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Communauté

interaction d'organismes vivants


partageant un environnement commun
ou groupe de personnes possédant et
jouissant d'un patrimoine en commun

Une communauté est un groupe humain dont les membres sont unis par un lien social[1].

Cet article adopte un point de vue régional ou culturel particulier et nécessite


une internationalisation (décembre 2016).

Merci de l'améliorer (https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Communaut%C


3%A9&action=edit) ou d'en discuter sur sa page de discussion ! Vous pouvez
préciser les sections à internationaliser en utilisant {{section à
internationaliser}}.

En biologie une communauté représente un système au sein duquel des organismes vivants
partagent un environnement commun et interagissent.

La notion de communauté est également un concept du droit qui désigne un groupe de


personnes possédant et jouissant de façon indivise d'un patrimoine en commun. En France,
s'oppose traditionnellement à celui de société et d'association qui reposent sur un pacte ou
une convention volontairement formée par ses membres. Par extension, la communauté
désigne uniquement les biens qui sont communs à plusieurs personnes.
Dans son usage politique actuel le plus courant, le mot communauté évoque des collectivités
historiques ou culturelles. En France, le terme est souvent utilisé dans les débats sur les
minorités ou le communautarisme, avec une connotation négative. Au Québec, l'expression
de communauté culturelle est couramment utilisée sans connotation négative.

Histoire

En France
En France sous l'Ancien Régime, le mot communauté désigne toutes les personnes morales
de droit public dont les statuts résultent généralement d'une Ordonnance royale ou en
particulier de lettres patentes, aussi bien dans le domaine de l'organisation religieuse
(communautés religieuses)[2] que dans celui des pouvoirs administratifs (par exemple la
Communauté d'un régiment[3], Communauté de la Noblesse), locaux (les Communautés
d'habitants, les Communautés des villes, les communautés provinciales), professionnels (les
communautés de métier), éducatifs (les communautés des collèges) ou privés (communauté
matrimoniale et lignagière, communautés de voisinage). Plusieurs arrêts des parlements
nous indiquent que tous les pauvres de chaque ville ou paroisse étaient légalement
constitués en une communauté capable de recevoir tous les dons ou legs faits « aux
pauvres » et qui était distincte de la communauté des habitants.

Bien que nos sociétés aient presque partout remplacé ces communautés par des formes
sociétales d'association, le terme de communauté (ou son équivalent corps) conserve
toujours un sens juridique, administratif et politique précis, par exemple pour les
copropriétés, les communes, les professions organisées en ordre, les corps de la Fonction
publique, les familles, les congrégations religieuses, et bien sûr les diverses doctrines
communistes.

Dans la constitution de la Cinquième République, le terme est repris pour désigner la


Communauté française.
Étymologie et sémantique
Le mot est apparu au xiiie siècle, probablement par réfection, d’après l’adjectif communal, de
l’ancien français communité, « participation en commun », emprunté du latin communitas,
« communauté »[4].

L'Académie française indique que l'on parle de communauté familiale, de communauté


villageoise ou, plus largement de communauté nationale ou internationale. Par extension, on
utilise aussi ce terme pour évoquer ceux qui ont en commun une langue ou une religion. Ces
extensions sont légitimes, mais l'AF note que l’on peut s’interroger sur l’étrange prolifération
du mot communauté aujourd’hui, qui est de plus en plus souvent utilisé pour désigner tout
agglomérat de personnes, quand bien même nombre de ces personnes ne souhaitent pas
être définis par leur appartenance à tel ou tel groupe[5].

Communautés écologiques
En écologie, une (en)communauté est un ensemble d'organismes appartenant à des
populations d'espèces différentes constituant un réseau de relations.

Au sens strict, ce terme est synonyme de biocénose. Cependant, dans la pratique, les
écologues l'utilisent dans une acception plus restreinte pour désigner des entités constituant
des sous ensembles de la biocénose au plan structural et/ou fonctionnel (par ex : les
communautés des saprophages, des herbivores, organismes planctoniques autotrophes…).

Communautés humaines
La communauté est un état de ce qui est commun à plusieurs personnes ; similitudes.

Au sens étymologique originel : cum munus. La communauté est donc un groupe de


personnes (« cum ») qui partagent quelque chose (« munus ») — un bien, une ressource, ou
bien au contraire une obligation, une dette. Le mot communauté est dérivé du mot
communal, état ou caractère de ce qui est commun

Selon Roberto Esposito[6] :

« La communauté n'est pas une propriété, un plein, un territoire à


défendre et à isoler de ceux qui n'en font pas partie. Elle est un vide,
une dette, un don (tous sens de munus) à l'égard des autres et nous
rappelle aussi, en même temps, à notre altérité constitutive d'avec
nous-mêmes. »

Un groupe d'individus est une communauté et non une équipe lorsque :

les membres ont rejoint une


communauté parce qu'ils partagent
des points d'intérêt communs : ils
peuvent se connaitre ou non et
l'adhésion peut être ouverte ou
fermée ;
la durée d'une communauté est
indéterminée : les communautés ne
visent pas à mener un projet à son
terme, mais elles peuvent servir à
proposer des changements ;
les membres d'une communauté sont
plutôt considérés comme égaux en
droits, bien que quelqu'un ou un
organisme doive créer la
communauté ;
les membres rejoignent une
communauté parce qu'ils ont une
attente de ce groupe d'individus :
chaque membre décide généralement
comment, quand et en quoi il
contribuera. Mais ceux qui
s'investissent le plus dans la
communauté y auront une position
plus élevée[7].
Définitions de communauté
en sociologie

Article connexe : Sociologie.


En sciences sociales la question de la définition empirique de ce que représente une
communauté s’est enrichie depuis plusieurs décennies, grâce à l’apport des outils d’analyse
des réseaux sociaux, car en tant qu’instruments de recherche, son formalisme n'est pas sans
conséquence sur la notion même de communauté[8]

En sociologie, une communauté est un regroupement de personnes autour d'une thématique


commune[9]. Ainsi, les communautés sont plus ou moins cohésives et leurs membres
partagent entre eux une certaine culture, des normes et des valeurs. Sociologiquement la
notion de communauté implique l'existence d'éléments sémantiques partagés et qui rallient
autour de lui, des gens. De nombreux types de communautés sont étudiés en sociologie :

Communauté linguistique : ralliée par


une langue commune ;
Communauté religieuse : ralliée par
des croyances spirituelles communes ;
Communauté épistémique : ralliée par
un thème de connaissance ;
Communauté intentionnelle : ralliée par
des visions de vivre-ensemble
communes ;
Communauté scientifique ;
Communauté en ligne ;
Communauté de pratique ;
etc.
Il peut s'agir de partager un territoire commun, une appartenance sociale commune, mais ce
sens est plus arbitraire que sociologique; le terme est pris dans un sens large, tel un
découpage catégoriel des populations. Parfois, surtout lorsque le recours au formalisme
l'exige[9], la définition est plus restrictive qui implique que les acteurs sociaux interagissent
effectivement autour d'une thématique commune : des gens interagissant sur un forum de
discussion en ligne autour d'un thème politique forment une communauté épistémique,
puisqu'effectivement ils interagissent autour d'éléments sémantiques communs[10].

Communautés linguistiques

Article détaillé : Communauté


linguistique.
Une communauté linguistique est un groupe humain qui utilise la même langue (ou dialecte,
ou parler) et dont les éléments communiquent entre eux en cette langue.
Cependant, une communauté linguistique n'est pas homogène, car elle se compose de
groupes humains ayant des comportements socioculturels différents, variant
géographiquement, ce qui provoque des différences dans le vocabulaire, la prononciation.
Une communauté linguistique ne peut donc être totalement homogène, et elle se divise elle-
même en d'autres communautés linguistiques.

À l'intérieur même d'une communauté linguistique peuvent exister des variantes. Cependant
les différences ou la distance peuvent ne rien modifier au sentiment d'appartenance à une
communauté linguistique, comme c'est le cas pour les Québécois et les Français. Il s'agit
donc de communautés d'intérêt.

Dans un État monolingue comme la France, qui ne reconnaît qu'une seule langue officielle, et
donc une seule communauté linguistique officielle [réf. nécessaire] , il peut exister plusieurs
communautés linguistiques de fait, outre celle pratiquant la langue officielle de
l'administration. L'individu peut donc appartenir à plusieurs des communautés linguistiques
existantes, mais généralement à la communauté officielle et à une communauté non
« officielle » pour le parler régional (française et bretonne, française et basque, française et
kabyle, etc).

La francophonie désigne l’ensemble des populations dont le français est la langue naturelle,
officielle ou d’usage, ou bien l’ensemble des individus pour qui le français est langue
principale ou seconde[11]. La francophonie est structurée autour de l'Organisation
internationale de la francophonie.

Il y a des États ou entités où coexistent plusieurs langues officielles, et donc plusieurs


communautés linguistiques. Des exemples de tels États sont :

le Canada : le bilinguisme fait l'objet au


Canada d'une politique linguistique, qui
reconnaît les deux langues du Canada,
le français et l'anglais comme des
langues officielles dans tous les
domaines, ce qui se traduit dans les
systèmes d'information (voir
bilinguisme au Canada) ;
la Belgique : la Belgique a trois
communautés linguistiques ;
la Suisse : la Suisse connaît quatre
langues (allemand, français, italien, et
romanche) ;
le Maghreb : les pays du Maghreb
parlent le berbère, le français et
l'arabe ;
le Luxembourg reconnaît aussi trois
langues officielles: le luxembourgeois,
le français, et l'allemand.

Communautés religieuses

Article détaillé : Communauté religieuse.


Une communauté religieuse est un ensemble de personnes qui poursuivent le même idéal
religieux (les conseils évangéliques par exemple).

Elle peut être un groupe humain reflétant la société civile, ayant adopté une religion ou un
courant religieux. Un tel groupe est plus ou moins important, de quelques personnes (une
« secte », une minorité) à un sous-groupe de la population d'un État (exemple : la
communauté musulmane de France).

De tels groupes peuvent être dénommés Églises[12] (ce qui n'a pas de caractère national ou
universel, et correspond dans l'Histoire du Christianisme aux actuels diocèses).

La communauté religieuse peut aussi être un groupe organisé en vue d'atteindre l'idéal
religieux affiché. Il peut s'agir :

d'une organisation de laïcs et


éventuellement de clercs séculiers
(anciennes congrégations laïques du
Christianisme) ;
Articles détaillés : Confrérie et Institut
séculier.

du regroupement de religieux menant


une vie commune : pour le
christianisme et notamment l'Église
catholique romaine, de clercs séculiers
s'agrégeant à un ordre séculier pour
devenir des clercs réguliers, ou des
clercs prononçant des vœux solennels
pour entrer dans un ordre régulier, que
celui-ci soit monastique ou non
(chanoines réguliers par exemple).
On parle dans tous ces cas, en Droit
français, de congrégations religieuses.
Article détaillé : Vœux religieux.

Communautés épistémiques

Article principal : Communauté


épistémique.
Une communauté épistémique rassemble autour d’une question, d’une nécessité, d’un
objectif ou d’un intérêt partagé, des acteurs, qui peuvent être hétérogènes, qui échangent
pour transformer leurs savoir-faire et savoir tacites épars en connaissances explicites,
opérationnelles et partagées dont ils se serviront spécifiquement en fonction de leurs
besoins particuliers.

Ce type de communauté organise une production collaborative de connaissance au travers


de pratiques de communication qui se développent autant dans le réel, le virtuel (cf. infra) ou
dans une combinaison de ces deux dimensions.
Communautés intentionnelles

Article détaillé : Communauté


intentionnelle.
Cette expression est davantage utilisée au Québec qu'en France ; elle semble proche de la
signification d'une communauté sociologique quoique d'acception un peu plus limitée. Un
ensemble de personnes d'origines diverses ayant choisi consciemment de vivre ensemble en
un lieu donné et sous une forme organisationnelle et architecturale définie constitue une
communauté intentionnelle. L'expression se réfère à des formes d'habitation dites
alternatives. En 2007, Christophe Cousin réalisa un voyage de près de deux ans à travers les
communautés intentionnelles qui ont notamment pour vocation la construction d'un monde
meilleur.

Communautés libertaires

Article détaillé : communauté libertaire.


Une communauté libertaire ou milieu libre est une communauté intentionnelle d'inspiration
libertaire plus ou moins durable, plus ou moins organisée, centrée autour de l'autogestion, de
la maîtrise du travail social, de l'épanouissement personnel, de valeurs morales. L'objectif en
est, principalement, d'expérimenter, dans des groupes plus ou moins vastes, des rapports
sociaux antiautoritaires dégagés des contraintes du capitalisme et de l'État, notamment en
matière de liberté sexuelle.
Communautés historiques

La communauté historique du
hameau de Rozewerf (Pays-Bas).

Une communauté est un groupe humain constitué géographiquement ou historiquement sur


un territoire donné, et qui partage une culture ou une langue commune. C'est le cas des
peuples, nations, civilisations, ethnies ou minorités ethniques, pour lesquelles les critères
géographique et historique sont fondamentaux.

Communautés scientifiques

Article détaillé : Communauté


scientifique.
Une communauté scientifique, du point de vue sociologique est un réseau de chercheurs
œuvrant sur des thématiques communes de recherche[9]. « La communauté scientifique » au
singulier et au sens large, est un découpage catégoriel. Pour le sociologue, cette dite
communauté est dans les faits constituée de nombreuses communautés épistémiques. Au
sein d'une même branche scientifique il peut exister une multitude de communautés
épistémiques.
Communautés en ligne

Article détaillé : Communauté en ligne.


La communauté en ligne n’est pas monolithique car elle est formée d'une mosaïque de
groupes aux comportements sociolinguistiques et identitaires hétérogènes, entrant parfois
en conflit les uns avec les autres.

Une communauté en ligne doit être pourvue d'un animateur, dont le rôle est de développer la
présence sur la Toile d'une organisation publique ou privée en fidélisant un groupe
d'internautes et en animant ses échanges dans des réseaux sociaux, des médias en ligne ou
des forums[13].

En gestion des connaissances, on parle souvent par exemple de communauté de pratique,


qui s'applique à des ensembles d'individus qui partagent et mettent à jour des informations
pour leur travail dans un même logiciel de groupe de travail (en abrégé logiciel de groupe,
formé à partir de l'anglais groupware) [réf. nécessaire].

Le terme de « communauté » est d'un emploi généralisé dans le monde du web pour désigner
l'ensemble des parties prenantes au développement et à l'utilisation d'une base de code. La
communauté est constituée de personnes (physiques, éventuellement morales) allant des
core developers qui maintiennent la base de code et prennent les décisions techniques
importantes aux simples utilisateurs, en passant par les contributeurs, qui peuvent aider à
l'effort collectif en détectant des bugs, proposant des correctifs ou aidant à des tâches telles
que la documentation.

Le logiciel libre (ou « open source »), pour de multiples facteurs est une thématique qui a
rallié de nombreux acteurs et des communautés du libre ont émergé : « Les hackers ne sont
pas seulement des êtres rationnels, capables de calculer le rendement espéré d’une
contribution au libre. Ce sont des êtres passionnés doués d’un sens social »[14].
Communauté de pratique

Article détaillé : Communauté de


pratique.
Une communauté de pratique (CdP) est un groupe de personnes qui « partagent une
préoccupation ou une passion pour quelque chose qu'ils font et apprennent à mieux le faire
en interagissant régulièrement »[15]. Le concept a été proposé pour la première fois par
l'anthropologue cognitif Jean Lave et le théoricien de l'éducation Étienne Wenger dans leur
livre de 1991 intitulé Situated Learning (Lave & Wenger 1991). Wenger a ensuite développé le
concept dans un livre de 1998 Communities of Practice (Wenger 1998).

La théorie des communautés de pratique formalisée par Étienne Wenger (1998)[16] s'inscrit
dans une évolution épistémologique qui a conduit le domaine de la gestion des
connaissances (knowledge management en anglais) d'une vision technocentrée vers une
vision anthropocentrée.

Communauté d'apprentissage
L'expression « communauté d'apprentissage » tire ses origines de deux courants : le courant
des communautés pédagogiques et le courant des communautés professionnelles. Pour les
communautés pédagogiques, une filiation est opérée avec le courant de la pédagogie
coopérative de Freinet, elle fait référence aux parties prenantes d'une communauté
éducative. Pour les communautés professionnelles, il est possible d'en retracer la filiation aux
mouvements coopératifs ouvriers du xixe siècle[17]. Pour Orellana[18], « il s'agit d'une vision
qui vise une réorientation des capacités d'apprentissage, de création et de transformation de
l'être humain. »

Les interactions des contributeurs aux projets de partage de la connaissance qu'est


Wikipédia démontrent qu'il s'agit d'une communauté[19].
Communauté professionnelle
Pour être pertinente et pérenne, une communauté professionnelle doit se retrouver autour
d'un objectif commun, mais aussi générer de l'interactivité (discussion possible entre les
membres, publications unilatérales, commentaires, annotations, votes, génération de
contenus, etc.) et être fondée sur les besoins de ses membres[20].

En France, la Direction interministérielle du numérique (DINUM) propose une plateforme,


Osmose, permettant aux agents de l’État et de ses établissements publics d’animer en ligne
une communauté professionnelle. Seul un agent de l’État ou d'un établissement public de
l’État peut demander à créer une communauté sur Osmose. Il peut ensuite y inviter tous les
membres qu’il souhaite, que la personne soit interne ou externe à son organisme (agent,
partenaire, prestataire, expert de la société civile…)[21] .

Communautés
internationales
On parle couramment de la communauté internationale pour désigner l'attitude commune de
plusieurs pays/États dans les problèmes de diplomatie, de politique extérieure,
d'écologie, etc.

On peut aussi considérer les communautés basées sur des accords internationaux : la
Communauté européenne, ou l'ONU.

Communautés
administratives
En France, le mot est repris dans la terminologie administrative pour désigner une
association de collectivités territoriales :
Communauté de communes ;
Communauté d'agglomération ;
Communauté urbaine ;
Communauté nationale ;
Communauté économique.
En Belgique, les communautés belges sont des entités fédérées compétentes notamment en
matière de culture et d'enseignement. Elles sont au nombre de trois :

la Communauté flamande ;
la Communauté française de Belgique ;
la Communauté germanophone de
Belgique.
Au pays de Galles, une communauté est la plus petite des divisions administratives
territoriales.

Dérivés
Le mot communauté a servi à construire les termes :

communisme ;
communautarisme.

Notes

1. Définition d'une communauté (http


s://www.dictionnaire-academie.fr/arti
cle/A9C3157) [archive] sur le
dictionnaire de l'Académie française

2. Le terme apparaîtrait en français en


1538) d'après le Dictionnaire
historique de la langue française,
Dictionnaires Le Robert. Il serait
attesté bien avant si, auparavant, les
questions ecclésiastiques n'avaient
pas toujours été évoquées par écrit
en latin.
3. Elles existent toujours en Angleterre
où les régiments ont toujours une
personnalité morale et un patrimoine.

4. Dictionnaire de l'Académie française


(https://www.dictionnaire-academie.f
r/article/A9C3157) [archive]

5. Académie française, rubrique dire, ne


pas dire (https://www.dictionnaire-ac
ademie.fr/article/DNP0284) [archive]
6. Roberto Esposito, Communitas.
Origine et destin de la communauté
(tra8d. de l'italien par Nadine Le
Lirzin) précédé de Conloquium de
Jean-Luc Nancy, Paris, PUF, coll.
« Les Essais du Collège International
de Philosophie », 2000
(ISBN 2-13-050174-5).

7. Laurie McCabe, Judith Hurwitz,


Marcia Kaufman, Le travail
collaboratif pour les nuls : édition
spéciale IBM, Wiley Publishing inc.,
2009, (ISBN 978-0-470-58702-7), pages
18 et 19.
8. Faire communauté en société:
Dynamique des appartenances
collectives. Dir. Laurent Amiotte-
Suchet, Ivan Sainsaulieu, Monika
Salzbrunn. Presses universitaires de
Rennes. Collection : Le Sens social.
2010. 250 pages.
(ISBN 978-2-7535-1029-6). Chap.

Communautés, analyse structurale et


réseaux socio-sémantiques. Camille
Roth p. 113-128 En ligne (https://boo
ks.openedition.org/pur/13559?lang=
en) [archive]
9. Camille Roth, « Coévolution des
auteurs et des concepts dans les
réseaux épistémiques : le cas de la
communauté « zebrafish» », Revue
française de sociologie, Éditions
Technip & Ophrys, vol. Vol. 49, no 3,‎
2008, p. 523-558 (ISSN 0035-2969 (http
s://portal.issn.org/resource/issn/0035-296

9) , résumé (http://www.cairn.info/resume.p

hp?ID_ARTICLE=RFS_493_0523) [archive], lire

en ligne (http://www.cairn.info/load_pdf.ph

p?ID_ARTICLE=RFS_493_0523) [archive])

10. CONEIN, Bernard. Communautés


épistémiques et réseaux cognitifs:
coopération et cognition distribuée.
Revue d’économie politique, 2004,
vol. 113, p. 141-159.
11. Dictionnaire de l'Académie française
- Francophonie (https://www.dictionn
aire-academie.fr/article/A9F155
7) [archive]

12. http://www.revelationbible.fr/quisom
mesnous.html [archive] exemple
d'une église-communauté

13. FranceTerme, animateur -trice de


communauté en ligne (http://www.cu
lture.fr/franceterme/terme/COGE84
8) [archive]
14. François Montagne, « Le logiciel libre
et la communauté autorégulée »,
Revue d'économie politique, Dalloz,
vol. Vol. 117, no 3,‎2007, p. 387-405
(ISSN 0373-2630 (https://portal.issn.org/res

ource/issn/0373-2630) , résumé (http://ww

w.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=REDP

_173_0387) [archive], lire en ligne (http://ww

w.cairn.info/load_pdf.php?ID_ARTICLE=RED

P_173_0387) [archive])

15. Etienne & Beverly Wenger-Trayner,


« Introduction to communities of
practice - », A brief overview of the
concept and its uses,‎2015 (lire en
ligne (https://wenger-trayner.com/introducti

on-to-communities-of-practice/) [archive])
16. Wenger E, Communities of Practice:
Learning, Meaning, and Identity,
Cambridge University Press, 1998.

17. Denis Cristol, Les communautés


d'apprentissage : apprendre
ensemble à l'ère du numérique, Paris,
ESF, 14 janvier 2016
18. Isabelle Orellana, L'émergence de la
communauté d'apprentissage, ou
l'acte de recréer des relations
dialogiques et dialectiques de
transformation des rapports au
milieu de vie. In Sauvé, L. Orellana, I.
Van Steenberghe, E. (dir). Education
et environnement un croisement des
savoirs., Cahiers scientifiques de
l'ACFAS, 2005, p. 67-84
19. Julien Levrel, « La vigilance
participative. Une interprétation de
la gouvernance de Wikipédia »,
Réseaux, La Découverte, vol. n° 154,
no 2,‎2009, p. 51-89 (ISSN 0751-7971 (htt
ps://portal.issn.org/resource/issn/0751-797

1) , résumé (http://www.cairn.info/resume.p

hp?ID_ARTICLE=RES_154_0051) [archive], lire

en ligne (http://www.cairn.info/load_pdf.ph

p?ID_ARTICLE=RES_154_0051) [archive])

20. Adhérer à une communauté


professionnelle : pour quoi faire ? (htt
ps://www.archimag.com/veille-docu
mentation/2016/06/17/adherer-com
munaute-professionnelle-pour-quoi-f
aire) [archive]
21. Osmose, plateforme des
communautés professionnelles de
l’État (https://www.numerique.gouv.f
r/outils-agents/osmose/) [archive] sur
le site de l DINUM

Voir aussi

Articles connexes

tribu
Peuple
Ethnie
Nation
Commune
Mariage
Affiliation
Ordre professionnel
Fonction publique

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