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Cette image concept, un tableau de Rubens présentant Adam et Eve dans le jardin d’Eden, contrasté

avec un paysage urbain futuriste, représente la rareté et l’unique d’un écosystème en déperdition,
saccagé par les péchés de l’homme.

Il ne reste qu’un arbre, quelques animaux, le reste est aride, chaud, obscurcie par la pollution.

Dans Laudato si’ du pape Francçois, il est écrit : « Il est important de lire les textes bibliques dans leur
contexte, avec une herméneutique adéquate, et de se souvenir qu’ils nous invitent à « cultiver et
garder » le jardin du monde (cf. Gn 2, 15). Alors que « cultiver » signifie labourer, défricher ou
travailler, « garder » signifie protéger, sauvegarder, préserver, soigner, surveiller. Cela implique une
relation de réciprocité responsable entre l’être humain et la nature. Chaque communauté peut
prélever de la bonté de la terre ce qui lui est nécessaire pour survivre, mais elle a aussi le devoir de la
sauvegarder et de garantir la continuité de sa fertilité pour les générations futures. »

— Encyclique Laudato si', no 67.

La sauvegarde de la maison commune.


Notre concept se tourne vers la création d’Eden dans les villes, lieu de prospérité végétal dans lequel
chacun pourrai subvenir à ses besoins alimentaires, sans intermédiaire.

Dans chacun des scénarios du futurs nous pensons que ces espaces de cultures urbaines
permettraient dans un premier temps de servir la recherche dans l’agro-alimentaire, une culture
raisonnée, en jachère organisé. Dans un second temps, ces espaces serviraient de lieu de cueillette
permettant de subvenir au besoin alimentaire des populations. La complexité du projet se repose sur
les caractères architecturaux des villes et des contraintes verticales qu’elles imposent.
Les ressources premières nécessaire à la culture doit être étudié afin de convenir à n’importe quel
lieu.

Dans les zones péri-urbaines, la problématique de l’espace se fait moins sentir, nous traiterons donc
les zones industrialo-commercial, dans ces coques d’aluminium permettant de s’étendre sur la
surface. Cette seconde problématique de surface impose la réflexion sur la gestion des espaces et des
circulations permettant de récolter le plus aisément les produits. De plus la répartition des espèces
doit être logique afin de permettre un rendement efficace.

Les campagnes seront les troisièmes zones traités, avec un objectif de jardin mobiles permettant de
desservir le plus de monde afin d’éviter les privilèges d’accès à ces ressources. Toute la problématique
se repose sur le comment ?
Les espèces et les techniques utilisé doivent permettre une pérennité dans la structure mobile ainsi
que l’apport de ressources premières nécessaire aux cultures.

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