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Médecine première année

Sciences humaines

Histoire la médecine
I. Introduction

 Enseigner c'est faire le choix de ce qu'on sait pour le transmettre. La médecine a


longtemps été une série de recettes qui peu à peu s'est élargie vers les
connaissances fondamentales mais en tout temps elle fut un savoir indispensable.
Enseigner l'histoire la médecine c'est enseigner ce qui n'est plus ( choléra, peste...
double circulation) mais dont il reste des traces. Traces qui nous on lentement
conduit au connaissances actuelles. Croire que notre savoir d'aujourd'hui est le
fruits de travaux récents est une erreur. La médecine et les connaissances
médicales sont issus d'une lente progression, de siècles de recherches,
d'hypothèses, d'erreurs, de contradictions.

Emille Litté: " il n'est rien dans la plus avancée des médecine moderne dont on ne puisse
trouver l’embryon dans la médecine du passé".

Louis Pasteur:" on s'imagine que la science est d’aujourd’hui, on ne voit pas que son état
actuel n'est qu'un progrès sur une découverte précédente".

 Les découvertes scientifiques, les révoltions des systèmes de pensée sont les
fruits d'une longue décantation, sans connaissances préexistantes il nous est
difficile d'interpréter ce que l'on observe sous nos yeux. La culture nous permet
peu à peu de percevoir des rapports lointains entre les choses. Ainsi les
découverte de Mendel sur les lois de la génétiques furent longtemps oublié avant
d'être redécouverte et comprises. Il ne peut y avoir de crise de lucidité dans un
esprit creux.

Louis Pasteur: " le hasard ne favorise que les esprit préparés"

 Il est possible de distinguer trois grande périodes dans l'histoire de la médecines.


Trois périodes qui reflètent la maîtrise que l'homme a eu sur son corps et ses
faiblesse et sur l'état de santé des populations . La médecine fut pendant des
siècles unes médecine contemplative (médecine sacerdotales, théorie des
humeurs, refus de traitement invasifs...), puis curative ( césarienne, cataracte,
taille, antibiotiques) avant d'être préventive (variolisation, vaccinations,
contraception) .

remarque: Si la médecine comme tous les autres est le fruit d'une lente maturation des
connaissances il faut se garder de croire qu'a tous moments les progrès techniques, se
sont soldées par des succès à l'échelle de l'humanité. Il ne faut pas sous estimer non plus,
l'inertie de certaines époques et les refus de progresser vers l'évidence ou le nouveau.

Francois Rabelais:"science sans conscience n'est que ruine de l'âme"

II. Un monde sans médecine, l'état de nature


1. Quelques chiffres

100 millions d'individu à l'époque du christ


1 milliard en 1830
2 milliards en 1930
6 milliards en 200

2. Quelques dates

- 25 millions d'années, l'homme découvre le feu, il y a 400 000 ans il accède à la cuisson
donc la diversité de la nourriture apparaît

- 12 0000/ - 35 0000 l'homme découvre qu'il est mortel et créer des rites funéraires pour
honorer ses morts

- 40 000 l'homme de Neandertal et l'homo sapiens coexistent, l'homme de Neandertal va


disparaître progressivement au profits de l'homo sapiens

peu à peu , l'homme commence à domestiquer les animaux: les chiens en premier lieu. Il
embellit son décor et réalise des fresques dans les grottes. Puis progressivement
l'homme domestiques les ovins, les bovins, les plantes

-20 000 première trace de médecine, assez confuse: consolidations des os fracturé
indiquant une certain cohésion sociale, carne trépanés (- 12 000) indiquant l'esprit
d’initiative des préhistoriques.

- 6000 l'homme découvre les métaux et commence à les maîtriser

3. Les conditions de vies dans l'état de nature

L'espérance de vie est courte 31 ans ( durera jusqu'au XIV°s en Europe occidentale)
1/3 des enfants meurt avant 15 ans
Les défauts du corps humain expriment toutes leur puissance: surdité, perte de la vue,
problème articulaires, bosses, déformations du squelette en tous genres....
III. première période l'Antiquité

1. Généralités

L'histoire début avec l'écriture (Les gaulois visaient dans la Préhistoire avant les
conquêtes de César).
L'Antiquité se termine 395 à la mort de l'empereur Théodore, date à laquelle l'empire
romain ne sera plus jamais est réunifiée ( empire romain oriental/ empire romain
occidental).

2. Les sources

Les sources de l'histoire sont variées.

2.1 les momies

Les momies nous permet d'apprécier le niveau d'étendue des connaissances de la


médecine de l'Antiquité. On peut grâce à elle percevoir les soins mais aussi les maladies
de cette époque.

2.2 l'écriture

L'écriture antique est réalisée exclusivement sur papyrus or le papyrus est un support
fragile et résiste mal au feu, à l'eau, aux rongeurs de ce fait nombre des connaissances de
cette époque ne sont pas parvenues. L'essentiel des connaissances de sur l'Antiquité
vient de papyrus provenant d’Egypte car le climat a permis de les conserver. C'est ainsi
que de l'Antiquité qui a sans doute beaucoup produits de nous reste que peu de vestiges,
seule les plus copiées ont pus nous parvenir: Iliade des l'odyssée de Homère. Cependant
les copistes au fil des générations de malmener les textes originaux ( rectification,
annotations, simplification) et on obtient aujourd'hui des textes de parfois antagonistes et
pourtant du même auteur ou pis encore des suites de mots incompréhensibles.

L’œuvre de Gallien regroupe 9000 pages restaurées par Darinberg.

L’œuvre d'Hippocrate 1200 pages a été restaurées par Émile Littré.

Remarque: Il faut noter le travail remarquable d'Emile Littré grâce auquel nous disposons
d'une version complète de l’œuvre d’Hippocrate et de Darenberg pour l’œuvre de Galien.

2.3 l'épigraphie

Étude de ce qui est gravé sur les pierres et des tombes. L'épigraphie nous permet
d'apprécier les dates des décès et des naissances, et durée de vie moyenne, l'extension
du corps médical et des autres professions.

2.4 les ex-voto

Et sans donner en remerciement d'un vœux exhaussé. Il renseigne quelque part sur les
souffrances des hommes si bien souvent sont semblables à celles que nous connaissons
aujourd'hui.

2.5 les fouilles archéologiques

Elles nous permettent d'apprécier les défilés de connaissances sur les taille des villes, la
richesse des sanctuaires, l'organisation urbaine, et le soin. Elles permettent devraient
mener si dans des proportions plus commune les récits qui en sont faits par les auteurs de
l'époque.

3. Etat de santé des populations

On dénombre a l'époque de l’antiquité près de 10 0000 peuple et peuplades.

La nourriture est très peu varier et carencée en sels minéraux et vitamines. Le pain est
l'aliment de base et il est difficile des conserver les aliments longtemps. Les récoltes sont
variables suivant les années (mini glaciation entre - 1100 et - 700).
Ainsi des années fastes succèdes on années pauvres marquées par les famines et
parfois épidémies. Des villages entier peuvent disparaître suite aux épidémies. L'eau est
très utilisé chez les romains et les grecs, elles permet de laver, d'évacuer les ordures et
les déjections, on la fait chauffer, on en fait des piscines, des termes...
L’approvisionnement en eau dans les villes est parfois complexe et nécessite la création
de grands aqueduc et canalisations.

La mortalité infantile est de 1/3 à un an, les naissances sont nombreuses pour
compenser les pertes. Mais la perte d'un enfant est chose normale, il n'est d’ailleurs par
très considéré tant qu'il n'est pas adulte.

4. L'Antiquité, moment de prospérité et de commerce

L'Antiquité est une époque prospère pour le commerce et les échanges entre nations. Le
commerce est intense, le Monde occidental est un lieu de transit important. On importe et
exporte : nourritures, informations, savoir-faire, médicaments ( les gaulois se spécialise
dans le soin les yeux et exporte leurs produits, l'opium qui pousse en Turquie est présent
dans toutes la Méditerranée)... cependant le commerce maritime bien que fleurissant se
limite au cabotage, le monde méditerranéen reste centré sur lui-même . l'Antiquité est
également une période de conquêtes: expansion de l'empire romain, conquêtes
d'Alexandre.
Les déplacements des populations pour le commerce ou pour la guerre ont pour
conséquence une unification bactériennes sur l'ensemble des territoires explorés.
Cependant de nouvelles maladies apparaissent a cause des conquêtes dans les pays
nouveau, on rapporte qu'Alexandre ramène avec ses soldats la peste dans l'empire
romain.

5. La médecine et le monde médical

La médecine change de visage où passent d'une médecine sacerdotale une médecine


plus rationnelle, elles quittent les croyances, les superstitions lieu on cherche à mettre en
place un savoir fondée sur l'observation et la pratique et non plus sur les déductions
parfois simpliste.

5.1. Les corps médicaux les plus reconnus

5.1.1 le corps médical égyptien

Le corps médical égyptien est entièrement tourné vers la spécialisation: soins des yeux,
soins de la peau, soins des fractures. Il ne semble pas existé d'enseignement général et
les médecins sont spécialistes d'une maladie ou d'un organe. Le médecin est appelé
SOUNOU, il est davantage prêtre que médecin.

5.1.2 la médecine grecque

La médecine grecque connaît différentes grandes périodes.

5.1.2.1 la médecine mystique ou sacerdotale

La médecine mystique ou sacerdotale est issue des pratiques de soins ancestrales. C'est
la médecine la plus ancienne mais aussi le plus superstitieux en étroites relations avec
les déité consacrée à cet art.

5.1.2.1.1 Un panthéon de déité médicales complexe

 La légende raconte qu'Apollon et Coranis (ou Arsinae) ont eu un fils: Asclépios qui
fut élevé par un centaure nommé CHIRON dans les montagnes. Le Centaure lui
apprend le pouvoir des plantes des méthodes de soins...Asclépios eut lui-même de
fils Podalin et Machaon et de filles: Panacée et Hygie. À chacun de ces quatre
enfants est rattaché une techniques de soins , une partie du savoir médicale.

Podalin: traitement médical


Machaon: traitement chirurgical
Panacé: connaissances des médicaments
Hygie: réserves attristent de la santé
Le serpent piton tué par Heracles dans le sanctuaires de la Pithie de Delphes donne le
caducé.

Chacune de ces déité à des sanctuaires, où les malades font pèlerinage. Apollon
(Deslphes), asclépios: (Epidor, Cos, Pergam, Amphiaraos: Sparte, Argos, Thèbe)... (
Amphiaraos est un chevalier tué par Zeus considéré comme une déité guérisseur)

 A ces déités se rajoute nombreuses autres petites croyances dans des sources,
les rochers guérisseurs.... La médecine sacerdotale repose sur un polythéisme
complexes et primitif.

5.1.2.1.2 Le périple du malade

Pour être soigné le malade fait pèlerinage dans les villes ou se trouve les sanctuaires. Il
paye son entrée dans le sanctuaires, il fait des sacrifices, des prières. Quand la nuit
tombe à les malades s'installe sous les porches des temples pour la nuit. Au petit matin
les prêtres le réveille et tente d'interpréter son rêves ( Le rêve correspond à la période
d'incubation) qui selon la croyance est déterminant pour le choix des procédé médicinaux
à utiliser et pour la guérison elle même. Chose surprenante, on peu faire pèlerinage pour
un autre.

Les prêtres qui font fonctionner ces temples se succèdent de père en fils. C'est de ces
familles de prêtres dont est issue Hippocrate. Il est fort probable qu'au fil des siècles, les
familles de guérisseur de peu à peu accumulé des recettes, des amorces de savoir
médical qui ont permis à Hippocrate de se distinguer et d'élaborer sa nouvelle conception
de la médecine.

5.1.2.2 la médecine laïque chez les grecques

La médecine sacerdotale laisse place à la médecine laïque avec Hippocrate. C'est lui qui
élabore les prémices d'une médecine rationnelle et disciplinée, il invente la sémiologie. La
médecine grec parqu'elle est la première et par son goût du vocabulaire et des l'écriture
sera la plus prestigieuse de l'antiquité.

5.1.2.3 La formation des médecins grecs

La formation de médecins grecs est itinérantes. Les étudiants réalisent un


compagnonnage auprès des médecins les plus reconnus qu'ils payent pour obtenir leurs
recettes. La transmission du savoir est orale le plus souvent et il faut longuement
rabâcher avant de connaître quelques symptômes d'une maladie et une recette.
Si les étudiants sont itinérants, les médecins eux même réalisent de garnds périples à la
rencontre des malades et de nouvelles connaissances. C'est au cour d'un tel périple
qu'hyppocrate trouve la mort.
5.1.3 La médecine romaines

Chez les romains le médecins est très peu considéré, les soins sont donné par le "pater
famila" (père de famille).

Il existe de la même manière que chez les grecs un panthéon guérisseur à Rome. Ce
panthéon s'enrichira peu à peu au fur et à mesure des conquête de l'empire.

Asclépios de vient esculape


Minerve ou minerva médica
BonaDéa et Cybelle: déesses de la féconditée
Angina: déesse de la gorge
Fébris: fièvres
Nona et Décima: déesse du 9° et 10° mois lunaire de la grossesse

La médecine laïque romaine commencera en - 219 quand les grecques envoient leur
propre médecin à Rome mais la profession à peu de réputation, c'est un métier
d'esclaves. Cependant vers -100, -44 la cité romaine de droit de cité au médecin qu
veulent bien s'y installer. Le code de Théodore en 438 accorde aux médecins de Rome le
privilège de ne pas héberger les gens de guerre.

5.2.Les connaissance médicales

Les connaissances médicales sont maigres et souvent erronées.

Les connaissances ne sont pas unifiées entre les praticiens, des pratiques sont multiples
recettes variables et parfois opposées. Les soins sont essentiellement axés sur les
régimes alimentaires: la médecine est une science de nutrition. De créer alors toute sorte
de bouillie, de liquide, de pommade, sérum qui a pour but de soigner les différentes
humeurs.

5.2.1 les sciences descriptives

5.2.1.1 l'anatomie

Les connaissances anatomiques sont pour la plupart extraite à partir de déductions


réalisées sur des animaux de boucherie. Elles sont maigres et souvent erronées. On
dénote cependant quelques initiatives brillantes et parfois cruelles. Ainsi Ptolémée qui a
fait d'Alexandrie du capital de savoir renommée réalise des autopsies sur des hommes
vivants, il décrit quelques régions du cerveau et quelque nerf. Erasistote ( petit-fils
d'Aristote) s'intéresse au détail du coeur est décrit le réseau merveilleux à partir
d'observations réalisées chez l'animal.

Ainsi la plupart des connaissances sont fausses et nous semble parfois surprenantes.

5.2.1.2 la physiologie
La physiologie existe pas vraiment elle se résume à une théorie, la théorie des humeurs
qui perdurera pendant de nombreuses siècles. L'antiquité post hippocratique a décrit
quatre éléments d'Enpédocles: l'air, le feu, la terre, l'eau. L'ensemble de l'univers et notre
organisme est constitué de ces quatre éléments. Platon décrit de la même manière quatre
humeurs: le sang, la lymphe (pituite), la bile jaune et la bile noir. Ces quatre humeurs
déterminent quatre tempéraments: sanguin, lymphatique, billeux, atrabilaire. Et c'est du
déséquilibre de ces quatre humeurs qu'émergent les maladies.

5.2.2 les sciences pratiques

5.2.2.1 l'anesthésie

Les moyens anesthésies sont très sommaire. Ainsi Gallien recommande aux chirurgiens;"
au moment où le malade de tourne plus, coupée brusquement". Par
On utilise l'alcool, rarement les plantes aux opiacés, la coca en Amérique. Ont

5.2.2.2 la chirurgie

Plaque chirurgicale est très peu poussée, rehausse pas ouvrir le corps du patient est
lorsque Londres perçue souvent une opération de la main forcée. C'est ainsi réclamé un
crâne, réaliser l'opération de la cataracte, est éliminé les calculs de la vesie. On réalise
également des opérations sur des femmes encensent est morte durant l'accouchement
pour extraire le bébé du ventre de la mère, il s'agit d'ailleurs d'une loi imposée par
l'empire: Lex Régia. Alain vers son peut extraire un bébé mort du ventre de sa mère pour
éviter l'infection de la parturiante.

Des outils spécifiques aux opération qu’on sait réaliser voient le jour.

5.2.2.3 la médecine

La médecine et surtout une médecine alimentaire et la médecine du régime. Elle a pour


but équilibrée et les humeurs en utilisant des plantes ( digitaline, Valeriane, bétoine) On
utilisent des cachets oculiste fabriquée en Gaule, des cataplasmes, on prescrit des les
gélules, pilules. Le médecin fabrique ses médicaments et qui va chercher ses plantes
dans la nature ou sur les marchés.

si trop de sang il faut saigné le patient


si trop de bile: on le purge

On soigne par le chaud et par le froid et on tente de multiple recettes qui peuvent nous
sembler aujourd'hui assez originales et peu efficaces.
Le diagnostic est assez réduit: palpation, inspection, succussion.

--> Pendant toutes l'antiquité d’apprentissage est itinérants et les études ne sont pas
sanctionnées par un diplôme. Parmi les grands auteur de cette époques on citera:
Aristote, Hyppocrate ,Gallien.

--> Avec Hippocrate apparaît l'amorce d'un médecine rationnelle et qui se veut déjà
respectueuse du patient si ce n'est éthique au moins quelque peu déontologique.

III. Le moyen Age


1.Généralités

Le moyen age succède à l'antiquité, 416 fin de l'empire romain.

2.Les sources

2.1 l'écritures

L'écriture reste la principale source d'informations sur le moyen âge. Le papyrus a été
remplacé par le parchemin entre moutons. Les livres reste peu nombreux et les
bibliothèques peu abondantes. Les livres circulent beaucoup et sont traduits
principalement par les moins.

2.2 les livres de comptes

Les livres de comptes nous permettent d'apprécier la consommation alimentaire


moyenne par jour, dans les hôpitaux la fréquence de remplacement des grands, la valeur
des aliments.

2.3 les registres d'état civil

Souvent mal mis à jour jusqu'au règne de François Ier et nous permettent cependant
d'apprécier une augmentation de la démographie en France. Ce sont aussi ses livres qui
nous permettent d'apprécier une variation due aux épidémies et aux famines. La France
reste cependant le pays le plus peuplé d'Occident.

3. Etat de santé des populations

Le moyen d'âge est marqué par une succession d'années fastes et de famines. On
dénombre environ 10 famines par siècle.
On vit principalement de l'agriculture, élançant de la population dépend des travaux des
champs. Dans le monde rural le travail de la terre se fait à tout âge. L'espérance de vie est
assez faible.

À la ville, lors des périodes d'épidémie ou de famine se créait des problèmes de


surpeuplement qui a des conséquences catastrophiques notamment sur le manque
d'eau.

Le moyen d'âge est une époque violente. Il est marqué par les guerres civiles, décéda en,
les tournois. C'est le temps des croisades, l'époque de la guerre de 100 ans...

L'alimentation est principalement basée sur le pain, on consomme en moyenne de kilos


de pas par jour et par personnes. Il n'est pas rare qu'un partir du mardi gras les récoltes
soient épuisées et la disette domine. C'est dans cette période courant contre l'éthique de
mortalité et les plus importants.

Le moyen d'âge est une période on se lave beaucoup, les villes de cure de grande
renommée. Le bain est apparu d'abord perçu comme un régime de santé rapidement il
devient d'abord un moyen de se laver.

La mortalité reste importante 30 % des enfants meurent avant leur première année. Et 3
à 5 % de la population disparaît chaque année.

4. La médecine et le monde médical

4.1 le cursus du médecin

4.1.1 généralité

Le médecin se forme dans universités, les faut quitter l'idée d'université avec des
bâtiments beaucoup d'étudiants, de nombreux professeurs. L'université du moyen âge
est labile, l'enseignement n'y est pas toujours dispensé, elle peut disparaître entièrement
suite aux épidémies et aux périodes de famine. Il faut noter également que l'université est
sous la tutelle du pape, ce sont dans des écoles monastique épiscopales.

La formation de les études médicales n'est qu'une spécialisation comme l'est la théologie
où le droit. Très peu d'étudiants s'y intéresse et préfère de loin la théologie quittent aussi
longue leur assurera une vie plus confortable. En effet le médecin est assez peu reconnu,
et peu demander.

Les étudiants en médecine sont issus de classe riches noblesses, riches bourgeois... les
promotions seront restreintes: 20 personnes par ans et les études sont longues.

4.1.2 le cursus

Pour pouvoir devenir étudiants médecine faut recevoir une formation de base: apprendre
à lire et écrire.
La langue officielle est le latin.
Puis ont passe maîtrise es art qui comprend le trivium: grammaire, rhétorique, dialectique,
le quadrivium: arithmétique, géométrie, astrologie, musique.
L'étudiant passé maîtres en es art entre la faculté de médecine à dix-sept ans. Il est
bachelier en trois ans, licencié en un an, et enfin docteur en un an.

4.2 les universités

La première université a été créé en 1220 à Montpellier, la seconde en 1270 à Paris. Ces
deux universités garderont durant tout le moyen âge un prestige inégalé ( Paris pour
l'enseignement de la théologie et Montpellier pour l'enseignement de la médecine).
Au fil de moyen âge se créeront de nouvelles universités sous l'impulsion des grands
seigneurs: Toulouse, Grenoble, Nantes, Avignon...
Les universités françaises sont parmi les premières dans le monde occidental. En
Angleterre Cambridge d'Oxford n'apparaîtront que plus tard.
Toutes les université ne possède pas de faculté de médecine, et elles sont bien souvent
peu fournies en livres ainsi à la Sorbonne on compte 1000 livres en 1350.
Elle sont dirigé par un Doyen qui n'est autre qu'un étudiant.

4.3 comment et qu'apprend-t-on à l'université

4.3.1 l'apprentissage de la médecine

D'apprentissage de la médecine a lieu à partir des textes anciens: Gallien, Hippocrate.


Les aphorisme d’Hippocrate
L'arts PAVA de Gallien: petit art de médical
Le Canon d'Avicène
Les Antidotaires de Nicolas: antidotes médicinaux
Tout comme à l'antiquité, il faut apprendre par cœur les recettes et les réciter sans cesse.
L'apprentissage et laborieux et coûte cher en persévérance.
Et l'enseignement manque d'esprit critique, on se contente de se référer aux textes
anciens sans se soucier des contradictions et sans non plus chercher à aller plus loin.

4.3.2 le diplôme

La formation coûte très cher et bien souvent on prend son diplôme dans une tout autre
ville que celle où l'on a étudié. Ainsi les étudiants travaillent beaucoup dans les facultés
périphériques de Paris ou de Montpellier et viennent chercher leur diplôme dans les deux
universités de forte réputation.

Les examens sont de soutenance orale qui ne porte pas tellement sur le savoir de
l'étudiant en ce qui concerne la médecine mais sur ses capacités à discourir sur une
phrase d'Hippocrate ou de Gallien en latin. Mais la tolérance et grande et rares sont les
étudiants qui échouent.

Il existe différents types de diplôme:


- le diplôme à la grande expérience, il reconnut partout ailleurs en France et permet
d'exercer dans la ville où l'on a appris et partout ailleurs
- le diplôme à la petite expérience, moins reconnu, l'étudiant qui y accède à obligation de
ne pas exercer dans la ville de la faculté

4.3.3 Les connaissances médicales

Le moyen d'âge est caractéristique d'une certaine inertie intellectuelle. On ressasse le


savoir antique sans chercher à innover, comprendre, confondre les erreurs qui sont
nombreuses.
On connaît cependant quelques exceptions qui sont plus du domaine de l'anecdote. Ainsi
à Salerme en l'an 1000, se créer un lieu de rencontre assez informel ou par la diversité
ethniques qui s'y concentre le savoir progresse un peu par échanges et comparaison des
recettes entre Juifs, Arabes, occidentaux de tous horizons. L'arrivé à Salerme de
Constentin l'Africain marque les esprits ,chassé du monde mulsulman,il emporte avec lui
sa bibliothèque qui pour l'époque est un trésor de savoir. L’école de Salerme sera une
référence durant tout le moyen-age même aux périodes ou celle-ci disparaissait
complètement. (Le régime de Salerme)

4.3.3.1 L'anatomie

L'anatomie progresse peu, on se réfère aux textes anciens. Les autopsie sont peu
nombreuses et anecdotiques, elles répugnent beaucoup.

4.3.3.2 La physiologie

Le système des quartes humeurs prédomine, on le complexifie en y introduisant les


connaissances astrologiques: tel organe est sous l'influence de tel astres.
L'homme est perçu comme un microcosme semblable a ce qui l’entoure.

4.3.3.3 La médecine

Elle s’enrichit un peu de, quelque nouvelles plantes, les médicaments sont préparé par
l’apothicaire à la demande du médecin et selon sa recette. On commence a prendre le
pouls. La grande mode est de mirer les urines, il faut en apprécier la couleur, les dépôts,
le goût et les odeurs pour en déduire la maladie et son stade.
Les verres correcteurs font également leur apparition.

4.3.3.4 L'anesthésie

On se souci assez peu de la douleur du patient sauf quand celle-ci est tellement
insupportable quelle gène l'exercice.
On utilise l'alcool, l'opium assez rarement. Nouveauté, les éponges somnifères, éponges
imprégnées de camant que l'on place dans la bouche du patient.

4.3.3.5 La Chirurgie
Ce n'est en aucun cas le médecin qui la pratique, main un chirurgien barbier (qui peut être
une femme). Des nouveaux outils sont employés, on peu être étonné par leur richesse.
Mais les soins chirurgicaux sont encore très limité et on ose que peu d'initiative qui e toute
façon seraient un échec car on ne prend par garde aux règles d'hygiènes les plus
élémentaires.

On ampute (3 min.), opération de la cataracte, trépanation, taille...

4.3.3 Le monde étudiant

C'est un groupuscule agité vivant en groupe et qui à mauvaise réputation. Ce sont des
clercs ils pratiquent le célibats et on une vie religieuse développée.

IV. Les temps modernes


1. Généralités

Cette période débute avec la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb et se


termine avec la révolution française.

C’est une périodes faste pour la science, l’Europe qui enfin l’inertie du Moyen-age.
- évolution des science générales
- les auteurs grecs antiques deviennent directement accessibles
- l’intérêt pour les sciences s’affirme avec l’apparition des Académies et sociétés
scientifiques, apparition de la chimie
- la conquête coloniale s’étend de manière spectaculaire
- l’Europe y gagne de connaître des plantes nouvelles
- l’Amérique subit une attaque infectieuse importante faisant passer la population en un
siècle de 80 et 100 millions à 2 ou 3 millions
- les pèlerinages lointains se raréfient au profits des pèlerinage de proximité
- le climat se refroidit au XVII°s : “ petit âge glaciaire ”

2. Les sources

2.1 Les sources écrites

Elles sont nombreuses

- les registres de “ baptèmes,mariages,sépulture ”, tenus par les prêtres ils constituent


ce que l’on appel les registres de l’état civil
- les rapport des intendants, pas toujours très sincère, ils ont le mérite de montrer ce
qu’il est possible de dissimuler au roi
- la comptabilité des établissement de soins
- la presse médicale qui apparaît sous Louis XIV
- l’imprimerie multiplie les ouvrage médicaux avec les bréviaires de santé, la
bibliothèque bleu, l’apothicaire charitable, le régime de Salerme...Beaucoup de
personnes pratiques l’automédication et les livres sont exportés jusque dans les
campagnes
- les gravures illustres les explications de maladies et surtout les exposé d’anatomie

2.2 Les objets apportent un témoignage complémentaire

- les tableaux et les gravures


- les outils des professionnel de santé
- les cabinets de curiosité
- l’archéologie hospitalière

3. Etat de santé des populations

La France est de loin le plus peuplé des pays du continent, elle compte 28 millions
d’habitants avant la révolution. L’Europe ne compte que 100 millions d’habitants.

L’hygiène est rapidement catastrophique et le reste. Les bains sont moins fréquents et
sont interdits en dehors des prescriptions médicales, les villes augmente en nombre et
l’entassement humain se fait ressentir de plus en plus. L’inhumation dans les églises
persiste malgré les effort des autorité religieuses et royal pour mettre fin à ces
superstitions.

L’alimentation reste mauvaise et non équilibrée encore que le français les mieux lotis que
les autres européens. La pomme de terre ne sert encore qu’aux animaux et il faudra
attendre l’action de Parmentier pour que le français accepte de la consommer, dès lors il
n’y aura plus de famine en France.

Les guerres de sièges et les nouvelles armes introduisent de nouvelles maladies.

Les épidémies sont fréquentes et redoutées, la Syphilis affole l’Occident, la variole et la


tuberculose se développent de façon exponentielle.

4. La médecine et le monde médical

4.1 Le cursus pour accéder à l’art de la médecine

Il faut la maîtrise ès Arts, soit deux ans de “ philosophie ” avant toute inscription en
médecine, puis quatre ans d’études pour accéder au baccalauréat de médecine, six mois
au minimum avant la lices, enfin selon les mérites, chacun prend son rang pour soutenir le
doctorat.

Il faut donc au minimum cinq ans d’études et on ne peut passer le doctorat avant 25 ans.

On compte des promotions de 20 à 30 étudiants par années.


D’une manière générale, la formations des médecins subit peu de modifications au cour
de la période.

4.2 Les universités

Le monopole du latin est progressivement abandonné.


Quelques université dotées de facultés de médecine sont créées en plus de celle du
Moyen Age ( 18 + 8 = 26) . Le tableau des facultés de médecine est toujours très
contrasté avec des périodes fastes et des périodes sans étudiants ni professeur.

Montpellier et Paris sont de loin les plus fréquentées des facultés, mais Paris ayant des
exigences financières très lourdes, beaucoup (80 – 90%) des étudiants prennent leur
diplôme en périphérie (Angres, Bourges, Reims...) Car à coté des deux écoles
prestigieuses, des facultés plus modeste fonctionnent bien.

Un enseignement hors faculté existait en complément dans deux institutions


parisiennes : le ”Collège Royal”, qui deviendra le “ Collège France ” crée en 1529 par
Francois I° , les titulaires sont libres de leur propos, sinon aventureux, aux dires de la
faculté. Le “ Jardin du Roi ” accueille un enseignement de médecine, d’anatomie, et de
chirurgie.

On distingue deux types de facultés :


- les faculté a professeurs qui sont semblable à celle que nous connaissons aujourd’hui
- les facultés à régents avec un minimum de professeurs car les cours sont dispensés
par les médecins de la ville.

4.3 Ce qui est enseigné

Louis XIV, par l’édit de Marly ( 1707) exige que soient enseignées au minimum :
anatomie, pharmacie clinique et galénique, démonstration de botanique. Il faut donc un
“ jardin des médecins ”, toujours d’entretien coûteux, et peu répandus. Il est rappelé qu’il
faudra fournir des cadavres pour l’enseignement.

4.3.1 L’anatomie

L’anatomie faits des progrès décisifs, revenant sur certaines des certitudes de Galien,
grâce à la pratique de l’autopsie sans a priori. La Renaissance est sa grande période. Les
autopsies deviennent progressivement publiques, elles attirent des non-médecins,
curieux et éclairés. On construit des amphithéâtres particuliers, les “ théâtres
d"anatomie ”. Parmi le grand nombre de ceux qui s’illustre retenons : Andréas Vesale,
Eustache,Fallope, Botal
Avec se renouveau de l’anatomie on voient apparaître une anatomie artistique, les
planches anatomiques montrent des personnages dan des poses élégantes de statues
antiques, indifférents à leur délabrement.

4.3.2 La physiologie
Elle quitte difficilement et lentement les théories toutes faites pour constituer les premier
éléments d’une science.

La circulation du sang est démontrée par Harvey (1628), la faculté de Paris y est hostil et
ne sera admise que tardivement. Descartes étudie la physiologie nerveuse. Lavoisier
étudie la respiration de l’homme et des animaux, tout en se livrant à l’étude des gaz
fondamentaux.

C’est la période ou l’homme est fou de mesure, on mesure tout et pèse tout, et on note.
On accumule ainsi un grand nombre de mesures qui permettent de définir des moyennes.

4.3.3 La biologie fait sont apparition

Les autopsie permettent des constatations que l’on rapproche de l’histoire de la maladie.
De grandes entités pathologiques sont alors devinées. On commence a comprendre le
lien existant entre l’anomalie organique et les symptômes que l’on constate ou dont on se
plaint. C’est anatomo-pathologie macroscopique.

Le microscope apparaît vers 16600 avec les premières lentilles. On découvre avec la
fureur de l’observation des bactéries, des globules du sang, des spermatozoïdes, des
tissus humains faits de logette juxtaposée d’où émerge la théorie cellulaire. Mais pour un
bon nombre toutes ces observations restent de curiosité et ne sont pas comprises.

4.3.4 La médecine clinique

Elle s’enrichit tardivement de la quantification du pouls, auparavant on se contentait de


qualifications ; bondissant,capricant... Quelques maladies sont valablement décrites,
c’est à dire que l’enchaînement des phases est compris, les signes correctement
rattachés à la même entité. Les immense chapitres des fièvres et des frissons, des
dévoiements sont très progressivement démantelés.

Beaucoup de système chimérique et de classements systématique de maladie se


développent sans
Fruit ultérieur. Ainsi il ne reste rien des travaux de Paracelse hors de sa formule ”tout est
poison, rien n’est poison, tout dépend de la dose ”.

Le magnétisme passionne à la fin du XVIII°s des charlatans en font leur principale


commerce, certain médecins tentent de percevoir l’utilité d’une telle invention.

La faculté de Paris est reconnu pour son immobilisme qui ternit sa réputation. Pendant 31
ans elle refusa de voir dans la Quinquina un médicament utile.
5. La prévention apparaît

La médecine sociale se développe, généreuse et assez efficace.

- La variolisation, consistait en l’inoculation de la variole à un sujet sain, qui développe une


atteinte minime. Elle fut signalée en Occident par Lady Montagu en 1720. Cette
technique, qui tuait parfois, n’inspirait pas confiance. Aussi se propagea-t-elle lentement
en France.

- La vaccination lui succèdera au XIX°s

- L’abbé de l’Epée ébauche ce que sera l’enseignement pour les sourds-muets.

V. L’époque contemporaine, voir le polycopié.

Question possibles :

 L’enseignement de la médecine a travers les âges

 En quoi et monter comment nos connaissances médicales actuelles sont le


fruit d’une très lente maturation .

 Quels furent les trois grandes périodes de la médecine occidentale ?

Question 1 : L’enseignement de la médecine a travers les âges

I. La médecine a L’antiquité

a. La médecine chez les grecs

1. D’une médecine sacerdotal vers une médecine Laïque


2. Un apprentissage itinérant et libre, non sanctionné par un diplôme

3. Les connaissances

Les erreurs des grands maîtres, la théorie des humeurs, une médecine finaliste

b. La médecine chez les romains

1. Le Panthéon des déité guérisseuse

2. Une médecine boudé faite par les esclave Grecques

3. Quelque tentative d’enseignement née de la nécessité du soins des soldats de


l’empire

c. La médecine chez les Egyptiens

Une médecine de spécialistes sans enseignement général

II. La médecine au Moyen Age en France

a. Le cursus de l’étudiant

Trivium, qautrivium...

b. Les universités et leur fonctionnement

Paris, Montpellier, les diplômes, leur fragilité

c. L’inertie caractéristique du moyen âge

Aucune innovation, la référence aux texte ancien, sans esprit critiques

III. La médecine au temps moderne

a. Le cursus

b. Les université se développent

c. Les avancé de la sciences et le retour de l’esprit critique

Anatomie, physiologie, biologie


IV. La médecine à l’époque contemporaine

a. Le cursus, une profession qui se féminise

apparition du numérus closus, rattachement de la médecine et de la chirurgie

b. Les université

c. La montée en puissance de la science


de l’esprit critiques, du travail de recherche, de l’esprit scientifiques
Question 2 : En quoi et monter comment nos connaissances médicales actuelles
sont le fruit d’une très lente maturation .

Question 3 : Quels furent les trois grandes périodes de la médecine occidentale ?

Introduction

I. La médecine contemplative

a. L’homme inscrit dans un microcosmes

1.Vu a l’antiquité

2. Vu au moyen Age

La théorie des humeur et l’astrologie

b. La sémiologie

1. La sémiologie d’Hyppocrate

2. La sémiologie au moyen age

Mirer les urines, les tableau représentant les lépreux et les pestiférés

a. D’une médecine finaliste, peu critique et peu curieuse vers une médecine
d’observations et de mesure

1. La médecine finaliste de Galien

2. La médecine d’observation des temps moderne

les cabient de curiosité, les microscopes, les mesures de gaz, des aliments , des
excrétas

-> la peur d’une médecine invasive


II. La médecine curative

a. Les soins chirurgicaux

1.Des soins anecdotiques et limités à l’antiquité et au moyen âge

Opération de la cataracte, de la taille, trépanation

2.Avec la compréhension des règles d’hygiène la chirurgie ose

b. Les médicaments

1. Une recherche permanente de l’antiquité au temps contemporains


2. Des médicaments enfin efficace contre les bactéries

3. Les recherche pour le soins des cancer

4. Les virus, le combat d’aujourd’hui et de demain

III. La médecine préventive

a. Généralité

Elle apparaît dès les temps modernes et s’est renforcée aujourd’hui

b. La contraception

c. l’hygiène

d. Les virus

Variolisation, vaccination , le vaccin contre la grippe

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