporer cette sueur. Si vous êtes dans la chaleur
extrêmement sèche du désert, vous pourriez évaporer la sueur avant
même de remarquer que vous transpirez.
• Comme dans le désert, si vous nagez pour faire de l'exercice, vous ne
savez probablement pas que vous transpirez parce que vous êtes dans
l’eau.
Il faut tenir compte de tous ces éléments pour savoir pourquoi vous pouvez
manquer d'eau ou ne pas être capable d'en contenir suffisamment.
En dehors de cela, nous savons que l'eau est un facteur important dans
la fatigue générale tout au long de la journée. Nous devons savoir qu'avec
l'eau, nous soutenons le système à un tel niveau de base que toutes ces
autres pratiques améliorent le système. Il n'y a rien d'aussi stupide que le
fait que l'eau ne soit pas abordée dans les programmes de nutrition ;
cela vous coûtera cher en termes de Santé et de Progrès.
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Si vous êtes sur le point d’avoir plus de selles molles, Assurez-vous que vous
buvez assez d’eau pour remplacer cela tout en tenant compte de la
quantité d’urine qui passe dans votre système.
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Excréments
• Si il est dure, il est possible qu'il soit resté trop longtemps dans le côlon
et que la paroi du côlon en retire de plus en plus d'humidité, ce qui crée
une sensation de dureté plus condensée.
Si le côlon est mou, c'est qu'il contient trop d'eau, ce qui indique
l'incapacité de retirer tous ces autres éléments :
- Cellules mortes
- Bactéries
- Mucus
- Tout ce qui accompagnerait une bonne partie d'une selle en soi
Lorsque vous remarquez de la nourriture dans votre caca, cela devrait vous
signaler que quelque chose n'a pas été correctement décomposé. Peut-être
était-ce dû à votre façon de mâcher ou de ne pas mâcher, ou peut-être faisait-
il partie du processus enzymatique digestif. Ce à quoi vous devez penser,
c'est à la conscience que ce n'est pas en train de se décomposer
correctement au cours du processus. Page 34
Une réponse similaire peut se produire lorsque vous introduisez beaucoup de
noix ou de produits fibreux dans votre régime alimentaire. Votre corps se sent
stressé et ne décompose pas ces noix efficacement, alors il essaie
naturellement de les faire passer dans votre corps aussi rapidement que
possible.
Ce qui est également intéressant, c’est que quand vous prenez trop de café
alors que vous êtes déjà en état de stress, vous passez en état "super"
sympathique. Si vous apportez de grands bols de nourriture en plus de ce
stress, votre corps va essayer de l’évacuer aussi vite que possible.
Vous espériez que nous aurions sauté cette section. Nous ne l'avons pas fait.
En parler n’a rien de bizarre, et ça ne devrait pas l’ tre, mais vous devriez
examiner non seulement la " composition " de vos selles, mais aussi tout
changement bizarre. Sachant ce que vou des autres
éléments de la digestion et de l'hydratation, voyez si vous pouvez revenir à la
case 4 avec un peu de pratique. Suivez chaque selle pendant trois jours et
évaluez chacune d'entre elles en vous basant sur le tableau des selles. Page 35
Aversions Alimentaires
• Allergies - Les allergies sont marquées par nos anticorps IGE. Une
allergie se manifeste en quelques secondes jusqu'à quelques heures. Les
allergies (vous pouvez penser aux allergies aux mollusques et crustacés
ou aux arachides) se manifestent souvent comme :
- Trouble Gastro-Intestinaux
- Gaz
- Ballonnements
- Tout autre type de troubles physiques tels que :
° Fatigue du cerveau
° Basse énergie
° Inflammation dans tout le corps dans toutes les zones qui peuvent
avoir une sensibilisation nerveuse.
• Test cutané pour les allergies - Le sang est testé contre différents
aliments pour voir s'il y a une réaction d'urgence ou immédiate sur la
peau.
Suivre sa nourriture
Notez votre :
- Apport alimentaire
- Le moment de la journée où vous avez mangé
- Comment vous vous sentez
- Si vous avez une indigestion, des ballonnements, de la transpiration,
un rythme cardiaque élevé ou toute autre réaction que vous ne pouvez
pas relier à votre environnement ou à vos réactions émotionnelles.
- Faites des regroupements de causalités.
Avec les allergies, c'est un peu plus facile à voir immédiatement car
vous remarquerez une réaction peu après avoir mangé.
En ce qui concerne les intolérances, parce que cela peut prendre
quelques jours pour faire le tour du système, la tenue d'un journal pour
rechercher des scénarios (modèles) est la méthode la plus efficace qui
puissent identifier ce à quoi votre corps réagit positivement et négativement.
Créer une prise de conscience et ensuite voire comment votre corps se sent
quand vous z cette nourriture est une façon très réussie et
simple de beaucoup vous aider.
Un exemple qui fonctionne souvent est de retirer les produits laitiers de votre
alimentation. Nous voyons souvent une réponse telle que :
Les œufs sont aussi un exemple de ce qui peut causer du stress chez
certaines personnes, supprimez les une semaine et voyez les effets.
Certaines personnes ressentent une amélioration de leur confort digestif, de
leur capacité musculaire à l’entrainement, et de leur niveau d’énergie général
en les supprimant.
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Dans ce cas, cela peut avoir des effets profonds sur la composition de votre
corps. Dans d'autres cas, elle peut améliorer de nombreux aspects de la
santé.
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CONSTITUTIONS DES ALIMENTS
Macronutriments
• Protéines
Les protéines se décomposent en acides aminés, qui sont les éléments
constitutifs de tout ce dont le corps a besoin pour se désintoxiquer ou
construire des choses.
Au fur et à mesure que les protéines entrent dans le corps, elles vont
être décomposées en acides aminés. Il y a 20 acides aminés, dont neuf
sont essentiels (certains disent 8, d’autres 13, le concept d’essentialité
est lui m me à relativiser)
Il est important de penser aux acides aminés essentiels, car ce sont ceux qui
ne sont pas synthétisés librement dans le corps. Les acides aminés
essentiels doivent provenir d'une source externe comme la viande.
Les acides aminés sont les éléments constitutifs de l'organisme. Les acides
aminés déterminent le type de tissu ou de cellule que le corps fabrique.
Lorsque nous décomposons un muscle à la suite d'un exercice, les bons
acides aminés sont nécessaires pour reconstruire le muscle.
Lipides
Les graisses font partie de processus très importants. Nous avons besoin
de gras pour générer des hormones, et nous avons aussi besoin de gras
pour créer des cellules. La membrane des cellules est basée sur la
qualité des graisses que nous apportons dans le corps.
La différence est que nous utilisons aussi les graisses pour une foule de
choses différentes dans notre corps. Ces différentes choses sont :
Il existe une forte corrélation entre le fait d'avoir suffisamment de graisse pour
créer les hormones nécessaires et le fait de ne pas avoir suffisamment de
graisse, ainsi que le fait de manquer non seulement de micronutriments, mais
aussi de nutriments réels dont nous avons besoin pour créer des hormones.
• Graisses saturé s
Les sources :
- Huile d’olive
- Avocat
- Noix
•
• Glucides
Les glucides :
- Stabilisent les taux de glucose sanguin
- Stockent le glucose dans le foie sous forme de glycogène
- Se conservent dans les muscles pour l'activité
- Les glucides plus lents ont des pics d'énergie/sucre plus faibles, mais
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Lent ou rapide fait référence à la vitesse à laquelle les
glucides entrent dans la circulation sanguine,
assurent un contrôle homéostatique ou reconstituent le glycogène
qui doit être dans les muscles pour l'activité.
Le sucre est important à comprendre dans le système parce qu'il peut soit
monter rapidement en flèche, soit prendre plus de temps à s'accumuler,
prendre un processus de construction plus long et plus lent. Il est important
de ne pas dénigrer les glucides rapides tout de suite. Il peut y avoir un temps
et un lieu pour eux, mais vous voulez vous assurer que vous vous alignez sur
les besoins et les objectifs de votre client.
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Le cas des légumes
Chaque repas que vous faites doit être accompagné d'au moins une portion
de gumes. Pourquoi ?
- Les légumes sont une excellente source de vitamines, qui, même s’ils ne
sont pas utilisés comme source d’énergie, sont indispensables pour le bon
déroulement de réactions biochimiques qui se produisent dans le corps.
Souvenez vous. Nous avons parlé des Micronutriments.
Quelles que soient leurs saveurs et leurs couleurs, ils présentent une grande
variété nutritionnelle, nous apportant tout un large panel de bienfaits.
En consommant des légumes (et des fruits) qui sont alcalins, on empêche
ainsi notre organisme d’atteindre une charge trop acide, ce qui, selon de
nombreuses études, aurait un impact négatif sur le fonctionnement de notre
organisme(risques accrus d’ostéoporose, de développement de cellules
cancérigènes).
- Ils favorisent la digestion. Les légumes sont une source importante de fibres.
Celles-ci contribuent, entre autres, à prévenir la constipation et à réduire les
risques de développer des maladies intestinales ou encore un cancer du
côlon.
- ls empêchent la dégradation des tissus musculaires.
L’impact bénéfique légumes sur la santé est évident, mais celui sur la
performance physique l’est beaucoup moins. Et oui, cela peut paraître
surprenant, mais les légumes, consommés en grandes quantités, ont la
capacité de réduire l’activité des enzymes qui décomposent les protéines
musculaires. En d’autres termes, ils réduiraient le catabolisme de l’organisme
et donc la dégradation des tissus musculaires, particulièrement redouté par
les personnes âgés ou les sportifs. Ce point a été confirmé par une étude
menée sur les personnes âgées, où l‘augmentation de la quantité de légumes
s’est avérée avoir un véritable effet protecteur sur les muscles. De cette
manière, les légumes seraient particulièrement recommandés pour accélérer
la récupération entre les entraînements et ainsi favoriser, à terme,
l’augmentation de la masse musculaire ou de la force.
- Ils vous aide à mincir. Les légumes ont l’avantage d’apporter très peu de
calories. Tout le monde, même les personnes effectuant un régime, peuvent
donc en consommer en bonne quantité.
(Brocoli, Epinard , Laitue, ons, Tomates, Asperges, Chou, Chou-fleur,
C leri, Concombre, Haricots vert, Champignons, Courge jaune, Courgette )
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Il y a plein d'autres sources de l gumes mais faites attention à leur teneur en
glucides et leur côté potentiellement inflammatoire.
Par exemple petit pois et carottes sont riches en glucides. Et certaines
personnes déclenchent de l'inflammation à la digestion.
Les aliments que nous proposons ne sont pas une liste exhaustive.
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Micronutriments
Bien qu'on parle davantage des macros dans la vie de tous les jours, néglige
les micronutriments serait une erreur vu leurs rôles.
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Détermination des besoins en calories
• Le bon fonctionnement de
• Comment se passe votre digestion
• Comment fonctionnent vos glandes surrénales
Même si actuellement vous n’êtes pas au meilleur de votre forme, votre corps
à trouver un moyen de s’adapter pour survivre. Cependant, c'est votre
métabolisme qui va être affecté et va impacter la digestion des aliments, elle-
même lié à la qualité des aliments, à l'hygiène alimentaire etc. Tout est lié.
La bonne méthode est de suivre cette base de travail sur 15 jours et d’ajuster
en fonction des résultats
Conseil :
Je demande à toutes les personnes que je suis en Diet de tracker leur apport
avec cette application, cela est vraiment nécessaire.
Vous ne contrôlerez pas votre alimentation sans cela.
Vous ne devez pas perdre plus d’1,5kg par mois, ni prendre plus (exception
faite des personnes en fort surpoids, dans ce cas le corps sera ravi de
délester du poids rapidement suite à un changement d’alimentation et c’est
parfaitement OK)
De plus, il est important que votre dépense énergétique diffère tous les jours :
prenez une montre connectée qui calcule cela et vous verrez que sur une
semaine de 7 jours, vous aurez 7 dépenses énergétiques différentes.
En revanche si votre calcul vous donne par exemple 2300 cal, et que vous
faites des jours à 3500 cal et d’autres à 1300 cal pour compenser, vous
comprenez bien que le problème est là !!!
Protéines :
Les besoins en protéines pour le "Fitness" (basés sur la masse corporelle
maigre et l'activité) sont les suivants :
2,2g de protéines par Kg pour un sportif très régulier (+8h par semaine).
2g de protéines par Kg pour un sportif régulier (4 à 8h par semaine).
1,5 à 1,8g de protéines par Kg pour un sportif plus occasionnel (moins de 4h
par semaine).
Lipides :
Rappel : Nous conseillons une base de 1g de lipides par Kg pour la généralité
des gens, mais on peut aller jusqu’à 1,3 chez les personnes pour qui nous
voudrions réduire l’apport de glucides pour diverses raisons (digestion,
réaction à l’insuline etc ).
Glucides :
La part des glucides se calcule de façon très simple : produit en croix.
Exemple concret :
Timothée devra donc avoir dans sa journée 154g de protéines, 91g de lipides
et 341g de glucides
Planification
La meilleure planification, c’est d’abord celle que vous pouvez suivre
Pouvez vous faire 2 repas par jour ? 3 ? 4 ? 5 voir 6 ?
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A) Distinction Repas vs Collation
Le repas pour nous sera à distinguer de la collation non par pour des raisons
de quantité, mais sur des motifs de conditions d’ingestions :
Pour un repas, vous avez le temps de préparer quelque chose, de pourquoi
pas faire cuire vos aliments, de vous poser pour manger.
Exemple : le petit déjeuner, le repas du midi et/ou du soir.
Pour une collation, vous êtes sur la route, vous êtes au travail pendant vos
10min de pause.
Forcément, en termes de sélection des aliments, vos choix ne se porteront
pas sur les mêmes choses.
Vous pourrez manger un steak avec des patates douces et un avocat lors
d’un repas, tandis que vous devrez surement prendre un shaker avec une
banane et une poignée de noix de cajou pour votre collation.
B) Répartition journalière
Notre but est de conserv une glycémie identique le plus possible au cours
de la journée.
Nous vous conseillons d’observer dans un premier temps votre mode de vie
et de réfléchir à combien de repas et de collation vous pouvez mettre en
place. Puis diviser votre total de macronutriments par le ce nombre.
Imaginons qu’il peut faire 3 repas et 2 collations, nous diviserons donc ces
nombres par 5.
154 / 5 = 30,8g 30
91 / 5 = 18,2g 18
341 / 5 = 68,2g 68
Chaque repas ou collation,
Timothée ingérera 30g de protéines, 18g de lipides et 68g de glucides.
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C) Distance temporelle de votre ingestion par rapport à votre
entrainement
C’est donc à vous de trouver votre durée de digestion, ce que votre ventre
vous permet ou pas, mais il y a des règles communes à tout le monde.
Nous savons que lorsque nous avons beaucoup de nourriture dans l'intestin,
nous accélérons le flux sanguin vers les organes digestifs pour aider à digérer
la nourriture. Nous ne voulons pas limiter le flux sanguin vers les bras et les
jambes en éloignant le flux sanguin de ceux-ci pour digérer les aliments. Si
nous éloignons le flux sanguin des extrémités, nous allons nuire à la
performance pendant la séance d'entraînement à la résistance.
- Protéine
- Glucides
- Graisses
- Aliments sains
- Aliments complets - Nous voulons équilibrer la glycémie pour que
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30 à 60 minutes avant la séance d’entraînement.
Nous pouvons avoir quelques glucides sous forme liquide voir pourquoi
de fruits et quelque BCAA (d’origine végétale serait quand même
bien mieux) une légère dose de sucre pour que le corps s'habitue et
veuille brûler les sucres comme source de combustible.
Pendant l’entrainement :
A moins que vous ne fassiez une épreuve de plus de 1H30 dans l’intensité,
vous n’avez besoin de rien d’autre que d’eau.
Si vous voulez augmenter la combustion des graisses vous pouvez boire un
shaker de protéine pendant la séance. Votre corps devra augmenter la
quantité d’énergie produite pour digérer tout en maintenant l’activité physique
ce qui augmentera la dépense énergétique, mais attention à l’inconfort
digestif que cela peut produire.
Si l'entraînement dépasse les 90 minutes, n pourrait ajouter un peu plus de
glucides - sous forme de poudre liquide. Veillez à ce que les glucides soient
bien dilués afin de ne pas en ingérer trop et de ne pas surcharger l'estomac.
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Apr s l’entra nement :
Là encore la fenêtre de la collation post entra nement fait grand débat. Des
auteurs s’entendent sur 0 à 30 min, d’autre sur 15 à 45 min. J’ai envie de
vous dire, tout le monde raison, tout le monde à tort.
5 ou 10 min ne changeront pas grand chose, rien que par le fait que tout le
monde est diffèrent. Par contre tout le monde s’entend à peu près sur son
intérêt en termes de récupération.
1H après l’entraînement :
Le but est maintenant de revenir à une alimentation normale, et d’utiliser la
digestion comme stimulation du système nerveux para sympathique afin de
calmer le corps. C’est un bon moyen de faire passer le corps en mode
récupération, en utilisant sa fonction de digestion.
Mieux vous vous préparerez pour votre entraînement avant, pendant après et
plus loin, mieux vous vous sentirez à l'entraînement et mieux vous
récupérerez entre les séances.
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En conclusion
Nous savons que nous sommes dans l'erreur quand nous faisons les
mauvaises actions
La vraie révolution pour moi, ma santé et mon travail a été de comprendre les
biais psychologiques sur lesquels l'alimentation travaille et réaliser que chacun,
nous avions le pouvoir de nous reprogrammer, ainsi que prendre en pleine face
l'impact d'un Mode de Vie non efficace sur la digestion et son énorme impact
sur la Santé Générale, et que la encore, nous avions tous le pouvoir de nous
reprogrammer à ce niveau aussi.
Sportivement et Sincèrement.
Guillaume.
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