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PRESENTATION DU COURS
Objectif général
L’objectif général de cette deuxième du cours de zootechnie spéciale (qui comprend deux
monographies), est :
la conduite d’un élevage de vache laitière lui permettant de produire du lait pour la
consommation humaine, et
d’assurer la gestion d’une ferme de production des bovins de boucherie.
Objectifs spécifiques
Pour ces deux animaux, l’apprenant sera capable à la fin du cours de:
choisir les bons reproducteurs sur la base de critères bien précis ;
de construire un logement adéquat et l’aménager convenablement ;
d’assurer une bonne alimentation ;
de conduire efficacement la reproduction ;
d’assurer une bonne gestion de la santé des animaux ; et
d’assurer la conduite et une gestion technico-économique de l’élevage.
Approche pédagogique
Le cours étant pour les adultes, il est fondé sur des méthodes andragogiques intégrant la
théorie, des exposés, et des travaux pratiques sur l’exploitation du LAMS.
La pertinence des approfondissements lors des sessions de regroupement dépend de la
participation active des apprenants à travers leurs questions et leurs expériences.
Des évaluations sommatives et formatives seront effectuées afin d’apprécier l’acquisition
des compétences par les apprenants, au fur et à mesure qu’on évoluerait dans le cours.
Dans cette perspective, des activités et des exercices sont proposés dans chaque
monographie. Ils ont pour but d’aider les apprenants à faire des exercices, de recherche et
de synthèse sur les notions essentielles du cours.
Contenu
DEUXIEME PARTIE : PRODUCTION DES ANIMAUX DOMESTIQUES (espèce
par espèce)
MONOGRAPHIE 3 : L’élevage de la vache laitière
MONOGRAPHIE 4 : La gestion technique d’une ferme de production des
bovins de boucherie.
PA4 Zootechnie Spéciale : Productions des animaux domestiques espèce par espèce (2ème partie)
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MONOGRAPHIE 3 :
L’ELEVAGE DE LA VACHE
LAITIERE
PA4 Zootechnie Spéciale : Productions des animaux domestiques espèce par espèce (2ème partie)
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Objectifs pédagogiques
A la fin de la présente leçon, chaque apprenant doit savoir :
décrire les différentes races bovines laitières africaines ;
comment aménager un logement la vache laitière ;
comment nourrir la vache laitière.
Comment assurer la gestion de la santé de la vache laitière ;
Comment faire reproduire la vache laitière ;
assurer une bonne conduite et une gestion technico-économique correcte d’un
élevage bovin laitier.
2- NOTIONS PRELIMINAIRES
Asie; Amérique
32.7 du Sud; 22.7
Asie; 15.7
Amérique
du Nord; Russie; 6.2
19.3
Figure 1: Taux de répartition de la production de lait et des bovins dans le monde en 1996
(Source : Elevage de la vache laitière en zone tropicale, CIRAD 1999)
PA4 Zootechnie Spéciale : Productions des animaux domestiques espèce par espèce (2ème partie)
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PA4 Zootechnie Spéciale : Productions des animaux domestiques espèce par espèce (2ème partie)
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Figure 2: Photos de quelques races bovines africaines (Source : Zootechnie des régions
chaudes : Les systèmes d’élevage, 1993)
PA4 Zootechnie Spéciale : Productions des animaux domestiques espèce par espèce (2ème partie)
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Figure 3: Photo d'une vache Monbéliarde importée au Sénégal (Source : Zootechnie des
régions chaudes : Les systèmes d’élevage, 1993)
PA4 Zootechnie Spéciale : Productions des animaux domestiques espèce par espèce (2ème partie)
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4.1- La transhumance
C’est le mode d’élevage traditionnel le plus fréquent en zone sahélienne, donc en
Afrique, caractérisé par des grands déplacements de troupeaux à la recherche de
nourriture et d’eau. Il est peu adapté à une politique d’intensification.
4.2- La sédentarité
Elle se prête plus facilement à l’intensification. Deux types de structure existent :
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Figure 5: Etable pour bovin en matériaux locaux (Source, Zootechnie des régions chaudes :
Les systèmes d’élevage, 1999)
Figure 6: Veaux laitiers en stabulation entravée (Source : Conduite et alimentation des jeunes
bovins laitiers, Canada 1983)
La stabulation libre : les locaux sont des bâtiments légers et ouverts avec un ou
plusieurs enclos dans lesquels les animaux sont en liberté et où l’alimentation est
distribuée à volonté ou sous contrôle. Les animaux sont en permanence en plein air.
Elle permet une réduction de la main d’œuvre.
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Activité 1 :
Calculer les besoins en Eent d’une vache laitière N’Dama pesant 275kg PV.
Activité 2
Calculer pour cette même vache ses besoins en Eent si elle est entretenue sur parcours
naturel en région peu accidentée.
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Le facteur 0,4 + 0,15 TB permet donc de convertir un lait quelconque en lait standard.
Activité 3
Pour la vache qui produit 6kg de lait à 4% de MG par jour, entretenue sur parcours
naturels en région d’Allada, calcule son Eprod et son besoin énergétique total.
Activité 4
Calculer le besoin énergétique d’une vache Zébu Azawak pesant 245 kg et produisant 6kg
de lait/j à 5% de MG.
Activité 5
Calculer les besoins azotés pour la vache de l’activité 3.
Activité 6
Déterminer les besoins en Ca et P pour la vache de l’activité3 en utilisant le tableau 3 des
besoins en minéraux.
Tableau3 : Table des besoins en minéraux
Type de bovins Minéraux (g)
Ca P Na
PV (Kg)
Entretien 200 12 7 4
300-450 24 17 6
500-600 36 27 8
ème
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7.1.5- Consommation de MS
Pour la vache laitière, les besoins sont les suivants :
MS d’entretien = 2,5kg MS/100 kg PV ; et
MS production = 280gMS/Kg lait produit.
Activité 7
Calculer les besoins en MS de la vache de l’Activité 3.
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Ce système convient aux races rustiques comme celles du milieu tropical. L’inconvénient
de ce système est qu’il favorise le surpâturage.
Figure 8: Bovins en paissance (Source : Conduite et alimentation des jeunes bovins laitiers,
Canada 1983)
Figure 9: Bovins en paissance sur pâturage délimité par des barbelés (Source : Conduite et
alimentation des jeunes bovins laitiers, Canada 1983)
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Figure 10: Bovins à l'affourragement à l'auge (Source, Zootechnie des régions chaudes : Les
systèmes d’élevage, CIRAD 1993)
Activité 7
Rechercher les avantages et les inconvénients pour chaque type d’affourragement.
8- SANTE DU TROUPEAU
La vache laitière, comme nous l’avions dit, est fragile. Les maladies ont des conséquences
sur la lactation et aussi sur la fécondité. Les principales maladies de la vache sont :
Maladies liées à la lactation : les mammites
Maladies de l’appareil locomoteur : les boiteries
Maladies infectieuses : la peste bovine ; la péripneumonie contagieuse bovine
(PPCB), la fièvre aphteuse, la cowdriose
Maladies parasitaires : les Trypanosomoses
Maladies de la reproduction : les métrites, la brucellose, infertilité.
Le tableau 4 suivant présente les principales maladies de la vache laitière en zone
tropicale.
Des mesures préventives comme la vaccination et les déparasitages (interne et externe)
doivent être systématiques.
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En cas de vêlage difficile, l’éleveur peut lubrifier le vagin avec de l’huile, afin de facilité
la sortie du veau.
Après le vêlage, il faut inspecter le vagin avec la main pour vérifier si la vache a ou non
été blessée. Normalement, la vache perd le placenta au maximum dans les 8H qui suivent
et perd des matières utérines dans les 48H au plus.
Lorsque le placenta n’est pas retiré dans les 12H, il s’agit de rétention placentaire. Il faut
alors procéder à son extraction et à la désinfection des cornes utérines. Cela permet de
réduire fortement le risque de métrite et donc de stérilité de la vache.
Normalement, quelques heures après la mise-bas, la vache produit son premier lait, le
colostrum, très riche en protéines et anticorps qui renforce les mécanismes de défense de
son petit.
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Figure 11: Les étapes de vie de la vache laitière (Source : Elevage de la vache laitière en zone
tropicale, CIRAD 1999)
10- GESTION-TECHNICO-ECONOMIQUE
10.1- Le suivi de l’élevage
Le suivi d’une exploitation d’élevage de vache laitière passe par l’examen d’indicateurs
techniques qui correspondent aux valeurs des paramètres qui caractérisent le troupeau
dans les domaines de la production laitière, de la reproduction, de l’alimentation, de l’état
sanitaire, de la composition et de l’évolution du troupeau.
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Bon nombre des indicateurs techniques peuvent être enregistrés sur des fiches
individuelles établies pour chaque animal comme le montre le tableau 5.
Tableau 5 : Fiche individuelle de suivi de la vache laitière
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MONOGRAPHIE 4 :
GESTION TECHNIQUE D’UNE FERME DE
PRODUCTION DES BOVINS DE
BOUCHERIE
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Objectifs pédagogiques
Après avoir développé :
les races bovines à viande élevées au Bénin ;
les appréciations de leurs qualités ;
la détermination de leurs poids ;
nous étudierons l’embouche bovine à travers,
l’exemple d’une méthode largement répandue de production de viande bovine
dans ses différentes composantes : le ranching.
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A la naissance, il doit avoir un bon poids et avec l’âge démontrer une transformation
alimentaire efficace, donc un indice de consommation bas.
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0 ,75
Le GMQ du bélier = 30 x 100=¿25g/jour
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Le bélier = 25 x 100 =100g/j/100kg de PV
On constate que le bélier a une intensité de production beaucoup plus forte que le
taurillon.
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Figure 15: Mesures barymétriques chez le bovin (Source, Zootechnie des régions chaudes :
Les systèmes d’élevage, 1993)
A partir de ces mesures, on estime le poids des bovins à partir de certaines formules.
Ainsi, Planchenault a établi en fonction du périmètre thoracique (PT), pour la race
N’Dama, des formules linéaires d’estimation du poids. Ce sont :
o Bovins de lait : Mâle = 2,65PT – 196,22 et Femelle =2,21PT – 141,64.
o Bovins adultes : Mâle = 4,23PT – 141,64 et Femelle =2,62PT – 159,5
Exemple : Un technicien d’élevage mesure sur taureau Somba un périmètre thoracique
de 66cm. Le poids de ce taureau est d’environ =4,23x66 – 141,64 =137,5kg de PV.
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5.2- Objectifs
Les objectifs visés par les éleveurs sont doubles :
améliorer le rendement des carcasses et de la qualité de la viande ;
valoriser des produits et sous-agricoles et des sous-produits agro-industriels.
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Elle permet d’obtenir des GMQ plus rapides et des animaux généralement mieux finis
et plus gras. La durée est beaucoup plus courte (moins de 6 mois).
Plusieurs modalités sont possibles :
Embouche sur pâturage intensif (cultures fourragères irriguées) avec ou sans
complémentation.
Embouche en stabulation : c’est une technique ou toute l’alimentation est
fournie à l’auge. l’herbe est substituée partiellement ou en totalité par des
aliments plus concentrés, donc plus riches en éléments nutritifs, tels que les
céréales, racines et tubercules, les sous-produits. Confère figure suivante.
La durée de cette embouche est courte et en général n’excède pas 6 mois.
Lorsque l’embouche intensive est pratiquée sur des effectifs importants dans
des installations spécialisées, en faisant appel à une alimentation standardisée
très riche, on parle alors d’embouche industrielle.
Figure 16: Affourragement à l’auge des bovins (Source, Zootechnie des régions chaudes :
Les systèmes d’élevage, 1993)
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Le ranching mixte qui associe les deux (2) types précédents : élevage et
embouche.
6.3.1- Le personnel
L’éleveur remplit lui-même dans la plus part des cas les principales fonctions,
notamment la gestion de l’exploitation.
La main d’œuvre dans un ranch se résume à :
la surveillance des animaux ;
la surveillance des déplacements des animaux pour assurer une exploitation
rationnelle des pâturages ;
la réalisation des opérations de prophylaxie (vaccinations, déparasitages…)
la réalisation des opérations zootechniques (tris, sevrages, marquages,
castrations…)
L’éleveur faire appel à un strict minimum de main d’œuvre.
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Figure 17: Schéma d’un bain détiqueur-type pour bovin (Source, Zootechnie des régions
chaudes : Les systèmes d’élevage, 1993)
Figure 18: Photo d'un bain détiqueur et traitement déparasiteur par pulvérisation (Source,
Zootechnie des régions chaudes : Les systèmes d’élevage, 1993)
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I II III
I : Introduction du bétail dans le goulet de forçage
II : Le couloir d’arrivée où sont poussés les bovins
III : L’animal franchit le bassin complètement immergé, sauf la tête
Figure 19: Etapes d'un bain détiqueur (Source, Zootechnie des régions chaudes : Les
systèmes d’élevage, 1993)
Le travail
Encore parc de contention, il est nécessaire pour effectuer les opérations zootechniques
et vétérinaires. Le modèle le plus fréquent est constitué d’une portion de couloir pourvu
d’un "cornadis" (Head bail) permettant d’immobiliser la tête de l’animal et de limiter
ses mouvements longitudinaux. Comme le montre la photo II de la figure 5.
La bascule pèse-bétail
Elle est indispensable pour les pesées des gros bovins. Car seule la pesée permet
d’apprécier objectivement les gains de poids, les poids à l’achat et à la vente etc.
Pour la pesée des veaux et des jeunes bovins un pèse personne peut suffire.
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Figure 20: Photo de bascule pèse-bétail pour la pesée des gros animaux (Source,
Zootechnie des régions chaudes : Les systèmes d’élevage, 1993)
Les clôtures
Les bovins sont des animaux puissants et parfois agressifs. Les clôtures doivent être
solides. Il faut utiliser si possible les matériaux locaux, mais leur durée de vie est faible.
En zone tropicale, le bois doit être traité pour lutter contre les termites.
Dans les fermes d’Etat du Bénin, les clôtures sont en barbelé. Leur installation
demande beaucoup de moyen et de travail. Confère schémas suivants.
Figure 21: Installations des clôtures avec du fil de fer barbelé (Source, Zootechnie des
régions chaudes : Les systèmes d’élevage, 1993)
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Les abreuvoirs
Installer de façon économique, il faut utiliser les points d’eau permanents, et faciliter
leur accès par l’aménagement des pâturages aux alentours et des routes.
Figure 23: Complémentation de bovins avec du tourteau de coton dans des auges
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Figure 25: Technique d'insémination artificielle: mise en place du sperme sur vaches ou
génisses (Source, Zootechnie des régions chaudes : Les systèmes d’élevage, 1993,
L’âge de mise à la reproduction
o Pour la génisse : 2 ans et demi à 3 ans
o Pour le tourillon : 3 ans au moins.
La palpation : elle peut être effectuée 60 jours (2 mois) après la sortie du
taureau, au moment du sevrage pour une bonne gestion du travail.
Le sevrage : il peut intervenir à 6 mois d’âge pour le veau ou la vêle. On peut à
ce moment pour le veau : peser, l’écorner, le marquer ou le castrer.
Figure 26: Ecornage électrique d'un veau (Source : Conduite et alimentation des
jeunes bovins laitiers, Canada 1983)
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Figure 27: Technique de castration avec la pince de Burdizzo (Source: Zootechnie des
régions chaudes: Les systèmes d'élevage, 1993)
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