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Cette section se veut un outil pour aider les athlètes au passage de leur ceinture noire (Shodan). Seulement
les éléments à présenter pour l’obtention de cette promotion sont démontrés dans cette section. Pour obtenir
davantage d’informations, vous pouvez vous procurer le Guide national de gradation de Judo Canada (ce
document est disponible sur le site web de Judo Québec) et un merveilleux volume qui présente les huit
formes de kata à la manière du Kodokan : T. Inogai & R.Habersetzer. Le judo Kata, Les formes classiques du
Kodokan. Édition Amphora. 2007. pages : 351. Ce volume présente des illustrations complètes et une
description technique de toutes les exécutions. À consulter!
1. LES ÉLÉMENTS DEMANDÉS LORS DU PASSAGE
DE LA CEINTURE NOIRE (SHODAN)
3- L’ÉVALUATION KATA
Effectuer d’abord les trois premières séries du Nage-no-kata comme Tori
4- L’ÉVALUATION RANDORIS
Le partenaire peut être choisi au hasard par le jury
Lorsque Kano Jigoro a élaboré la progression du judo dans l’étude des mouvements en se basant sur la classification
des techniques de l’ancien Ju-jutsu, il a terminé son travail de sélection, de codification et d’élimination avec un
document s’appelant le Gokyo du Kodokan (Kyo : principe et Go : cinq). Donc, le Gokyo comprend 5 séries et il reste
encore aujourd’hui la base de l’enseignement japonais, malgré le fait qu’à travers le temps, certains grands champions
ont pris la liberté d’élaborer leur propre méthode d’enseignement des mouvements dans leur dojo. Alors voici, les
mouvements s’apparentant aux cinq séries du Gokyo du Kodokan.
KANSETSU-WAZA LUXATIONS
Ude-garami Luxation sur bras fléchi
Ude-hishigi-juji-gatame Contrôle en croix
Ude-gatame Contrôle avec les bras
Hiza-gatame Contrôle par le genou
Waki-gatame Contrôle par l’aisselle
Hara-gatame Luxation contre le ventre
Lors de la démonstration de ses capacités aux évaluateurs concernant le travail au sol, il est primordial pour l’athlète
d’avoir la bonne position de maintien pour le commencement et la finition de la technique. Chaque partenaire a son rôle
au niveau des déplacements que cela soit dans la démonstration du travail au sol ou dans les déplacements relatifs au
kata.
Parmi les huit formes de Kata, le Nage-no-kata est le seul où les mouvements sont démontrés des deux côtés, en
symétrie et en alternance. Lors de la présentation, les deux partenaires exécutant le Kata doivent le faire de manière
fluide, sans précipitation et brutalité et ils doivent refléter une sincérité d’exécution et une confiance mutuelle.
Pour débuter le Kata, le Tori doit toujours se positionner à droite et le Uke à gauche des évaluateurs. Il est primordial
que les deux partenaires ne tournent jamais le dos aux juges lors de leurs déplacements.
Tori et Uke entrent sur la surface de démonstration un en face de l’autre, ils doivent se tenir à environ quatre mètres de
distance l’un de l’autre et ils doivent se tourner vers les évaluateurs pour effectuer leur salut debout. Le salut debout se
fait toujours les talons joints, pointes des pieds écartées. Les bras doivent pendre naturellement de chaque côté du
corps, les doigts des mains sont relaxes dirigés vers le bas. Lors de l’inclinaison vers l’avant, les mains suivent aussi le
mouvement du corps vers l’avant pour le salut.
Les deux partenaires doivent ensuite se retourner à nouveau l’un vers l’autre pour se saluer à genoux.
Lors de leur descente, ils doivent d’abord déposer le genou gauche au sol suivi du genou droit. Leurs orteils doivent
être relevés.
Une fois au sol, les genoux des deux partenaires doivent être sur une même ligne et écartés d’environ 20 à 30 cm.
L’étape suivante consiste à allonger les pieds au sol et s’asseoir sur les talons, le corps droit et les mains déposées sur
les cuisses.
Pour effectuer leur salut d’ouverture, les deux partenaires doivent poser leurs paumes de mains à plat, sur le sol, doigts
regroupés et un peu tournés vers l’intérieur. Pour finaliser ce rituel, ils inclinent leur buste vers leur partenaire (il est
très important que le dos des deux exécutants demeurent droit et que leurs fesses restent en contact avec les talons).
Pour revenir à leur position initiale (debout), les deux judokas doivent se relever en redressant, en premier, le genou
droit puis le genou gauche.
Lorsque les deux partenaires sont revenus à leur position initiale, ils sont toujours un en face de l’autre. Pour débuter le
Kata, ils doivent évoluer l’un vers l’autre au centre de la surface de démonstration. Leurs pieds doivent glisser à la
surface du tatami et ils doivent avancer d’un pas du pied gauche puis d’un autre du pied droit (adopter une position
naturelle : pieds parallèles écartés).
Suite à cette ouverture de surface, l’un et l’autre continuent à se rapprocher en marche jusqu’à distance de saisie
(Kumi-Kata : saisie fondamentale).
Suite au rituel des saluts, les deux partenaires se font face, pieds écartés, largueur des épaules. Leur attitude doit
refléter un esprit alerte et sans pensée active. Les exécutants doivent proposer un état sans sentiment d’anxiété, de
volonté d’agir, d’anticipation, etc. Lors de la présentation, les partenaires doivent agir de manière spontanée.
Lors des déplacements, les judokas doivent faire glisser leurs pieds sur la surface des tatamis. Leurs démarches
doivent être tout à la fois ferme et souple. Donc, il ne doit y avoir aucune raideur dans les genoux.
En tout temps, le Tori doit enchaîner ses mouvements de manière continue et harmonieuse, le tout doit être fluide.
Chaque phase d’une projection doit être faite de manière parfaite et idéale : la manière de se placer, la manière
d’amener le déséquilibre et la manière de projection.
Pour les évaluateurs, le kata démontré doit avoir une certaine vie ; une énergie doit être dégagée de l’ensemble de la
présentation tout en respectant les différentes règles du kata.
Le travail du Uke n’est pas toujours évident car il doit être en mesure de ne pas anticiper la projection à venir mais, se
laisser entraîner dans le mouvement exécuté par le Tori. De là, la raison pour laquelle il est primordial de choisir un
partenaire qui sera en symbiose avec vous lors de votre présentation. Le Uke doit accepter la chute et non pas en
avoir peur. Lors des projections, il ne doit pas y avoir de rupture ni de temps mort entre le moment où le Uke entre en
mouvement et celui où il est projeté.
La distance corporelle entre le Tori et le Uke doit être correcte pour que le Tori puisse placer ses techniques de
manière juste. Il n’y a pas nécessairement de distance proprement dite, celle-ci dépend des partenaires qui exécutent
le kata et de la morphologie de chacun. La distance entre le Tori et le Uke doit être bien calculée pour créer et amplifier
le déséquilibre pour la projection désirée. En général, le premier pas est assez lent, le second plus expressif et le
troisième est plus rapide et explosif pour aboutir à la projection. Comme pour la distance entre deux partenaires, la
foulée des pas peut changer avec la morphologie des judokas.
Tori doit bien synchroniser la pose de son genou gauche au sol avec l’avancement du pied droit de Uke. Dans les faits,
si le tout est bien exécuté, Tori ne peut pas résister à la poussée de Uke.
L’angle de la poitrine de Tori doit être de 30 degrés par rapport à la poussée de Uke car si elle est supérieure, Tori ne
pourra pas maintenir son équilibre et si elle est inférieure, dans son mouvement, Uke peut heurter Tori.
Au niveau de la saisie, Tori doit tirer sa main gauche directement vers le bas et pousser sa main droite, qui est
positionnée au revers, obliquement vers le haut.
Lors de la phase finale de l’exécution du mouvement, Tori doit mettre de la force au niveau de ses orteils de son pied
gauche pour résister au choc de l’action. Pour le pied droit, il doit rester bien à plat au sol et la partie tibia/péroné doit
se maintenir droite, pratiquement à la verticale.
En terminant, Tori ne doit jamais tourner le tronc et la tête pour accompagner la chute de Uke. Il doit cependant garder
le corps droit et ne pas se pencher vers l’avant, il doit rester le plus stable possible (T. Inogai & R.Habersetzer; 2007).
Lors de l’attaque de Uke, Tori doit attendre calmement sur place et laisser Uke s’ajuster à sa distance d’attaque ; Tori
doit se fondre dans l’attaque et projeter (en tout temps, les épaules de Tori doivent demeurer souples). Lorsque Tori
lance sa technique, celle-ci doit être exécutée dans une seule et même action (tourner dans un bloc).
Pour être efficace, Tori ne doit pas bloquer le bras de Uke lorsque le coup s’abat sur lui mais il doit guider le bras en
l’esquivant.
Lors du contact corporel entre les deux partenaires, il ne doit pas y avoir d’espace entre le dos de Tori et la poitrine de
Uke.
Pour conclure la technique, Tori doit projeter en chargeant Uke sur son dos et ne pas le laisser glisser sur son côté. Le
mouvement doit être franc.
Pour l’exécution du mouvement, lors du second pas du pied gauche de Tori, celui-ci doit changer la saisie de la main
gauche (Tori doit lâcher le judogi de Uke sur le côté extérieur du coude et venir poser la main en rotation contraire des
aiguilles d’une montre. Donc, il doit terminer ce changement de main sur la partie interne du coude).
Pour engager l’action de chargement de Uke, Tori doit passer sous le bras de Uke, il ne doit rester aucun espace entre
sa nuque et la ceinture de son partenaire.
Pour terminer, Tori ne doit pas oublier de tirer avec force le bras droit de Uke vers l’avant et à droite, pour faire porter
tout le poids de son partenaire sur les orteils de son pied droit.
L’exécution de cette technique peut paraître complexe car une simple erreur au niveau du positionnement des
membres peut être catastrophique. Par exemple, Tori ne doit jamais plier les genoux et baisser les hanches au
moment où il enroule Uke de son bras gauche car cette action pourrait être confondue avec de la technique O-goshi,
grande projection de la hanche.
Pour bien effectuer la technique, Tori doit positionner sa main gauche à plat dans le dos de Uke, au niveau de la
ceinture. L’effet que Tori doit obtenir est la sensation d’appuyer du côté de son petit doigt la ceinture du partenaire.
Par cette approche, Uke est bien placé en déséquilibre sur le devant de ses orteils.
Le rôle de Tori par rapport au mouvement de Uki-goshi est de bouger les deux pieds en même temps et ne pas se
pencher vers l’avant lors de l’entrée de Uke. Pour conclure, Tori projette Uke simplement.
Lors de son attaque, le Uke doit en réalité viser directement le sommet de la tête de Tori avec un coup à la base du
poing.
En premier lieu, Tori doit coller Uke sur son côté en plaçant sa main droite sur l’omoplate gauche de son partenaire.
Pour exécuter sa projection, Tori doit naturellement tendre la jambe droite, de la hanche au bout des orteils. Cette
jambe doit pratiquement arriver à l’horizontale.
Pour cette technique, l’action de la main droite de Tori est primordiale car elle doit lever Uke afin de le placer en
équilibre sur ses pointes de pied. En tout temps, le poignet droit de Tori ne doit pas être « cassé ».
Pour effectuer un bon mouvement dans les règles de l’art, les pieds de Tori doivent se trouver en avant de ceux de Uke
sur une même ligne parallèle. Il faut savoir que l’exécution de ce mouvement en kata est très différente de celle
exécutée en randori ; à l’action du bras de Tori s’ajoute en effet une poussée des hanches de bas en haut avec détente
des genoux.
Parfois, cette technique est difficile à saisir pour les exécutants car il faut que Tori établisse sans frapper le contact de
la plante de son pied gauche contre la cheville de Uke. C’est seulement par la suite que Tori agit avec force pour
balayer son partenaire. Évidemment, il ne s’agit pas d’un coup de pied.
Lors du déplacement, les mains de Tori soulèvent en premier Uke avant de le repousser en diagonale vers le bas.
Le principe de cette technique est le blocage du tibia/péroné de Uke, positionné un peu au niveau de la cheville et non
une action de balayage de Tori avec sa plante de pied. Par la suite, Uke est projeté avec une action circulaire par la
combinaison des mains et des hanches de Tori.
Tori doit exécuter son mouvement avec une bonne rapidité et une excellente précision.
La main droite de Tori doit maintenir Uke tendu vers le haut. Cette action a pour but d’empêcher Uke d’avancer son
pied gauche sur lequel il s’équilibrerait alors facilement. La main gauche ne doit être dirigée vers le sol qu’à la fin du
mouvement.
Cette technique est la dernière demandée pour le passage de la ceinture noire (Shodan). Lorsque Tori engage sa
jambe droite entre les jambes de Uke, il doit plier sa jambe d’appui et concentrer tout son énergie sous l’avant du pied
gauche.
Il lance sa jambe droite le plus loin et le plus haut en arrière et plonge la tête vers le sol, le plus bas possible.
Lors de la démonstration de cette technique en kata, il faut savoir qu’elle doit être exécutée en un mouvement de jambe
et non en un mouvement de hanche comme en randori ; ainsi, elle est présentée dans une position relativement
statique. Pour conclure, tout le mouvement découle du déplacement tournant imposé à Uke.
Les deux partenaires sont à une distance d’environ quatre mètres. Ils doivent reculer simultanément le pied droit puis
le pied gauche et se retrouvent ainsi pieds joints. Les démonstrateurs doivent exécuter leur salut à genoux en posant
le genou gauche puis le genou droit. Suite à leur salut, ils doivent se relever, le genou droit puis le genou gauche, et
se tourner vers les évaluateurs, qu’ils saluent debout et pieds joints. Ils quittent la surface de démonstration par le côté
où ils sont entrés (T. Inogai & R.Habersetzer; 2007).
A
Arashi Tempête
Ashi Pied, jambe
Ashi-barai Fauchage des pieds
Ashi-gatame-jime Luxation par la jambe
Ashi-guruma Enroulement sur la jambe
Ashi-sabaki Marche
Ashi-waza Technique de pied
Atemi Coup frappé
Ayumi-ashi Marche normale
B
Barai Balayer
Basami Ciseau
Butsukari Synonyme de Uchi-Komi
D
Dan Niveau, degré, grade
De Sortir, avancé
De-ashi-barai Balayage du pied avancé
Do Voie, chemin
Dojo Lieu où l’on apprend la voie
Dori Prendre
E
Eri Revers
Eri-jime Étranglement par le revers
Eri-seoi-nage Projection d’épaule avec saisie au revers
G
Gaeshi Contre-attaque (renversement)
Gake Accrochage
Garami Maintenir, enroulé
Gari Fauchage
Gatame Contrôler
Geiko Exercice, Entraînement
Go Force
Gokyo Cinq groupes
Go-no-sen Contre d’une initiative
Goshi Hanche
Gyaku Contraire, à l’envers
Gyaku-juji-jime Étranglement croisé, paumes vers le haut
I
Ikomi Technique d’amenée au sol
Ippon Point
Ippon-seoi-nage Projection par-dessus l’épaule
J
Jigotai (Jigohontai) Posture défensive de base
Jikishin-ryu Ancienne école de Ju-jutsu
Jime Strangulation
Ju Souplesse
Juji Croix
Juji-gatame Contrôle en croix
Ju-jutsu (Jiu-jutsu, Ju-jitsu) Ancêtre du judo
Junbi-undo Exercices d’assouplissement
Jutsu Technique
M
Mae Face
Maki Enrouler
Makikomi Enroulement à l’intérieur
Makura-gesa-gatame Contrôle en oreiller par le travers
Mata Intérieur de la cuisse
Migi Droit
Morote À deux mains
Morote-gari Fauchage des jambes par les deux mains
Morote-jime Étranglement avec deux mains
Morote-seoi-nage Projection d’épaule à deux mains
Mune Poitrine
Mune-gatame Contrôle par la poitrine
N
Nage Projeter
Nage-komi Voir Uchi-komi
Nage-waza Technique de projection
Nami-juji-jime Étranglement croisé
Ne Couché
Ne-waza Technique au sol
O
O Grand
Obi Ceinture
O-goshi Grande projection de hanche
O-guruma Grande roue
Okuri Les deux
Okuri-ashi-barai Balayage des deux jambes
Okuri-eri-jime Étranglement par les revers
Okurikomi-uchi-mata Fauchage à l’intérieur de la cuisse
Osae Immobiliser
Osae-komi Immobiliser contre soi
Osae-komi-waza Technique d’immobilisation
O-soto-gari Grand fauchage extérieur
R
Randori Exercice libre
Rei Salut
Renshu Pratique
Rensoku-waza Technique d’enchaînement
Ritsurei Salut debout
Ryu Méthode, école
S
Sabaki Esquiver, tourner
Sasae Maintenir
Sasae-tsurikomi-ashi Blocage du pied en pêchant
Sempai Élève grade (ancien)
Sen Initiative
Sen-no-sen Initiative sur initiative
Sensei Professeur
Seoi Dos
Seoi-nage Projection par-dessus le dos
Seoi-otoshi Renversement par-dessus l’épaule
Shiai Compétition
Shihan Maître-fondateur
Shiho Quatre côtés ou quatre coins
Shime Étrangler
Shime-waza Technique d’étranglement
Shintai Évolution
Shisei Posture
Shizentai (Shizen-hontai) Posture naturelle
Shumatsu-undo Exercices de retour au calme
Sode Manche
Sode-guruma Enroulement de la manche
Sode-guruma-jime Étranglement par enroulement du revers
Sode-tsurikomi-goshi Hanche pêchée en soulevant au coude
Sotai-renshyu Entraînement souple
Soto Extérieur
Soto-makikomi Enroulement extérieur
Sukui Mouvement en cuiller
Sukui-nage Projection en cuiller
T
Tachi Debout
Tachi-waza Technique debout
Tai-otoshi Renversement du corps
Tai-sabaki Déplacement du corps
Takenouchi-ryu Ancienne école de Ju-jutsu
Tanden Abdoment
Tandoku-renshu Entraînement en solitaire
Tani Vallée
Tani-otoshi Chute dans la vallée
Tatami Natte de paille pressée ou confectionnée de façon moderne
Tate-shiho-gatame Contrôle des quatre coins longitudinalement
Te Main
Te-guruma Enroulement par les mains
Tenjinshinyo-ryu Ancienne école de Ju-jutsu
Tokui-waza Technique favorite
Tomoe Ligne courbe
Tomoe-nage Projection en cercle
Tori Celui qui fait l’action
Tsugi L’un après l’autre
Tsugi-ashi Marche en succession
Tsukomi Pousser
Tsukomi-jime Étranglement en poussant avec une main
Tsukuri Construire, action préparatoire
Tsuri Pêcher, lever
Tsuri-goshi Hanche, pêchée
Tsuri-komi Amener en levant
Tsuri-komi-goshi Projection de hanche en soulevant
U
Uchi Intérieur
Uchi-komi Exercices d’entrée (répétitions)
Uchi-makikomi Enroulement intérieur
Uchi-mata Fauchage par l’intérieur de la cuisse
Ude Bras
Ude-garami Luxation sur bras fléchi
Ude-gatame Contrôle avec les bras
Uke Celui qui subit
Ukemi Brise-chute
Uki Flotter
W
Waki-gatame Contrôle par l’aisselle
Waki-otoshi Renversement par l’aisselle
Waza Technique
Waza-ari Demi-point
Y
Yakusoku-geiko Entraînement libre sans résister
Yoko Côté
Yoko-gake Accrochage de côté
Yoko-guruma Roue de côté
Yoko-otoshi Renversement de côté
Yoko-shiho-gatame Contrôle des quatre coins par le côté
Yoko-tomoe-nage Projection latérale en cercle
Yoko-wakare Séparation de côté
Yoshin-ryu Ancienne école de Ju-jutsu
Z
Zanshin Esprit alerte
Zarei Salut à genou
Références
Judo Canada. Guide national de gradation approuvé à l’AGA de 2006, en vigueur le 1er septembre 2006.
T. Inogai & R. Habersetzer. Judo Kata, Les formes classiques du Kodokan. Édition : Amphora. Paris, France. 2007.
pages 352.