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Une compilation
naissante,
24 juin 2010
Jean-éric Richard
Table des matières
Chapitre 1 1934 5
Chapitre 2 1962 7
Chapitre 3 1963. 9
Chapitre 4 1964. 13
Chapitre 5 1965. 15
Chapitre 6 1966. 43
Chapitre 7 1967. 47
Chapitre 8 1968. 51
Chapitre 9 1969. 53
Chapitre 10 1970. 63
Chapitre 11 1971. 73
Chapitre 12 1972. 83
Chapitre 13 1973. 93
c
OJER.
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2009-2010 5
Index 360
c
OJER.
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Chapitre 36
1996.
Sommaire
I. Antilles, série S . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 335
II. Groupe I bis, série S . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 336
III. Groupe II bis, série S. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 338
IV. Centres étrangers Groupe 1, série S . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 339
V. Amérique du Nord, série S . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 341
VI. Pondichéry, série S . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 342
I. Antilles, série S
a−c
b) Calculer le nombre complexe q = , déterminer son module et son argument ϕ. En déduire, la nature du
b−c
triangle ABC.
c) Déterminer le barycentre D des points pondérés (A, |a|), (B, |b|), (C, |c|).
Placer D.
d) Déterminer l’ensemble Γ des points M du plan tels que :
# – # – # – # – # –
M A + M B + 2M C = vecteurM A + M B − 2M C .
Tracer Γ.
a = 1 − i, b = 1 + i, c = −1 + i = −a.
c
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ex − 1
f (x) = ;
ex − x
justifier rigoureusement le tracé de sa courbe représentative C courbe représentative dans un repère orthonormal
– de
O; #– , unité graphique 5 cm.
ı , #–
– de détailler enfin certaines propriétés d’une suite de nombres réels construite à partir de f .
1 − e−x
f (x) = .
1 − xe−x
En déduire lim f (x) ; interpréter géométriquement, relativement à C , le résultat obtenu.
x→+∞
h(x)
c) Montrer que, pour tout x > 0, f ′ (x) = .
(ex − x)2
c
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z − (4 + 2i)
z′ = .
z + 2i
c
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b) Montrer que, pour tout point M distinct de A, et dont l’image par F est notée M ′ , on a :
′
M ,D
√
DM ′ .AM = 4 2
\ # –′ \ 5π
#– #– # –
u ; DM + u ; AM = (mod 2π).
4
1◦ a est un nombre réel. On considère la suite (un ) de nombres réels définie pour tout entier naturel par :
4 3
un+1 = − u ,
10 10 n
avec pour condition initiale u1 = a.
a) (vn ) est la suite de nombres réels définie pour tout entier naturel n > 1, par :
vn = 13un − 4.
c
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c
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S1 S2 S3
Pour tout entier naturel k tel que 1 6 k 6 n, on note Ek l’événement « le jeton sorti de Sk est blanc », et E k l’événement
contraire.
c
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1◦ a) Déterminer le probabilité de E1 , notée p(E1 ), et les probabilités conditionnelles pE1 (E2 ) et pE 1 (E2 ).
En déduire la probabilité de E2 , notée p(E2 ).
b) Pour tout entier naturel k tel que 1 6 k 6 n, la probabilité de Ek est notée pk .
Justifier alors le relation suivante :
1 1
pk+1 = pk + .
3 3
2◦ Étude d’une suite (uk ).
1
On note (uk ) la suite définie par u1 = et pour tout entier naturel k > 1 :
3
1 1
uk+1 = uk + .
3 3
a) On considère la suite (vk ) définie pour tout élément k de N⋆ , par :
1
v k = uk − .
2
0,499 9 6 pk 6 0,5.
1◦
c
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y
D
T 4 C
1
#–
−5 −4 −3 −2 −1 o ı 1
#– 2 3 x
−1
−2
−3
−4
On sait que le point J(0 ; 1) est centre de symétrie de la courbe C et que l’asymptote D passe par les points K(−1 ; 0)
et J, et que la tangente T a pour équation réduite y = (1 − e)x + 1.
Partie A –Expression de f –
1◦ Déterminer une équation de D.
2◦ On suppose qu’il existe des réels m et p et une fonction ϕ définie sur R telle que, pour tout x réel, f (x) = mx + p +
ϕ(x) avec lim ϕ(x) = 0.
x→+∞
a) Déterminer m et p.
b) Démontrer que pour tout x réel, f (x) + f (−x) = 2.
c) En déduire que la fonction ϕ est impaire puis que la fonction f ′ , dérivée de f , est paire.
3◦ On suppose maintenant que, pour tout x réel :
2
ϕ(x) = (ax + b)e−x où a et b sont des réels.
Démontrer en utilisant les données et les résultats précédents que a = −e et que b = 0.
Partie B
On considère la fonction f définie sur R par :
2 +1
f (x) = 1 + x − xe−x .
On suppose que la courbe C représente la fonction f dans le repère O; #– .
ı , #–
1◦ a) Vérifier que pour tout réel x :
2 +1
f ′ (x) = 1 + (2x2 − 1)e−x .
Calculer f ′ (0).
b) Vérifier que T est bien la tangente à la courbe C au point d’abscisse 0. Étudier la position de la courbe C vis à
vis de sa tangente T.
2◦ Le graphique suggère l’existence d’un minimum relatif de f sur l’intervalle [0 ; 1] .
a) Démontrer que f ′′ (x) est du signe de 6x − 4x3 .
b) Démontrer que l’équation f ′ (x) = 0 admet une solution α unique dans l’intervalle [0 ; 1] .
c) Montrer que 0, 51 < α < 0, 52.
d) Exprimer f (α) sous la forme d’un quotient de deux polynômes.
c
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Partie C
Sur le graphique, la courbe C est très proche de son asymptote pour les points d’abscisses supérieure à 2,4.
Cette partie propose de préciser cette situation en calculant, pour tout réel λ positif ou nul, l’aire A (λ), exprimée en
unités d’aire, du domaine limité par C , D et les droites d’équations x = 0 et x = λ.
1◦ Exprimer A (λ) en fonction de λ.
2◦ Déterminer la limite A de A (λ) quand λ tend vers +∞.
3◦ Á partir de quelle valeur de λ a-t-on |A (λ) − A| 6 10−2 ?
c
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Chapitre 40
Dates et lieux inconnus
Sommaire
I. Sujet complet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 355
II. A Classer ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 356
II.a). Besançon, série C . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 356
I. Sujet complet
16x6a 0 6 y 6 f (x)
Partie I.
#– #–
Soit P un plan vectoriel euclidien et B = ( i , j ) une base orthonormée de P. On considère l’application f a,b de P
dans P dont la matrice dans la base B est :
!
a+b a−b
M (a, b) =
a−b a+b
Partie II.
Soit P le plan affine associé à P. On munit P du repère orthonormé (0; #– e 2 ). Dans la suite du problème, les
e 1 , #–
coordonnées seront toujours prises dans ce repère.
On considère l’application affine ga,b de P à laquelle est associée l’application f a,b et qui transforme le point O en le
point O ′ de coordonnées xO′ = 2, yO′ = 0.
1◦ Exprimer les coordonnées (x′ ; y ′ ) du point N ′ = ga,b (N ) en fonction des coordonnées (x ; y) du point N .
2◦ Pour quelles valeurs de a et b, ga,b est-elle une isométrie affine ? Préciser, dans chaque cas, la nature et les éléments
caractéristiques de cette isométrie.
3◦ Pour quelles valeurs de a et b, ga,b est-elle une homothétie ? Préciser le centre et le rapport de cette homothétie.
4◦ Vérifier que, quels que soient a et b,
f a,b = f a, 1 ◦ f 1 ,b .
2 2
En déduire que ga,b est le produit de trois applications affines que l’on précisera.
3
Construire à l’aide de cette remarque, le transformé N ′ (par ga,b ) du point N, lorsque a = 2 et b = .
2
II. A Classer !
cos 2x
f (x) = .
sin x
1◦ Étudier f et faire la représentation graphique (C) de f dans un repère orthonormé O; #– . (Unité : 1 cm).
ı , #–
2◦ Montrer qu’une primitive de f sur l’intervalle [α ; β] où 0 < α < β < π est la fonction F définie par
x
F(x) = log tan − g(x)
2
où g désigne une fonction simple que l’on déterminera.
◦
3 En déduire l’aire, en centimètres carrés, du domaine (∆) défini par
π 3π
M (x ; y) 6x6 et f (x) 6 y 6 0 .
4 4
c
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Partie A.
1◦ Étudier les variations et les limites en +∞ et −∞ des fonctions f 1 , f 2 et f 3 .
Établir les tableaux de variation de ces trois fonctions en précisant les nombres dérivés en 0.
2◦ Démontrer que les courbes Ck passent par deux points fixes dont vous précisez les coordonnées.
3◦ Étudier les variations de f k ainsi que les limites en +∞ et −∞ lorsque :
– k est impair.
– k est pair.
◦
4 Comparer les positions respectives de Ck et Ck+1 sur les intervalles [0; +∞[ puis de Ck et de Ck+2 sur l’intervalle
] − ∞; 0] .
5◦ En déduire les positions respectives de C1 , C2 et C3 et les représenter dans le même repère.
Partie B.
1◦ On pose, pour x > 0, u(x) = x ln(x) − x .
Étudier les variations de u et ses limites en 0 et +∞ .
2◦ On considère la fonction g définie sur [0; +∞[ par :
(
g(x) = exp[u(x)] si x > 0
g(0) = 1
ex − 1
lim = 1)
x−→0 x
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. 3) On suppose dans cette question que abc = 12 096, a, b, c vérifiant le système (I). Trouver tous les triplets
(a, b, c).
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\
3◦ En déduire que M ∈ C H équivaut à
= 4ωw
Z × Z
Z + 2ωz = Z 2 + 2ωz.
2
4◦ Conclure.
5◦ Examiner le cas où A′ est sur C.
℄ Ex. 581. ./xxx/exo-13/texte.tex
n(n + 1)(2n + 1)
12 + 22 + · · · + n2 = .
6
2. Soit P le plan rapporté à un repère O; #– . On note J l’ensemble {1, 2, . . . , n} des n premiers entiers naturels
ı , #–
non nuls.
On appelle M (n, p) le point de coordonnées (n ; p) dans le repère O; #– , (m, p) appartenant à J × J.
ı , #–
On affecte chaque point M (m, p) du coefficient m ; on note (M (m, p) , m) le point pondéré obtenu.
a) Déterminer, dans le repère O; #– les coordonnées du barycentre G1 du système {(M (1, p) , 1) ; p ∈ J} obtenu
ı , #–
pour m = 1.
Déterminer dans le repère O; #– , les coordonnées du barycentre G du système {(M
ı , #– m0 , 1) ; p ∈ J}
(m0 , p)
obtenu pour m = m0 .
b) En déduire les coordonnées du barycentre G du système
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