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Introduction:

Bonjour je m’appelle Eline, je suis en classe de terminal générale au lycée Labrosse, ma


problématique serait de savoir si l’on devient tueur en série à cause d’un gène ou le devient-on
en raison de circonstance de son enfance ?
En effet ce sujet est parfois présenté dans des séries ou des films mais des chercheur en
sociologie et génétique ce sont réellement poser la question, avec different interview et étude
dans des prisons les scientifiques ont pour beaucoup des avis différents. En 2009, la cour
d’assise de Trieste en Italie, a accordé une reduction de peine d’un an à un detenu condamné
pour meurtre, car son ADN l’aurait “predisposé à faire preuve d’agressivité”. Pour la première
fois, le patrimoine génétique d’un accusé était reconnu par la justice comme circonstance
atténuante.
Pourtant, les scientifiques s’accordent sur le fait qu’il n’existe pas plus de gène de la ciminalité
que de l’inteligence ou de l’homosexualité. Un gène à lui seul ne peut déterminer des
comportements aussi complexes.
Dans une premiere partie je vais presenter comment un gène pourait modifier notre
comportement au pont de commetre un meurtre, dans un second temps j’expliquerais une
etude qui a etait faite dans une prison en finlande, puis en dernier parti nous verrons que ce
genre de comportement peuvent etre expliquer par les moments traumatisant de l’enfance qui
empecherait de developper des caracteres sociaux normaux.

-devient-on un tueur en série à cause d’un gène ou le devient-on en


raison des circonstances et de son enfance ?

développement :

La question est donc de ce demander comment un gène pourrait modifier notre comportement
au point de commettre un meurtre. Le gène MAO-A et le gène DAT1 commande la production
d’une enzyme (la monoamine oxydase) qui intervient dans l'élimination de neurotransmetteurs
comme la dopamine.
La dopamine est souvent surnomment l’hormone du bonheur, est est impliquée dans la
survenue de cet état agréable procurée par la satisfaction des besoins, d’un désir ou par
l’accomplissement d’une activité gratifiante. Mais les rôles de la dopamine sont multiples et tout
indique qu’elle participe aussi à un phénomène très déplaisant, d’addiction. La dopamine est
une petite molécule produite par certains neurones. Ils l’utilisent comme messager chimique,
pour transmettre des informations à différents circuits cérébraux : c’est ce qu'on appelle un
neurotransmetteur. Et bien qu’elle soit synthétisée par un nombre très réduit de cellule
nerveuses, la dopamine est impliqué dans la modulation de circuits au fonctions très variées :
motrices, psychique ou encore comportementales.Ainsi la dégénérescence des neurones à
dopamine conduit à l'apparition des troubles moteur associé à la maladie de Parkinson par
exemple. A l'inverse, une production excessive de la molécule dans certaine région du cerveau
serait à l’origine de certaines manifestations de la schizophrénie.

La diminution du niveau d'activité de cette enzyme dans la forme mutante du gène a déjà été
décrite et reliée au risque de devenir délinquant. Le gène CDH13 à été pour sa part impliqué
dans des troubles du contrôle de l'impulsivité.“ Nous avons trouvé deux gêne qui ont l’effet le
plus le plus important sur le comportement agressif, et il y a probablement des dizaine ou des
centaines d’autres gène qui ont un effet moindre” estime Jari Tiihonen, co-auteur de l'étude
(département de neuroscience au Karolinska Institutet, Stockholm). Pour lui cependant ces
résultats ne doivent pas changer l'appréciation que l’on porte sur la responsabilité pénale. Son
résultat ne sont pas assez précis par manque de sensibilité et de spécificité pour permettre un
dépistage à titre préventif.

Une nouvelle étude publiée en octobre 2014 pointe deux gènes mutés que l'on
retrouverait avec une "fréquence nettement plus élevée" chez des délinquants violents.
Les spécialistes mettent en garde contre une interprétation hâtive selon laquelle il y aurait des
“gènes de la violence” auxquels on ne pourrait échapper.
D'après une l’étude, publiée dans le revue Molecular Psychiatry, sur près de 800 finlandais,
emprisonné pour crime violent et délit sans violence, comparé à la population générale, deux
gènes appelés MAOA et CDH13 serait associée à des comportements extrêmement violents.
C'est-à- dire au moins 10 tentatives d’homicides.
Les chercheurs européen et étasuniens qui signe cette recherche disent avoir pris en compte
des facteurs environnementaux-antécédent d’abus de substance (drogue, alcool…)
personnalité antisociale et maltraitance dans l’enfance, sans que cela ne modifie le résultat.
Parler de gène de la violence serait une énorme exagération la contribution de ces gènes
n’interviendrait que pour 5a 10 pourcent du risque pour un individu d'être très violent commente
de son côté le professeur émérite John Stein ( Université d’Oxford)
Etant donné le caractère extrêmement répandu de ces gènes ( en particulier le gène MAOA
muté), parler de “gène de la violence” serait “une énormes exagération” selon le Pr Jan
Schnupp (Neuroscience, Oxford)
Pour Malcolm von Schantz (maître de conférence en science moléculaire, université du Surrey),
le modèle qui émerge fait apparaître de multiples facteurs génétiques dont chacun a “un petit
effet prédisposant”.

Cependant cette étude a des limites, elle n’a pas été conçue pour expliquer l'impact des
variations génétiques et selon les auteurs, de nombreux autres gènes pourraient jouer un rôle
directement ou indirectement. Et notent, les auteurs, les deux versions des gène mutés sont
“plutot courant” jusqu’a un individu sur cinq en est porteur, et parmis eux la vaste majorité ne
commettra jamais de viole, d’agression ou de meurtre.
De même, des individus non porteurs de ces versions des gènes sont présents dans le groupe
d’ultra-violent de l'étude.
Les résultats doivent être reproduits dans d’autres pays pour confirmer qu'ils ne résultent pas
des spécificités génétique liées à l'homogénéité de la population finlandaise et/ou à des
caracteristique du systeme judiciaire de ce pays, ajoute pour sa part le Dr William Davies MRC
Centre de neuropsychiatrie génétique et génomique, Université de Cardiff)
Il relève en outre qu’environ 20 pour cent des prisonniers ont refusé de participer à l'étude et
que les violeurs en auraient été écartés, ce qui pourrait biaiser les résultats.
Les résultat de l'étude finlandaise pourrait être similaire dans d'autres payes développer mais
“pas dans les payes pauvre, ou les aspect sociaux, comme la pauvreté, pourrait être facteur
plus important” dans l'accomplissement de crime ou de délit ajoute-t-il
Si notre ADN peut constituer un terrain favorable à l’expression de l’agressivité c’est l’interaction
de l’individu avec son environnement (condition de vie, éducation…) qui détermine sa
propension à l'agressivité voir au crime.
Des chercheurs américains ont ainsi montré que les gènes MAO-A et DAT1 étaient
fréquemment présents chez les adolescents “difficiles”. Mais leur étude a aussi révélé que
lorsque les parents s’investissent dans leur éducation, les enfants peuvent porter ce gène sans
développer de problème de comportement.
A l’inverse, les travaux de John Bowlby de son vrai nom Edward John Mostyn Bowlby qui était
un médecin psychiatre et psychanalyste britannique ont mis en évidence le fait que les jeunes
ayant des comportement asociaux, délinquants voire meurtrier, avaient une carence affective
“c’est à dire qu’ils n’ont pas été écoutés, compris et soutenus par leur entourage” commente
Yvane Wiart, chercheuse au laboratoire de psychologie clinique et de psychopathologie de
l’Université Paris-Descartes
En France, selon les spécialistes du profilage criminel Stéphane Bourgoin, un tiers des tueurs
en série viennent de la DDASS qui est la direction départementale des affaires sanitaires et
sociales tels Guy Georges, tueur en série français des années 90 et Emiles Louis, tueur en
série français des années 80 . Mais, de même que les porteurs des gènes MAO-A et DAT1 ne
sont pas prédestinés à devenir violents, tous ceux qui ont eu une enfance très difficile ne
tournent pas forcément mal.

Conclusion :

Pour conclure, la question était de savoir si l’on devient tueur en serie a cause d’un gène ou le
devient on en raison des circonstance de l’enfance. Nous avons vu qu'il y a bien des gène qui
pourrait mener à une modification de comportement, notamment les gène en relation avec la
synthétisation de la dopamine, mais il faudrait mener des études plus larges dans différents
pays avec des développement différents et des classes social différentes aussi pour que les
résultats soit plus fiable. De plus, il faut réellement prendre en compte les circonstances de
l’enfance et de l'affectation et de l'éducation que nous avons reçu par nos proches quand nous
étions jeunes. Au final on pourrait toujours se poser la question, il manque encore plusieurs
études et avec le progrès en recherche génétique d’aujourd’hui on pourrait peut-etre repondre
de maniere sur a la question.
https://www.francetvinfo.fr/existe-t-il-un-gene-du-criminel-une-etude-relance-le-debat_73048
5.html
etude publié le 28/10/2014
Est-on génétiquement prédisposé à devenir un criminel ? Le débat est relancé par une étude,
publiée mardi 28 octobre dans la revue spécialisée Molecular Psychiatry, qui pointe deux gènes
mutés que l'on retrouverait avec une "fréquence nettement plus élevée" chez des délinquants
violents.MAOA et CDH13

pour certain chercheur le gene du tueur en serie existe


mais bcp estime que l’enfance et les condition de developpement a ladolescence a enorment
d’infleuence sur la violence et les envie de meurtre

La génétique moléculaire a fourni de précieux outils à la criminologie : les empreintes


génétiques, procédé d’identification quasiment certain lorsqu’il est correctement employé, ont
fait aboutir nombre d'enquêtes et ont souvent innocenté des personnes accusées ( et parfois
condamnées) à tort. En Revanche, les tentatives d'identification de gène impliquée dans une
éventuelle tendance héréditaire à un comportement criminel ont surtout donné lieu à de
retentissantes annonces médiatiques ne reflétant pas les données obtenues, ou rapidement
infirmées , par des études plus larges. On peut citer à cet égard l’histoire du chromosome du
crime” dans les années 1960 ou, en 1996, la confusion entre syndrome de l’X fragile et “gène
de la criminalité”. Il n'est certes pas absurde d'imaginer que certains allèles du gène impliqués
dans le fonctionnement cérébrale puissent rendre plus ou moins probable tel ou tel
comportement chez leur porteur, mais de nombreux obstacles méthodologiques compliquent les
études génétiques de comportement. Comment quantifier ce dernier de manière objective, quel
échantillon étudié, quelle population; quelle témoin choisir ? Et surtout, comment être certain
que ce que l’on observe est bien dû aux gènes et non à l’environnement ou à l’histoire
personnelle des sujets ? Néanmoins, les techniques d’analyse des déterminants génétiques de
phénotype complexes ont fait d’immense progrès au cours des dernières années, tant du point
de vue expérimental que de celui de l’analyse statistique visant à éliminer les faux positifs.
Appliquées à des maladies très multigéniques comme le diabète type 2 ou la maladie de Crohn,
les approches GWAS ( genome wide association studies) ont donné des résultats faibles,
confirmés pas les études suivantes et scientifiquement intéressantes pour mieux appréhender
l'étiologie de ces affections. Le même schéma peut, donc en principe, etre appliqué pour
rechercher des corrélats génétiques de la criminalité, comme le fait l’article qui est le sujet de
cette chronique. Le titre est prudent
I Contexte
II etude scientifique
III Controverse et autre facteur

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/le-gene-de-la-criminalite-existe-t-il_28023
https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2015/01/medsci20153101p105/
medsci20153101p105.html
https://www.francetvinfo.fr/existe-t-il-un-gene-du-criminel-une-etude-relance-le-debat_73048
5.html
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/le-gene-de-la-criminalite-existe-t-il_28023

https://hello-bebe.fr/limportance-de-lenfance-dans-notre-vie-dadulte/

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