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SAMSIC EMPLOI N.

AQUITAINE CEN AVENANT 116217-01


SASU au capital de 75000 €
SAMSIC EMPLOI BORD. TERTIAIRE
82 AVENUE JEAN JAURES PROLONGATION
IMMEUBLE GRAND ANGLE Initial du 26/02/2024 au 03/03/2024
33150 CENON
Tél. : 05.57.95.54.72 Fax :

Siret : 87814829500032 Ape : 7820Z SEMAINE 09/2024


GROUPAMA Assurance-Crédit & Caution

CONTRAT DE TRAVAIL TEMPORAIRE


Utilisateur LES CAPUS FOURNIL DES CAPUCINS APE :1071C MR DHOTELLE MAXENCE
62 COURS DE LA MARNE 21 Allee Eugene Delacroix

33800 BORDEAUX 33800 BORDEAUX

Personne à demander MME COLDEBOEUF

Lieu de la mission Cotisations et DUE adressées à l'URSSAF de MONTREUIL CEDEX


LE FOURNIL DES CAPUS
62 CRS DE LA MARNE Né(e) le 16/11/2000 à REIMS 51
33000 BORDEAUX Numéro SS 1.00.11.51.454.632-17 Nationalité FRANCAISE
Moyen d'accès MOYEN PERSONNE Qualification VENDEUR(SE)
Catégorie : EMPLOYE NON CADRE - Titre professionnel
Carte identité N. 150751301433 du 20/07/2015 au 19/07/2025
MOTIF ET JUSTIFICATIONS DU RECOURS
ACCROISSEMENT TEMPORAIRE D'ACTIVITE
LIE A L'AUGMENTATION DE L'ACTIVITE DUE A LA REORGANISATION DE L'EQUIPE NECESSITANT LE RENFORT DU PERSONNEL
PERMANENT

DUREE DE LA MISSION SALAIRE DE REFERENCE (Salaire de base, primes et accessoires)


Durée de la mission : 04/03/2024 au 31/03/2024 Inclus * Euro
Souplesse : 26/03/2024 au 05/04/2024 HEURES NORMALES 11,65
Terme : Précis
Durée hebdo. mission : 35,00 H
Durée hebdo. collective :35,00H
Horaires : VARIABLE SELON PLANNING

Période non travaillée :

CARACTERISTIQUES ET RISQUES PROFESSIONNELS DU POSTE


Caractéristiques : ACCEUIL, VENTE, ENCAISSEMENT, NETTOYAGE, PREPARATION DES VITRINES REASSORT, PREPARATION DES
SANDWICHS, CUISSON
Risques professionnels :
Nature des E.P.I. :

Informations diverses RESPECT DES HORAIRES ET DU REGLEMENT INTERIEUR DE L'UE

Ce poste de travail figure-t-il sur la liste des postes à risques selon l'article L.4154-2 ? NON

*Les informations concernant :le motif,la durée,la rémunération et les caractéristiques particulières sont données sous la responsabilité de l'EU, seule habilitée à les justifier, sans qu'il y ait lieu à mise en demeure préalable de la part de l'ETT.

REMUNERATION Euro
HEURES NORMALES 11,65 . L'embauche par le client à l'issue de la mission n'est pas interdite, sous réserve des interdictions
fixées aux articles L1244-3,L1244-4 et L1251-36, L1251-37,L1251-39,L1251-40,D1251-3, du CT.
. STC et/ou Attestation Pole Emploi disponible en agence uniquement sur demande.

. Comme tout salarié, l'intérimaire a droit à des CP pouvant être pris au cours de sa mission.
. Le terme de la mission prévu dans :contrat initial/avenant de prolongation peut être aménagé dans
Modalité de versement de la paie VIREMENT les conditions stipulées : Art. L1251-13(terme précis), Art. L1251-13 et L1251-31(durée minimale)
IFM/CP : selon loi en vigueur . J'atteste avoir reçu les DUE prévoyance/santé et les notices d'informations correspondantes

Médecine du Travail ETT :AHI 33 Médecine du Travail Utilisateur :IDEM ETT


CENTRE DE BEGLES 26/36 33130 BEGLES
Signature de l'E.T.T. Fait à CENON, le 02/03/2024 L'Intérimaire soussigné(e)
SAMSIC EMPLOI BORD. TERTIAIRE Prévoyance:PREDICA 50 rue de la procession reconnait avoir pris connaissance
82 AVENUE JEAN JAURES 75015 Paris / Retraite:AG2R du verso du présent contrat
IMMEUBLE GRAND ANGLE 154 rue Anatole France
33150 CENON Tél. : 05.57.95.54.72 92599 LEVALLOIS PERRET

Exemplaire à conserver
CONDITIONS GENERALES

Le présent règlement a pour objet de fixer les prescriptions générales qui régissent la mission dans l’entreprise. Il oblige tous les salariés à s’y conformer sans restriction. Le salarié s’engage à respecter le
règlement mission, à se conformer au règlement intérieur, aux règles d’hygiène et de sécurité, et aux horaires de travail pratiqués dans l’établissement UTILISATEUR, à suivre les consignes qui lui seront
données par les chefs d’entreprise ou ses préposés pour l’exécution des tâches dont il aura été chargé.
1 – APPLICATION DES ACCORDS DE BRANCHE POUR LES SALARIES INTERIMAIRES ET DE LA CONVENTION NATIONALE DE L’ENTREPRISE UTILISATRICE
2 – ABSENCE AU TRAVAIL
En cas d’impossibilité de se rendre à son travail, quel qu’en soit le motif, le salarié doit immédiatement informer ou faire informer d’abord l’agence et ensuite l’UTILISATEUR chez lequel il effectue sa mission.
Toute absence devra être justifiée dans les 48h conformément à l’article L. 1251-19 du Code du travail sous peine de sanctions.
3 – VISITE MEDICALE
Le salarié doit impérativement se rendre à toutes convocations relatives aux visites médicales obligatoires. L’absence à la visite, non justifiée par un cas de force majeure, non notifiée à l’agence avant la date
de la visite, peut constituer une sanction disciplinaire.
4 – JUSTIFICATION DE DOMICILE
Dans le cadre de la Réglementation des Frais Professionnels, le salarié temporaire doit fournir un justificatif de domicile justifiant de ses frais réels de résidence habituelle daté de l’année en cours à son nom
et prénom, à défaut le paiement des indemnités non assujetties aux charges sociales pourra être suspendu, voir supprimé.
5 – CONGÉS PAYÉS
Comme tout salarié, l’intérimaire a droit à des CP pouvant être pris au cours de sa mission. Si prise de CP impossible, versement d’une ICCP au moins égale au 1/10 de la rémunération totale
(article L. 1251-19 du Code du travail)
6 – INDEMNITÉ DE FIN DE MISSION
L’indemnité de fin de mission est payable au taux de 10% à l’issue de la mission (art. L. 1251-32 du Code du Travail). Elle n’est pas due notamment si le contrat est rompu à l’initiative du salarié, pour faute
grave de celui-ci, ou en cas de force majeure, ou si le salarié temporaire bénéficie immédiatement d’un contrat de travail à durée indéterminée avec l’UTILISATEUR à l’issue de la présente mission, ou
dans le cas de mission de formation (art. L.1251-57 du Code du Travail) ainsi que pour les contrats à caractère saisonnier et les emplois d'usage constant entrant dans le champ d'application de l'accord
collectif d'entreprise relatif au versement de l'indemnité de fin mission pour les emplois à caractère saisonnier et les emplois d’usage constant du 10/07/2020 ou de l’accord collectif d’entreprise de
SAMSEASON.
7 – RAPATRIEMENT
En cas de mission s’effectuant hors du territoire métropolitain, la charge du rapatriement du salarié temporaire incombe à l’UTILISATEUR.
Si l’UTILISATEUR refuse d’acquitter cette obligation, l’agence se substituera à lui, et prendra à sa charge le rapatriement. L’obligation précitée devient caduque en cas de rupture du contrat à l’initiative du
salarié temporaire détaché hors du territoire métropolitain.
8 – SALAIRES
Le règlement intervient par chèque ou virement bancaire en fonction de la périodicité de la paie et au plus tard le 11 du mois suivant. A la fin de la mission, l’employé est soldé de tout compte.
9 – MUTUELLE ET PRÉVOYANCE
Possibilité de maintien des garanties prévoyance et du régime de frais de santé, au terme du contrat, sous réserve du respect des conditions d’acquisition.
10 – RUPTURE PREMATUREE A L’INITIATIVE DU SALARIE
La résiliation du contrat de travail à l’initiative du salarié ouvre droit à des dommages et intérêts correspondant au préjudice subi, à moins que le salarié ne justifie d’une embauche pour une durée
indéterminée.Sauf accord des parties, le salarié est alors tenu de respecter une période de préavis dont la durée est calculée à raison d’un jour par semaine compte tenu de la durée totale du contrat,
renouvellement inclus, si celui-ci comporte un terme précis, ou de la durée effectuée lorsque le contrat ne comporte pas de terme précis, sans que cette période ne puisse être inférieure à un jour ni
supérieure à deux semaines dans les deux cas (art. L.1251-26 à L. 1251-28 du Code du Travail).
11 – FAUSSE DECLARATION
Une fausse déclaration ou l’usage de fausse pièce d’identité ou de faux certificat pourra entraîner la résiliation du contrat de travail temporaire pour faute grave. Le salarié temporaire déclare formellement
n’être lié à aucune entreprise et avoir quitté son dernier emploi libre de tout engagement.
12 – CONSENTEMENT – PREUVE - DEMATERIALISATION
Le contrat de mission est réputé conclu et son contenu est réputé accepté par l'intérimaire par sa signature manuscrite ou électronique. Les présentes conditions générales du contrat de mission sont
valablement acceptées par l'intérimaire par la signature du contrat de mission dans les formes précitées de même que par son acceptation par tout procédé électronique exprimant ce consentement. La
signature électronique du contrat de mission entraîne de plein droit, l'acceptation de la part de l'intérimaire, de la dématérialisation des documents émis par l'entreprise de travail temporaire découlant
du contrat de mission tels notamment les bulletins de salaires et l'acceptation de recevoir toute communication avec l'entreprise de travail temporaire par voie électronique. Tout refus de l'intérimaire de
dématérialiser les documents le liant à l'entreprise de travail temporaire devra être exprimé expressément par écrit adressé à l'entreprise de travail temporaire par lettre recommandée avec AR. L'intérimaire
reconnaît expressément que la forme dématérialisée des documents le liant à l'entreprise de travail temporaire et la forme électronique de son consentement n'affecte en rien la valeur probante de ceux-ci y
compris devant les juridictions en cas de litige. L'entreprise de travail temporaire garantit la conservation des documents dématérialisés dans les délais et selon les formes prévues par les dispositions légales
et règlementaires, ce dont l'intérimaire est informé.
13 – INTERDICTION DU HARCELEMENT ET DES DISCRIMINATIONS
Article L. 1132-1 du Code du travail
Aucune personne ne peut être écartée d'une procédure de recrutement ou de l'accès à un stage ou à une période de formation en entreprise, aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet
d'une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, telle que définie à l'article 1er de la loi n° 2008-496 du 27 mai 2008 portant diverses dispositions d'adaptation au droit communautaire dans le domaine de la
lutte contre les discriminations, notamment en matière de rémunération, au sens de l'article L. 3221-3, de mesures d'intéressement ou de distribution d'actions, de formation, de reclassement, d'affectation,
de qualification, de classification, de promotion professionnelle, de mutation ou de renouvellement de contrat en raison de son origine, de son sexe, de ses mœurs, de son orientation sexuelle, de son identité
de genre, de son âge, de sa situation de famille ou de sa grossesse, de ses caractéristiques génétiques, de la particulière vulnérabilité résultant de sa situation économique, apparente ou connue de son
auteur, de son appartenance ou de sa non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation ou une prétendue race, de ses opinions politiques, de ses activités syndicales ou mutualistes, de ses
convictions religieuses, de son apparence physique, de son nom de famille, de son lieu de résidence ou de sa domiciliation bancaire, ou en raison de son état de santé, de sa perte d'autonomie ou de son
handicap, de sa capacité à s'exprimer dans une langue autre que le français.
Article L. 1132-2 du Code du travail
Aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire mentionnée à l'article L. 1132-1 en raison de l'exercice normal du droit de grève.
Article L. 1132-3 du Code du travail
Aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire pour avoir témoigné des agissements définis aux articles L. 1132-1 et L. 1132-2 ou pour les avoir relatés.
Article L. 1132-3-2 du Code du travail
Aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire mentionnée à l'article L. 1132-1 pour avoir refusé en raison de son orientation sexuelle une mutation géographique
dans un Etat incriminant l'homosexualité.
Article L. 1132-3-3 du Code du travail
Aucune personne ne peut être écartée d'une procédure de recrutement ou de l'accès à un stage ou à une période de formation en entreprise, aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet
d'une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, notamment en matière de rémunération, au sens de l'article L. 3221-3, de mesures d'intéressement ou de distribution d'actions, de formation, de
reclassement, d'affectation, de qualification, de classification, de promotion professionnelle, de mutation ou de renouvellement de contrat, pour avoir relaté ou témoigné, de bonne foi, de faits constitutifs
d'un délit ou d'un crime dont il aurait eu connaissance dans l'exercice de ses fonctions.
Aucune personne ne peut être écartée d'une procédure de recrutement ou de l'accès à un stage ou à une période de formation professionnelle, aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet
d'une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, notamment en matière de rémunération, au sens de l'article L. 3221-3, de mesures d'intéressement ou de distribution d'actions, de formation, de
reclassement, d'affectation, de qualification, de classification, de promotion professionnelle, de mutation ou de renouvellement de contrat, pour avoir signalé une alerte dans le respect des articles 6 à 8 de la
loi n° 2016-1691 du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique. En cas de litige relatif à l'application des premiers et deuxième
alinéas, dès lors que la personne présente des éléments de fait qui permettent de présumer qu'elle a relaté ou témoigné de bonne foi de faits constitutifs d'un délit ou d'un crime, ou qu'elle a signalé une alerte
dans le respect des articles 6 à 8 de la loi n° 2016-1691 du 9 décembre 2016 précitée, il incombe à la partie défenderesse, au vu des éléments, Le juge forme sa conviction après avoir ordonné, en cas de
besoin, toutes les mesures d'instruction qu'il estime utiles de prouver que sa décision est justifiée par des éléments objectifs étrangers à la déclaration ou au témoignage de l'intéressé.
Article L.1153-1 du Code du travail
Aucun salarié ne doit subir des faits :
1° Soit de harcèlement sexuel, constitué par des propos ou comportements à connotation sexuelle répétés qui soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à
son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante ;
2° Soit assimilés au harcèlement sexuel, consistant en toute forme de pression grave, même non répétée, exercée dans le but réel ou apparent d'obtenir un acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché
au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers.
Article L.1153-2 du Code du travail
Aucun salarié, aucune personne en formation ou en stage, aucun candidat à un recrutement, à un stage ou à une formation en entreprise ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet d'une mesure
discriminatoire, directe ou indirecte, notamment en matière de rémunération, de formation, de reclassement, d'affectation, de qualification, de classification, de promotion professionnelle, de mutation ou
de renouvellement de contrat pour avoir subi ou refusé de subir des faits de harcèlement sexuel tels que définis à l'article L. 1153-1, y compris, dans le cas mentionné au 1° du même article, si les propos ou
comportements n'ont pas été répétés.
Article L.1153-3 du Code du travail
Aucun salarié, aucune personne en formation ou en stage ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire pour avoir témoigné de faits de harcèlement sexuel ou pour les avoir
relatés.
14 – REGLEMENTATION SUR LA PROTECTION DES DONNEES
Dans le cadre de l'exécution du contrat de mission, l’entreprise de travail temporaire collecte et traite des données personnelles relatives aux salariés intérimaires. A ce titre, et en qualité de responsable du
traitement effectué, l’entreprise de travail temporaire s’engage à effectuer le traitement des données dans le respect des dispositions du Règlement n°2016/679 du 27 avril 2016 « RGPD » du 25 mai 2018.
L’entreprise de travail temporaire garantit que le traitement sur les données est utilisé uniquement pour gérer la relation contractuelle la liant avec le salarié intérimaire et avec l’entreprise utilisatrice et est
réalisé pendant la durée strictement nécessaire à la finalité poursuivie. L’entreprise de travail temporaire s’engage à obtenir, de la part de l’entreprise utilisatrice, la garantie du respect des mêmes obligations
de suivi, de sécurité et de confidentialité lorsque cette dernière réalise des traitements sur les données personnelles des intérimaires délégués.
L’entreprise de travail temporaire peut être amenée à communiquer les données personnelles des salariés intérimaires à des prestataires de services tiers. Dans ce cas l’entreprise de travail temporaire
garantit aux salariés intérimaires le respect desdites obligations de protection des données personnelles par ses éventuels sous-traitants lorsque ceux-ci réalisent les traitements sur les données en son nom
et pour son compte, ce dont l’entreprise de travail temporaire se porte fort.
Vous pouvez accéder aux données vous concernant, ou demander leur effacement. Vous disposez également d'un droit d’opposition, d’un droit de rectification et d’un droit à la limitation du traitement de vos
données. Pour exercer ces droits ou pour toute question sur le traitement de vos données dans ce dispositif, vous pouvez contacter le délégué à la protection des données (DPO) de l’entreprise de travail
temporaire par voie postale à l’adresse suivante : Direction des systèmes d’information – ZI La Rigourdière – 6, rue de Châtillon – 35 510 CESSON-SEVIGNE.
V10/2021

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