CDI n° 1

CONTRAT A DUREE INDETERMINEE

Ouvrier(ère)
Septembre 2022

Entre les soussigné(e)s :

La Société ……………………… , n° URSSAF ………………….. , code APE ………. , dont le

siège social est situé à …………………………………………………………..... , représentée
par M./Mme …………………………… , agissant en qualité de ………………….

D’une part,

et M./Mme ………………………………………, né(e) le ……………….. à

……………………….., immatriculé(e) à la Sécurité Sociale sous le n°
……………………………1 et demeurant à ………………………………………………………
……...

D’autre part,

Il a été convenu et arrêté ce qui suit :

M./Mme ……………… est engagé(e) par la Société ……………… à compter du

……………… à ………….. heures, et pour une durée indéterminée.

Le présent contrat est fait aux conditions générales de la Convention Collective Nationale
des Ouvriers du Bâtiment -IDCC 1596 / IDCC 15972- (notamment en matière de congés
payés et de préavis), ses annexes et avenants, et du règlement intérieur de l’entreprise. 3

Emploi et qualification

M./Mme ……………….. occupera un emploi de ………………… avec la qualification de

…………………., niveau ……………., position ………………, au coefficient ………….

Dans ce cadre, M./Mme …………….. pourra être amené(e) à effectuer des tâches
accessoires ou connexes.

Insérer la clause relative à la carte d’identification professionnelle lorsque la détention de

celle-ci est obligatoire, voir Clauses ou contrats particuliers.

Si la détention du permis de conduire est nécessaire, voir Clauses ou contrats particuliers.

Durée du travail

La durée du travail de M./Mme ………… correspond à l’horaire collectif fixé par l’entreprise.
A titre d’information, cette durée est actuellement de …… heures par semaine. 4

Il pourra en outre être demandé à M./Mme ……….. d’effectuer des heures supplémentaires.

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Rémunération 5

Variante 1 : Horaire hebdomadaire supérieur à 35 heures

En rémunération de ses fonctions, M./Mme ………………… percevra un salaire brut
horaire de ………. €, soit un salaire mensuel brut total de ……………. €, pour une durée
hebdomadaire de travail de …… heures (soit …… heures par mois) incluant les
majorations pour heures supplémentaires.6

Variante 2 : Horaire hebdomadaire de 35 heures

En rémunération de ses fonctions, M./Mme ………….. percevra un salaire brut horaire de
………. €, soit un salaire mensuel brut de ………………… €, pour une durée
hebdomadaire de travail de 35 heures (soit 151,67 heures par mois).

A ce salaire mensuel, s’ajouteront, le cas échéant, les primes et indemnités prévues par la
convention collective.

Pour chaque heure de travail non effectuée, le montant de la déduction sera déterminé
conformément à l’article IV–2 de la Convention Collective Nationale des Ouvriers du
Bâtiment. 7

Lieu de travail

M./Mme ………………. pourra être affecté(e) sur les différents chantiers exploités par la
Société ……………….. sur l’ensemble du territoire métropolitain, en fonction des besoins de
l’entreprise.

Période d’essai 8

L’engagement de M./Mme …………….. ne deviendra définitif qu’à l’expiration d’une période

d’essai de 2 mois 9.

Au cours de cette période, chaque partie pourra mettre fin au contrat, sans indemnité, sous
réserve du respect des délais de prévenance légaux applicables selon le temps de présence
de M./Mme ……………. .

La période d’essai doit correspondre à du travail effectif : toute suspension du contrat

pendant cette période, quel qu’en soit le motif, en prolongera la durée d’une durée
équivalente à celle de la suspension.

Caisse de retraite et de prévoyance

M./Mme …………….. sera affilié(e) aux caisses de Retraite complémentaire du groupe PRO
BTP, 7 rue du Regard, Paris 6ème.

A titre d’information, M./Mme …………….. sera également affilié(e) au régime de

prévoyance applicable dans l’entreprise, actuellement géré par ……………..10

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Conditions particulières

M./Mme ……………... déclare formellement n’être lié(e) à aucune entreprise et avoir quitté
son précédent emploi libre de tout engagement et en conformité avec la législation du travail.

Afin d’éviter un état de fatigue préjudiciable à sa santé et de prévenir les risques d’accident
du travail et de trajet, M./Mme ……………... s’engage à consacrer toute son activité
professionnelle à l’exécution des travaux qui lui sont confiés. Il/elle s’interdit formellement
tout travail exécuté pour le compte d’un particulier ou d’une autre entreprise.

M./Mme ……………… s’engage pendant la durée de son contrat à respecter les instructions
qui pourront lui être données par l’entreprise et à se conformer aux règles régissant le
fonctionnement interne de celle-ci.

M./Mme ……………… s’oblige également à informer l’entreprise sans délai, de tous

changements qui interviendraient dans les situations qu’il/elle a signalées lors de son
engagement.

Pour les salariés dont les fonctions impliquent un accès aux données personnelles d’autres
salariés, de clients ou de fournisseurs, une clause de confidentialité doit être annexée au
présent contrat, voir Modèle CNIL (IR 2018-057 du 09 avril 2018)

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Dans le cadre de l’embauche et de l’exécution du présent contrat de travail, la Société est

amenée à collecter, utiliser et traiter des données personnelles concernant M./Mme
……………….. Les modalités et les finalités du traitement de ces données par la Société
sont précisées dans une note interne du …….. dont M./Mme ………………. reconnaît avoir
pris connaissance 11.
M./Mme …………….. bénéficie d’un droit d’accès et de rectification concernant ses données
personnelles ainsi qu’un droit à limitation du traitement de celles-ci, conformément à la loi
n°78-17 du 6 janvier 1978. 12

L’embauche de M./Mme ……………… a été déclarée à l’URSSAF de ……………………….

A …………………………, le ……………………..

Fait en deux exemplaires originaux, dont un pour chacune des parties.

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L’employeur, M./Mme ………….. Le/la salarié(e), M./Mme …………..

Lu et approuvé Lu et approuvé

Signature Signature

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NOTES

Attention : en cas d'embauche pour un ou des chantier(s) déterminé(s), voir modèle de CDI de
chantier (compte tenu de l’évolution de la jurisprudence, le licenciement pour fin de chantier ne doit
plus être préconisé que dans le cas d’embauche pour un ou plusieurs chantiers nommément
désignés par le contrat de travail).

1
S’il s’agit d’un(e) salarié(e) étranger(ère), préciser également sa nationalité ainsi que la nature et le
n° de son titre de travail (par exemple : « de nationalité ………………….., autorisation de travail (ou
titre de séjour valant autorisation de travail) n° ……………… »).
Attention : Les titres doivent faire l’objet d’une vérification auprès de la préfecture, au moins 2 jours
ouvrables avant le début du contrat.
Rappel : Les ressortissant(e)s de l’Union Européenne, de l’Espace Economique Européen
(Islande, Norvège et Liechtenstein) et de la Suisse ne sont pas tenu(e)s de détenir un titre de
séjour ou une autorisation de travail.

2
Choisir l’alternative correspondant à la situation de l’entreprise : IDCC 1596 pour les entreprises
employant jusqu'à 10 salariés et IDCC 1597 pour les entreprises employant plus de 10
salariés.
3
Cette mention ne doit figurer que dans les entreprises dotées d’un règlement intérieur.
Rappel : le règlement intérieur est obligatoire dans les entreprises de 50 salariés et plus à partir du
1er janvier 2020, ce seuil devant alors être franchi pendant 12 mois consécutifs. Indépendamment
du seuil de cette obligation, les entreprises ont tout intérêt à mettre en place un règlement intérieur.
4
Variante en cas de décompte de la durée du travail sur une période supérieure à la semaine (et, au
plus, égale à l’année):
« A titre d’information, la durée de travail de M./Mme …….. ainsi que ses modalités
d’aménagement sont celles mises en place dans l’entreprise en application de … [l’accord de
branche du 6 novembre 1998, l’accord d’entreprise du …, ou la décision du …], dont M./Mme
………….. reconnait avoir pris connaissance.
Cette durée de travail est actuellement de …… heures en moyenne par semaine, réparties
dans les conditions fixées par l’accord (ou la décision) précité(e). »
En cas d’application d’un tel dispositif, le/la salarié(e) doit en être informé(e) lors de l’embauche. Il
est en outre nécessaire de lui communiquer le texte de l’accord applicable (accord de branche ou
d’entreprise) et/ou, le cas échéant, la note explicative interne relative à l’organisation du temps de
travail dans l’entreprise.
5
Variante en cas de décompte de la durée du travail sur une période supérieure à la semaine (et, au
plus, égale à l’année):
« En rémunération de ses fonctions, et compte tenu de l’organisation de la durée du travail
dans l’entreprise, M./Mme …………… percevra un salaire mensuel brut lissé de …………… €
(soit un salaire horaire de …….. €) pour une durée moyenne de travail de …… heures par
semaine.
[Ajouter, si la durée moyenne de travail est supérieure à 35h/semaine: Ce salaire inclut les
majorations pour les heures supplémentaires prévues par le présent contrat. ou Ce salaire est
indiqué hors majorations pour heures supplémentaires.] »

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Le salaire brut horaire est indiqué sans majoration.

En cas de versement de primes inhérentes à la nature du travail ou allouées en contrepartie directe

du travail fourni (exemple : prime de rendement individuel, prime d’objectif individuel, prime pour
travaux particuliers…), d’application de majoration au titre du travail un jour férié, un dimanche ou
de nuit ou d’attribution d’un avantage en nature, l’assiette de calcul des majorations pour
heures supplémentaires doit être modifiée afin d’inclure ces éléments de rémunération.
Exemple de calcul du taux horaire sur la base duquel la majoration pour heures
supplémentaires doit être pratiquée = (salaire de base pour 151,67 heures + prime) / 151,67
Il est également possible d’indiquer le salaire mensuel brut total hors majoration pour
heures supplémentaires.
7
Cette mention est prévue par la Convention collective nationale des Ouvriers (art. II-3). Un autre
mode de déduction peut être adopté, notamment en cas d’annualisation.
8
Clause à adapter ou supprimer si l’embauche fait suite à un CDD, une mission d’intérim, ou un
contrat d’apprentissage.
Rappel : En cas d’embauche en CDI au terme d’un CDD accompli dans l’entreprise, la durée du
CDD est déduite de celle de la période d’essai (art. L 1243-11 CT).
En cas d’embauche en CDI d’un(e) intérimaire, les missions accomplies par celui/celle-ci au sein
de l’entreprise au cours des 3 mois précédant l’embauche en CDI sont déduites de la durée de la
période d’essai (art. L 1251-38 du CT).
Exemple : « Compte tenu du contrat à durée déterminée / de la mission d’intérim accompli(e)
du … au … dans l’entreprise, l’engagement de M./Mme …. ne deviendra définitif qu’à l’issue
d’une période d’essai de ….. mois/ semaines ».
En cas de conclusion d’un CDI à l’issue d’un contrat d’apprentissage, aucune période d’essai ne
peut être prévue, sauf dispositions conventionnelles contraires (art. L 6222-16 CT).
9
La durée normale de la période d’essai des ouvriers est de 2 mois depuis le 1er juillet 2009 (sauf
accord des parties pour une durée inférieure).
La période d’essai des ouvriers ne peut pas être renouvelée.
Sur les délais de prévenance à respecter en cas de rupture de la période d’essai, Voir IR 2019-118
du 12 juillet 2019 et le tableau relatif aux périodes d’essai disponible sur l’intranet.
10
Indiquer le nom de l’organisme gérant le régime de prévoyance applicable dans l’entreprise
(exemple : PRO-BTP) et son adresse postale.
11
Un modèle de note d’information des salariés sur le traitement de leurs données personnelles,
notamment en matière de gestion du personnel et de paie, est disponible sur l’intranet : voir IR
2018-057du 09 avril 2018. Il est conseillé d’annexer cette note au présent contrat.
12
L’établissement dès l’embauche d’un contrat de travail qui contient cette disposition exonère
l’employeur de l’obligation de remettre au/à la salarié(e) une copie de la DPAE ou de l’accusé de
réception délivré par l’URSSAF (Art. R 1221-9 CT).

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