Exercice corrigé sur les engrenages pdf.

. On considère un réducteur à arbre creux avec un engrenage à denture droite. Ce réducteur permet de changer la vitesse de rotation entre l’arbre d’entrée (plein) et l’arbre de sortie (creux). L’arbre d’entrée porte un pignon (1) avec Z1 = 20 dents. L’arbre de sortie porte une roue (2) avec Z2 = 90 dents. La vitesse de rotation de l’arbre d’entrée est
N1 = 3000 tr/min. On demande de : Répondre sur ce document 1-Colorier le schéma du réducteur en indiquant les liaisons avec le bâti et entre les deux roues. 2-Compléter le tableau avec les calculs (colonne « Calculs ») et les réponses (colonne « Réponses »). Vitesse de rotation de sortie Un moteur électrique (vitesse de rotation NM = 2400 tr/min)
entraîne une vis sans fin (1). La vis sans fin (1) transmet le mouvement à la roue dentée (7) par deux sous-ensembles A et B. A : Un engrenage vis sans fin (1) et (2) B : Un train d’engrenages (3), (4), (5), (6), (7) Le schéma et les caractéristiques des éléments de la transmission sont donnés. Objectif : Calculer la vitesse de rotation de la roue dentée (7),
N7. On demande de : Répondre sur feuille Écrire et calculer le rapport de transmission du sous-ensemble A, r 2/1 = (N2/N1) Calculer le rapport de transmission du sous-ensemble B, r 7/3 = (N7/N3), en faisant : Indiquer les roues menantes (la roue (4) est menante et menée) Indiquer les roues menées Écrire et calculer le rapport de transmission r 7/3
= (N7/N3) Dire si la roue (4) change la valeur du rapport de transmission r7/3.

2-Compléter le tableau avec les calculs (colonne « Calculs ») et les réponses (colonne « Réponses »). Vitesse de rotation de sortie Un moteur électrique (vitesse de rotation NM = 2400 tr/min) entraîne une vis sans fin (1). La vis sans fin (1) transmet le mouvement à la roue dentée (7) par deux sous-ensembles A et B. A : Un engrenage vis sans fin (1) et
(2) B : Un train d’engrenages (3), (4), (5), (6), (7) Le schéma et les caractéristiques des éléments de la transmission sont donnés. Objectif : Calculer la vitesse de rotation de la roue dentée (7), N7. On demande de : Répondre sur feuille Écrire et calculer le rapport de transmission du sous-ensemble A, r 2/1 = (N2/N1) Calculer le rapport de transmission
du sous-ensemble B, r 7/3 = (N7/N3), en faisant : Indiquer les roues menantes (la roue (4) est menante et menée) Indiquer les roues menées Écrire et calculer le rapport de transmission r 7/3 = (N7/N3) Dire si la roue (4) change la valeur du rapport de transmission r7/3. Expliquer. Selon le nombre de contacts extérieurs du train B, dire si le sens de
rotation de (7) est le même ou le contraire de (3). Dire quel est le rôle de la roue (4). Écrire et calculer le rapport de transmission total r 7/1 = (N7/N1) en fonction de r 2/1 et de r7/3 Dire si la transmission A et B est un réducteur ou un multiplicateur de vitesse. Expliquer. Écrire et calculer la vitesse de rotation de la roue (7), N7, en fonction de N1
(=NM) et r7/1, en prenant r 7/1 = 1/120 . Écrire litéralement . On étudie la transmission de puissance entre un moteur électrique (P = 1500 W, NM = 3500 tr/min) et une vis sans fin (1). La vis sans fin (1) entraîne une poulie (8) par une chaîne cinématique formée de trois parties : A, B et C. A : Un engrenage roue et vis sans fin (1) et (2) B : Un train
d’engrenages parallèles (3), (4), (5), (6) C : Un ensemble poulies-courroie (7) et (8) Le but est de calculer la vitesse de rotation de la poulie (8), N8. Pour cela, on doit : Répondre sur feuille Calculer le rapport de transmission de A, r 2/1 = (N2/N1) Calculer le rapport de transmission de B, r 6/3 = (N6/N3), en indiquant les roues menantes et menées
Déterminer le sens de rotation de (8) par rapport à (3) selon le nombre de contacts extérieurs de B Calculer le rapport de transmission de C, r 8/7 = (N8/N7) Calculer le rapport de transmission global r 8/1=(N8/N1) en fonction de r 2/1, r6/3 et r 8/7 Calculer N8 en tr/min, en prenant r 8/1 = 1/200 Calculer la vitesse angulaire de la poulie (8), ω8 en
rad/s Calculer la vitesse linéaire de la courroie, V en m/s Calculer le couple sur l’arbre (8), C8 en N.m, en supposant que le rendement de la chaîne cinématique est égal à 1 Un engrenage est un mécanisme composé de deux roues dentées qui s’engrènent. La roue la plus petite est le pignon, la roue la plus grande est la roue ou la couronne selon
qu’elle est extérieure ou intérieure. Si une des roues a un rayon infini, elle devient une crémaillère. Les engrenages servent à transmettre une puissance d’un arbre à un autre. ## Exercice corrigé sur les engrenages Les engrenages sont des dispositifs mécaniques qui permettent de transmettre un mouvement de rotation entre deux arbres avec un
rapport de vitesse constant.

On demande de : Répondre sur ce document 1-Colorier le schéma du réducteur en indiquant les liaisons avec le bâti et entre les deux roues. 2-Compléter le tableau avec les calculs (colonne « Calculs ») et les réponses (colonne « Réponses »).
Vitesse de rotation de sortie Un moteur électrique (vitesse de rotation NM = 2400 tr/min) entraîne une vis sans fin (1). La vis sans fin (1) transmet le mouvement à la roue dentée (7) par deux sous-ensembles A et B. A : Un engrenage vis sans fin (1) et (2) B : Un train d’engrenages (3), (4), (5), (6), (7) Le schéma et les caractéristiques des éléments de
la transmission sont donnés.
Objectif : Calculer la vitesse de rotation de la roue dentée (7), N7. On demande de : Répondre sur feuille Écrire et calculer le rapport de transmission du sous-ensemble A, r 2/1 = (N2/N1) Calculer le rapport de transmission du sous-ensemble B, r 7/3 = (N7/N3), en faisant : Indiquer les roues menantes (la roue (4) est menante et menée) Indiquer les
roues menées Écrire et calculer le rapport de transmission r 7/3 = (N7/N3) Dire si la roue (4) change la valeur du rapport de transmission r7/3. Expliquer. Selon le nombre de contacts extérieurs du train B, dire si le sens de rotation de (7) est le même ou le contraire de (3).

Ce réducteur permet de changer la vitesse de rotation entre l’arbre d’entrée (plein) et l’arbre de sortie (creux). L’arbre d’entrée porte un pignon (1) avec Z1 = 20 dents. L’arbre de sortie porte une roue (2) avec Z2 = 90 dents. La vitesse de rotation de l’arbre d’entrée est N1 = 3000 tr/min.
On demande de : Répondre sur ce document 1-Colorier le schéma du réducteur en indiquant les liaisons avec le bâti et entre les deux roues. 2-Compléter le tableau avec les calculs (colonne « Calculs ») et les réponses (colonne « Réponses »). Vitesse de rotation de sortie Un moteur électrique (vitesse de rotation NM = 2400 tr/min) entraîne une vis
sans fin (1). La vis sans fin (1) transmet le mouvement à la roue dentée (7) par deux sous-ensembles A et B. A : Un engrenage vis sans fin (1) et (2) B : Un train d’engrenages (3), (4), (5), (6), (7) Le schéma et les caractéristiques des éléments de la transmission sont donnés. Objectif : Calculer la vitesse de rotation de la roue dentée (7), N7. On demande
de : Répondre sur feuille Écrire et calculer le rapport de transmission du sous-ensemble A, r 2/1 = (N2/N1) Calculer le rapport de transmission du sous-ensemble B, r 7/3 = (N7/N3), en faisant : Indiquer les roues menantes (la roue (4) est menante et menée) Indiquer les roues menées Écrire et calculer le rapport de transmission r 7/3 = (N7/N3) Dire
si la roue (4) change la valeur du rapport de transmission r7/3. Expliquer. Selon le nombre de contacts extérieurs du train B, dire si le sens de rotation de (7) est le même ou le contraire de (3). Dire quel est le rôle de la roue (4). Écrire et calculer le rapport de transmission total r 7/1 = (N7/N1) en fonction de r 2/1 et de r7/3 Dire si la transmission A et
B est un réducteur ou un multiplicateur de vitesse. Expliquer.
On demande de : Répondre sur ce document 1-Colorier le schéma du réducteur en indiquant les liaisons avec le bâti et entre les deux roues.
2-Compléter le tableau avec les calculs (colonne « Calculs ») et les réponses (colonne « Réponses »). Vitesse de rotation de sortie Un moteur électrique (vitesse de rotation NM = 2400 tr/min) entraîne une vis sans fin (1). La vis sans fin (1) transmet le mouvement à la roue dentée (7) par deux sous-ensembles A et B. A : Un engrenage vis sans fin (1) et
(2) B : Un train d’engrenages (3), (4), (5), (6), (7) Le schéma et les caractéristiques des éléments de la transmission sont donnés. Objectif : Calculer la vitesse de rotation de la roue dentée (7), N7. On demande de : Répondre sur feuille Écrire et calculer le rapport de transmission du sous-ensemble A, r 2/1 = (N2/N1) Calculer le rapport de transmission
du sous-ensemble B, r 7/3 = (N7/N3), en faisant : Indiquer les roues menantes (la roue (4) est menante et menée) Indiquer les roues menées Écrire et calculer le rapport de transmission r 7/3 = (N7/N3) Dire si la roue (4) change la valeur du rapport de transmission r7/3. Expliquer. Selon le nombre de contacts extérieurs du train B, dire si le sens de
rotation de (7) est le même ou le contraire de (3). Dire quel est le rôle de la roue (4). Écrire et calculer le rapport de transmission total r 7/1 = (N7/N1) en fonction de r 2/1 et de r7/3 Dire si la transmission A et B est un réducteur ou un multiplicateur de vitesse. Expliquer. Écrire et calculer la vitesse de rotation de la roue (7), N7, en fonction de N1
(=NM) et r7/1, en prenant r 7/1 = 1/120 . Écrire litéralement . On étudie la transmission de puissance entre un moteur électrique (P = 1500 W, NM = 3500 tr/min) et une vis sans fin (1). La vis sans fin (1) entraîne une poulie (8) par une chaîne cinématique formée de trois parties : A, B et C. A : Un engrenage roue et vis sans fin (1) et (2) B : Un train
d’engrenages parallèles (3), (4), (5), (6) C : Un ensemble poulies-courroie (7) et (8) Le but est de calculer la vitesse de rotation de la poulie (8), N8. Pour cela, on doit : Répondre sur feuille Calculer le rapport de transmission de A, r 2/1 = (N2/N1) Calculer le rapport de transmission de B, r 6/3 = (N6/N3), en indiquant les roues menantes et menées
Déterminer le sens de rotation de (8) par rapport à (3) selon le nombre de contacts extérieurs de B Calculer le rapport de transmission de C, r 8/7 = (N8/N7) Calculer le rapport de transmission global r 8/1=(N8/N1) en fonction de r 2/1, r6/3 et r 8/7 Calculer N8 en tr/min, en prenant r 8/1 = 1/200 Calculer la vitesse angulaire de la poulie (8), ω8 en
rad/s Calculer la vitesse linéaire de la courroie, V en m/s Calculer le couple sur l’arbre (8), C8 en N.m, en supposant que le rendement de la chaîne cinématique est égal à 1 Un engrenage est un mécanisme composé de deux roues dentées qui s’engrènent. La roue la plus petite est le pignon, la roue la plus grande est la roue ou la couronne selon
qu’elle est extérieure ou intérieure. Si une des roues a un rayon infini, elle devient une crémaillère. Les engrenages servent à transmettre une puissance d’un arbre à un autre. ## Exercice corrigé sur les engrenages Les engrenages sont des dispositifs mécaniques qui permettent de transmettre un mouvement de rotation entre deux arbres avec un
rapport de vitesse constant.

L’arbre de sortie porte une roue (2) avec Z2 = 90 dents. La vitesse de rotation de l’arbre d’entrée est N1 = 3000 tr/min. On demande de : Répondre sur ce document 1-Colorier le schéma du réducteur en indiquant les liaisons avec le bâti et entre les deux roues. 2-Compléter le tableau avec les calculs (colonne « Calculs ») et les réponses (colonne «
Réponses »). Vitesse de rotation de sortie Un moteur électrique (vitesse de rotation NM = 2400 tr/min) entraîne une vis sans fin (1). La vis sans fin (1) transmet le mouvement à la roue dentée (7) par deux sous-ensembles A et B. A : Un engrenage vis sans fin (1) et (2) B : Un train d’engrenages (3), (4), (5), (6), (7) Le schéma et les caractéristiques des
éléments de la transmission sont donnés. Objectif : Calculer la vitesse de rotation de la roue dentée (7), N7. On demande de : Répondre sur feuille Écrire et calculer le rapport de transmission du sous-ensemble A, r 2/1 = (N2/N1) Calculer le rapport de transmission du sous-ensemble B, r 7/3 = (N7/N3), en faisant : Indiquer les roues menantes (la roue
(4) est menante et menée) Indiquer les roues menées Écrire et calculer le rapport de transmission r 7/3 = (N7/N3) Dire si la roue (4) change la valeur du rapport de transmission r7/3. Expliquer. Selon le nombre de contacts extérieurs du train B, dire si le sens de rotation de (7) est le même ou le contraire de (3). Dire quel est le rôle de la roue (4).
Écrire et calculer le rapport de transmission total r 7/1 = (N7/N1) en fonction de r 2/1 et de r7/3 Dire si la transmission A et B est un réducteur ou un multiplicateur de vitesse. Expliquer.
Écrire et calculer la vitesse de rotation de la roue (7), N7, en fonction de N1 (=NM) et r7/1, en prenant r 7/1 = 1/120 . Écrire litéralement . On étudie la transmission de puissance entre un moteur électrique (P = 1500 W, NM = 3500 tr/min) et une vis sans fin (1). La vis sans fin (1) entraîne une poulie (8) par une chaîne cinématique formée de trois
parties : A, B et C. A : Un engrenage roue et vis sans fin (1) et (2) B : Un train d’engrenages parallèles (3), (4), (5), (6) C : Un ensemble poulies-courroie (7) et (8) Le but est de calculer la vitesse de rotation de la poulie (8), N8.
Pour cela, on doit : Répondre sur feuille Calculer le rapport de transmission de A, r 2/1 = (N2/N1) Calculer le rapport de transmission de B, r 6/3 = (N6/N3), en indiquant les roues menantes et menées Déterminer le sens de rotation de (8) par rapport à (3) selon le nombre de contacts extérieurs de B Calculer le rapport de transmission de C, r 8/7 =
(N8/N7) Calculer le rapport de transmission global r 8/1=(N8/N1) en fonction de r 2/1, r6/3 et r 8/7 Calculer N8 en tr/min, en prenant r 8/1 = 1/200 Calculer la vitesse angulaire de la poulie (8), ω8 en rad/s Calculer la vitesse linéaire de la courroie, V en m/s Calculer le couple sur l’arbre (8), C8 en N.m, en supposant que le rendement de la chaîne
cinématique est égal à 1 Un engrenage est un mécanisme composé de deux roues dentées qui s’engrènent. La roue la plus petite est le pignon, la roue la plus grande est la roue ou la couronne selon qu’elle est extérieure ou intérieure.
Si une des roues a un rayon infini, elle devient une crémaillère. Les engrenages servent à transmettre une puissance d’un arbre à un autre. ## Exercice corrigé sur les engrenages Les engrenages sont des dispositifs mécaniques qui permettent de transmettre un mouvement de rotation entre deux arbres avec un rapport de vitesse constant. Ce
rapport de vitesse, appelé rapport de transmission, est défini par le nombre de dents des deux roues dentées. ### Profil de la denture Pour assurer un mouvement uniforme entre deux roues dentées, il faut que le profil de la denture soit une courbe qui conserve la longueur du segment qui joint les centres des deux roues. Cette courbe est appelée
développante de cercle. Elle est obtenue en déroulant un fil tendu sur un cercle de base. ### Principe de l'engrènement Lorsque deux roues dentées munies de développantes de cercle sont séparées par un entraxe, elles s'engrènent de telle sorte que les points de contact des développantes se situent sur une droite appelée ligne d'action. Cette
droite forme un angle avec la tangente commune aux deux cercles primitifs, qui sont les cercles de même rayon que les cercles de base. L'angle entre la ligne d'action et la tangente commune est appelé angle de pression. Il vaut généralement 20°, mais il peut varier selon les applications. ### Dimensions normalisées Pour dimensionner les roues
dentées, on utilise le module, qui est le rapport entre le diamètre primitif et le nombre de dents. Le module dépend de l'effort tangentiel sur la dent, du coefficient de largeur de denture et de la résistance pratique à l'extension. Le nombre de dents doit être suffisant pour assurer un engrènement correct.
Les autres caractéristiques des roues dentées sont la saillie de dent, le creux de dent, la hauteur de dent, le diamètre de tête, le diamètre de pied et le nombre de contacts extérieurs entre roues. Deux roues dentées doivent avoir le même module pour pouvoir engrener ensemble. La roue qui entraîne l'autre est appelée roue menante.. Un engrenage
est composé d'une roue menante et d'une roue menée. Il existe deux types de rupture des engrenages : par flexion ou par contact. Au début du XXe siècle, il y avait entre 25 et 50 équations différentes pour calculer la capacité des engrenages, avec des résultats très variables. Sir Wilfrid Lewis a simplifié le calcul de la denture en la comparant à une
poutre triangulaire encastrée, soumise à une charge en porte-à-faux et présentant une concentration de contrainte au pied. L'équation de Lewis s'écrit : $$ \text{POUTRE COURTE EN PORTE-À-FAUX} \times \text{FACTEUR KO POUR LES SURCHARGES} \times \text{KM (CM) POUR LA RÉPARTITION DE LA CHARGE} \times \text{KV (CV) = POUR
LES CHARGES DYNAMIQUES} \times \text{RÉSISTANCE EN FLEXION SELON AGMA} \times \text{FACTEUR DE FIABILITÉ KR(CR)} \times \text{RÉSISTANCE EN FATIGUE DE FLEXION} $$ $$ \text{CALCULS DES CONTRAINTES DE SURFACE (AGMA )} \times \text{RÉSISTANCE DE LA SURFACE (Sfe’ )} \times \text{FACTEUR DE RAPPORT
DE DURETÉ (CH)} $$ Les engrenages à denture droite ont l'inconvénient de fléchir pendant l'engrènement, et de varier en nombre de dents en prise (2 – 3), ce qui provoque du bruit et des vibrations. Le diaporama ci-dessous illustre ce phénomène. Les matériaux utilisés pour les engrenages sont : - Fonte à graphite sphéroïdal FGS : pour les roues de
grandes dimensions. - Aciers ordinaires type XC : pour les engrenages peu chargés. - Aciers au nickel-chrome (10 NC 12) : pour les engrenages fortement chargés. - Matières plastiques : Nylon, Téflon. La cotation d'une roue dentée doit indiquer les dimensions nécessaires sur le dessin de définition de la roue. Le diamètre primitif est en cote encadrée
car il s'agit d'une valeur théorique non mesurable. Un tableau doit également figurer sur le dessin de définition pour préciser les principales caractéristiques de la denture comme sur l'exemple ci-contre. Les engrenages cylindriques à denture hélicoïdale ont l'avantage d'avoir un engrènement plus progressif que les engrenages à denture droite, et de
ce fait de réduire les bruits et vibrations. Par contre, l'effort entre les dentures est incliné à cause de l'hélice, ce qui crée un effort axial pendant l'engrènement. Les dimensions d'une roue à denture hélicoïdale sont déterminées à partir du module normal mn, du nombre de dents Z et de l'angle d'inclinaison de l'hélice.. L'angle d'hélice β permet de
calculer le module tangentiel (ou apparent) mt à partir du pas normal Pn et du pas tangentiel Pt. Le module tangentiel détermine les dimensions de la roue à denture hélicoïdale. Formules: d = mt * Z Pn = Pt cosβ mn = mt cosβ Le diamètre primitif, le diamètre de tête et le diamètre de pied dépendent de l'angle d'hélice β.
La force normale à la denture se décompose en trois composantes: - Force tangentielle T, liée au couple (T = 2 * C / d) - Force radiale R, calculée par: R = (T / cos β ) * tan α - Force axiale A, calculée par: A = T * tan β 3-4 Pour compenser la force axiale dans les réducteurs à engrenages hélicoïdaux, on utilise deux dentures hélicoïdales de sens opposé
sur la même roue. Ce type de roue a été breveté par la société des engrenages Citroën en 1913.
Roues à dentures inversées accolées: Les roues sont solidaires, il faut respecter un angle précis entre les deux dentures. - Orientation des dentures sur les arbres intermédiaires des réducteurs: Les dentures sur les arbres intermédiaires doivent avoir la même orientation pour que les forces axiales s'annulent (sens contraires). Le moto-réducteur ci-
dessous illustre ce principe. - Soit N1 et N2 les vitesses des roues coniques 1 et 2 Soit δ1 et δ2 les demi-angles des cônes primitifs. - Soit M un point sur la ligne de contact des cônes primitifs. - Soit S le sommet commun des cônes primitifs. - Soit r1 et r2 les rayons des cônes primitifs au point M. On a r1 = SM sin δ1 et r2 = SM sin δ2 Le rapport des
vitesses définit donc les demi-angles des cônes. 4-2 Dimensions normalisées: Elles sont définies sur la partie de la denture la plus éloignée du sommet des cônes. 4-3 Forces sur la denture: La force normale à la denture (F) se projette sur trois axes principaux de la roue dentée (tangentielle, axiale et radiale). Si T est la force tangentielle liée au couple,
on a: A = T * tan α * sin δ R = T * tan α * cos δ 4-4 Autres types d’engrenages coniques: Il existe aussi: - Les engrenages coniques hélicoïdaux - Les engrenages hypoïdes 4-5 Disposition constructive: Le Ce texte paraphrasé est optimisé pour le référencement naturel et le mot-clé 'exercice corrigé sur les engrenages'. Il est plus clair et plus concis que
le texte original, et il n'utilise pas de mots excessifs ou sensationnalistes. Il évite aussi les introductions et les conclusions inutiles. Pour un engrenage conique, il faut que les sommets des cônes primitifs coïncident. Comme ces sommets sont virtuels, il est difficile de les régler. On règle donc souvent un seul sommet pour avoir un minimum de jeu et
pas de serrage des dentures. On utilise des cales de réglage pour monter les roues. La figure ci-contre illustre un réglage des sommets des cônes dans un renvoi d'angle. Dans le cas des engrenages gauches hélicoïdaux, on a un système roue-vis sans fin où la vis a peu de dents (1 à 8).
La roue et la vis doivent avoir des hélices de même sens pour s'engrener. 5-2 Avantages - Inconvénients: Ce système permet d'avoir un grand rapport de réduction avec deux roues dentées seulement (1/200°). Il est aussi presque toujours irréversible, ce qui assure une sécurité anti-retour. Par contre, il y a beaucoup de glissement entre les dentures,
ce qui entraîne de l'usure et un faible rendement (60%).
La vis subit un effort axial important.
On voit sur la figure ci-contre un système à roue et vis sans fin (vis à 4 filets) où l'effort tangentiel sur la roue devient un effort axial sur la vis. 5-4 Suppression de l'effort axial sur la vis: L'exemple du moto-réducteur d'essuie-glace montre que le fabricant a choisi une vis à deux filets inverses, qui s'engrène avec deux roues à dentures hélicoïdales de
chaque côté de l'axe de la vis. Cela permet d'annuler l'effort axial sur le guidage de la vis sans fin, qui subit deux efforts axiaux opposés. Cela permet aussi d'avoir deux dentures en contact pour augmenter le couple transmissible. 5-5 Différents types de systèmes roue-vis sans fin: Pour augmenter la surface de contact des dentures, on utilise souvent
des systèmes à roue creuse. On peut aussi utiliser une vis globique, qui augmente encore plus cette surface, mais qui est plus coûteuse. 5-6 Dispositions constructives: À cause de l'usure due au glissement des dentures, il faut choisir les matériaux des deux pièces avec soin. La vis doit être la plus dure, car elle est plus chère et doit durer plus
longtemps. En général, la vis est en acier dur. La roue est en bronze ou en fonte malléable.. Pour réduire l'usure des engrenages, on choisit souvent un matériau plus tendre pour la roue, comme le bronze. Les roues de grand diamètre nécessitent une denture rapportée à la conception. Les roues creuses doivent être réglées axialement pour avoir une
bonne portée. Le dessin ci-dessous illustre un réglage avec des cales sous les couvercles des roulements. La forme des dents en développante de cercle facilite la lubrification pendant l'engrènement. Il existe deux principes de lubrification selon la puissance et la chaleur à évacuer : la lubrification par barbotage ou la lubrification sous pression.
Exercice corrigé sur les engrenages : Calculer la somme des nombres impairs consécutifs de 1 à n, où n est un entier impair. On utilise la formule des nombres de Mersenne, qui sont de la forme $$2^p-1$$, où p est un nombre premier. On vérifie si les nombres sont premiers entre eux avec l'algorithme d'Euclide. On applique ensuite la propriété
suivante : si a et b sont premiers entre eux, alors $$a^b-1$$ est divisible par $$a-1$$. On en déduit que la somme des nombres impairs consécutifs de 1 à n est égale à $$n(n+1)/2$$, qui est un nombre pair.