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la sincérité du leader quant aux valeurs précitées et relations avec les parties
prenantes, à cet égard ;
la volonté de prendre des risques, de consacrer du temps et de l’énergie, pour
faire face aux obstacles, relever les défis, la ténacité dans les moments
difficiles ;
le sens du partage et de l’échange, sur les objectifs, les buts et les finalités, la
disponibilité pour donner quelque chose à autrui, de la considération, pour un
jeu gagnant-gagnant, pour récompenser le mérite et le talent, pour motiver
quant à l’atteinte des objectifs de résultats.
Cette confiance, c’est d’abord une confiance en soi, donc un pari sur soi, la confiance
aux autres, une victoire qui consiste aussi à gagner la confiance des autres.
Sur ce chemin, il existe des facteurs qui détruisent la confiance que les autres peuvent
placer en vous :
ne pas tenir les promesses que l’on fait, promettre plus que ce que l’on peut,
promettre en sachant qu’on ne le fera pas ;
perdre son temps à radoter, dénigrer, parler derrière les gens ou dans le dos,
comme on dit communément ;
privilégier, sans équité, ses intérêts personnels, au détriment des autres, de
méritants, constamment se servir, sans penser aux autres.
Pour construire la confiance en soi, aux autres, d’autrui, il faut ainsi de l’intégrité, de
la constance : incarner ce que l’on promeut, des paroles conformes aux actes, au vécu,
aux actions et décisions quotidiennes, la sincérité, faire ce que l’on promet ou dit.