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Faculté des sciences Juridique (FSJ)

Sujet : Convention internationale de 1965 sur les télécommunications 6 septembre 1971.

Préparé par : Amaelson BELPHONSE

Cassandra Faïda JOSEPH

Emmanuel MERVILLE

Jean Pascal DELICE

Ralph Midley JEAN CHARLES

Professeur : Me Jean Wilfrid GILET

Année Académique : 2023-2024

Niveau : II

Session : I

Cours : Droit de l’environnement

Laborde, Cayes (Sud, Haïti), le 08 janvier 2024


Plan du devoir

1. Contexte générale de l’origine de la convention.


2. Objectif général.
3. Objectifs spécifiques.
4. Définition de la convention.
5. Registre des dérogatives spécifiques.
6. Plan de la mise en œuvre.
7. Echange d’information entre les parties.
8. Information, sensibilisation et éducation.
9. Date de ratification, acquisition ou adhésion.
10. Entre en vigueur.
11. La place de votre pays et votre contribution pour le respect de cette convention en tant
que juriste en herbe.
12. Que pensez-vous de votre législation face à cette convention.
13. Conclusion et recommandation.
14. Références bibliographiques.
Contexte générale de l’origine de la convention
La Convention internationale de 1965 sur les télécommunications a été créée dans le contexte
d’une demande croissante de coopération internationale dans le domaine des communications. À
l’époque, les technologies de communication se développaient rapidement et de plus en plus de
pays cherchaient à établir des normes communes pour faciliter les échanges et les connexions
internationales. La convention a donc été élaborée pour répondre à ce besoin et pour favoriser la
collaboration entre les pays dans le domaine des télécommunications. En plus de la demande
croissante de coopération internationale dans les communications, il y avait également d’autres
facteurs qui ont contribué au contexte de l’origine de cette convention. Par exemple, l’essor des
télécommunications par satellite et des câbles sous-marins a rendu les communications
internationales plus rapides et plus fiables. De plus, la mondialisation croissante et l’importance
croissante des échanges commerciaux internationaux ont créé un besoin accru de normes et de
réglementations communes pour faciliter les communications entre les pays. La Convention
internationale de 1965 sur les télécommunications a donc été élaborée pour répondre à ces
besoins et pour promouvoir une connectivité mondiale plus efficace et harmonieuse.

Objectif général
La présente convention voulait à tout prix arrêté la transmission des télégrammes afin de
protéger certaines informations dangereuses pouvant compromettre la sûreté de l’état.

Objectifs spécifiques
La convention internationale de 1965 avait pour objectif de promouvoir une utilisation équitable
et responsable des infrastructures de communication à travers le monde. Elle visait aussi à
faciliter la coopération internationale dans le domaine des télécommunications et à promouvoir
le développement des réseaux de communication. Elle a également cherche a établir des normes
et des règlementations pour assurer l’interopérabilité des réseaux de télécommunications entre
les différents pays. Et pour finir, elle visait à promouvoir la protection des droits des utilisateurs
de télécommunications et à encourager la coopération entre les États membres et le
développement des infrastructures de communication.
Définition de la convention
En droit, la convention est un accord de volonté conclu entre des personnes (des individus, des
groupes sociaux ou politiques, des États) et qui est destiné à produire des conséquences
juridiques.

Registre des dérogatives spécifiques


Plan de la mise en œuvre

Echange d’informations entre les parties

1. Information technique
2. Données statistiques
3. Juridiction et règlementations
4. Politiques et stratégies

Information, sensibilisation et éducation

L’information du grand public a été largement diffusée en Haïti pour sensibiliser les utilisateurs
aux droits et responsabilités liés à l’utilisation des infrastructures de communication. Des
campagnes médiatiques, telles que des annonces à la radio, à la télévision et dans les journaux,
ont été utilisées pour informer les utilisateurs sur les avantages et les risques liés à l’utilisation
des services de télécommunications. Des informations claires et accessibles ont été fournies pour
aider les utilisateurs à comprendre comment utiliser les services de manière équitable,
responsable et sûre. L’objectif était de garantir que le grand public soit bien informé et puisse
prendre des décisions éclairées lorsqu’il utilise les services de télécommunications.
La sensibilisation du grand public concernant la Convention internationale de 1965 sur les
télécommunications en Haïti s’est faite à travers diverses initiatives. Des campagnes
d’information ont été menées par les autorités et les fournisseurs de services de
télécommunications pour informer les utilisateurs sur leurs droits et responsabilités. Des
brochures, des affiches et des publicités ont été utilisées pour transmettre des informations clés
sur l’utilisation responsable et éthique des infrastructures de communication. Des séminaires, des
conférences et des ateliers ont également été organisés pour éduquer le grand public sur les
nouvelles technologies et les opportunités qu’elles offrent. L’objectif était d’assurer que les
utilisateurs soient bien informés pour prendre des décisions éclairées lorsqu’ils utilisent les
services de télécommunications.
L’éducation du grand public a également été un aspect important de la sensibilisation en
Haïti. Des programmes éducatifs ont été mis en place pour informer les utilisateurs sur les
bonnes pratiques en matière d’utilisation des infrastructures de communication. Des formations
ont été proposées pour enseigner aux utilisateurs comment utiliser les services de
télécommunications de manière responsable, notamment en matière de protection des données,
de respect de la vie privée et de sécurité en ligne. L’objectif était d’autonomiser les utilisateurs
en leur fournissant les connaissances nécessaires pour prendre des décisions éclairées et utiliser
les services de télécommunications de manière sûre et responsable.

Date de ratification, acquisition ou adhésion


La présente Convention sera ratifiée par chacun des gouvernements signataires selon les
règles constitutionnelles en vigueur dans les pays respectifs. Les instruments de ratification
seront adressés, dans le plus bref délai possible, par la voie diplomatique et par l’entremise du
gouvernement du pays où se trouve le siège de l’Union, au secrétaire général, qui les notifie aux
Membres et Membres associés.
Pendant une période de deux ans à compter de la date d’entrée en vigueur de la présente
Convention, tout gouvernement signataire jouit des droits conférés aux Membres de l’Union aux
numéros 12 à 14, même s’il n’a pas déposé d’instrument de ratification aux termes du numéro
249.
251 (2) A l’expiration d’une période de deux ans à compter de la date d’entrée en vigueur de la
présente Convention, un gouvernement signataire qui n’a pas déposé d’instrument de ratification
aux termes du numéro 249, n’a plus qualité pour voter à aucune conférence de l’Union, à aucune
session du Conseil d’administration, à aucune réunion des organismes permanents de l’Union, ni
lors d’aucune consultation par correspondance effectuée en conformité avec les dispositions de la
Convention, et ceci tant que l’instrument de ratification n’a pas été déposé. Les droits de ce
gouvernement, autres que les droits de vote, ne sont pas affectés après l’entrée en vigueur de la
présente Convention conformément à l’article 53, chaque instrument de ratification prendra effet
à la date de dépôt auprès du secrétaire général. Dans le cas où l’un ou plusieurs des
gouvernements signataires ne ratifieraient pas la Convention, celle-ci n’en serait pas moins
valable pour les gouvernements qui l’auront ratifiée.

Adhésion à la convention
Le gouvernement d’un pays qui n’a pas signé la présente convention peut y adhérer en tout
temps en se conformant aux dispositions de l’article 1.
L’instrument d’adhésion est adressé au secrétaire général par la voie diplomatique et par
l’entremise du gouvernement du pays où se trouve le siège de l’Union. L’adhésion prend effet du
jour de son dépôt, à moins qu’il n’en soit stipulé autrement. Le secrétaire général notifie
l’adhésion aux membres et membres associés et transmet à chacun d’eux une copie authentifiée
de l’acte.

Entre en vigueur
La présente Convention entrera en vigueur le premier janvier mil neuf cent soixante-sept entre
les pays, territoires ou groupes de territoires pour lesquels les ratifications ou les adhésions
auront été déposées avant cette date.

La place de votre pays et notre contribution pour le respect de cette convention en tant que
juriste en herbe
Haïti est l’un des pays signataire de la Convention internationale sur les télécommunications. En
tant que signataire, elle s’engage à respecter les principes et les normes établis dans la
convention. Cela signifie qu’elle reconnaît l’importance de la coopération internationale en
matière de télécommunications et s’efforce de promouvoir une utilisation équitable et
responsable des infrastructures de communication. À ce stade Haïti, peut donc participer
activement aux discussions et aux décisions concernant les télécommunications au niveau
international, tout en adaptant la mise en œuvre de la convention à sa législation nationale. C’est
une belle opportunité pour Haïti de contribuer au développement et à la régulation des
communications à l’échelle mondiale
Et en tant que juriste en verbe, notre contribution en ce qui concerne le respect de cette
convention est de jouer un rôle clé dans l’interprétation et l’application des dispositions légales
de la convention. Les juristes jouent un rôle important dans le respect de cette convention. Ils
utilisent leurs connaissances et leur expertise juridique pour interpréter les lois et les règles
établies dans la convention. Ils aident à résoudre les problèmes juridiques et les différends qui
pourraient survenir. Les juristes veillent à ce que les droits et les obligations des parties soient
respectés, et ils s’assurent que les normes de la convention sont appliquées correctement. Leur
travail contribue à maintenir l’intégrité de la convention et à garantir une utilisation équitable et
harmonieuse des télécommunications à l’échelle internationale.

Que pensez-vous de votre législation face à cette convention


Nous pensons que la législation haïtienne doit être alignée avec les principes et les normes
établis dans la Convention internationale sur les télécommunications. Cela garantirait une
cohérence et une conformité juridique avec les engagements internationaux pris par Haïti. En
respectant cette convention, elle peut bénéficier d’une participation active dans les
communications internationales et contribuer à la coopération mondiale dans ce domaine. Il est
important que les lois nationales soutiennent les objectifs et les valeurs énoncés dans la
convention pour assurer une utilisation efficace et équitable des télécommunications.
Conclusion
Sur ce, la convention de 1965 sur les télécommunications a été élaborée dans le but de faciliter
les échanges et les connexions internationales en vue d’une demande croissante de coopération
internationale dans le domaine communications. Afin de ne pas compromettre la sureté de l’Etat,
cette dite convention voulait arrêter la transmission des télégrammes pour protéger l’Etat de
certaines informations dangereuses. Et, les informations sur cette convention se font connaitre
au grand public par une sensibilisation pour leur faire connaitre les droits et les responsabilités
liés à l’utilisation de l’infrastructure de communication. La sensibilisation et l’éducation se
faisaient par des campagnes médiatiques. Haïti étant l’un des pays signataire de cette convention,
doit respecter les principes et les nomes établis par la convention. C’était une belle opportunité
pour Haïti de participer au développement et à la régulation de la communication mondiale.

Recommandation
1. Libre transmission des informations.
 La Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des
télécommunications (Montreux, 1965),
Vu,
a) la Déclaration universelle des Droits de l'Homme adoptée par l'Assemblée
générale des Nations Unies le 10 décembre 1948 ;
b) les articles 30, 31 et 32 de la Convention internationale des
télécommunications de Genève (1959) ; *
Considérant
Le noble principe de la libre transmission des informations ;
Recommande
Aux Membres et Membres associés de l'Union de faciliter la libre transmission
des informations par les services de télécommunications.
1. Etude des télécommunications spatiales.
Références bibliographiques
 https://handle.itu.int/11.1004/020.1000/5.9.61.fr.200
 https://www.village-justice.com

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