Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Ouest-France
Suivre
Même les non-gamers sont obsédés par ce jeu de rôle (ça vaut le coup de
l'installer !)
Sponsorisé
Les hommes sont plus nombreux à avoir une activité libérale, quand les
femmes sont largement majoritaires chez les salariés hospitaliers.
L’impact du Covid-19
Les soins réalisés ont donné lieu à 21,8 millions de journées de présence
(temps partiel ou temps complet) en 2021. C’est 10 % de moins qu’en 2019,
avant le Covid-19. Seul le nombre d’actes réalisés en ambulatoire connaît une
augmentation, après une baisse en 2020.
La baisse des prises en charges en psychiatrie observée globalement
entre 2019 et 2021 ne se manifeste pas chez les jeunes patients. En effet, chez
les adolescents et les jeunes adultes, le nombre de prises en charge (temps
partiel ou complet, hors ambulatoire) a augmenté entre 2019 et 2021. La
hausse est de 11,5 % chez les 13-17 ans, et 7 % chez les 18-24 ans.
La Cour des comptes relève qu’un flou sur la définition de pédopsychiatre rend
impossible de dénombrer précisément les spécialistes de la prise en charge
d’enfants et d’adolescents. En s’appuyant sur les décomptes existants, la Cour
les estime cependant à environ 2 000 praticiens (1 961 selon la Drees, 2 039
selon l’Ordre des médecins), un chiffre en baisse de 34 % entre 2010 et 2022.
Avec 47,1 ETP pour 100 000 adolescents, le plus fort taux est enregistré à Paris.
La Corse-du-Sud, la Haute-Vienne et le Val-de-Marne viennent ensuite, avec
plus de 20 praticiens pour 100 000 enfants et adolescents.
Les départements les moins pourvus sont la Saône-et-Loire, l’Orne, l’Indre, les
Ardennes et les Alpes-de-Haute-Provence qui comptent chacun moins de
5 praticiens pour 100 000 habitants de moins de 16 ans.
Ouest-France
Suivre
L’enquête, menée par la brigade de recherches de Saumur poursuit les investigations sur les circonstances du
décès du jeune Sarthois.© Archives OUEST FRANCE / Béatrice Legrand
L’enquête se poursuit
Selon le parquet de Saumur, saisi de l’affaire, la victime aurait été asphyxiée
par l’inhalation des fumées dégagées par un incendie qui s’est déclenché dans
une pièce de l’habitation.
Si on en sait plus sur les causes du décès, des analyses complémentaires sont
toujours en cours pour confirmer – ou infirmer – le premier constat établi. Les
investigations, menées par la brigade de recherches de Saumur, chargée de
l’enquête, se poursuivent donc.
L’Obs
Suivre
Sponsorisé
Prime Rénov
Un exemple comme une goutte d’eau dans les difficultés d’accès aux soins que
rencontrent les personnes handicapées, maintes fois étayées par des rapports
publiés ces dernières années, notamment par la Haute Autorité de Santé (HAS)
en 2005, par Pascal Jacob, président de l’association Handidactique, en 2013,
ou encore par plusieurs travaux du chirurgien Philippe Denormandie depuis
2018. Des manquements auxquels devra, entre autres, tenter de répondre la
sixième Conférence nationale du Handicap organisée ce 26 avril à l’Elysée,
dix jours après le sévère avis rendu par le Conseil de l’Europe, qui estimait que
la France ne respecte pas les droits fondamentaux des personnes handicapées.
Car en dépit des constats qui se répètent, le problème demeure, et la
Défenseure des droits a multiplié les alertes : dans un avis rendu en
mars 2021 [PDF], Claire Hédon soulignait que, malgré la mise en place de
certaines mesures, « de nombreux obstacles subsistent, notamment dans l’accès
aux soins courants ». Et de citer ces difficultés récurrentes, qui vont de
l’inaccessibilité du bâti à l’absence de moyens adaptés pour répondre aux
besoins des personnes handicapées, comme un temps d’accueil et
d’information supplémentaire, une formation des professionnels ou encore du
matériel spécialisé.
« Je ne peux pas me transférer seul sur une table d’examen, il faut appeler du
personnel, qui n’est pas toujours formé pour me déplacer en toute sécurité, cite
ainsi Alain Duhen. Tout ça alors qu’il suffirait d’un lève-malade dans tous les
cabinets, ça n’a rien de bien compliqué avec un personnel formé. »
Ces obstacles aux soins concernent aussi bien les soins liés au handicap que les
soins courants. Selon un rapport de 2015 [PDF] de l’Institut de Recherche et
Documentation en Economie de la Santé (Irdes), seulement 48 % des
personnes ayant des limitations motrices peuvent accéder à des soins
dentaires, 44 % lorsqu’elles sont en fauteuil roulant – contre 56 % dans la
population générale.
Pour abattre ces obstacles, les engagements se sont multipliés. Dès 2014, la
charte Romain-Jacob née du rapport de Pascal Jacob et approuvée par plus de
7 000 signataires du secteur de la santé publique ou privée, engageait ces
derniers à « promouvoir la fédération des acteurs dans chacune des régions
pour répondre aux besoins spécifiques de l’accès aux soins et à la santé des
personnes en situation de handicap ».
Loin, trop loin, d’être suffisant, pour les associations : « Nous ne voyons pas de
politique globale, seulement des mesurettes par-ci par-là pour donner
l’impression qu’on fait quelque chose », déplore Luc Gateau, président de
l’Unapei (qui réunit 330 associations dans le champ du handicap intellectuel),
sans cacher sa colère.
« On n’est pas dans quelque chose de léger, qui se résumerait à une difficulté
d’accéder à quelques services de soins,abonde Roselyne Touroude, vice-
présidente de l’Union nationale de Familles et Amis de Personnes malades
et/ou handicapées psychiques (Unafam). On est vraiment face à une
catastrophe qui se joue, avec un manque cruel d’action qui peut notamment
entraîner des retards de diagnostic. »
« L’autisme est un trouble très mal diagnostiqué. Quand on veut le faire à l’âge
adulte, on est face à un sentiment d’abandon », explique-t-elle. Les
établissements de sa région ne recevant que les enfants et ados, elle se tourne
vers un Centre Ressources Autisme (CRA), une structure médico-sociale
publique, mais se confronte cette fois à des délais interminables : deux ans et
demi pour obtenir un rendez-vous. « Je n’en pouvais plus, les stimuli incessants
me handicapaient au quotidien, j’avais dû déménager, je n’arrivais plus à
travailler. J’ai fini par abdiquer et payer très cher une neuropsychologue. »
Avant les jeux Olympiques et Paralympiques 2024, Paris face à l’immense défi
de l’accessibilité
Après des années de démarches, le diagnostic est posé, en 2019. Mais
ce « graal » qu’elle attendait tant est loin de signifier la fin de ses
difficultés : « On m’a dit : “Vous êtes autiste, au revoir !” Je n’avais aucune idée
de ce que je devais faire ensuite. »
Pour être suivie, elle se tourne vers une maison départementale pour les
personnes handicapées (MDPH), mais doit remplir un
dossier « gargantuesque ». Celui-ci est enfin accepté en mai 2021… mais Luna
n’a toujours pas entamé ses soins, la faute à des files d’attente de plusieurs
années dans son Samsah-TSA (service d’accompagnement médico-social pour
adultes handicapés). Des délais énormes dans des structures trop peu
nombreuses et souvent difficilement joignables qui frôlent, pour certaines
personnes, la « non-assistance à personne en danger », souffle Luna.
Malgré les engagements des gouvernements successifs, l’accès aux soins des
personnes handicapées, comme toutes les autres questions liées à leurs droits
en France, demeure un chantier majeur pour le pays. Après la décision du
Conseil de l’Europe, associations et militants attendaient de pied ferme la
sixième Conférence nationale du Handicap ce mercredi 26 avril, qui doit
permettre de fixer un cap politique et budgétaire clair sur la défense des droits
des personnes handicapées.
Le Figaro
Suivre
PX1▼-1,38%
PX4▼-1,30%
CACAS▼-1,43%
Les vérandas font partie des extensions non déclarées qui seront dans le viseur du fisc.© 9707363/asaflow -
stock.adobe.com
Facturation automatisée
Sponsorisé
EBP
Quel calendrier? Comme pour les piscines, la DGFIP a prévu, dans un premier
temps d’expérimenter la traque aux extensions de maisons non déclarées dans
plusieurs départements puis de la généraliser à l’ensemble de la France. Elle
commencera à se pencher sur la question dès le début de l’année prochaine.
«Nous nous attachons d’abord à avancer sur la traque des piscines non
déclarées. Le bilan sera publié d’ici la fin de l’année», affirme l’administration
fiscale. Combien d’extensions non déclarées? «Sans doute entre 1% et une
dizaine de % maximum», selon la DGFIP.
Ouest-France
Suivre
Affaire Péchier : l’anesthésiste mis en
examen autorisé à exercer la médecine sous
conditions
Article de avec AFP. • Il y a 3 h
Frédéric Pechier devant le palais de justice de Besançon le 8 mars 2023.© ARNAUD FINISTRE/AFP
ConsoMag
La seule chose dont j’étais saisi, était de lui obtenir une décision de justice lui
permettant de retravailler avec ses diplômes, ce qu’a autorisé la chambre
d’instruction de la cour d’appel , a-t-il conclu.
Frédéric Péchier est soupçonné d’avoir pollué, entre 2008 et 2017, les poches
de perfusion de patients à Besançon pour provoquer des arrêts cardiaques
puis démontrer ses talents de réanimateur, mais aussi pour discréditer des
collègues avec lesquels il était en conflit.
Sponsorisé
BITDEFENDERAvez-vous un bon antivirus ?
Sponsorisé
Ulys8 mois Offerts + 15€ de Bon d’Achat
Le Parisien
Suivre
Florian Philippot, le président du parti les Patriotes, a été rembarré dans la nuit
de mardi à mercredi 26 avril dans un bar à Paris (IIe). Le barman a refusé de lui
servir un verre. D’après l’homme politique de 41 ans, l’employé du bistrot se
serait justifié en lui disant qu’il ne partageait pas ses opinions. Une plainte a
été déposée dans la foulée pour « discrimination en raison des opinions
politiques avec refus d’un service dans un lieu public ». Le barman et son
patron auraient expliqué que Florian Philippot n’avait pas été servi pour des «
raisons de sécurité ». Il n’est pas encore minuit quand le président des
Patriotes entre dans ce bar de nuit décrit sur son site comme très « convivial »
et où l’on écoute de la chanson française, notamment des années 1980. « Je
n’y étais jamais allé avant, nous confie ce mercredi matin l’homme politique.
J’étais accompagné d’un ami. Il m’avait dit : Viens, tu verras c’est très sympa. En
fait, pas tant que ça. » L’employé du bar conduit au commissariat C’est donc au
moment de commander les deux boissons au bar que la situation se tend. « Il
m’a dit : Je ne partage pas vos idées politiques, je ne vous servirai pas. Encore
une fois, cela ne m’était jamais arrivé. J’ai trouvé cela choquant et c’est illégal.
Je lui ai expliqué que cela s’appelait un refus de vente et que par principe
j’allais appeler la police. Je ne suis pas coutumier de porter plainte mais bon…
» D’après Florian Philippot, le patron de l’établissement est ensuite venu lui
dire que ce refus de servir l’était pour des raisons de sécurité. « Mais il n’y avait
aucun problème de sécurité, assure le président des Patriotes. Cela m’a agacé
qu’on tienne ensuite une deuxième version. Si encore il était venu pour me
dire On a déconné… » Selon nos informations, un équipage de police s’est
rendu dans le bar de nuit. Le barman a répété aux policiers l’argument de la
sécurité en raison « de la notoriété » du client. L’employé a ensuite été conduit
au commissariat de Paris-Centre où il a été entendu par un officier de police
judiciaire. Il a finalement été convoqué ultérieurement. Nous n’avons pas réussi
à joindre ce mercredi matin l’établissement de nuit qui était évidemment
fermé.
Sponsorisé
Tucoenergie7 700€ pose incluse
Sponsorisé
Ulys8 mois Offerts + 15€ de Bon d’Achat
Le Figaro
Suivre
Pénurie de médicaments: Bruxelles veut imposer aux fabricants des plans de prévention© Fournis par Le Figaro
AdChoices
L’Obs
Suivre
« Elle ne veut pas partir sur les retraites » : pour Elisabeth Borne, une nouvelle
période d’essai
PEUGEOT 3008
Sponsorisé
Peugeot
Remplacer les profs au pied levé. Dans l’Education nationale, Elisabeth Borne
a proposé une solution pour les remplacements. « A partir de la rentrée 2023,
les remplacements de courte durée seront effectués au sein même de
l’établissement », a-t-elle fait savoir. « Nous allons généraliser au primaire les
sessions de soutien en français et en mathématiques. » La hausse des
professeurs pourra atteindre jusqu’à 500 euros par mois, a précisé la cheffe de
l’exécutif.
Un projet de loi sur le numérique début mai. Elisabeth Borne a par ailleurs
annoncé un projet de loi visant à sécuriser l’espace numérique « début mai ».
Sponsorisé
Tucoenergie7 700€ pose incluse
Sponsorisé
TucoenergieInstallation dès 7 700€
franceinfo
Suivre
Eglise catholique : des femmes et des laïcs
pourront voter à la prochaine assemblée des
évêques
Article de Franceinfo • Il y a 17 min
Cette décision, réclamée de longue date, était jusqu'ici réservé aux clercs.
Eglise catholique : des femmes et des laïcs pourront voter à la prochaine assemblée des évêques© Fournis par
franceinfo
Il s'agit d'un tournant pour l'Eglise catholique. Des femmes et des laïcs
pourront voter lors de la prochaine assemblée des évêques, a annoncé
mercredi 26 avril le Vatican. La première phase de l'assemblée finale de
ce "Synode sur la synodalité", une vaste consultation mondiale sur l'avenir de
l'Eglise, aura lieu en octobre à Rome et le secrétariat du Synode a publié
mercredi les règles de participation à cette réunion.
Ce sera la première fois que des femmes et des laïcs non consacrés pourront
voter lors d'un synode, une décision réclamée de longue date alors que ce
droit était jusqu'ici réservé aux clercs. Outre les évêques, archevêques et autres
religieux élus par les conférences épiscopales locales "s'ajoutent 70 membres
non-évêques qui représentent les autres fidèles du peuple de Dieu (...) et qui
proviennent des Eglises locales", précise ce document.
PEUGEOT 2008
Sponsorisé
Peugeot
"En tant que membres du synode, ils auront droit de vote", souligne le
secrétariat du synode, tout en rappelant que le pape peut lui-même nommer
des membres laïcs pour participer à cette consultation. C'est François lui-même
qui a approuvé il y a une dizaine de jours l'élargissement de la participation
des laïcs au synode.
Cette vaste consultation sur l'avenir de l'Eglise, déjà en cours dans de
nombreuses conférences épiscopales, permettra de mesurer les rapports de
force sur les grands enjeux, comme la place des femmes, la gestion des cas de
pédocriminalité ou la situation des divorcés remariés.
Ouest-France
Suivre
renovation-energie.fr/prime/energie
franceinfo
Suivre
PX1▼-1,23%
PX4▼-1,15%
CACAS▼-1,30%
Certains aliments vendus en lots paraissent moins chers que dans leur
version "classique", alors que c'est le contraire. L'association Foodwatch
publie une enquête et pointe du doigt cette pratique des distributeurs qui
concerne des produits de grande consommation.
Aliments vendus en "maxi format" : Foodwatch dénonce des "arnaques" sur le prix au kilo de certains
produits© Fournis par franceinfo
Le prix au kilo ou au litre de certains aliments est plus élevé lorsqu'ils sont
vendus en "maxi format" ou en lots que lorsqu'ils sont vendus dans leur
version standard, révèle mercredi 26 avril l'ONG Foodwatch, qui dénonce
des "arnaques".
>> Des quantités en baisse, mais des prix en hausse... Foodwatch dénonce
la "shrinkflation" sur certains produits
Vidéo associée: Format familial, lots... Foodwatch alerte sur les « arnaques »
dans les supermarchés (Le Point)
Des alertes des consommateurs, qui se sont
sentis bernés
Des consommateurs, qui se sont sentis bernés alors qu'ils pensaient faire une
bonne affaire, ont alerté l’association Foodwatch, qui a pu constater ces écarts
de prix dans des grandes enseignes en Île-de-France, en Bretagne et dans les
Hauts-de-France. "Ces pratiques sont totalement inacceptables, particulièrement
dans le contexte actuel d’inflation", estime Audrey Morice, chargée de
campagne chez Foodwatch. Il s'agit d'"abus des supermarchés opérés surtout
sur le dos des familles au pouvoir d’achat réduit, cibles de ces grands formats au
parfum d’arnaques", lance-t-elle. Invitée de franceinfo mercredi 26 avril, Audrey
Morice explique que ces "formats spéciaux peuvent laisser penser à de bonnes
affaires puisqu'ils ressemblent à des promotions, mais en réalité ils sont plus
chers au kilo ou au litre qu'au format classique", ce qui peut, selon elle, "induire
en erreur les consommateurs".
Sponsorisé
renovation-energie.fr/prime/energie
"La logique voudrait que ces produits vendus en gros soient moins chers au litre
ou au kilo", estime la chargée de campagne de Foodwatch France. Audrey
Morice considère sur franceinfo que "l'information dans les rayons devrait être
claire, lisible et accessible immédiatement" : or, vérifier la différence de prix au
kilo ou au litre "prend du temps car les formats classiques et spéciaux ne sont
pas dans les mêmes rayons", déplore-t-elle. Pour Audrey Morice, "ces abus
devraient être interdits ou encadrés strictement comme le sont les promotions".
Foodwatch interpelle ainsi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire par le biais
d’une pétition, "pour exiger que soit renforcée la réglementation existante sur
les promotions et la fin de cette pratique insidieuse". Audrey Morice en appelle
mercredi 26 avril sur franceinfo au "gouvernement pour dire ça suffit".
L'association "ne demande pas à l'État de vérifier chaque paquet de gâteaux ou
de chips", mais de "mettre en place une règlementation stricte et contraignante,
comme le sont les promotions".
franceinfo
Suivre
Suspendre
Publicité - À venir "Les pharmaciens sollicités pour aider à optimiser la consommation de
médicaments"
RTL info
Sponsorisé
renovation-energie.fr/prime/renovation
Cette liste, que l'exécutif européen espère avoir dressée d'ici la fin de l'année,
pourra permettre à la Commission d'obliger les laboratoires pharmaceutiques
à renforcer la sécurité de leurs approvisionnements et dans certains cas, à
constituer des stocks.
franceinfo
Suivre
>> "Le droit n'est pas respecté" : pourquoi les Centres de Rétention
Administrative français sont pointés du doigt par une association de
défense des étrangers
Le nombre d'enfants enfermés est par ailleurs bien plus élevé en outre-mer : à
Mayotte, 2 905 enfants ont été enfermés en CRA ou LRA (locaux de rétention
administrative), soit 30 fois plus que dans l'Hexagone, dénoncent les
associations. Ces enfants représentent plus de 11% de l’ensemble des
personnes enfermées et des éloignements à Mayotte. Dans son futur projet de
loi sur l'immigration, le ministre de l'Intérieur prévoit d'interdire la rétention
des enfants de moins de 16 ans dans les CRA, mais uniquement dans
l'Hexagone.
Chargé: 3.74%
Jouer
Durée 2:38
QualitySettings
Plein écran
RTL info
Sponsorisé
Peugeot
CACAS
-1,29%
AdChoices
ALERTE INFO: Meurtre d’une fillette dans les Vosges - Le suspect était déjà mis en examen
pour viol sur mineur
Le Huffington Post
Suivre
Conférence nationale du handicap : les
fauteuils roulants bientôt remboursés à 100
%
Il y a 9 min
PX1▼-1,21%
PX4▼-1,14%
CACAS▼-1,29%
Lors de la Conférence nationale du handicap, Emmanuel Macron va annoncer ce mercredi 26 avril
le remboursement intégral de fauteuils roulants manuels et électriques.© Fournis par Le Huffington Post
HANDICAP - La mesure était attendue par les 400 000 personnes aujourd’hui
en fauteuil roulant. Le remboursement intégral des fauteuils manuels et
électriques va figurer parmi les 70 mesures annoncées par Emmanuel Macron
ce mercredi 26 avril, lors de la Conférence nationale du handicap (CNH).
Sponsorisé
State of Survival
Selon une deuxième source, certains fauteuils roulants seront à l’avenir pris en
charge au titre du « 100 % santé », qui existe déjà pour les lunettes, les
audioprothèses et les prothèses dentaires. La mesure pourrait être incluse
dans le prochain budget de la Sécu et entrer en vigueur au 1er janvier 2024.
Sponsorisé
Trucs et AstucesVoici comment retirer une clé cassée d'une serrure: Incroyable!
Sponsorisé
Ulys8 mois Offerts + 15€ de Bon d’Achat
ALERTE INFO: Meurtre d’une fillette dans les Vosges - Le suspect était déjà mis en
examen pour viol sur mineur
Le Figaro
Suivre
» À LIRE AUSSI : Petrus, Krug, Dom Pérignon : une vente aux enchères très
exclusive à Genève
ALERTE INFO: Meurtre d’une fillette dans les Vosges - Le suspect était déjà mis en examen
pour viol sur mineur
BFMTV
Suivre
Suspendre
Publicité - À venir "Les soignants non-vaccinés contre le Covid-19 vont être réintégrés"
BFMTV
Le délai à respecter entre chaque injection est de six mois minimum, "quelle
que soit la situation du patient", précise-t-elle. Ces rappels de vaccination
pourront se faire directement dans les Ehpad, dans les structures de soins, en
pharmacie ou encore auprès des médecins et infirmiers.
ALERTE INFO: Meurtre d’une fillette dans les Vosges - Le suspect était déjà mis en examen
pour viol sur mineur
franceinfo
Suivre
"On s'installe dans la salle à manger pour travailler un peu, au calme, avec un
timer pour structurer et s'accorder des petits temps de pause. Après pour
Ewan, le scolaire ça reste... comment dire... un peu compliqué."
à franceinfo
Car Ewan, 12 ans, est autiste et épileptique, et dans sa classe Ulis, qui regroupe
des enfants en situation de handicap, il a en effet du mal à rester concentré
toute la journée. Pour son entrée au collège, Laëtitia a donc demandé une
place en unité d’enseignement. "Déjà, il continuerait une inclusion dans un
collège, donc il serait quand même avec les autres", explique-t-elle. "Mais on
travaille d'autres choses : il va y avoir de l'atelier cuisine, jardinage, avec du
personnel formé." Ewan est sur liste d’attente, et cela peut durer plusieurs
années, car il n’y a que 24 places à proximité de chez eux.
Programme Omakase
Sponsorisé
Kumiko Matcha
à franceinfo
Cette maman n'est pas la seule dans cette situation. D'après Sophie Biète, de
l'Adapéi – une association qui accompagne les personnes handicapées – en
Loire-Atlantique, 1 500 enfants ne sont pas pris en charge comme ils le
devraient. "Des dispositifs de soutien à la classe ordinaire sont plutôt intelligents,
mais souvent en nombres insuffisants. C'est-à-dire qu'il faut se dire : on investit
là-dedans ou pas", assène Sophie Biète.
BFM Business
Suivre
PX1Baisse rapidement
PX4Baisse rapidement
CACASBaisse rapidement
Durée 7:03
QualitySettings
Plein écran
BFM Business
« Il faut répondre aux attentes de la génération Z »
Activer les notifications
0
C’est bien le cas et cela concerne l’ensemble de nos métiers : aujourd’hui, nous
sommes particulièrement en recherche de techniciens de maintenance,
d’électromécaniciens, d’automaticiens, de calculateurs, de chargés d’études de
prix, de chargés d’affaires et de chefs de projet.
A cela, s’ajoute la guerre des talents qui marque le secteur dans lequel nous
évoluons. Les entreprises se battent pour attirer les meilleurs, ce qui rend le
recrutement stratégique pour l’entreprise.
J’ajoute que chez FAYAT METAL, nos collaborateurs sont les meilleurs
ambassadeurs de nos métiers : la dernière campagne de cooptation a ainsi
permis de pourvoir 10% de nos recrutements en 2022.
L’acier est notre matière première. Ce dernier est recyclable à l’infini. Le point
de départ de notre démarche RSE est donc de travailler notre matière
première.
RMC
Suivre
PX1▼-1,11%
PX4▼-1,04%
CACAS▼-1,19%
Si tous les produits sont touchés, il existe des disparités, détaille dans "Apolline
Matin", ce mercredi sur RMC et RMC Story, Yves Puget, directeur de la
rédaction de LSA: "Les produits les plus chers, ce sont les plats cuisinés, avec
+32% sur un an, la moutarde +31%, la viande surgelée +28% et les chips
+27%. Il y a une ribambelle de produits qui malheureusement connaissent une
inflation à deux chiffres".
"On ne va pas retourner aux prix d'avant": pourquoi l'addition va rester salée dans l'alimentaire© RMC
Jouer
Durée 2:14
QualitySettings
Sous-titres
Plein écran
AFP
Même les non-gamers sont obsédés par ce jeu de rôle (ça vaut le coup de
l'installer !)
Sponsorisé
Tout ça parce que pendant huit ans, avant cette période d'inflation, les prix ont
baissé en France. "On est un pays pas cher par rapport à la moyenne
européenne et c'est pour ça que la grande distribution était critiquée.
Aujourd'hui, on est toujours moins cher que d'autres pays donc on ne va pas
retourner aux prix d'avant", explique Yves Puget.
Ainsi, les Français auraient été les enfants gâtés de l'Union européenne
concernant l'alimentation. "Une alimentation saine et le respect du
développement durable, cela a un prix. Avant, il y a une illusion en France",
rappelle Yves Puget, alors que l'alimentation représente en moyenne 14% du
budget des ménages, "mais jusqu'à 40% pour les ménages les plus modestes".
Les premiers prix plébiscités
Point de satisfaction, les produits restent de qualité, assure Yves Puget: "On a
une industrie agro-alimentaire et des agriculteurs de qualité. Si on peut, on
trouve des produits de qualité en France et la sécurité alimentaire n'a jamais
été aussi sure aujourd'hui".
Mais les Français ne peuvent plus, justement. Preuve en est, la hausse des
ventes des premiers prix. "Les premiers prix, c'est 4% de part de marché, mais
une croissance de 20% tous les mois", souligne Yves Puget, qui tempère sur les
"packs familles" accusés par Foodwatch de ne pas être de si bonnes affaires.
"De temps en temps, il y a de l'arnaque ou des erreurs mais en général, il y a
de gros volumes, cela reste de bonnes affaires", assure-t-il, invitant à faire
attention au prix au kilo tout de même.
Ouest-France
Suivre
Après le cap des « cent jours » fixé par Emmanuel Macron, Élisabeth Borne a
détaillé la feuille de route de son gouvernement pour les prochaines semaines,
ce mercredi 26 avril 2023. Une intervention jugée durement par les
oppositions.
Élisabeth Borne lors la présentation de sa feuille de route à l’Élysée le mercredi 26 avril.© Bertrand Guay/AFP
Suivre
PX1▼-1,16%
PX4▼-1,09%
CACAS▼-1,23%
Le projet de loi sur l'immigration ne sera pas présenté tout de suite, faute de
majorité. C'est ce qu'a annoncé Élisabeth Borne, la Première ministre, mercredi
26 avril, au terme du conseil des ministres. « Aujourd'hui, il n'existe pas de
majorité pour voter un tel texte, comme j'ai pu le vérifier hier en m'entretenant
avec les responsables des Républicains », dont l'apport est indispensable au
gouvernement, qui ne dispose à l'Assemblée nationale que d'une majorité
relative, a-t-elle reconnu.
Borne Immigration© BERTRAND GUAY / AFP
Paris Match
Suivre
Pénurie des médicaments :
Article de Paris Match • Il y a 12 min
Ce sont deux des médicaments les plus prescrits par les médecins et pourtant
ils ont été en pénurie dans les pharmacies tout l’hiver : le paracétamol et
l’amoxicilline, l’antibiotique le plus donné aux enfants. Selon l’Agence
Nationale de Sécurité du médicament (ANSM), 3 000 molécules ont été en
rupture dans les pharmacies. En cause, les difficultés d’approvisionnement – la
plupart des principes actifs étant fabriqués en Chine — et les épidémies
hivernales qui ont provoqué une forte hausse de la demande.
À lire aussi Tensions sur la pilule abortive : une « claque » inimaginable pour les
droits des femmes
Mise en place d’un plan d’urgence, le « plan
blanc »
Pour éviter de répéter ce scénario qui symbolise la perte de souveraineté de la
France en matière de santé, un « plan blanc médicaments » doit être mis en
place d’ici deux mois, « activable » directement en cas de crise. Son élaboration
passe par une concertation large entre les prescripteurs, l'Agence nationale de
sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm), les pharmacies et les
industriels. Tous sont priés de faire remonter leurs doléances et leurs
propositions. Plusieurs questions sont sur la table : quand déclenche-t-on un
plan blanc ? Quelles sont ses modalités ? Si l’objectif de ce plan d’urgence est
clair : réduire la consommation de médicaments, travailler à la diminution des
pénuries et tensions, sécuriser les patients prioritaires ; son contenu, lui, est
beaucoup plus flou. L’idée est qu’il soit prêt d’ici mai, au plus tard juin.
« Idéalement c’est un plan que l’on n’active pas » confirme le ministère de la
Santé, « c’est la dernière solution quand les mesures de gestion classique n’ont
pas permis de prévenir la pénurie ». En parallèle, un plan de gestion des
épidémies hivernales doit être mis en place, pour mieux anticiper l’hiver grâce
aux données de l’été. Enfin, en complément, une liste de médicaments dits
stratégiques sur le plan industriel et sanitaire est dans les tuyaux. Cette liste
existe déjà dans d’autres pays comme les États-Unis mais il y a des différences
avec la France. Environ 200 médicaments vont être identifiés, certains l'ont déjà
été en amont, comme les anticancéreux et les produits utilisés en anesthésie
réanimation.
Sponsorisé
IGO Objetspub FR
Pour l’heure, un faisceau de solutions est envisagé avec, en tête de file : la mise
en place d’outils européens de coopération et une osmose entre les instances
décisionnaires en matière de budget. Sonia de La Provôté insiste : « la santé
n’est pas une politique publique comme les autres. »
Sponsorisé
KelioLes DRH adoptent ce SIRH
Sponsorisé
Service CiviqueGagner sa confiance m’a fait gagner en assurance
Ouest-France
Suivre
La mère de la fillette de cinq ans retrouvée morte mardi 25 avril 2023 dans un
appartement de Rambervillers (Vosges) s’est exprimée ce mercredi matin. « Je
suis détruite », a-t-elle déclaré. « C’est trop douloureux, ça passe pas. »
La mère de la fillette de cinq ans retrouvée morte dans un sac s’adresse aux journalistes à Rambervillers, le 26 avril
2023.© JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN/AFP
Lire aussi : Fillette de cinq ans retrouvée dans un sac-poubelle dans les
Vosges : ce que l’on sait
Hemply
Ils disent qu’il y a deux semaines de ça, il était enfermé dans un hôpital
psychiatrique. Pour quelle raison ils l’ont laissé sortir ? , s’est insurgée la mère
de la victime. Je veux que la justice soit faite et qu’on ne laisse plus les
malades dehors, parce qu’ils ne détruisent pas une seule vie, ils détruisent la
vie de toute la famille , a ajouté cette femme d’origine roumaine.
Ils m’ont détruit ma vie à moi, tous mes souvenirs avec ma fille, tous mes
projets, ils m’ont tout enlevé , a-t-elle ajouté. Ils ont enlevé ma petite
princesse. Je ne veux plus qu’on laisse des gens comme ça dehors.
Elle a confirmé qu’elle avait alerté les forces de l’ordre mardi en début d’après-
midi après avoir constaté la disparition de son enfant, qui jouait devant la
maison.
Selon une source proche de l’enquête, l’adolescent a été interpellé dans
l’appartement où a été retrouvé le corps de la fillette.
Sponsorisé
KelioCombien coûte un SIRH ?
Sponsorisé
Trucs et AstucesVoici comment retirer une clé cassée d'une serrure: Incroyable!
L’Obs
Suivre
Près de trois millions de colis alimentaires d’urgence ont été distribués entre
avril 2022 et mars 2023 par l’association caritative Trussell Trust, qui gère un
vaste réseau de banques alimentaires dans le pays. Il s’agit du plus grand
nombre de colis jamais distribués en une année par l’association.
Emma Revie a également révélé que le recours aux colis alimentaires avait été
plus élevé l’année dernière que pendant la première année de l’épidémie de
Covid-19, qu’ils pensaient pourtant indépassable.
« Broken Britain » : voyage dans un pays en dépression
Plus d’1,1 million de ces colis d’urgence ont été distribués à des enfants, soit
une hausse de 36 % sur un an, souligne-t-elle.
Même les non-gamers sont obsédés par ce jeu de rôle (ça vaut le coup de
l'installer !)
Sponsorisé
Mais, selon le « Guardian », les données du Trussell Trust suggèrent que ces
aides n’ont pas réalisé une différence durable, la fréquentation des banques
alimentaires ayant légèrement diminué dans les semaines qui ont suivi les
paiements en août et en décembre, avant de rapidement augmenter à
nouveau.
BFM Business
Suivre
PX1Baisse rapidement
PX4Baisse rapidement
CACASBaisse rapidement
Durée 7:03
QualitySettings
Plein écran
BFM Business
« Il faut répondre aux attentes de la génération Z »
Activer les notifications
0
C’est bien le cas et cela concerne l’ensemble de nos métiers : aujourd’hui, nous
sommes particulièrement en recherche de techniciens de maintenance,
d’électromécaniciens, d’automaticiens, de calculateurs, de chargés d’études de
prix, de chargés d’affaires et de chefs de projet.
A cela, s’ajoute la guerre des talents qui marque le secteur dans lequel nous
évoluons. Les entreprises se battent pour attirer les meilleurs, ce qui rend le
recrutement stratégique pour l’entreprise.
J’ajoute que chez FAYAT METAL, nos collaborateurs sont les meilleurs
ambassadeurs de nos métiers : la dernière campagne de cooptation a ainsi
permis de pourvoir 10% de nos recrutements en 2022.
L’acier est notre matière première. Ce dernier est recyclable à l’infini. Le point
de départ de notre démarche RSE est donc de travailler notre matière
première.