Correction

Partie A :
1. Les deux sources étant indépendantes : elles ne sont pas synchrones il n’y a aucune
synchronisation entre les trains d’onde émis par chacune des deux sources  déphasage
aléatoire  valeur moyenne du déphasage nulle  ce qui annule le terme d’interférences.
1pt
2. Le Phénomène de diffraction 0,5 pt
3.

1 pt

4. Miroirs de Fresnel, Miroir de Lloyd, biprisme de Fresnel 1 pt

5. a . δ ( M )=(S2 M )−(S¿¿ 1 M )=(S¿¿ 2 H )=a sin ⁡(θ)¿ ¿ 0,5pt

x ax
b . sin ⁡(q)=tan(θ)= =q ; δ ( M )= 0,5pt
D D

6. I ( x )=2 I 0 (1+cos ( 2λπ δ ( M )))=2 I ¿1pt

❑
0

7.
I max −I min
a. C= ; I max= 4 I 0 ; I min =0 0,5pt
I max + I min
C=1 0,5pt
b. C=1 contraste maximal donc la lumière est supposée parfaitement monochromatique
0,5pt + la source S parfaitement ponctuelle 0,5pt (non réaliste)
c. Si l’une des sources est plus large que l’autre, alors les deux sources émettent deux
intensités différentes. Le contraste diminue 0,5pt
d. il en découle que la formule des interférences s’écrit

0,5pt dans ce cas

0,5pt

Partie B
8. Les deux raies émettent à des longueurs d’onde différentes, donc à des fréquences
différentes : elles ne sont pas synchrones, et il ne peut pas y avoir d’interférences. On
a donc additivité des intensités : Itotal(M) = Iλ1 (M) + Iλ2 (M). 1pt
 9.

a.
I λ 1=2 I 0 (1+ cos ( 2λπ axD )); I
1
λ2 =2 I 0 (1+cos ( 2λπ axD ))
2
1pt

b.Frange brillante d’ordre p :

ax λD
δ= pλ donc = pλ donc x p =p 0,5pt
D a
Frange brillante d’ordre p+1 :
ax λD
δ=( p+1 ) λ donc =( p+1 ) λ donc x p+1=( p+1) 0,5pt
D a

λD
¿ i=x p+1 −x p = 0,5pt
a

λ1 D λ2 D
i 1= ; i 2= 1pt
a a
i > i
c. 2 1 1pt

( λ D ) ( λ D ))
( 2 π ax
10. I λ =I λ 1+ I λ2=2 I 0 1+cos ) +2 I 1+ cos
1
( 2 π ax
0
2

λ
( ( λ D ) ( λ D ))
I =2 I 2+cos
0
2 π ax
+cos
1
2 π ax
2
0,5pt

λ 0
( 2axD ( λ1 + λ1 )) cos( 2 π 2axD ( λ1 − λ1 )))
I =2 I (2+ 2 cos 2 π
1 2 1 2
0,5pt

2
λ 1 λ 2=λ et λ1+ λ1=2 λ

(
I λ =4 I 0(1+ cos 2 π
ax ∆ λ
2D λ 2 ( )) (
cos 2 π
ax
λD
) 1pt )
λD λD 2λ
11. On a ∆ λ ≪ λ ; i 1= et i 2= 0,5pt
a a ∆λ
i2>>i1 0,5pt
 0,5pt

12. On devrait donc observer des franges rectilignes d’interférences, mais avec un
contraste qui varie périodiquement, passant d’une valeur maximale à une valeur nulle
2λ
et ainsi de suite. On a i 2=i 1 = i1 × 2 × 982. On doit donc observer de l’ordre de
∆λ
1000 franges dans le battement central. 0,5pt
13.
Deux autres faits pratiques limitent les champ des franges observées
a- L’étendue de la source primaire S qui n’est pas ponctuelle  cela
introduit un facteur de visibilité qui réduit ce champ 0,5pt
b- L’étendue spectrale de la source qui implique nécessairement une
longueur finie des trains d’onde  pas d’interférences dans la zone de
l’écran pour laquelle la différence de marche est supérieure à longueur
du train d’onde appelée aussi longueur de cohérence. 1pt