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CHAPITRE TABLE DES MATIÈRES

INTRODUCTION ....................................................................................................................................... 3
CHAPITRE 1 : LE SQUELETTE .................................................................................................................... 4
❖ LES OS .................................................................................................................................................. 4
❖ LES ARTICULATIONS .......................................................................................................................... 11
❖ La capsule articulaire ................................................................................................................. 12
❖ La luxation .................................................................................................................................. 12
❖ Les composantes articulaires ..................................................................................................... 16
❖ LE SQUELETTE AXIAL ......................................................................................................................... 22
❖ Le crâne ...................................................................................................................................... 22
❖ La mâchoire................................................................................................................................ 22
❖ Le squelette laryngé ................................................................................................................... 23
❖ La colonne vertébrale ................................................................................................................ 23
❖ Les muscles érecteurs du rachis................................................................................................. 32
❖ La hernie discale ........................................................................................................................ 42
❖ Les courbures vertébrales .......................................................................................................... 47
❖ La cage thoracique ..................................................................................................................... 54
CORRIGÉ ................................................................................................................................................ 59
VIDÉOS .................................................................................................................................................. 61
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES ......................................................................................................... 62
INTRODUCTION

INTRODUCTION
INTRODUCTION
Le système musculosquelettique est l'ensemble des organes qui
interviennent dans le soutien et le mouvement du corps.

Il confère forme, stabilité et mouvement au corps humain. Il se


compose d’os qui forment le squelette, de muscles, de
tendons, de ligaments, d’articulations, de cartilage et d’autres
tissus conjonctifs.

Le terme « tissu conjonctif » désigne le tissu qui soutient et


maintient les tissus et les organes ensemble. Ses principaux
composants sont le collagène et les fibres élastiques, qui se
composent de différentes protéines.

Le système musculosquelettique, aussi appelé système


locomoteur, remplit deux fonctions. Il est d'abord responsable
du soutien, car si nous n'avions pas de squelette, nous serions
des invertébrés à l'image des vers de terre par exemple, nous ne pourrions pas nous tenir debout et
serions obligés de ramper pour nous déplacer. Ensuite, ce système permet à l'humain de se déplacer
par l'action conjointe des muscles et des articulations qui nous permet en effet de réaliser une
multitude de mouvements.

L’interaction entre les os et les muscles permet des mouvements divers :

– La locomotion : la marche, course, ramper, grimper, nager, etc.


– La préhension : la capacité à saisir des objets.
– La communication verbale : par la production de sons propres à la langue parlée ou non-
verbale (mimique).

Si le système musculosquelettique, joue un rôle dans


le mouvement, il en joue un également dans le non-
mouvement, par la stabilisation de la posture que
nous prenons, comme la station debout ou assise, ou
l’immobilisation de certaines parties du corps
comme la contraction continue des muscles du cou
qui maintient la tête droite.

Enfin, il remplit encore d’autres fonctions, certaines


étant vitales, comme la respiration, le déplacement
de substances dans l’organisme comme les
contractions du muscle cardiaque qui propulse le
sang dans les vaisseaux, la mastication, la
déglutition, la continence urinaire et fécale, etc…

INTRODUCTION 3
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

LE SQUELETTE

❖ LES OS ❖ L’OSTÉOPOROSE
❖ LES ARTICULATIONS ❖ L’ARTHROSE – L’ARTHRITE
❖ LE SQUELETTE AXIAL ❖ LE CANCER DES OS
❖ LE SQUELETTE APPENDICULAIRE

CHAPITRE 1 : LE SQUELETTE
Le squelette est la charpente de l'anatomie humaine, qui
soutient le corps et protège ses organes internes.

Pour faire simple, le squelette est supporté et étayé par


des ligaments, tendons, muscles, fascias et du cartilage,
formant l’appareil locomoteur. Il est à la base de notre
mobilité grâce aux articulations qui permettent aux
muscles d'actionner les différentes parties osseuses.

Le fœtus a un squelette cartilagineux dont l’ossification


débute avant la naissance à environ trois mois de
grossesse et continue après la naissance, jusqu'à l'entrée
dans l'âge adulte.

Par rapport à un squelette d'adulte (206 os), le squelette


d'un nourrisson possède près d'une centaine d'os
supplémentaires (350 os).

❖ LES OS
L’os est un tissu solide, en constant remodelage. Il possède plusieurs fonctions. Les os permettent
de rigidifier l’organisme et de protéger les organes internes délicats. Ils contiennent la moelle
osseuse, où se forment les cellules sanguines, constituent également la réserve de calcium de
l’organisme et une forte concentration en minéraux. Il existe deux sortes d'os : l'os compact et l'os
spongieux.

L'os compact est le plus dense. Il comprend


beaucoup de vaisseaux sanguins, autour
desquels se fixent les cellules osseuses. Il se
trouve dans la partie externe des os longs,
comme le fémur. Une grande partie du
métabolisme osseux se déroule à ce niveau.

Il entoure et protège ainsi l'os spongieux central


qui contient la moelle osseuse, dans laquelle
sont formées les cellules sanguines et les
cellules immunitaires.

CHAPITRE 1 4
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

❖ Les types d’os

Le squelette humain possède un certain


nombre de fonctions, comme la protection des
organes et le port du poids.

Les différents types d'os présentent des formes


diverses en lien avec leur fonction spécifique.
Le squelette comporte cinq types d'os :

− Plat
− Long
− Court
− Irrégulier
− Sésamoïde

Les os plats

Les os plats se trouvent dans le crâne (occipital,


pariétal, frontal, nasal, lacrymal et vomer),
dans la cage thoracique (sternum et côtes) et
dans le pelvis (ilium, ischium et pubis).

La fonction des os plats est de protéger les


organes internes tels que le cerveau, le cœur et
les organes pelviens. Les os plats sont quelque
peu aplatis et peuvent prodiguer une
protection, comme un bouclier. Ils offrent aussi
de vastes zones permettant aux muscles de se
fixer.

Les os longs

Les os longs, plus longs que larges, regroupent le


fémur (le plus long os du corps) ainsi que des os
relativement petits se trouvant dans les doigts.

Ils servent à soutenir le poids du corps, favoriser le


mouvement et sont principalement situés dans le
squelette appendiculaire. Ils comprennent des os
des membres inférieurs (tibia, péroné, fémur,
métatarsiens et phalanges) et des membres
supérieurs (humérus, radius, ulna, métacarpiens et
phalanges).

CHAPITRE 1 5
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Les os courts

Les os courts sont presque aussi longs que larges. Ils sont
situés dans les articulations du poignet et de la cheville.

Ils offrent une stabilité et une certaine amplitude de


mouvement.

Les carpiens du poignet et les tarsiens de la cheville sont


des exemples d'os courts.

Les os irréguliers

Les os irréguliers possèdent une forme et une structure


variables, et c’est pour cette raison qu’ils n'appartiennent
à aucune autre catégorie. Ils présentent souvent une
forme assez complexe, ce qui permet de protéger les
organes internes. Par exemple, les vertèbres, des os
irréguliers se trouvant dans la colonne vertébrale,
protègent la moelle épinière.

Les os irréguliers du pelvis (pubis, ilium et ischium)


protègent les organes de la cavité pelvienne.

Les os sésamoïdes

Les os sésamoïdes sont des os intégrés à des tendons. Ces


petits os courts, ronds ou ovalaires, se trouvent
généralement dans les tendons des mains, des genoux et
des pieds.

Les os sésamoïdes servent à protéger des tendons des


tensions et de l'usure. La patella, encore appelée rotule,
est un exemple d'os sésamoïde.

Le sens biologique
Au commencement, la vie est fragile, vulnérable, faible. Si fragile que la moindre agression peut la
faire disparaître, la faire retourner au néant. La seule solution est une protection extérieure, la
carapace du crabe, les piquants de l’oursin, la coquille de l’huître, etc…

C’est l’extérieur qui me soutient, me protège, me rassure, me sécurise. Sans lui, je meurs. Dans
l’évolution de la vie (phylogenèse) comme dans l’évolution de l’enfant (embryogenèse), cette force de
soutien extérieur est progressivement relayée par l’apparition du soutien intérieur : l’endosquelette,
c’est-à-dire l’ensemble de nos os. Imaginez un être humain sans un seul os et vous aurez une idée de
l’importance de ce squelette intérieur.

D’ailleurs, certains dépressifs, certains adolescents qui n’ont pas de projet, ressemblent à cela, eux qui
refusent toute aide extérieure alors qu’ils n’ont pas encore trouvé leur solidité intérieure.

CHAPITRE 1 6
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Dans nos vies, selon le domaine d’expérience, nous pouvons alterner d’un état psycho-biologique
d’endosquelette à un état psycho-biologique d’exosquelette. Chaque fois que nous nous sentons
confiants, sûr de nous, capables d’aider et de soutenir l’autre, nous sommes psycho-biologiquement
dans la stratégie de l’endosquelette.

Chaque fois que nous demandons de l’aide, que nous nous en remettons à autrui, que nous devenons
dépendants de l’autre dans notre vie, nous sommes psycho-biologiquement dans la stratégie de
l’exosquelette, car mous à l’intérieur.

Besoin de protection

L’excès de ce mode psycho-biologique, être dépendant de l’extérieur, donne des tempéraments


fragiles, influençables, sans personnalité.

L’exosquelette est une référence externe. Par exemple : « toute ma vie j’ai cru ce que les autres ont
dit sur moi ». Il est bon que les parents répondent à un moment : « je ne sais pas, et toi qu’est-ce que
tu en penses? » L’enfant peut alors commencer à regarder en lui et cela permet son autonomisation.
L’homme est structuré sur la peur donc, par voie de conséquence, il se met à se protéger de tout :

– Le corps : l’enveloppe physique de protection


– Les valeurs personnelles : les croyances
– La vie sociale : la relation avec les autres (famille, clan)

Question de valeurs

Si l’os casse systématiquement, c’est parce que nos vieilles valeurs vont à la poubelle et ne sont pas
remplacées par de nouvelles. Nos valeurs sont ce qui nous construit. Mais ce qui avait de la valeur à
une époque de notre vie n’en a plus ensuite, car nos valeurs changent. Elles ne sont nos valeurs
qu’autant qu’elles sont utiles, utilisées, stimulées par la passion. En apesanteur, le cosmonaute se
décalcifie. Pourtant, il ne se dévalorise pas, bien au contraire! C’est simplement que dans l’espace, ça
n’a plus de valeur de fabriquer de l’os.

Ou bien c’est l’inverse, comme il faut que cette zone soit plus forte, c’est le sarcome, on fait plus d’os.
Il y a un conflit, un drame, tournés vers le futur : « je dois être plus costaud ». Cet os va avoir de la
valeur et sera utilisé ultérieurement. C’est un conflit par anticipation : « je me prépare à cela, car je
m’estime, mais j’ai peur de ne pas y arriver ».

CHAPITRE 1 7
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

En sympathicotonie

Nous associons aux os, le plus grand des ressentis de dévalorisation de soi : la très grande
dévalorisation (TGD) : « je me sens profondément nul et jamais je ne pourrai y arriver ».

− Le SBS : augmenter la solidité osseuse dans son rôle de soutien et de support.


− La MSPC : désintégrer les cellules osseuses par ulcération cellulaire (T2), nommée ostéolyse,
afin de pouvoir les reconstruire plus solidement en vagotonie.
La personne ne se sent pas appuyée par ce qu’elle possède et c’est irréversible. Il ne s’agit pas
d’ajouter de la force au squelette pour y arriver, mais d’effacer la fondation inadéquate à la
base, en enlevant « les mauvaises cellules » pour en refaire des nouvelles et devoir tout
reconstruire du point de départ. De là l’expression : « répondre au conflit de dévalorisation ».
Les os vont se décalcifier, s’atrophier et se fragiliser par ostéolyse. Le rôle des douleurs
osseuses au périoste en phase active (Ca), régie sous le « schéma de la sensibilité de
l’épithélium du gosier », est de nous obliger à rester immobile pour ne pas se fracturer.

En vagotonie

En vagotonie, il y aura une reconstruction osseuse par multiplication cellulaire (T1) : sarcome. C’est à
ce moment que les indicateurs des composantes sanguines nécessaires à la reconstruction des os vont
augmenter considérablement et provoquer une leucémie le temps de la guérison.

Le ressenti : Se sentir profondément nul et impuissant.


Conflits correspondants : Dévalorisation de soi (TGD)
Latéralité (droitière)
• Le côté droit (son futur) : le partenaire. Le côté personnel, intime, affectif, dominant, actif,
don. Son versant temporel dans le futur et les projets.
• Le côté gauche (son présent): la famille. Le côté relationnel en particulier avec les autres
membres du clan familial, du danger, du dominé, effacé, d'aide à l'action, de défense. Son
versant temporel du présent, passé et souvenir.
• OS = dévalorisation (TGD). Atteinte profonde dans mon potentiel = impuissance.
• Conflit de TGD dans la structure de la personne, la plus profonde qui se puisse imaginer.
• → Ostéolyses = atrophie des os = trous de décalcification dans les os. « Je ne suis rien », « je
suis nul » je suis structuré sur le rien, le manque, le vide. Fragilité de l'être.
• Conflit de devoir disparaître, car je n’y arriverai jamais avec ce que je suis, car ce que je
possède ne fait pas le travail.
• Rupture avec le clan (par rapport au père), illégitimité, déracinement.
• Os au singulier : se prononce « hausse » → notion d'élévation, de verticalité.
• Os au pluriel : se prononce « eau ».
• Dans le terrestre : mécanique et construction - les personnes qui ont manqué de structure
combleront leur manque dans ces métiers.
• Dans le ciel : décision de sortir de l'immuable - Les personnes qui veulent se rapprocher du
divin (prêtre, abbé...).

CHAPITRE 1 8
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Décodage des os

Embryologie : Mésoderme nouveau.


Foyer de Hamer : Moelle cérébrale.
Sympathicotonie : Ulcération osseuse (T2). Ostéolyses. Douleur (périoste).
Vagotonie : Multiplication des cellules osseuses (T1). Œdème. Leucémie. Sarcome. Douleur.
Phase : Sympathicotonie.
Organe touché : Les os.
Invariant : L’impuissance.
MSPC : Ulcérer, détruire les os qui ne sont pas assez performants.
Non-Solution : Aucune possibilité d’y arriver par mes propres moyens.

Questions : Introduction et les os

1. Quel système se compose d’os, forme le squelette et est composé de muscles, de tendons, de
ligaments, d’articulations, de cartilage et d’autres tissus conjonctifs? ____________________
_____________________________________________________________________________

2. L’interaction entre les os et les muscles permet des mouvements divers. Nommez-les.
− ________________________ : __________________________________________________
− ________________________ : __________________________________________________
− ____________________________________________ : ______________________________
___________________________________________________________________________

3. L’os possède plusieurs fonctions. Nommez-les.


− ___________________________________________________________________________
− ___________________________________________________________________________
− ___________________________________________________________________________
− ___________________________________________________________________________
___________________________________________________________________________

4. Quel est la fonction des os plats? ____________________________________________________


______________________________________________________________________________

5. À quoi servent les os sésamoïdes? __________________________________________________


______________________________________________________________________________

CHAPITRE 1 9
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

6. Comment pouvons-nous décrire la très grande dévalorisation (TGD)? ______________________


______________________________________________________________________________

7. Quel est le rôle des douleurs osseuses? ______________________________________________


______________________________________________________________________________

8. Que se passe-t-il avec les indicateurs des composantes sanguines nécessaires à la reconstruction
osseuse durant le temps de la guérison? _____________________________________________
______________________________________________________________________________

9. Quel est le ressenti conflictuel pour les os? __________________________________________


______________________________________________________________________________

10. L’ulcération osseuse (T2) et l’ostéolyse, apparaissent dans quelle phase de la maladie de l’os?
______________________________________________________________________________

11. Quel est l’Invariant pour les os? _____________________________________________________


______________________________________________________________________________

12. Quelle est la MSPC pour les os? _____________________________________________________


______________________________________________________________________________

Vrai ou Faux
1. Les os irréguliers présentent souvent une forme assez simple, ce qui permet de protéger les
organes internes. _______
2. Ne voir aucune solution possible par mes propres moyens est la Non-Solution pour les os.
_______
3. Le système musculosquelettique joue un rôle dans le mouvement mais n’en joue aucun dans le
non-mouvement. _______
4. Si l’os casse systématiquement, c’est parce que nos vieilles valeurs vont à la poubelle et ne sont
pas remplacées par de nouvelles. _______
5. L'os compact est le plus dense. Il comprend beaucoup de vaisseaux sanguins, autour desquels
se fixent les cellules osseuses. _______
6. Il s’agit d’ajouter de la force au squelette pour y arriver, et non d’effacer la fondation à la base,
en enlevant « les mauvaises cellules » pour en refaire des nouvelles. _______
7. Les os sésamoïdes sont des os intégrés à des tendons. _______

CHAPITRE 1 10
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

❖ LES ARTICULATIONS
Les articulations maintiennent les os du squelette ensemble et favorisent le mouvement. Certaines
articulations ne sont normalement pas mobiles, comme celles qui se trouvent entre les os plats du
crâne. D’autres articulations permettent une amplitude large et complexe de mouvements. La
conformation d’une articulation détermine le degré et le sens du mouvement.

Par exemple, les articulations des épaules, qui ont la forme d’une sphère mobile et d’un socle en
creux et arrondi, permettent des mouvements de rotation interne et externe, ainsi que des
mouvements des bras en avant, en arrière et vers l’extérieur. Les articulations de type charnière des
genoux, des doigts et des orteils permettent seulement de plier (flexion) et d’étendre (extension) le
membre.

Les types d’articulations :

− Fibreuse : entre les zones articulaires des articulations


fibreuses se trouve du tissu conjonctif épais, ce qui
explique pour quelle raison la plupart des articulations
fibreuses sont immobiles.
− Cartilagineuse : les articulations reliant des os par du
cartilage portent le nom d'articulations cartilagineuses :
immobile (sternum) et mobile (symphyse) comme les
hanches et les vertèbres.
− Synoviale : se caractérisent par la présence d'une
capsule articulaire entre les deux os reliés. Elles sont
souvent soutenues et renforcées par les ligaments qui
les entourent, ce qui limite le mouvement et prévient les
blessures.

L’amplitude de mouvement

− Immobiles : regroupent les sutures du crâne,


les articulations entre les dents et la mandibule,
et l'articulation située entre la première paire
de côtes et le sternum.
− Légèrement mobiles : elles peuvent bouger
légèrement. C'est notamment le cas de
l'articulation distale entre le tibia et le péroné.
− Vaste amplitude : l'épaule, le poignet, la
hanche et la cheville se situent au niveau des
membres inférieurs et supérieurs.

Voir vidéo #1 : Les articulations.

CHAPITRE 1 11
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

❖ La capsule articulaire

La capsule articulaire est l'ensemble de tissus organiques en


forme de manchon qui entoure l'articulation synoviale. Elle
contient la cavité articulaire et unit les os.

Elle est constituée de deux couches :

− Une capsule fibreuse et élastique à l'extérieur qui


entoure et délimite les articulations mobiles.
− Une membrane synoviale à l'intérieur.

Les capsules articulaires contribuent, avec les ligaments, à maintenir en contact les structures de
l’articulation et à en assurer la stabilité.

Capsulite rétractile : se manifeste lorsque la capsule articulaire de l'épaule se « rétracte » et


s'enflamme, entraînant l'apparition graduelle d'une douleur et d’une perte de mouvement
progressive jusqu’au blocage de l'épaule dans certaines voir même toutes les directions.

❖ La luxation

Quand nous nous déboîtons quelque chose, « luxons » est le terme


utilisé par les experts. On parle de luxation quand les surfaces de
contact de l’articulation, les os, sont totalement séparées les uns des
autres.

Le plus souvent, une articulation luxée demeure luxée jusqu’à ce qu’elle


soit remise en place médicalement, mais il peut arriver qu’elle se
remette en place spontanément et retourne à sa position initiale. En
cas de subluxation, les os de l’articulation sont partiellement déplacés.

Le sens biologique
Carrefour et lieu de convergence de tout ce qui nous fait agir et être. L'ensemble articulaire constitue
la conjugaison entre notre structure interne et le désir de mouvement. Chaque articulation est en
correspondance avec son rôle spécifique, peut être rattachée à son conflit de façon majeure (tonalité),
et à la fonction et/ou au traumatisme de façon mineure (sous-tonalité). C’est très souvent lié à la
comparaison entre le présent, le passé et le futur (pré-jet). Mobilité, liberté, nos articulations nous
disent :

« ta liberté est immense, elle n'est limitée que par tes émotions,
tes peurs, tes préjugés et tes croyances ».

Le geste

Certaines pathologies articulaires sont liées à des conflits de dévalorisation de soi dans le geste
(cartilage). Il y a toujours une comparaison douloureuse, un jugement négatif de soi par rapport aux
autres ou à une image de soi, présente ou passée. Le geste est un mouvement extrêmement précis,
exécuté avec finesse. L’articulation est proximale et son rôle est d’orienter en rapprochant l’extrémité
distale pour effectuer la tâche.

CHAPITRE 1 12
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Les lésions articulaires sont en lien avec des conflits de mouvement global dans l’action au présent,
mais aussi orienté vers une solution future (pré-Jet). Ce sont là des petites différences d’interprétation
qui sont toutefois très importantes pour bien comprendre le conflit de la personne atteinte de ces
différentes lésions :

− L’articulation : la mobilité
− Le ligament : la performance
− Le tendon : la vitesse d’exécution
− Le muscle : la force de contraction
− Le cartilage : le geste de précision
− Les os : la solidité de la structure

Comme l’articulation n’est pas un organe en soi, mais un ensemble de composantes assemblées pour
effectuer un mouvement, il faudra se référer à la zone affectée pour en préciser la tonalité.

En sympathicotonie

Toutes les composantes articulaires sont issues du mésoderme nouveau (MN), en ressenti de
dévalorisation de soi.

− Le SBS : se libérer d’une situation qui nous emprisonne.


− La MSPC : détruire les composantes jugées inadéquates par ulcération cellulaire (T2), afin de
les reconstruire pour qu’elles soient plus efficaces et répondre au besoin de mobilité.
Ce principe de reconstruction osseux (cal) est utilisé par nos cellules biologiques, telle une
fissure dans une planche de bois qui, une fois collé, ne cèdera jamais à l’endroit de la
réparation. La colle ajoutée est plus puissante que les fibres de bases. Cependant, il est
possible en TGD ressenti en impuissance, que la destruction des composantes (os, cartilage,
ménisque) demeure en programme actif jusqu’à la destruction totale.

En vagotonie

Depuis longtemps, nos croyances nous forcent à croire que l’inflammation est une réaction
physiologique négative qu’il faut rapidement empêcher, car elle ralentie la réparation et cause des
maladies articulaires. Si elle ne provient pas d’une blessure biomécanique d’origine accidentelle ou
d’un impact de nature externe, on présume que c’est une blessure de fatigue d’un mouvement
répétitif. Mais en réalité c’est un leurre. L’inflammation est une phase de réparation qui apparait
uniquement en vagotonie, et provoque même parfois l’incident.

Le tissu des composantes articulaires se reconstruisent par multiplication cellulaire (T1). La douleur
inflammatoire arrive au moment où l’œdème compresse le nerf sensitif et peut survenir à l’improviste,
au repos, durant le jour ou même la nuit. Elle oblige une immobilisation immédiate, mais essentielle
durant le temps de réparation.

Lorsque le ressenti n’est pas totalement solutionné et demeure en balance, l’ulcération indolore
reprend de plus bel, dès la fin de la vagotonie. Il est d’ailleurs important de ne pas entrer dans un
phénomène de victimisation, en utilisant la blessure comme une solution pour ne pas passer à l’action
en se déculpabilisant. À ce moment, cela devient une stratégie inconsciente très bien planifiée. Le
conflit devient verrouillant (CV) et la guérison est interminable.

CHAPITRE 1 13
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Le ressenti : Incapacité de me libérer d’une situation qui m’emprisonne.

Conflits correspondants : Dévalorisation de soi


• En tonalité de mouvement, en rapport avec l'action et l'articulation concernée.
• Manque de liberté, de mouvement : « on me retient ».
• Comment le couple « s'articule ».
• Articuler = parler.
• Verrouillé → conflit de blocage dévalorisant dans le faire.
• Raideur →Trop de liberté de mouvement...
• Luxation : « Je veux me dégager, m’échapper de l’obligation de la situation dans laquelle je
suis prisonnier ».
• Capsulite : La peur du jugement et des conséquences du geste posé.
• Capsulite rétractile : perte de contact (séparation).
− TGD pour avoir été trop souple, trop complaisant dans notre évaluation de nous et
les autres.
− Je donne et je reprends quelque chose (amour, projet, etc…).

Décodage de l’articulation

Embryologie : Mésoderme nouveau.


Foyer de Hamer : Moelle cérébrale.
Sympathicotonie : Ulcération cellulaire (T2).
Vagotonie : Reconstruction par multiplication cellulaire (T1). Déchirure, désarticulation.
Inflammation. Douleur.
Phase : Vagotonie.
Organe touché : L’articulation (selon la composante affectée).
Invariant : Le manque de liberté.
MSPC : Ulcérer le segment afin de pouvoir le reconstruire plus performant.
Non-Solution : Incapacité de se dégager de la situation qui nous retient.

CHAPITRE 1 14
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Questions : Les articulations


1. Dans quelle situation parlons-nous de luxation? _______________________________________
______________________________________________________________________________

2. Le conflit des articulations est très souvent lié à la comparaison entre quoi?
______________________________________________________________________________

3. De quelle façon s’exprime un conflit de dévalorisation dans le geste en matière de lésions


articulaires pour :
− L’articulation : _________________________________________________________
− Le ligament : __________________________________________________________
− Le tendon : ____________________________________________________________
− Le muscle : ____________________________________________________________
− Le cartilage : ___________________________________________________________
− Les os : _______________________________________________________________

4. Quel est le SBS pour l’articulation en sympathicotonie? __________________________________


______________________________________________________________________________

5. Quelle est la MSPC en phase Ca pour l’articulation? _____________________________________


______________________________________________________________________________

6. Quel est le ressenti pour l’articulation? _______________________________________________

7. Quel est l’invariant conflictuel pour l’articulation? ______________________________________

8. Quelle est la MSPC pour l’articulation? _______________________________________________


______________________________________________________________________________

Vrai ou Faux
1. Lors d’une subluxation, les os de l’articulation sont partiellement cassés. _______
2. Les pathologies articulaires sont liées à des conflits de dévalorisation dans le geste. _______
3. Les articulations maintiennent les os du squelette ensemble et favorisent le mouvement.
_______
4. L'ensemble articulaire constitue la conjugaison entre notre structure interne et le désir de
mouvement. _______
5. La capsule articulaire est l'ensemble de tissus organiques en forme de manchon qui entoure
l'articulation fibreuse. _______

CHAPITRE 1 15
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

❖ Les composantes articulaires

➢ Le ligament et le cartilage

Lorsque nous étudions le squelette humain, nous distinguons les os. Mais en regardant de plus près
nous remarquerons d'autres structures :

− Le cartilage : est plus flexible que l'os, mais plus


rigide que le muscle. Il permet de donner leur
structure au larynx et au nez. Il se trouve également
entre les vertèbres, ainsi qu'aux extrémités de
certains os, comme le fémur.
− Le ligament : est une courte bande de tissu
conjonctif dense et fibreux, qui relie un os à un autre
(ex : le genou). Il est essentiel au fonctionnement de
l’articulation.
Les ligaments sont résistants et très solides. Ils contiennent du collagène et des fibres
élastiques, ce qui leur permettent de s’allonger dans une certaine mesure. On les retrouve de
part et d’autre des articulations et servent à les relier entre elles. De plus, ils permettent de
renforcer et de stabiliser les articulations dans certaines directions ou limiter des
mouvements. Ainsi, ils protègent l'articulation lors de mouvements forcés ou involontaires.

L’entorse ligamentaire

Une entorse est un étirement ou une déchirure d’un ou de plusieurs ligaments d’une articulation.
Elle est causée par un coup direct, une flexion, une extension ou une torsion de l’articulation au-
delà de son amplitude normale. Les degrés de gravité sont :

− Légère : un étirement des ligaments, souvent appelé foulure. À ce stade, l’articulation est
encore fonctionnelle.
− Modérée : un étirement des ligaments accompagné d’une déchirure partielle.
− Grave : une rupture complète du ou des ligaments. Il se peut aussi que le tendon se détache
de l’os entraînant avec lui un petit morceau d’os.

➢ Le tendon

Le tendon est la partie du muscle en forme de cordons


qui prolonge le corps musculaire. Les tendons sont fixés
sur les parties du squelette et servent d'attaches au
muscle.

De couleur blanche, d'aspect plutôt large et épais, ils


possèdent une forte résistance due à leur structure en
faisceaux de fibres de collagène. Ils appartiennent aux
tissus conjonctifs avec un réseau de fibres beaucoup plus
organisé que la plupart des tissus conjonctifs.

CHAPITRE 1 16
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Un tendon relie un muscle à un os et a pour fonction de stabiliser par intermittence les articulations
osseuses avec l'aide du muscle auquel ils sont liés. D’autre part, un ligament est utilisé pour relier deux
os et offrir une stabilité articulaire permanente.

Chaque tendon permet aussi de transmettre les forces musculaires aux pièces osseuses. Le tendon et
le muscle forment une composante dynamique qui permet le mouvement. Bien qu'un tendon soit peu
vascularisé, on y trouve d'innombrables nerfs fournissant une information précise sur la charge tractée
ainsi que sur la position du membre auquel il est attaché.

Le sens biologique

Le ligament

Les ligaments ont pour fonction de retenir les os ensemble dans l’articulation, car sans eux, il n’y aurait
aucun soutient, ni aucune stabilité articulaire. Il nous serait alors impossible de bouger, de faire un
mouvement ou de nous déplacer. Une atteinte à un ligament indique un conflit en dévalorisation de
soi, enclenché dans un ressenti d’incapacité à effectuer un mouvement correctement à la hauteur de
nos attentes de performance.

Le tendon

Le mouvement est limité par les tendons, qui assurent la cohésion de l'articulation mais en limitent
aussi le mouvement. Ils assurent la stabilité, permettent de maintenir notre objectif par un compromis
entre mobilité (muscles et cartilage) et structures (os). Lorsque nous sommes en mouvement, notre
cerveau est en permanence informé des positions de chaque articulation par des capteurs situés dans
les tendons. Les tendons symbolisent la cohésion interne et expriment vers quoi nous « tendons ». Il
décide des mouvements futurs en synchronisant les différentes contractions des groupes musculaires.

Le ressenti conflictuel est en dévalorisation de soi (MN), dans une incapacité à effectuer un
mouvement ou une tâche assez rapidement. Le tendon sert à capter les informations motrices
sensorielles durant l’exécution du mouvement moteur. Il s’agit d’un conflit en espace/temps, par
manque de précision et de vitesse.

Le cartilage

Le cartilage fait partie du tissu osseux. Il répond à un conflit de dévalorisation de soi (MN), dans une
tonalité d’incapacité, en lien avec un geste qui n’a pas été à la hauteur. La personne croit qu’elle n’est
pas en mesure d’améliorer la précision de son geste en fonction de ses composantes qu’elle possède.

CHAPITRE 1 17
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

En sympathicotonie

Le ligament

− Le SBS : augmenter la performance d’exécution d’un mouvement moteur.


− La MSPC : ulcération cellulaire (T2) du tissu conjonctif, afin de reconstruire des fibres
ligamentaires plus performants dans le futur (pré-jet). Cette phase est toujours indolore.

Le tendon

− Le SBS : augmenter la vitesse d’exécution motrice.


− La MSPC : ulcération cellulaire (T2) du tissu tendineux inadéquat, afin de le reconstruire avec
des fibres plus efficaces. Cette phase est indolore.

Le cartilage

− Le SBS : améliorer la précision et la finesse d’un geste.


− La MSPC : d’ulcérer (T2) le cartilage inefficace, afin de le reconstruire plus solide. Cependant,
comme le cartilage est un prolongement osseux (TGD), l’ostéolyse ou l’arthrose se poursuit
jusqu’à une dégradation complète de l’os atteint, à moins de solutionner le conflit.

En vagotonie

Ligament et tendons

En vagotonie, les tissus endommagés se reconstruisent par multiplication cellulaire (T1).


L’inflammation compresse les nerfs sensitifs, ce qui provoque la douleur jusqu’à la fin de la guérison
et qui oblige une immobilisation de manière à accélérer le processus réparatoire. Les nouvelles fibres
reconstruites seront plus efficaces que celles qui ont été détruites.

En effectuant la tâche motrice valorisante, le conflit se solutionne et démarre la phase inflammatoire.


Cependant, dans un conflit en balance, la rechute conflictuelle met fin à la réparation. Cela fait en
sorte que le processus tourne en boucle et devient parfois interminable.

Le cartilage

Lorsqu’une solution a été trouvée sur l’impuissance du geste dévalorisant, le conflit se règle. Un
cartilage plus fort se reconstruit par multiplication cellulaire (T1), et provoque une phase
inflammatoire nommée arthrite. Cependant, si le conflit reste en balance, il se créer un épaississement
du cartilage à chaque reprise de vagotonie. La croissance des nouvelles cellules s’effectue sur l’os, sans
toutefois diminuer la densité déjà en place, ce qui explique l’excroissance osseuse (cal osseux) et la
déformation articulaire, dû au recommencement du programme de reconstruction sur de longues
périodes.

CHAPITRE 1 18
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Le ressenti :
– Le ligament : manquer de performance dans l’exécution d’un mouvement moteur.
– Le tendon : manquer de vitesse dans l’exécution d’un mouvement moteur.
– Le cartilage : ne pas se sentir à la hauteur dans un geste moteur.

Conflits correspondants : Dévalorisation de soi


Ligament : « je n'arriverais jamais à être au même niveau que... »
• Pré-Jet, conflit de performance pour le futur.
• Rapport à l'anticipation de la dévalorisation, des peurs par rapport à un geste.
• Envie de rompre, de démissionner.
• Le ligament fait le lien entre le tendon et l'os, il précède le mouvement.
• Être plus fort dans le futur « quoique je fasse, je n'y arriverais pas ».
• Dévalorisation dans une tonalité d'entrave, de manque de liberté.
• Dévalorisations liées aux mouvements de l'articulation concernée, sentiment d'incapacité, se
sentir écartelé entre deux choses contradictoires.
• Besoin de séparer, de se détacher, de dénouer un problème. Ne pas autorisé à…
• Lier → conflits en relations avec les liens.
• Conflit en lien à un mensonge au lit par rapport à un gars.
• Hyperlaxité : manque de souplesse et je dois m’adapter.

Cartilage : Le geste qu'il aurait fallu faire ou ne pas faire.


• Pour chaque articulation, le conflit sera en rapport avec l'action ou les actions qui lui sont
propres. Structure de potentiel d'activité.
• Dévalorisation dans le geste, le geste en soi, fonctionnel, symbolique ou traumatique.
• Hyalin : Pré-jet.
− En rapport (sous-tonalité) avec les os et articulations concernés.
− En termes de soutien et de flexibilité.
• Costaux : Dévalorisation dans ce qui a été raté entre les divers membres du clan et l'individu
lui-même.

L’entorse
• Besoin de perfection (en tonalité du ligament atteint).
• Contradiction interne, l’entorse est la manifestation du désaccord.
• Conflit de mensonge dans le lien du couple.
• La fin d'une période de vie, la mise en évidence d'un changement, du passage vers un autre
équilibre.
• Une disproportion entre ce que nous souhaitons et ce que nos tendons permettent
d'accomplir.
• Un désir au-delà de toute harmonie et tout objectif possible.
• Avec rupture : dévalorisation entre la décision que je veux prendre et celle que l’on m’impose.

CHAPITRE 1 19
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Le tendon
• Manquer de rapidité dans le mouvement (geste) que je suis en train d’effectuer (jet).
• Léger conflit de dévalorisation de soi propre à la localisation du tendon.
• J’anticipe ce qui va arriver : « je vais être nul ».
• Lié à l'effort musculaire futur : « je n'y arriverai jamais », dans une tonalité d'entrave, de
manque de liberté.
• « Je dois être performant maintenant ».
• Dévalorisation liée à des remords par rapport à un geste.
• Nous « tendons vers » sans y arriver (impotence) ou avec peur de ne plus y arriver et de perdre
sa place en étant per(e)formant (champion) : n'avoir aucun ressort (re-sort).
• Devoir être plus fort la prochaine fois dans le futur (pré-jet).
• Quoi que je fasse, je n’y arriverai pas. La perfection.
• L’intention du mouvement juste, au projet d’agir.
• L’indécision sur un choix à faire.

Décodage des composantes articulaires

Embryologie : Mésoderme nouveau.


Foyer de Hamer : Moelle cérébrale.
Sympathicotonie : Ulcération cellulaire (T2). Arthrose.
Vagotonie : Reconstruction par multiplication cellulaire (T1). Inflammation. Douleur, déchirure,
tendinite, arthrite.
Phase : Vagotonie – Sympathicotonie (arthrose).
Organe touché : Ligament, tendon, cartilage.
Invariant : Une dévalorisation motrice.
MSPC : Ulcérer les cellules en place inadéquates pour les reconstruire plus performantes.
Non-Solution : Incapacité d’atteindre le niveau de performance nécessaire.

CHAPITRE 1 20
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Questions : Les composantes articulaires


1. Quelle fonction ont les ligaments? _________________________________________________

2. Le ressenti conflictuel pour le cartilage est en lien avec quoi? ____________________________


_____________________________________________________________________________

3. La douleur persistera jusqu’à quand et à quoi servira-t-elle? ____________________________


_____________________________________________________________________________

4. Quel est le ressenti pour une atteinte aux ligaments? ____________________________________


______________________________________________________________________________

5. Quel est le conflit pour le ligament : _________________________________________________

6. Quel est le conflit pour le cartilage : _________________________________________________

7. Quel est l’invariant pour les ligaments : ______________________________________________

8. Quelle est la MSPC pour les ligaments? _______________________________________________


______________________________________________________________________________

Vrai ou Faux
1. La phase de sympathicotonie est toujours indolore. _______
2. Les ligaments sont résistants mais peu solide. _______
3. L’entorse est un conflit de besoin de protection. _______
4. Le cartilage est plus rigide que l'os, mais plus flexible que le muscle. _______
5. En vagotonie, on remarquera une chaleur inflammatoire, signe de multiplication cellulaire (T1).
_______
6. Le ligament n’a pas d’autre choix que d’ulcérer son tissu conjonctif en phase de
sympathicotonie. _______
7. Un tendon est très vascularisé. _______

CHAPITRE 1 21
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

❖ LE SQUELETTE AXIAL
Les os du squelette humain sont divisés en deux
groupes. Le squelette axial et appendiculaire.

Le squelette axial comprend tous les os situés le


long de l'axe longitudinal du corps qui forment :

− Le crâne
− Le squelette laryngé
− La colonne vertébrale
− La cage thoracique

❖ Le crâne

Le crâne humain est la partie supérieure du squelette qui repose sur le rachis cervical par
l’intermédiaire de l’atlas. Cette boîte osseuse qui contient le cerveau a pour fonction de protéger
l'encéphale et sert aussi de points d'attache à des muscles du visage et du cou. Le crâne est constitué
au total de vingt-deux os divisés en deux groupes : les os du crâne et les os de la face.

Les os du crâne proprement dits, sont unis entre eux


grâce à des articulations que l'on nomme des sutures.

Ils y sont constitués par 8 os :

– 4 os pairs : deux pariétaux et deux


temporaux.

– 4 os impairs : le frontal, l’occipital.

❖ La mâchoire

La mâchoire se constitue de deux structures près de l’entrée de la bouche qui portent les dents : le
maxillaire supérieure et la mandibule. Le mot « mâchoire » utilisé au singulier réfère typiquement à la
mâchoire inférieure appelée : la mandibule.

Chez les mammifères, la mandibule a la particularité d’être le seul os mobile du crâne, s’articulant avec
l’os temporal par l’articulation temporomandibulaire (ATM). Elle est innervée par le nerf mandibulaire
qui est la troisième branche du nerf trijumeau. Les muscles adducteurs permettent d’ouvrir et de
fermer la mâchoire avec puissance, précision et sensibilité.

La mandibule est un os en forme de fer à cheval surmonté des dents


inférieures permettant à la mâchoire d’exercer ses principales
fonctions :

− Le langage articulé
− La préhension alimentaire
− La mastication
− La respiration

CHAPITRE 1 22
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

La mâchoire supérieure ou maxillaire, est composée de deux os, qui sont fusionnés dans la ligne
médiane par une suture. Une fermeture incomplète de cette suture et de celles autour peut être
concernée dans la malformation connue comme palais fendu, ou bec-de-lièvre. Tout comme la
mandibule, une partie des os maxillaires entoure les dents : l’os alvéolaire.

❖ Le squelette laryngé

Le squelette laryngé, également connu sous le nom de larynx ou os lingual, est situé au-dessus du
larynx, dans la partie antérieure du cou, juste en dessous de la base de la langue. Il a la particularité
chez l'humain d'être le seul os du squelette qui ne soit pas articulé avec un autre os.

L'os hyoïde est composé de neuf cartilages divisés en


cinq parties: un corps, deux grandes cornes et deux
petites cornes. Plusieurs muscles de la mâchoire y sont
attachés, et un grand nombre soutiennent et bougent la
langue, le pharynx et le larynx.

Les mouvements du squelette laryngé permettent


d'ouvrir et fermer la glotte pour permettre la respiration
et la déglutition, tout en régulant le degré de tension des
plis vocaux qui, lorsque de l'air les traverse, produisent
des sons.

❖ La colonne vertébrale

La colonne vertébrale est une


colonne flexible formée d'une série
de 24 vertèbres ainsi que du sacrum
et du coccyx. Elle s'étire de la base
du crâne jusqu'au pelvis.

Elle est segmentée en trois parties :


le rachis cervical (C1 à C7), le rachis
thoracique (T1 à T12) et le rachis
lombaire (L1 à L5), auxquels s'ajoute
le rachis sacré (le sacrum et le
coccyx).

La moelle épinière part du trou


occipital du crâne et s'achemine
dans la colonne vertébrale par le
biais du canal vertébral.

Voir vidéo #2 : La vertèbre type La colonne tube.

CHAPITRE 1 23
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

➢ Les vertèbres cervicales : la communication


• C1 et C2 : Les seules vertèbres nommées. Ce sont des vertèbres dites suprêmes, au-delà du
sang, plus important que le sang. C'est le fondement même de la représentation binaire du « 1 »
et du « O ».
− C1 = ce que je donne comme informations : « ne pas pouvoir s’exprimer ».
− C2 = ce que je reçois (prends) comme information : « on ne m’écoute pas ».

• C1 : atlas. Se fait l'approvisionnement en sang dans la tête.


– Conflit de ne pas être écouté(e) par les autres : « ce que je dis, on s’en fou ».
– Dévalorisation par rapport à des informations à donner, en termes de dire.
− Atlas : infos à donner : parler. Communication profonde en émission = en
termes de dire, d'émettre. Conception masculine.
− À droite : ne pas être écouté par rapport à l'intérieur (épouse....).
− À gauche : ne pas être écouté par rapport à l'extérieur (travail...).
− Troubles associés : Maux de tête, nervosité, insomnies, hypertension, coryza,
migraine, dépression nerveuse, amnésie, troubles mentaux, épilepsie, fatigue
chronique, étourdissements, vertiges.

• C2 : axis. Communication profonde en réception, ce que je prends et ce qui est


profondément intégré « conception féminine » ressentiment, amertume, rancœur.
− Conflit de ne pas pouvoir comprendre intellectuellement.
− Dévalorisation relative à l’intégration de l’information.
− À droite : par rapport aux proches.
− À gauche : par rapport à l'extérieur.
− Œil droit : richesse.
− Troubles associés : Sinusite, allergies ORL, surdité, strabisme, troubles
oculaires, otalgies, évanouissements.

• C3 : Lié au contact – Vésicule biliaire (rancœur).


− Avoir de la rancœur de ne pas être écouté, alors je ne vaux rien.
− Conflit d'opposition, de rancœur chronique avec souillure et séparation.
− Incapacité à trouver un compromis, une solution.
− Recherche du beau - conflit d'esthétique – obsessionnel : « je veux que les choses
soient belles ».
− À droite : Par rapport aux proches.
− À gauche : par rapport à l'extérieur.
− Œil gauche : Fécondité.
− Troubles associés : Névralgies faciales, névrite, acné, boutons, eczéma.

• C4 : Nez, lèvres bouche, trompes d'eustache, surdité. C4 à C7 = injustice.


− La personne estime n’avoir rien fait de mal. Cependant, étant accusée par l’autre, elle
passe pour la méchante dans l’histoire. Elle se sent impuissante et baisse la tête car
elle accorde une grande importance à ce que les autres disent d’elle.

CHAPITRE 1 24
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

− Recherche du juste milieu, conflit d'opposition, d'injustice chronique de ne pas


pouvoir exprimer son opinion, de ne pas trouver de compromis, de solution.
− Narine droite : la vie.
− Troubles associés : Rhume des foins, catarrhe (Inflammation des muqueuses
provoquant une sécrétion excessive), troubles de l'audition, adénopathies.

• C5 : Rapport à la parole, au verbe- pharynx – cordes vocales.


− Opposition, injustice, difficulté d'expression de son opinion, de ne pouvoir exprimer
ses valeurs – non-écoute des supérieurs.
− Au milieu du cou, c'est le milieu des communications, c'est donc la recherche du juste
milieu, dévalorisation dans la communication dans la tonalité de « je cherche le
compromis sans me positionner et sans jamais l'obtenir ».
− Narine gauche : domination.
− Troubles associés : Laryngite, maux de gorge, enrouement, angine.

• C5 - C6 (charnière) : Je suis dévalorisé dans la parole juste qui me permettra de prendre une
décision.
− Conflit de celui ou de celle qui a un(e) frère/sœur handicapé dont il a honte (clan) « je
ne peux pas dire que j'ai honte ».
− Je dis que j'ai honte de l'autre (femme, enfant) – l'autre me dérange et me gêne.
− Enfermement dans la solitude extrême et un mini-autisme.

• C6 : Amygdales. Ne pas baisser la tête sous le joug de l'autorité.


− Conflit d'injustice surtout dans l'enfance (diabète).
− Conflit en termes d'enfant : « rêve d'enfant inaccessible » (ex : être pilote d'avion
pour être ailleurs). Le « 6 » est lié à l'enfant.
− Oreille droite : la paix.
− Troubles associés : Torticolis, douleur dans les bras, amygdalite, dysfonctionnements
thyroïdiens, goitre.

• C6 - C7 (charnière) : « Le bras ne peut pas faire ce qu'il devrait faire pour éviter le danger »,
peur que cela finisse mal, « la guillotine vous tombe dessus ». C'est souvent le répercuté d'une
chose se passant au niveau dorsal (ex : choc anaphylactique).

• C7 : Thyroïde = le temps.
− Lié à la bourse séreuse de l'épaule.
− Dépression – injustice.
− Ne pas baisser la tête (soumission).
− Le coude : le travail.
− À droite : affectif, fatalisme, passivité, résignation.
− À gauche : le danger de mort, et la colère de voir partir.
− Troubles associés : Bursite de l'épaule, céphalées, fatigue.
− Spondylite C7 : conflit structurel de dévalorisation d'injustice.

CHAPITRE 1 25
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

• C7 - D1 (charnière) : Relie l'injustice et le déplacement.


− Danger immédiat : « sauver sa peau en voiture, danger en permanence ».
− Souvent suite à une anesthésie et à la peur de ne pas s'éveiller.

➢ Les vertèbres dorsales : Le soutient dans le travail à effectuer.


• D1 : Les reins – thyroïde – œsophage – bronches – trachée.
− Conflit par rapport à l'ordre des choses qui n'est pas respecté et la peur de ne pas
pouvoir s’en sortir.
− Œsophage : « ne pas pouvoir avaler ce que l’on m’impose ».
− Fonction osseuse : mains, doigts, avant-bras, poignets.
− À droite : manque affectif (proches).
− À gauche : révolte, colère (belle-famille, externes).
− Troubles associés : Asthme, toux, douleurs aux avant-bras et les mains.

• D2 : Les artères coronaires – cœur – valves. Conflit territorial.


− Dévalorisation dans la survie de mon foyer- maison.
− Je suis le pilier de la structure dans mon territoire.
− Conflit par rapport au père.
− À droite : le manque affectif.
− À gauche : le père symbolique.
− Troubles associés : Bronchite, congestion de la poitrine.

• D3 : Le poumon (plèvre) – seins – vessie – côtes.


− Dévalorisation et pilier de vie.
− Rapport avec la mère ou la mère symbolique.
− À droite : manque affectif par rapport à la mère réelle ou symbolique.
− À gauche : colère par rapport à la mère symbolique.
− Troubles associés : Troubles fonctionnels du cœur, Douleurs poitrine.

• D4 : La vésicule biliaire.
− Rancœur : « on en veut à quelqu'un ou soi-même et on ne veut pas en démordre ».
− À droite : rancœur par rapport à un manque affectif.
− À gauche : colère.
− Troubles associés : Douleurs dans les doigts, tristesse, dépression.

• D5 : Le foie – le sang.
− Conflit de manque de… ou d’affection dans mon clan.
− Je ne suis pas intégré dans le clan – (Rejet).
− Ne supportent pas les manquements les injustices et les abus du système à l'égard
des petits, des pauvres et des malades.
− À droite : foie, manque chronique d'assistance envers le clan. L’autre ne donne pas.
Culpabilité.

CHAPITRE 1 26
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

− À gauche : colère en relation avec les liens de sang.


− Troubles associés : Douleurs région cardiaque, troubles coronariens, douleurs sur
trajet méridien MC, anémie, hypotension, mauvaise circulation.

• D6 : L’estomac (conflit récent). Duodénum = assimilation.


− Se sentir incompris contrariété récente dans le territoire, vécue en dévalorisation.
− À droite : manque d'affect (foie).
− À gauche : colère.
− Troubles associés : brûlures gastriques, indigestion, hoquet.

• D7 : Le pancréas.
− Conflit de résistance par rapport à l'innommable.
− Je ne suis pas intégré dans le clan – (Rejet).
− À droite : culpabilité ou recherche de l'affect, manque.
− À gauche : colère vis à vis du monde extérieur.
− Troubles associés : Troubles estomac, dyspepsies, ulcère, gastrite.

• D8 : Le sang – la rate. Souvent lié à D5.


− La filiation du clan. Se sentir rejeté de la famille. Colère.
− Troubles associés : hémorragies, allergies, urticaire, foie, zona, auto-intoxication.

• D9 : Les surrénales. Souvent lié aussi à D10.


− Problème de direction, sentir de se tromper de direction et de choix (orientation).
Quelle orientation dois-je prendre par rapport à ma vie?
− À droite : dévalorisation, culpabilité.
− À gauche : colère.
− Troubles associés : troubles de la vésicule, lithiase biliaire, acné, affections de la peau,
eczéma.
• D10 : Les reins.
− Par rapport à l'écoulement et aux liquides.
− L’anéantissement : avec écroulement du territoire.
− Problème de direction et de choix.
− Uretère : conduction -conduite de marquage de territoire.
− Troubles associés : fatigue chronique, néphrite, pyélite, HTA rénale.

• D10/D11 (charnière) : Avec notion de territoire, aussi par rapport à la rate et/ou l'uretère.

• D11 : Urètre - Contrariété, marquage du territoire: on marche sur mes plates-bandes.


− Difficulté pour nommer ce qui est à moi.
− Colon : évacuation → « on m'évacue, on m'éloigne » de mon territoire.
− Manque de reconnaissance.
− Troubles associés : Diabète, troubles du sang, anémie.

CHAPITRE 1 27
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

• D12 : Le pubis. Dévalorisation sexuelle.


− Conflit sexuel pas propre : conjoint, père.
− « Je n’arrive pas à faire le bon geste sexuel ».
− À droite : collègues.
− À gauche : externe.
− Troubles associés : Endométriose, rhumatisme, stases (arrêt ou ralentissement
considérable de la circulation ou de l'écoulement d'un liquide organique).
− Chez la femme :
− À droite : culpabilité liée à la demande sexuelle de l'homme.
− À gauche : colère par rapport à cette même demande.
− Chez l'homme :
− À droite : culpabilité.
− À gauche : colère par rapport à la femme qui refuse.

➢ Les vertèbres lombaires : Le pilier qui supporte la charge.


• L1 : Circulation / échange (vessie) par rapport à la digestion : estomac – colon.
− « Mes proches m'ont joué un tour de cochon ».
− MSPC pour disparaître et éviter le tour de cochon.
− « Je fais disparaître mon capital pour éviter que le fisc, le religieux ... ne me fassent un
tour de cochon en prenant mes biens ».
− Insécurité, demande d'amour, besoin d'être seul → notion importante de la
dépendance.
− La famille fait pression, je m’y accroche, mais en même temps je sens qu’elle me fait
du mal et des coups bas car je suis dépendant vis-à-vis d'eux.
− Troubles associés : constipation, colite, dysenterie, hernies.

• L1 et L2 (charnière) : assimilation.
− Conflit de saloperie et de conflit indigeste dans une tonalité de manque d'argent.
− Pas propre, cochonnerie qui dévalorise.

• L2 : Gros intestins – Colon


− Cæcum appendice = bourse de réserve, réserve d'argent....
− Conflit par rapport à quelque chose de pas propre.
− Devoir lâcher prise des choses qu'on pensait garder (jalousie, stock-...) +
dévalorisation par encombrement – Subvenir aux besoins.
− À droite : en rapport avec la famille.
− À gauche : par rapport au travail.
− Blocage dans une souffrance de l'enfance, pas d'issue avec la problématique de ne
pas sortir les possibilités que l'on a en réserve. Je reste sur ma souffrance et je n'utilise
pas mes potentiels. Appendice, cuisse.
− Troubles associés : menstruations douloureuses, irrégulières. Ménopause, stérilité,
impuissance, douleurs des genoux.

CHAPITRE 1 28
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

• L2 et L3 (charnière) : conflit central, dévalorisant. Perdre son axe.


− Conflit indigeste dans une tonalité de manque d'argent et conflit de perte (réelle,
virtuelle, symbolique, imaginaire), conflit par rapport à la portance (grossesse).
− S'en lise (en-lyse) financièrement - effondrement pas net.

• L3 : Les ovaires et testicules. La perte humaine.


− Dévalorisation en rapport à quelque chose de fondamental.
− Conflit sexuel, problème d'avortement...
− Problème de marquage de territoire et manque de puissance de procréation et
génitalité.
− Conflit amoureux avec un rival.
− TGD de ne pas avoir su marquer son territoire sexuel avec assez de puissance, de
s'être retrouvée enceinte d'un autre que son mari, ou qu'une autre femme ait fait un
enfant avec son mari (enfant avorté).
− Violence sexuelle, culpabilité, haine de soi-même, avec manque de motivation,
problème dans le travail, incompréhension. Est-t-on branché sur le désir profond?
− Troubles associés : Affection de la vessie, appendicite, crampes, acidose, mictions
difficiles ou incontinence, varices.

• L3 et L4 (charnière)
− Conflit de perte ou en rapport à la portance (grossesse).
− Conflit semi-sexuel, pas propre, hors norme.

• L4 : La norme : ne pas être comme les autres.


− Dévalorisation sur la base que je construis pour ériger quelque chose (travail).
− Rejet de la sexualité, insécurité financière, peur dans la carrière, sentiment
d'impuissance, ne pas être dans la norme, ne pas faire ce que l'on devrait... prostate,
muscles lombaires, nerf sciatique.
− Relié à la prostate et au corps utérin.
− TGD pour un couple très mal assorti (chambre à part) faisant plein d'enfants ou pas
d'enfants.
− Désir d'enfants du sexe qu'on n'a pas (fille ou garçon).
− La norme « réelle », la législation, la justice, l'ordre normal.
− À droite : ne pas être dans la norme par rapport à la famille.
− À gauche : ne pas être dans la norme par rapport à l'extérieur.
− Troubles associés : Avortements, fibrome, hémorragies utérines, prostatisme,
sciatalgie, lumbago, dorsalgies.

CHAPITRE 1 29
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

• L4 et L5 (charnière)
− Conflit de ne pas pouvoir recevoir de la tendresse du partenaire car trop attaché à
son père.
− La norme : « je ne suis pas comme les autres ».
− Peur d’être coincé et coupé entre un ordre ou une autorité (père, justice…) et l'amour
d'un(e) partenaire coincé(e) qui n'arrive pas à recevoir ou à donner de la tendresse
ou à qui il ne peut donner de la tendresse.
− Conflit semi-sexuel, pas propre, hors norme et conflit de direction et conflit par
rapport à la sexualité ou à la portance (grossesse).

• L5 : Dévalorisation par rapport aux collatéraux (amis, voisins, frères, sœurs...).


− Dévalorisation sexuelle. Moi par rapport aux autres.
− DPRC de : Je n'ose pas me dire (phantasme sexuel) de peur d'être jugé « hors
norme ».
− Insécurité, difficulté de communiquer, colère, incapacité à accepter le plaisir, la mort,
conflit avec tout le monde, culpabilité. J'aurai dû, je devrai faire ceci, je recherche
l'amour de papa et maman... partie inférieure du membre inférieur, hanches.
− Fracture : MSPC pour réparer la sexualité hors norme.
− À droite : les proches en termes de culpabilité.
− À gauche : la colère.
− Troubles associés : stases circulatoires des jambes, pieds froids, faiblesse hanches,
jambes, chevilles, crampes.

• L5 / S1 (charnière) : La perte matérielle – Dévalorisation sexuel.


− Peur de ne pas y arriver financièrement ($) et qu’il ne me reste plus rien, car la perte
(dépense, prêt, …) est importante et vient liquider ce qu’il me reste.
− Pilier de survie.
− Dévalorisation sexuelle : « je n’ai pas envie mais on m’oblige à le faire ».
− Conflit de perte ou en rapport à la portance (grossesse).
− Dévalorisation sexuelle coup bas, trahison, être sapé à la base (viol, violence...).
− Dévalorisation par rapport aux amis, voisins, collègues, parents...
− Sont en confrontation l’une par rapport à l'autre.
− L5 = avec la concrétisation et S1 = le passé. Quand les deux ne peuvent se rencontrer.
− Spondylolysthésis : pour vivre mon avenir, je « dois » me couper de mon passé.
− Rétrolisthésis: Je mets les voisins, les amis en avant – Je suis en arrière.

• S1 : Pertes de pouvoir.
− Vieilles colères.
− Conflit avec la mère, j'aurai dû, je devrais, beaucoup de culpabilité.
− Lombo - sacrée : Dévalorisation d'avoir flétri les choses du père (le divin), les plus
belles choses.

CHAPITRE 1 30
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

➢ Le sacrum
Le sacrum a une forme de pyramide inversée, situé entre la colonne vertébrale et le coccyx. Il constitue
la paroi postérieure du bassin osseux dont le rôle principal est de supporter le poids du haut du corps.
Il est également le trait d’union entre ce dernier et la colonne vertébrale. A ce titre, il constitue, avec
son voisin, le vestige de notre queue de mammifère. Grâce à son canal sacral, le sacrum protège
également les nerfs rachidiens. Le sacrum est un os issu de la fusion de cinq vertèbres sacrées. Il
présente trois articulations : lombo-sacrée, sacro-iliaque et sacro-coccygienne.

Plusieurs muscles impliqués dans l’articulation de la hanche,


comme le grand fessier, l’iliaque et le piriforme, s’insèrent à la
surface du sacrum. Ces muscles assurent la stabilité du corps en
position debout.

Le sacrum n’abrite pas dans son canal sacral la moelle épinière


puisqu’elle ne descend pas jusqu’en bas de la colonne vertébrale,
mais jusqu’au niveau de la deuxième vertèbre lombaire. Mais une
racine de nerfs rachidiens s’échappe de sa partie inférieure
appelée queue de cheval. Certains nerfs ressortent au niveau du sacrum par des trous : les foramens
sacraux-dorsaux. Ces nerfs sacrés contrôlent les membres inférieurs et les organes du bassin.

➢ Le coccyx
Rappelons que le coccyx est formé de quatre
(parfois cinq) petites vertèbres plus ou moins
soudées entre elles. Elles peuvent être légèrement
mobiles les unes par rapport aux autres, grâce à la
présence d’articulations et de ligaments.

La douleur au coccyx est, pour résumer, due à un


mouvement anormal ou à un déplacement du
coccyx.

Voir vidéo #3 : Sacrum, coccyx, trajet des nerfs sacrés.

CHAPITRE 1 31
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

❖ Les muscles érecteurs du rachis

Les muscles spinaux sont les muscles érecteurs du


rachis. Dans le langage courant, on les appelle plus
familièrement les lombaires.

Ils ne se limitent pas au bas du dos, et s’étendent en


longueur de part et d’autre de la colonne vertébrale.
Ils permettent l’extension et la flexion de la colonne
vertébrale et de la tête. Ils sont donc responsables
de l’auto-grandissement et contrôlent l’inclinaison
de la colonne.

Ils forment un groupe de trois muscles situés dans le


bas du dos et permettent l'extension du rachis.

– L’ilio-costaux : est un muscle superficiel situé


sur la région latérale. Il est érecteur et extenseur
du rachis.

– Longissimus : est extenseur et érecteur du


rachis. Il joue un rôle primordial sur la
stabilisation de la charnière costo-transversaire.

– L’épineux : permet la stabilisation de la


charnière thoraco-lombale.

C’est un ensemble de muscles profonds du dos qui


permettent de soulager la pression des disques
intervertébraux. En se contractant, ils diminuent les
pressions antérieures exercées sur les disques et
participent donc grandement à protéger la colonne.

➢ Le muscle carré des lombes


Les muscles du bras ou de l’avant-bras ne peuvent agir
(pousser, tirer, porter) que s’ils ont un point d’ancrage fixe
pour permettre un contrepoids. Le point d’origine se situe au
niveau des vertèbres lombaires. L’ancrage n’est pas direct :
les muscles sont fixés à l’omoplate, elle-même reliée aux
lombaires par les muscles grands dorsaux. L’omoplate
fonctionne comme une poulie qui renvoie la traction vers les
lombaires.

Quand nos mains soulèvent ou supportent une charge


devant nous, les muscles du bras sollicitent l’aide des
lombaires pour faire un contrepoids. Ceci explique pourquoi pendant un effet important de tirer ou
soutenir sur un objet, ce sont les vertèbres lombaires qui travaillent. Le muscle « carré des lombes »
fixé sur l’os iliaque est le plus utilisé en soutient et en stabilisation du tronc vertébral.

CHAPITRE 1 32
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

➢ La subluxation vertébrale
Le complexe de subluxation vertébrale (CSV)
est la dysfonction biomécanique, musculaire
et neurologique d’une articulation vertébrale
qui se traduit à la fois par une mobilité
articulaire anormale et par une distorsion des
signaux nerveux échangés entre le corps et le
cerveau.

Une CSV provoque un désalignement ou un


manque de mobilité entre deux vertèbres de la
colonne vertébrale. Lorsque le muscle est
tendu, les racines nerveuses se déplacent et
une pression se créer sur le disque vertébral.

Ce « blocage » des nerfs spinaux entraîne des


douleurs, parfois très intenses lors
d’inflammation, ainsi que des interférences au
niveau de la circulation des messages
neurologiques entre le cerveau et toutes les
parties du corps.

L’étymologie

Les vertèbres

Le mot vertèbre vient du latin « vertebra », de « vertere » = tourner, faire tourner, se tourner, se
retourner, retourner, changer, convertir, transformer, traduire, se dérouler, attribuer à, faire
remonter à, se diriger. L’étymologie latine nous donne déjà pas mal de pistes à exploiter pour trouver
le conflit à l’origine du dysfonctionnement, principalement toutes les situations où soit on a voulu, soit
on n’a pas pu, soit on a dû tourner la tête, au sens propre du terme.

Il était dangereux de tourner la tête et nous l’avons quand-même fait. Nous crevions d’envie de le faire
et nous ne l’avons pas fait car un interdit moral s’y opposait.

Au sens figuré, tourner la tête de quelqu’un, cela veut dire l’étourdir, dans l’idée aussi de l’avoir avec
nous, de notre côté, le convaincre au prix peut-être d’une certaine fiction, et cela pouvant aller jusqu’à
le rendre amoureux de nous.

Les cervicales

Le mot cervical(e) vient du latin « cervix » = nuque. Le conflit principal qui touche la nuque est celui de
peur dans la nuque, autrement dit la paranoïa. Tout ce que nous ne voyons pas, qui n’est pas devant
nos yeux, est susceptible d’être dangereux.

À force de surexploiter notre capacité de vigilance dans la nuque, nous finissons par avoir mal où? À
la nuque évidemment. Il serait temps de voir la réalité en face, de comprendre que le monde n’est pas
aussi dangereux que ça, que c’est la représentation que nous en avons qui nous donne cette image,
afin de laisser nos vertèbres cervicales, et les muscles qui vont avec, se reposer un peu.

CHAPITRE 1 33
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Le sacrum

L’étymologie nous dit pratiquement tout : ce mot vient du latin os sacrum « os sacré », probablement
parce qu’il soutient les entrailles de l’animal jadis offert en sacrifice aux dieux. Nous voilà donc plongés
au cœur du sacré et du sacrifice.

On pourra par conséquent se demander en priorité : quelle chose sacrée ou relation sacrée ai-je perdu
récemment? Avec qui ne pourrais-je plus jamais faire l’amour? On peut aussi chercher les histoires
d’enfant sacrifié : la mère a-t-elle songé à avorter? Ou bien toute notion de sacrifice.

Enfin, on n’oubliera pas quel serait l’intérêt inconscient à ne plus pouvoir s’asseoir…

La symbolique

Dans la mythologie grecque, Atlas est un géant condamné par Zeus à supporter la voûte céleste. Il ne
peut jamais abandonner sa tâche, au risque de laisser le ciel tomber sur la terre et par conséquent sur
lui-même. La tête est donc symboliquement le ciel du corps et celui-ci pèse de tout son poids sur nos
actions.

Nous ne sommes vraiment libres d’agir avec notre corps que lorsque nous le faisons en accord avec
notre esprit : c’est l’union indissociable du corps et de l’esprit. Le mot axis, qui veut dire essieu en latin,
est l’expression de l’axe du monde, un vecteur spirituel autour duquel s’édifie toute construction. Il
est étroitement lié à la notion de centre, de milieu. Verticalement, il relie le monde terrestre et les
sphères célestes. Tous les symboles ayant une fonction de médiateur sont aussi liés à l’axe du monde :
pilier, colonne, échelle, montagne, etc…

Cela nous donne des pistes intéressantes et cela parlera certainement à de nombreuses personnes,
sans cesse à la recherche du juste équilibre, médiateurs dans l’âme, ou à celles qui se vivent,
inconsciemment, comme si elles étaient toujours le centre du monde.

L’écoute du verbe

Les cervicales

Cervicale = cerf / vit / cale. Quand le cerf vit, quand il prend sa place dans son territoire, et nous savons
à quel point les cerfs sont des animaux très territoriaux (conflit de l’infarctus), il cale, il y a quelque
chose qui cale, et c’est le cou qui est calé, qui coince, car pour les humains qui sont un peu comme le
cerf, c’est avec le cou principalement qu’ils marquent leur territoire (les cervidés frottent leur tête sur
les arbres). Tout est dans le cou pour eux.

Tout passe par le cou. Pour être dans le coup, il faut avoir du cou! C’est comme si ces personnes
faisaient tout avec le cou, et à force de surexploiter cette partie de leur corps, elle finit par s’user
prématurément.

CHAPITRE 1 34
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Le sens biologique
Les os

Les os en général sont sensibles à la tonalité conflictuelle de dévalorisation de soi (TGD), dans sa
structure. Chaque vertèbre est le siège d’une dévalorisation particulière ainsi que le siège, demi-
vertèbre par demi-vertèbre, des mémoires biologiques des atteintes de la personne, en relation
fonctionnelle ou symbolique, avec les différentes autres parties du corps. Nos mémoires conflictuelles
passent par notre colonne vertébrale et s’enregistrent dans notre « conflictothèque ».

Les vertèbres en tant qu’os, les muscles et toutes les composantes articulaires vertébrales ont leur
origine au mésoderme nouveau (MN) et répondent au conflit de TGD.

Les cervicales

Les vertèbres cervicales sont sous l’emprise d’une dévalorisation soi, en termes de soumission et
d’impuissance, avec la contrainte d’accepter une situation. Les codes archaïques de comportement se
retrouvent déjà chez les animaux qui vivent en groupe. Les dominants portent la tête haute et les
dominés baissent la tête et détournent le regard en signe de soumission. Dans notre langage humain,
il existe des expressions de dévalorisation de soi, telles que « baisser la tête » ou « avoir la tête basse ».

Les vertèbres cervicales sont toutes liées à la communication, le verbe. Le système nerveux passe par
le cou pour se distribuer au corps. Le cou est une tige télescopique de la tête, un pivot pour orienter
les cinq sens. La tête est le seul endroit du corps où les cinq sens sont représentés. Une atteinte aux
vertèbres cervicales désigne une tonalité d’impuissance dans l’expression nos opinions, souvent en
soumission à l’autorité.

« Ne pas pouvoir s’exprimer » ou « Ne pas être écouté »

Les dorsales

Notre colonne vertébrale se compare à un mât de bateau. Un long poteau qui doit être rigide pour ne
pas plier à la force appliquée par le vent dans ses voiles. La musculature dorsale a un rôle d’érecteur
(extension) dans la posture et se contracte pour conserver une tension au milieu du dos. Une fois dans
la position verticale, nos mains sont alors dégagées et cela nous permet d’effectuer les travaux
manuels.

Par contre, une trop forte charge au bout de nos bras peut fait plier la charnière dorsale, car les
muscles dorsaux (longissimus) ne sont pas conçus pour soutenir trop de pesanteur vers l’avant. C’est
à ce moment que vient en aide le muscle iliocostal « carré des lombes ». Avec sa large musculature et
son origine plus basse sur l’os iliaque, il est plus enclin à fournir davantage de force pour maintenir le
soutient de la colonne verticalement. D’où l’expression : « devoir soutenir à bout de bras ».

Le ressenti conflictuel lié aux vertèbres dorsales est basé sur le « soutient » dans l’exécution d’un
travail à effectuer, quand nous sommes seul et n’avons pas d’aide pour effectuer une lourde et
importante tâche de travail.

« Ne pouvoir compter que sur soi-même et devoir se débrouiller seul pour effectuer la tâche ».

CHAPITRE 1 35
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Les lombaires

Les vertèbres lombaires nous supportent en tant que pilier, car ce sont celles qui s’articulent avec la
plus grande charge sur leur « dos ». C’est aussi l’exemple du « mât vertébral » qui traverse le pont,
bien fixé à la quille dans cale du navire. Elles nous stabilisent, car sans elles nous pourrions nous
effondrer sous le poids que nous transportons et appliquons sur notre dos. Elles correspondent à la
fondation d’une maison, sur laquelle est supportée toute la charge de la structure verticale.

« Je suis seul pour tout supporter, je suis le seul pilier sur qui on doit compter ».

Le ressenti conflictuel est très souvent lié à l’argent, d’où « compter » prend tout son sens. C’est la
relation et le rapport entre les gens et les choses fondamentales. Comment vais-je faire pour y arriver
financièrement si je suis seul à tout supporter? C’est une TGD dans la survie de soi-même ou de son
clan, en termes de fonctionnement de la structure en place. Je suis le pilier, je ne peux compter que
sur moi-même pour supporter tout le poids et les responsabilités.

En sympathicotonie

Dans un transposé osseux, la tonalité du ressenti de dévalorisation de soi (MN), se précise dans la
composante affectée. La structure en place est considérée virtuellement comme « pas assez solide »
pour assurer son rôle de soutien ou de support. Les os sont en termes de rigidité, dans une profondeur
d’impuissance, pouvant aller jusqu’à une détérioration complète des cellules.

− Le SBS : augmenter la solidité pour assurer le soutien ou le support.


− La MSPC : désintégrer les cellules osseuses par ulcération cellulaire (T2), nommée ostéolyse,
afin de pouvoir les reconstruire plus solidement en vagotonie.
À la colonne vertébrale, dans un ressenti d’incapacité musculaire pour accomplir la tâche
demandée en tant que soutient ou support, un spasme est créé aux muscles érecteurs afin
d’augmenter la force de contraction.

En vagotonie

Une fois le conflit solutionné, il se produit une multiplication cellulaire osseuses (T1) de manière à
reconstruire une base plus performante. C’est à ce moment que l’inflammation fait son apparition,
avec son lot de douleurs au périoste (schéma de la sensibilité du gosier), et une leucémie est possible
durant la guérison. Si le conflit est en balance, le processus d’ulcération demeure présent et provoque
une boucle interminable qui empêche la guérison complète de l’os.

CHAPITRE 1 36
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Le ressenti : Manquer de solidité pour assurer suffisamment de support et de soutient.


Conflits correspondants : Dévalorisation de soi

La colonne vertébrale

• Dévalorisation centrale de la personnalité en lien avec l'organe concerné.


• Représente notre flexibilité et notre résistance face aux évènements de la vie, notre capacité
à amortir les « chocs ».

Les vertèbres
• Cervicales : la communication.
– Dévalorisation dans la communication, l’harmonisation du corps (la tête) et de
l’exécuté (le corps).
– Dévalorisation morale, vouloir la liberté, la paix.
– Plier le cou, être obligé de baisser la tête de honte, humiliation, capituler.
– Conflits d'opinion, d'affirmation, de justice/ injustice.
– Imposition/soumission.
– DPRC de se soumettre à un joug qu'il (elle) refuse.
– Conflit intérieur d'ordre mental, angoisse du futur.
– Cervicalgie : DPRC de ne plus pouvoir tenir la tête haute (noblesse perdue).
– Cervicales hautes : « Je rumine, je voudrais être un autre, avoir une autre situation plus
valorisante ».
C0, C1, C2 : Quand la dévalorisation est purement intellectuelle et que les pensées
ont pour motif les très hautes valeurs (Sacré, divin, morale, éthique...) et ce, pour
ces hautes valeurs elles-mêmes, la pathologie touche les cervicales hautes.
C3, C4, C5 : Quand la dévalorisation est morale (paix, liberté, altruisme, grands
sentiments humanitaires...) mais où la problématique est plus matérielle, plus terre
à terre à ce propos, elle touche les cervicales intermédiaires.
– Cervicales basses : Conflit d'injustice. C'est là qu'on fait plier sous le joug. C'est le conflit
du cerf par rapport au seigneur.
C6-C7 (la charnière C7-D1) : Quand la dévalorisation survient à propos d'une
injustice qui fait plier la tête, alors qu'on ne la mérite pas (ce qui est très différent
d'une punition méritée suite à un mauvais acte).

• Dorsales : devoir tout supporter tout seul et faire soi-même sans aide.
– Conflit de TGD de devoir être le pilier. Dévalorisation dans ce qui est fondamental.
– Les douleurs dorsales sont liées au fardeau que l'on porte ou que l'on nous fait porter.
Tout ce qui nous pousse à « entrer dans le moule ».
– Ce qui passe en premier dans la survie de soi ou du clan en termes de fonctionnement
de la structure en place.
– Renoncement, usure, défaitisme.
– Conflit affectif, chagrin, en rapport avec le passé : « en avoir plein le dos ».

CHAPITRE 1 37
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

• Lombaires : devoir être le pilier de soi-même, de son clan et de sa structure.


– CB invariant : « Je ne peux compter que sur moi-même ».
– « Je suis le pilier de moi-même, mon clan et de la structure à mettre en place ».
– Dévalorisation dans ce qui est fondamental.
– Inflexibilité, rigidité, ressentiment. Difficultés ou préoccupations avec ou pour des
proches.
– Nos bases d'appuis, notre solidité. Ce qui porte les bases familiales et les codes
héréditaires. Il s'appuie sur le sacrum, réserve de notre énergie sacrée, énergie
ancestrale, problématique de l'inceste.

Sacrum

• Le sacrum est entouré des ailes iliaques qui vont ensemble former le bassin, coupe ou berceau
dans lequel nous sommes accueillis dans la vie en général et conçus durant la grossesse.
• Dévalorisation en rapport à des pratiques sexuelles (inceste, déviance sexuelle, pédophilie,
viol...). Contrariété.
• Conflit d'être rongé par le savoir essentiel.
• Conflit par rapport à la connaissance secrète, subtile, essentielle qui me blesse, ou
dévalorisation de ne pas avoir recherché les choses essentielles.
• Être déconcerté, désemparé, désorienté, déraciné, dépaysé. « Je veux que cela se termine ».
• Troubles associés : sacro-iliaques, déviation de la colonne vertébrale.

Lombo-sacré

• Dévalorisation d’avoir abimé les choses du divin ou les plus belles choses.
• Souvent orienté dans une histoire du passé.

Sacro-illiaque

• Les articulations sacro-iliaques sont le lieu et l'incarnation des problèmes de couple, parental,
personnel, filial, etc…
• Droite = affectif.
• Gauche = danger du partenaire.
• Dévalorisation dans la notion d'amour subi, imposé, dégradant, de ne pas avoir pu garder ma
dimension de dignité humaine, mes valeurs sacrées.
• Sexualité dépravée, ratée, qui ne me convient pas.
• Inceste.
• Dévalorisation due à la pulsion sexuelle, frustration sexuelle. Les enfants que l'on « fait dans
le dos ».
• Protection du représenté sacré, du savoir essentiel (fondamental à savoir) - Je suis rongé par
le savoir essentiel.
• Dévalorisation à cause de la connaissance profonde inconsciente, secrète, subtile qui me
blesse.

CHAPITRE 1 38
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Coccyx

• Problématique sexuelle, enfant de mère porteuse, personne élevée par quelqu'un d'autre (le
coucou pond dans le nid d'un autre oiseau pour faire élever son petit).
• Conflit avec ce qui est sacré.
• Le reste de la queue pour fermer l'anus.
• Le mort vivant (zombie) : je suis déjà mort de mon vivant.
• TGD lié à une bestialité (médicale, sexuelle).
• Problème d'homosexualité, de domination, de sodomisation, toutes les agressions sexuelles
banales (très, très fréquentes), acte contre nature, fierté de l'entrée du monde, de l'admission
(bâtard né dans le déshonneur).
• Le rejeton (mémoire d'ancêtre, assassiné ou avorté, massacré...).
• L'enfant (6) de sacrifice.
• Dévalorisation dans le fondement de ma personnalité (base) avec une tonalité sexuelle, ce qui
permet d'être stable, ce qui permet la rectitude, ce qui me sépare des bêtes.
• Conflit du coucou : Enfant de mère porteuse, personne élevée par quelqu'un d'autre (le
coucou pond dans le nid d'un autre oiseau pour faire élever son petit). Ceux qui n'écoutent
pas leurs enfants.
• Troubles associés : Hémorroïdes, démangeaisons, douleurs à la base de la colonne vertébrale
en s'asseyant.

Décodage des os du squelette axial

Embryologie : Mésoderme nouveau.


Foyer de Hamer : Moelle cérébrale.
Sympathicotonie : Ulcération cellulaire (T2). Ostéolyses.
Vagotonie : Remplissage par multiplication cellulaire (T1). Leucémie. Inflammation, douleurs.
Phase : Sympathicotonie.
Organe touché : Les os squelette axial.
Invariant :
– Cervicale : la communication.
– Dorsale : la quantité de travail à soutenir.
– Lombaire : la lourde charge à supporter.
– Sacrum : la sexualité.
MSPC : Ulcérer les cellules osseuses pour les reconstruire plus solides.
Non-Solution : Manquer de solidité pour soutenir ou supporter la tâche.

CHAPITRE 1 39
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Questions : Le squelette axial

1. La colonne vertébrale est segmentée en trois parties. Nommez-les.


− ___________________________________________________________________________
− ___________________________________________________________________________
− ____________________________________________________________, auxquels s'ajoute
___________________________________________________________________________

2. Associer la vertèbre au conflit ou à l’organe.

C1 a) Urètre.
C2 b) Thyroïde.
C3 c) Conflit de ne pas pouvoir comprendre intellectuellement.
C4 d) Dévalorisation par rapport aux collatéraux.
C5 e) Gros intestins – colon.
C6 f) Le sang – la rate.
C7 g) La vésicule biliaire.
D1 h) Les reins – thyroïde – œsophage – bronches – trachée.
D2 i) Le pubis. Dévalorisation sexuelle.
D3 j) L’estomac (conflit récent). Duodénum.
D4 K) Le poumon (plèvre) – seins – vessie – côtes.
D5 l) La norme.
D6 m) Pertes de pouvoir.
D7 n) Les ovaires et testicules.
D8 o) Les surrénales.
D9 p) Les artères coronaires – cœur – valves. Conflit territorial.
D10 q) La perte matérielle – Dévalorisation sexuel.
D11 r) Estomac – colon.
D12 s) Nez, lèvres bouche, trompes d'eustache.
L1 t) Le foie – le sang.
L2 u) Les cordes vocales.
L3 v) Les reins.
L4 w) La vésicule biliaire (rancœur).
L5 x) Le pancréas.
L5/S1 y) Amygdales.
S1 z) Conflit de ne pas être écouté(e) par les autres.

3. Quel est le rôle principal du sacrum? _________________________________________________

4. Que permettent les muscles érecteurs du rachis? ______________________________________


______________________________________________________________________________

CHAPITRE 1 40
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

5. Le muscle du « carré des lombes » est le plus utilisé pour aider à quoi? _____________________
______________________________________________________________________________

6. Quelles vertèbres sont sous l’emprise d’une dévalorisation soit en termes de soumission et
d’impuissance? _________________________________________________________________

7. Quel est le ressenti pour les os du squelette axial? __________________________________


______________________________________________________________________________

8. Quel serait le conflit pour les vertèbres dorsales? _____________________________________


______________________________________________________________________________

9. Quel serait le conflit d’une personne ayant des problèmes aux vertèbres lombaires? ___________
______________________________________________________________________________
______________________________________________________________________________

10. Que se passe-t-il en sympathicotonie pour le squelette axial? _____________________________


______________________________________________________________________________

11. Quel sont les invariants au squelette axial?


− Cervicales : __________________________________________________________________
− Dorsales : ___________________________________________________________________
− Lombaires : _________________________________________________________________
− Sacrum : ____________________________________________________________________

Vrai ou Faux

1. Le sacrum n’abrite pas dans son canal sacral la moelle épinière et cette dernière descend jusqu’en
bas de la colonne vertébrale. _______
2. La colonne vertébrale est une colonne flexible formée d'une série de 28 vertèbres. _______
3. Nous retrouvons un conflit de problématique sexuelle dans les cervicales. _______
4. Le sacrum présente trois articulations : lombo-sacrée, sacro-iliaque et sacro-coccygienne.
_______
5. Les articulations sacro-iliaques sont le lieu et l'incarnation des problèmes de couple, parental,
personnel, filial. _______
6. Les muscles érecteurs du rachis sont donc responsables de l’auto-grandissement et contrôlent
l’inclinaison de la colonne.

CHAPITRE 1 41
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

❖ La hernie discale

Parfois appelée fissure ou rupture du disque, la hernie discale est


une lésion organique, le plus souvent dû à un lent et sournois
processus de dégénérescence. Il en résulte un déplacement
latéral, postérieur ou antérieur du disque intervertébral, dans
lequel passent les racines nerveuses des membres inférieurs.

Quand les pressions qui agissent sur le disque affaibli sont trop
élevées, le disque se rompt et une partie du noyau fait irruption.

Si la fuite se fait vers l’intérieur de la colonne vertébrale, le disque


peut venir comprimer une racine nerveuse, ce qui entraîne de la
douleur sur le trajet du nerf atteint (sciatique). Le plus souvent,
ce sont les disques sacro-lombaires qui sont atteints et 80% des
hernies lombaires touchent les disques qui séparent les vertèbres
L4 - L5 ou L5 - S1.

Voir vidéo #4 : Lumbago et sciatique.

Le disque intervertébral

Entre chacune des 24 vertèbres de la colonne vertébrale, se


trouve un disque qui assure le rôle d’amortisseur de chocs et
donne sa souplesse à la colonne. Il est formé en périphérie
d’une structure fibrocartilage qui contient un noyau gélatineux.

L’épaisseur des disques intervertébraux varient en fonction de


leurs localisations. La zone thoracique possède les disques les
plus minces, d’une épaisseur de 3 à 4 mm, les disques cervicaux
de 5 à 6 mm et la région lombaire possède les disques
intervertébraux les plus épais mesurant de 10 à 12 mm.

Les rôles des disques intervertébraux :

– Amortisseur : permettent d’amortir les chocs et les pressions de la colonne vertébrale.


– Mobilité : permettent de créer une certaine mobilité et flexibilité entre les vertèbres.
– Cohésion : consolider la colonne vertébrale et les vertèbres entre elles.

➢ Le lumbago

Le lumbago est une lombalgie aiguë, un mal de dos, un tour de rein... Une douleur brutale qui se
manifeste dans la partie des lombaires, donnant une impossibilité de mouvements dorsaux.

CHAPITRE 1 42
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

L’étymologie et l’écoute du verbe

Le mot « hernie » a la même origine étymologique que le mot « hargne », celle-ci étant définie comme
étant une querelle, une mauvaise humeur, qui se traduit par des propos acerbes et un comportement
agressif, parfois même méchant ou haineux. La personne qui fait une hernie aurait-elle de la hargne
et celle-ci finirait-elle par s’exprimer dans son corps?

Le qualificatif « discale » est aussi un substantif, qui signifie « déchet » ; plus précisément il s’agit du
déchet dans le poids d’une marchandise transportée ou emmagasinée en vrac, sans emballage. Le
disque intervertébral servirait-il à supporter le surplus de poids des choses qui pèsent sur nous? Cette
interprétation est renforcée par l’utilisation, en marine, du terme « disque de franc-bord » pour
désigner le cercle tracé sur la coque d’un navire, servant à indiquer le maximum d’enfoncement permis
pour le navire. Le disque saute lorsque le porteur subit le maximum d’enfoncement et donc de
dévalorisation à cet endroit du corps.

Hernie = erre /nie = y a-t-il une mémoire de personne qui erre, niée ou rejetée, dans la généalogie?
S’il y a mémoire d’agression, il y a volonté de nier l’agresseur.

Discale = disqual = la personne qui a une hernie discale est disqualifiée, mise hors-jeu, dévalorisée par
la maladie elle-même, ce qui la met dans un cercle vicieux de dévalorisation, la maladie accentuant le
conflit qui est à son origine.

Le mot lumbago vient du latin « lumbus » = reins, dos, échine. Lumbago = l’homme / bas / go.
Annulus = anneau = mariage. Pulposus = pulpeuse.

Solution biologique pour que l’homme bas s’en aille : « go » en anglais. L’homme qui fait des choses
basses. Et avec le bassin, on est dans le domaine sexuel. Le conflit est en relation plus ou moins
évidente avec la sexualité, la libido, avec une possibilité de mémoires familiales de viol ou d’inceste.

Le sens biologique
Pour comprendre le sens d’une hernie discale, il est d’abord nécessaire d’étudier les deux vertèbres
qui sont concernées. L’os en général exprime, dans son dysfonctionnement, le conflit de dévalorisation
de soi, la plus profonde qui soit (TGD), de la personne dans sa structure : « je ne suis rien ». Si je ne
suis rien, autant qu’il ne reste rien de moi, pas même mes os, car ceux-ci ne sont pas assez fort pour
me soutenir et faire leur travail.

On peut exprimer le ressenti comme étant : « je ne peux compter sur personne ni sur moi-même ».
Cela entraîne que « je ne suis pas à la hauteur », par exemple, malgré le fait que « j’ai beaucoup
travaillé ».

Chaque vertèbre raconte une histoire, mais les disques intervertébraux, quant à eux, font également
l’objet de dévalorisations spécifiques, plus légères que pour les os. Le disque sert de coussin
amortisseur de charge entre deux vertèbres, mais permet aussi de bouger et ainsi mobiliser la colonne
vertébrale.

CHAPITRE 1 43
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

En sympathicotonie

Nous retrouvons une combinaison mécanique articulaire (disque-vertèbre), dans un conflit de


dévalorisation de soi au mésoderme nouveau (MN).

− Le SBS : se libérer de la pression virtuelle à laquelle on est exposé.


− La MSPC : ulcérer les cellules osseuses (T2) des vertèbres et de la paroi du disque, afin de les
reconstruire et les rendre plus efficaces. De plus, un espace plus grand permet virtuellement
de diminuer la pression intervertébrale. L’amincissement fragilise le disque et les vertèbres,
cependant ce processus est indolore et ne provoque pas d’hernie.

En vagotonie

Une fois que l’on se sent moins sous pression, un œdème de réparation se forme dans l’os et le disque
vertébral pour effectuer la réparation par multiplication cellulaire (T1). En gonflant, les vertèbres
compriment le disque déjà fragilisé par l’amincissement et l’inflammation de guérison provoque
finalement la hernie. Ce sera le signe que la pression était trop forte et qu’on ne pouvait l’évacuer par
la voie habituelle. La maladie exprime la solution parfaite du cerveau face au conflit : le disque sort de
l’articulation pour diminuer la pression, et la douleur oblige l’immobilisation, afin d’optimiser le
processus réparatoire.

Le lumbago

Le conflit du lumbago dans la région dorsale s’exprime dans la phrase : « j’en ai plein le dos », qui peut
concerner une finalité de vie professionnelle, ou plus souvent familiale et affective. Bien souvent, il
s’agit de soucis financiers. Les vertèbres lombaires sont le siège de la dévalorisation de soi dans ce qui
est fondamental pour la personne pour elle ou pour son clan :

« je ne peux compter que sur moi-même pour tout supporter ».

On veut être le pilier de la famille, celui ou celle qui porte tout sur son dos, en travaillant plié en deux,
mais qui porte trop de charge, au point de finir écroulé de douleur. Il est d’ailleurs important de se
questionner sur l’origine de cette pression en place. Vient-elle vraiment de l’extérieur, de mon clan ou
est-ce une charge que je place moi-même sur mon dos et que « Je » m’oblige à effectuer pour moi-
même.

Ce conflit est très souvent en résonance avec le transposé biologique des parents (P-S), vécu dans la
période des dix-huit mois précédant la conception (l’empreinte de naissance). Qui en a eu plein le dos
à ce moment?

CHAPITRE 1 44
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Le ressenti : Incapacité à supporter une surcharge qui me met de la pression sur le dos.

Conflits correspondants : Dévalorisation de soi

La hernie
• En tonalité de conjonction de l’émotion des deux vertèbres concernées.
• Conflit résolu entre deux vertèbres (vagotonie).

Le disque : conflit de dévalorisation plus léger que pour l’os.


• Je dois faire le tampon entre deux valeurs ou entre deux êtres chers qui se disputent.
• Ne pas être à la hauteur dans mon travail, mon couple, ma sexualité, …
• Ne pas pouvoir se reposer (compter) sur soi-même.

Le lumbago
• Conflit avec la sexualité.
• La perte d’ordre matériel ($).
• Mouvement contre nature. En relation avec le geste effectué et/ou on pensait juste à ce
moment-là avec précision.

La lombalgie
• Soucis financiers ($$$) : soucis pour enfants et petits-enfants.
• On doit ou veut être le pilier de la famille, celui qui supporte.
• Le pilier de la survie de son territoire en travaillant le sol plié en deux.
• Dévalorisation à coloration sexuelle dans le centre de gravité.
• Lombo sacrée → Qui se rapporte aux vertèbres lombaires et au sacrum.
• Dévalorisation d'avoir flétri les choses du divin, ou les plus belles choses.

Décodage de la hernie discale

Embryologie : Mésoderme nouveau.


Foyer de Hamer : Moelle cérébrale.
Sympathicotonie : Ulcération cellulaire (T2) des os et du disque intervertébral.
Vagotonie : Multiplication cellulaire (T1). Inflammation. Hernie discale. Douleur.
Phase : Vagotonie.
Organe touché : Les disques intervertébraux.
Invariant : Une surcharge causant une pression.
MSPC : Détruire les cellules inadéquates, afin de les reconstruire plus efficaces.
Non-Solution : Trop de charge et de pression à supporter.

CHAPITRE 1 45
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Questions : La hernie discale


1. Quels sont les rôles de chacun des disques intervertébraux :
– Amortisseur : ________________________________________________________________
– Mobilité : ___________________________________________________________________
– Cohésion : __________________________________________________________________

2. Premièrement, qu’est-il nécessaire d’étudier pour comprendre le sens d’une hernie discale?
_____________________________________________________________________________

3. Quel est le SBS de la hernie discale en sympathicotonie? _________________________________


______________________________________________________________________________
______________________________________________________________________________

4. Quel est le ressenti conflictuel de la hernie discale? ____________________________________


______________________________________________________________________________

5. Quelle partie de la colonne vertébrale doit « faire le tampon » entre deux êtres chers qui se
disputent? ________________________________

6. Quel type de soucis retrouve-t-on dans la lombalgie? ___________________________________

7. L’Ulcération cellulaire (T2) des os et du disque intervertébral arrive dans quelle phase de la
maladie? ______________________________________________________________________

8. Quel invariant retrouvons-nous avec la hernie discale?


______________________________________________________________________________

9. Quelle est la MSPC de la hernie discale? ______________________________________________


______________________________________________________________________________

Vrai ou Faux

1. Si la fuite se fait vers l’intérieur de la colonne vertébrale, le disque peut venir comprimer une
racine nerveuse, ce qui entraîne de la douleur sur le trajet du nerf atteint (sciatique). _______
2. Les vertèbres dorsales sont le siège de la dévalorisation dans ce qui est fondamental pour la
personne. _______
3. La hernie discale est le plus souvent dû à un processus rapide de dégénérescence. _______
4. L’os en général exprime, dans ses dysfonctionnements, le conflit de dévalorisation de soi, la plus
profonde qui soit (TGD) de la personne dans sa structure. _______
5. L’épaisseur des disques intervertébraux varient en fonction de leurs localisations. _______
6. Les disques intervertébraux, font également l’objet de dévalorisations spécifiques, mais plus
profonde que celle des os. _______

CHAPITRE 1 46
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

❖ Les courbures vertébrales

Le développement de l’espèce humaine comme la croissance de l’enfant font progressivement


apparaître deux types de courbures dans le rachis : les courbures primaires (convexe en arrière,
cyphose) et secondaires (concave en arrière, lordose).

− Les courbures primaires : ont un rôle de protection pour


les organes qui y sont contenus et sont généralement peu
mobiles. (Cyphose)
− Les courbures secondaires : pour les zones lombaires et
cervicales, qui se forment plus tard, par le mouvement lui-
même à l’occasion du redressement de la tête pour les
cervicales, de la station debout et de la marche pour les
lombaires. Elles sont plus mobiles et servent de liaison
dynamique.

Il n’est pas souhaitable d’effacer ces trois courbures physiologiques qui donnent à la colonne 10 fois
plus de résistance à la charge que si elle n’en possédait aucune. L’effacement de la lordose lombaire
parfois préconisée dans certains types de travail physique diminue en effet de moitié cette résistance
en charge.

Au niveau lombaire, lorsque la courbe concave vers l’arrière formée par le sacrum et la colonne
lombaire est accentuée, on parle de lordose (cambrure). Lorsqu’elle est diminuée dans le sens de la
rectitude, on parle de de décambrure. Peu importe le rayon de chacune des courbures physiologiques,
propre à la morphologie de chacun, l’important est avant tout d’avoir une colonne souple et
adaptable.

Voir vidéo #5 : Les courbures vertébrales.

➢ La scoliose

La scoliose est une déviation permanente tridimensionnelle de la colonne


vertébrale et du tronc. Elle est due à une torsion des vertèbres par des
tensions musculaires qui survient généralement pendant l’enfance ou
l’adolescence et entraîne une déformation du thorax et des zones
proches de la colonne vertébrale. Environ 2% à 3 % des adolescents en
sont atteints. Les filles sont davantage touchées par cette maladie.

Certains mettent en avant un facteur héréditaire, car il n’est pas rare de


voir plusieurs membres d’une même famille affectés. La scoliose
idiopathique est la forme de scoliose la plus commune à l’adolescence.

L’attitude scoliotique, quant à elle, résulte d’une mauvaise posture, sans


torsion des vertèbres et sans déformation. Les mauvaises postures, la
pratique de sports, le port d’un cartable trop lourd ou une alimentation
déséquilibrée ne sont pas en cause dans la survenue des scolioses.

Voir vidéo #6 : La Scoliose Vue en 3D : Méthodes Pour Soulager le Mal de Dos.

CHAPITRE 1 47
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

➢ La lordose

La lordose ou l'hyperlordose lombaire est la courbure vers l'intérieur de la colonne


vertébrale, en particulier au niveau des régions cervicales et lombaires.

Elle est définie au bas du dos au niveau des cinq vertèbres lombaires par une
exagération de la courbure. Elle peut être constitutionnelle ou déclenchée par une
pathologie. Lorsque l’une des lordoses est excessive, on parle d'hyperlordose, qui
pousse alors les vertèbres à s’incliner de plus en plus en arrière et modifie l’équilibre
général de la colonne.

Dans le comportement sexuel des mammifères, la lordose correspond chez les


femelles à une position sexuelle réflexe qui permet de faciliter la copulation.

➢ La cyphose

La cyphose correspond à une exagération de la convexité de la région dorsale donnant


au dos une position trop arrondie. Les parties cervicales et lombaires de la colonne
vertébrale présentent quant à elles une cambrure exagérée pour contre balancer la
convexité dorsale liée à la cyphose.

A l’état normal, la colonne vertébrale dorsale, située entre la nuque et les lombes,
présente une courbure à convexité postérieure.

A l’inverse, la région du cou et des lombes présente une courbure à convexité


antérieure. Une cyphose peut être associée à une scoliose réalisant une
cyphoscoliose.

La maladie de Scheuermann : est la cause la plus fréquente de cyphose chez les personnes en période
de croissance. Elle est retrouvée surtout chez les adolescents. C’est une affection des vertèbres liée à
la croissance du squelette qui provoque une déformation de la colonne vertébrale et donne une
apparence « bossue » et « voutée » à la personne atteinte.

➢ Le spina-bifida

Le terme spina-bifida signifie en latin « épine fendue en deux ».


Cette maladie congénitale, visible dès la naissance, se caractérise
par un mauvais développement dans l’absence de fermeture
postérieure de la colonne vertébrale, là où se trouve la moelle
épinière. Cette fissure favorise la formation d’un cèle, une sorte
de poche sur le dos du fœtus. Les complications qu’engendre le
spina-bifida dépendent en grande partie de la localisation du
cèle et des éléments contenus.

Les muscles, les os, les nerfs et la peau du fœtus qui se situent autour de l’ouverture ne peuvent pas
se développer correctement, entraînant une paralysie et d’autres complications telles qu’une perte de
sensibilité au niveau des jambes et des troubles urinaires. Il existe plusieurs types de spina-bifida.

CHAPITRE 1 48
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Le sens biologique
Les postures axiales imposées par les courbures vertébrales indiquent que la personne n’arrive pas à
se décider, dans une contrainte motrice, en fonction des choix qu’elle a à prendre. Si le trouble est
congénital, ce sera bien entendu le transposé biologique du parent à l’enfant, mais le sens biologique
se réalisera et sera identifiable chez ce dernier.

Le choix directionnel est ressenti en termes de « contact », tandis que la dévalorisation de soi en
termes « d’incapacité à se décider » en est la sous-tonalité musculaire.

La scoliose

Le SBS de la scoliose est d’aider, pour ne pas être à l'endroit qui est dangereux si j'y reste. Comme pour
compenser, contourner et passer à côté. La personne peut ne pas se sentir dans la norme vis-à-vis ses
collatéraux. Prendre son temps devient le sens biologique pour ralentir pour prendre la bonne décision
afin de ne pas se tromper. Car au fond : « je ne sais pas de quel côté pencher ».

Comme il peut m’être impossible de choisir mon camp, de faire mon choix et prendre la bonne
décision, je penche alors vers les deux côtés en même temps. Je dois prendre une décision en fonction
de ma latéralité et la personne est confuse, par exemples :

– Mon père ou ma mère


– Mon orientation sexuelle
– Un choix de carrière

La lordose

La lordose ne permet pas seulement dans le monde animal, de faciliter la pénétration de la femelle
par derrière. Elle fait aussi ressortir les seins et les fesses, atouts importants chez la femme dans sa
séduction. Cette position stratégique du corps peut être utilisée chez elle, afin de s’assurer de
conserver en permanence l’attirance chez le partenaire : la dévalorisation par l’incapacité d’attirer ou
de conserver le partenaire.

Une séparation serait désastreuse pour cette femme si elle perdait son géniteur, car il lui serait
impossible d’enfanter, le but ultime dans la pérennité de l’espèce. Nous pourrions retrouver une
historique de cancer du col de l’utérus chez la femme vivant ce type de ressenti conflictuel, en la perte
de contact avec son mâle d’accouplement.

La cyphose

Dans les types de courbures, la cyphose est celle qui démontre physiquement le plus la dévalorisation
de soi. La tête inclinée vers le bas et les épaules basses démontrent la domination et l’incapacité au
combat et à l’affrontement. Comme la posture nous ramène à position fœtale, y a-t-il un transposé
biologique du ressenti de la mère à l’enfant durant la grossesse? Quelle est cette surcharge symbolique
et ce poids trop lourd à porter sur son dos qui demande ce changement d’axe de la colonne vertébrale?

CHAPITRE 1 49
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

La maladie de Scheuermann

La maladie de Scheuermann désigne une affection des vertèbres liée à la croissance du squelette qui
provoque une déformation de la colonne vertébrale, une cyphose. Cette maladie, qui porte le nom du
médecin danois qui l’a décrite en 1920, intervient au moment de l'adolescence et donne une
apparence « bossue » et « voutée » à la personne atteinte. Elle touche les enfants âgés de 10 à 15 ans,
plus fréquemment les garçons que les filles. Les lésions occasionnées au niveau des cartilages et des
vertèbres sont irréversibles, bien que la maladie cesse d’évoluer à la fin de la croissance.

Le spina-bifida

Comme le spina-bifida est congénital, nous chercherons les origines du transposé biologique sur
plusieurs niveaux dans l’arbre généalogique. Dans un conflit de manque d’union familiale et
d’incapacité à la conserver, cela peut être causé par des valeurs différentes des deux côtés (père-
mère), et qu’au final une rivalité qui divisera mon clan.

En sympathicotonie

− Le SBS : aider à prendre un choix de direction.


− La MSPC : bloquer la colonne vertébrale (T3) par contraction musculaire dans une position
précise, afin d’indiquer les directions à prendre. Les muscles vont se contracter et placer la
colonne vertébrale dans l’axe désiré, ce qui précise le conflit en fonction de la courbure et de
la région atteinte.

En vagotonie

Une fois la décision prise, il y aura un relâchement par déblocage nerveux (T4) des muscles vertébraux.
À ce moment, en diminuant la tension nerveuse et par le fait même musculaire, la colonne vertébrale
reprendra son axe vertical normal.

Le ressenti : Avoir de la difficulté faire un choix sur la bonne direction à prendre.


Conflits correspondants : Contact
La scoliose
• L’indécision entre deux choix de direction à prendre (travail, sexualité, famille, …).
• Toujours le besoin de se comparer aux autres pour s’aider à prendre son « axe ».
• Être « poussé » par une pression de mon clan, de mes collatéraux, sur mes directions à
prendre et ce que je dois être.
• Dévalorisation « lente » par rapport à quelqu'un ou quelque chose qui est à côté de moi.
• Dévalorisation par rapport aux collatéraux (gens qui nous entourent, oncles, voisins, frères,
sœurs, cousins, cousines, particulièrement jumeaux-jumelles).
• « Je ne peux m’appuyer ni d’un côté ni de l’autre, ni sur l’un ni sur l’autre ».
• « C'est sur les côtés que ça se passe ». « Se tenir de côté ».
• Conflit de lenteur, devoir prendre son temps sur tout et être en retard.

CHAPITRE 1 50
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

• Choc physique pendant la grossesse avec mémoire d'évitement du coup. Conflit de devoir
esquiver latéralement (le coup, l'accident).
• Adolescent : Devoir concilier entre des lignes familiales trop différentes. L'enfant se tord à
force de compromis entre les principes éducatifs différents entre ses deux parents. Peut
relever de souhaits vibratoires différents ou antagonistes. À force d'aller de l'un à l'autre, il se
retrouve en S. → l'important est de retrouver son axe propre.
• Creux droit : Peur imaginaire d'être jugée par les hommes en devenant une femme.

La lordose
• Dévalorisation au père (inclinaison vers le ciel, bras tendu en haut avec extension du tronc
vers l'arrière). « Tu n'es pas digne d'être mon fils », structurellement, dans mes os, je ne peux
être à l'image de mon père.
• Incapacité d’attirer l’homme sexuellement vers soi et le conserver.
• C'est l'image d'une personne trop tournée vers le monde extérieur, extravertie.

La cyphose
• L'axe droit est celui de la verticalité du corps, c'est à dire de l'activité, du courage, de la
combativité. Le dos qui plie évoque passivité, peur avec repli sur soi même.
• Dévalorisation à la mère et aux descendants, (inclinaison à la terre) image du retour à la
position fœtale, soit pour se rapprocher de la mère, soit pour se protéger d'une mère dont le
poids est trop lourd. Je suis renié par ma mère, ma mère m'a toujours dit que je ne valais rien.
• Il est interdit d'aller de l'avant (dans le bonheur, car la mère est malade...).

Scheuermann (la maladie de)


• « Ce que j’ai été obligé de subir » (en relation avec les vertèbres concernées).
• Pour supporter l’insupportable et donc je veux me soustraire (ulcération).

Le spina-bifida
• Transposé biologique d'une séparation mère-enfant pathologique par le milieu (cordon
ombilical).
• Conflit de ne pouvoir s'unir avec sa famille. Arrachement, séparation par le milieu, pré-jet.
• Dévalorisation d'avoir failli dans les ordres supérieurs (religion, mari...), ayant transgressé les
lois du clan, j'ai construit une solution dramatique qui scinde mon clan en deux.
• P-S : la mère ne voulait pas se marier, s’unir avec son père, mais ils ont dû rester en contact à
cause de l’enfant.

CHAPITRE 1 51
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Décodage des courbures vertébrales

Embryologie : Ectoderme.
Foyer de Hamer : Cortex moteur cérébral.
Sympathicotonie : Contractions musculaire (T3). Désalignement vertébral.
Vagotonie : Relâchement musculaire (T4). Réalignement des courbures vertébrales.
Phase : Sympathicotonie.
Organe touché : La commande nerveuse.
Invariant : L’indécision sur une direction à prendre.
MSPC : Contraction des muscles pour aider à indiquer l’orientation dans l’axe vertébral.
Non-Solution : Difficultés à choisir la bonne direction à prendre.

Questions : Les courbures vertébrales


1. Qu’est-il important avant tout, concernant la colonne? __________________________________
______________________________________________________________________________

2. Qu’est-ce que la scoliose? _________________________________________________________


______________________________________________________________________________

3. À quel endroit est définie la lordose? ________________________________________________


______________________________________________________________________________
______________________________________________________________________________

4. À quoi correspond la cyphose? _____________________________________________________


______________________________________________________________________________
______________________________________________________________________________

5. Quelle maladie se définie comme une affection des vertèbres, liée à la croissance du squelette et
provoque une apparence « bossue »? _______________________________________________

6. Comment se caractérise le spina-bifida? ______________________________________________


______________________________________________________________________________
______________________________________________________________________________

7. « La personne peut ne pas se sentir dans la norme vis-à-vis ses collatéraux » s’associe au SBS
quelle maladie? _________________________________________________________________

CHAPITRE 1 52
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

8. Pour quelle raison la lordose devient un atout important chez la femme dans sa séduction?
______________________________________________________________________________
______________________________________________________________________________
______________________________________________________________________________

9. Laquelle des maladies de la colonne démontre physiquement le plus la dévalorisation de soi?


__________________________________________

10. Quel est le ressenti conflictuel pour les courbures vertébrales? ___________________________
______________________________________________________________________________

11. Que se passe-t-il en sympathicotonie pour les courbures vertébrales? ______________________


______________________________________________________________________________

12. Quel est l’invariant lors de courbures vertébrales? ______________________________________


______________________________________________________________________________

13. Quelle est la MSPC pour les courbures vertébrales? ___________________________________


______________________________________________________________________________
______________________________________________________________________________

Vrai ou Faux

1. La lordose ou l'hyperlordose lombaire est la courbure vers l'intérieur de la colonne vertébrale, en


particulier au niveau des régions cervicales et lombaires. _______
2. Un fois la décision prise et la conflictolyse (CL) activée, il y aura une contraction des muscles
vertébraux et à ce moment, la colonne vertébrale reprendra son axe normal. _______
3. Le conflit de manque d’union familiale et d’incapacité à la conserver correspond au conflit de la
spina bifida. _______
4. Il n’est pas souhaitable d’effacer ces trois courbures physiologiques qui donnent à la colonne 10
fois plus de résistance à la charge que si elle n’en possédait aucune. _______
5. Les postures axiales répondent de l’indécision sur les choix à prendre, sur lesquels la personne
n’arrive pas à se décider. _______

CHAPITRE 1 53
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

❖ La cage thoracique

La cage thoracique est une structure ostéo-cartilagineuse, située au niveau du thorax, qui participe
notamment à la protection à des organes vitaux comme le cœur et les poumons, ainsi que certains
organes abdominaux. Sa constitution, en partie cartilagineuse, lui confère une structure souple
permettant de suivre les mouvements de la colonne vertébrale. Différentes articulations lui donnent
de grandes amplitudes de mouvements et participent à la mécanique respiratoire. Divers muscles de
la respiration siègent également au niveau de la cage thoracique.

La structure :

− Le sternum : os plat et long situé à l'avant et au


centre. Le sternum est composé du manubrium, du
corps du sternum et du processus xiphoïde.

− Le rachis thoracique : situé à l'arrière, qui est


composé de 12 vertèbres, elles-mêmes séparées
par les disques intervertébraux.

− Les côtes : au nombre de vingt-quatre, qui sont


des os longs et courbés, allant de l’arrière à l’avant
en passant par la face latérale.

Les côtes partent du rachis et se rattachent au sternum grâce au cartilage costal, à l’exception des
deux dernières côtes du bas. Ces jonctions permettent de donner la structure en forme de cage.

Les côtes 1 à 7 sont appelées « vraies côtes » car elles s'articulent directement avec le sternum, tandis
que les côtes 8 à 12 sont considérées comme de « fausses côtes » ou « côtes flottantes », car elles ne
sont pas rattachées au sternum.

Voir vidéo #7 : La cage thoracique et la côte simplifiées. Les cartilages costaux.

Le sens biologique

Les côtes

Les côtes ont pour fonction de protéger nos organes internes, principalement le cœur, et elles jouent
un rôle de protection d’amour symbolique, associé aux membres de notre famille. En mésoderme
nouveau, (MN), c’est un ressenti d’impuissance de ne pas être en mesure se protéger ou de protéger
son clan adéquatement de manière affective.

C’est triste de pas se sentir aimé et estimé par les membres de son clan. Cela produit un sentiment
d’impuissance d’avoir raté sa relation affective envers un membre de sa famille :

– Les ascendants : les côtes du haut (1 à 3).


– La fratrie : les côtes du milieu (4 à 5).
– Les descendants : les côtes du bas (6 à 12).
– Les enfants non reconnus : les côtes flottantes.

CHAPITRE 1 54
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Le sternum

Le sternum a d’abord une tonalité de dévalorisation esthétique (ex : sa poitrine), mais par sa forme, il
représente aussi l’épée que l’on pointe devant nous lorsque l’on gonfle sa poitrine devant son
adversaire. Un complément à son bouclier, la cage thoracique, qui nous protège des coups.

D’autre part, le sternum est l’os contre lequel nous serrons nos proches et les gens qui nous sont chers
contre nous, sur notre cœur. Être dans l’incapacité de le faire pourrait apporter une TGD et la MSPC
d’ulcération en sympathicotonie.

Le sternum est composé de trois parties, représentants les liens suivants :

– Le manubrium : les ascendants et le père.


– Le corps : les collatéraux. Ma vie et l’amour que je prends à bras le corps.
– La xiphoïde : les descendants et la mère.

En sympathicotonie

− Le SBS : augmenter la solidité de la cage thoracique dans son rôle de protection.


− La MSPC : désintégrer les cellules osseuses par ulcération cellulaire (T2), nommée ostéolyse,
afin de pouvoir reconstruire des côtes plus solides en vagotonie.
Le rôle des douleurs osseuses au périoste en phase active (Ca), régie sous le « schéma de la
sensibilité de l’épithélium du gosier », est de nous obliger à rester immobile pour ne pas
aggraver la fracture et mieux effectuer la réparation.

En vagotonie

En vagotonie, il y a une reconstruction osseuse par multiplication cellulaire (T1) : sarcome. C’est à ce
moment que les indicateurs des composantes sanguines nécessaires à la reconstruction des os
augmentent considérablement et provoque une leucémie durant la guérison.

Le ressenti : Impuissance à protéger la relation affective dans son clan.

Conflits correspondants : Dévalorisation de soi

Les côtes : Ne pas se sentir assez aimé par les membres de sa famille et être incapable de les protéger.

• Conflit de TGD avec les membres de la famille :


− Ascendants : côtes supérieures (parents, grands-parents, arrières, …).
− Collatéraux : côtes moyennes (fratrie, cousins, du même niveau d’arbre généalogique).
− Descendants : côtes inférieures (enfants, petits-enfants, …).
− Droite → affectif.
− Gauche → danger.

CHAPITRE 1 55
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

− Partie postérieure : par rapport aux sentiments, aux demandes = le passé (comme le
dos), les vieux conflits qui traînent.
− Partie antérieure et sternale : Par rapport à l'autorité, à la réalisation, aux actions = le
futur.
− Partie médiane et flancs : le présent.
− Os costal (flanc) : conflits actuels.
− Partie antérieure des côtes : (costo-sternales): conflit en rapport avec le futur, + subtil.
− Arc postérieur de la 9ième côte à droite : les surrénales, la direction.
− Arc postérieur de la 10ième côte à gauche : le rein, le néant.

• 1ière : « ordre des choses non respectées ».


− Aboutissement, responsabilité.
− Ne pas être dans la normalité.
− Importance au niveau respiratoire, car elle fait fonction de petit couvercle, problèmes
d'un couvercle mal mis (perte d'énergie, trembloter, vibrer), il répercute que le
chapeau est mal placé, il y a des problèmes dans la tête, toutes les correspondances
conflictuelles et symboliques du « couvercle pas bien mis ».
− Si une personne reste bloquée dans le passé et ne voit pas d'avenir, elle bloque sa
première côte.
– Droite → l'affect, la famille, la mère.
– Gauche → l'extérieur, belle-famille, le travail, le danger.

• 2ième : par rapport au père.


– Hypersensibilité aux influences extérieures.
– J’aimerais que mon père m’écoute, mais il ne m’écoute jamais.
– Droite → manque d’affection du père.
– Gauche → colère envers le père réel ou symbolique.
− Postérieur : le passé, sentiment de demande par rapport au père.
− Antérieur : le futur : réalisation - autorité par rapport au père.

• 3ième : par rapport au père, parfois la mère.

• 4ième : (4e et 5e= collatéraux). Par rapport aux collatéraux, frères, sœurs,... (même principe
droite et gauche). Je suis en recherche d’affection.

• 5ième : liée aux enfants ou les collatéraux. Je suis en recherche d’affection.

• 6ième : (6e à 12e = descendants). Petits enfants et aux enfants petits (si c'est une peur de ne pas
y arriver, douleur à gauche – s'il y a du chagrin, douleur à droite).

• 7ième : cousins, cousines, neveux, nièces... au plan biologique pur, familial, ou par rapport aux
pièces rapportées au noyau du clan de base, ou par rapport aux élèves, jeunes disciples.

• 8ième : rapports aux petits (perte d'un jumeau, jumelle, réel ou virtuel).

• 9ième : les surrénale, conflit de direction. La volonté d’avoir le contrôle.

CHAPITRE 1 56
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

• 10ième : le rein : conflit d'anéantissement.


− Pas d'enfant pour ne pas leur faire vivre ce que sa mère lui a fait voir.
− « Je ne veux pas avoir d'enfant, ou je ne peux pas en avoir ».
− TGD entre les ratages dans le clan, y compris les amis.

• 11ième : la rate. Le maintien du centre de l’équilibre.


• 12ième : Le territoire.

Le sternum
Os plat qui avec les crêtes iliaques donne le plus de moelle osseuse (clan). C'est un des os qui vibre le
plus à l'émotionnel.

• Dévalorisation de ne pas avoir pu toucher : « je n'ai pas pu le (la) serrer contre moi une
dernière fois », ou « on n’a pas pu serrer son enfant dans ses bras ».
• TGD esthétique ou conflit d’avenir vital ou pour un problème d’avenir vital (futur, action
compétition, le sein avec cancer).
• Angoisses liées au futur, angoisse de l'inconnu. Quand on se sent bloqué dans le présent, on
n'imagine même pas que cela puisse se débloquer dans le futur.
• Manubrium : les ascendants et le père. La loyauté familiale. Pas de solution conceptuelle, « je
n'arrive pas à concevoir de solution esthétique par rapport à l'avenir ». Dévalorisation par la
découverte. Être révélé en plein jour : « je suis nul ».
• Corps : ma vie et l’amour que je prends à bras le corps. Les collatéraux. Pas de solution
pratique (ex : prothèse insatisfaisante sur le plan esthétique).
• Xiphoïde : les descendants et la mère. « Je suis submergé(e) dans l'émotionnel par rapport à
l'esthétique ».
• Malformation du sternum : « j'ai quitté ma femme pour une jolie fille et je le regrette, ou elle
m'a quitté pour un plus beau ».
• Anomalie sternale : il y a eu un drame ou un mort pour des questions d'esthétiques.

Décodage de la cage thoracique

Embryologie : Mésoderme nouveau.


Foyer de Hamer : Moelle cérébrale.
Sympathicotonie : Ulcération cellulaire (T2) des os de la cage thoracique.
Vagotonie : Multiplication cellulaire (T1). Inflammation. Leucémie.
Phase : Sympathicotonie.
Organe touché : Les côtes et le sternum.
Invariant : La relation affective.
MSPC : Détruire la structure osseuse inadéquate pour la reconstruire plus solide.
Non-Solution : Impuissance à protéger la relation affective dans la famille.

CHAPITRE 1 57
CHAPITRE 1 LE SQUELETTE

Questions : La cage thoracique


1. De quel type de structure est faite la cage thoracique? ___________________________________
______________________________________________________________________________

2. La cage thoracique participe notamment à la protection de quoi? __________________________


______________________________________________________________________________

3. Quelles sont les 3 parties de la structure de la cage thoracique?


− ___________________________________________________________________________
− ___________________________________________________________________________
− ___________________________________________________________________________

4. Quelles côtes sont associées à ces membres de notre famille?


− Les ascendants : ______________________________________________________________
− La fratrie : __________________________________________________________________
− Les descendants : ____________________________________________________________
− Les enfants non reconnus : _____________________________________________________

5. Le sternum a quel type de tonalité? _________________________________________________

6. Quel est le ressenti conflictuel pour la cage thoracique? _________________________________


______________________________________________________________________________

7. Quel est l’invariant pour la cage thoracique? __________________________________________

8. Quelle est la MSPC pour la cage thoracique? ___________________________________________


______________________________________________________________________________

Vrai ou Faux

1. Les côtes 1 à 7 sont appelées « fausses côtes » car elles s'articulent directement avec le sternum,
tandis que les côtes 8 à 12 sont considérées comme de « vraies côtes » _______
2. La constitution de la cage thoracique est en partie cartilagineuse. _______
3. Les côtes droites sont associées au danger, tandis que les côtes gauches sont associées à l’affectif.
_______
4. Les côtes, incluant les deux dernières côtes du bas, partent du rachis et se rattachent au sternum
grâce au cartilage costal. _______
5. Les côtes ont pour fonction de protéger nos organes internes mais elles jouent aussi un rôle de
protection d’amour symbolique, associé aux membres de notre famille. _______

CHAPITRE 1 58
CORRIGÉ

CHAPITRE 1 - Le muscle : la force de 4. Ils permettent l’extension et la


CORRIGÉ contraction flexion de la colonne vertébrale
❖ INTRODUCTION ET LES OS - Le cartilage : le geste de et de la tête.
précision 5. En soutient et en stabilisation
1. Le système - Les os : la solidité de la du tronc vertébral.
musculosquelettique. structure 6. Cervicales.
2. - La locomotion : la marche, 4. Se libérer d’une situation qui 7. Voir le chapitre correspondant.
course, ramper, grimper, nager nous emprisonne 8. Voir le chapitre correspondant.
- La préhension : la capacité à 5. Détruire les composantes jugées 9. Voir le chapitre correspondant.
saisir des objets. inadéquates par ulcération 10. Voir l’encadré correspondant.
- La communication verbale : cellulaire, afin de les 11. Voir l’encadré correspondant.
par la production de sons reconstruire plus performantes
propres à la langue parlée ou pour répondre au besoin de Vrai ou Faux
non-verbale (mimique). mobilité.
1. F 3. F 5. V
3. - Les os permettent de rigidifier 6. Voir le chapitre correspondant.
2. F 4. V 6. V
l’organisme. 7. Voir l’encadré correspondant.
- Protège les organes internes 8. Voir l’encadré correspondant.
délicats. La hernie discale
- Contiennent la moelle Vrai ou Faux
osseuse, où se forment les 1. - Amortisseur : permettent
1. F 3. V 5. F d’amortir les chocs et les
cellules sanguines. 2. V 4. V
- Constituent la réserve de pressions de la colonne
calcium de l’organisme et une vertébrale.
forte concentration en Les composantes articulaires - Mobilité : permettent de créer
minéraux. une certaine mobilité et
4. Protéger les organes internes 1. Retenir les os ensemble dans flexibilité entre les vertèbres.
tels que le cerveau, le cœur et l’articulation. - Cohésion : consolider la
les organes pelviens. 2. En lien avec un geste qui n’a colonne vertébrale et les
5. À protéger des tendons des pas été à la hauteur. vertèbres entre elles.
tensions et de l'usure. 3. La douleur persistera jusqu’à la 2. Il est d’abord nécessaire
6. Comme étant le plus grand des fin de la guérison et oblige une d’étudier les deux vertèbres qui
ressentis de dévalorisation qui immobilisation de manière à sont concernées
soit. accélérer le processus 3. Se libérer la pression virtuelle à
7. Nous obliger à rester immobile réparatoire. laquelle on est exposé.
pour ne pas se fracturer. 4. Voir le chapitre correspondant. 4. Voir le chapitre correspondant.
8. Les indicateurs des 5. Voir le chapitre correspondant. 5. Le disque
composantes sanguines 6. Voir le chapitre correspondant. 6. Des soucis financiers ($$$)
nécessaires à la reconstruction 7. Voir l’encadré correspondant. 7. Voir l’encadré correspondant.
osseuse vont parfois augmenter 8. Voir l’encadré correspondant. 8. Voir l’encadré correspondant.
temporairement (leucémie) le 9. Voir l’encadré correspondant.
Vrai ou Faux
temps de la guérison.
Vrai ou Faux
9. Voir le chapitre correspondant. 8. V 11. F 13. V
10. Voir l’encadré correspondant. 9. F 12. V 14. F 7. V 9. F 11. V
11. Voir l’encadré correspondant. 10. F 8. F 10. V 12. F
12. Voir l’encadré correspondant.

Vrai ou Faux ❖ LE SQUELETTE AXIAL Les courbures vertébrales


1. F 4. V 6. F 1. - Le rachis cervical (C1 à C07) 1. L’important est avant tout
2. V 5. V 7. V - Le rachis thoracique (T1 à T12) d’avoir une colonne souple et
3. F - Le rachis lombaire (L1 à L5), adaptable.
auxquels s'ajoute le rachis sacré 2. Une déviation permanente
(le sacrum et le coccyx). tridimensionnelle de la colonne
❖ LES ARTICULATIONS vertébrale et du tronc.
2.
1. Quand les surfaces de contact C1 : z D3 : K D12 : i 3. Elle est définie au bas du dos au
de l’articulation, les os, sont C2 : c D4 : g L1 : r niveau des cinq vertèbres
totalement séparées les uns des C3 : w D5 : t L2 : e lombaires par une exagération
autres. C4 : s D6 : j L3 : n de la courbure.
2. Une comparaison entre le C5 : u D7 : x L4 : l 4. À une exagération de la
présent, le passé et le futur (le C6 : y D8 : f L5 : d convexité de la région dorsale
pré-jet). C7 : b D9 : o L5/S1 : q donnant au dos une position
3. - L’articulation : la mobilité D1 : h D10 : v S1 : m trop arrondie.
- Le ligament : la performance D2 : p D11 : a 5. La maladie de Scheuermann.
- Le tendon : la vitesse
d’exécution 3. Supporter le poids du haut du
corps.

CORRIGÉ 59
CORRIGÉ

6. Un mauvais développement
dans l’absence de fermeture
postérieure de la colonne
vertébrale, là où se trouve la
moelle épinière.
7. La scoliose
8. Car cette position stratégique
du corps peut être utilisée chez
elle, afin de s’assurer de
conserver en permanence
l’attirance chez le partenaire.
9. La cyphose
10. Voir le chapitre correspondant.
11. Voir l’encadré correspondant.
12. Voir l’encadré correspondant.
13. Voir l’encadré correspondant.

Vrai ou Faux

1. V 3. V 5. V
2. F 4. V

La cage thoracique
1. Une structure ostéo-
cartilagineuse.
2. Des organes vitaux comme le
cœur et les poumons, ainsi que
certains organes abdominaux.
3. Le sternum; le rachis
thoracique; les côtes.
4. Les ascendants : les côtes du
haut (1 à 3),
La fratrie : les côtes du milieu (4
à 5),
Les descendants : les côtes du
bas (6 à 12),
Les enfants non reconnus : les
côtes flottantes.
5. Une tonalité de dévalorisation
esthétique.
6. Voir le chapitre correspondant.
7. Voir l’encadré correspondant.
8. Voir l’encadré correspondant.

Vrai ou Faux

1. F 3. F 5. V
2. V 4. F

CORRIGÉ 60
VIDÉOS

1. Les articulations.
https://www.youtube.com/watch?v=_9YcR-p-gEM&t=206s
VIDÉOS
2. La vertèbre type La colonne tube.
https://www.youtube.com/watch?v=LCUZF4THcrQ&feature=youtu.be

3. Sacrum, coccyx, trajet des nerfs sacrés.


https://www.youtube.com/watch?v=nK-oHoMd-bY

4. Lumbago et sciatique.
https://www.youtube.com/watch?v=xoJ1FZr4RWg

5. Les courbures vertébrales.


https://www.youtube.com/watch?v=vGX8pESoOiY&t=16s

6. La Scoliose Vue en 3D : Méthodes Pour Soulager le Mal de Dos.


https://www.youtube.com/watch?v=rscK-XbQAuE

7. La cage thoracique et la côte simplifiées. Les cartilages costaux.


https://www.youtube.com/watch?v=GlcMJy8QOIk

61
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES

Dr Geerd Hamer
• Legs Fondement d’une médecine nouvelle
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Eduard Van den Bogeart
• Le Dictionnaire des codes biologiques des maladies

Dr Pierre-Jean Thomas-Lamotte
• Et si la maladie n’était pas un hasard
• L’interprétation des maladies

Christian Flèche
• Croyances et thérapie
• Mon corps pour me guérir
• Décodage biologique des maladies

Antonio Bertoli
• Les origines des maladies

Sites web
• Gouvernement du Québec
• passeportsante.net
• doctissimo.fr
• merckmanuals.com
• institut-myologie.org/

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