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L'héritage biblique

1. Entre Parole de Dieu et Histoire sainte, la Bible définit une anthropologie


théocentrique et une nouvelle conception du temps. Comment comprenez-vous cette
formule ?

En ce qui concerne l’anthropologie théocentrique, il est vrai que la bible a énormément


influencé la vie des hommes. En effet, cet ouvrage est la parole de dieu, les écrivains
bibliques ont écrit ce que Dieu lui a communiqué au plus profond de lui, ce qui fait que son
contenu doit être compris comme une vérité infaillible sous forme de messages que l’homme
devrait déchiffrer pour voir les signes de sa présence et de ses action, et l’homme vas donc
baser sa manière de vivre et de penser là-dessus. Cette bible sacrée est également célébrée
dans les liturgies juives et chrétiennes, et se trouve donc au cœur de la culture européenne.
L’impact qu’eu la bible, en considérant la place qu’elle dispose actuellement et disposait de
manière encore plus forte à l’époque médiévale, est donc indéniable.

Ensuite, concernant la nouvelle conception du temps, la bible conte une histoire a


structure linéaire, c’est-à-dire que le monde a une création, dieux produit la vie, une
évolution/un progrès, l’homme est libre de changer les choses pour le bien et une fin,
l’apocalypse. L’on se dirige vers une progression, l’homme a une responsabilité, il est doté
d’une certaine liberté qui lui permet changer les choses. Lors de l’époque des mythes par
contre, dans l’Antiquité, le temps était basé sur une forme cyclique, l’on cherchait
perpétuellement a retourner au point de départ, l’Age d’or, ce qui fait que l’idée même du
progrès était absente et l’on était constamment soumis au poids du destin. La Bible a donc
permis de passé d’une vision cyclique, a une vision eschatologique, l’homme a désormais le
pouvoir de changer le sens de l’histoire.

2. Comment se compose la Bible?

La Bible est en réalité composée de plusieurs livres rassemblés, d’où cette deuxième
appellation qui est « bibliotheca sacra », qui signifie bibliothèque sacrée. Ceux-ci ont été écrit
par une quarantaine d’auteur different entre 1900 ACN et 1PCN. Elle se compose plus
exactement de 73 livres au total, dont 46 appartiennent a l’Ancien Testament et 27 au
nouveau testament (L’ancien Testament est la bible complète pour la religion juive écrite
avant l’arrivé du messie mais le christianisme y rajoute le Nouveau Testament, écrit pendant
le premier siecle après notre ère). Tous ces livres sont initialement séparé et écrit dans des
langues différentes, il faudra un certain temps pour les rassemblé et les traduire dans le
monde, 4e siecle pour la bible grec et 6e S pour la bible latine.

L’Ancien Testament est composé de 4 parties, il y a tout d’abord le Pentateuque, ce sont les 5
premiers livres, c’est la Torah et ils suivent le peuple d’Israël entre la création du monde
jusqu’à la mort de Moise. On y trouve des parties narratives ainsi que des prescriptions. Cette
partie est la base du judaïsme. Ensuite, il y a les livres historiques qui retrace l’installation du
peuple d’Israël sur la terre promise jusqu’à l’exil de Babylone. Il y a également certains livres
poétique et sapientaux ainsi que des livres prophétiques dont 4 représente les grand prophète
et 12 aux petits prophètes.

Dans le Nouveau Testament grec, il y a 5 parties. Premièrement il y a les « évangile


synoptiques », qui sont les évangiles de Matthieu, Marc et Luc. Ensuite nous avons les
l’évangile Jean, suivi des actes des apôtres ou Luc raconte les débuts de l’église. Nous y
trouvons ensuite les Epitre et terminerons par l’Apocalypse, faussement attribué a
l’évangéliste Jean.

3. Montrez en quoi l'histoire de la Bible est aussi l'histoire de ses traductions et de ses
interprétations.

Tout d’abord, il est vrai que l’histoire de la bible est aussi celle de ses traductions car il faut
savoir que les langues originelles de la bible sont l’hébreu, l’araméen, le grec et le latin. La
bible qui fait foi dans le monde juif et qui est aujourd’hui utilisé dans les traductions de
l’Ancien Testament est la bible massorétique. Il est dit qu’elle est la copie conforme des
textes originels.

Les versions les plus anciennes de la bible juive dans son ensemble ne provient pas de la
langue herbeuse, elle est en grec et provient de la traduction de la bible hébraïque. Elle a été
traduite par 70 traducteurs (d’où le nom Bible des septante) et a donc permis aux non-
hébraïque de lire la bible et d’ainsi la dispersé, cette bible est devenue la bible de référence
pour le lecteur du NT (on y ajouta les textes du NT par la suite). Seulement, lors de l’essor de
la langue latine, il fallait donc traduire à nouveau la bible, et c’est ainsi que se créa la Vêtus
Latina, de la bible des septante. L’on en fera donc une version plus révisée qui est la Vulgate
et qui s’installe au 4e siecle PCN. Une concurrence s’installe entre ces deux bibles latines,
seulement Charlemagne (9e siecle PCN) décidera de favoriser la Vulgate et depuis, il en est
ainsi. C’est la première bible conservée de la fixation des textes hébraïque.

De plus, elle est également l’histoire de ses interprétations et donc egalement plus difficile a
comprendre et déchiffré. Il y a grand nombre d’interprétation differente dépendantes de la
culture ou du domaine dans lequel il s’exprime. Il y a de nombreux commentaire juif, comme
le

Targum (I PCN), qui dispose d’une interpretation homiléthique et populaire

Midrash (2-12 PCN), developement analytique et naratif du sens du texte

Talmud (2-6 PCN ), développement doctrinal, jurisprudentiel et narratif. L’on y traite de


multiples questions qui correspondent aux interprétations de Palestine ou de Babylone,
donnant naissance au Talmud de Jérusalem et au Talmud de Babylone qui auront leur essor
lors de la diaspora juive.

Il y’a les interprétations des Pères de l’Eglise qui, inspiré des exégèse de Philon d’Alexandrie,
offre une toute nouvelle interprétation chretienne cette fois-ci a la bible. Ils l’ont enrichi de
symbolique, de philosophie, d’ethique, etc. qui sont des regards dont la bible restera
impregné.

Il y a egalement la Lectio Diuina, qui sont des ouvrages basés sur la théories des quatre sens
de l’écriture : le sens littéral (compréhension linguistique), tropologique (moral), allégorique
(sens, symbole), anagogique (dernier temps).

Il y a ensuite les Hexaples, d’Origène, qui propose une collection de different texte
interprétatif biblique sur six colonnes.
Ainsi, la traduction est l’exercice essentiel dans la transmission des littératures et surtout
lorsqu’il s’agit du texte sacré. On ne peut jamais reproduire l’original mais la volonté de
reproduire et de le rendre accessible à tout le monde est la base de tout le culte de la religion.
Quant aux interprétations, elles sont en quelques sortes constitutives du message biblique.

4. Quelles sont les continuités et les ruptures entre Bible juive et Bible chrétienne?

Commençons donc par les continuités, il faut comprendre que pour le juif, l’ancien testament
se suffit en lui-même, mais pour le catholique, la lecture du Nouveau Testament nécessite
d’avoir préalablement lu l’Ancien Testament afin de comprendre ce premier intégralement.
L’interprétation de ce dernier vas donc être different. Le NT est donc aux yeux des chrétiens
dans la continuité de l’AT. De plus, ce que prévoit l’AT se produit dans le NT, en effet
l’arrivé du messie a bien lieu dans le NT, qui est incarné par Jésus.

Ensuite, en ce qui concerne les discontinuités, il y a l’élément majeure qui est que selon les
Juif, Jésus n’est pas le Messie, Jésus est le signe de contradiction entre les deux religions.
Selon la religion juive, le messie est encore à venir. Ensuite, le nouveau testament nécessite
une lecture symbolique alors que l’ancien testament nécessite plutôt une lecture littéraire car
en effet les auteurs de ces deux testament font partie de culture et d’époque bien différentes.

L'héritage grec

1. Expliquer par trois exemples au choix pourquoi l'on peut dire que les Grecs ont
inventé tous les genres littéraires.

Prenons tout d’abord l’éloquence. L’éloquence est un art de la parole qui vise à persuader son
publique et qui a été très fort présent en Grèce avec l’essor de la démocratie. Elle fut
egalement utilisé dans de nombreux autre domaine, tel que les procès, les fêtes, etc.
L’éloquence a également été le support de la philosophie des sophistes. En effet, ceux-ci
cherchaient à convaincre les gens par le discours, non pas pour transmettre la vérité, mais
pour répandre son point de vue à travers plusieurs techniques de rhétorique. Ce genre devient
littéraire dès les débuts de la littérature grecque et bien que ce soit un genre oral plutôt que
littéraire, un certain nombres de ressources écrites nous sont tous de même resté de cet art de
la persuasion. Citons l’un de ses representant : Démosthène.

Ensuite, nous avons l’épopée. Ce genre littéraire est au cœur de la littérature grec. Les écrits
en provenant sont les premières œuvres littéraire produite en Grèce. L’épopée est un poème
au sujet généralement héroïque dont les deux plus populaire sont l’Iliade et l’Odyssée. Ces
deux œuvres, bien que très différentes l’une de l’autre, sont toutes les deux un rassemblement
de poème réalisé par Homère durant le 8e siècles et sont considéré aujourd’hui comme la base
de la littérature, car en effet, c’est l’épopée qui donnera lieux au roman, genre littéraire tant
exploitée a notre époque.

Pour finir nous avons l’histoire, c’est la littérature de l’évolution de l’homme dans le temps.
Ce genre littéraire a commencé avec des logographes qui ne reconstruisait seulement que les
histoire de famille ou de cité. Les historiens étendent par la suite leur domaine de recherche,
dont deux personnages ont particulièrement marque cette évolution : Hérodote et Thucydide,
deux grec qui ont respectivement révolutionner la littérature de l’histoire, en effet l’un
développa une enquête dans différentes cultures en retranscrivant le plus d’information
possible, tandis que l’autre émet une recherche plus « scientifique » qui vise a décrire les
guerres auquel il a lui-même pu assister et en comparant son vaincu a d’autre témoignage.

2. Caractérisez les convergences et les divergences entre l'Iliade et l'Odyssée.

Les convergences entre l’Iliade et l’Odysée réside principalement dans leur réalisation. Ces
deux rassemblements de poème ont été réalisé par Homère au 8e siecle, une personne dont on
sait très peu excepter qu’il était aveugle. Ces deux œuvres ne sont pas issu d’un seul et même
poème, ce sont plutôt des recueils de poème different réaliser par different auteur. Ces deux
œuvres content une histoire héroïque et légendaire écrite tout deux sous la forme de 24 chants.
Ces deux épopées démontrent egalement un sens commun qu’est le sentiment d’humanité. Ce
sentiment ce ressent à trois niveau, tout d’abord il est vrai que dans ces deux œuvre, les dieux
contrôle en quelque sorte le destin, le sort des héros est entre les mains des divins,
cependant, les héros homérique restent très attaché a l’humain en lui-même car malgré la
présence des dieux, maitre de leur destin, il vont dans ces récit parfois primer l’humain. Enfin,
nous avons également une valeur de l’héroïsme comme dit précédemment, mais qui diffère
sur certains points. Les textes sont linguistiquement et stylistiquement proche (hexamètre,
reprises formulaires,…), bien qu’il y ait des différences qui ont donné lieu a la « question
homérique ».

En effet, bien que l’Iliade et l’Odysée comporte un certain nombre de point en commun, ils
disposent également de divergences. Dans cette fameuse valeur de l’héroïsme qui se trouve
dans chacune de ces épopées, il y a une évolution. En effet, l’Illiade présente plutôt un héros
guerrier, guidé par la colère et les armes. Tandis que dans l’Odyssée, l’héroïsme réside plus
dans le fait qu’il abandonne la gloire guerrière pour retourner chez lui, auprès de sa femme.
Dans l’Iliade l’on raconte une série de bataille tandis ue dans l’Odyssée l’on raconte le retour
d’Ulysse après la chute de Troie.

3. La tragédie grecque est une célébration qui met en scène des préoccupations
religieuses, civiques, familiales et humaines. Montrez-le par quelques exemples
choisis. MODIFIE UN PEU

Tout d’abord, en ce qui concerne les préoccupations religieuses, la tragédie est un


culte publique offert dieu Dionysos par la cité. « Tragédie » signifie d’ailleurs chant du bouc,
du fait que le bouc était sacrifié au nom des violences. La tragédie était bien considérée
comme une cérémonie religieuse au nom de Dionysos, Dieu de la Violence. Eschyle par
exemple est connu pour ses œuvres dans lesquelles il met en scène le rapport de l’homme aux
divinités.

Ensuite, concernant les préoccupations civiques, la tragédie était fortement lié a la vie
de la cité athénienne dans lequel étaient organisé divers concours de tragédies chaque année.
Ce concours consistait donc en plusieurs présentation dont le vainqueur du concours gagnait
la une couronne de lierre, la plante du Dieu de la violence, Dionysos. Il est également
important de noter que les plus grands dramaturges étaient en fait des partisan politiques très
engagé.

En outre, la tragédie dispose aussi d’une préoccupation familiale. En effet, la tragédie


raconte l’histoire des grandes familles de la mythologie comme le cycle thébain, le cycle
troyen et les héros de la guerre de Troie.
Pour finir, la préoccupation humaine est également fort présente dans les tragédie. Le
thème abordé sont les drames, en particulier celui de la mort. La mort est le sujet le plus
craintif de l’homme, et c’est pour cela que la tragédie, en la representant, la dévoile au yeux
de tous et donc en montrant leur sentiment les plus obscur tel que la mort, la peur, les conflits,
elle soulage le spectateur de ses propres sentiments.

4. Expliquez comment la comédie grecque a partie liée avec la critique sociale.

La comédie provient du mot Komos et signifie un cortège de paysans en honneur de


Dionysos et ou ils échangent des plaisanteries en se saoulant de vin. En effet, la comédie est
lié au vin, aux festivité, a la grossièreté. Les comédiens intègrent souvent des attaques au
language brutal dans leur representation, des attaques qui visent souvent l’Etat et qui y est
ridiculisé. Citons Aristophane par exemple, comédien representant la Comédie Ancienne, qui
s’attaque a toute les classes sociales et toute les structure politique. Il ne faut cependant pas
généraliser, Ménandre par exemple, un autre comédien d’Athène de 340-292av. Jc était bien
plus léger.

5. Comment la poésie lyrique se distingue-t-elle de la poésie épique ? Pour répondre


correctement à cette question, il faut évoquer des raisons à la fois formelles (langue,
métrique, musique, etc.) et des raisons de contenu (les deux poésies ne chantent pas les
mêmes réalités ni les mêmes sentiments).

La poésie lyrique, qui remplace la poésie épique dans le courant du 7e siecle (épopée ), est une
poésie qui traite des grand sujet sentimentaux de l’homme tels que l’amour, la colère, la
mort,.. le poète s’exprime sur ses pensées. La forme de ce poème se distingue par son
expression monodique ou en choral accompagné d’instruments. Ils se distingue donc
beaucoup de l’épopée car cette dernière aborde des sujets plus orientés vers l’héroïsme, la
gloire que d’émotions sensible de l’homme. L’épopée tente d’embellir les actes de l’humain
contrairement a la poésie traduit directement les émotions, même les moins héroïque. Le ton
utilisé dans les poèmes épiques est également different, l’hyperbole y est fréquente, ainsi que
les comparaisons de l’homme aux dieux, il n’y a pas autant de place pour les émotions comme
la poésie lyrique qui mets beaucoup l’accent sur le pathétique du malheur.

6. Expliquez comment Hérodote et Thucydide peuvent, chacun à leur manière, très


différente, revendiquer la paternité du genre historique, entendu au double sens d'une
"enquête" et d'une "autopsie".
Chacun de ses deux historiens ont à leur manière retracé l'histoire de leur époque et en ont fait
un travail complet bien différent :
Hérodote ( 5e siècle av. J.-C.) avait pour objectif d’aller partout où il le pouvait pour retracer
l'histoire des peuple qu'il découvrirait, et c’est ce qu'il fit. Il fut porteur du surnom « le père de
l'histoire » car il nota les différents récits des peuples qu'il rencontra lors de ses voyages. C'est
pour cela qu'on qualifie ses écrit d’« enquête », car il va sur place chercher de l'information
dans les lieux inconnu. L’objectif de ses voyages, est d’écrire tout le long un livre consacré au
thème des guerre entre la Grèce et les barbares et d’ainsi ne jamais oublié le passé. Il
récupérait ses informations avec une attention très naïve, même s'il essayait de faire un tri
dans ce que les étrangers lui disaient entre le naturel et le mythique. Il permet de donner
différentes identités aux barbares, dont le terme était auparavant considéré comme péjoratif et
désignait un tout étranger. En effet il donna une identité propre et multiple aux différentes
ethnies.
Thucydide ( 5e-4e siècle av. J.-C. ) critiquait beaucoup la manière de faire d'Hérodote. En
effet, selon lui, les sources d’Hérodote étaient bien trop incertaines. Il utilisa donc une
méthode plus scientifique qu'on a surnommé « autopsie » car cherchait vraiment a saisir les
sources les plus proche du réel pour retracer l’histoire, c’est-à-dire lui-même, certain
témoignage ainsi que des document précis. C'est pour cela qu'on le qualifia du « père de la
science historique », il cherche des informations sans lien avec de mythe, mais plutôt à créer
une histoire autonome et rationaliste. Il décrivit comment la guerre de Péloponnèse s’est
déclencher, quelles étaient les conséquences de celle-ci, etc. Il veut en comprendre le
fonctionnement.

L'héritage latin

1. Rome est une civilisation du spectacle et de "l'acteur-roi". Illustrez. Pour répondre


correctement à cette question, il faut évoquer les formes littéraires du spectacle
(théâtre : Plaute, Térence), mais aussi les formes non littéraires et rituelles
(satura, mime, jeux du cirque, cortèges du triomphe, etc.). [Il n'est pas interdit
d'articuler cette réponse autour d'un thème, comme, par exemple, la représentation de
la violence: cette parenthèse sera d'actualité si nous sommes amenés à parler du théâtre
de Sénèque, ce qui n'a malheureusement pas été le cas cette année]

Rome est une civilisation du …

… spectacle : le spectacle était une tradition théâtrale composé de chorégraphie, de


champs et étaient présenté sous forme d’improvisation, car en effet le spectacle latin a ce
moment n’était pas très textuelle, mais plutôt sous des formes plus dramatique et improvisé.
En effet a Rome, il faut pouvoir s’exprimer artistiquement pour expliquer, et c’est pour cela
qu’on retrouve le spectacle partout : dans la guerre, dans les funérailles, dans les débats,…

Il est également intéressant de nommer les deux grands auteurs de formes littéraires
latine : Plaute, l’auteur des premiers textes latins, est un auteur selon lequel une pièce bien
faite est une pièce qui fait bien rire. Il a imité la « comédie nouvelle » des Grecs, mais
assoupli son côté « sérieux. Il y a de nombreuse incohérence dans ses spectacle et surtot dans
les personnages. Il a également enrichi la langue a l’usage de son publique. Térence quant a
lui, bien que ses representation mettent en scenes les mêmes personnages que Plaute, il le fait
de manière plus nuancée et exacte psychologiquement. Il utillise un language des milieux
cultivés.

… de l’ « acteur-roi » a travers les formes non littéraires : Les romains n’ont jamais été
très impliqué dans le théatre a textes, mais aspirait plutôt des formes plus improvisée,
gestuelles, dynamique, musical, mimique, jeux de cirque, etc. Mais cette privation de texte ne
doit pas faire penser que Rome était une société pauvre culturellement, au contraire, bien plus
que la Grece elle était la ville du spectacle, c’était une civilisation « acteur-roi » (inspiré d’un
certain livre de Dupont) car en effet, l’acteur est extrêmement respecter, demandé a cette
époque. Le théatre est le lieu de divertissement type à Rome et les acteur y sont donc
considérer comme des stars
Voila donc ce qui prouve que Rome était une civilisation accés principalement sur le
spectacle avec une pauvreté au niveau des textes du fait que les acteur, considéré comme des
« stars », exprimait une vivacité improvisé sur scène.

2. Comment peut-on caractériser la littérature du temps de Cicéron?

Le temps de Cicéron s’étale entre 1 ACN jusqu’à la fin de la république romaine, les
lettre latines connaissent leur essor dans plusieurs domaine : histoire, philosophie, poésie,…
malgré que Rome n’invente aucun ( excepté la satire ) genres littéraire, elle développe
grandement ceux de Grèce. Seulement la crise de cette période a alimenté une littérature qui
tourne principalement autour de la guerre et de l’amour qui s’éloignent des traditions
collectives pour se concentrer sur les individus. En effet ces crises alimentent la littérature en
s’inspirant de la passion des hommes et de leur réaction au changement. Cicéron lui-même
participe a cette évolution de la littérature en rendant le vocabulaire latin plus complet. C’est
un homme de parole, impliqué dans la politique ainsi qu’un homme de lettres et l’innovateur
de la philosophie sous forme de dialogue. Il donne lieu a la « période ciceronienne » d’ailleurs
qui est une période ou le language se complexifie et s’embellit.

3. Montrez comment Lucrèce s'inscrit contre la pensée dominante de son époque des
points de vue philosophique, religieux et politique. MODIFIE

Lucrèce (98 – 55) écrit un long poème dans lequel il tente de rassurer les hommes sur
leur peur grâce a la théorie Atomiste de Démocrite. Tout est donc atome, y compris la
psychologie, culture, sentiments,… et cela permet de rassurer certain sur leur peur de la mort,
;…De plus, l’œuvre de Lucrèce est une œuvre très complexe qui s’écarte de la pensée
dominante de cette époque, en effet il avance une philosophie de l’epicurisme qui contredit
donc Cicéron sur differente valeur que ce dernier a proné, cad le devoir, l’engagement
civique, l’héroisme et l’illusion de la mortalité.

De ce fait, Lucrècce contredit donc la pensée dominente philososphique de cette époque du


fait de son épicurisme, il contredit donc logiquement la religion avec sa théorie atomiste et
pour finir il s’écarte du mouvement politique également en prônant des valeurs contraires à
Ciceron, valeur qui était pourtant bien impregné.

4. Comment Virgile incarne-t-il les espérances d'une nouvelle fondation à l'époque


d'Auguste ? Pour répondre correctement à cette question, il faut montrer comment
Virgile "fait du nouveau avec de l'ancien", en chantant des préoccupations
contemporaines, italiennes et romaines dans des cadres de référence littéraires qui
restent grecs (bucoliques, géorgiques, épopée, mythes, etc.)

Virgile ( 70 – 19 ) est la référence littéraire durant le règne d’Auguste. En effet, August


envisage a cette époque de conquérir le monde entier mais il est conscient qu’il ne peut pas
convaincre que par les armes et prend donc Virgile a son compte afin de disperser l’espérance
d’une nouvelle fondation au travers de la littérature, et il le fit à travers different œuvre :

- Il y a tout d’abord les poèmes Bucoliques dans lesquels des bergers discutent dans de
sublimes campagnes idéalisées. Il embellit ainsi le contexte des paysans européen et y
introduit ainsi le thème de la confiscation des terres d’Octave qui est une préoccupation
contemporaine a cette époque. Ce récit narate surtout l’histoire personelle de l’auteur et de ses
proches.

Il écrit également les Géorgiques qui est un poème qui tente de montrer le charmes de
travailler sa terre, la beauté de champs, les abeilles,… Cette célébration de l’agriculture et de
l’élevage italienne cherchent a motiver les paysans au nom d’Auguste qui cherche a ramener
des valeur traditionnelle auxquelles il rajoute un niveau plus épique avec certains épisodes de
bravoure. Ce recueil de poème tente donc de relevé le sentiment de compatriotisme par le
retour au valeur paysannes.

De plus, a travers son épopée qu’est l’Eneide, version latine des épopée homérique, Virgile
déclare qu’Auguste est le descendant d’une déesse. En effet, Enée est le fils de Venus, déesse
de l’amour, et est également le père de Ascagne/lule qui nomme se fille lulia et duquel déssent
César, père adoptif d’Auguste. Virgile permet donc de donner en plus une dimension divine a
August ainsi qu’a l’histoire Rome car l’Eneide sera lu par énormément de monde et cela
donnera de la confiance envers August.

5. Comment l'Énéide de Virgile se positionne-t-elle par rapport aux événements et aux


mythes liés à la guerre de Troie ?

L’Enéide n’est pas un simple équivalent latin des épopées homériques, car elle raconte ce
qu’il se passe après la guerre de Troie mieux que ce que ne fait l’Illiade car elle explique les
conséquences de cette guerre, elle montre que cette tragédie n’étais pas veine car elle a
permis a Rome de naitre. En effet, selon Virgile, Homère n’a pas été assez loin, une fois les
troyens vaincu, il vont devenir les vainqueurs du Latium et les créateur d’un immense
empire. C’est donc une suite différente de l’Illiade en suivant ce mythe d’un autre point de
vue, car en effet il ne suit pas les vainqueurs de Rome, mais plutôt les vaincus dans le but de
montrer leur croissance, cela ce fait donc avec un lien constant au épopée homérique
comme on le voit avec les parallèle entre Ulysse et Enée. C’est en quelque sorte un
retournement des poèmes homériques. Il copie et prolonge Homère.

L’Eneide enracine Rome dans le passé mythique, Le destin d’Enee porte celui de Rome, le
temps des mythes éclair les temps de l’histoire.

Questions plus générales où l'on compare les deux héritages

1. Comment les héritages grec et latin se sont-ils imposés en Europe de la manière que
l'on connaît ? Pour répondre correctement à cette question, il faut observer tout d'abord
que rien ne prédisposait au départ l'un de ces héritages à l'emporter sur d'autres,
souligner ensuite ce qui a leur a permis justement de s'imposer, et pointer, enfin, à
l'aide de quelques exemples choisis parmi ces deux héritages, quelques caractéristiques
communes ou spécifiques qui ont marqué la conscience littéraire européenne.

Comme affirmer dans la question, rien ne supposait l’imposition de l’héritage grec et


latin sur les autres cultures. En effet ils étaient en concurrences avec d’autre culture tel les
égyptiens, les occidentaux. De plus, d’un coté la langue latine était initialement une langue
d’un peuple de paysans situé au Latium qui n’étais aucunement un pole dans la culture. De
l’autre coté, la Grèce était très fragile et aurait donc facilement pu éclater avant son essor
culturel. Voici donc pourquoi il faut bien considérer que ces deux cultures n’étaient pas
avantagées par rapport aux autres quand a imposer sa culture.

Il y a deux projets qui ont unis ces deux héritages et qui leur ont permis de s’imposer.
C’est Rome et le christianisme. En effet, Rome a permis à la Grèce de survivre. Bien que le
contact avec la Grèce a permis au romains de considérablement améliorer leur art,
philososphie et surtout littérature ainsi que leur vocabulaire qui était initialement relativement
pauvre. Ils ont donc apporté de nouveau genres littéraires au Romains. Et c’est pour cela que
les Romains ont toujours voulu préserver l’héritage grecs et en assurer sa diffusion. Rome a
également permis au latin de survivre et même de grandir considérablement. Rome se situais
dans le Latium et a donc automatiquement sélectionner le latin comme langue courante,
l’idéologie et ses mythe y sont également repris.

Comme dit plus haut, le christianisme a egalement largement participer a cet mise en avant de
de l’héritage grec en particulier. L’empereure Constentin s’est baptisé au 4 siecle et a ainsi
repandu le christianisme par l’évangelisation. Ce qui fait qu’après sa mort, et celle de l’empire
romain, le christianisme romain survivra et permettra ainsi de continuer a propager sa culture.

« « Quelques exemples pour des caractéristiques communes ou spécifiques qui ont marqué la
conscience littéraire européenne : La diffusion de l'alphabet latin et le maintien de l'alphabet
grec par exemple font partie de l'héritage gréco-romain. L'alphabet latin avec quelques
évolutions mineures s'est imposé dans la plupart des pays de culture occidentale. La latinité a
transmis au monde l'héritage d’une langue et d'une culture qui portaient une conception de
l'homme et de la société qui fait toujours référence à celle qu'a diffusée Rome. La Grèce a été
sauvée par Rome, Rome par le Christianisme, et L'Europe était né » »

2. Commentez quelques éléments de convergence et de divergence entre les héritages


bibliques et antiques. /////////

CONVERGENCES :

Ces deux œuvres ont également donné lieu à des siecle de traduction et d’interprétation. Ils
ont été analyser et ont circuler a travers le monde et ont ainsi impacté la littérature et l’art en
général. Nous pouvons donc voir leur impact dans la littérature et la culture actuel. Cette
marque qui reste en nous est peut-être due au fait que ces deux héritages avaient pour
ambition d’enseigner quelque chose, d’induire une morale chez le lecteur. Bien que leur
message soit fort different, on peut leur attribuer a chacun une portée didactique. Ce sont des
œuvres aujourd’hui majeurs qui sont connu de tous. Pour finir, ces deux héritages, bien
qu’ayant eu une portée orale, ont également été écrite ce qui nous permet de se baser sur des
bases certaines. Une autre converergence qui peut paraitre trop évidente pour être exposé mais
qui a tout de même son importance, c’est le fait que ces deux héritages ont été écrit au environ
de la même époque, bien que la période de l’héritage biblique s’étende sur une durée plus
étendue, cela impacte sur ces deux littérature qui donc se rapprochent sur le plan contextuelle
et historique en général.

DIVERGENCES :

Les deux héritages ne se rapportent tout simplement pas au même sujet, en effet l’héritage
biblique se trouve plus focalisé sur la spiritualité et l’esthétique tandis que l’héritage antique
s’étale dans des domaines multiples comme l’héroïsme, le voyage, l’amour, la mort, etc. C’est
pourquoi la l’héritage antique n’agis pas seulement sur l’individu, comme le fait la bible, mais
agis directement sur nos idée sociétal, philosophique, politique, etc.

Les deux héritages visent un publique large, la classe populaire également contrairement à
d’autre ouvrage de cette époque. Leur but est d’intéressé, de passionné, on le voit bien avec
Virgile qui cherche a transmettre le patriotisme au paysan italien, c’est accessible à tout le
monde dispose d’un pouvoir influenceur chez le lecteur. Seulement l’héritage biblique
s’adresse logiquement au chrétien, en effet la bible est en quelque sorte une critique adressé
au non-chrétien, un guide vers le droit chemin, vers la vérité, dont les sceptiques sont des
ignorants, dont le non-croyant est perturbé. Ceci est contraire a l’héritage antique qui ne
dispose pas dutout de cette porté propagande. Peut être du fait que très peu de diversité
religieuse national n’existait a cette époque

3. Comparez les épopées homériques et l'épopée virgilienne. Pour répondre


correctement à cette question, il faut d'abord rappeler brièvement ce que sont les unes
et l'autre (Iliade, Odyssée, Énéide), montrer ensuite les continuités et les différences.

En guise de rappel résumons brièvement les trois œuvres dont il est sujet. Nous avons tout
d’alors L'Iliade d'Homère, cet ouvrage a pour sujet la guerre de Troie et tourne autour du
personnage d’Achille et de sa colère. Nous avons ensuite l'odyssée homérique qui ne concerne
cette fois ci pas la guerre mais plutôt un voyage, le retour d’Ulysse, un soldat qui décide de
rentrer chez lui. De l’autre coté, ce a quoi nous allons commparé nos deux premièr oeuvrage,
est L'Enéide de Virgile. C’est un poème épique débuter en 29 ACN écrit par Virgil et qui a
pour but de donner un equivalent latin au épopée grecs. Ces livres sont un monument dans la
culture latine.

Comparons donc l’Illiade et l’Odysée, les épopée homérique a l’Eneide, l’épopée virgilienne.
Toute d’abord, nous pouvons trouver une difference dans la structure de ces textes. Comme
dit plus haut, l’Eneide reproduit l’Illiade et l’Odysée en un seul livre, mais il en inverse de
naration. C’est-à-dire que chez Homère, l’Illiade est premier chronologiquement et l’Odyssee
est second, tandis que dans l’Eneide, la voyage de retour a lieu avant la guerre. Ensuite les
personnages en eux même sont different. En effet l’Eneide n’est pas une copie exacte. Bien
que Homère divise ses deux écrits en deux personnage : Achile et Ulysse, l’Eneide ne
comporte que Enée comme personnage principale, il incarne l’héro de la guerre et l’héro du
voyage. Même l’ecriture diverge, en effet Vrgile ecrit an peinture, tandis que Homère ecrit au
trait.

A travers l’Eneide, l’on retrouve certaine référence au érance d’Ulysse, en effet ils font le
mémé voyage a travers la méditéranée, il subissent tous les deux des tempêtes des Dieux, il
rencontrent les mêmes monstres, et abordent sur les mêmes Iles. Ils renoncent a un amour. Il y
a tut de même certaine divergences tel que le passée qui est renoncé dans l’Eneide et
poursuivit dans les épopées homériques. L’Eneide est en quelque soerte le mirroir du schéma
naratif homérique. Il y a egalement la valeur de l’héroïsme, les mêmes localisations. De plus,
ils disposent tous les deux d’une conceotion de l’héroime, même si chez virgile, celle-ci est
plus interieur/individuelle.
6. La rhétorique ancienne est une forme de combat et une forme de pensée. Illustrez
par un exemple. grec et un exemple romain
Exemple grec :
il y a Les Philippiques de Démosthène, qui dénoncent la politique de conquêtes de Philippe,
roi de Macédoine et père d'Alexandre. Mais aussi Les Olynthiennes, où Démosthène exhorte
vivement les Athéniens à secourir les habitants d'Olynthe menacée par Philippe. Il pousse
donc a agir, il cherche a suscité la pensées des hommes a travers leur émotion, du pathétique,
des reproche, des accusation afin de le faire agir. Car en effet le peuple athénien se souciait
peu d'intervenir dans les conflits extérieurs. C’est une forme de combat en effet, car
l’éloquence occupe une place importante dans la politique et la justice qui étaient très
important en Grece et a Rome.
Exemples romains :

L’Eneide, de Virgile est devenu une référence culturelle majeure, tant dans la grammaire et la
poétique, que dans la rhétorique. En effet ses œuvres sont connues pour posséder une
expression des choses simples de manière fulgurante. Ses écritures furent alors enseignées
dans les écoles et pratiqué par la population, elle dispose d’effet rhétorique qui prime parfois
sur la recherche de la vérité, et cela marque les esprits et la ville. La rhétorique a donc eu une
place importante du a son impacte sur les pensées

8. De la Grèce à Rome. Montrez à l'aide d'un genre littéraire de votre choix le transfert
culturel qui s'opère d'un héritage à l'autre. Pour étoffer la réponse à cette question, il
peut être utile de compléter l'information du cours par la lecture de ces deux
articles : M. MUND-DOPCHIE, Les racines grecques de la culture européenne et P.-A.
DEPROOST, L'héritage latin. Une culture de l'universel.
L’éloquence est l’art de s’exprimer de manière à susciter un sentiment chez le correspondant. Cela se
développe principalement dans les discourt et est également présent sous forme de littérature. Nous
pouvons la retrouver à l’aube de l’héritage littéraire grecques. L’agora en grec, ou encore les forums
en latin sont des lieux qui sont destiné au discours politique, l’on y discutait des lois, guerres, …
L’éloquence se développais aussi dans l’art théâtral et judiciaires. En somme, l’éloquence trouve
donc une place majeure dans les sociétés antique, avec une importance placée sur sa capacité de
persuasion.

Un bel exemple grec pour expirmer cela est  Démosthène est le déclencheur de l’essor de
l’éloquence. C’est un homme engagé qui cherche a persuader le peuple de ses idée politique et
artistique. Il utilise différentes techniques pour persuader au mieux : émotion, pathétique, invective,
reproche, accusation, mais aussi artifices et démagogie. Ces œuvres nous font rentrer au cœur des
débats, d’ailleurs « Les Philippiques » est l’un de ses ouvrages les plus populaire, dans lequel il
dénonce la politique de conquêtes de Philippe, roi de Macédoine et père d'Alexandre.

Nous pourrions également cité le pillier de l’éloquence rompaine, mais avant cela, , il est important
de préciser que, selon le professeur P-A DEPROOST dans « l’heritage latin. Une culture universel »,
l’éloquence latine est un art qui n’exprime toute sa valeur que lorsqu’il est exprimé a haute voix. Cela
influance donc le dialogue humain, les paroles deviennent les armes premières, Rome a appris au
peuple de prendre le temps de se parler. Continuons donc comme annoncé avec Ciceron, qui est le
continuateur de l’éloquence grec, en particulier de l’art platonicien. C’est un homme de lettres ainsi
qu’un transcripteur de l’Etat. Il inclut alors la culture grecque a Rome avec son œuvre De oratores qui
partage la théorie de l’éloquence, une œuvre majeure qui donnera une place majeure a l’éloquence.

Héritage antique omniprésent, cet art est devenu un outil indispensable, enseigné dans
toutes études impliquant la pratique de la rhétorique. Pour citer Monique MUNDDOPCHIE dans son
article « Les racines grecques de la culture européenne » : « je dirais que nous lui devons
essentiellement notre conscience politique, notre recherche de la rationalité ». Nous pouvons donc
percevoir, selon cette analyse, l'évolution du statut politique européen, ainsi que la recherche
constante de rationalité (présente dans tous les domaines à cet héritage de l'éloquence).

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