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conférence 1
intro : médecine et religion ont interagit dans l'Histoire. Il faut éviter les présupposés. Pendant
l'Antiquité et au Moyen-Âge, la médecine s'est développée dans un contexte religion. Les religions
ne s'opposent pas à la médecine.
Pour Fénelon, obéir a son médecin, c'est obéir à Dieu.
Après la révolution, la médecine devient autonome et se sécularise.
Dans l'islam, il ta eu des périodes fastes pour l'exercice médical.
Dans les anciens texte → maladie= rétribution pour les fautes de l'homme. L'ancien testament ne
parle qu'incidemment de maladies. Il y a une spiritualisation et une intériorisation de la notion de
malade dans la Bible. Le serment d'Hippocrate commence ainsi : « Je jure par Apollon médecin, par
Esculape, par Hygie et Panacée, je prends à témoin tous les dieux et toutes les déesses ».
dans l'Islam : le croyant doit supporter la maladie, au vue du pardon de ses fautes et de la vie
éternelle.
IV-
conclusion : le rapport entre religion et médecine est complexe au cours de l'histoire. Les religions
ont encouragé la médecine. Selon t. Daquin, toute maladie du corps imbriquée avec le vie et l'âme,
revêt un aspect spirituel.